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7. AUTONOMISATION ................................................................................................. 27
8. CONCLUSION ........................................................................................................... 28
9. BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................... 29
Le Groupe Total a estimé produire le pétrole, en 2020 après avoir reçu le « permis
d'exploitation pétrolière pour la région ougandaise du lac Albert » en août 2016 (Cours du
baril, 2016). Total, l’une des deux entreprises chargées de l’exploitation et la production du
pétrole est présente dans le pays depuis 1955. Le Groupe s’est concentré surtout dans le
marketing et services et a actuellement un réseau de 150 stations qui représente 24 % du
marché. Ayant obtenu l’approbation du gouvernement ougandais « pour opérer les activités
d’exploration et de production », Total, doit investir dans les infrastructures et dans ses
ressources humaines (Total, 2018).
Les ingénieurs qui travaillent avec Total dans l’exploration et la production du pétrole et du
gaz ont besoin d’une formation en langue française. Il est essentiel pour eux étant donné qu’ils
travaillent avec d’autres ingénieurs spécialisés Français et Francophones. Puisque les
ingénieurs ougandais auraient besoin de communiquer avec leurs collègues qui parlent
français, l’apprentissage de la langue est inévitable. Ils pourraient avoir des échanges écrits ou
oraux pour partager des informations sur les progrès des travaux. C’est possible aussi que des
ouvrages à consulter lors des travaux ne seraient que disponibles en français.
Le dossier commence par une demande fictive émise par le Groupe Total qui souhaite avoir
ses ingénieurs ougandais formés en FOS. Ensuite, il y a l’analyse des besoins des ingénieurs
en question afin de collecter des données. À l’aide des données collectées, il y aura une
deuxième analyse des données pour faciliter la proposition d’un programme de formation.
Voici la demande imaginaire de « Total Uganda » pour une formation linguistique auprès de
ses ingénieurs :
L’Alliance française de Kampala a reçu une demande d’une formation linguistique émanant du
Groupe Total (Total Uganda) à Kampala pour former une quinzaine d’ingénieurs dans les secteurs
de l’énergie et de l’environnement de niveau intermédiaire en français.
Ces ingénieurs devront participer à des séminaires avec d’autres ingénieurs francophones pour
planifier les activités autour de l’exploration et la production du pétrole dans la région pétrolière
du pays. Ils auront aussi des missions régulières qui les amèneront à voyager en France et dans
plusieurs pays francophones producteurs du pétrole (la République Démocratique du Congo, le
Cameroun, l’Algérie, le Gabon, le Congo, le Tchad, la Guinée Équatoriale et le Canada).
Cette formation doit se dérouler au sein des locaux du siège de Total Uganda à Kampala, tous les
jours ouverts et samedi pendant deux semaines en intensif par l’Alliance française. À la fin de
formation, les ingénieurs devront atteindre le niveau professionnel en français.
Les ingénieurs dans les secteurs de l’énergie et de l’environnement pour lesquels la formation
a été proposée sont tous des Ougandais avec des âges et expériences variés. Ils ont tous une
connaissance du français du niveau B1, car ils ont été demandés à suivre une formation du
français prise en charge par Total dès leur recrutement et ont tous obtenu des attestations de
niveau B1 pendant une durée de six mois suite à leur formation.
En tant qu’étudiant de Master FLE 2, l’AFK a invité le concepteur à faire une collecte des
données à l’aide d’un questionnaire qu’il a conçu. Ce questionnaire devrait servir dans la
définition d’un programme provisoire sur deux semaines intensives et de ses objectives. Le
concepteur a ensuite conçu un questionnaire adaptant celui qui a été proposé par
M. Magniante dans ses cours d’Audit linguistique en entreprise.
Questionnaire pour définir les besoins linguistiques des ingénieurs dans les secteurs de
l’énergie et de l’environnement ougandais travaillant avec Total Uganda et des situations
communicationnelles confrontées1 :
Nom : Sexe :
Prénom : Âge :
1
Inspiré de : J.M. Mangiante et C. Parpette, Le Français sur Objectif Spécifique : de l’analyse des besoins à
l’élaboration d’un cours, Paris, Hachette FLE, 2004, p. 30 à 31.
