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Odonata

Les odonates sont un ordre d'insectes à corps


allongé, dotés de deux paires d'ailes membraneuses Odonata
généralement transparentes, et dont les yeux
composés et généralement volumineux leur
permettent de chasser efficacement leurs proies. Ils
sont aquatiques à l'état larvaire et terrestres à l'état
adulte. Ce sont des prédateurs, que l'on peut
rencontrer occasionnellement dans tout type de
milieu naturel, mais qui se retrouvent plus
fréquemment aux abords des zones d'eau douce à
saumâtre, stagnante à courante, dont ils ont besoin
pour se reproduire.
Libellula quadrimaculata.
En langue française, le terme de libellules est en
général employé sensu lato pour désigner les Classification
odonates, qui regroupent deux sous-ordres : les
1 Règne Animalia
demoiselles (zygoptères) et les libelles ou
libellules stricto sensu (anisoptères). En 1996, Embranchement Arthropoda
Günter Bechly a regroupé les deux anciens sous-
Sous-embr. Hexapoda
ordres Anisoptera et Anisozygoptera en
Epiproctophora notamment par leur analogie au Classe Insecta
stade larvaire (présence d'épiproctes et non de Sous-classe Pterygota
lamelles caudales comme chez les Zygoptères).
L'ancien sous-ordre des Anisozygoptères Infra-classe Palaeoptera
(Anisozygoptera) ne compte que deux à quatre Super-ordre Odonatoptera
2
espèces selon les auteurs et les études génétiques .
Ordre
La science qui étudie les odonates est
Odonata
l'odonatologie, dont les spécialistes sont les
Fabricius, 1793
odonatologues.
Taxons de rang inférieur
Sous-ordres

Epiprocta
Zygoptera
†Aeshnoptera
†Epiproctophora
†Isophlebioptera
†Trigonoptera
†Archizygoptera
†Permagrionoidea
†Frenguelliidae

Sommaire
Dénominations
Morphologie et anatomie
Pièces buccales
Caractéristiques du vol
Différences morphologiques entre
zygoptères et anisoptères
Écologie et comportement
Cycle de vie
Alimentation
Comportement
Systématique et taxonomie
Les zygoptères ou demoiselles
Les anisoptères ou libellules
Menaces et conservation
Bioindication
Introduction d'espèces exotiques
Symbolique
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Taxinomie
Autres

Dénominations
L'origine du nom scientifique de l'ordre des odonates vient du latin odonata, qui est composé du mot grec
odon, « dent » et du suffixe ate, « pourvu de », en référence aux mandibules puissantes armées de dents
3
pointues inégales qui font des libellules de redoutables chasseuses .

La forme définitive de Libella revient à Linné qui l'applique en 1758 à toutes les espèces d'Odonates.
L'origine de cette dénomination est discutée : l'édition de 1872 du dictionnaire Le Littré propose que
libellule est un diminutif du latin liber, libellus, « petit livre », ce qui évoque les ailes étendues comme les
feuillets d'un livre lorsque l'insecte se pose (libellules stricto sensu, c'est-à dire les Libellulidae). L'édition
de 1873 du Grand Larousse propose la même étymologie mais avec une explication contraire, certaines
4
libellules gardant les ailes relevées et jointives comme un livre fermé (caractéristique des demoiselles) .
Pour les dictionnaires espagnols et des auteurs comme Mac Callum, ce mot serait un diminutif de libra,
5
« balance », en référence au mouvement d'oscillation des ailes des libellules en vol . Les dictionnaires
français actuels donnent comme étymologie le latin libella qui signifie « niveau », en référence au vol
plané horizontal de ces insectes. Ils reprennent l'explication du naturaliste Guillaume Rondelet (1554 et
6
6
1558) qui est le premier à avoir donné le nom de Libella fluviatilis à des larves de Zygoptères pour la
similitude de corps qu'elles ont avec le requin marteau nommé Zigæna ou Libella, allusion à « la figure
4
faite comme un niveau duquel usent les architectes » .

