Vous êtes sur la page 1sur 60

Pollution générées par les déchets solides et les

techniques d’atténuation et de réduction des

nuisances
Présenté par :

Omayma ncib
Ines wesleti
GG1

1/60
Plan :

1/introduction
1-1/ définition des déchets solides
1-2/les différentes types des déchets solides
2/l’impact des déchets solides sur l’environnement
3/ les techniques d’atténuation et de réduction des nuisances
3-1/ les techniques des gestion des déchets
3-2/collecte sélective
4/traitement des déchets
5/ exemple : cas de Tunisie

2/60
1/ introduction

 De nos jours l’utilisation intensive et abusive des ressources et le


rejet des déchets dans l’environnement contribuent à détériorer notre
milieu. Ce changement a un impact sur la société, la santé humaine,
l’économie, les espèces vivantes, la production alimentaire, le
tourisme et l’écologie

3/60
1-1/définition des déchets solides

1/ Les déchets sont des matières normalement


solides ou semi-solides résultant des activités
humaines et animales qui sont indésirables ou
dangereuse
2/En considère comme déchet solide , tout
résidu d'un processus de production, de
transformation ou
d'utilisation, toute substance, matériau, produit
ou plus généralement, tout bien meuble
abandonné
ou que son détenteur destine à l'abandon »

4/60
1-2/les différentes types des déchets
solides

 Les activités humaines, quelles soient de nature agricole,


commerciale, industrielle,….donnent naissance à des quantités
importants des résidus très variées. Ces déchets peuvent être classées
selon leur origine et selon leur nature ..

5/60
déchets issus
Déchets ménagères des
Tous déchets activités
issus des activités des ménages,
des ménages, ainsi que les
déchets analogues provenant des activités industrielles,
ainsi que lescommerciales
déchets ,
Déchets industriels Tous déchets non ménagers résultant d’une activité
analogues provenant des activités
industrielle, minière…
industrielles,
Déchets dangereux Touscommerciales,
déchets qui par leurs constituants ou par les
caractéristiques des matières nocives qu’ils contiennent
olides sont susceptibles de nuire à la collectivité ou à
l’environnement
Déchets agricoles Tous déchets organiques générés directement par des
activités agricoles , agro-industrielles..
Déchets Tous déchets pouvant subir une décomposition biologique
biodégradables naturelle anaérobique ou aérobie, comme les déchets
alimentaires,
Déchets inertes Tous déchets provenant de l’exploitation des carrières,
des mines, qui ne sont pas contaminée par substances
dangereuse
Déchets médicaux Tous déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et
de traitement préventif,
6/60
Les différentes types de déchets solides

7/60
2/l’impact des déchets sur
l’environnement

 Les causes de la pollution

 A partir des années 70 nous avons commencé à être confrontés au problème


de la pollution de la planète par les déchets générés par l’homme. Ce
problème est devenu mondial, car avec les progrès et le développement de la
technologie, la quantité des déchets augmente chaque année à une vitesse
exponentielle. Les statistiques actuelles montrent que la quantité de déchets
émis par les habitants de notre planète s’élève à 4 milliards de tonnes par
année.

8/60
2/ l’impact des déchets solides sur
l’environnement

 L’élimination inconsidérée des déchets a pour conséquence la pollution


atmosphérique, de l’eau et du sol
2-1/ pollution de sol

9/60
Tableau 1: durée de vie des déchets
dans le sol
Types des déchets durée de vie moyenne

Mouchoir en papier 3 mois

Journal 3 à 12 mois

Sac en plastique 450 ans

Carte téléphonique 1000 ans

10/60
La pollution du sol par les déchets se
fait des plusieurs manières
 Les activités industrielles,
constituent une source
importante de
contamination des sols.
les rejets et les
déversements associées à
ces activités ont
contaminées les terrains
industrielles ainsi que les
sols environnants.
11/60
 La dépression des déchets
domestiques et industriels dans les
zones d’enfouissement non
contrôlés a également eu pour
conséquence de contaminer les
sols

12/60
 L’évaluation des polluants présents dans le sol peut être réalisée par des
mesures physiques ou chimiques (calcul de la concentration de polluants
comme le mercure, le cuivre, le plomb, etc.), ou bien par observation des
indicateurs biologiques : biodiversité végétale et animale, etc.