Profession
Quelles sont les principales tâches que vous effectuez ?______________________
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Quels sont vos contacts avec des ingénieurs francophones (nature, fréquence, langue(s)
utilisée(s)) ?_____________________________________________________________
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Quels sont vos contacts avec vos collègues (nature, fréquence, langue(s) utilisée(s)) ?
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Quels sont vos contacts avec votre hiérarchie (nature, fréquence, langue(s) utilisée(s)) ?
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Rapport au français
En dehors du contact avec d’autres ingénieurs, utilisez-vous le français dans votre travail ?
- oui / non/ parfois (Entourez 1 option).
Si oui, ou parfois en quels contextes ?_____________________________________
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Utilisez-vous le français en dehors du travail ? - oui / non/ parfois (Entourez 1 option).
Si oui, ou parfois en quels contextes ? A. B. C. D.
(Entourez la/les lettre(s) qui correspondent avec le/les contexte(s))
Utilisez-vous le français en dehors du travail ? - oui / non/ parfois (Entourez 1 option).
Si oui, ou parfois en quels contextes ? A. B. C. D.
(Entourez la/les lettre(s) qui correspondent avec le/les contexte(s)).
NB. (Pour la liste des documents, voir sous le sous-thème Documents en français).
Motivation
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Tous les ingénieurs ont pu remplir les questionnaires en français en s’aidant du temps en temps
des dictionnaires bilingues pour trouver le sens de certains mots. Les âges des ingénieurs
varient étant vingt-sept ans pour le moins âgés et quarante-huit ans pour le plus âgé. Certains
parmi eux sont chevronnés dans leur domaine comme l’ingénieur de génie civil et l’ingénieur
architecte qui ont dix-huit ans et quinze ans d’expérience respectivement avant et chez Total
Uganda. Quant aux moins expérimentés, ils ont une moyenne de sept ans d’expérience avant
et chez Total Uganda.
Pour le rapport avec le français, tous les quinze ingénieurs ont répondu qu’ils ont dû parfois
utiliser le français dans leur travail avec des ingénieurs francophones, certains collègues et leur
hiérarchie. Cependant, les fréquences d’utilisation du français variaient en fonction des
exigences professionnelles et des responsabilités.
Pour l’expression orale, huit sur quinze ingénieurs ont répondu avoir eu besoin d’utiliser
oralement le français dans leur travail pour expliquer et justifier certaines démarches à un
collègue francophone. Ils ont pourtant avoué avoir mal à parler faute du manque de vocabulaire
pour décrire et expliquer certaines étapes et procédures techniques.
Pour la compréhension écrite, tous les ingénieurs ont révélé qu’ils sont plus fréquemment
obligés de consulter certains documents en français au travail. Les documents les plus consultés
qu’ils ont mentionnés étaient des rapports, des notices, des modes d’emploi, des plans, des
schémas, des lettres, des correspondances et des fiches techniques. Sept sur les quinze
ingénieurs ont révélé qu’ils ont du mal à toujours du mal à comprendre les modes d’emploi et
les lettres de correspondances.
Pour la compréhension orale, dix sur quinze ingénieurs ont indiqué qu’ils ont du mal à
comprendre ce que leurs collègues et hiérarchie leur communiquent oralement pendant des
réunions dans lesquels ils participent. Il est donc difficile pour eux de suivre les consignes
orales qu’ils reçoivent et qu’ils préfèrent recevoir des consignes écrites parce qu’ils les
comprennent plus facilement. Ils ont tendance à éviter des rencontres avec des collègues
francophones puisqu’ils craignent d'avoir des conversations avec eux qu’ils n’arriveraient pas
Pour l’interaction orale, neuf sur quinze ingénieurs ont indiqué sur les questionnaires qu’ils
n’interagissent pas trop en français avec leurs collègues francophones. De plus, ils n’ont pas
d’occasions en dehors du travail pour parler ou pour s’améliorer en français en tant donné qu’ils
travaillent tous dans un pays anglophone et que leur travail ne leur permet pas de rencontrer
beaucoup de gens sauf les membres de famille. Par contre, 6 sur 15 ont indiqué avoir parfois
des occasions d’utiliser le français en dehors du travail surtout avec les anciens collègues
francophones et quand ils voyagent dans les pays francophones pour des visites des durées
courtes.
