Vaincrepeur

Peur de parler en public : 7 secrets découverts par la science

Peur de parler en public : 7 secrets
découverts par la science.

« Acceptons de soulever la pierre et de voir tout ce qui y grouille ».
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SOMMAIRE

Avant‐propos ......................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
Test : avez‐vous vraiment peur de parler en public ? ................................................................... 6
1er secret découvert par la science: ne vous sentez plus diminué (e) par rapport aux autres car
vous êtes très, très loin d’être seul(e) à avoir peur de parler en public. .................................... 10
2ème secret découvert par la science : n’ayez pas peur d’avoir peur. Cela a été essentiel à la
survie de l’être humain et peut vous être encore utile. ............................................................. 14
3ème secret découvert par la science : la peur de parler en public est un processus
neurobiologique automatiquement déclenché par… ................................................................. 17
4ème secret découvert par la science : plus le stimulus était autrefois intense et répété, plus
votre peur de parler en public est aujourd’hui intense et durable............................................. 21
5ème secret découvert par la science : vous ne devez pas vous débarrasser du mécanisme de la
peur. Mais vous pouvez vous débarrasser de votre peur de parler en public. ........................... 25
6ème secret découvert par la science : vous devez aller à la source si vous voulez vous
débarrasser de votre peur de parler en public. .......................................................................... 28
7ème secret découvert par la science : évitez désormais les mauvais stimuli… sinon ce sera de
votre faute et vous… souffrirez ................................................................................................... 34
Passez à l’action .......................................................................................................................... 39

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AVANT PROPOS
Vous vivez des moments désagréables, voire douloureux à chaque occasion

de prise de parole en public : réunions, conférences et séminaires, débats
télévisés, invitation à une émission radiophonique, … .
Ce sont ces moments pénibles qui vous ont conduit à télécharger ce rapport
gratuit afin de prendre connaissance des 7 secrets découverts par la science.
Mais la question que vous vous posez certainement, c’est de savoir quel en
sera l’impact pour vous.
Le fameux Socrate a dit un jour : « Connais-toi toi-même. C’est le

commencement de la sagesse ». Le légendaire Lao Tseu a dit : « Qui
domine les autres est fort. Qui se domine lui-même est puissant ».
À travers de pareils conseils, voici ce que ces sages vous font voir : si vous
comprenez les raisons de votre peur de parler en public, si vous acceptez de
découvrir et d’examiner ce qui se passe dans votre esprit et dans votre
corps à chaque prise de parole en public , vous finirez par vous dominer et
par … briller lors de chacune de vos prises de parole en public.
La science va vous y aider comme elle l’a fait pour moi. En effet, depuis

cinq (05) ans, je suis, à tout bout de champ, félicité et admiré pour mes
prouesses d’orateur lors des conférences, des séminaires, des émissions télé
et radio un peu partout à travers le monde (Inde, Bénin, Maroc,…).
Mais lorsqu’il m’arrive de révéler à mon auditoire que par le passé, à
chaque prise de parole en public, j’ai été le plus trouillard des êtres
humains, que j’ai soigneusement évité d’avoir à parler en public pendant
très longtemps, ils ont beaucoup de mal à me croire à voir mes résultats
actuels.
Je m’en vais vous garantir une chose : si vous lisez attentivement le
contenu de ce rapport et en tenez compte, si vous allez plus loin en cliquant
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sur le lien « Comment surmonter la peur de parler en public
et prendre intensément de plaisir à prendre la parole», vous serez vous
aussi débarrassé de votre peur et vous connaîtrez les plaisirs de la prise de
parole en public.
Je vous le garantis parce que je ne suis pas le seul à m’en être libéré. Je ne
suis pas le seul à avoir ressenti l’intense plaisir d’être celui que les foules
écoutent et adulent. Je ne suis pas le seul à avoir ressenti une impression de
puissance et d’invulnérabilité. Je ne suis pas le seul à avoir enfin coulé des
larmes de joie.
J’ai montré le chemin à d’autres, je leur ai donné les bons moyens et ils
sont parvenus à destination. Comme tout être humain, vous parviendrez à
destination si vous connaissez le bon chemin et disposez des bons moyens.
C’est une vérité affirmée, à travers leurs actes, par des orateurs qui ont
ressenti la peur de parler en public au départ, ont appris à s’en
débarrasser et sont devenus remarquables : Abraham LINCOLN, Théodore
ROOSEVELT, Winston CHURCHILL, ... .
C’est une vérité qui deviendra vôtre d’ici peu de temps ; et il ne tient qu’à

vous d’enclencher le processus en lisant ce rapport.
À vous de jouer mon ami(e) !
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TEST : avez‐vous vraiment peur

de parler en public ?
Mais tout d’abord, il vous faut faire ce test. Pourquoi, me demanderez-
vous ? De nombreuses personnes pensent avoir peur de parler en public
alors que ce n’est pas le cas. Elles n’ont que le trac en réalité.
En effet, avant chaque prise de parole en public, le cœur de ces personnes
bat plus vite et plus fort durant quelques secondes et elles ressentent une
poussée d’adrénaline avant de prendre la parole en public. Elles confondent
alors ces changements physiologiques avec la peur. Mais ce n’est que le
trac.
Le trac survient lorsque l’on se retrouve devant l’inconnu exactement
comme la peur certes. Toutes les deux mobilisent toutes vos énergies
(mentales, intellectuelles, physiques,…) afin de vous aider à faire face à cet
inconnu le plus efficacement possible.
Mais, dans le domaine de la prise de parole en public, les trois différences

fondamentales entre eux, c’est que la peur s’étend au-delà de plusieurs
minutes, les réactions physiologiques qui en découlent sont intenses et que
cette intensité vous submerge tout entier vous privant de vos ressources
d’orateur alors que le trac ne dure que quelques secondes, les réactions
physiologiques qui en découlent sont atténuées et elles vous laissent le
contrôle sur vous-même.
Dale CARNEGIE, le légendaire expert en méthodes et techniques pour

convaincre, informer, son auditoire, celui-là-même qui a formé tant de
puissants industriels, chefs d’Etat, célébrités du monde du spectacle…..
confirme cela : « Une certaine dose de trac est utile ! C’est une réaction
naturelle qui nous prépare à affronter des circonstances inhabituelles.
Ainsi lorsque votre respiration et votre pouls s’accélèrent, ne vous
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inquiétez pas : votre corps, toujours sensible aux stimulations extérieures,
se prépare à l’action.
Si ces phénomènes physiologiques ne dépassent pas certaines limites,