Morphologie et anatomie
Comme chez les autres insectes, le corps des odonates est
composé de trois parties : la tête, le thorax et l'abdomen, chacun
étant formé de plusieurs segments.

La tête porte les antennes (très courtes par rapport à d'autres


insectes comme les papillons), les yeux composés de très
nombreuses facettes, trois ocelles ou yeux simples, et les pièces
buccales de type broyeur.
Libellule bleue (Odonates) sur une
En arrière de la tête se feuille d'ortie.
trouve le thorax.
Classiquement composé
de trois segments comme chez tous les insectes, ici les deuxième
et troisième segments à savoir le mésothorax et le métathorax
sont fusionnés et donnent le synthorax. Le premier segment, le
prothorax, est très court, et porte la première paire de pattes. La
Structure des ailes de libellule.
partie dorsale du prothorax, appelée le pronotum, présente
souvent des motifs colorés diagnostiques permettant de
différencier des espèces proches, notamment pour les femelles de
certaines espèces de zygoptères. Le synthorax porte quant à lui les deuxième et troisième paires de pattes,
ainsi que les deux paires d'ailes.

L'abdomen est constitué de dix segments. Il peut être de forme variable, plus ou moins cylindrique ou
aplati, épaissi ou rétréci à certains segments, et présente très souvent des motifs colorés permettant
d'identifier les espèces d'odonates. Le dixième segment, assez court, porte des appendices anaux
(cerques) permettant au mâle de saisir la femelle derrière la tête lors de l'accouplement. C'est également
en observant l'abdomen que l'on peut distinguer les individus mâles et femelles. Les mâles portent les
pièces copulatrices sous le deuxième segment abdominal. Chez les femelles, l'organe permettant la
fécondation et la ponte des œufs, appelé ovipositeur, est situé sous les huitième et neuvième segments.

Pièces buccales
Les odonates possèdent un appareil buccal de type broyeur
primitif comportant de haut en bas : un labre, une paire de
mandibules, une paire de maxilles portant les palpes maxillaires,
et un labium. Ces pièces buccales sont adaptées à la prédation et
donc au régime carnassier insectivore de ces insectes.

Les larves possèdent un labium particulier, appelé masque, pièce


7
pouvant se déployer pour capturer des proies . Ce masque permet
Libellule de Saint-Martin
à ces larves aquatiques d'avoir un régime carnassier ; elles sont

8
8
donc prédatrices des invertébrés aquatiques voire d'alevins quand elles sont suffisamment grandes .

Caractéristiques du vol
Le vol des libellules est très peu spécialisé, ce qui leur permet des prouesses interdites aux autres
9
insectes. En effet, leurs ailes antérieures et postérieures sont indépendantes . De plus, les nodus
permettent la torsion de la partie distale (moitié extérieure) de l'aile, ce qui donne de nombreuses
possibilités : les libellules peuvent ainsi voler sur place, et même en arrière. Elles peuvent faire des
pointes à 36 km/h, alors qu'un frelon, par exemple, ne peut dépasser 22 km/h. Leur vitesse ascensionnelle
atteint 1,5 m/s (soit 5,4 km/h) alors que les autres insectes volants sont limités à 0,4 m/s (soit 1,44 km/h).
La tête, très mobile, bouge indépendamment du thorax, ce qui leur permet notamment de la garder
immobile en vol.

Différences morphologiques entre zygoptères et anisoptères


Les deux sous-ordres d'odonates correspondent à la description
faite ci-dessus mais présentent quelques différences
morphologiques permettant de les distinguer :

les yeux : gros et joints au moins en un point chez


tous les anisoptères (exception faite des Gomphidae
qui ont les yeux séparés), les yeux sont plus petits et
toujours séparés chez les zygoptères ;
les ailes : repliées au-dessus du corps en position de Libellule de Saint-Martin Antilles
repos (chez les zygoptères), ou étendues à
l'horizontale (chez les anisoptères).
Une grande libellule, Une vue rapprochée Les yeux d'une Zygoptère
le Cordulégastre des petits yeux non libellule caractéristique avec
bidenté, un contigus d'une (Anisoptera), gros et ses ailes repliées.
anisoptère. demoiselle largement joints ici.
(Zygoptera).

