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FEVRIER 2019
SOMMAIRE
1. INTRODUCTION..........................................................................................................................2
1.1. But des termes de référence.................................................................................................2
1.2. But des Termes de Références...............................................................................................2
1.3. Procédure d’attribution.........................................................................................................2
1.4. Nature du projet et niveau d’étude.......................................................................................3
1.1. Présentation de l’entreprise..................................................................................................3
2. CONTEXTE DE L’ETUDE...........................................................................................................4
2.1. Localisation géographique et administrative........................................................................4
2.2. Contexte juridique et institutionnel......................................................................................4
2.2.1. Contexte juridique.............................................................................................................4
2.2.2. Contexte institutionnel......................................................................................................5
2.3. Contexte environnemental....................................................................................................6
2.3.1. Relief..................................................................................................................................6
2.3.2. Climat.................................................................................................................................6
2.3.3. Sol.......................................................................................................................................6
2.3.4. Hydrographie.....................................................................................................................7
2.4. Contexte économique............................................................................................................7
2.4.1. Secteur primaire.................................................................................................................7
3. OBJECTIFS DE L’ETUDE............................................................................................................8
3.1. Objectif global........................................................................................................................8
3.2. Actions spécifiques à mener..................................................................................................8
3.3. Résultats attendus.................................................................................................................9
4. MISSION DU CONSULTANT....................................................................................................10
5. RAPPORT D’ETUDE..................................................................................................................11
6. CONSULTATIONS ET AUDIENCES PUBLIQUES.................................................................14
7. OBLIGATIONS...........................................................................................................................14
7.1. Obligations du Promoteur...................................................................................................14
7.2. Obligation du Consultant.....................................................................................................14
7.2.1. Documents.......................................................................................................................14
7.2.2. Composition de l’équipe d’étude....................................................................................15
7.3. Confidentialité.....................................................................................................................15
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8. ECHEANCIER DE L’ETUDE.....................................................................................................15
MEMOIRE DESCRIPTIF DU PROJET.........................................................................................16
1. PRESENTATION DU PROMOTEUR........................................................................................17
2. Description du projet....................................................................................................................17
PROGRAMME DES CONSULTATIONS PUBLIQUES..............................................................22
1. PROGRAMME DES CONSULTATIONS PUBLIQUES............................................................23
2. OBJECTIFS DES CONSULTATIONS PUBLIQUES.................................................................23
3. ORDRE DU JOUR DES CONSULTATIONS DU PUBLIC.......................................................24
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1. INTRODUCTION
Les Termes de Références ont pour objectif de décrire la portée de l’étude d’impact
environnemental et social envisagé, et de donner au Consultant un guide de référence
couvrant l’ensemble des préoccupations environnementales et sociales associées à
l’implantation et l’exploitation du projet. Ils répondent ainsi à une démarche de mise en
conformité par rapport à la réglementation environnementale en vigueur.
3
- une usine de production de briques de qualité élevée à utiliser comme matériau de
construction.
L’arrêté N°00001/MINEPDED du 08 Février 2016 fixant les différentes catégories
d'opérations dont la réalisation est soumise à une évaluation environnementale stratégique
ou à une étude d'impact environnemental et social classe en son article 4 (IV-G), ce projet
comme devant être soumis à une EIES détaillée,
info@cemtechglobal.com
Siège social : Douala
Montant de l’investissement : 54.560.000 € (EUROS)
Forme Juridique : SA
CAMEROUN / Zone industrielle organisée de
Lieu d’implantation :
KRIBI
Broyage de ciment, production de pouzzolane à
Activité Principale :
partir d’argile cuite et de briques
2. CONTEXTE DE L’ETUDE
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Dans le cadre juridique et réglementaire national, on peut sans être exhaustif, citer :
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Toutefois, le Consultant pourra également identifier d’autres textes y relatifs tant au
niveau international que national.
Au plan institutionnel, les départements ministériels directement concernés par cet étude
sont :
2.3.1. Relief
La ville de Kribi est bâtie sur de faibles altitudes constituées essentiellement de roches
sédimentaires que l'on retrouve dans la plaine côtière. Elle tire sa particularité du fait qu'elle
est coincée entre l'Océan Atlantique à l'ouest et le socle continental à l'Est. Cette disposition
géographique lui offre des avantages naturels ; terre de typologie côtière variée; aussi peut-on
relever la présence des côtes rocheuses, des côtes sableuses, les côtes vaseuses, etc.