vous serez capable de penser plus vite, de parler plus facilement et, d’une
façon générale, de vous exprimer avec plus d’intensité que lors de
circonstances normales… .
Un grand nombre de conférenciers professionnels m’ont assuré que le trac
ne les avait jamais complètement quittés. Ils le ressentent presque toujours
avant de prendre la parole et pendant les deux ou trois premières
phrases.».
Donc, si vous êtes dans ce cas-là, vous n’avez pas peur de parler en public.
C’est juste que votre cerveau perçoit des stimulations extérieures
inhabituelles et déclenche les réactions physiologiques qui y sont associées.
Lorsque vous vous serez habitué (e) à ces stimulations extérieures, vous
constaterez que ces manifestations physiologiques surviendront rarement
ou alors pas du tout. Si vous n’êtes pas dans ce cas-là, faites le test de la
page suivante afin de savoir si vous avez vraiment peur de parler en public.
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T EST SUR LA PE UR D E PARL E R E N PU B L I C
 Consigne
Voulez-vous bien répondre par oui ou non aux questions suivantes en vous
imaginant face à votre auditoire ?
a) Est-ce qu’une fois les deux premières minutes passées, votre cœur
continue de battre fort et vite à un tel point que vous avez
l’impression que votre auditoire l’entend ?
o Oui
o Non
b) Une fois les deux premières minutes passées, vos jambes continuent
de trembler. Vous avez l’impression qu’elles ne vous portent plus
aisément et que vous perdrez l’équilibre si vous tentez de marcher ?
o Oui
o Non
c) Une fois les deux premières minutes passées, vos mains tremblent à
un tel point que vous êtes obligé(e) de les cacher au regard des
autres ?
o Oui
o Non
d) Une fois les deux premières minutes passées, votre gorge se serre et
votre voix tremble au point où l’on ne vous entend plus quand vous
parlez ?
o Oui
o Non
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e) Une fois les deux premières minutes passées, vos pensées sont
confuses et vous en perdez le fil ?
o Oui
o Non
f) Quand un membre de l’auditoire vous pose une question, vous avez

du mal à en suivre la logique et à la comprendre ?
o Oui
o Non
g) Vous préférez éviter et vous fuyez même toutes les occasions de

parler en public ?
o Oui
o Non
 R ÉSU L T A TS
Si vous avez répondu « Oui » à 3 ou plus de ces questions, il n’y a plus

aucun doute là-dessus : vous avez peur de parler en public. Mais ne vous en
faites plus car vous allez vous en libérer bientôt si vous suivez le bon
processus. Enclenchez- le en lisant ci-dessous les 7 secrets découverts par
la science.
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1er SE C R E T
découvert par la science: ne vous sentez plus
diminué (e) par rapport aux autres car vous êtes
très, très loin d’être seul(e) à avoir peur de parler
en public.

Quand votre peur de parler en public se manifeste en présence des autres,

vous vous sentez humilié(e), diminué(e), nul(le). Vous n’osez plus les
regarder en face. Si vous pouviez disparaître de leur vue tel un fantôme,
vous le feriez rapidement. À l’instant précis où cette peur se manifeste,
vous vous dites : « Les autres connaissent mes faiblesses et eux sont si
forts ! ».
C’est là que je vous dis tout de suite « non ! ». Non et non ! Ils ont leurs
petites faiblesses quand vous y pensez bien. Croyez-vous qu’il n’y pas au
moins un domaine dans lequel ils auraient besoin de se renforcer ? Le
croyez-vous vraiment ?
Faisons ensemble ce petit jeu, voulez-vous ? : souvenez-vous d’une

situation de prise de parole en public où vous vous êtes senti(e) humilié(e)
par le simple fait de ressentir de la peur devant les autres ……. Ça y est ?
Vous l’avez fait ?
Bien ! À présent, sélectionnez dans votre auditoire (de ce jour-là) celui qui
vous semblait le plus parfait, le plus fort, le plus au-dessus des autres.
Maintenant, dites-moi si vous pensez vraiment qu’il est parfait….. L’est-il ?
Serait-il parfait au point de faire l’amour à la perfection, au point
d’exécuter ses tâches professionnelles à la perfection, de communiquer à la
perfection avec les autres, de jouer à la perfection, de cuisiner à la
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perfection, … ? Non, n’est-ce pas ?! Chaque être humain excelle dans
certains domaines et affiche des records lamentables dans d’autres.
Naturellement, en s’entraînant (avec la bonne méthode) dans les domaines
où ses performances sont passables, il en viendra à y briller. Arrêtez donc
de vous en faire parce que vous avez affiché l’une de vos faiblesses devant
autrui et cherchez désormais à vous entraîner avec la bonne méthode. Mais
ça, ce n’est que la première bonne nouvelle !
La deuxième bonne nouvelle, c’est la conclusion à tirer de tout ce que la

science vous dit :
 Selon un sondage en 1993 de l’Ifop, l’institut français de référence

dans les enquêtes et sondages, environ 51% des personnes
interrogées mentionnent spontanément, dans la liste de leurs
principales peurs, celle de parler en public.
 Selon l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques,

la population française était au 01er janvier 1993 de 58 852 002
habitants.
En multipliant les deux données et en extrapolant de façon brute celles de

l’Ifop, l’on constate que le nombre de français à avoir peur de parler en
public en 1993 (sans tenir compte de l’augmentation du nombre d’habitants
entre 1993 et 1994) aurait pu s’évaluer facilement à 30.014. 521 habitants,
soit plus de la moitié de la population.
Pour vous en faire une idée plus nette, voulez-vous bien jeter un coup
d’œil sur le graphique à la page suivante.
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F igure n°1 : Estimation du nombre de français à avoir peur de parler en public en 1993
70000000
60000000
50000000
40000000
30000000
20000000 Série1
10000000
0
Population française en 1993 Part de la population française à avoir
peur de parler en public en 1993
Estimation du nombre de français à avoir peur de parler en public en 1993

Source : résultats obtenus à partir du traitement des données de l’Ifop et de l’Insee.
La peur de parler en public est un problème réel qui touche non seulement
des millions de Français, mais également des milliards de personnes à
travers le monde.
En effet, selon différentes enquêtes nationales, les Américains classent la

peur de parler en public comme la 1ère sur la liste de leurs peurs, et ce bien
au-delà d’autres peurs comme celle de la mort. Par exemple l’enquête,
effectuée par le Sunday Times en 1973 sur un échantillon de 3.000
Américains, montre que 41% des répondants ont classé la peur de parler en
public en 1ère position alors que seulement 19% ont priorisé la peur de la
mort.
Le célèbre comédien Jerry SEINFELD n’a-t-il pas blagué à ce sujet en

disant que : « Aux funérailles, la moyenne des personnes présentes
préférerait être dans le cercueil plutôt que de prononcer le discours des
éloges du défunt » ?!
De plus, il y aurait à l’heure actuelle plus de 250.000 personnes dans plus

de 12.200 clubs Toastmasters dans 106 pays ; et ce nombre croît de 6,3%
chaque année.
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Pour moi qui ai activement participé à des évènements internationaux et ai
formé de nombreuses personnes à vaincre leur peur de parler en public, je
peux vous garantir que sur tous les continents, des millions, voire des
milliards de personnes de toutes les races ont peur de parler en public.
Vous rendez-vous compte de ce que tous ces chiffres, obtenus grâce aux
sciences statistiques et économiques, signifient pour vous ? Non ?
Bien ! Tous ces chiffres signifient pour vous que quand vous vous
retrouvez devant un auditoire dans une salle, à la télé, à la radio,…, en
général et environ près de la moitié des personnes à votre écoute ont tout
autant peur que vous de parler en public.
Cela signifie que si vous avez en face de vous 2000 personnes, environ
1000 personnes présentes refuseraient de prendre votre place. Environ 1000
personnes vous trouvent audacieux (se) et environ 1000 personnes vous
admirent pour cela. Environ 1000 personnes vous comprendront également
et n’oseront pas se moquer de vous. Vous me suivez ? Pour ces 1.000
personnes, vous êtes un héros.
Alors, arrêtez de vous sentir humilié(e) parce qu’à chacune de vos prises de

parole en public, vous serez toujours très loin, mais là vraiment loin d’être
la seule personne à ressentir de la peur. Arrêtez de vous sentir diminué(e)
car pour beaucoup de gens de votre assistance, vous êtes un héros qui a osé
affronter l’inconnu alors qu’eux préfèrent l’éviter.
Quant aux autres membres de l’auditoire, ceux qui n’ont pas peur de parler

en public, je vous garantis que bon nombre d’entre eux ont dû apprendre
autrefois à s’en libérer et que le reste n’a vraiment pas de quoi en être fier
au point de se moquer des autres. Pourquoi ? Vous vous en rendrez compte
en lisant le 3ème et le 7ème secret. Mais tout d’abord, découvrez le 2ème.
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2ème SECRET
découvert par la science : n’ayez pas peur d’avoir
peur. Cela a été essentiel à la survie de l’être
humain et peut vous être encore utile.

