Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
3AC Étincelle
e
Ce guide n’est pas un dogme qui interdit et qui étouffe la créativité et l’innovation de la
part de ses utilisateurs, au contraire, il donne des repères et des exemples indicatifs (ce qui
ne dispense pas de se reporter à d’autres documents …).
Objectifs du guide :
Nous espérons que ce guide soit un outil d’aide pédagogique pour l’enseignant lui
favorisant la réalisation des objectifs de l’apprentissage des mathématiques dans ce
niveau.
Les auteurs
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 3&
Guide du professeur - Collection Etincelle 3
Sommaire!
AVANT-PROPOS………………….……………………………….………………………………...…………….……3
INTRODUCTION……………………………………………………………………………………………………..…………7
V. Programmes de mathématiques………………………………………………………………………….……………………..……..…………23
R NS
VI. Les compétences visées par l’enseignement des mathématiques……………………………………………....………26
E
VII. Organisation pédagogique………………………………………………………………………………....………………………………………33
PH
VIII. Gestion de l’enseignement…………………………………………………..……………………………………………………………………34
IX. Annexes…………………………………………………..……………………………………………………………………………..……..…………………49
ST IO
X. Fiches de préparation en mathématiques………………………..………………………………..……………………..……………..…56
O
02- PARTIE PRATIQUE : MISE EN ŒUVRE DES ………………………..………………………………..……………………..……………...…58
O IT
Activités numériques………………………………………………………………………………………………..………………………59
Activités Géométriques…………………………………………………..………………………………………………….…………109
&
4 Guide du professeur - Collection Etincelle
&
Activités statistiques et graphiques…………………………………………………………………..………………………187
Index / Références…………………………………………………………………………………………..…...………………………204
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 5&
Guide du professeur - Collection Etincelle 5
R NS
E
01- PARTIE THEORIQUE
PH
ST IO
O GUIDE METHODOLOGIQUE
OU
O IT
PEDAGOGIQUE
AP ED
&
6 Guide du professeur - Collection Etincelle
&
Introduction!
Le système d’éducation et de formation aspire à faire avancer le pays dans la conquête de
la science et dans la maîtrise des technologies avancées. Il contribue ainsi à renforcer sa
compétitivité et son développement économique, social et humain, à une époque
caractérisée par l’ouverture sur le monde.
L’évaluation des acquis des élèves constitue un outil essentiel à la fois pour l’élève, pour
l’enseignant et pour le système éducatif. elle a pour objet d’étayer un diagnostic pertinent,
de permettre à l’enseignant de réguler sa pratique pédagogique afin d’optimiser son
enseignement, et aux responsables du système scolaire, de prendre des décisions relatives
à l’orientation à la gestion de la carte scolaire.
L’enseignement secondaire collégial, d’une durée de trois ans destinée aux jeunes issus de
l’école primaire et titulaires du certificat d’études primaires. Cette école aura pour
R NS
E
objectifs, outre l’approfondissement des objectifs généraux des cycles antérieurs :
PH
formulation et la résolution de problèmes, l’exercice mathématique, la simulation de cas.
• L’initiation aux concepts et lois de base des sciences naturelles, des sciences physiques
ST IO
et l’environnement
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 7&
Guide du professeur - Collection Etincelle 7
I. Cadre conceptuel pédagogique
1. Le concept de capacité :
En pédagogie, dans le cadre de l'analyse par objectifs, la notion de capacité est
généralement constitutive de la compétence. Il n'est pas rare de rencontrer des
propositions telles que : "Une compétence, c'est la capacité à utiliser un savoir-faire dans
une situation donnée ". Proposer une définition de capacité suppose donc que l'on
définisse en même temps compétence, et que l'on surmonte une première difficulté, celle
de différencier les deux concepts.
• Pour Cardinet :
« En tant qu'objectif éducatif, une capacité est une visée de formation générale, commune
à plusieurs situations ; une compétence, au contraire, est une visée de formation globale,
R NS
E
qui met en jeu plusieurs capacités dans une même situation. »
• Pour Meirieu :
PH
Une capacité est une « activité intellectuelle stabilisée et reproductible dans des champs
divers de la connaissance. », une compétence est « un savoir identifié mettant en jeu une
ST IO
ou des capacités, dans un champ notionnel ou disciplinaire déterminé. »
• Pour Gillet, chercheur formateur au CEPEC de Lyon : « Sur le plan pédagogique, par
O
capacités, nous nommons les hypothèses que nous formons sur ce que doivent développer
O IT
les étudiants à travers une formation et qu'ils pourront exprimer aussi en d'autres
situations que celles de la compétence. »
AP ED
Survient alors une seconde difficulté. Certains auteurs admettent qu'une capacité est une
habileté cognitive transversale; c'est-à-dire réutilisable à l'infini dans des contextes
différents, d'autres au contraire soutiennent que c'est une habileté cognitive fortement
contextualisée; c'est-à-dire difficilement transférable à de nouveaux contextes si ceux-ci
n'ont pas été eux-mêmes « appris ».
Le problème qui se pose aux praticiens est donc le suivant: comment former à des
capacités transversales ?
Ou en d'autres termes, comment faire émerger ces capacités transversales (si elles
existent) de situations d'apprentissage contextualisées par les champs disciplinaires ? En
résumé, pour que le formateur puisse enseigner des capacités méthodologiques
communes, il faut qu'il ait résolu le problème du « transfert ». Ce qui signifie, d'un point de
vue idéal, que soient construites en permanence par le formateur des situations de
contextualisation – décontextualisation - recontextualisation, afin d'installer chez
l'apprenant ce « savoir-faire abstrait », acontextuel, que l'on nomme capacité.
8& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
8 Guide du professeur - Collection Etincelle
2. Compétence :
Ensemble des comportements potentiels (affectifs, cognitifs et psychomoteurs) qui
permettent à un individu d'exercer efficacement une activité considérée généralement
comme complexe.
Les objectifs généraux d'une formation décrivent souvent une compétence globale, par
exemple : être capable de concevoir un plan de formation.
R NS
terminologie cognitiviste, une compétence implique à la fois des connaissances
E
déclaratives, des connaissances procédurales et des attitudes. Ces trois dimensions
apparaissent sous la forme d'une juxtaposition hésitante et maladroite dans le cas du
PH
«novice», pour devenir un ensemble fusionnel performant dans le cas de «l'expert».
ST IO
En revanche, la capacité est (ou serait) une « habileté transversale », une sorte de savoir-
faire décontextualisé, susceptible d'être mis en œuvre dans des situations professionnelles
ou sociales très différentes. On voit donc que les termes de compétence et capacité ne
O
sont pas synonymes.
O IT
Ce serait également une erreur de considérer comme équivalents les termes compétence
et objectif général. L'observation des pratiques pédagogiques révèle que la plupart des
AP ED
objectifs généraux sont des énoncés d'intention qui relèvent du domaine cognitif. Rares
sont les énoncés généraux intégrant connaissances et savoir-être. Aussi, lorsque s'effectue
la dérivation des objectifs généraux en objectifs intermédiaires puis spécifiques (analyse
descendante), il devient extrêmement difficile d'y intégrer la dimension affective qui
pourtant existe fondamentalement dans l'exercice d'une compétence. Nous restons
persuadés que ce défaut de prise en compte provient de la difficulté réelle à enseigner les
attitudes indissociables de l'activité cognitive : rigueur, contrôle de soi, persévérance,
confiance en soi, motivation, patience, créativité, curiosité...
Cette problématique rend tout à fait intéressante l'approche de De Ketele qui prend en
compte, justement, par le biais des objectifs terminaux d'intégration, les domaines cognitif,
affectif, et psychomoteur.
1. s'exerçant sur une situation comprenant tant de l'information essentielle que parasite.
2. nécessitant l'intégration et non la juxtaposition de tous les savoirs et savoir-faire
antérieurs considérés comme fondamentaux et minimaux ;
3. développant de la savoir-être et de la savoir-devenir orienter vers les finalités choisies
pour le système éducatif. »
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 9&
Guide du professeur - Collection Etincelle 9
Mais une compétence reste une virtualité. Darvogne et Noyé rappellent que « le révélateur
de la compétence, c'est le résultat obtenu dans le travail » et que « c'est au mur terminé
que l'on voit la compétence du maçon. » Ce qui signifie que dans une situation réelle, une
compétence se traduit par un comportement effectif que l'on appelle la performance.
1. Selon Meirieu, une compétence est un « savoir identifié mettant en jeu une ou des
capacités dans un champ notionnel ou disciplinaire donné. » Cette proposition suggère
que la compétence serait une combinaison appropriée de plusieurs capacités dans une
situation déterminée.
R NS
E
par celui qui les traite ou à un résultat optimal. » Cette définition est à mettre en relation
avec les objectifs d'intégration de De Ketele.