Pour l’expression écrite, cinq ingénieurs sur quinze ont enfin communiqué en confidence au
concepteur qu’ils rédigent leurs correspondances et rapports en anglais et les envoient aux
traducteurs en amont pour les avoir traduits avant de les expédier à leur hiérarchie. Cela les
coûte cher et d’une façon qualifie d’une violation du code déontologie. Ils ont ensuite justifié
leurs actions en disant qu’ils ne voulaient pas perdre leurs emplois mais qu’ils feront de leur
mieux pour apprendre à rédiger des correspondances et des rapports.
iii. Motivations
En ce qui concerne les motivations, tous les ingénieurs ont indiqué que la formation était une
bonne idée. Ils ont avoué que l’exigence de leur hiérarchie était la raison principale pour suivre
la formation. Huit ingénieurs parmi eux ont pourtant ajouté qu’ils avaient, eux aussi besoin
d’améliorer leur niveau de français afin de pouvoir communiquer avec les francophones au
travail et dans d’autres contextes. Ils attendaient avoir un meilleur niveau du français à l’issue
de la formation.
Sur le terrain, les situations de communications à confronter durant les activités liées à
l’exploration pétrolière qui exigeraient le besoin d’utiliser le français seront pendant deux
grandes étapes. La première serait pendant la découverte du champ et la seconde, pendant
l’évaluation du champ (IFP School, 2014). Ces deux étapes présenteraient les ingénieurs
ougandais l’occasion d’avoir des échanges oraux avec les techniciens, leurs collègues les
ingénieurs français et francophones et plus essentiellement avec leur hiérarchie.
Les réunions, les séminaires et les conférences surtout ceux qui auraient lieu en France ou dans
les pays francophones producteurs pétroliers présenteraient aux ingénieurs ougandais une
deuxième situation de communication en français. Ils seraient sans doute obligés de suivre
Il est possible que les ingénieurs ougandais soient souvent sollicités à faire des présentations
sur ce qu’ils ont fait, ce qu’ils font, ce qu’ils feront. Avant et après leurs voyages, ils auraient
peut-être besoin de faire des correspondances avec d’autres ingénieurs des différents pays
francophones et les conférenciers.
Afin d’acquérir les compétences linguistiques dont les ingénieurs auraient besoin, le
concepteur a défini un programme provisoire avant l’adaptation suite à ma collecte des
données. Ce programme se trouve en annexe dans la sitographie en dessous des Liens des
supports du cours.
I. Lieu de collecte :
Le lieu de collecte des données a été Internet et toutes mes données ont été obtenues grâce aux
recherches effectuées en ligne en fonction des mots-clés sur le moteur de recherche, Google.
Le concepteur a surtout rencontré beaucoup de difficultés dans l’obtention des documents
gratuits pour élaborer le programme de formation, pour identifier les besoins culturels de mes
apprenants et pour la préparation d’un cours. Le concepteur a été obligé à se cotiser pour un
abonnement payant avec Scribd.com afin d'accéder aux ressources payantes. Ces ressources
qui comprennent surtout des livres numériques et des documents numérisés et ils l’ont vraiment
aidé dans le développement du programme.
Les liens des supports que Le concepteur a proposés pour mon cours se trouvent sous la
sitographie dans le sous-titre Liens des supports du cours.
Selon l’analyse des besoins plus hauts, le concepteur a indiqué que les ingénieurs ont exprimé
leurs besoins à parler, expliquer, justifier, lire des documents, repérer des informations,
comprendre des énoncés oraux, interagir plus aisément et rédiger pour
communiquer efficacement en français. Grâce à cette information, il a proposé un programme
provisoire qui touchait presque tous ces besoins. Toutefois, ayant collecté les données, il s’est
rendu compte qu’il serait prudent d’adapter son programme pour répondre plus efficacement
aux besoins de ses apprenants.
Les informations obtenues à travers la collecte des données sont très riches en contenu pour la
formation linguistique des apprenants. Les documents écrits collectés contiennent de nombreux
textes, transcriptions, articles et discours qui peuvent servir des documents authentiques pour
les compétences écrites. Le concepteur peut s’en servir, par exemple, pour développer la
compréhension écrite, l’expression écrite et l’interaction écrite. L’enregistrement audio, les
animations et clips vidéo peuvent être utiles pour le développement des compétences de l'oral.
En écoutant et en visualisant ces documents audio-visuels, les apprenants pourraient
s’améliorer en fonction de la compréhension orale, l’expression orale et l’interaction orale.
