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Terme de marine.

Planches épaisses qui forment le revêtement de la


membrure intérieure d'un navire.

Ce qui borde une chose.

Action, manière de border un soulier, un chapeau, un habit, et

Femmes pirates célèbres

Femme pirate
 Les pirates Anne Bonny et Mary Read.
 Alfhild.
 Lagertha.
 Sayyida al Hurra.
 Anne Bonny.
 Ching Shih.
Question de emma07 (24.10.2012, mise à jour le 18.03.2018) : Pourquoi les
pirates se donnaient-ils un surnom, un sobriquet ?
R: Les pirates utilisaient un surnom pour deux raisons :
- La première était de protéger leurs proches ou famille lors de l'identification
du patronyme par le gouvernement, afin d'éviter qu'ils soient contraints à se
rendre sous la pression.
- La seconde afin de ne laisser aucune trace de leur passé, car ils étaient bien
souvent des voleurs ou des anciens de la marine royale. Il faut savoir que dans
la marine royale, la discipline était extrêmement sévère, et elle infligeait des
punitions bien plus dures à ses soldats que le faisaient les capitaines pirates. Il
valait mieux passer ainsi inaperçu.

Bien souvent les sobriquets étaient attribués par l'équipage à un pirate, faisant
référence à un ou plusieurs hauts faits, une aptitude physique ou intellectuelle,
un signe distinctif particulier tel que des tatouages, une balafre très voyante,
un handicap physique, etc.
Nombreux pirates connus utilisaient un sobriquet, tels que :
- Barbe-Noire ou Blackbeard (Edward Teach),
- l'Exterminateur ou le destructeur (Daniel Monbars),
- La Buse (Olivier Levasseur),
- Calico Jack (John Rackham),
- Le baronnet noir (Bartholomew Roberts),
- Le Tigre des mers (Robert Surcouf),
- Bloody Mary (Mary Read),
- Les frères Barberousse (Baba Arudj et Khayr ad-Din),
- François L'Olonnais (Jean-David Nau),
- Le Renard Basque (Etienne Pellot),
- Jambe de bois (François le Clerc),
- Black Bart (Welshman Roberts),
- Le Lyonnais (Jacques Tavernier),
- Black Sam (Samuel Bellamy),
Corsaire
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Ne doit pas être confondu avec mercenaire, pirate ou corso (brigandage maritime).

Pour les articles homonymes, voir Corsaire (homonymie).

Réplique de 1991 du Renard, bateau de corsaire armé


par Surcouf en 1813.
Un corsaire est une personne (le plus souvent l'armateur, le capitaine ou le membre de
l'équipage d'un navire civil armé) autorisée par une lettre de marque (également appelée « lettre
de commission » ou « lettre de course ») à attaquer en temps de guerre, tout navire battant
pavillon d'États ennemis, et particulièrement son trafic marchand, laissant à la flotte de guerre le
soin de s'attaquer aux objectifs militaires. Les corsaires ne doivent donc pas être confondus avec
les pirates puisqu'ils exercent leur activité selon les lois de la guerre, uniquement en temps de
guerre et avec l'autorisation de leur gouvernement. Capturés, ils ont droit au statut de prisonnier
de guerre.
Cette forme de guerre navale est appelée « guerre de course ».

-----------------
Une lettre de marque ou lettre de course ou lettre de commission est une
lettre patente d'un souverain permettant à un capitaine et son équipage de
rechercher, attaquer, saisir et détruire les navires ou les équipements d'une
nation adverse dans les eaux territoriales internationales ou étrangères.
Piraterie moderne
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Contrôle d'un boutre indien par la marine américaine dans le cadre


de la lutte contre la piraterie.
La piraterie moderne désigne l'ensemble des activités maritimes illégales en regard des lois
internationales. Ces activités, fondées sur la violence et la contrainte, comprennent
l'enlèvement de personnes avec demande de rançon, le vol, le meurtre et le sabotage. Version
moderne de la célèbre piraterie du XVIIIe siècle, la piraterie moderne touche particulièrement
la corne de l'Afrique, obligeant les flottes militaires à s'allier dans des missions de surveillance.
Pour lutter contre ce phénomène, les armateurs équipent de plus en plus leur navire : avec des
alarmes silencieuses dès les années 1990 et à présent le recours à des sociétés de sécurité
présentes directement à bord des bateaux. Sur le plan juridique, les lois nationales et
internationales évoluent depuis les années 2000 afin d'enrayer cette forme de banditisme nuisible
aux échanges commerciaux internationaux.