PH
3. Le concept d’objectif
ST IO
Énoncé d'intention décrivant le résultat attendu à la suite d'une action. En pédagogie, un
objectif est un énoncé d'intention décrivant ce que l'apprenant saura (ou saura faire) après
O
apprentissage. Les objectifs sont normalement dérivés des finalités de l'Éducation et des
O IT
• Objectif général : il s'agit d'un énoncé d'intention relativement large ; l'objectif général
peut également être appelé objectif terminal d'intégration.
Ex : À partir d'un extrait d'entretien, identifier les différentes attitudes prises par
l'interviewer.
L'Américain Mager préconise que tous les objectifs d'un curriculum soient formulés en
termes de comportement observable de l'élève après apprentissage, afin qu'une
personne externe et compétente puisse procéder à une évaluation correcte de
l'apprentissage.
10& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
10 Guide du professeur - Collection Etincelle
4. Le concept de groupe
Ensemble d'individus ayant un but commun et s'influençant réciproquement.
Selon l'objectif, le type d'apprentissage ou l'activité mentale visés, les groupes reçoivent
des consignes pour effectuer une tâche précise. Le travail de chaque groupe débouche
alors sur un certain produit (produit est pris ici au sens de D'Hainaut : résultat d'un acte
intellectuel). Si le formateur a choisi de recourir au groupe pour développer une activité
cognitive précise, c'est parce qu'il sait que les mécanismes de l'influence sociale peuvent,
dans certains cas, déterminer la qualité du « produit » recherché. Ainsi le groupe, évoluant
dans un contexte précis et défini, devient une entité qui peut, sous certaines conditions,
R NS
E
faciliter la créativité, l'audace dans la prise de décision, la résolution de problèmes, la
construction d'un concept…
PH
On sait par exemple que l'échange et l'interaction sociale favorisent l'émergence de
conflits sociocognitifs stimulants pour l'apprentissage. Sous certaines conditions, les
ST IO
déséquilibres ainsi induits se révèlent d'excellents embrayeurs de la modification des
représentations personnelles.
O
Si le travail de petit groupe est efficace, c'est parce qu'il favorise la mise en œuvre de deux
O IT
« Le groupe d'apprentissage est particulièrement utile chaque fois que l'on se propose de
mettre l'accent sur la reconnaissance d'un phénomène, la constitution d'une classe, la
découverte d'une loi, d'un concept ou d'un système, l'entraînement à l'exercice d'une
opération intellectuelle convergente ou divergente. L'homologie entre la structure sociale
et la structure cognitive du groupe crée alors des conditions favorables pour que chacun
des participants puisse accéder à un stade supérieur d'activité intellectuelle grâce auquel il
peut appréhender, c'est-à-dire structurer, des connaissances nouvelles. »
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 11&
Guide du professeur - Collection Etincelle 11
5. Le concept de situation-problème
Situation pédagogique conçue par le pédagogue dans le but :
- de créer pour les élèves un espace de réflexion et d'analyse autour d'un problème à
résoudre (ou d'un obstacle à franchir, selon la terminologie de Martinaud).
- de permettre aux élèves de conceptualiser de nouvelles représentations sur un sujet
précis à partir de cet espace-problème.
Dans une acception générale, un problème est une question ou une difficulté qui appelle
un traitement de résolution. Dans une situation pédagogique, poser un problème à un
élève, c'est lui demander d'agir pour résoudre le problème de manière satisfaisante en
faisant appel à ses connaissances.
• Une situation d'exécution est une situation dans laquelle les procédures de résolution
R NS
E
sont connues de l'individu et applicables directement.
• Une situation-problème est une situation pour laquelle l'individu ne dispose pas de
PH
procédures de résolution :
- soit parce que les connaissances nécessaires au traitement font défaut : le sujet ne peut
ST IO
pas construire une représentation du problème.
- soit parce que les connaissances appliquées ont conduit à un échec : le sujet a construit
O
une représentation incorrecte du problème.
O IT
Pour rechercher une solution, il faut construire une représentation nouvelle du problème
(raisonner sur de nouvelles bases). La notion d'espace-problème correspond à l'espace de
AP ED
12& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
12 Guide du professeur - Collection Etincelle
6. Le concept de démarche
« Manière de conduire une action, de progresser vers un but. »
Par exemple, lorsqu'un formateur en informatique souhaite faire comprendre à ses élèves
le concept de « bureau électronique », il transpose point par point notre connaissance
familière du bureau espace de travail (la situation-source) au nouveau contexte du bureau-
informatique (la situation-cible). L'armoire de rangement devient le disque dur et...
« Quand vous cliquez deux fois sur lui, les portes de votre placard s'ouvrent..., vous
apercevez vos dossiers sous forme de petites boîtes, vous cliquez deux fois sur une boîte,
vous trouvez à l'intérieur des fichiers, que vous pouvez ouvrir à nouveau, etc. »
R NS
• Démarche déductive, ou « aller du général au particulier » : cette démarche consiste à
E
exposer ce qui doit être appris en commençant par un énoncé d'ordre général pour finir par
des exercices d'application, donc par des cas particuliers.
PH
Par exemple, un professeur énonce un principe, le démontre éventuellement, puis le fait
ST IO
appliquer grâce à une série d'exercices (avec et sans pièges) afin que le principe en
question soit compris et appris.
O
• Démarche inductive : démarche inverse de la précédente: « on part du particulier, pour
O IT
Le formateur propose plusieurs cas particuliers d'application d'un principe, donc différents
AP ED
résultats, fait procéder à l'analyse des différents cas et tente de faire énoncer le principe.
Après vérification de la validité de celui-ci, il fait généralement appliquer ce principe sur
des cas nouveaux.
Par exemple, pour enseigner le concept d'apprentissage selon le point de vue behavioriste
et selon le point de vue cognitiviste, le formateur utilise une technique de « petits
groupes », distribue des documents à chaque groupe, et propose ensuite une confrontation
des analyses.
Une approche qui permettrait de mettre en évidence des propriétés communes serait une
approche inductive avec prise en compte de la réponse ou du point de vue d'autrui, et
recherche, dans la confrontation cognitive d'un dépassement des différences et
contradictions pour parvenir à une réponse commune. »
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 13&
Guide du professeur - Collection Etincelle 13
Le problème posé aux chercheurs qui souhaitent étudier l'incidence du conflit
sociocognitif sur le développement, consiste à identifier les différentes manières de
provoquer ce conflit et à déterminer les variables sociales qui jouent un rôle significatif
dans le développement. Le conflit peut être provoqué :
- par une mise en relation avec un autre enfant, qui sera porteur d'un avis différent ;
- par une mise en relation avec un adulte ;
- par l'utilisation d'une situation marquée socialement, à condition que l'on puisse
provoquer un conflit entre la représentation spontanée de la situation et une
représentation sociale antérieure qui s'oppose à la représentation spontanée.
En 1988, Gilly souligne que « des effets bénéfiques de l'interaction ont en effet été
observés sans qu'un véritable conflit entre les sujets ait pu être noté. »
R NS
E
L'opposition, le conflit, ne serait donc pas l'élément essentiel de la dynamique : « Les
oppositions de réponse en termes de performance ne sont jamais suffisantes... II faut que
PH
la déstabilisation porte sur la procédure de résolution elle-même, en cours d'exécution de
la tâche ». Le facteur décisif serait donc la déstabilisation que provoque un avis différent
ST IO
sur le mode de représentation ou sur le mode de résolution. C'est donc dans l'interaction
sociale que peut se produire la déstabilisation favorable à une reconstruction cognitive.
O
Cette dernière remarque justifie bien évidemment l'importance de la médiation (d'un
O IT
14& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
14 Guide du professeur - Collection Etincelle
II. Concepts et didactique des mathématiques
Les conceptions que les élèves se sont construites pour organiser le monde dans lequel ils
vivent sont souvent différentes des conceptions scientifiques. Elles persistent
fréquemment après l'apprentissage, car elles prennent leurs racines très tôt dans le
développement de l'enfant, s'intègrent dans un registre affectif relevant de la magie, du
rite, ou dans un système explicatif qui, même s'il est erroné d'un point de vue scientifique,
s'avère efficace pour l'enfant dans sa vie quotidienne.
R NS
E
Les conceptions constituent souvent des obstacles à l'apprentissage. Le fait de les
connaître permet à l'enseignant d'adapter les activités pour mieux les travailler. Il est
souvent préférable de faire "avec" les conceptions en tentant de les faire évoluer, plutôt
PH
que d'essayer à tout prix d'aller "contre".
ST IO
Ainsi, le statut de l'erreur a évolué dans le sens d'une atténuation de la notion de
culpabilité : les erreurs commises par ceux qui apprennent ne sont ni des fautes
condamnables, ni des manifestations pathologiques, mais font partie d'un processus
O
normal d'apprentissage.