Quant aux documents audio-visuels, les apprenants peuvent être invités à résumer oralement
un document, s’inspirer d’un document pour réaliser un exposé ou un jeu de rôles, se servir
d’un document pour faire une présentation orale et même d’exprimer leur point de vue sur une
certaine opinion exprimée dans l’un des documents exploités.
Le programme défini ci-dessous est un résultat de la collecte des données et de l’analyse des
données collectées. Les données ont ensuite permis à l’adaptation du programme provisoire en
fonction des besoins linguistiques des apprenants et des situations de communications
auxquelles ils feront face à l’issue de la formation. L’objectif général, les conditions, la
progression et la composition du programme définitif sont présentés ainsi:
Objectif général :
Ce programme a l’objectif de former une quinzaine d’ingénieurs ougandais dans les secteurs
de l’énergie et de l’environnement ayant un niveau intermédiaire en français. À l’issue de la
formation, ils devraient être capables participer à des séminaires avec d’autres ingénieurs qui
sont francophones pour planifier les activités autour de l’exploration et la production du pétrole
dans la région pétrolière du pays. Ils devraient aussi pendant leurs futures missions être
capables de communiquer assez couramment avec leurs interlocuteurs quand ils voyagent
régulièrement en France et dans d’autres pays francophones producteurs du pétrole.
La formation est prévue avoir lieu au sein des locaux du siège de Total Uganda à Kampala du
lundi au samedi. Les ingénieurs se disposent de deux semaines pour cette formation qui doit
être intensive avec un maximum de huit heures proposées par journée. Les ingénieurs sont
censés tous atteindre le niveau professionnel en français à l’issue de la formation.
Progression et composition :
Le programme se compose de quatre séquences qui sont réparties en deux thèmes abordés en
deux semaines. Les heures maximales par semaine arrivent à 48 h du lundi au samedi. Chaque
thème couvre une semaine entière. Les heures de cours maximales par jour sont huit avec une
session matinale de 8 h à 12 h et une session après-midi entre 13 h 30 et 16 h 30. Chaque
session dure 4 heures, ayant une pause-café qui ne dépasse pas 20 minutes en total. À la fin de
chaque journée, il y a un bilan de la journée.
Activité : Réalisation d’un exposé oral pour décrire les équipements du fond, des outils
de forage et leur fonctionnement.
Utiliser les présentatifs et les pronoms démonstratifs pour identifier les équipements
dont on parle,
Identifier et décrire les différents équipements et outils de forage mentionnés,
Employer les abréviations françaises utilisées pour parler de certains équipements et
outils utilisés au forage.
[PAUSE DE 10 MINUTES]
iii. Découverte des abréviations, du jargon et les acronymes pétroliers (10 min)
Réviser des lettres d’alphabet et les appellations.
Découvrir le jargon pétrolier et les acronymes pour les équipements et outils.
Utilisation les abréviations, le jargon pétrolier et les acronymes découverts dans son
lexique.
Source : http://blog01eso.blogspot.ug/2015/01/presentatif.html
Activité 1 :
Formuler des phrases pour identifier les équipements et outils que vous connaissez maintenant
avec chaque présentatif ci-dessus.
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Source : http://la-conjugaison.nouvelobs.com/regles/grammaire/les-pronoms-demonstratifs-
164.php
Source : http://niveaumoyen1.canalblog.com/archives/2016/10/31/34502304.html
Activité 2:
Formulez des phrases pour décrire le fonctionnement des équipements et des outils que vous
avez mentionnés dans l’activité 1 plus haut en suivant le modèle donné :
C’est un derrick, il s’appelle aussi le « mât, celui-ci est visible au forage. C’est une tour
métallique et elle sert à introduire verticalement le « train de tige ».
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La formation aura une évaluation finale à la manière des tests du DELF Pro spécialement
adaptés au programme de la formation. Cette évaluation proposerait des tests de compréhension
de l’oral, compréhension des écrits, la production et interaction orale. L’évaluation serait
préparer et composer en collaboration avec l’AFK en tenant compte du programme suivi durant
la formation. Une enquête de satisfaction serait proposée aux ingénieurs et au Groupe Total
suite à l’évaluation qui aurait lieu le dernier jour de la formation. Une attestation de
participation serait signée par le concepteur, la direction des cours de l’AFK et le directeur
général du Groupe Total en Ouganda et serait remise aux ingénieurs.