Il y a de cela environ huit (08) semaines, je me souviens avoir revu, non

sans ressentir des frissons, différents films mettant en œuvre des prédateurs
tels que des anacondas surdimensionnés et des raptors pourchassant et
dévorant leur proie favorite : l’homme.
Tout le monde passait entre leurs crocs et leurs griffes plus tranchantes que
des larmes de rasoirs. Tout le monde, sauf bien évidemment les héros. Ces
derniers, par mi les innombrables techniques de survie automatiquement
proposées par leur cerveau, voyaient leurs corps se figer tels des statues et
retenaient instinctivement leur souffle respectif ; cela leur sauvait la vie
dans la plupart des cas, la majorité de leurs prédateurs possédant une vision
passable, mais un odorat et une ouïe ultra-performants.
Vous voyez ? Cette subite immobilité, déclenchée par leur cerveau

respectif, avait pour but de dissimuler leur présence aux prédateurs. Que ce
soit face à « feu raptor », face à un anaconda ou n’importe quel autre des
prédateurs actuels de l’homme, il est fort probable que ce dernier, parmi la
kyrielle de réactions physiologiques possibles, pourrait encore faire appel à
l’immobilité pour rester en vie.
Ainsi, se définit le rôle de la peur : nous sauver la vie. La peur a sauvé la

vie de nos ancêtres et elle peut encore nous sauver la vie aujourd’hui. Ce
qui suit n’est pas souhaitable.
Mais si n’ayant acquis aucune expérience profonde des combats et de la
guerre, vous vous retrouvez dans une ruelle face à des loubards armés
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jusqu’aux dents, vous observerez probablement toutes ou plusieurs des
modifications physiologiques suivantes :
 Les battements de votre cœur s’accéléreront afin de vous préparer à

un éventuel effort physique de fuite ou de combat,
 Les pupilles de vos yeux se dilateront pour vous permettre de mieux

voir,
 Votre esprit réfléchira plus vite pour vous aider à choisir en quelques
fractions de seconde les différentes options possibles : fuir ou
combattre ; et si vous deviez combattre, vous serez étonné(e) de
constater que l’être humain sociable que vous êtes d’habitude s’est
transformé en une bête enragée qui délivre des coups dont il ne se
croyait pas capable.
Mais n’oubliez pas que l’option de la fuite peut vous sauver la vie même si

elle peut vous paraître lâche. Si tout le monde reconnaît les talents de Bruce
Lee, l’un des plus grands artistes martiaux de tous les temps, très peu de
personnes savent que Bruce LEE conseille de fuir si la situation l’exige.
Voyez-vous, la fuite est une option de survie et le désir de fuir naît de la
peur.
Voyez-vous à présent à quel point la peur peut vous être utile ? Si elle
n’existait pas, vous ne vous préoccuperiez pas d’éviter les blessures, les
souffrances et la mort. Vous voudriez combattre là où la meilleure option
serait de fuir ; et vous voudriez fuir là où la meilleure option serait de
combattre. Ce faisant, vous accroîtriez drastiquement les risques de perdre
votre vie.
Peut-être vous demandez-vous à présent ce que la peur « des loubards dans

une ruelle sombre » a à voir avec la peur « de parler en public » ? Tout,
absolument tout !
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N’avez-vous pas remarqué à quel point les réactions physiologiques sont
similaires dans les deux cas : battements accélérés du cœur, dilatation des
pupilles, impossibilité à se déplacer correctement, etc ?!
Les deux seules différences résident dans le fait que votre vie n’est pas en
danger et que vous ne devriez pas souffrir à chaque prise de parole en
public. Mais ça, votre cerveau ne le sait pas et vous devez le lui apprendre.
Comment ? En découvrant le livre « Comment vaincre votre peur de parler
en public ».
Mais en attendant, si vous voulez en savoir plus (je vous le suggère

fortement) sur les raisons pour lesquelles votre cerveau ne connaît pas les
deux vérités ci-dessus, découvrez les 5 secrets restants.
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3ème SECRET
découvert par la science : la peur de parler en
public est un processus neurobiologique
automatiquement déclenché par…

À chaque fois que vous devez prendre la parole en public, votre peur vous
domine ? À chaque fois, elle vous fait vous sentir mal malgré vos
nombreux efforts pour vous en débarrasser ? Vous en avez marre et vous
vous dites qu’il n’y a pas de solutions à votre mal ? Oh que si ! Il y en a !
Si vous voulez les exploiter efficacement, voici la première chose que vous
devez savoir : votre peur de parler en public est automatiquement
déclenchée, c’est-à-dire sans aucune action ou peu de votre part. Elle est
automatiquement déclenchée par l’amygdale située tout près de
l’hippocampe dans la partie frontale du lobe temporal dans votre cerveau.
En voici le processus habituel (processus si mplifié ici pour les profanes

afin d’en améliorer la compréhension) décrit par des neuroscientifiques
tels que Patrick VUILLEUMIER, professeur au Département des
Neurosciences Fondamentales de la Faculté de médecine ou encore le
professeur Joseph Ledoux, neurologiste de l’Université de New York et
illustré par le petit schéma à la page suivante que je vous ai concocté.
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Schéma n°1 : le processus de déclenchement de la peur
Réception des informations de l’environnement externe par les sens et transformation en messages
sensoriels
Réception par le thalamus, puis le cortex desdits messages sensoriels
Messages traités et perçus comme menaçants dans le cortex
Déclenchement par l’amygdale des réactions physiologiques de la peur.
Vous voulez mieux comprendre ce schéma ? Veuillez bien lire ce qui suit :
 Primo, vos sens captent des informations provenant de votre

environnement externe. Par exemple, vos yeux voient un énorme
chien dont les yeux luisent dans le noir, vos oreilles entendent le
sourd grondement sortant de sa gueule, etc.
 Secundo, ces informations passent par votre thalamus (chemin

obligatoire pour tous les messages sensoriels) pour atterrir dans le
cortex sensoriel approprié (s’il s’agit d’images, ces informations
atterrissent dans le cortex sensoriel visuel et ainsi de suite).
 Tertio, si au niveau du cortex sensoriel approprié, ces informations