O IT
L'erreur n'est donc plus indicatrice de sanction, mais source de réflexion. En effet, elle
permet de rectifier son point de vue "naturel", sa compréhension d'un phénomène ainsi
AP ED
que son raisonnement. L’erreur passe ainsi d’un statut très fortement négatif à un statut
plus positif dans lequel elle constitue un point d’appui pour la construction de nouvelles
connaissances et devient partie intégrante de ce processus.
On la doit à Guy Brousseau. Cette théorie distingue trois types de « situations » sur le plan
des rapports que l'élève établit avec l'objet de savoir et le système éducatif :
- l'élève peut être placé en «situation d’action» par rapport au problème ou à la tâche,
sans pour autant qu'il ait à s'expliquer ou à se questionner sur le sens de ses actions ;
- Il peut aussi être placé en «situation de formulation» et être amené à échanger avec ses
pairs ou avec l'enseignant pour produire ses actions, et donc à utiliser le langage, sans
qu'il lui soit pour autant nécessaire de les justifier ;
- Finalement, il peut être placé en «situation de validation», ce qui l'amène à produire des
énoncés déclaratifs par rapport à son activité, énoncés dépassant le simple échange
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 15&
Guide du professeur - Collection Etincelle 15
d'informations pour prendre la forme de jugements, de justifications ou d'auto-
validation de son point de vue.
La théorie des situations prévoit une quatrième phase que Brousseau nomme phase
d’institutionnalisation. Mais cette phase qui est si importante est du sort de l’enseignant
beaucoup plus qu’elle est du sort de l’élève. Elle fixe entre autres ce qu’il faut retenir de la
situation globale.
R NS
E
• permettre d'argumenter, de convaincre, de prouver ;
phase de validation
• élaborer une " vérité " collectivement
PH
• donner un statut social et scientifique à la connaissance ;
Phase d’institutionnalisation • fixer les conventions, les notations.
ST IO
• pointer ce qu'il faut retenir.
O
O IT
AP ED
16& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
16 Guide du professeur - Collection Etincelle
III. Pédagogie de l’erreur
Il y a donc pour les élèves un droit à l’erreur qui doit être reconnu et pris en compte. Le
travail sur l’erreur permet d’instaurer un climat de confiance dans lequel l’erreur n’est plus
stigmatisée mais devient un matériau collectif pour la construction du savoir.
Pour l’élève, le retour réflexif sur l’erreur est une voie propice pour accéder à une
meilleure compréhension de la notion étudiée. Par ce travail, il découvre aussi son propre
fonctionnement intellectuel et gagne en autonomie.
R NS
E
Elle permet de découvrir les démarches d’apprentissage des élèves, d’identifier leurs
besoins, de différencier les approches pédagogiques, de les évaluer avec pertinence.
PH
2. Le rôle des erreurs des élèves dans les systèmes de régulation
ST IO
de l’enseignement
O
1. L’influence de la noosphère
O IT
Les erreurs et les échecs des élèves sont le moyen principal par lequel la noosphère
perçoit les résultats de l’enseignement et prétend les contrôler. De sorte que la façon dont
elle perçoit ces erreurs et les interprète joue un rôle de plus en plus important dans leur
AP ED
- ils sont spécialistes de certains « savoirs » en rapport avec ceux qui sont enseignés ;
- ils « connaissent » certains aspects de l’enseignement ;
- ou simplement leur statut d’intellectuels leur donne un accès à certaines informations!
rendues disponibles dans la culture par les apports de diverses disciplines.
Mais en fait, cette « compétence » est beaucoup plus limitée qu’on ne pourrait l’espérer.
Elle ne s’appuie pas sur une prise en charge effective des problèmes scientifiques que
pose la diffusion des connaissances mathématiques dans la société. Pour des raisons qu’il
n’y a pas lieu d’examiner ici, il semble même que le développement des recherches dans
ce domaine (la didactique des mathématiques) soit vécu comme une intrusion dans son pré
carré, comme une entreprise qui remet en cause l’essence même de leur compétence. Ainsi
dès que la didactique sort de la description des pratiques (tolérée mais péjorée) pour
s’interroger sur un mode plus scientifique à propos de questions plus générales, elle est
violemment combattue et tournée en dérision. Cette attitude est à rapprocher de la façon
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 17&
Guide du professeur - Collection Etincelle 17
dont les travaux d’économie au 19ème siècle ont été reçus et subordonnés à la réussite
commerciale ou politique de leurs auteurs !
Mais il devient de plus en plus clair que ce phénomène n’est pas une simple réaction de
défense, un accident de l’histoire, et encore moins un complot. Il semble qu’un ensemble
de phénomènes proprement didactiques assez incoercibles sont en jeu pour créer un
véritable obstacle socio-culturel à l’émergence d’un champ scientifique directement dédié
à la diffusion des savoirs.
R NS
E
noosphérien comme on devient père ou mère, on a conscience d’avoir une responsabilité
mais on ne peut pas l’exercer comme un métier.
PH
3. Typologie des erreurs :
ST IO
Jean Pierre Astolfi distingue plusieurs sortes et plusieurs natures :
« L'erreur n'est pas l'ignorance, on ne se trompe pas sur ce qu'on ne connaît pas, on peut se
tromper sur ce qu'on croit connaître. Un élève qui ne sait pas additionner ne fait pas
d'erreurs d'addition et celui qui ne sait pas écrire ne commet pas de fautes d'orthographe.
C'est une banalité. Toute erreur suppose et révèle un savoir. »
4. L’erreur en maths
L’erreur est considérée comme une étape de l’apprentissage, nécessaire et source
d’enseignements pour tous. L’apprentissage n’est pas un processus linéaire. Il passe par
essais, tâtonnements, erreurs, échecs… Il y a donc pour les élèves un droit à l’erreur qui
doit être reconnu et pris en compte. Le travail sur l’erreur permet d’instaurer un climat de
confiance dans lequel l’erreur n’est plus stigmatisée mais devient un matériau collectif
pour la construction du savoir.
1. L’erreur est un indice d’activité d’apprentissage (il y’a que celui qui n’apprend jamais ne
commet pas d’erreurs).
18& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
18 Guide du professeur - Collection Etincelle
Il est impossible de faire du soutien ou de la remédiation en bonne et due forme sans
exploiter l’apport de la pédagogie de l’erreur (autrement, on est en train de faire autre
chose)
Pour l’élève, le retour réflexif sur l’erreur est une voie propice pour accéder à une
meilleure compréhension de la notion étudiée. Par ce travail, il découvre aussi son propre
fonctionnement intellectuel et gagne en autonomie. Pour l’enseignant, l’exploitation de
l’erreur est un instrument de régulation pédagogique. Elle permet de découvrir les
démarches d’apprentissage des élèves, d’identifier leurs besoins, de différencier les
approches pédagogiques, de les évaluer avec pertinence.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 19&
Guide du professeur - Collection Etincelle 19
IV. Évaluation des apprentissages
1. Définition
L’évaluation est «la prise d’information qu’effectue un acteur quelconque d’une situation
de travail sur les performances identifiables ou les comportements mis en œuvre par les
personnes qui relèvent de cette situation en les rapportant à des normes ou à des objectifs.
» I. Delcambre, 2007.
Évaluer ce n’est pas nécessairement noter. Mais l’inverse n’est pas vrai… On peut évaluer
sans noter :
l’élève doit toujours savoir ce qui est acquis, en voie d’acquisition ou non acquis. L’analyse
argumentée du travail d’un élève ne donne donc pas forcément lieu à une note, mais une
note doit être justifiée et expliquée. La notation n’est alors pas une sanction.
R NS
E
« Pour évaluer des compétences, il ne faut pas poser une question de connaissance, il faut
créer une tâche complexe et voir si les étudiants arrivent à se la représenter, à y entrer et à
PH
la réussir en mobilisant des connaissances. La meilleure chose à faire pour cela c’est
d’intégrer l’évaluation au travail quotidien d’une classe. Évaluer des compétences, c’est
ST IO
observer des apprenants au travail et porter un jugement sur les compétences en train de
se construire. On peut documenter des observations, les engranger, les noter
méthodiquement et faire une sorte de “ bilan de compétences ”, mais Sans volonté de
O
standardiser les procédures et d’évaluer tout le monde à date fixe. » (Perrenoud)
O IT
• L’évaluation diagnostique
Pourquoi ?
- Elle permet au professeur d’identifier les savoirs et savoir-faire des élèves. Elle a pour
fonction d’établir un bilan des acquis antérieurs et des connaissances.
- Elle permet donc de s’adapter aux réels besoins et de programmer son enseignement.
Elle n’est pas notée puisqu’elle précède les enjeux de la séquence à venir.
Quand ?