Le concepteur proposerait quelques ressources aux ingénieurs pour les encourager à s’auto-
former. La direction du Groupe Total serait aussi invitée à inciter leurs ingénieurs à se préparer
pour passer les vraies épreuves du DELF Pro puisque les épreuves qu’ils avaient passées avant
étaient du DELF général. Le concepteur en collaboration avec l’AFK serait intéressé à les
accompagner dans leur préparation au DELF Pro.
Une formation intensive comme celle élaborée dans ce dossier ne sert qu’à équiper le public
ciblé des compétences linguistiques directement liées à ses besoins spécifiques. Pourtant,
puisque le public est rapidement formé en piochant les aspects de la langue qui lui serviront
face aux situations de communication à rencontrer dans l’exercice de ses activités
professionnelles, la formation est incomplète. Il est donc préconisé de faire un suivi des
apprenants s’il est possible ou proposer des pistes pour la formation ultérieure afin de faciliter
la continuité d’apprentissage et une meilleure maîtrise de la langue.
Pour l’autonomisation, le concepteur propose des liens utiles, des logiciels et quelques
méthodes du FOS qui pourraient aider les ingénieurs à faire des progrès en français et retenir
ou améliorer leur niveau en français. Ces outils linguistiques proposés sont des ressources et
comprennent les suivants :
I. Liens utiles
1. Le site de Planète Énergies : https://www.planete-energies.com/
2. Le site de Canal-U : https://www.canal-u.tv/
3. Le site de l’IFP School : www.ifp-school.com
4. Le site du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) :
http://www.cea.fr
5. Modèles de lettres gratuits pour votre courrier : http://www.lettres-utiles.com/
8. CONCLUSION
La réalisation de ce dossier n’a pas été un travail facile, car le concepteur a failli abandonner à
mi-chemin. Heureusement, il est arrivé au bout du dossier et il ressent que le travail qu’il a fait
pourrait être utile un jour dans l’élaboration d'une vraie formation linguistique des ingénieurs.
Les démarches qui sont censées être suivies pour élaborer un programme de formation
linguistique en français sur objectifs spécifiques sont exigeantes et demandent un certain
niveau d’organisation, de détermination et d’implication.
Pour conclure ce dossier, il est important d’accentuer que le programme élaboré dans ce dossier
n’est qu’un travail sur une situation imaginaire et que cela a probablement pu contribuer à la
difficulté du travail. À plus grande échelle, pourtant, la conception d’un programme est un
pertinent processus qui est non seulement primordial mais aussi une étape non négligeable qui
contribue énormément à la réussite de n’importe quelle formation envisagée pour apprendre
une nouvelle langue. Cela s’applique dans les établissements scolaires ainsi que dans le milieu
entrepreneurial.
J.M. Mangiante et C. Parpette, 2004, Le Français sur Objectif Spécifique : de l’analyse des
besoins à l’élaboration d’un cours, Paris, Hachette FLE.
Jan GOES, 2017. Cours du Français sur Objectif Spécifique. Repéré sur le Moodle 2013 de
l’Environnement Numérique du Travail de l’Université d’Artois.
10. SITOGRAPHIE
Cours du baril. 2016. L'Ouganda délivre des permis d'exploitation pétrolière pour Total et
Tullow.
https://prixdubaril.com/news-petrole/62919-l-ouganda-delivre-des-permis-d-exploitat.html
Total. 2018. Accord de Total avec Tullow pour acquérir une participation additionnelle de
21,57 % dans le projet du Lac Albert (Ouganda).
https://www.total.com/fr/medias/actualite/communiques/accord-de-total-avec-tullow-pour-
acquerir-une-participation-additionnelle-de-2157-dans-le-projet-du
IFP School, 2014, Quelles sont les grandes étapes d’un projet de développement d’un champ
pétrolier ? CREAV Communication. www.ifp-school.com
https://www.total.com/sites/default/files/styles/slider_image_960/public/thumbnails/video/ca
pture_docoeucran_2017-04-27_ac_09.37.49.png
CEA, 2016, Les incollables : L'extraction du pétrole et du gaz, repéré sur le site du
Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives
https://drive.google.com/open?id=1RLKiRWydvCOyz8eOnVs0czDoH46SkdkbAcqBptg8V
UA