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22 décembre 2008
Autiwa
2 TABLE DES MATIÈRES
2 La Dérivation 4
2.1 Formules de dérivées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2.1.1 Dérivée d'une combinaison linéaire de fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2.1.2 Dérivée d'un produit de fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2.1.3 Dérivée d'un quotient de fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2.1.4 Dérivée d'une fonction composée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.2 Dérivée des fonctions usuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.3 Dérivée d'une fonction réciproque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
3 L'intégration 5
3.1 Primitive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
3.2 Intégration par parties . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
5 Formules de Trigonométrie 7
5.1 Formules Utiles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
5.2 Formules de linéarisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
On note C l'ensemble des nombres complexes . Un nombre complexe z est un nombre de la forme
z = x + iy avec (x, y) ∈ R2 et i déni de la façon suivante :
i2 = −1 (1.1)
Il n'y a plus à proprement parler de relation d'ordre dans C. En eet, on ne peut pas comparer deux
nombres complexes excepté en comparant leur module.
Le module de z est déni par :
(1.2)
p
|z| = x2 + y 2
(1.6a)
p
ρ= x2 + y 2
y
tan θ = (1.6b)
x
On utilise les formules (1.6b) pour passer de la forme géométrique à la forme trigonométrique .
On remarque sur la gure 1 que l'on peut aussi dénir :
y
sin θ =
ρ
x
cos θ =
ρ
En eet, ce sont simplement des applications des formules de sinus et cosinus appliquées au plan
complexe. C'est pourquoi il est souvent utile de savoir se ramener à ce plan qui permet de retrouver pas
mal de choses.
x = ρ cos θ (1.7a)
y = ρ sin θ (1.7b)
On utilise les formules (1.7b) pour passer de la forme trigonométrique à la forme géométrique .
4 1.2 formules utiles et dénitions annexes
z = x − iy (1.8a)
= ρe−iθ (1.8b)
Remarque : Un petit dessin d'un plan complexe montre aisément que le conjugué de z est simplement
son symétrique par rapport à la droite des réels (à savoir la droite (0,x)).
n
(cos θ + i sin θ) = cos(nθ) + i sin(nθ) (1.9)
2 La Dérivation
la déniton mathématique de la dérivée en un point d'une fonction f est la limite du taux d'accrois-
sement quand dx tend vers 0
f (x + dx) − f (x)
f 0 (x) = lim (2.1)
dx→0 dx
0
(αf + βg) = αf 0 + βg 0 (2.2)
0
(f g) = f 0 g + f g 0 (2.3)
0
f f 0 g − g0 f
= (2.4)
g g2
3 L'INTÉGRATION 5
Soit u = g ◦ f
Un moyen mnémotechnique pour savoir dans quel ordre s'applique la composition est de dire que l'on
applique g à f . Donc on a :
g ◦ f = g (f (x)) (2.5)
0
(xn ) = nxn−1 (2.7)
n 0
(u ) = nu u 0 n−1
(2.8)
0
(cos(x)) = − sin(x) (2.9)
0
(sin(x)) = cos(x) (2.10)
1
0
(ln(x)) = (2.11)
x
u0
0
(ln(u)) = (2.12)
u
0
(ex ) = ex (2.13)
u 0
(e ) = u e 0 u
(2.14)
1
(f −1 )0 = (2.15)
f 0 ◦ f −1
3 L'intégration
3.1 Primitive
On dénit la primitive d'une fonction f comme la fonction qui, dérivée, donne la fonction f . Une
primitive est dénie à une constante près, en eet, une constante, dérivée, donne 0.
On retrouve donc les formules d'intégrations à partir des formules de dérivation
ˆ b
u0 b
dx = [ln (|u|)]a (3.1)
a u
ˆ b n+1 b
x
xn dx = (3.2)
a n +1 a
ˆ b b
un+1
n
u dx = (3.3)
a (n + 1)u0 a
6 3.2 Intégration par parties
ˆ b ˆ b
b
u0 (x)v(x) dx = [u(x)v(x)]a − v 0 (x)u(x) dx (3.4)
a a
Le principe de l'intégration par partie est de dériver toujours la même fonction pour essayer de
l'éliminer. On choisit généralement un polynôme comme fonction à dériver (en tant que fonction v donc)
et l'autre fonction, on a souvent une fonction telle que l'exponentielle, ou une fonction trigonométrique.
En eet, ces 3 fonctions ont pour caractéristiques d'être facilement intégrable et dérivable.
