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EXERCICE N°1
Un solide de masse m glisse sur un plan incliné d’un angle a au dessus de l’horizontale. Sa
trajectoire est dirigée suivant la ligne de plus grande pente. Au passage au point A, sa vitesse
VA est égale à 2,00 m.s -1 . Au passage au point B, sa vitesse VB est égale à 2,83 m. s -1 . Il existe
un frottement solide, la force de frottement a une valeur constante.
EXERCICE N°2
Un véhicule, de masse m = 1,25 tonne, lancé à la vitesse v = 25 m/s (soit 90 km/h) parcourt
avant de s’immobiliser une distance qui est fonction du coefficient d’adhérence k des roues
sur le revêtement routier.
Ce coefficient d’adhérence est défini par :
f
k= avec : f force de freinage maximale
P
P poids du véhicule.
Sur route sèche : k1 = 0,6 .
Sur route mouillée : k2 = 0,2.
Le temps de réflexe du conducteur est de 0,5 s.
625
Données : g = 10 m. s -2 25 ´ 25 = 625 ≈ 52
12
c) Sur route sèche, pendant la phase de freinage, la valeur de l’accélération est 2,5 m. s -2 .
EXERCICE N°3
Un satellite artificiel de la terre, assimilable à un solide ponctuel, décrit une orbite circulaire
dans le plan de l’équateur terrestre. Le centre de la trajectoire du satellite coïncide avec le
centre de la terre. Ce satellite comme la terre, tourne d’est en ouest. La période de révolution
du satellite est T.
Données : altitude du satellite par rapport au sol h = 640 km
rayon de la terre RT = 6400 km
valeur de la pesanteur au sol g0 = 9,8 m. s -2
Remarque : RT + h = RT + 0,1 RT.
b) Si l’altitude du satellite était multipliée par deux, sa période de révolution serait alors
T ´ 2 2/3 .
1,1 RT
c) La vitesse du satellite sur sa trajectoire est v = .
g0
EXERCICE N°4
a f
d) Au point M, la réaction de la piste est R = m cos a 6 - g + 2 .
EXERCICE N°5
EXERCICE N°6
On fait tourner le dispositif dans un plan vertical à la façon d’une fronde. On prend l = 50 cm .
Au point le plus bas, la vitesse du solide S est v0 .
d) Pour que la rotation ait entièrement lieu, il faut que v0 soit au moins égale à 3,2 m.s -1 .
EXERCICE N°7
b g b g
Soient deux pendules électrostatiques, P1 et P2 , de forme identique, chargés tel que
q
q1 = 10 -9 C et q2 = - 1 .
9
1
e 0 désignant la permittivité du vide, la constante vaut 9 ´ 10 9 S. I.
4 pe 0
b g
a) La force électrostatique exercée par P1 sur P2 b g est neuf fois plus intense que celle
b g b g
exercée par P2 sur P1 .
B. Dans une deuxième expérience, on provoque le contact entre les deux boules de charges
respectives q1 et q2 .
On admet la conservation de la charge totale du système, et on admet que celle-ci se répartit
identiquement sur les deux boules.
On observe alors la nouvelle disposition des deux pendules :
F2 4
d) La nouvelle valeur F2 de la force d’interaction électrique est telle que = ,
F1 9
F1 désignant la valeur de la force d’interaction électrique dans la première expérience.
EXERCICE N°8
Données :
Composante horizontale du champ magnétique terrestre : BH = 2 ´ 10 -5 T ; 37 ´ p ¾ 116 ;
sin 30° = 0,5 ; cos 30° = 0,87 ; tan 30° = 0,58 ; m 0 = 4 p ´ 10 -7 S. I.
®
a) · Le champ magnétique B est constant.
®
· Le champ magnétique B est uniforme.
Les deux propositions précédentes sont équivalentes.
On fabrique un solénoïde à spires jointives en enroulant une seule couche d’un fil conducteur
isolé. Le diamètre extérieur du fil (isolant compris) est égal à d.
On fait circuler dans le solénoïde un courant continu d’intensité I.
b) Alors à l’intérieur du solénoïde règne un champ magnétique dont la valeur est égale à :
I
4p ´ 10 -7 ´ .
d
Un solénoïde de 500 spires jointives, de rayon R = 2 cm, mesure 20 cm de long. En son centre
est placée une petite aiguille aimantée. L’axe du solénoïde est horizontal, l’aiguille peut
tourner dans un plan horizontal. Le solénoïde est parcouru par un courant d’intensité I.
En l’absence de courant dans le solénoïde, l’aiguille aimantée est orientée
perpendiculairement à l’axe du solénoïde.
c) On fait passer un courant d’intensité I = 3,7 mA, l’aiguille tourne d’un angle de 30°.
