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En France, il existe trois variétés : blanc, rose et violet, à noter l’ail rose se
conserve plus longtemps. A Okinawa,, « l’ile japonaise des centenaires »,
pousse une variété endémique d’ail noir.
L’Allium sativum est un remède naturel millénaire, et sans aucun doute le plus
polyvalent. Son utilisation médicinale est mentionnée dans nombre de textes
anciens : chinois, babyloniens, égyptiens, grecs, romains…En Chine, l’ail
constitue toujours, avec le poireau et le gingembre, le trépied de la cuisine.
L’historien antique Hérodote rapporte que les pharaons de la quatrième
dynastie distribuaient des radis, des oignons et de l’ail aux ouvriers attelés à la
construction des pyramides afin d’accroitre leur force et leur endurance. Des
papyrus remontant à 1500 ans avant notre ère font état de 22 traitements à
base d’ail. On s’en servait, entre autre, pour chasser les vers chez les enfants
en leur faisant porter des colliers composés de gousses enfilées comme des
perles. Curieusement, cette coutume était encore bien vivaces dans certaines
de nos campagnes il y a quelques décennies à peine.
Dans la Grèce antique, les athlètes en consommaient largement pour préparer
les jeux qui se tenaient à Olympie. Dioscoride, l’un des médecins de cette
époque, prétendait que la consommation de 2 gousses d’ail chaque jour
pendant un mois pouvait anéantir les bactéries intestinales nuisibles et
promouvoir la croissance des bonnes bactéries. Les phytothérapeute du
21éme siècle ne le démentent pas.
Les Romains invitaient leurs légionnaires à consommer ce condiment pour
avoir plus des courage au combat et le considéraient également comme un
puissant tonique sexuel. Dans un même but, Henri IV, le bien nommé « Vert
galant », en exigeait sur sa table chaque matin.
Sa composition
L’ail contient 64% d’eau, 28% d’hydrates de carbone, 6% de protéine,
pratiquement pas de lipides, quelques vitamines (A, B1, B2, B3 et C) et de
nombreux minéraux et oligo-éléments, dont les plus bénéfiques sont le brome,
le calcium, le cuivre, le fer, l’iode, le magnésium, le manganèse, le potassium,
le zinc et, surtout le sélénium et le germanium.
Ses vertus
Il éloigne le cancer
D’importantes études réalisées surtout en Chine, en Italie et aux États-Unis
ont montré que les individus qui mangeaient de l’ail en quantité suffisante
étaient beaucoup moins exposés aux risques de certains cancers, et
notamment à ceux de l’estomac, du sein, du côlon, de la vessie et de la peau.
Certaines substances complexes comme l’allylcystéine ou le trisulfure de
diallyle entraveraient les mutations des cellules saines en cellules
cancéreuses et seraient même capables de détruire celles qui sont déjà
devenues nocives pour l’organisme.
Il protège le foie
Il a été démontré que l’ail protège les tissus de cet organe vital vis à vis de
diverses substances toxiques et autres métaux lourds tels que le
bromobenzène, l’aflatoxine ou encore de certains composants de la fumée de
cigarette ou des gaz d’échappement.
Il retarde le vieillissement
Grâce à ces nombreux antioxydants.
Il favorise la fertilité
L’ail favorise la production de spermatozoïdes.
Il repousse la fatigue
Il assainit la flore intestinale
En détruisant les bactéries nuisibles tout en épargnant les bactéries
bénéfiques, contrairement aux antibiotiques chimiques. Il atténuerait les
flatulences et soulagerait les coliques ainsi que la dyspepsie, un trouble
digestif concernant surtout l’estomac.
Pour la goutte
Manger chaque matin 1 ou 2 gousses d’ail tout en freinant bien sur sa
consommation d’alcool ou d’aliments riches en purines, comme les abats.
Contre indications
L’ail cru à fortes doses peut se révéler toxique. Il peut provoquer, entre autres,
de brulures d’estomac, de la diarrhée, des gaz intestinaux ou des éruptions
cutanées. Au dessus de 8 gousses par jour, on pourrait même courir un
sérieux risque de souffrir d’une grave hémorragie gastrique.