2 2
(x − x0 ) + (y − y0 ) = R2 (4.1)
D'une manière plus générale, on approxime la fonction f au voisinage du point x0 par la formule
suivante, valable si (x − x0 ) est petit devant 1 : (ma dénition est assurément fausse, l'idée y est, mais les
mathématiciens s'arracheraient sans doute les cheveux en lisant ce que j'écris, peut-être que si la somme
est innie la formule est exacte, à vraie dire, je suis tellement habitué à approximer que je ne sais plus,
je prend toute information pour améliorer mon formulaire)
∞
(x − x0 )n
(4.3)
X
y = f (x0 ) + f (n) (x0 )
n=1
n!
xG − xA xG − xB xG − xC 0
3 yG − yA + 4 yG − yB + 5 yG − yC = 0
zG − zA zG − zB zG − zC 0
On a donc un système de 3 équations à 3 inconnues, les 3 inconnues ayant le bon gouts d'être
découplées. On obtient donc :
5 Formules de Trigonométrie
Je ne connais par c÷ur que les formules des sections 5.1 et 5.2. Je trouve les autres à partir de celles
là en deux ou trois lignes.
Il faut penser à utiliser le cercle trigonométrique pour retrouver bon nombre de formule, notament la
valeur d'un cosinus de nombre négatif et ainsi de suite.
Je ne connais pas non plus les formules (5.1a) qu'on retrouve à partir de l'expression en exponentielle
des fonctions cosinus et sinus. Il faut juste être astucieux et voir qu'on peut factoriser par une exponentielle
pour faire apparaître l'expression.
θ
(5.1a)
iθ θ
1 − e = −2i sin ei 2
2
θ
(5.1b)
θ
1 + eiθ = −2 cos ei 2
2
1 iθ
e + e−iθ (5.2a)
cos(θ) =
2
1 iθ
e − e−iθ (5.2b)
sin(θ) =
2i
n
1 n
Pn : (6.1)
X
=
p=1
p(p + 1) n+1
1. Soit n = 1 :
1
1 1
(6.2)
X
=
p=1
p(p + 1) 1(1 + 1)
1
1 n
avec n = 1 (6.3)
X
=
p=1
p(p + 1) n+1
1. C'est juste une manière de noter une propriété de manière un peu plus formelle. On nomme la propriété P et l'indice
n est juste là pour signier que cette propriété dépend de n.
2. en clair, mettons qu'on ai la somme des entiers jusqu'à n+1, on peut dire que c'est la somme des entiers jusqu'à n à
laquelle on ajoute l'entier n+1
7 LES PROBABILITÉS 9
Or on connait le résultat de la somme jusqu'à n vu qu'on a supposé que Pn était vrai. On a donc :
n+1
1 n 1
(6.5)
X
= +
p=1
p(p + 1) n + 1 (n + 1)(n + 2)
n(n + 2) + 1
= (6.6)
(n + 1)(n + 2)
n2 + 2n + 1
= (6.7)
(n + 1)(n + 2)
(n + 1)2
= (6.8)
(n + 1)(n + 2)
n+1
1 n+1
(6.9)
X
=
p=1
p(p + 1) n+2
On peut décomposer la propriété en deux membres. Un premier membre que j'appelerais le membre
somme , un deuxième membre que j'appelerais le membre valeur . Dans la suite, si j'associe un indice k à
ces membres, c'est le membre considéré, mais pour la propriété au rang k
Pour le rang nP:
membre somme : np=1 p(p+1) 1
7 Les probabilités
7.1 Généralitées
Si A est une partie de Ω on a p(A) = card A
card Ω
p(A) = 1 − p(A)
p(A ∪ B) = p(A) + p(B) − p(A ∩ B)
n Ak
Nombre de combinaisons de k éléments parmi n C = k
=
n
n
= n!
k k! (n−k)!k!
10 7.2 Loi Binomiale
p(A ∩ B)
pB (A) = (7.2)
p(B)
a) Probabilités Totales
b) Formule de Bayes
pBk (A).p(Bk )
pA (Bk ) = n
X
(7.4)
pBi (A).p(Bi )
i=1
c) Évènements Indépendants
Soit I = [[1; n]], une famille (Ai )i∈I est dite indépendante si
(7.5)
\ Y
p( Ai ) = p(Ai )
i∈I i∈I
On résoud
df
dt
+ αf (t) = b(t) (8.1)
méthode de résolution :
Résolution de l'équation homogène (sans second membre). On résoud
df
dt
+ αf (t) = 0 (8.2)
ça nous donne :
f (t) = Ke−αt , avec K ∈ R (8.3)
Solution générale par variation de la constante . On pose :
f (t) = K(t)e−αt (8.4)
On remplace f (t) et sa dérivée dans l'équation (8.1) et on obtient :
[K 0 (t) − αK(t)] e−αt + αK(t)e−αt = b(t)
K 0 (t)e−αt = b(t)
K 0 (t) = b(t) × eαt
ˆ
K(t) = b(t) × eαt dt (8.5)
Avec une vraie fonction b, on peut intégrer pour trouver K En remplaçant (8.5) dans l'équation
(8.4) on obtient f (t)
Conditions initiales . On a une certaine égalité pour t = 0. Par exemple f (0) = 0 On remplace dans
la solution générale pour trouver la valeur des constantes qui convient.
12
y z
0 x