Si la vitesse dicte les impératifs de nos sociétés modernes, rendements, productivité, profits, elle ne régit pas l’ordre de la nature. Pour se déployer et donner vie à un territoire, la nature a besoin de temps.
Cette nouvelle, L’homme qui plantait des arbres, témoigne d’une
grande cause écologique ayant plusieurs effets positifs. En effet le berger, Elzéard Bouffier, fait revivre sa région en faisant preuve d’humanisme, d’écologie et d’une grande patience. Son acte de plantation d’arbre de diverses essences, chênes, frênes, hêtres, bouleaux, permet l’accroissement d’un village, faisant ainsi preuve d’un développement durable. Ce phénomène nous montre l’humain faisant preuve d’un don. L’exploitation de ce don amène alors de nombreuses conséquence sociales et économiques (… à illustrer… relier aux mots clés l’analyse). Le narrateur ira même jusqu’à exprimer sa stupéfaction et sont admiration avec sa phrase «je suis pris d’un immense respect pour ce vieux paysan sans culture qui a su mener à bien cette œuvre digne de Dieu.», montr ant ainsi l’humain n’ayant pas qu’un don de destruction, mais qu’il a aussi un don de construction se rapprochant d’une certaine divinité nécessitant patience, volonté, et amour.
Enjeu perçu – Mais l’argumentaire reste à construire – Le §
ressemble à un résumé et non pas à la défense d’une idée émise => consolider la reformulation de l’idée et l’illustration. 1,5/5 → Il reste à relier l’idée énoncée à un des deux thèmes étudiés – écologie et lenteur !! Si on s’appuie sur « une grande patience », on pourrait inscrire le thème « A toute vitesse ! ». → Ancrer l’idée directrice au fif de l’écriture du §.