sont perçues comme menaçantes ou dangereuses, l’amygdale en est
avertie et déclenche les réactions physiologiques associées à la peur
à travers un vaste réseau de voies neuronales dans votre cerveau.
Ramenons tout cela à votre peur de parler en public. De quoi vous rendez-
vous compte dès lors ? Vous vous rendez compte de ceci :
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 Si vous aviez déjà des sueurs froides à la simple idée de parler
devant une foule immense ou à l’idée qu’elle se moque de vous, vous
aviez donc déjà préparé votre cerveau à interpréter la prise de parole
en public comme un évènement dont vous devez avoir peur,
 Si ensuite vos yeux voient en face de vous une foule immense, si vos
oreilles entendent des rires, etc,
 Si une fois dans votre cortex, ces informations sont traitées comme
«foule immense » et « moqueries de sa part »,
 Les réactions physiologiques liées à la peur se déclencheront

automatiquement chez vous : votre cœur battra alors beaucoup plus
vite, vos pensées seront confuses, vous commencerez alors à
trembler de tous vos membres, vos pensées seront confuses, … .
Vous voyez ? Le processus de la peur est automatisé dans votre cerveau ; et

il ne dépend pas vraiment de vous. Dès que l’amygdale reçoit l’information
de la menace, elle réagit et déclenche le processus. Un point, c’est tout !
Pour vous montrer à quel point il est indépendant de vous, sachez que si
l’on associe n’importe quel stimulus extérieur (message sensoriel
provenant de votre environnement) à votre peur de parler en public, votre
amygdale la déclenchera.
Le neuroscientifique Patrick VUILLEUMIER vous explique mieux le

phénomène à travers cet exemple : «Un exemple de cet apprentissage
amygdalien de la peur est le conditionnement pavlovien. Il est relativement
aisé d’associer un stimulus, même anodin, à un sentiment de crainte. On
peut ainsi soumettre un animal à un tintement de cloche et, simultanément,
à une décharge électrique douloureuse.
La fois suivante, lorsque la bête entend de nouveau la cloche, elle
manifeste immédiatement tous les symptômes de la peur, même en
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l’absence de choc électrique: immobilité, dilatation pupillaire, accélération
cardiaque, sudation… On peut conditionner de la même manière, quoique
moins brutalement, l’être humain.»
Donc, dit d’une façon simple, si le rire de votre auditoire est associé dans

votre cerveau à la peur, l’amygdale déclenchera votre peur de parler en
public.
Si le fait d’être en face de diverses autorités politiques ou personnalités du

monde des affaires est associé dans votre cerveau à la peur, l’amygdale
déclenchera votre peur de parler en public. Si même les questions de
l’auditoire sont associées dans votre cerveau à la peur, l’amygdale
déclenchera votre peur de parler en public. Etc.
Vous y voyez de plus en plus clair dans votre cas, n’est-ce pas ?! À présent,
vous vous demandez certainement à quels moments et comment de telles
associations ont pu se faire ? Et si vous alliez lire le secret n°4 ?
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4ème SECRET
découvert par la science : plus le stimulus était
autrefois intense et répété, plus votre peur de
parler en public est aujourd’hui intense et durable.
Dans l’histoire de votre vie, il y a toujours eu une première fois, n’est-ce

pas ?! En vous remémorant des souvenirs rattachés à la prise de parole en
public, vous constaterez que là encore, il y a eu une première fois. Cette
fois –là, votre expérience de prise de parole en public ne s’est pas bien
passée et vous vous êtes senti(e) mal dans votre peau et dans votre être.
Peut-être que cette fois-là s’est passée durant votre enfance, peut-être à
l’adolescence, peut-être à l’âge adulte… . Mais il y a une chose qui est
sûre : vous (ou quelqu’un d’autre que vous connaissez ou que vous avez vu)
avez dû affronter les railleries, moqueries et mépris d’un auditoire.
Vous (ou quelqu’un d’autre) avez subi ce genre d’humiliations. Vous (ou

quelqu’un d’autre) en avez souffert. Votre esprit a alors pensé ce jour-là
que parler en public est source de souffrances
Étant donné que presque tout le monde fuit la souffrance, votre esprit a
cherché alors à vous protéger de celle-là en associant (grâce à l’utilisation
des mécanismes cérébraux) la peur à l’expérience de prise de parole en
public.
Pour y voir plus clair, souvenez-vous de l’exemple du conditionnement

pavlovien donné par le professeur Patrick VUILLEUMIER dans le secret
n°3.
Il a suffi de se servir d’un stimulus (faire tinter une cloche ) au moment où

la décharge électrique est envoyée à l’animal pour qu’à la séance suivante,
au simple tintement de cloche, l’animal prenne peur et en montre toutes les
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réactions physiologiques. Souvenez-vous de ce que le professeur Patrick
VUILLEUMIER a ajouté que l’être humain peut également être
conditionné de la même manière, quoique moins brutalement.
Donc, lors de cette première expérience désagréable de prise de parole en

public, vous vous êtes conditionné vous-même : vous avez associé « la
décharge électrique » des moqueries, railleries et mépris de l’auditoire au
« tintement de cloche » que représentait cette prise de parole en public.
À partir de là, il suffit qu’une expérience similaire de prise de parole en

public ressurgisse ou que vous vous souveniez de cette première expérience
pour ressentir alors de la peur.
Vous comprenez mieux maintenant pourquoi vous arrivez par exemple à

parler sans peur dans une salle bondée de monde, mais qu’il vous suffit de
vous retrouver à la télévision pour souffrir de toutes les réactions
physiologiques et de toutes les conséquences émotionnelles, mentales,
énergétiques,… de la peur.
Vous comprenez également mieux pourquoi vous vous en êtes tiré(e) avec
moins de peur les fois où, en voulant prendre la parole en public, vous avez
peut-être inconsciemment évité de vous rappeler de cette première
expérience-là.
Justement, il vous faut apprendre une vérité sur cette première expérience-
là : plus la douleur était intense, plus elle s’était fortement imprimée dans
vos neurones, dans les connexions entre eux, dans votre corps,… dans
votre être tout entier.
Par la suite, à chaque fois que vous vous en êtes rappelé(e), vous avez
rendu cette impression encore plus forte. Plus cette impression était forte,
plus l’intensité, avec laquelle votre amygdale a déclenché les réactions
physiologiques de la peur, était élevée.
22



Dès cet instant, l’amygdale ayant gardé le souvenir de cette première
expérience désagréable grâce à ses liens avec le siège des souvenirs qu’est
l’hippocampe, lors d’une nouvelle occasion de prise de parole en public
similaire à vos yeux à la première, le processus de la peur s’est
automatiquement déclenché vous faisant vivre une nouvelle expérience
encore plus désagréable que la première.
Cette deuxième expérience a renforcé à son tour la puissance de cette

impression négative causant dans votre être entier une peur encore plus
grande de parler en public. La troisième expérience est venue faire de
même et ainsi de suite.
En fait, chaque nouvelle expérience désagréable de prise de parole en

public est venue confirmer et démultiplier en vous la puissance de cette
impression négative. Votre peur en est devenue encore plus intense.
Aujourd’hui encore, la puissance de cette impression négative en vous vous

amène à avoir de plus en plus peur à chacune des occasions de prise de
parole en public qui se présentent à vous. Il s’agit d’un cercle infernal
symbolisé dans le schéma de la page suivante :
23



Schéma n°2 : le cercle infernal de la peur de parler en public
Une expérience
désagréable de prise de
parole en public
entraîne
Une douleur et une peur Une douleur et une peur
encore plus intenses intenses qui génèrent
Une autre expérience
désagréable de prise de
parole en public qui
entraîne à son tour
Vous connaissez bien ce cercle pour l’avoir expérimenté, n’est-ce

pas ?! Sachez que cette peur va continuer à perdurer tant que la puissance
de cette impression négative ne sera pas progressivement affaiblie, puis
détruite. Si vous voulez l’affaiblir, puis la détruire, lisez le 5ème, le 6ème et le
7ème secret.
24