- Au début de chaque année scolaire, il est nécessaire de faire le point sur ce qui est acquis,
ce qui ne l’est pas, ce qui est en cours d’acquisition.
Pour qui ?
- Pour l’élève, évaluer c’est lui permettre de s’inscrire dans son apprentissage et l’aider à
mieux travailler. Elle lui donne des repères et clarifie les attentes de l’enseignant.
20& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
20 Guide du professeur - Collection Etincelle
- Pour le professeur, évaluer fréquemment les élèves c’est un moyen d’apprécier son
travail, ses choix et de les réajuster en fonction des besoins réels des élèves.
• L’évaluation formative
Pourquoi ?
R NS
E
Quand ?
PH
Pour qui ?
ST IO
- Pour l’élève, elle rend visible les acquis.
- Pour le professeur, elle permet de repérer les acquis et les difficultés dans les
O
apprentissages, de formuler des consignes d’amélioration, des objectifs de progrès.
O IT
• L’évaluation sommative
Pourquoi ?
AP ED
- Elle évalue la réussite ou l’échec par rapport à une norme. La docimologie en a montré les
limites : pour une même copie, il peut y avoir un grand écart de note entre deux
correcteurs.
Quand ?
Pour qui ?
- Pour l’élève, se situer par rapport aux autres élèves. Elle permet à l’élève de se
positionner par rapports aux savoirs et aux savoir-faire mis en place.
- Pour l’institution, délivrer une certification. Cette évaluation permet de vérifier que
l’élève a atteint les connaissances et les compétences réclamées par le référentiel.
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 21&
Guide du professeur - Collection Etincelle 21
• Évaluation normative
Celle-ci sert à comparer les performances d'un étudiant à une norme moyenne. Cela peut
très bien être une norme (ou note) au niveau national pour un sujet en particulier (comme,
par ex. maths).
Un autre exemple de ce type d'évaluation est de comparer les notes d'un étudiant avec les
notes moyennes de tout l'établissement.
• Évaluation critériée
Elle sert à mesurer les performances d'un étudiant en fonction de critères prédéfinis. Elle
vérifie que les étudiants ont les connaissances attendues à une étape spécifique de leur
éducation.
R NS
E
• Évaluation ipsative
PH
Ce type d'évaluation mesure les performances d'un étudiant en rapport à ses performances
antérieures. Cette méthode vise à inciter l'élève à s'améliorer. Toutefois, comme il ne se
ST IO
compare par aux autres étudiants, cela peut avoir un effet néfaste sur sa confiance en lui.
O
O IT
AP ED
22& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
22 Guide du professeur - Collection Etincelle
V. Programmes de mathématiques
R NS
E
•Equations
-Somme de deux Les nombres premiers.
-Résoudre une équation du
nombres rationnels. Décomposition d’un nombre
PH
premier degré.
- Somme de plusieurs En un produit de facteurs premiers.
-Equation produit.
nombres rationnels. •les ensembles IN , Z , D Q et IR .
ST IO
-Mettre en équation pour
-La différence de deux
résoudre un problème. -Ecriture et notation
nombres rationnels.
O •Ordre et inéquations -Exemples de nombres irrationnels
• Nombres rationnels
O IT
- Développement. Polynômes.
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 23&
Guide du professeur - Collection Etincelle 23
remarquables - -Factorisation d’un polynôme.
Développement et •Equations, inéquations et systèmes
Factorisation. d’équations
• Equations. - Equations et inéquations du 1er degré à
-Equation du 1er degré une inconnue.
à une inconnue. - Equations et inéquations du 2ème degré
-méthode de résolution à une inconnue.
R NS
E
- Encadrement d’un •le calcul trigonométrique.
nombre -le cercle trigonométrique.
Rationnel.
PH
-Les abscisses curvilignes d’un point
er
-Inéquation à du 1 -L’abscisse curviligne principal.
ST IO
degré à une inconnue.
-L’angle orienté de deux demi-droites
- Résolution de de même origine.
l’inéquation
O -Mesures d’un angle orienté de deux
ax + b 〉 0 ; ( a 〉 0 )
O IT
Chasles.
sin x , 1
tan x = = 1 + (tan x )2
cos x (cos x )2
24& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
24 Guide du professeur - Collection Etincelle
Trigonométriques de deux angles dont
la somme ou la différence de leurs
π
mesures est égale à 0 , , π modulo
2
2π .
-Les représentations graphiques
R NS
a b c
E
= =
sin A sin B sin C
PH
géométriques -Symétrique d’un point Trigonométrie • le calcul vectoriel dans le plan.
par rapport à une - Théorème de Pythagore. - Egalité de deux vecteurs.
ST IO
droite. - Trigonométrie. - Somme de deux vecteurs.
-Propriétés. •!Théorème de Thalès - Relation de Chasles.
O
-Symétriques des - Théorème de Thalès
O IT
de Thalès.
- Détermination vectorielle du milieu
• Triangles et parallèles
• Angles inscrits et angles D’un segment
- La droite des milieux. au centre
• la projection
- Le segment des -Angles inscrits et angles au
- La projection sur une droite.
milieux. centre.
- La projection orthogonale.
- Un milieu et une - Deux angles inscrits qui
parallèle. - La projection sur un axe.
intercepte le même arc .
- Triangles et parallèles •!Triangles isométriques et - Théorème de Thalès (direct et
réciproque)
• Droites remarquables triangles semblables
dans un triangle. -La conservation du coefficient de
- Triangles isométriques.
colinéarité de deux vecteurs.
- Médiatrices d’un - Triangles semblables.
triangle. •la droite dans le plan (étude
•!Vecteurs et translation
analytique).
- Hauteurs d’un
- Les vecteurs.
triangle. -Le repère – coordonnées d’un point –
•!Repère dans le plan coordonnées d’un vecteur.
- Bissectrices d’un
- Coordonnées d’un point -condition de colinéarité de deux
triangle.
- Coordonnées d’un vecteur vecteurs - Détermination d’une droite
- Médianes d’un
- Coordonnée du milieu par un point et un vecteur directeur.
triangle.
-Représentation paramétrique d’une
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 25&
Guide du professeur - Collection Etincelle 25
• Triangle rectangle et d’un segment. droite
cercle. -Coordonnées de la somme -Equation cartésienne d’une droite.
- Triangle rectangle et de deux vecteurs, et d’un -La position relative de deux droites.
cercle. produit vecteur par un
•transformations dans le plan.
- Théorème de nombre réel.
-Rappel : la symétrie axiale-la symétrie
Pythagore. -Egalité de deux vecteurs.
centrale - la translation.
-Cosinus d’un angle -La distance entre deux
-L’homothétie.
aigu. points •Equation d’une
- La propriété caractéristique de la
- Utilisation de la droite
translation et de l’homothétie – cas
calculatrice. -Equation réduite d’une
d’une symétrie centrale.
• Vecteurs - droite
- La conservation du coefficient de
Translation. - Droites parallèles –
colinéarité de deux vecteurs.
-Egalité de deux Droites perpendiculaires.
-La distance et les transformations
vecteurs. •Calcul de volume -
précédentes.
- Somme de deux Agrandissement et
-Images de quelques figures (segment –
vecteurs. réduction.
R NS
droite-cercle-angle).
E
- Translation. -Orthogonalité dans
•le produit scalaire.
l’espace.
- Produit d’un vecteur
-Définitions et propriétés.
PH
par un nombre réel. - Agrandissement et
réduction -L’expression trigonométrique.
• Prisme droit,
ST IO
-Les volumes. -Orthogonalité de deux vecteurs.
pyramide et cône de
révolution. -Quelques applications du produit
scalaire
O
- Prisme droit.
O IT
- Théorème d’Alkachi.
- La géométrie dans l’espace
• Les axiomes d’incidence
• Détermination d’un plan dans l’espace
• les positions relatives des plans et des
droites dans l’espace.
• Propriétés du parallélisme et
d’intersection
•l’orthogonalité : orthogonalité d’une
droite et d’un plan - orthogonalité de
deux plans.
•Propriétés d’orthogonalité et de
parallélisme.
•Formules des aires et volumes des
solides
-le prisme droit -La pyramide
régulière-le cylindre - le cône de
révolution -la sphère
26& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
26 Guide du professeur - Collection Etincelle
Activités -Fréquences cumulées. •Fonction linéaire et • Les fonctions numériques
statistiques -Distribution des fonction - Généralités :
et graphiques effectifs à partir de la -Fonction linéaire. - Ensemble de définition d’une fonction
distribution des -Fonction affine numérique.
effectifs cumulés .
• Statistiques - Egalité de deux fonctions numériques.
-Mode et étendue d’une - Représentation graphique d’une
Série statistique. fonction
R NS
E
2
fonctions: x ! ax , x ! ax + bx + c
2
ax + b
x!