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Allium sativum
Liliacée
HISTORIQUE
Plante condimentaire connue depuis la plus haute antiquité. C'était " la thérique des
paysans " de Galien. Les Egyptiens l'élevèrent au rang de divinité. Les ouvriers qui
édifièrent les Pyramides recevaient chaque jour une gousse d'ail pour ses vertus
tonifiantes et antiseptiques. L'ail fut considéré comme une panacée chez les
Hébreux, les Grecs et les Romains.
Pour ce que l’on en sait dans la mesure où les origines de cette plante inestimable se
perdent dans la nuit des temps, l’ail serait d’abord apparu dans les vastes plaines
d’Asie Central. Eh oui, l’ail n’est pas contrairement à ce qu’on imagine communément
une plante des pays chauds mais d’abord un bulbe des pays froids et en l’occurrence
des steppes gelées de l’actuel kazakhstan.
A l’origine, l’ail pousse en touffes comme de la mauvaise herbe alors que c’est loin
d’en être une (c’est d’ailleurs le cas aussi de l’Achillée qui pousse à l’état naturel
comme du chiendent). C’est un bulbe qui pousse à l’état sauvage et qui a besoin de
peu d’eau et de nutriments pour se développer. Peu de chaleur aussi.
Au début de notre ère, dés 3000 ans avant JC, l’ail est essentiellement connu en
Chine pour ses vertus médicinales et culinaires. Les scribes du royaume de Sumer et
la ville d’Ur en vantent aussi les bienfaits sur des tablettes d’argiles dont on
retrouvera quelques exemplaires à Ninive et dans les vestiges de la grande
bibliothèque d’Hammurabi.
Il y est dit que l’ail rend immortel et que c’est grâce à lui que le grand héros
sumérien Gilgamesh retrouva Utnapishtin, le survivant du grand déluge de la Bible
qui vivait encore grâce au pouvoir de l’ail.
Toutes les grandes civilisations ont domestiqué l’ail et ont bénéficié de ses
bienfaits. Ainsi les Egyptiens distribuaient des gousses entières à leurs esclaves
des pyramides pour les fortifier. On a retrouvé aussi de nombreux colliers d’ails
dans des sarcophages de pharaons. Ce sont les égyptiens qui ont découverts les
propriétés de l’ail contre les morsures de serpents en frottant des gousses sur la
plaie pour neutraliser le venin.
D’après la Bible et le Livre de l’Exode, la manne céleste qui tombait du ciel pour
nourrir les milliers d’Hébreux fuyant l’Egypte et les troupes du pharaon Ramsès II
aurait été composé entre autre d’oignons et d’ail, mets dont les Hébreux auraient
largement eut le temps de plaindre l’abondance au cours des quarante d’ans
d’errance dans le désert que dura leur exode vers la Terre Promise.
Pourtant, le livre des Nombres dit aussi que durant cet exode l’ail apporta de
grands bienfaits aux tribus de l’exode et qu’il soigna de nombreux maux et de
nombreuses blessures en particulier dues aux serpents.
Les grecs pour leur part appelaient l’ail la rose de puanteur ou rose puante. Les
grands médecins et philosophes grecs citent très tôt les bienfaits thérapeutiques
de l’ail que l’on fait distribuer aux soldats, aux ouvriers et aux esclaves pour les
renforcer et les aider à lutter contre les maladies et les blessures.
Comme on va le voir pour les romains, l’ail jouissait dans ces deux grandes
civilisations à la fois d’une réputation remarquable et d’une sorte de défiance sans
doute due à son odeur repoussante aux aigreurs qu’elle provoque à l’estomac quand
on la consomme en grande quantité. Ainsi chez les grecs et les romains, l’ail était-il
réservé prioritairement aux classes pauvres et aux militaires.
Pour les classes riches, ce condiment bien que bénéfique avait une odeur trop
repoussante et certains poètes et médecins comme Horace ont prétendus que l’ail
était plus empoisonné encore que la ciguë.