Un Gomphidae Libellule déployant Libellule et son


(Gomphus ses ailes. exuvie.
vulgatissimus) au
repos. On note la
taille des yeux,
typique des
anisoptères bien
que disjoints, ainsi
que la position des
ailes.

Écologie et comportement

Cycle de vie
Les Odonates sont des insectes hétérométaboles (métamorphose progressive) hémimétaboles (milieu de
vie des larves et des adultes différent).

Après la présentation du lieu de ponte choisi par le mâle et le vol de parade, l'accouplement a lieu : au
cours de la copulation plus ou moins brève, le mâle saisit la femelle par le cou, à l'aide de sa pince anale,
et entraîne sa partenaire. Après l'accouplement, les femelles peuvent soit se reposer, soit pondre aussitôt.
Selon les organes de ponte et le comportement des espèces, les œufs sont insérés dans les tissus vivants
ou morts des végétaux aquatiques ou riverains (ponte endophyte des Zygoptères, des Aeshnidae grâce à
leur oviscapte), sur des végétaux immergés ou émergés (ponte épiphyte de certains Anisoptères), ou
« lâchés » isolément ou par groupes au contact ou dessus de l'eau ou, plus rarement, sur les zones
11
exondées (prés humides) .
Les larves appelées naïades, vivent dans l'eau et ont un mode de
respiration branchiale. Elles grandissent en effectuant de 9 à 16
mues suivant les espèces. La durée de développement
s’échelonne entre deux mois et cinq ans. Après la mue imaginale,
les Odonates s’éloignent des habitats larvaires et se tiennent alors
à plus ou moins grande distance de ces derniers durant une
période de maturation d’une à quatre semaines selon les espèces.
La durée de vie des adultes va de quelques semaines à quelques
mois durant la belle saison. Ils fréquentent les habitats aquatiques
12
essentiellement pour la reproduction .

Alimentation
La larve, comme l'imago, est un puissant prédateur : elle chasse à
l'affût le plancton (infusoires), des invertébrés (larves d’insectes
Chez les odonates, le mâle, après
ou insectes adultes) et même de petits poissons, grâce à un organe
avoir agrippé la femelle par le cou
de préhension articulé appelé « masque » (appelé ainsi car ce avec les pinces, transfère ses
labium replié cache les pièces buccales) ou, par le naturaliste spermatozoïdes situés dans le
Ferchault de Réaumur, « bras mentonnier ». Chez les adultes, la neuvième segment jusqu'à un
chasse de petits insectes est pratiquée soit à l'affût depuis un organe copulatoire secondaire situé
13 sur le deuxième segment abdominal.
perchoir préférentiel, soit en vol .
La femelle s'insémine elle-même en
faisant le contact génital final avec
l'organe secondaire du mâle. Ce
mode de reproduction induit un
accouplement particulier, appelé
cœur copulatoire par les
10
odonatologues .

Masque replié. Masque déplié.

Comportement

Systématique et taxonomie
Cet ordre a été traditionnellement regroupé avec les éphémères et plusieurs ordres éteints dans le groupe
ancien des Paléoptères apparu dans les forêts des Carbonifère (des espèces du groupe des Protodonata de
plus de 70 cm d'envergure, du type de Meganeura, ne pouvant pas replier ses ailes, elles devaient
probablement voler au-dessus des lacs de ces forêts ; des espèces du groupe Protozygoptera s'éteignent au
milieu du Crétacé, il y a 100 millions d’années, en raison du développement des Angiospermes dont les
feuilles tombant dans les lacs provoquent leur eutrophisation), mais ce groupe pourrait être
paraphylétique. Dans certaines descriptions, les Odonata sont entendus dans un sens élargi, celui du
super-ordre des Odonatoptera mais qui ne comprend pas les Protodonata préhistoriques. Selon cette
conception, on utilise le terme d’Odonatoidea. La systématique des Palaeoptera n'étant pas résolue, qu'on
les appelle Odonatoidea ou Odonatoptera, l'ordre des Odonates et leurs parents disparus forment un
14
groupe monophylétique .
15
15
Sur les 135 espèces d'Odonates connues en Europe, 91 se trouvent en France .