PH
2
x ! ax , cx + d
•Statistiques
ST IO
-Tableaux statistiques
-L’effectif et les effectifs cumulés.
O
- Pourcentages, fréquence, fréquences
O IT
cumulées.
-Les graphiques, l’histogramme.
AP ED
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 27&
Guide du professeur - Collection Etincelle 27
VI. Les compétences visées par l’enseignement des
mathématiques
L’enseignement des mathématiques doit participer à l’évolution des capacités dans ses
dimensions personnelles, sociales, citoyennes et culturelles pour appréhender avec
responsabilité les questions liées au développement des sciences, des technologies, de
l’environnement et de la sécurité.
Le développement des capacités se fait par le biais de l’acquisition des savoirs, savoirs -
faire et des savoirs être disciplinaires.
R NS
E
mathématiques afin de les assimiler, de les enrichir et de les appliquer dans de nouveaux
contextes.
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
28& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
28 Guide du professeur - Collection Etincelle
N° Chapitre Pré-requis Compétences Prolongements
29
• Calcul littéral vu en première et • Connaître et utiliser le développement et la • Résolutions des équations,
deuxième année du collège.
Efactorisation d’une expression algébrique dans inéquations et systèmes
• Équations.
• Racines carrées.
• Triangle rectangle et cercle.
O IT déterminer des longueurs.
• Connaître et utiliser la réciproque du théorème
de Pythagore.
30
segments isométriques de Thalès pour prouver que deux droites sont • Géométrie dans l’espace
parallèles.
31
• Équations • Homothétie
• Technique sur le calcul numérique
E • Optique en science physique
• Homothétie.
• Représentations graphiques et plans.
• Reconnaître et utiliser deux triangles semblables. • Optiques en physique.
9
Triangles isométriques, triangle.
triangles semblables
• Droites parallèles et sécantes.
O IT la résolution de problèmes.
AP ED
• Symétrie axiale, symétrie centrale.
• Théorème de Pythagore.
• Angles et cercles
• Parallélogrammes • Connaître le concept d’un vecteur et opérations • Géométrie analytique.
• Caractéristiques d’un vecteur. sur les vecteurs. • Calcul vectoriel.
Vecteurs
10 • Égalité de deux vecteurs. • Construire *+ + *,, .. *+ (. nombre rationnel). • Translation, homothétie et symétrie
et translation
• Relation de Chasles. • Etre capable de déterminer l’image d’un point par centrale.
• Notion de translation. une translation donnée. • Science physique.
• Construire l’image d’un point. • Reconnaître la translation, et son lien avec les
• Théorème de Thalès. vecteurs et le parallélogramme.
E• Etre capable de déterminer l’image de : un
segment - une droite - une demi-droite - un cercle
- un angle par une translation.
PH • Utiliser la translation pour résoudre des
problèmes géométriques.
• Alignements des points en utilisant la relation
vectorielle *+ = .. *,
O
R NS
• Droite graduée. • Connaître le repère orthonormé, l’abscisse et • Équation d’une droite.
• Parallélogramme. l’ordonnée d’un point et d’un vecteur. • Géométrie analytique.
• Vecteurs et translation. • Connaitre et appliquer les coordonnées, du • Représentations graphiques.
Repère milieu d’un segment de la somme de deux (ou
11 • Théorème de Pythagore. • Dans les autres disciplines scolaires
plusieurs) vecteurs et le produit d’un vecteur et
ST IO
dans le plan (physique - sciences naturelles -
d'un nombre réel.
Géographie)
• Calcul de la distance entre deux points et son
application dans divers situations géométriques.
32
• Position relative de deux droites, d’une • Utiliser l’agrandissement ou la réduction pour • Représentation des figures dans
33
droite et d’un plan, de deux plans. déterminer : les longueurs, les aires et les volumes. l’espace et définir leur éléments
• Théorèmes de Pythagore et de Thalès
E géométrique dans d’autres disciplines
• Proportionnalité et propriétés.
• Représentation graphique d’une
fonction linéaire et sa liaison avec la
proportionnalité et le pourcentage.
PH • Déterminer par calcul et graphiquement l’image
et l’antécédent d’un nombre donné par une
fonction.
• Modéliser : traduire une situation de la vie
Langue arabe 4h 4h 4h
Instruction islamique 2h 2h 2h
R NS
E
Disciplines sociales 3h 3h 3h
PH
Français 4h 4h 4h
Mathématiques 5h 4h 5h
ST IO
Sciences naturelles 2h+ 2h+ 2h+
O
O IT
Éducation physique 2h 2h 2h
AP ED
Culture féminine ou
2h+ 2h+ 2h+
Initiation à la technologie
Éducation musicale ⋆ 2h - -
Anglais 2h
Semaine de la
Période du
Semestre Contrôle Durée correction du Composante du contrôle
contrôle
contrôle
R NS
E
décimaux positifs
- Les nombres fractionnaires
PH
Devoir 10ème semaine 1heure 11 - Les nombres décimaux positifs
surveillé2 - Les notions fondamentales en
ST IO
géométrie
- Le triangle
surveillé1 factorisation
- Les équations
- La symétrie centrale et le
parallélogramme
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 35&
Guide du professeur - Collection Etincelle 35
B. Modèle d’une fiche du contrôle continu
Classe : …………………………………………………… Effectif : ……………………………………………………
Contrôle N° : ……………………………………………………
- Exercice1
- Exercice2
- Exercice3
R NS
E
PH
Exercice4
ST IO
O
O IT
Exercice5
AP ED
36& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
36 Guide du professeur - Collection Etincelle
C. Analyse des résultats
Moyenne de la classe : ……………………… 1ère note : …………………………… Dernière note :
………………………
R NS
E
5
PH
Erreurs prélevées
ST IO
- …………………………………………………………………
- …………………………………………………………………
O
- …………………………………………………………………
O IT
- …………………………………………………………………
Conclusion
AP ED
- …………………………………………………………………
- …………………………………………………………………
- …………………………………………………………………
- …………………………………………………………………
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 37&
Guide du professeur - Collection Etincelle 37
D. L’organisation du travail
R NS
E
occuper une part importante du temps de travail.
PH
2.Organisation du travail personnel des élèves
La recherche d’exercices doit jouer un rôle central dans les travaux effectués en dehors du
ST IO
temps d’enseignement, à la maison ou en classe. Ces travaux ont des fonctions
diversifiées :
O
- La résolution d’exercices, combinée avec l’étude du cours, permet aux élèves d’affermir
O IT
leurs connaissances de base et d’évaluer leurs capacités à les mettre en œuvre sur des
exemples simples.
- L’étude des situations liées à la vie courante des apprenants sous forme d’activités en
AP ED
• Font-ils appel aux seules capacités requises des élèves ? Sinon, les élèves disposent-
ils d’indications utiles pour les résoudre ?
• Leur contexte mathématique est-il compréhensible par un élève du collège ?
• Leur résolution a-t-elle une valeur de méthode ?
38& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
38 Guide du professeur - Collection Etincelle
E. Gestion de classe et progressions
- Le manuel peut être un bon support mais ne doit pas constituer le modèle unique d’une
R NS
E
progression.
PH
• Des questions à se poser :
ST IO
Quelle alternance géométrie-numérique ? Quel temps consacrer à un chapitre ?
Quelles priorités ?
O
O IT
• Erreurs à éviter :
- Passer trop de temps sur un chapitre ;
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 39&
Guide du professeur - Collection Etincelle 39
F. Gestion de classe : les comportements
R NS
E
Les manquements aux règles
• Des questions à se poser :
PH
- Pourquoi l’agitation, la démotivation, l’inattention ? Mise au calme : où ? Comment ?
ST IO
• Des éléments de réponses :
- Rendre les élèves actifs.
O
- Veiller à la place des élèves dans la classe (imposée ou pas), la gestion de l’espace
O IT
(tables).
- Occuper pleinement l’espace de la salle de classe.
AP ED
40& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
40 Guide du professeur - Collection Etincelle
G. Gestion de classe : une séquence de mathématiques
• Quels moyens pédagogiques mettre en œuvre pendant la séance ? (varier les supports :
Chronologie de la séance
•AVANT :
- Entrée des élèves ? Retour au calme, comment ?
R NS
E
- Mise en conditions pour commencer ? rituels ?
PH
- Éléments de réponses : Debout à leurs places ou en rang dans le couloir
Qui corrige ? des élèves au tableau ? Comment vérifier les travaux donnés ?
Erreurs à éviter : ne pas du tout corriger les exercices donnés ; ou alors passer trop de
temps.
b. Nouvelles acquisitions :
Activités dirigées ou non ? Quel degré d’autonomie ? durée des moments de recherche ?
Nombre d’acquis nouveaux ?