Calories 138
Eau 63
Protides 6,7
Lipides 0,10
Glucides 28
Cellulose 1
Zinc 1
Manganèse 1,3
Vitamine C 18 mg
Vitamine B1 0,18
Propriétés :
Usage interne :
- stimulant opératoire
- ralentisseur du pouls
- antispasmodique
- rééquilibrant glandulaire
- diurétique
- antigoutteux, antiarthritique
- apéritif
- stomachique (active la digestion des aliments mucilagineuxet visqueux)
- carminatif
- fébrifuge
Usage externe :
- coricide
- vulnéraire
- antiparasitaire
- antalgique
- résolutif
- tonique général
Indications
Usage interne :
- spasmes intestinaux
- atonie digestive
- fatigue cardiaque
- certaines tachycardies
- varices, hémorroïdes
- déséquilibres glandulaires
- oligurie
- hydropisie
- lithiase urinaire
- blennorragie
- manque d'appétit
- digestions pénibles
- flatulences
- parasites intestinaux (ascaris, oxyures, toenia)
Usage externe :
- surdité rhumatismale
Mode d'emploi :
Usage interne :
- ail dans la salade et l'alimentation d'une manière habituelle (de préférence cru).
- une oude deux gousses d'ail chaque matin (goutte, santé générale) et d'une
manière habituelle, chaque jour aux repas.
- teinture d'ail au 1/5 : 10 à 15 gouttes, 2 fois par jour (30 gouttes au maximum par
jour), par cures discontinues de quelques jours.
- contre le ténia : râper les gousses d'une grosse tête d'ail, faire bouillir 20
minutes dasn du lait. Boire chaque matin à jeun jusq'à expulsion du ver (ne rien
manger avant midi)
Usage externe :
- désinfection des plaies, ulcères : solution de suc d'ail à 10% avec 1 à 2%d'alcool -
ou de compresses de vinaigre d'ail : 30 g d'ail râpé macérés 10 jours dans 1/2 littre
de vinaigre.
- gale, teigne : frictions avec le mélange : une partie d'ail et deux d'huile camphrée.
Ou lavages avec une décoction d'ail (6 gousses pour un litre d'eau)
- contre les otalgies : introduire dans l'oreille une gaze (assez longue pour pouvoir
être retirée) contenant une demi-gousse d'ail râpé mélangée à de l'huile
- coricide (cors, verrues, durillons) : piler une gousse d'ail, appliquer le soir en
cataplasme frais, en protégeant par un sparadrap, la peau saine. Résultat en moins
de 15 jours. Ou bien : appliquer une gousse d'ail chaude cuiteau four. Renouveler
plusieurs fois par jour (protéger la peau saine). Ou encore : couper une rondelle
d'ail, appliquer sur le cor et maintenir. Renouveler matin et soir.
N.B.
2 - Selon une coutume ancienne, des gousses d'ail placées dans un sachet fixé au
cou du patient, ou appliquées et maintenues sur le nombril , sont vermifuges et
préventives des maladies infectieuses. Procédé apparemment bizarre portant
toujours à sourire les pseudo-scientistes en faux col omniscients. Mais efficace et
nous en connaissons maintenant la raison : l'extraordinaire pouvoir de pénétration
de l'essence à travers les téguments.
6 - En 1914, des essais furent entrepris au Metropolitan Hospital de New York sur
plus de mille cas de tuberculose. Dès 56 genres de traitements appliqués, les
résultats obtenus par l'ail furent les meilleurs en tant que thérapeutique végétale .
Débarasser les bulbes des écailles foliacées qui les entourent, couper en morceaux
et faire mécérer 10 jours dans l'alcool en agitant fréquemment. Exprimer. Filtrer.
L'ail est certainement l'un des aliments-médicaments qui furent les plus étudiés,
empiriquement, cliniquement, scientifiquement.
Dans ce domaine comme dans de nombreux autres, tous ces traitements négligés au
profit de la sacro-sainte molécule nouvelle qui conduit à beaucoup plus de désastres
qu'à des guérisons (cf. les statistiques... dignes de crédit) devraient d'urgence ête
réhabilitées.