 En effet, ces polluants peuvent se retrouver dans l’air (poussières) et dans


l’eau, où ils deviennent dangereux car potentiellement absorbés par les êtres
vivants et donc avoir un impact sur leur santé :
 Exemple :- Certains métaux lourds sont connus pour leur pouvoir
neurotoxique ou cancérogène par ingestion et/ou inhalation.

13/60
 cette pollution a des effets négatifs nombreux, comme la
diminution des matières organiques ou le fait que le sol
devienne imperméable

14/60
2-2/ pollution de l’eau

 De nos jours, nous


utilisons de plus en plus
les matières qui
contaminent l’eau, dont
les déchets font partie.
Les rejets humains sont la
première cause de la
pollution de l’eau .

1/60
 Quand il pleut les déchets biodégradables se mélangent
avec du l’eau et cette réaction produit un carbone
organique qui peut provoquer les pluies acides. Par suite
ces pluies acides polluent les différents sources de l’eau
comme les rivières, fleuves, océans et elle atteigne les
nappes phréatiques

16/60
 La qualité de l’eau a un impact direct sur l’état des milieux aquatiques, tant
sur la faune que sur la flore. Le bon fonctionnement des écosystèmes* dépend
de la qualité de l’eau dans laquelle ils se trouvent, l’équilibre des milieux
aquatiques étant très fragile.

17/60
2-3/ pollution de l’atmosphère
 L’air que l’on respire tous les jours est contaminé à cause de nos actes
inconsidérés prévalant depuis déjà des années. Cette pollution atmosphérique
est responsable de la mort de 2.4 millions de personnes par an dans le monde
entier. L’air pollué diminue l’espérance de vie des hommes, cause des
troubles cardiaques, respiratoires ou reproductifs. De plus il favorise les
maladies respiratoires

18/60
 Une des causes principales de la pollution atmosphérique est causée par
l’existence des décharge, car celle-ci contiennent une grande quantité de
déchets différents dont les rejets organiques font partie. Et le mélange entre
les déchets organiques et l’eau provoquent une fermentation de méthane qui
est un gaz à l’effet de serre. Donc indirectement la décharge est une cause
de la pollution d’air.

1/60
3/ les techniques d’atténuation et de réduction des
nuisances
3-1/ les techniques des gestion des déchets
 Gestion des déchets :

La gestion des déchets, une des branches


de la rudologie appliquée, regroupe la
collecte, le transport, le traitement , la
réutilisation ou l'élimination des déchets,
habituellement ceux issus des activités
humaines. Cette gestion vise à réduire
leurs effets sur la santé humaine et
environnementale et le cadre de vie.

20/60
3.1.1/ collecte et transport des déchets
solides
 La collecte des déchets est l’ensemble des opérations par lesquelles
les producteurs de déchets rassemblent, stockent et évacuent leurs
déchets vers l’extérieur aux fins d’enlèvement

21/60
 Le transport
Le transport est la phase au cours de laquelle les déchets
sont acheminés vers une destination appropriée : décharge,
usine de traitement,,,

22/60
Mode de collecte :
- en apport volontaire :
le contenant est en accès libre pour permettre à toute personne de déposer ses
déchets (ex : conteneur à verre placé sur la voie publique).
-la collecte en porte à porte :
le contenant est affect à un groupe d’usagers nommément identifiable
-Collecte souterraine pneumatique
La collecte souterraine pneumatique est le système d’aspiration par la terre des
déchets à l’aide de tuyaux souterrains à partir de bornes placées sur la chaussée
ou dans les immeubles (conçu pour les déchets ménagers et ceux issus du tri).