EXERCICE N°9 d
UAB = 10 5 V ; d = 1 cm ; l = 20 cm ; m = 0,2 mg ;
charge électrique élémentaire : e = 1,6 ´ 10 -19 C ; g = 10 m. s -2 . A B
a) Le sens du champ électrique créé entre les armatures dépend du signe de la charge q.
b) La goutte d’huile subit une force de valeur égale à 1,6 ´ 10 -6 N .
c) Abandonnée à elle-même, la goutte d’huile subit une accélération de valeur égale à
8 m.s -2 .
EXERCICE N°10
®
Des ions lourds positifs, de masse m1 et de charge q, animés d’une vitesse v0 pénètrent en O
® ®
dans une zone où existe un champ magnétique uniforme B = B0 k .
k x’
B0
O
y’ j y
i
® ®
a) Si v0 = v0 k , les ions sont accélérés.
® ®
b) Si v0 = v0 j , les ions sont déviés vers le demi-axe Ox.
® ®
c) Si v0 = v0 j , le point d’impact O1 sur l’axe x ¢x est tel que OO1 = 10 cm .
® ®
d) Des ions isotopes de masse m2 , pénétrant en O avec la même vitesse v0 = v0 j , auraient
la même période de révolution que les ions précédents de masse m1 .
EXERCICE N°11
k
c) Le rapport est de l’ordre de 110 N. m -1. kg -1 .
m
k
d) Le rapport est homogène à l’inverse d’un temps au carré.
m
EXERCICE N°12
d) Comme il n’y a aucun frottement, on peut dire que les oscillations sont entretenues.
EXERCICE N°13
Lors de l’étude expérimentale des oscillations libres d’un dipôle (L,C) on réalise les deux
expériences suivantes :
1
Données : ≈ 0,15 ; p 2 = 10 ; 152 = 225 ;
6,6
1 1 1
2
≈ 4,45 ´ 10 -3 ; = 0,25 ; ≈ 0,063.
15 4 16
Courbe 1
Courbe 2
Courbe 3
EXERCICE N°14
La bobine est reliée à un générateur basses fréquences qui délivre une tension sinusoïdale e
a f
telle que : e = E 2 cos w t ; E = 10 V ; fréquence : f = 50 Hz .
EXERCICE N°15
On visualise sur l’écran d’un oscilloscope la tension aux bornes du condensateur, et l’on
constate que l’amplitude des oscillations est quasi nulle après dix oscillations.
c) L’écran de l’oscilloscope, ayant une longueur de 10 cm, ce qui représente dix divisions, la
vitesse de balayage choisie est de 5 ms/division pour n’observer qu’une seule oscillation.
EXERCICE N°16
40 2
Données : L = 1H ; p 2 ≈ 10 ; ≈ 28,3 ; = 3,5 ´ 10 -2 ; p ´ 32 ≈ 100.
2 40
EXERCICE N°17
R = 1000 W.
a) Lorsque l’interrupteur est dans la position (2) depuis quelques secondes, la tension uC ne
peut-être que nulle.
c) La constante de temps du circuit est égale à 1 ms, et la capacité du condensateur est égale
à 1 mF.
EXERCICE N°18
Les niveaux d’énergie quantifiés de l’atome d’hydrogène sont donnés par la relation :
En = -
13,6
avec
RS E en eV
n
Par excitation, des atomes d’hydrogène sont au niveau d’énergie E3 . Par désexcitation, il y a
émission de trois radiations de longueur d’onde l 1 , l 2 et l 3 .
E(eV)
E3
l3
E2
l1 l2
E1
b) Pour ioniser l’atome, à partir du niveau n = 3, il faut fournir une énergie supérieure ou
égale à 13,6 eV.
c) Les raies d’émission possibles d’un atome excité correspondent aux transitions des
niveaux d’énergie de rang n aux niveaux de rang p tel que n > p et En > E p .
d) Des atomes d’hydrogène dans l’état fondamental peuvent absorber des radiations de
longueur d’onde l = 589,3 nm .
EXERCICE N°19
Une expérience d’interférences lumineuses est réalisée avec deux fentes très fines F1 et F2 , de
largeur a, parallèles, éclairées par un faisceau laser de longueur d’onde l = 630 nm .
On observe des franges d’interférences parallèles aux fentes alternativement sombres et
brillantes sur un écran placé à la distance D des deux fentes.
Distance écran fente D = 2 m.
b) Au point M milieu d’une frange brillante, la différence de marche entre les deux ondes
lumineuses est un nombre pair de demi-longueur d’onde.
d) On augmente la largeur des deux fentes jusqu’à la valeur a = 2 cm , distance qui reste très
inférieure à D = 2 m, ainsi on observera mieux le contraste entre les franges brillantes et
sombres.
EXERCICE N°20
b) La distance entre les deux miroirs du laser peut être égale à 31,64 cm.
Un laser à impulsion émet des impulsions de lumière dont la puissance est égale à 1 MW
toutes les minutes. Sa puissance moyenne est égale à 2 W.