5ème SECRET
découvert par la science : vous ne devez pas vous
débarrasser du mécanisme de la peur. Mais vous
pouvez vous débarrasser de votre peur de parler
en public.
« Le samedi 24 mars 2012, aux alentours de 10h, j’étais au grand marché

international du textile du Bénin : Missègbo. Pour des problèmes d’espace,
j’avais dû garer ma RAV 4 à 2 ou 3 kilomètres de ce centre commercial.
Dès lors, m’y rendre nécessitait de traverser à pieds la route dans les deux

sens. Mais ce jour-là, comme tous les samedis d’ailleurs, la circulation
était ultra-dense, les agents de la circulation manquaient à l’appel et les
conducteurs de voitures/motos ne faisaient preuve d’aucune courtoisie.
Je venais de traverser la première moitié de la route et avais encore la tête
tournée à gauche du côté d’où venaient les véhicules circulant sur cette
première moitié. Je m’apprêtais, toujours la tête à gauche, à en traverser
la seconde. Mais lorsque je finis par regarder à ma droite, je vis arriver à
une allure normale, mais impressionnante une énorme 4*4 vers moi.
J’eus peur. Durant une fraction de seconde, je fus tétanisé, figé telle une
statue de plomb alors que ma vie était en danger. Aujourd’hui, en vous
racontant cette histoire, je comprends que mon cerveau cherchait la
solution la plus rapide et la plus efficace, le réflexe le plus adéquat.
Sans comprendre comment j’ai réussi à réagir, sans aucun effort de
volonté de ma part, je fis un bond en arrière et l’évitai. En revoyant la
scène au moment de vous la raconter, je constate que la vitesse et l’agilité
de ce bond convenaient exactement à la situation.
25



La solution, à cette situation, avait été sélectionnée parmi une bonne
dizaine d’autres. Mais elle avait été appliquée instinctivement ; et cela
sauva ma vie me procurant l’occasion et le plaisir de continuer à écrire ce
livre pour vous ».
Pour vous qui avez lu le 3ème secret, vous comprenez ce qui s’est passé :
Schéma n°3 : un exemple vivant de l’utilité de la peur
Mes yeux ont vu l’énorme voiture venir vers moi.
Cette information s’est transformée en message sensoriel qui est passé par
mon thalamus pour atterrir dans mon cortex visuel.
À ce niveau‐là, l’information a été interprétée comme dangereuse pour moi.

Mon amygdale a alors déclenché la peur. Les réactions physiologiques n’ont
pas tardé : mon cœur a battu plus vite pour me préparer à l’effort. Mon
cerveau a réfléchi plus vite, mes muscles tétanisés dans un premier temps
sont devenus plus actifs et j’ai réagi à temps.
26



Avec cet exemple, vous comprenez certainement à quel point la peur peut
être essentielle à votre survie en cas de danger. Il est désormais évident
pour vous que les réactions physiologiques qu’elle provoque sont là pour
vous aider à vous en sortir. Le mécanisme déclenché par votre amygdale
n’est là que pour protéger votre vie et vous vient de vos ancêtres.
Vous ne devez donc pas chercher à vous en débarrasser car elle vous sera
utile en cas de réel danger. Mais souvenez-vous de ceci : il n’y aucun
véritable danger à parler en public, que du plaisir en réalité.
Il y a le plaisir de se sentir écouté par des milliers et parfois des millions de

personnes, il y a le plaisir de sentir en ce moment qu’on est le nombril du
monde, il y a le plaisir de se faire applaudir à tout rompre,… et il y a le
plaisir de lire l’admiration des autres dans leurs regards et conversations
avec vous. Que du plaisir !
Quel véritable danger y a-t-il à parler en public ? Vous tuera-t-on ? Non,

n’est-ce pas ?! Vous blessera-t-on ? Non, n’est-ce pas ?! Votre vie ne sera
vraiment en danger que si vous vivez dans un pays extrémiste où l’on n’a
pas le droit d’exprimer son avis.
Mais même dans ce cas, vous ne risquerez pas la douleur ou la mort pour
avoir parlé en public, mais plutôt à cause du contenu de votre discours ;
contenu que vous pouvez moduler à votre manière d’ailleurs, la
communication étant un art.
Par conséquent, vous pouvez vous débarrasser de votre peur de parler en

public et expérimenter le même plaisir que celui ressenti par les grands
orateurs.
Oui ! Vous connaîtrez le plaisir de la prise de parole en public si vous faites

ce que je vous demande car vous vous libérerez de votre peur de parler en
public ; et quand vous n’avez plus peur, vous pouvez vous concentrer sur
votre plaisir. Pour découvrir comment y arriver, je vous propose d’aller lire
le secret n°6.
27



6ème SECRET
découvert par la science : vous devez aller à la
source si vous voulez vous débarrasser de votre
peur de parler en public.

Vous avez dû, si vous avez lu avec attention les 5 premiers secrets, vous
rendre compte d’une vérité cruciale : à chaque fois que vous vous
retrouverez dans une situation de prise de parole en public qui vous
rappellera vos expériences douloureuses en la matière, votre peur
s’activera.
Or nous vivons dans une société dans laquelle les occasions de parler en
public sont de plus en plus légion : réunions, débats télévisés, émissions
radiophoniques, conférences, séminaires, … . Qu’est-ce que cela implique
pour vous ? Ce n’est qu’un rappel que je vous fais, je suppose ! Mais cela
implique pour vous de vous libérer le plus rapidement possible de votre
peur de parler en public.
Il vous est proposé aujourd’hui de nombreuses méthodes pour y arriver :
 Certaines sont du charlatanisme pur : je vous parle de ces méthodes

qui foisonnent sur Internet et vous proposent de vous libérer de votre
peur de parler en public en quelques jours, voire en quelques
minutes. Elles se basent sur les expériences de personnes qui ont
confondu le trac et la peur, la vraie, l’intense, celle que vous et moi
nous connaissons.
Mais croyez-moi, s’il est possible de diminuer progressivement sa
peur de parler en public, il faut du temps pour s’en libérer
totalement. S’il est possible en peu de temps d’avoir le courage de
parler dans certaines situations de prise de parole en public, il faut du
temps pour se sentir capable et être capable de faire face à n’importe
28



quelle situation de prise de parole en public. Ce temps varie en
fonction de l’intensité de votre peur. Par exemple, à moi, il aura fallu
3 ans au total en tenant compte du fait que je n’avais pas eu à cette
époque à parler en public toutes les semaines de l’année.
 D’autres vous proposeront de « foncer tête baissée » ou autrement dit

de vous forcer à prendre la parole en public. Ainsi, vous ferez face à
votre peur ; et puisqu’à partir de là, vous vous rendrez compte de ce
qu’aucun danger réel ne vous menace, votre peur disparaîtra.
Mais si votre peur est intense, vous n’oserez jamais suivre leurs
conseils ; et si vous trouvez le courage de les suivre, à moins que
vous ne fassiez partie de ces cas exceptionnels (le président
Theodore ROOSEVELT par exemple) capables de trouver la force
intérieure pour faire immédiatement face à leurs peurs, vous ne ferez
que renforcer la vôtre. Souvenez-vous de la façon dont elle se
déclenche automatiquement et de la façon dont chaque nouvelle
expérience douloureuse vient renforcer l’ancienne.
 D’autres encore vous proposeront, dans le but de réduire les