2.3.2. Climat
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superficie est de 475 000 km2. Le climat équatorial est dominant dans le sud du pays et sur la
côte de l'océan Atlantique qui constitue l’ouest du pays. Par conséquent, cette région a un
climat chaud, avec pluies abondantes et humide. Vers le nord, le climat devient sec et la
quantité de précipitations diminue considérablement. La ville de Kribi, où le projet est
planifié, a un climat de type tropical. La température moyenne annuelle de la ville de Kribi est
de 23,7°C. La précipitation annuelle moyenne est de 1643mm.
2.3.3. Sol
Les sols dans la zone de projet sont composés principalement des sols ferralitiques et
ferralitiques jaunes. Les principales caractéristiques de ces sols sont les suivantes :
2.3.4. Hydrographie
Le réseau hydrographique dans la région de Kribi est dominé par les fleuves Ntem,
Nyong, Kienke, Lokoundje et Lobé. Le site du projet quant à lui est dominé par les rivières
Ngoye, Wamié et Nzami.
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La pêche artisanale continentale est pratiquée dans les cours d’eau qui arrosent la ville (la
Lobé et la Kienké) le plus souvent par les populations autochtones et pour les besoins de
subsistance. Les femmes y jouent un rôle essentiel au niveau de la capture des crevettes.
L’aquaculture est une activité également très marginale à Kribi et se caractérise par des
rendements faibles, de nombreuses pertes après récoltes du fait de la non maîtrise des
techniques de conservation par les producteurs.
Peu développé et non structuré, les activités artisanales à Kribi souffrent d’un certain
nombre de problèmes parmi lesquels:
Il est essentiellement représenté dans la ville de Kribi par les activités commerciales et
financières. Les contraintes relatives au développement du secteur tertiaire dans la ville de
Kribi sont nombreuses. Il s’agit de:
Le potentiel touristique de la ville réside surtout au niveau de ses plages de sable fin
auxquelles s’ajoutent d’autres curiosités telles que les sites touristiques comme:
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- Les campements pygmées de la Lobé et de Makouré.
- Le phare de Mboa manga;
- Le village des pêcheurs de Londji ;
- Le débarcadère moderne de Mboamanga ;
- Etc…
3. OBJECTIFS DE L’ETUDE
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de s’assurer une protection optimale de l’environnement et d’une utilisation durable des
ressources naturelles dans les zones des projets.
4. MISSION DU CONSULTANT
Pour atteindre les objectifs sus visé, le consultant aura donc pour mission de :
- Faire un inventaire et une analyse détaillée des déchets générés par la société, en
faisant ressortir leurs caractéristiques, leurs impacts positifs et négatifs sur les
différentes composantes de l’environnement, voir aussi le mode actuel de gestion
et proposer des techniques et mesures adéquates pour une meilleure traçabilité
desdits déchets ainsi qu’une gestion écologiquement durable ;
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Présenter les activités de l’entreprise en mettant un accent sur le circuit matières, les
inputs, les produits et les déchets générés ;
Procéder à l’inventaire de tous les produits chimiques qui seront utilisés dans
l’entreprise, évaluer les risques potentiels liés à leur utilisation, la dangerosité et
l’écotoxicité ;
Proposer des mesures correctives et préventives pour permettre de corriger les impacts
négatifs et les mesures de bonification des impacts positifs, puis évaluer le coût des
mesures proposées ;
Elaborer le plan de gestion de l’environnement (PGE) incluant les composantes du
milieu récepteur affecté, les mesures correctives et préventives, les indicateurs de
performance de la mise en œuvre et de suivi, les responsabilités, les alternatives et les
coûts associés, et proposer des mécanismes de suivi de ce PGE ;
Suivre les procédures administratives relatives à la validation du PGE ;
Ces différentes tâches seront consignées dans un rapport rédigé selon le contenu prescrit par
la réglementation.
5. RAPPORT D’ETUDE
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5.2. Description du site de l’environnement du projet
Il sera question de délimiter la zone d’étude et de décrire les composantes des milieux
naturels et humains. En croisant les activités du projet et les éléments du milieu, les impacts
seront identifiés. Ils seront ensuite caractérisés et évalués.
