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Une équipe se compose de 7 joueurs avec 6 remplacants .

l'équipe a 1 ou 2 gardien qui peuvent avoir le n°1 et le 13


pour le gardien remplacants . meme un joueur de champs peut avoir le 13 ce joueur la est souvent la pointe . La
pointe a le droit d'aller jusqu'à deux mettres des cages pour recevoir la balle et pour tirer, la pointe est le role le plus
difficile. Ceux-ci peuvent entrer en jeu à tout moment à partir de leur propre zone d'exclusion (au-delà de la ligne de
but), à partir du moment où l'équipe est en possession de la balle. Un gardien de but et 6 joueurs de champ évoluent
dans l'eau en même temps, pour chaque équipe.

Le gardien porte le bonnet numéroté 1, de couleur rouge. Les autres joueurs portent des bonnets numérotés de 2 à
13. Le bonnet portant le numéro 13 peut être rouge également si l'équipe possède un gardien remplaçant. L'équipe
qui joue à domicile porte les bonnets blancs, les visiteurs, les bonnets noirs. Les joueurs n'ont en aucun cas le droit de
mettre une combinaison (faites pour la natation et qui réduit les prises au corps) et doivent porter obligatoirement
deux maillots.

Le déroulement du match[modifier]
Un match officiel se décompose en 4 périodes de 8 minutes chacune de jeu effectif (périodes de 7 minutes dans le
cas de match de moins de 18 ans). Ces périodes sont séparées par des temps de repos de 2 minutes sauf entre la
2ème et la 3ème période où le repos est de 5 minutes. Chaque équipe peut demander 2 temps morts d'une minute
(+1 en cas de prolongation) lorsqu'elle est en possession de la balle (attaque).

Règle des 30 secondes[modifier]


Chaque équipe, dès qu'elle prend possession de la balle (interception, engagement, etc) dispose d'au plus 30
secondes pour tirer au but. Dans ce cas (qu'il y ait but ou non, ou encore corner), le décompte de ces 30 secondes
est réinitialisé. Il est également réinitialisé si un joueur de l'autre équipe est exclu. Si le décompte arrive à son terme,
une faute est sifflée et la balle est donné à l'autre équipe.

Les joueurs[modifier]
Les 6 joueurs de champ s'organisent habituellement en un demi-cercle, à 2-7 mètres du but adverse, avec un joueur
au centre (appelépointe ou cavalier). Ce poste est assez particulier car le joueur fait face à ses coéquipiers, et tourne
donc le dos au gardien adverse. Son rôle est de récupérer une passe, souvent faite sur l'eau, à tourner son défenseur
(l'arrière pointe ou contre pointe) pour se retrouver face au gardien et à tirer rapidement. Le jeu pointe/arrière pointe
est très engagé et très physique puisqu'une certaine tolérance est laissée aux deux joueurs. L'arbitrage est assez
difficile, puisqu'on ne voit que très peu ce qui se passe sous l'eau : à chaque match des coups sont portés à bien des
reprises et il n'est pas rare de voir disparaître les deux joueurs dans une eau écumante. Lors de la demi-finale «
mémorable » des Jeux olympiques de Melbourne en 1956 qui opposa l'URSS à la Hongrie en pleine Guerre Froide, la
rivalité entre les deux pays a provoqué un déchaînement de violence sur le terrain, à tel point qu'à la fin du match la
piscine avait pris une teinte rouge sang.

Les fautes[modifier]
Le droit de charge est autorisé sur le porteur de balle. Pratiquement, une grande liberté de manœuvre est laissée aux
défenseurs pour agir sur le porteur de la balle, à l'exclusion des coups visant la tête. Il faut bien savoir que les arbitres
(2 situés sur les bords du bassin) n'ont qu'une vision très limitée de ce qui se passe sous l'eau.