En Europe, les odonates sont subdivisés deux sous-ordres.

Les zygoptères ou demoiselles


Les zygoptères ont généralement une petite taille, un corps fin, avec des ailes antérieures et postérieures
identiques, une tête plus large que longue, des yeux largement séparés. Au repos, les ailes sont jointives
et dressées au-dessus du corps (sauf pour les espèces du genre Lestes qui gardent leurs ailes étalées). Les
larves montrent, à l'extrémité de l'abdomen, des lames branchiales foliacées (chambre respiratoire
rectale).

Les anisoptères ou libellules


Les anisoptères (ou libellules au sens strict) sont généralement de plus grande taille. Ils sont caractérisés
par des ailes étendues à plat, non pétiolées et inégales (les antérieures plus étroites à leur base que les
postérieures), des yeux souvent contigus, un vol rapide, des larves trapues surtout fouisseuses, sans lames
branchiales.

Menaces et conservation
Les libellules étant carnivores (les larves comme les imagos), leur disparition progressive est donc liée à
la disparition de la microfaune, notamment aquatique et volante. L'eutrophisation des milieux, le
remembrement agricole, l'utilisation excessive de pesticides sont les principaux facteurs de la raréfaction
des populations d'insectes et autres petits invertébrés, leurs proies.

Paradoxe de la faune, les libellules bénéficient sous les latitudes moyennes des conditions favorables
dues au réchauffement climatique. On peut rapidement distinguer deux groupes : les espèces
méridionales qui progressent volontiers formant de nouvelles colonies désormais en Belgique, Angleterre
ou dans le sud de la Scandinavie alors que leurs effectifs augmentent dans le sud et les espèces du centre
continental, notamment en Europe qui voient leur aire de répartition reculer devant des conditions qui
leur deviennent défavorables dans leurs stations les plus méridionales. Le déplacement de leur aire de
répartition vers le nord de l'Europe est moins évident et moins étudié que celui des espèces méridionales.
De manière générale, les libellules restent des espèces qui bénéficient actuellement sur la planète de
conditions favorables et peu sont menacées, sauf à être très localisées et insulaires ou isolées au sein de
montagnes dont les populations de plus en plus limitées ne peuvent trouver d'alternatives.

Néanmoins par devers cette dynamique généralement positive, les atteintes de l'environnement peuvent
limiter au niveau "régional" les populations. En particulier les espèces d'eaux courantes souffrent de la
qualité des eaux et de la rectification du cours des rivières, les espèces des tourbières subissent la
disparition de celles-ci devant le réchauffement planétaire, accéléré par une intrusion de plus en plus
active de l'homme au sein des montagnes. Quant aux espèces de milieux stagnants, la principale menace
réside dans l'évolution naturelle des étangs vers l'atterrissement, mais aussi la réforme de la gestion des
étangs naturels et sites de pêche, comme l'introduction de poissons et particulièrement de carpes de
roseau ou carpes amour (Ctenopharyngodon idella) qui présentent l'avantage de nettoyer les étangs de
leur flore (pièges à fils de pêche et autres engins), mais l'inconvénient de souvent détruire l'entièreté de la
flore naturelle de l'étang. Par ailleurs les espèces les plus sensibles et en déclin tendent à se développer en
métapopulations et nécessitent un réseau dense de sites de bonne qualité pour se maintenir à long terme :
Leucorrhinia pectoralis pour les étangs, Coenagrion mercuriale pour les petites surfaces d'eaux
courantes...

Bioindication
Les odonates sont considérés comme de bons bioindicateurs de la qualité des milieux aquatiques et pour
l'évaluation environnementale des zones humides, ou pour la mesure d'efficacité de procédures de
restauration écologique de cours d'eau ou de zones humides, tant par l'observation et étude des adultes,
16, 17
que des larves ou des exuvies .