C. Action anticancer : les auteurs s'accordent sur l'effet préventif. Mais Nigelle
fait état d'expériences pratiquées aux Etats-Unis (Ohio) : des injections de cellules
fraîches de sarcome ont été faites à des souris. Auparavant, les principes de l'ail
avaient été administrés à un certain nombre de souris, qui résistèrent aux effets
de l'inoculation, si bien qu'après 180 jours d'observation, elles étaient toujours en
vie, alors que les animaux non traités à l'essence d'ail périrent dans les 16 jours.
Ces quelques notions exposées, on devra se rappeler que l'ail est d'une telle
puissance qu'il doit être employé avec modération en fonction de la tolérance
personnelle. Il ne convient pas de suivre l'attirude de certaines eprsonnes qui
pensent encore " faire mieux " en multipliant les doses presque par 5 ou 10, et
parfois plus. Les doses-matraques ne sont, en effet, pas plus indiquées en phyto-
aromathérapie qu'en chimiothérapie. On se souviendra aussi qu'au-delà d'un certain
seuil, les effets s'amoindrissent, deviennent nuls ou même s'inversent
*Quelques recettes utiles :
Prendre une gousse d'ail par personne et mettre dans une casserole avec un
peud'eauu, de sel et de poivre. Faire bouillir à feu doucx. Lorsque les gousses sont
bien cuites, les écraser complètement. Prendre alors un oeuf pour deux convives, les
casser et les battre avec un peu d'eau. Incorporer peu à peu une partie de la purée
d'ail et verser le tout dans la casserole, sur le reste d'ail et verser le tout dans la
casserole, sur le reste, en remuant. Ajouter la quantité d'eau tiède suffisante.
Couvrir et chauffer à feu doux. Mettre dans la soupière des croûtons frits au
beurre blond et verser le liquide en le passant.
Cette soupe s'avère un tonique vasculaire et du système nerveux. Elle est indiquée
en hiver, contre les affections respiratoires (asthme, bronchites, rhumes...).
On est déjà beaucoup plus dans le vent lorsqu'on parle de potage, qui n'est jamais
d'ailleurs (le même Larousse dixit) qu'un " bouillon dans lequel on a mis du pain, ou
toute substance alimentaire ".
Mais quand on est un vrai moderne, on ne parle plus que de consommé (comme les
menus très distingués), qu'ils soient au porto ou aux tomates, quand il s'agit
seulement - selon le Larousse encore que j'ai décidément fait travailler beaucoup
ces temps derniers - d'un " bouillon riche en sucs de viande ".
Dans 2 litres d'eau, faire infuser une dizaine de feuilles de sauges écrasées. Y
ajoute sel, poivre, quelques gousses d'ail (selon les goûts) et u nverre d'huile
d'olive. Faire bouillir 10 minutes et verser sur des tranches fines de pain de
campagne (genre pain Poilâne, ce pain au levain s'avérant - bien entrendu - meilleur
lorsquon le rrend rassis).
b) pour remplacer la colle frotter, avec une gousse d'ail, les parties à recoller.
Ajuster et maintenir;
PRINCIPAUX SYMPTOMES
Dermatologie :
•Piqûres de moustiques
•Piqûres de puces
•Piqûres de teigne
•Certains herpès
•Traitement de la gale
•Cors
•Durillons
•Verrues
•Pieds d’athlète
•Muguet labial
•Muguet buccal
•Mycose des pieds, des orteils avec ou sans décollement des ongles des orteils.
•Mycoses et infections vaginales (attention ici à la dilution qui doit être maximale.
Pour le traitement des parties génitales ou des muqueuses qui sont des zones à peau
très fine et nervurée, préférer l’huile essentielle de tea-tree. C’est tout le
problème de l’huile essentielle d’ail : elle est redoutablement efficace mais
tellement puissante que mal utilisée elle peut provoquer plus de mal que de
bienfaits.
•Muguet vaginal
•Certaines mst
•Cystites
•Urétrites
•Inflammations de la vessie
Système cardiaque :
Attention : Les huiles essentielles ne sauraient en aucun cas traiter une pathologie
cardiaque. En conséquence tout trouble installé et vif avec douleurs thoraciques
même légère, fourmillement et / ou essoufflement doit vous inciter à consulter
immédiatement.