Les différentes fautes :

 Faute simple. La balle doit être maniée à une seule main (sauf pour le gardien). Elle ne doit pas être sous
l'eau. Le joueur ne peut s'appuyer sur aucune partie du bassin (buts, bords ou fond du bassin) pendant le temps
de jeu (si un gardien s'appuie sur le bord du bassin, un penalty est sifflé contre son équipe). Il est également
interdit de frapper le ballon avec le poing(sauf pour le gardien), et de lancer de l'eau sur un adversaire.
 Fautes graves. Une faute commise sur un attaquant dans la zone des 2 mètres est sanctionnée par un
penalty tiré sur la ligne des 5 mètres.
 Nager sur le dos de son adversaire, frapper son adversaire involontairement entraîne une faute grave avec
exclusion de 20 secondes (à la troisième faute grave, le joueur est exclu du match définitivement et est
remplacé).
 Certaines fautes graves (par exemple la perturbation volontaire du jeu) sont sanctionnées par une Exclusion
Définitive Avec remplacement (EDA), si la faute est plus grave (par exemple, un coup volontaire), le joueur est
exclu du match et ne peut pas être remplacé par un membre de son équipe pendant 5 minutes et un pénalty est
donné à l'équipe adverse, c'est alors une Exclusion Définitive Avec pénalty (EDA+pénalty).
L'aire de jeu[modifier]
Surface : 30 mètres par 20 mètres pour les matchs masculins (si le bassin est assez grand sinon possibilité de jouer
en 25 mètres) et 25 mètres par 20 mètres pour les matchs féminins.

Plusieurs lignes symbolisées par des plots, matérialisent la surface de jeu.

 Une ligne rouge (2 mètres) : zone de hors jeu. Un attaquant ne peut pas y pénétrer, sauf si la balle est déjà
dans cette zone ou que la passe est déjà effectuée (balle aérienne).
 Une ligne jaune (5 mètres) : zone de penalty, et à l'intérieur de laquelle on ne peut pas tirer de coup franc
direct.
 Une ligne blanche : milieu du terrain, et ligne de but dans l'alignement des poteaux.
La façon de marquer[modifier]

 Un but est marqué quand tout le ballon a franchi entièrement la ligne de but, entre les deux poteaux de but et
sous la barre transversale.
 Un but peut être marqué de n'importe quel endroit de la surface de jeu; mais le gardien de but n'est pas
autorisé à se rendre ou toucher le ballon au-delà de la ligne de mi-distance.
 Un but peut être marqué avec n'importe quelle partie du corps, à l'exception du poing fermé. Un but peut être
marqué en nageant avec le ballon jusqu'au but. Au commencement ou au recommencement du jeu, deux joueurs
au moins, à l'exception du gardien de but défenseur, doivent avoir joué ou touché intentionnellement le ballon,
hormis dans le cas de mise en jeu suivants: tir de penalty; remise en jeu expédiée directement par un joueur dans
son propre but; tir immédiat lors d'un remise en jeu depuis le but; ou tir immédiat lors d'un coup franc accordé à
l'extérieur de la ligne des cinq mètres.
 Un but sera marqué si, à l'expiration de la période de possession de 30 secondes ou à la fin d'une période, le
ballon est en vol et pénètre dans le but.
Accessoires pour la natation[modifier]
Lunettes de natation.

La natation peut se pratiquer muni du seul maillot de bain, bien que la tendance chez les compétiteurs soit maintenant
à la combinaisonplus ou moins complète. On peut s'aider aussi de divers accessoires, parmi lesquels :

 Pour se maintenir à la surface de l'eau : les bouées, ceintures de flottaison, brassards.