symptômes de votre peur de parler en public, des traitements
médicamenteux à base de citalopram par exemple. Mais les
médicaments sont ce qu’ils sont : des drogues. En termes plus clairs,
si vous en prenez, vous en deviendrez bientôt dépendant sans oublier
que vous n’aurez fait qu’appliquer un baume pour diminuer votre
douleur, mais pas un remède pour cicatriser votre plaie. Par
conséquent, votre peur de parler en public ressurgira à la première
occasion.
 D’autres enfin quoique efficaces se basent parfois sur la politique de

l’autruche. Mais la faute en revient plutôt à leurs utilisateurs qui, par
peur de faire face à leurs peurs, se tournent uniquement vers l’avenir
et se créent des situations dans lesquelles ils brillent véritablement
29



dans leur prise de parole en public. Mais ils oublient que leur peur
ressurgira si une situation présente de prise de parole en public leur
rappelle une ancienne expérience douloureuse. Souvenez-vous du
caractère automatique de vos réactions de peur.
En fait, les méthodes qui obtiennent un résultat des plus remarquables sont
celles qui vont à la source du mal. Elles traitent en toute sécurité au niveau
neuronal vos expériences douloureuses en matière de prise de parole en
public et vous débarrassent de leur charge affective.
Toutefois, les plus efficaces sont celles qui non seulement traitent en toute
sécurité au niveau neuronal vos expériences douloureuses en matière de
prise de parole en public, mais se tournent également vers l’avenir et créent
des conditions dans lesquelles vous finissez par devenir un brillant orateur.
Voulez-vous disposer d’un tableau listant lesdites méthodes ? Bien que je

ne pense pas que la liste soit exhaustive, voici celles que je connais
personnellement. Elles sont classées des plus efficaces aux moins efficaces
à mon avis.
T ableau n°1 : avantages et inconvénients à mon avis des meilleures méthodes pour vaincre
votre peur de parler en public
L es méthodes les
plus efficaces
pour vaincre A vantages Inconvénients
votre peur de
parler en public
Vraiment efficaces si le Le processus est long car vous
Les Thérapies processus est suivi jusqu’au bout serez suivi jusqu’au moment
Comportementales car le praticien vous aidera non où vous vous débarrasserez
et Cognitives seulement à vous débarrasser de effectivement de votre peur de
votre peur, mais vous aidera parler en public. Vous aurez
également à enregistrer des droit à de nombreuses séances
expériences réussies de prise de dont la quantité variera selon
parole en public. Après cela, il votre cas ; et chaque séance
ne vous restera à vous-même avec le praticien vous coûtera
qu’à accumuler succès sur au minimum 30 euros.
succès.
30



La Thérapie Résultat remarquable en ce sens Le processus est relativement
d’Intégration qu’elle vous débarrassera de long. Le nombre de séances
Neuro- votre peur de parler en public. À variera en fonction de votre
Émotionnelle partir de là, il vous reviendra problème, mais excédera
(EMDR) d’accumuler des expériences rarement la douzaine. Le coût
positives de prise de parole en d’une séance est d’environ 60
public euros minimum
L’hypnose Résultat remarquable si le Chaque séance coûte un

patient est influençable de cette minimum de 40 euros. Par
manière. Mais ne fait partie des ailleurs, il vous faudra dégager
plus efficaces que si les séances assez de temps dans une
sont faites régulièrement, que le semaine pour les suivre. Si
mal est traité à la source et qu’il vous êtes quelqu’un de très
y a un processus mis en place occupé, cela va être compliqué
pour un avenir radieux dans la pour vous. Mais vous pouvez
prise de parole en public également choisir d’apprendre
l’auto- hypnose. Ainsi, vous
dépenserez à long terme moins
d’argent pour vaincre votre
peur de parler en public et vous
programmer pour le succès.
Par contre, vous devrez quand
même dégager du temps car
l’on ne pratique pas l’hypnose
ou l’auto-hypnose en 5
secondes à la va-vite.
La PNL Résultat remarquable. Rentre Vous devrez faire appel à des

dans la liste des méthodes les spécialistes et les payer. Le
plus efficaces si les nouveaux coût d’une séance est d’environ
programmes neurolinguistiques 45 euros et il vous en faudra
créés tiennent compte également tout au plus une dizaine.
du passé et si un processus de Ensuite, il vous faudra
prise de confiance en soi vient apprendre à appliquer ce que
renforcer les résultats obtenus à vous avez appris afin de
l’avenir vaincre définitivement votre
peur de parler en public. Mais
vous pouvez également choisir
de devenir vous-même un
praticien de la PNL en suivant
des formations.
31



Voilà donc les méthodes les plus efficaces à mon avis. Comme vous l’avez
remarqué, un grand nombre d’entre elles vous aideront surtout à vous
débarrasser de la charge affective liée à votre peur de parler en public sans
faire de vous un brillant orateur.
Le risque, c’est qu’à la moindre nouvelle expérience négative, vous risquez
de plonger à nouveau. Pour éviter cela, il faut forcément que vous
imprégnez votre champ mental et émotionnel d’expériences de succès dans
la prise de parole en public.
Par ailleurs, vous aurez remarqué que vous devez prévoir environ un
minimum de 300 euros pour la moins coûteuse des méthodes. Mais ce
n’est pas cher payé pour vous aider à vous débarrasser de cette peur qui
vous pourrit l’existence, n’est-ce pas ?!
Vous devrez également dégager beaucoup de temps dans la majorité des

cas or c’est peut-être la ressource dont vous disposez le moins. Vous devrez
également beaucoup vous impliquer en termes d’énergie et de travail, mais
avec l’aide d’un guide : le praticien.
Mais attendez ! Et s’il y avait une méthode qui vous garantissait le résultat

sans vous faire dépenser énormément, en s’adaptant à votre planning, en
vous faisant faire moins d’efforts et que vous-même vous pouvez mettre
en œuvre sans l’aide de personne ?
Cette méthode existe. Pourquoi ? Elle se base sur les avantages de la

majorité des méthodes ci-dessous tout en se débarrassant de leurs
inconvénients. De façon plus spécifique,
 Elle est facile à découvrir et à maîtriser. Vous pourrez donc

l’appliquer par vous-même plutôt que de payer à des spécialistes des
sommes au total exorbitantes pour vous débarrasser de votre peur de
parler en public ;
32



 Elle ne vous coûte que le prix du livre qui en détaille tous les aspects
de façon à vous permettre de la pratiquer vous-même. Maintenant, si
vous tenez à vous faire assister par l’auteur, libre à vous d’en payer
le coût ;
 Elle vous absorbe peu de temps dans une semaine de travail très
chargée ;
 Elle vous permet de traiter en toute sécurité le mal à la source. Ainsi,

après un certain temps de pratique, vous serez capable de parler avec
brio en public dans les mêmes situations qui vous avaient autrefois
terrassé. C’est la liberté absolue ;
 Elle vous permet d’anticiper sur les situations difficiles ultérieures de

prise de parole en public. Ainsi, lorsqu’elles se présentent, vous
brillez plutôt que d’avoir peur ;
 Elle vous renforce constamment, démultiplie votre confiance en vos

capacités et vous permet d’aller à des niveaux de plus en plus élevés
de prise de parole en public ;
 Les changements positifs commencent par se remarquer après trois

mois à peine de pratique. Avec le temps, ils s’améliorent jusqu’au
jour où de peureux, vous devenez un brillant orateur.
Trop beau pour être vrai ? Cliquez ici pour en juger par vous-même.
33