Système digestif :
•Indigestions
•Intoxications
•Ballonnements
•Flatulences
•Nausées
•Coliques
•Diarrhées
•Gastroentérites virales
• L’huile essentielle d’ail est une arme redoutable contre les intoxications
alimentaires dues aux aliments avariés : vous l’utiliserez pour combattre les suites
d’une intoxication modérée à forte avec spasmes, diarrhées et vomissements,
grande soif et peu de fièvre. ATTENTION : les intoxications graves type ingestion
de champignons toxiques avec crampes abdominales, hallucinations et grand
engourdissement glacé du corps doivent impérativement faire l’objet d’un lavage
estomac et d’un suivi hospitalier. De même tout symptôme d’intoxication ne cédant
pas rapidement même un peu avec l’huile essentielle, en particulier le symptôme de
diarrhée qui peut conduire à la déshydratation rapide des enfants et des personnes
âgées doit vous inciter à consulter impérativement un médecin.
Allium proviendrait du celte all qui signifie brûlant. Le secret de la plante vient
essentiellement de sa saveur piquante et chaude qui selon les Anciens et maintenant
selon la médecine tibétaine, éloignerait le démon, les vampires, les mauvais esprits.
Hermès, ne conseille-t-il pas à Ulysse de se munir d'ail pour visiter Circé la sorcière
? Les suédois,ne combattent-ils pas les trolls en répandant de l'ail dans les étables
et ceci se passe de nos jours.
Donc l'allicine est une force puissante. Elle génère autour d'elle des enzymes, des
vitamines A, B, C et de l'interféron, substances qui aident les
dépendancessatellitaires de l'âme : en l'occurence les systèmes nerveux et
immunitaire. L'élixir d'ail est donc indiqué contre toutes les formes de pestes,
contre le choléra, le typhus, la typhoïde, la toux, l'enrouement, l'extinction de voix,
l'emphysème pulmonaire, le catarrhe bronchique, la tumeur, la gangrène, l'obésité,
l'alcoolisme, le diabète, l'hypoglycémie, les vers intestinaux, l'eczéma, les dartres.
Il atténue les lésions vasculaires, le psoriasis, les méfaits de la nicotine, des métaux
lourds (cadmium), des miasmes pétrochimiques ou de la radioactivité.
Allium sativum sauvegarde tout sauf les hypotendus (car il fait baisser la tension).
Nous avons déjà vu (dans le premier tome) la particularité des plantes à bulbes. Le
bulbe peut rester huit mois dans un grenier et quatre mois seulement en terre. Il
détient la maîtrise de l'élément terre comparativement à beaucoup d'autres
plantes.Cet élément terre correspond chez l'homme au chakra gonadique. Cette
Liliacée est donc indiquée pour renforcer les organes nourris par ce chakra. A
savoir le colon envahi par les gaz et les poisons, les organes génitaux improductifs.
Au même titre que l'ail rendait musclé les Egyptiens pour bâtir les pyramides,
l'élixir d'Ail sauvage rend les couples fertiles et protège les travailleurs de force
de la hernie inguinale.
Ces commentaires nous laissent entrevoir la signature planétaire de l'ail. Pour ceux
qui hésitent, il suffit d'observer sa fleur : elle est hexagonale et possède six
sépales. Elle est régie par Tiphéret, l'intelligence solaire qui lui confère ses vertus
en la dotant d'un raon blanc purificateur légèrement entaché de violet.
Mos-clés : L'exclamation " Hail " indique souvent une douleur physique ou
psychique; parfois une contrariété, souvent une appréhension ou un trac. On peut
ajouter que cette exclamation est le cri de l'âme. Phonétiquement, le "I" anglais
signifie le Je fançais; ou encore l'auteur de l'action décrite par le verbe. Le Je
serat-il en fait à la hauteur du défi ? La réponse est oui si du moins, le JE dispose
d'un flacon d'élixir d'Ail sauvage.