Introduction d'espèces exotiques


Avec la croissance du commerce international, l'introduction de nouvelles espèces dans de nouveaux pays
est maintenant devenue réalité. Chez les odonates, la plupart des introductions accidentelles sont la
conséquence de l'importation de plantes aquatiques. Dans l'eau ou dans les tiges ou feuilles de ces
plantes, on peut retrouver des œufs ou des naïades (larves). Dans la plupart des cas, les espèces exotiques
n'étant pas adaptées aux conditions climatiques du pays, n'arrivent pas à y survivre à long terme.
Cependant, certaines introductions se sont révélées fructueuses.

En Angleterre, la présence de treize espèces (cinq demoiselles et huit libellules) est le résultat
18
d'introductions accidentelles par l'importation de plantes aquatiques .

Symbolique
Dans la mythologie germanique, les libellules sont associées à la déesse Freyja, déesse de l'amour dont
elles sont les messagères. Au temps de la christianisation, elles sont diabolisées par les missionnaires qui
luttent contre le paganisme, d’où l’appellation anglophone de dragonfly (mouche-dragon ou dragon
volant) ou leurs surnoms de « flèches du diable », « aiguilles de Satan », « crève-œil », « tire-zeux »,
« tire-sang », « pique-serpent » en raison de leur forme et de la croyance erronée qu'elles étaient pourvues
19
d'un dard .

En France dans diverses régions, elle était également un sujet de crainte, comme en attestent plusieurs de
ses noms : nadoz-aer en breton (« aiguille de l'air » mais cette locution s'entendait plus souvent comme
nadoz an near, « aiguille de serpent »), mouron (« salamandre » en normand), martaî-diale en wallon
(« marteau du diable »), « papillon d'amour » en Savoie (où un dicton veut que quand on rapporte une
20
libellule à la maison, si elle meurt avant l'arrivée, c'est un mauvais présage d'amour) .

Au Japon, dès le Moyen Âge, la libellule se fit une place de choix dans l'univers des Samourais. En effet,
une des caractéristiques de vol de cet anisoptere est de ne pouvoir qu'avancer : Impossible de reculer !
Elle a donc pris sa place parmi les êtres valeureux qui « ne reculent jamais ». Elle apparait depuis sur les
Tsuba (garde de katana) et de nombreuses pieces composant le Katana (sabre japonais) et les armures
mediévales. Elle a meme donne son nom a des positions de combat « KAMAE » (posture de garde
Tombo No Kamae, de Ryushin Shochi Ryu), de même qu'elle est devenue le symbole de certaines écoles
en figurant sur leur emblème, sur la façade du Dojo, sur leur parchemin. La prononciation de son
appellation nippone est « TOMBO ». [réf. souhaitée]

