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0 , 183. Q 2, 25 .T .t
s= . log 2
T r .S
avec
s = rabattement en m
Q = débit en m3/s
T = transmissivité en m2/s
0 ,183 .Q
T=
C
Lorsque le débit n’est pas constant durant l’essai, il s’avère indispensable
d’utiliser la méthode des rabattements spécifiques en divisant par Q les deux
membres de l’équation de Jacob.
0 ,183 0 ,183
C= T=
T d’où C
Si l’on dispose d’un ouvrage d’observation (piézomètre), situé à une distance r
du forage de pompage, on peut calculer le coefficient d’emmagasinement, S, en
utilisant l’expression suivante :
2 ,25 . T . t 0
S=
r2
t0 étant l’intersection de la droite tracée avec l’ordonnée correspondant au
rabattement nul.
0 ,183.Q t
s= . log
T t'
avec
t
La représentation graphique de cette fonction
[ s=f (log
t'
)
] donne une droite de
0,183 .Q
C=
pente T .
0 ,183 .Q
T=
C
Le rayon d’action RA d’un forage est une grandeur fictive qui est défini par
l’expression :
R A =1,5 √T .t /S
calculé par l’équation de Jacob est nul. Ce rayon d’action dépend du temps de
pompage mais il ne dépend pas du débit de prélèvement. Le débit donne simplement
l’amplitude du rabattement.
Les valeurs de transmissivité obtenues à partir des données des différents essais par paliers
de débits, de longue durée et des données de remontée, permettent de déterminer les moyennes
suivantes :
- perméabilité moyenne : Kmoyen = 3.10-4 m/s, pour une épaisseur mouillée de 17.2 m
En considérant que le milieu est homogène et isotrope, on obtient les valeurs du rayon d’action
RA suivantes :
Il en résulte que l’influence du forage est limitée à 155 m et moins de 270 m pour des temps de
pompage de 5 heures et 15 heures respectivement.
2ème texte