Sommaire

 1Régions sensibles
 2Les attaques
o 2.1Modes opératoires
o 2.2Statistiques
 3Les protections
 4Notes et références
 5Voir aussi
o 5.1Bibliographie
o 5.2Articles connexes
o 5.3Liens externes

Régions sensibles[modifier | modifier le code]


Article connexe : Piraterie en mer de Chine.
Extension de la zone d'opération des pirates somaliens entre 2005
et 2010. En 2015, aucune attaque n'a été attribuée à des pirates
somaliens pour la première fois depuis 1991.
- les cercles rouges indiquent la localisation des messages
d'alertes ;
- les traits bleu clair indiquent les principales lignes maritimes ;
- les cercles bleus indiquent les principaux ports.
Les pirates d'aujourd'hui sévissent essentiellement dans les régions d'Asie du Sud et Asie du
Sud-Est (en particulier dans la mer de Chine méridionale), le long des côtes de l'Amérique du
Sud, du golfe d'Aden, de la mer Rouge, mais aussi celles de la Somalie, dans le golfe de
Guinée et dans la mer des Caraïbes. Selon le Bureau maritime international, plus de 4 000 actes
de piraterie ont été enregistrés durant les vingt dernières années[Quand ?], un rapport de la RAND
Corporation estime le nombre d'attaques et de tentatives d'attaques à 209 durant la période
1994-1999 et à 2 463 entre 2000 et fin 2006, soit une augmentation exponentielle de ces
pratiques depuis le début du XXIe siècle1.
Ils utilisent des embarcations plutôt petites et rapides, et profitent du nombre restreint de
membres d'équipage sur les navires cargos. Ils savent également maquiller leurs embarcations
en bateaux de pêche ou de transport, afin d'éviter et de déjouer les inspections.
Dans la plupart des cas, les pirates ne s'intéressent pas à la marchandise transportée, mais
plutôt aux affaires personnelles de l'équipage et au contenu du coffre-fort, qui peut contenir
d'importantes quantités de monnaie destinée à payer le personnel et les taxes portuaires. Il arrive
également que les pirates se débarrassent de l'équipage et conduisent le navire dans un port afin
de vendre la cargaison et dans de très rares cas de transformer son identité et de le revendre.
La piraterie moderne se développe pour plusieurs raisons :

 la pauvreté importante de certaines régions, qui pousse une partie de leurs habitants dans la
piraterie ;
 une incapacité de certains pays à gérer la sûreté de leurs eaux territoriales ;
 les équipages des navires de charge sont peu nombreux et non armés (une vingtaine
d'hommes sur un navire de 150 mètres) ;
 les navires marchands se déplacent à des vitesses faibles (entre 10 et 20 nœuds en
moyenne), sont peu manœuvrant et, chargés, ils peuvent être assez bas sur l'eau permettant
ainsi un abordage aisé ;
 les équipages, embarquant pour une durée de neuf mois en moyenne, proviennent en
grande partie des pays en voie de développement (Asie - Afrique) et reçoivent la majeure
partie de leur salaire en espèces à bord.
Par extension, on parle également de piraterie lorsqu'il y a acte de braconnage, par exemple lors
de pêches interdites d'espèces protégées (dans les zones d'exclusivité économique). Ceci
concerne entre autres la légine, poisson très recherché localisé dans les ZEE des Terres
australes et antarctiques françaises.

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