7ème SECRET découvert par la science : évitez
désormais les mauvais stimuli… sinon ce sera de
votre faute et vous… souffrirez
Vous devez éviter dès maintenant les mauvais stimuli si vous ne voulez pas
souffrir encore plus dans le présent et dans le futur. Vous aurez compris, en
lisant ce livre, que les mauvais stimuli sont tous les évènements qui
déclenchent votre peur de parler en public.
Chaque mauvais stimulus correspond à un évènement susceptible de

déclencher votre peur de parler en public. Il se peut que ce soit chez vous
une invitation à passer à la télé, une invitation à diriger un groupe lors de
l’une de ses réunions,…. .
Ces mauvais stimuli varient de personne en personne car les expériences

douloureuses du passé ne sont pas les mêmes. Vous devrez donc chercher
quels sont les vôtres. Pour cela, il vous suffit de vous asseoir dans un
endroit tranquille où personne ne viendra vous déranger, de prendre un
bloc-notes ainsi qu’un stylo ou votre ordinateur si vous le préférez et de
répondre aux trois questions suivantes dans leur ordre d’arrivée :
 Dans quelles situations ai-je eu peur de parler en public ?
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
34



 Dans quelles autres situations ai-je eu peur de parler en
public ?
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
 Dans quelles autres situations je sens que j’aurai peur de
parler en public ?
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
La première question vous permettra de vous remémorer les expériences

douloureuses les plus récentes. La deuxième vous permettra de fouiller
votre mémoire et d’aller chercher un peu plus en profondeur des
expériences douloureuses enfouies au tréfonds de votre être. La troisième et
dernière question vous permettra de vous rendre compte de toutes les
situations futures qui pourraient vous faire peur.
Soyez exhaustif. Ainsi, vous pourrez, après avoir découvert tous ces
mauvais stimuli, les éviter soigneusement.
C’est là que je vous entends me dire avec inquiétude : « Mais vous me
demandez d’éviter toutes les situations susceptibles de me faire peur à
nouveau. En quoi cela règle mon problème si je suis à un poste ou dans des
conditions où je dois forcément parler en public ? ».
C’est là que je vous réponds : « J’ai une bonne nouvelle pour vous : quand

je vous demande d’éviter le mauvais stimulus, je ne vous demande pas de
ne pas parler dans des situations qui vous font peur ou qui sont
35



susceptibles de le faire . Bien au contraire car personne n’apprend
véritablement à nager hors de l’eau ».
Quand je vous demande d’éviter le mauvais stimulus, je vous demande
d’éviter de faire de ces situations de mauvais stimuli. Oui ! Aussi bizarre
que cela puisse paraître, c’est vous-même qui créez le mauvais sti mulus !
Comment ? Me demanderez-vous avec raison.
Vous vous souvenez du processus par lequel votre peur de parler en public
est déclenchée ? Elle a été décrite lors de la présentation du troisième
secret dès la page 18.
La voici résumée ici : l’information provenant de votre environnement
passe par un ou plusieurs de vos 5 sens, se transforme en message
sensoriel, atterrit dans votre cortex en passant par votre thalamus. Si elle
est interprétée comme dangereuse pour vous, l’amygdale déclenche alors
les réactions physiologiques de peur.
Il y a une partie qui devrait attirer votre attention ici : si elle est interprétée
comme dangereuse pour vous. Répétons-la : « Si elle est interprétée
comme dangereuse pour vous ».
Cela signifie une seule et unique chose : « Si elle n’est pas interprétée
comme dangereuse pour vous, les réactions physiologiques de peur ne
seront pas déclenchées par l’amygdale et vous vous sentirez aussi à l’aise
qu’un poisson dans l’eau ».
Vous comprenez maintenant pourquoi certaines personnes de votre

entourage n’ont jamais eu peur de parler en public, n’ont jamais eu peur
des serpents, n’ont jamais eu peur des fantômes, n’ont jamais eu peur du
noir,… .
L’information liée à ces éléments n’a jamais été interprétée comme

dangereuse à leur niveau. Mais le jour où elle le sera, vous lirez la peur
sur leurs visages. Par exemple, le jour où quelqu’un, qui n’a pas peur des
36



serpents, se fera mordre par une espèce venimeuse, il est fort probable
qu’il en aura désor mais peur.
N’avez-vous pas constaté que certains bébés ai ment jouer avec les feux ou
les couteaux ? C’est simplement parce que ces éléments n’ayant pas étés
interprétés comme dangereux pour eux, leurs amygdales respectives n’ont
pas déclenché le processus de la peur.
Mais il n’en est pas de même pour leurs parents : quand un père ou une
mère voit son bébé de deux ans avec un couteau ou s’ approchant du feu, il
ou elle se précipite pour l’en débarrasser ou l’en éloigner. Il ou elle se
précipite avec frayeur car l’information a été interprétée dans son cortex à
lui ou à elle comme dangereuse pour son enfant.
Vous comprenez également maintenant pourquoi il vous a toujours paru
absurde que l’une de vos amies n’ait pas peur des rats, mais soit horrifiée
devant les cafards. Vous comprenez pourquoi un ami à vous n’a aucune
peur de parler en public, mais a peur d’aborder les filles alors que chez
vous, c’est tout à fait le contraire : tant que l’information n’a pas été
interprétée comme dangereuse ou nuisible si vous préférez, il n’y aucune
réaction de peur, tout étant automatisé.
Mais à votre avis, qu’est-ce qui a causé cette interprétation ? Vous me
répondrez que c’est votre première expérience douloureuse de prise de
parole en public. Vous me direz que durant cette première expérience
douloureuse de prise de parole en public, l’auditoire avait contredit
l’orateur (Vous ou quelqu’un d’autre dont l’exemple vous a marqué) ou
pire s’était moqué de lui et l’avait puni pour ses faibles perfor mances.
D’accord ! Mais dans toute votre existence, n’avez-vous ja mais rencontré

ou tout au moins entendu parler de gens qui, ayant vécu des premières
expériences pires que la vôtre, ont simplement réagi ainsi : « Laisse ces
ignorants » ou encore se sont dits : « Ce n’est pas grave ! C’est une leçon
pour la prochaine fois et je me défie pour faire mieux la prochaine fois » ?
37