23/60
 Fréquence de collecte :
 - densité de population
 -l’accessibilité aux zones de production des déchets

24/60
Les problèmes de collecte :

 parmi les problèmes de la collecte :


 manque d’organisation chez les habitants ainsi que leur inconscience,
 l’augmentation de la quantité des déchets dans les villes
 pertinence de l’horaire de collecte
 Une insuffisante maîtrise des instruments financiers liés à la gestion des
déchets

25/60
3.1.2/ déchetterie

 La déchetterie est un endroit clos où chacun dépose lui-même


les déchets dans des conteneurs appropriés. Il faut préciser que
la déchetterie communale est un centre de regroupement de détritus et non
un centre de recyclage.
 À chaque détritus sa filière de traitement. C’est en quelque sorte le principe
de fonctionnement d’un centre de regroupement de déchets. Pour être bien
évacués, les résidus doivent être triés, mais aussi orientés.

 Photo: déchetterie de kelibia

16/60
a/déchets habituellement acceptés à la
déchèterie :
 déchets habituellement acceptés à la déchèterie :
 encombrants et tout venant : objets, portes, planches, palettes, ...
 déchets de démolition bricolage : gravats, briques, pierres, carrelages,
 mobilier usagé : meubles, mobilier de jardin,
 déchets végétaux
 papiers, journaux magazines,
 cartons
 Bouteilles, pots et bocaux en verre
 huiles de moteur usagées
 huiles de friture
 Déchets ménagers spéciaux

27/60
b/ déchets habituellement interdits à la
déchetterie
 Les déchets qui ne répondent pas aux critères :
 les cadavres d’animaux
 les produits explosifs, radioactifs amiantés
 les déchets anatomiques ou - /infectieux
 les déchets hospitaliers ou contaminés
 les - médicaments (à apporter en pharmacie
 Les bouteilles de gaz

28/60
3.2/ collecte sélective

 la collecte sélective est une opération nécessaire lorsqu’il faut séparer les
déchets hétérogènes

 Le tri se fait à différentes


niveaux d’une chaine de
Valorisation des déchets

29/60
3.2.1/ tri à la source

Fraction
organique
Fraction
recyclable
Fraction
Déchets bruts
récupérable
Fraction non
recyclable

30/60
3.2.2/tri par collecte sélective

 nécessite 3 conditions:
 Volonté politique et technique des collectivités locale.
 adhésion des citoyens à la démarche du recyclage•
 couvrir les dépenses de la collecte/par rapport à la collecte classique
(moyens financiers consistants )

31/60
3.2.3/ tri après collecte

 dans la plupart des cas la collecte est unitaire


=> (déchets industriels, ordures ménagères et agricoles),
==d’où l’hétérogénéité des déchets,
==ce qui complique l’opération de tri
3.2.4:Le centre de tri
est l’entité qui permet, après collecte, de :
**trier les déchets par caractéristique
**préparer les lots de déchets à envoyer en centre de
traitement/valorisation ou élimination

32/60
3.2.5/ système de tri
Il existe plusieurs systèmes de tri (Cette opération se fait au niveau de la
décharge) :
.Manuel (main d’œuvre)
• Criblage (criblé/non criblé, fonction de diamètre de tamis)
• Magnétique (métaux ferreux/non ferreux)
• Flottation (verre/céramique, pierres, sables et graviers)
• Autres (tri pneumatique (air), tri électrostatique, tri optoélectronique, tri
haute tension).