Éléments de réponses :
Place de l’oral ? place de l’écrit ? le cahier de cours : sous quelle forme ? quel contenu ?
Éléments de réponses :
Élaboration en commun du bilan ; ce bilan est écrit au tableau ou, ensuite, dicté.
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 41&
Guide du professeur - Collection Etincelle 41
d. Exercices d’applications directes
Éléments de réponses :
Graduer la difficulté.
e. Fin de l’heure
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
42& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
42 Guide du professeur - Collection Etincelle
H. Les temps de recherche
- Faire en sorte que les élèves ne soient pas des spectateurs, des « copistes », mais soient
rendus actifs.
R NS
E
Comment mettre en place des temps de recherche ?
• Des questions à se poser :
PH
- A quel moment ? Quelle durée ? Quelle fréquence ? Quelle organisation matérielle ?
ST IO
- Comment exploiter les réponses, les non-réponses ?
doit s’être fait au préalable une idée de la durée de la recherche et du temps nécessaire à
l’exploitation des résultats. On laissera aux élèves le temps de lire et de comprendre les
consignes, d’amorcer une recherche personnelle. On les incitera à commencer à écrire, à
AP ED
Le temps de mise en commun permettra de présenter (dans un ordre choisi) les différentes
pistes empruntées par les élèves, d’exploiter les aspects positifs de certaines erreurs. En
final, la synthèse comportera une trace écrite.
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 43&
Guide du professeur - Collection Etincelle 43
I. Les exercices à la maison
• Des questions à se poser :
- Quels objectifs ? Quelles fréquences ? Quelle durée pour l’élève ? Comment les vérifier ?
- Fréquence et volume : à chaque séance pour la suivante, volume limité (travail dans
toutes les disciplines pour l’élève)
- Vérification par le professeur : circuler dans les rangs, s’assurer que le travail a été fait
(sinon installer un dispositif progressif de sanction).
R NS
E
- Correction : début de séance en temps limité (que font les élèves pendant ce temps ?), on
peut par exemple détailler la démarche d’un calcul puis donner le résultat des autres ; on
PH
peut faire noter au tableau des calculs en parallèle par deux ou trois élèves. Les
commentaires des calculs faits au tableau tiennent alors lieu de correction. On saisit les
ST IO
occasions d’un traitement de l’erreur par la classe.
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………
AP ED
44& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
44 Guide du professeur - Collection Etincelle
J. Les devoirs en temps libre sur feuille
• Des questions à se poser :
Quels objectifs ? Quelle fréquence ? Sous quelle forme ? Comment les noter ? Quelle
durée pour la correction ? Comment dissuader l’élève du copiage ?
- Fréquence : (voir document joint) une fréquence élevée (2 par mois au moins) ; le devoir
est donné une semaine à l’avance ; durant cette semaine le professeur s’informe de
l’avancée du travail, suscite les questions et donne des pistes.
R NS
E
contenu, par son articulation éventuelle avec le contrôle à venir, par une évaluation
positive des efforts (il peut compter dans la moyenne mais avec un coefficient adapté), par
PH
une longueur raisonnable.
- Correction des copies : elle interviendra le plus rapidement possible après la remise des
copies par l’élève ; la copie est le support d’un échange entre le professeur et l’élève et sa
famille (ne pas oublier d’y porter des annotations : conseils, encouragements, …).
AP ED
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 45&
Guide du professeur - Collection Etincelle 45
K. La communication en mathématique
De façon générale, la communication est définie comme un échange d’une information,
d’un message entre un émetteur et un récepteur au moyen d’un médium (p. ex., signes,
signaux). De par sa définition, le langage est un outil de communication à base de sons et
de symboles que les gens utilisent pour se faire comprendre. La pensée mathématique est
aussi un langage, un moyen de communiquer des faits de la vie réelle.
•des symboles représentant des mots, des idées, des concepts (p. ex., 4, =, %, ( ), +, <, >, ml,
¢, ¾, π)
Comme dans tout autre langage, si l’on veut être capable de décoder le langage
R NS
E
mathématique, de le comprendre et de l’utiliser, il faut être en mesure d’en interpréter
toutes ses composantes. Il faut apprendre à l’entendre, à le lire, à le parler et à l’écrire.
PH
•"Dans le cadre de la communication orale, l’enseignant apprend à l’élève à interpréter et à
articuler des messages qui utilisent la terminologie juste et précise liée aux
ST IO
mathématiques.
46& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
46 Guide du professeur - Collection Etincelle
3. Encourager une participation dynamique et interactive des élèves.
Quand le discours de l’enseignant ou de l’enseignante prédomine lors des discussions avec
le groupe classe, les élèves ont tendance à lui confier le rôle d’expert ou d’experte, au lieu
de comprendre qu’ils peuvent formuler leurs propres solutions et apprendre les uns des
autres.
R NS
à communiquer dans un contexte de travail d’équipe et lors des échanges d’idées qui
E
s’ensuivent.
PH
Plusieurs stratégies permettent de développer la communication orale en mathématiques.
Afin de susciter l’intérêt des élèves pour cette forme de communication, l’enseignant ou
ST IO
l’enseignante devrait utiliser une variété de stratégies. En voici quelques-unes
accompagnées d’une brève description :
O
1. Questionnement
O IT
Poser des questions est une stratégie d’enseignement permettant d’amener les élèves à
s’engager dans une tâche et, graduellement, à réfléchir de façon autonome.
AP ED
Cette stratégie :
- permet de traiter une question particulière sous tous ses aspects, ce qui rehausse le
niveau de compréhension des élèves ;
2. Présentation
Cette stratégie exige de préparer et présenter un exposé ou une affiche expliquant des
concepts mathématiques ou des solutions trouvées, dans divers contextes, comme une
foire mathématique, une soirée portes-ouvertes, dans un vidéo-clip ou lors d’olympiades
mathématiques.
Cette stratégie :
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 47&
Guide du professeur - Collection Etincelle 47
• engage à la réflexion et à la discussion ;
3. Débat
Le débat est une occasion de défendre ses points de vue ou ses idées devant les autres. La
pratique de cette stratégie favorise le développement de la compréhension conceptuelle
en mathématiques tout en formant les élèves à justifier des arguments de façon précise et
convaincante.
Cette stratégie :
• fournit aux élèves l’occasion d’exprimer leur opinion, de la faire valoir et de la défendre ;
• favorise l’argumentation ;
R NS
E
• favorise l’acquisition de la terminologie mathématique appropriée ;
PH
III. Communication écrite en mathématiques
ST IO
L’écrit est un outil précieux sur le plan de l’apprentissage et de l’évaluation. « Le savoir-
écrire repose sur un ensemble de stratégies qui permet de rédiger des textes à des fins
O
scolaires ou dans différents contextes de la vie quotidienne. Écrire est aussi une forme
O IT
d’expression de soi qui, dans le contexte scolaire, sert à vérifier ce qui a été appris et
compris. » (Ministère de l’Éducation de l’Ontario, 2004c, p. 38)
• d’expliquer le raisonnement ;
48& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
48 Guide du professeur - Collection Etincelle
Au cycle secondaire qualifiant, la communication vise un niveau plus élevé
d’argumentation. Les élèves apprennent à élaborer et exprimer des arguments
mathématiques appropriés à la situation mathématique donnée et à présenter des
justifications mathématiques des arguments qu’ils avancent. En conséquence, ils
améliorent leur capacité d’organisation et de présentation écrite d’un résultat d’une
activité mathématique. L’amélioration de la communication écrite est notable.
R NS
E
concepts visés. »
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 49&
Guide du professeur - Collection Etincelle 49
IX. ANNEXE
1. Au collège
« L’usage raisonné de plusieurs types de logiciels est particulièrement adapté en
mathématiques ; il en est ainsi des tableurs, des logiciels de construction géométrique et
des logiciels de calcul formel.
R NS
E
présentation sous forme de tableaux. Ces logiciels peuvent aussi être utilisés pour
l’apprentissage de l’algèbre à travers l’étude et la construction de formules ; ils fournissent
PH
également, en association avec un grapheur, un moyen puissant de représenter des
données sous forme graphique.
ST IO
Les logiciels de construction géométrique ont aussi un rôle à jouer dans l’apprentissage de
la notion de figure géométrique, par l’éclairage nouveau qu’ils donnent au rôle des
O
propriétés dans les figures. Ils permettent, en déplaçant les points tout en conservant les
O IT
propriétés, de donner aux élèves une vision plus générale de la figure. On peut ainsi
faciliter l’accès à des conjectures, au raisonnement et à la démonstration. Les logiciels de
géométrie dans l’espace peuvent aussi contribuer à une meilleure perception des figures.
AP ED
D’une part les calculatrices et les logiciels offrent toujours davantage de possibilités
d’expérimentation tant dans le domaine géométrique que dans le domaine numérique ou
dans celui de la gestion des données.