 Plus spécialement, pour l'apprentissage et le perfectionnement de la nage : la planche qui permet de ne faire
travailler que les jambes ; le pull-buoy, objet en mousse que l'on place entre les jambes pour ne travailler que les
bras ; les plaquettes, accessoires en plastique augmentant l'appui des mains pour muscler les bras et travailler sa
technique ; l'élastique en caoutchouc que l'on met autour des poignets ou des chevilles et qui permet de
perfectionner ses appuis. On peut ajouter dans cette rubrique les accessoires de flottaison et ceux permettant de
se déplacer plus vite (petites palmes pour travailler les battements).
 Pour se déplacer plus vite : palmes de natation, monopalme ou encore zoomer, plaquettes pour les mains.
 Pour respirer : les bouteilles d'air comprimé pour rester sous l'eau, le tuba pour respirer à la surface de l'eau
sans avoir à tourner la tête ou le tuba frontal pour l'entraînement en nage libre sans rotation de la tête.
 Pour le confort du nageur : le bonnet de bain qui protège les cheveux, évite de polluer la piscine et tient chaud
à la tête quand l'eau est froide ; la combinaison isotherme pour nager en eau froide ; les lunettes de natation pour
protéger les yeux et pour voir sous l'eau ; les bouchons d'oreille et le pince-nez pour empêcher l'eau de rentrer
dans les oreilles ou le nez. Ce dernier étant notamment utilisé pour la nage synchronisée.
 Pour la protection : chaussons anti verrues. Chaussons en latex que l'on porte pour se protéger des
infections.
 Pour nager sur place ou contre résistance : maillots à résistance, ceintures à godets, câbles ou élastiques
reliés à une ceinture portée par le nageur, ou encore perche télescopique fixée à l'extérieur du bassin reliée au
nageur par une ceinture en néoprène.
Techniques de nage[modifier]
Il n'y a aujourd'hui que quatre techniques de nage normalisées à des fins compétitives par l'institution sportive et
enseignées couramment : le papillon, le dos crawlé, la brasse et lecrawl. Il existe cependant de nombreux autres
styles, dont certains ont été enseignés dans le passé en natation, voir utilisés en compétition sportive 2 :

 la coupe ou batelière ou agiotaux


 la marinière ou brasse sur le côté
 la brasse française
 la brasse alternée ou double brasse
 le trudgeon
 l'english side stroke
 la brasse indienne ou over-arm-stroke,
 l'over-arm-side-stroke
 la nage en chien
 le dos brassé
 la brasse papillon
 la brasse sous-marine...
 la planche
La nage la plus rapide est le crawl, très utilisée en nage libre, mise au point par John Arthur Trudgen en 18733 en
s'inspirant de la technique utilisée par certains Amérindiens. Au début du XXe siècle apparut le battement de jambes
actuel, apparemment issu de l'observation d'indigènes australiens. Cette nage fut appelée « crawl australien »
jusqu'au milieu duXXe siècle à peu près. le sport quant à lui rentra aux Jeux olympiques dès 19004.

Nages de compétition[modifier]

 Le papillon 50, 100 et 200 mètres


 Le dos (dos crawlé), 50, 100 et 200 mètres ;
 La brasse 50, 100 et 200 mètres ;
 La nage libre 50, 100, 200, 400, 800 et 1 500 mètres. En théorie, la nage libre autorise tous les styles de
nage, en pratique, c'est le crawl, la nage la plus rapide, qui est utilisée. Dans une épreuve de quatre nages,
l'épreuve de nage libre n'autorise pas les autres nages utilisées lors de l'épreuve (règle SW 5.1 5).
Dans une épreuve de quatre nages (100, 200 ou 400 mètres), l'ordre des nages est le suivant : papillon, dos, brasse
et crawl. Dans un relais, l'ordre change : dos, brasse, papillon, crawl afin de permettre au « dossiste » de partir (le
départ en dos se fait dans l'eau, les mains sur les poignées situées sous le plot et non par plongeon du plot comme
dans les autres nages).

La brasse indienne et le dos à deux bras ne sont pas des nages officielles. Le papillon est réglementé moins
sévèrement dans les épreuves maîtresses. Le dos à deux bras est autorisé dans toutes les épreuves de dos, même
s'il n'est plus enseigné en tant que nage. Couramment pratiqué dans les compétitions maîtresses, il est moins dur
pour les épaules au-delà d'un certain âge. La brasse est la nage la plus réglementée techniquement, avec notamment
l'obligation comme en papillon de symétrie latérale et de toucher le mur simultanément avec les deux mains au virage
et à l'arrivée.

Enfin, dans toutes les nages, la coulée est limitée avant la ligne des 15 mètres 6. Sauf en brasse, où la coulée est
limitée par le nombre de mouvements, c'est-à-dire un mouvement de dauphin (appelé une ondulation) descendant
des jambes, un mouvement de brasse (bras et jambes) et le premier cycle de bras qui doit permettre au nageur de
couper la surface. Aussi il n'est pas possible d'évoluer sur toute la durée d'une distance olympique en immersion.

Certains nageurs se rasent les poils (jambes, bras, tête et même sourcils) notamment à cause de la résistance qu'ils
exercent, mais aussi parce qu'une légère couche de peau est ôtée et que le nageur a une meilleure sensation de
l'eau.

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