Photo: système de tri optique

33/60
34/60
4/ traitement des déchets
4.1/ décharge
 Une décharge parfois appelé dépotoir, décharge
publique, terrain de décharge est un lieu dans lequel on
stocke des déchets par dépôts généralement sur le sol.
Elle est la méthode la plus classique et reste la plus
courante dans la plupart des pays

35/60
4.2/ recyclage

 Le recyclage est un procédé de traitement des déchets (industriels ou


ménagers) de produits arrivés en fin de vie, qui permet de réintroduire
certains de leurs matériaux dans la production de nouveaux produits. Les
matériaux recyclables comprennent certains métaux, plastiques et cartons, le
verre…
 La hiérarchie des stratégies et des usages:
Règle des trois R :
**Réduire
**Réutiliser
**Recycler

36/60
37/60
Taux de recyclage et taux de valorisation :
comprendre ce que deviennent vos déchets

 Qu’est-ce qu’un taux de recyclage ?


 Le taux de recyclage est un indicateur qui mesure notre capacité à
séparer les composants présents dans un appareil afin de les
transformer en matières premières secondaires. Le taux de recyclage
moyen pour un équipement s’élève à 80% ce qui signifie qu’on arrive
à réintégrer dans des processus industriels 80 % de ses composants.
Des matériaux recyclés comme le cuivre, l’aluminium, les cartes
électroniques, le verre ou les plastiques par exemple trouvent de
nouveaux débouchés notamment dans l’industrie automobile ou la
construction

38/60
 On parle aussi de taux de valorisation
 Le bénéfice du recyclage est également mesuré sous
forme de taux de valorisation. Il s’agit de la valorisation
énergétique qui consiste à utiliser des matériaux non
recyclables issus des appareils comme combustibles. On
arrive aujourd’hui à atteindre des taux de valorisation
supérieurs à 90%.

39/60
40/60
4.3/ Incinération

 L’incinération est le processus de destruction d’un


matériau en le brûlant. C’est une des techniques
de gestion des déchets qui peut servir à produire de
l'électricité et/ou de la chaleur (chauffage urbain par
exemple), mais qui peut être source de pollution de l'air.

41/60
4.4/compostage et fermentation

 Les déchets solides organiques, comme les végétaux, les excrétas, les
restes alimentaires ou le papier, sont de plus en plus valorisés en
compost et/ou en biogaz. Ces déchets sont déposés dans un bac à
compost ou un digesteur pour contrôler le processus biologique
de décomposition des matières organiques et neutraliser les agents
pathogènes.

42/60
 Dans la pratique, le compostage est l’opération
qui consiste à faire fermenter en situation aérobie
des déchets organiques, pour obtenir un
amendement riche en humus.
 Les fermentations se déroulent en deux phases.
**Dans la première phase dite « thermophile » ou de fermentation active, les
micro-organismes décomposent les sucres solubles et les amidons puis
s’attaquent progressivement aux matières plus difficiles à dégrader telles que la
cellulose et la lignine.
 Au cours de la deuxième phase dite « mésophile » ou de maturation, ces
substances simplifiées concourent, sous l’action de la microflore, à la
synthèse de composés humiques stables. On parle alors d’amendement
organique ou de compost prêt à l’emploi.

44/60
45/60
4.5/ le traitement mécano biologique

 Le traitement mécano-biologique (TMB) vise à recycler ou optimiser le


traitement des ordures ménagères résiduelles. Il consiste en
l’imbrication d’opérations mécaniques (dilacérations et tris) et
d’étapes biologiques (compostage, méthanisation).

46/60
Les différentes objectifs de tri mécano
biologiques

47/60
4.6/ pyrolyse et gazéification
 La pyrolyse et la gazéification sont deux méthodes liées de
traitements thermiques où les matériaux sont chauffés à très haute
température et avec peu d’oxygène. Ce processus est typiquement
réalisé dans une cuve étanche sous haute pression. Transformant les
matériaux en énergie cette méthode est plus efficace que
l’incinération directe, plus d’énergie pouvant être récupérée et
utilisée

48/60
49/60
L’objectif
la réduction, le recyclage et
la réutilisation des déchets.