Vous voyez ? Eux, ils perçoivent l’information d’une autre manière et cela
fait que cette première expérience n’est pas interprétée comme une
expérience douloureuse nécessitant que la peur soit déclenchée la
prochaine fois par l’amygdale.
Vous pourriez faire comme eux et désormais interpré ter l’information
autrement : vous pourriez décider d’interpréter positivement toute situation
future de prise de parole en public. Ainsi, vous éviterez soigneusement d’en
faire de mauvais stimuli susceptibles de déclencher votre peur de parler en
public.
Souvenez-vous de ce que le Docteur Stephen C OVEY, multimillionnaire
dont les livres se vendent en moye nne à plus de 10 millions d’exemplaires,
consultant en leadership auprès des plus grandes entreprises du monde,
détenteur de plus de 10 prix et distinctions honorifiques, a dit :
« Dans l’intervalle entre le stimulus et la réponse, il y a un intervalle de
liberté. Des choix faits dans cet intervalle, dépendent notre croissance et
notre bonheur. Nous avons le choix entre nous placer en position de
victime ou être proactif ».
Souvenez-vous de ce que Bill GATE S, l’homme le plus riche du monde

pendant 11 ans successifs, 2ème milliardaire le plus riche du monde en
2011, co-fondateur de Microsoft, nous a dit : « Quand vous percevez une
nouvelle désagréable non pas comme négative, mais comme le besoin de
changer quelque chose dans votre vie, vous apprenez d’elle et vous
gagnez ».
Évitez de créer vous-même de mauvais stimuli. Choisissez plutôt d’être

proactif et de faire le choix d’interpréter positivement vos prochaines
expériences de prise de parole en public.
Si vous voulez apprendre à le faire, cliquez ici pour découvrir le livre
« Comment surmonter la peur de parler en public et prendre
intensément de plaisir à prendre la parole ».
38



PASSEZ À L’ACTION
Qu’est-ce qui distingue le rêveur du bâtisseur ? L’action, n’est-ce pas ?!

Sans actions, pas de résultats ! C’est comme ça depuis la nuit des temps !
La vie ne vous payera jamais pour ce que vous savez, mais plutôt pour ce
que vous faites, pour vos actions. Vous voyez ? Moi, j’ai entrepris une
action : celle d’écrire ce livre ; et je peux vous garantir que j’y ai pris un
immense plaisir. Je serais prêt à le faire encore et encore.
À vous à présent d’agir : à travers les 7 secrets scientifiques qui vous ont

été présentés ici, vous savez aujourd’hui que vous pouvez agir et vous
libérer de votre peur de parler. Vous savez que le succès est à votre portée
car vous avez compris le mécanisme qui déclenche votre peur de parler en
public. Il ne vous reste maintenant qu’à savoir comment vous en libérer
d’une façon peu coûteuse, facile, personnalisable et efficace.
Mais sachez que vous avez le choix entre deux actions au moins : vous
pouvez fermer ce livre en vous promettant de changer un jour ; ce qui
n’arrivera probablement jamais. Mais vous pouvez aussi décider de cliquer
immédiatement ici pour prendre le chemin qui va vous mener à la
réalisation de l’un de vos rêves : prendre la parole en public sans peur et
briller.

Le succès, dans la prise de parole en public, frappe à votre porte. Ouvrezlui !
Soyez à la mesure de vos rêves !
Ulrich A F F O
39


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Vous vivez des moments désagréables, voire douloureux à chaque occasion

Le fameux Socrate a dit un jour : « Connais-toi toi-même. C’est le

La science va vous y aider comme elle l’a fait pour moi. En effet, depuis

C’est une vérité qui deviendra vôtre d’ici peu de temps ; et il ne tient qu’à

À vous de jouer mon ami(e) !

TEST : avez‐vous vraiment peur

Mais, dans le domaine de la prise de parole en public, les trois différences

Dale CARNEGIE, le légendaire expert en méthodes et techniques pour

Si ces phénomènes physiologiques ne dépassent pas certaines limites,

f) Quand un membre de l’auditoire vous pose une question, vous avez

g) Vous préférez éviter et vous fuyez même toutes les occasions de

Si vous avez répondu « Oui » à 3 ou plus de ces questions, il n’y a plus

Quand votre peur de parler en public se manifeste en présence des autres,

Faisons ensemble ce petit jeu, voulez-vous ? : souvenez-vous d’une

La deuxième bonne nouvelle, c’est la conclusion à tirer de tout ce que la

 Selon un sondage en 1993 de l’Ifop, l’institut français de référence

 Selon l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques,

En multipliant les deux données et en extrapolant de façon brute celles de

En effet, selon différentes enquêtes nationales, les Américains classent la

Le célèbre comédien Jerry SEINFELD n’a-t-il pas blagué à ce sujet en

De plus, il y aurait à l’heure actuelle plus de 250.000 personnes dans plus

Alors, arrêtez de vous sentir humilié(e) parce qu’à chacune de vos prises de

Quant aux autres membres de l’auditoire, ceux qui n’ont pas peur de parler

Il y a de cela environ huit (08) semaines, je me souviens avoir revu, non

Vous voyez ? Cette subite immobilité, déclenchée par leur cerveau

Ainsi, se définit le rôle de la peur : nous sauver la vie. La peur a sauvé la

 Les battements de votre cœur s’accéléreront afin de vous préparer à

 Les pupilles de vos yeux se dilateront pour vous permettre de mieux

Mais n’oubliez pas que l’option de la fuite peut vous sauver la vie même si

Peut-être vous demandez-vous à présent ce que la peur « des loubards dans

Mais en attendant, si vous voulez en savoir plus (je vous le suggère

En voici le processus habituel (processus si mplifié ici pour les profanes

 Primo, vos sens captent des informations provenant de votre

 Secundo, ces informations passent par votre thalamus (chemin

 Tertio, si au niveau du cortex sensoriel approprié, ces informations

 Les réactions physiologiques liées à la peur se déclencheront

Vous voyez ? Le processus de la peur est automatisé dans votre cerveau ; et

Le neuroscientifique Patrick VUILLEUMIER vous explique mieux le

Donc, dit d’une façon simple, si le rire de votre auditoire est associé dans

Si le fait d’être en face de diverses autorités politiques ou personnalités du

Dans l’histoire de votre vie, il y a toujours eu une première fois, n’est-ce

Vous (ou quelqu’un d’autre) avez subi ce genre d’humiliations. Vous (ou

Pour y voir plus clair, souvenez-vous de l’exemple du conditionnement

Il a suffi de se servir d’un stimulus (faire tinter une cloche ) au moment où

Donc, lors de cette première expérience désagréable de prise de parole en

À partir de là, il suffit qu’une expérience similaire de prise de parole en

Vous comprenez mieux maintenant pourquoi vous arrivez par exemple à

Cette deuxième expérience a renforcé à son tour la puissance de cette

En fait, chaque nouvelle expérience désagréable de prise de parole en

Aujourd’hui encore, la puissance de cette impression négative en vous vous

Vous connaissez bien ce cercle pour l’avoir expérimenté, n’est-ce

« Le samedi 24 mars 2012, aux alentours de 10h, j’étais au grand marché

Dès lors, m’y rendre nécessitait de traverser à pieds la route dans les deux

Il y a le plaisir de se sentir écouté par des milliers et parfois des millions de

Quel véritable danger y a-t-il à parler en public ? Vous tuera-t-on ? Non,

Par conséquent, vous pouvez vous débarrasser de votre peur de parler en

Oui ! Vous connaîtrez le plaisir de la prise de parole en public si vous faites

Il vous est proposé aujourd’hui de nombreuses méthodes pour y arriver :

 Certaines sont du charlatanisme pur : je vous parle de ces méthodes

 D’autres vous proposeront de « foncer tête baissée » ou autrement dit

 D’autres encore vous proposeront, dans le but de réduire les

 D’autres enfin quoique efficaces se basent parfois sur la politique de

Voulez-vous disposer d’un tableau listant lesdites méthodes ? Bien que je

L’hypnose Résultat remarquable si le Chaque séance coûte un