Notes et références
1. K.-D. B. Dijkstra, Guide des Libellules de France et d'Europe, Paris, delachaux et niestlé,
juillet 2017, 320 p. (ISBN 978-2-603-02153-8), p. 139.
2. Sebastian Büsse, Philipp von Grumbkow, Susanne Hummel, Deep Narayan Shah, Ram
Devi Tachamo Shah, Jingke Li, Xueping Zhang, Kazunori Yoshizawa, Sonja Wedmann &
Thomas Hörnschemeyer 2012. Only one species of Epiophlebia? – first DNA analysis of all
Epiophlebia species (Insecta: Odonata)
https://www.researchgate.net/publication/233781432_Only_one_species_of_Epiophlebia__fi
rst_DNA_analysis_of_all_Epiophlebia_species_%28Insecta_Odonata%29.
3. Encyclopædia universalis, Encyclopædia universalis France, 1968, p. 344.
4. Jacques d'Aguilar, Jean-Louis Dommanget, Guide des libellules d'Europe et d'Afrique du
Nord, Delachaux et Niestlé, 1998, p. 7.
5. Jacques d'Aguilar, Jean-Louis Dommanget, Guide des libellules d'Europe et d'Afrique du
Nord, Delachaux et Niestlé, 1998, p. 16.
6. Guillaume Rondelet, L'histoire entière des poissons, Mace Bonhome, 1558 (lire en ligne (htt
ps://books.google.com/books?id=lB8OAAAAQAA)), p. 157.
7. PiscineEcologique, « Larve de libellule qui déploie son masque » (https://www.youtube.com/
watch?v=5PNOhOMmQsE), 12 avril 2010 (consulté le 3 octobre 2016).
8. HB Tang, « Damselfly larva devours a small fish » (https://www.youtube.com/watch?v=RD5
wsoycsqI), 19 septembre 2009 (consulté le 3 octobre 2016).
9. Dragonfly action in slow motion (https://www.youtube.com/watch?v=HdKxmvcRxls) ; Vidéo
présentant au ralenti le décollage d'une libellule, sur You Tube par Valvids.
10. Jacques d'Aguilar, Jean-Louis Dommanget, Guide des libellules d'Europe et d'Afrique du
Nord, Delachaux et Niestlé, 1998, p. 37.
11. Cycle de vie des Odonates (http://www.libellules.org/cycle/vie-odonates.html), sur
libellules.org.
12. Patrick Le Dû et Daniel Lesparre, Les libellules des Côte-d'Armor, Ginkgo Editeur, 2014,
p. 8-9.
13. Patrick Le Dû et Daniel Lesparre, Les libellules des Côte-d'Armor, Ginkgo Editeur, 2014,
p. 9.
14. (en) Andrew C. Rehn, « Phylogenetic analysis of higher-level relationships of Odonata »,
Systematic Entomology, vol. 28, no 2, avril 2003, p. 181-240
(DOI 10.1046/j.1365-3113.2003.00210.x (https://dx.doi.org/10.1046%2Fj.1365-3113.2003.002
).
15. K.-D.B. Dijkstra et Richard Lewington, Guide des Libellules de France et d'Europe.
Delachaux et Niestlé SA, Paris. 320 p.
16. D'Amico F, Darblade S, Avignon S, Blanc-Manel S & Ormerod SJ (2004) Odonates as
indicators of shallow lake restoration by liming: comparing adult and larval responses.
Restoration Ecology 12:439-446.
17. Chovanec A & Raab R (1997) Dragon flies (Insecta, Odonata) and the ecological status of
newly created wetlands - Ex amples for long-term bioindication programmes. Limnologica
27:381-392.
18. (en) Dave Smallshire et Andy Swash, Britain's Dragonflies: A Field Guide to the Damselflies
and Dragonflies of Britain and Ireland, Princeton University Press, 2014, 224 p.
19. Jacques d'Aguilar, Jean-Louis Dommanget, Guide des libellules d'Europe et d'Afrique du
Nord, Delachaux et Niestlé, 1998, p. 14.
20. Paul Sébillot, Le Folklore de France. La Faune, Éditions Imago, 1984, p. 121.

Voir aussi
Bibliographie
Alain Cugno, Libellules, Klincksieck, collection De Natura Rerum, 2016.
Alain Cugno, La Libellule et le philosophe, L'Iconoclaste, 2011 ; réédition poche, Albin
Michel, coll. Espaces libres, 2014.
BECHLY, G. (1996a): Morphologische Untersuchungen am Flügelgeäder der rezenten
Libellen und deren Stammgruppenvertreter (Insecta ; Pterygota ; Odonata) unter
besonderer Berücksichtigung der Phylogenetischen Systematik und des Grundplanes der
*Odonata - Petalura, spec. vol. 2 : 402 pp, 3 tabls, 111 figs (revised edition with 60 pages
English appendix on the phylogenetic system of odonates).
GRAND, Daniel et BOUDOT, Jean-Pierre 2006. Les libellules de France, Belgique et
Luxembourg - Mèze : Biotope, 2006 Coll. Parthénope.
DIJKSTRA, Klaas-Douwe Benediktus ; illustrations : R. Lewington ; traduction et
adaptation française : Philippe Jourde, Guide des libellules de France et d'Europe,
Delachaux et Niestlé, Paris 2007, (ISBN 978-2-603-01639-8), Réimpression 2011, 320 p.