D’autre part, l’informatique fait et fera de plus en plus partie de l’environnement des
élèves. Ainsi l’enseignement des mathématiques peut, dans ce cadre, utiliser avec profit
des expérimentations diverses sur les objets qu’elles étudient comme les nombres ou les
figures géométriques, et contribuer ainsi à la formation des élèves. Les calculatrices sont
précieuses pour réaliser des explorations nombreuses dans le domaine numérique… Les
logiciels de géométrie permettent de varier " à l’infini " les cas de figure dans une situation
donnée. Par exemple, la construction de plusieurs figures dans le cas où l’on compose des
symétries centrales permet de reconnaître visuellement des parallélismes, ce qui conduit à
conjecturer le résultat.
50& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
50 Guide du professeur - Collection Etincelle
[Document d’accompagnement des programmes de troisième]
2. Au lycée
a. Au lycée d’enseignement général et technologique
« L’utilisation des TICE s’avère tout à fait adaptée à de nombreux domaines de
l’enseignement des mathématiques : le programme de seconde y fait référence dans
chacun de ses chapitres […]
R NS
E
Lors de la résolution d’un problème géométrique, l’outil informatique permet d’en obtenir
rapidement, le plus souvent de façon dynamique et interactive, une représentation très
PH
concrète ; des modifications de l’aspect de la configuration mettent en évidence les
invariants ou les propriétés à démontrer : la route vers la démonstration est alors ouverte
ST IO
[…] » [document d’accompagnement des programmes de seconde]
b. Au lycée professionnel
O
« Dans les classes du cycle de détermination BEP, l’emploi, en mathématiques, des
O IT
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 51&
Guide du professeur - Collection Etincelle 51
d’exemples et de contre exemples numériques ou graphiques et permettent de donner du
sens aux concepts de mathématiques figurant dans les différentes parties du programme
». [programme de Bac. Pro.]
Par ses spécificités, l’outil informatique complète les moyens à la disposition des
R NS
E
enseignants et des élèves pour mettre en œuvre ces différents aspects d’une véritable
activité mathématique.
PH
En effet, il permet notamment :
• d’obtenir rapidement une représentation d’un problème, d’un concept afin de lui donner
ST IO
du sens et de favoriser son appropriation par l’élève ;
• d’émettre des conjectures à partir d’une expérimentation interactive lors de l’étude d’un
problème comportant des questions ouvertes ou d’une certaine complexité, et de
procéder à des premières vérifications ;
4. Les outils
a. Les calculatrices
L’usage des calculatrices numériques puis graphiques (voire formelles) contribue à
l’acquisition des propriétés des nombres et des fonctions. La nouvelle approche «
graphique » des fonctions, introduite dans le programme de seconde prend tout son sens
grâce à l’utilisation de calculatrices graphiques, dont l’usage est déjà prescrit dans les
classes de Premières et Terminales ES et S.
52& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
52 Guide du professeur - Collection Etincelle
permet aussi, à différents niveaux et dans différents domaines, de favoriser
l’apprentissage d’une démarche algorithmique (introduction de la récurrence,
approximation d’une racine d’une équation, arithmétique).
R NS
E
[programme de Bac. Pro]
PH
le même enseignant offre la possibilité de réinvestir certaines connaissances d'un outil
informatique, calculatrice ou logiciel, dans l'autre valence (par exemple avec l'EXAO).
ST IO
c. Les logiciels de géométrie
O
Les logiciels de géométrie permettent une approche dynamique de la construction de
O IT
Ils permettent aussi, comme d’autres types de logiciels, de varier et associer facilement les
points de vue (numériques, fonctionnels, graphiques, géométriques) et contribuent à
l’unité de la formation donnée aux élèves.
d. Le tableur
L’utilisation du tableur en mathématiques figure dans les programmes à partir de la classe
de Quatrième.
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 53&
Guide du professeur - Collection Etincelle 53
e. Les logiciels de calcul symbolique
L’utilisation du calcul symbolique n’est pas prise en compte dans les programmes actuels.
Cependant, grâce notamment aux calculatrices intégrant le calcul formel, l’usage de ces
logiciels par les élèves se développe.
Leur prise en compte par les enseignants devient nécessaire à court terme.
f. L’internet
L’usage de l’internet (ou d’un intranet) en mathématiques en est à ses débuts, mais déjà
certaines applications méritent d’être développées dans le cadre d’une utilisation
généralisée dans l’ensemble des disciplines :
R NS
E
des énigmes parfois sous forme de concours ;
PH
versions Java ou ActiveX de certains logiciels (Cabri, Geoplan, Geospace) ;
Cette utilisation par le professeur, ou par un élève qui « passe au clavier », permet
d’illustrer une définition ou une propriété au moment où elle est introduite. Elle est donc
courte. Elle nécessite la présence d’un dispositif de vision collective (vidéoprojecteur,
écran de très grande taille, tablette rétro projetable, chariot multimédia …).
Une autre démarche ponctuelle peut aussi être l’utilisation par les élèves d’ordinateurs en
fond de classe autant que de besoin.
Pour une telle séance, il convient que les trois conditions suivantes soient remplies :
• la séquence informatique est simple et progressive de sorte que tous les élèves puissent
effectivement travailler pendant la totalité de la séance et arriver à un résultat, même
modeste ;
• la manipulation sur l’ordinateur est complétée par un travail mathématique écrit ; une
54& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
54 Guide du professeur - Collection Etincelle
conjecture est validée par une démonstration, un contre-exemple s’intègre dans la
restitution, etc. ;
R NS
E
pour l’égalité des chances. Il est crucial dans le cadre du travail des élèves en autonomie.
PH
Il est souhaitable que sur les ordinateurs destinés dans l’établissement aux professeurs
ST IO
soient installés les logiciels de mathématiques usuels.
progression suivie, les thèmes de travaux proposés et les traces gardées par les élèves.
Cette utilisation, dans les classes où elle fait partie du programme, ne doit pas être rejetée
en fin d’année. De plus, en dehors d’éventuelles séances dédiées à l’usage des TICE, il est
bon que les inspecteurs manifestent leur désir d’assister, lors d’un cours normal, à une
illustration de concepts ou de configurations réalisée grâce à l’informatique. Il est
souhaitable que les rapports d’inspection prennent en compte cette dimension des
programmes.
Il faut aussi leur montrer la nécessité d’un suivi des pratiques sur tout le cursus scolaire.
Les réunions pédagogiques doivent être l’occasion d’un échange et le prélude à la mise en
place de formations.
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 55&
Guide du professeur - Collection Etincelle 55
Il est souhaitable que les formations de professeurs de mathématiques à l’utilisation des
TICE dans la discipline se déroulent, dans la mesure du possible, dans l’établissement. Pour
cela, les inspecteurs doivent susciter les demandes des équipes : en particulier, toute
dotation en matériel et/ou en logiciel devrait, à courte échéance, être accompagnée d’une
action de formation sur site. Revient aussi aux inspecteurs le suivi de ces actions de
formation et l’analyse des évolutions de pratiques qui en résultent.
Pour ce qui concerne la formation initiale, dévolue à l’IUFM, il importe de tenir compte
dans le choix des conseillers tuteurs de leur capacité à montrer la mise en œuvre des TICE
dans l’enseignement des mathématiques. Là, le rôle des inspecteurs est de
recommandation et d’incitation.
R NS
E
qu’ils pilotent, ainsi que pour la validation des contenus pédagogiques des sites
académiques.
PH
Les inspecteurs ont aussi un rôle de conseil auprès des chefs d’établissements et des
instances rectorales au niveau de l’équipement des établissements.
ST IO
O
O IT
AP ED
56& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
56 Guide du professeur - Collection Etincelle
X. Fiches de préparation en mathématiques
R NS
E
- Avec des aménagements adaptés au groupe-classe ou du fait d’un changement de
programme.
PH
• Parfois aussi en cours d’année (ou de progression) du fait d’une sous-évaluation du
groupe ou de certains élèves ;
ST IO
• Numéroter / nommer les fiches (séances) de façon cohérente et lisible.
O
(Ex : théorème de Pythagore 1/2…) ;
O IT
3. Conseils et recommandations :
• Une séance n’existe jamais, seule : elle fait partie d’une séquence, d’une progression
d’apprentissage ;
- Indiquer la durée ;
Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle& 57&
Guide du professeur - Collection Etincelle 57
- Transcrire :
!! Pré – requis ;
!! Compétences visées ;
!! Objectifs de chaque séquence ;
!! Type d’évaluation.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
58& Guide&du&professeur&–&Collection&Étincelle&
58 Guide du professeur - Collection Etincelle
R NS
E
PH
02- PARTIE PRATIQUE
ST IO
MISE EN ŒUVRE
O
O IT
DES
CHAPITRES
AP ED
E
PH
Activités
ST IO
O
numériques
O IT
AP ED
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
( a)
2
• Utilisation de l’égalité = a où a est un nombre rationnel et positif ;
• Calcul des valeurs approchées du nombre a
• Opérations et techniques de calcul sur les nombres rationnels
• Théorème de Pythagore
Compétences visées :
• Connaître et utiliser la racine carrée d’un nombre positif en algèbre et en géométrie
• Connaître et utiliser les règles de calcul sur les racines carrées
R NS
E
• Tice : utiliser la touche « » sur la calculatrice.