Pour limiter la collecte des données non pertinentes, le consultant devra se fixer des
limites. Celles-ci devront se fonder sur la partie éventuelle d’interaction maximale entre le
projet et l’environnement. Les limites retenues devront être justifiées. Ainsi on devra
distinguer les zones d’impacts directs, et des zones d’impacts indirects sur les milieux naturels
et humains. Les principales limites qui doivent être établies sont : les limites spatiales,
temporelles et juridiques ; les éléments de l’écosystème et les éléments sociaux d’étude
devront décrire de la façon la plus détaillée possible les composantes de l’environnement, par
rapport aux enjeux et aux impacts du projet. Cette description fera ressortir :
Environnement physique
Il sera question de faire une revue des données sur la géologie, la topographie, les sols, le
climat et la météorologie, l’hydrographie de surface et de nappe, l’hydrodynamique, les
sources actuelles de pollutions, les charges polluantes liquides, la qualité de l’eau (paramètres
physicochimiques, matières en suspension) dans zone du projet.
Environnement biologique
Le consultant fera une étude sur la flore, faune, espèces rares, habitats sensibles, sites naturels
d’un intérêt particulier, espèces d’importance médicale et/ou commerciale et espèces
potentiellement nuisibles directement ou en tant que vecteurs.
Environnement socioéconomique
Il sera question de faire ressortir les données sur la démographie, les groupes ethniques, les
structures communautaires, l’emploi, les savoirs endogènes, l’utilisation des sols, la
distribution des revenus, des biens et services, les traditions, les activités de développement
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prévues ou en cours et les infrastructures socioéconomiques. Une attention particulière devra
être faite sur les projets à mettre en œuvre dans un avenir proche et les retombés financiers.
Il est question ici d’analyser les impacts directs et indirects du projet sur l’environnement et
en particulier, sur les ressources et milieux naturels, sur les sites et les paysages, les équilibres
biologiques, le cadre de vie de la population sur l’hygiène, et la salubrité publique et sur la
commodité du voisinage (conséquences du bruit, des vibrations, des odeurs et des émissions
lumineuses et autres). Les paramètres qui feront l’objet des analyses sont :
Les impacts sur l’environnement naturel :
Impact sur le milieu marin et terrestre,
Impacts sur les ressources en eau,
Impact sur le site d’exploitation
Impact sur les écosystèmes
Impact par les nuisances sonores et autres types d'émissions
L’impact sur l’environnement humain
Impact sur l’occupation du sol
.Impact sur l’environnement économique de la région
.Impact sur l’organisation sociale de la population
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L’étude évaluera l’importance des impacts en utilisant toute méthode appropriée. L’évaluation
portera uniquement sur les impacts significatifs. A cet effet, il est conseillé au consultant de
déterminer au préalable les Eléments Valorisés de l’Environnement.
Pour chaque impact identifié, l’étude devra déterminer les indicateurs et la manière dont ils
seront mesurés et suivis (méthodes, techniques, protocoles, instruments). L’étude devra
également déterminer, les mesures environnementales appropriées ainsi que leurs coûts
devront être proposés. Il s’agira surtout des mesures d’atténuation pour les impacts négatifs.
Après avoir identifié les différents impacts que le projet d’implantation et d’exploitation
d’une unité de fabrication et de reconditionnement d’agrégats pourrait avoir sur
l’environnement, le consultant proposera des mesures permettant d’atténuer, réduire ou
supprimer les impacts négatifs et de bonifier les impacts positifs.
Le public sera pris en considération dans cet audit. Plusieurs consultations seront
organisées et les procès verbaux desdites consultations, signés des parties prenantes seront
annexés au rapport final. Les parties prenantes seront :
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Une fois que les rapports de l’étude seront déposés au MINEPDED, des audiences
publiques pourraient être organisées en collaboration avec le promoteur pour faire la publicité
des résultats et des conclusions du rapport d’étude.
7. OBLIGATIONS
7.2.1. Documents
7.3. Confidentialité
Pendant et après sa mission, le Consultant sera tenu au secret professionnel.
8. ECHEANCIER DE L’ETUDE
La durée de l’étude est de trois (03) mois. Les délais de validation du rapport
provisoire par le promoteur, d’avis du Comité Interministériel de l’Environnement, de
validation par le Ministre chargé de l’Environnement, de la Protection de la nature et du
Développement Durable, ne sont pas compris dans la durée de l’étude.