50/60
5/ l’exemple de la Tunisie
D’après l’agence nationale de gestion des déchets (ANGed)

Selon une enquête faite en Avril 2014

1/60
 Selon le rapport sur la gestion des déchets solides en Tunisie en
2013
 Les déchets solides municipaux: 2,423 millions de tonnes de
déchets sont générés par an, d'où le taux de croissance estimé est de
2,5 % par an, les DSM sont caractérisés par une forte présence de
matières organiques biodégradables soit 68 % alors que les emballages
représentent un taux de 24 %.la production spécifique est de
0,815 kg/habitant/jour en milieu urbain et 0,150 kg/habitant/jour en
milieu rural

52/60
 Les déchets industriels dangereux en Tunisie sont estimés à 150,000
tonnes/an
 Pour le traitement de déchets industriels dangereux 4 unités sont construites
avec une capacité nominale de 90,000 tonnes/an se trouve à Sfax , gabés,
jradou et bizerte ,

53/60
Réouverture du centre des déchets
industriels et spéciaux de Jradou d’ici 2021

 Le centre de Jradou est le premier établissement du genre en Tunisie


et en Afrique, en raison de la technologie utilisée. Il s’agit de l’unique
centre en Tunisie permettant le traitement des déchets industriels
liquides et solides provenant des unités industrielles de plusieurs
gouvernorats du Nord, du Centre et du Sud.

54/60
 Les déchets industriels non dangereux : les DIND sont
collectés et transportés vers les décharges contrôlées par
des opérateurs privés. La seule information disponible sur
cette catégorie des déchets c’est la quantité des DIND
reçus en 2010 au niveau des dix décharges contrôlées :
Tunis, Bizerte, Nabeul, Sousse, Monastir, Kairouan, Sfax,
Gabès, Médenine, et Djerba, et elle est de 116.000 tonnes
/an

55/60
 Les déchets verts et agricoles : le gisement des déchets
verts issus des espaces verts est estimé à 33.000 tonnes,
les déchets verts d’agricultures sont estimés à 4 millions
de tonnes /an, alors que la production du compost ne
dépasse pas 50.000 tonnes /an

56/60
 Les déchets d’emballage : le gisement annuel de ces
catégories des déchets est de 55.000 tonnes des matières
plastiques, 44.000 tonnes de papier /carton et 100 tonnes
d’emballage alimentaire (ou briques alimentaires) ; seule
cette dernière filière n’est pas bien développée.

57/60
ÉTUDES DE CAS, BONNES PRATIQUES ET
LEÇONS APPRISES

 En matière de gestion des déchets municipaux deux


bonnes pratiques peuvent être retenues comme leçons
retenues :
 • Le plan communal de gestion des déchets(PCGD) :
c’est un cadre de réflexion et d’action, c’est un outil
de planification et de gestion participative des déchets
dans la commune, son domaine est le territoire communal,
son horizon est de 5 ans, les déchets concernés par le PCGD
sont tous les déchets municipaux non dangereux.
58/60
 Quatre aspects sont traités :
 (i) les aspects techniques de collecte, transport, transfert ,
valorisation et enfouissement des déchets,
 (ii) les aspects d’organisation et de gestion des ressources
humaines du service propreté,
 (iii) les aspects de communication,
 (iv) les aspects de calcul des coût et d’amélioration des recettes
communales

59/60
 Le PCGD est réalisé en 4 phases: les préalables au PGCD, le diagnostic de la
situation actuelle, élaboration du PCGD et définition de la stratégie
communale de la collecte des déchets, mise en œuvre et suivi et finalement
la phase évaluation
 • La collecte des déchets municipaux par le conteneur enterré : ce
mode de collecte des déchets non dangereux issus de l’hôpital Charles Nicole
à Tunis, plusieurs partenaires ont contribué à la réalisation de ce projet. 16
conteneurs de 5 m3 ont été installés sous le sol dans 3 sites de l’Hôpital. Le
projet a été initié par le Ministère de l’Environnement, l’Agence municipale
des Services Environnementaux

60/60

Vous aimerez peut-être aussi