Articles connexes
Odonatoptera (classification
phylogénétique) Sur les autres projets Wikimedia :
Paléontologie des Odonatoptera Odonata (https://commons.wikimedia.org/
Liste des libellules de Bretagne wiki/Category:Odonata?uselang=fr), sur
Liste des odonates du canton de Genève
Wikimedia Commons

Odonata, sur Wikispecies


Liens externes

Taxinomie
(en) Référence Animal Diversity Web : Odonata (http://animaldiversity.org/accounts/Odon
ata/) (consulté le 31 juillet 2017).
(en) Référence Arthropoda Species Files (http://arthropoda.speciesfile.org) : Odonata (htt
p://arthropoda.speciesfile.org/Common/basic/Taxa.aspx?TaxonNameID=1171264) (consulté
le 31 juillet 2017).
(fr) Référence Catalogue of Life : Odonata (http://www.catalogueoflife.org/col/search/all/k
ey/Odonata/match/1) (consulté le 31 juillet 2017).
(en) Référence Fauna Europaea : Odonata (http://www.faunaeur.org/full_results.php?id=1
1831) .
(fr+en) Référence ITIS : Odonata Fabricius, 1793 (http://www.cbif.gc.ca/acp/fra/siti/regard
er?tsn=101593) (+ version anglaise) (consulté le 31 juillet 2017).
(en) Référence NCBI : Odonata (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/Taxonomy/Browser/wwwtax.
cgi?lin=s&p=has_linkout&id=6961) (consulté le 31 juillet 2017).
(en) Référence Tree of Life Web Project (http://tolweb.org/tree/phylogeny.html) : Odonata
(http://tolweb.org/Odonata) (consulté le 31 juillet 2017).
(en) Référence Paleobiology Database : Odonata Fabricius 1793 (https://paleobiodb.org/c
lassic/basicTaxonInfo?taxon_no=71353) (consulté le 31 juillet 2017).
(en) Référence uBio : Odonata Fabricius, 1793 (http://www.ubio.org/browser/details.php?
namebankID=544391) (consulté le 31 juillet 2017).
(en) Référence UICN : taxon Odonata (http://www.iucnredlist.org/apps/redlist/search/quic
k?x=0&y=0&species=true&subspecies=true&stocks=false&text=Odonata) (consulté le
31 juillet 2017).
(en) Référence World Register of Marine Species : taxon Odonata (http://www.marinespeci
es.org/aphia.php?p=taxdetails&id=404096) (+ liste familles (http://www.marinespecies.org/aphia.ph
p?p=taxlist&rComp==&tRank=140&vOnly=yes&marine=no&pid=404096) + liste genres (http://www.marinespe
cies.org/aphia.php?p=taxlist&rComp==&tRank=180&vOnly=yes&marine=no&pid=404096)) (consulté le
31 juillet 2017).

Autres

(en) Référence Fonds documentaire ARKive (http://www.arkive.org/) : Odonata (http://ww


w.arkive.org/search.html?btnG.x=0&btnG.y=0&output=xml_no_dtd&client=arkive-info&site
=arkive-info&ie=utf8&oe=utf8&num=20&proxystylesheet=tng-search&filter=0&getfields=*&
q=Odonata) .
Liste des odonates connus pour le monde entier (http://www2.ups.edu/biology/museum/w
orldodonates).
Société française d'Odonatologie (http://www.libellules.org).
Présentation d'une vingtaine d'espèces sur Flickr (https://www.flickr.com/groups/1115226
@N20/pool/with/3544846893/).
(en) Référence EOL : Odonata (http://www.eol.org/pages/952) .
« Odonates » est le nom de la piscine intercommunale de Drusenheim (Pays Rhénan,
1
Nord-Est de l'Alsace)
1. https://www.dna.fr/edition-de-haguenau/2019/09/20/la-piscine-odonates-ouvrira-debut-
octobre (https://www.dna.fr/edition-de-haguenau/2019/09/20/la-piscine-odonates-ouvrira-de
but-octobre)

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