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La version finale du rapport physique sera accompagnée de la version électronique sur
CD-Rom en fichier PDF, lors du dépôt dudit rapport
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MEMOIRE DESCRIPTIF DU PROJET
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1. PRESENTATION DU PROMOTEUR
info@cemtechglobal.com
Siège social Douala
Montant de l’investissement 54.560.000 € (EUROS)
Forme Juridique SA
CAMEROUN / Zone industrielle organisée de
Lieu d’implantation
KRIBI
Broyage de ciment, production de pouzzolane à
Activité Principale
partir d’argile cuite et de briques
2. Description du projet
Dans le cadre de ce projet, trois installations de production basées sur principes différentes
seront établies dans la zone industrielle de Kribi sur une superficie de 12 hectares
notamment :
- une usine de broyage de ciment ;
- une usine de production de pouzzolane à partir d’argile cuite qui sera utilisée pour
contribuer à la production de ciment ;
- une usine de production de briques de qualité élevée à utiliser comme matériau de
construction.
Il serait question d’utiliser les différentes matières premières pour produire du ciment.
Ce ciment sera conforme aux normes camerounaises.
3. PROCESSUS DE FABRICATION
3.1. Matières premières
Ciment Gypse
Pouzzolane
Clinker
Briques Argile
Coke de pétrole
Eau
pouzzolane Argile
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matériau broyé dans le broyeur aux valeurs Blaine entre 3500 – 4000 gr/cm 2, sera vendu en
vrac ou en sac de ciment.
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3.4. Production de briques
L'argile obtenue depuis la carrière est transférée sur le site de stockage de l’usine.
Ensuite, elle est versée dans les stations d’accueil situées à l'unité de préparation de la terre et
traverse les rouleaux de broyage. Pour l'homogénéisation de la matière première, l’argile
provenant des rouleaux de broyage est alimentée par l’eau de plasticité dans les malaxeurs.
L'argile devenue plastique par addition d'eau dans les malaxeurs est ensuite stockée dans le
site de repos. Après une semaine environ, la matière première est réinjectée dans la station
d’accueil où elle est posée dans des rouleaux de broyage à l'aide de convoyeurs à courroie
pour obtenir un broyage encore plus fin. L’argile provenant des rouleaux de broyage arrive au
malaxeur circulaire et si nécessaire, elle est alimentée par de l’eau de plasticité pour une
dernière fois et envoyée à la presse à vide. La boue vidée de son air par la presse à vide est
posée dans le moule à l’aide d’hélices. Ici elle subit le formage, et la pâte est dimensionnée à
l’aide de découpeur automatique. Les briques façonnées sont ensuite alignées sur les stands de
séchage pour le séchage artificiel. Les briques restées d'environ 24 heures pour le séchage
sont, après avoir complètement éliminées de leur humidité, posées dans le four par les wagons
de cuisson. Les briques sont cuites à environ 1050 ° C. La chaleur obtenue pendant le
refroidissement des briques est orientée vers l'unité de séchage à l’aide de ventilateurs pour
sécher les briques humides. Ainsi, l'énergie thermique résiduelle est réutilisée. Les briques
seront produites dans les dimensions de 390 mm, 190 mm, et 135 mm. Une fois la production
commencée, la fabrication de briques des tailles souhaitées peut être réalisée conformément
aux demandes. Ces briques sont mises à la vente soit emballées soit dans des remorques de
ciment.
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Les stades de la fabrication de briques comprennent les principales rubriques suivantes.
Modelage
Séchage
Cuisson
4. Capacité du projet
Les capacités projetées des installations prévues dans le cadre du projet sont les suivantes:
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PROGRAMME DES CONSULTATIONS
PUBLIQUES
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Heure de
Date Public concerné Lieu
réunion
Délégués départementaux
(MINEPDED, MINMIDT MINEE, Délégations
08h-12h
MINCOMMERCE, MINDCAF, départementales
MINSANTE, port de kribi)
18/08/2019
20/08/2015 Chefferie de ….
10h-12h Populations locales
21/08/2015 Chefferie de …….
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3. ORDRE DU JOUR DES CONSULTATIONS DU PUBLIC
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