PH
Déroulement Évaluations formatives
ST IO
Durée : 3h Séquence 1
Racine carrée : définition
Orale
Écrit
O
• Objectifs :
O IT
Numérique
Faire le lien entre un carré et une racine carrée.
Évaluation
• Matériels didactiques :
Ardoises pour le QCM ; cahiers et calculatrice
AP ED
Des pré-requis :
• Activité :
L'enseignant peut faire le
- Question 1 : Rappeler et utiliser le théorème de Pythagore.
« QCM » de la page 18 de 1 à
- Question 2 : Utiliser la touche « » pour compléter le tableau. 6 à l'orale en utilisant les
Généraliser la définition de la racine carrée d'un nombre positif en ardoises pour voir les acquis
utilisant une lettre. individuels.
• Résumé de cours : Et de 7 à 10 sur les cahiers de
La définition "1" de la page 21 recherche.
• Exercices :
- Exercices 24 et 25 page 27
• Exercices d’approfondissement :
Exercices 22 et 21 page 26
Des acquis :
• Devoir : Vérifier le niveau
Exercices 33 et 27 page 27 d'acquisition la définition
d'une racine carrée.
Auto-évaluation :
Proposer aux élèves de faire à
domicile les exercices résolut
1 page 29.
R NS
Propriété "1" page 21
E
• Exercices d’application :
Exercice 1 : "page 25 n 6 "
PH
Exercice 2 : Écrire sans radical les produits suivants
2,5 × 10 ; 2 × 18 ; 5 × 20 et 12,8 × 5 Des acquis :
ST IO
Vérifier le niveau d'acquisition
• Exercices d’approfondissement : de la propriété du produit de
Exercices 14 et 15 page 25 deux racines carrées.
O
• Devoir :
O IT
Auto-évaluation :
Exercices 38 et 39 page 28
Proposer aux élèves de faire à
domicile les exercices résolut
2 page 23
AP ED
Durée : 4h Séquence 3
Orale Racine carrée : quotient de deux racines carrées
Écrit
Numérique • Objectifs :
Évaluation Découvrir et savoir utiliser dans les deux sens la propriété du quotient
Des pré-requis :
de deux racines carrées et d'écrire un dénominateur sans radical.
En utilisant les ardoises ou les
• Matériels didactiques : cahiers de recherche
Cahiers ; Excel et calculatrice. l'enseignant demande aux
Quotient de deux racines carrées
élèves de calculer a × b en
• Activité : donnant des valeurs aux
Activité 3 page 20 lettres a et b :
Le but de l'activité est de mener les élèves à découvrir l'égalité : • Exemples :
a a a = 4,5 et b = 2
= et l'appliquer dans les deux sens.
a = 12 et b = 3
b b
• Exercices d’application :
"Page 25 n 9 et 10 " Des acquis :
• Rendre un dénominateur rationnel Vérifier le niveau d'acquisition
• Activité : de la propriété du quotient de
Activité 4 page 20 deux racines carrées et aussi
Le but de l'activité est de mener les élèves à utiliser des acquis pour comment rendre un
écrire un dénominateur sans radical en complétant les égalités. dénominateur rationnel.
Auto-évaluation :
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9 Q10
Réponses b a c b a c a c a c
Exercices d’application :
Exercices Réponses
R NS
E
Exercice 8 En complétant le tableau ; l’élève doit remarquer que : x+ y ≠ x+ y
Comme : 9 + 16 = 3+ 4 = 7 et 9 + 16 = 25 = 5
PH
Exercice 9 a a
On applique la relation : =
ST IO
b b
44 44
Comme : = = 4=2
O 11
11
O IT
Exercice 10 a a
On applique la même propriété dans ce sens : =
b b
AP ED
490 49 49 7
Comme : = = =
250 25 25 5
C2 = 82 + 42 = 64 + 16 = 80
Donc le périmètre est : P = 2C1 + 2C2 = 2 20 + 2 80 = 2 4 × 5 + 2 6 × 5 = 12 5
Exercice 12 5 5× 5 5 5
f = = = = 5
5 5× 5 5
g=
20
=
20 × ( 5− 2 )= 100 − 4 5
= 10 − 4 5
5+2 5 −2
2
2 5− 4
h=
(
2 3 2 2− 3 )=4 6 −2×3 4 6 −6
=
(2 2 ) − 8−3 5
2 2
3
Exercice 14 a = 2 5 − 4 × 4 × 5 = 2 5 − 8 5 = −6 5
b = 2 + 3 4 × 2 + 25 2 = 2 + 6 2 + 5 2 = 12 2
6 14 + 2 14 8 14 14
c= = =2 =2 2
2 7 +2 7 4 7 7
Exercice 15 a = 3 2 +5 2 −8 2 = 8 2 −8 2 = 0
b = 2 3 − 5 × 3 3 + 13 3 = 15 3 − 15 3 = 0
R NS
E
( ) ( )
c = 5 2 5 − 3 5 − 6 2 6 + 6 = 5 × − 5 − 6 3 6 = −5 − 3× 6 = −23 ( ) ( )
PH
d = 4 2 + 6 2 − 10 2 + 4 = 10 2 − 10 2 + 4 = 4
ST IO
Exercice 16 2 2 2 2× 3 2
E = ( 3− 5) = −2 = =− 6
3 3 3× 3 3
O
5 5 13
F = (10 + 2 + 1) = 13 = 35
O IT
7 7 7
G = ( 3+ 2 − 1) a = 4 a
AP ED
Exercice 17 ⎛ 3⎞ 3 1 3 1
A = ⎜ 1− ⎟ =− =− 15
⎝ 2⎠ 5 2 5 10
2 2 2 2 2⎛2 ⎞ 35 2 35
B= + 10 + = ⎜ + 10 + 1⎟ = = 6
3 3 3 3 3⎝3 ⎠ 3 3 9
3 3 9 3
C= × = =
25 4 100 10
2 × 26 4 2
D= = =
13× 9 9 3
( )
2 2
Exercice 18 A= 3 + 1 = 3 + 12 + 2 3 = 4 + 2 3
1.
2. On applique le théorème de Pythagore :
EG 2 = EF 2 + FG 2
( ) ( )
2 2
Donc EG 2 = 5 +1 + 5 −1
EG 2 = 6 + 2 5 + 6 − 2 5 = 12
Alors : EG = 12 = 2 3
Exercice 19
A=
( 7− 3 )( 7+ 3 ) = 7−3 = 4 = 2
2 2 2
( ) = 3 + (2 2 ) +12
2
Exercice 20 x 2 = 3+ 2 2 2 2
2 = 17 + 12 2
1.
( ) = 17 − 12
2
y 2 = 3− 2 2 2
( )(
xy = 3+ 2 2 3− 2 2 = 9 − 8 = 1 )
x y x2 + y2
A= + =
2. y x xy
R NS
E
1 1 x + y 3+ 2 2 + 3− 2 2
B= + = = =6
x y xy 1
PH
Exercice 21 a + b = 4 3 ; a − b = −2 2
ST IO
( ) = 12 + 2 − 4 6 = 14 − 4 6
2
a2 = 2 3 − 2
O
a × b = ( 2 3 − 2 )( 2 3 + 2 ) = ( 2 3 ) − 2
2 2
= 10
O IT
Exercice 22 a. x = 9 ou x = − 9
AP ED
x = 3 ou x = −3
2
b. 4x −16 = 0 signifie : x2 = 4
D’où x = 2 ou x = −2
c. x 2 = 5 signifie x = 5 ou x = − 5
2
d. x +1 = 0 signifie : x 2 = −1
Pas de solution réelle.
( x − 1)
2
= 25
e. signifie : x − 1 = 5 ou x − 1 = −5
x = 6 ou x = −4
( x + 1)
2
−7 =0
f. signifie : x + 1 = 7 ou x + 1 = − 7
d’où : x = 7 − 1 ou x = − 7 − 1
2
Exercice 23 2
1. x = 6 + 2 5 = 6 + 2 5
2
y2 = 6 − 2 5 = 6 − 2 5
xy = 6 + 2 5 × 6 − 2 5
= (6 + 2 5 )(6 − 2 5 )
66 Guide du professeur - Collection Etincelle
= 36 − 20
xy = 16
D’où : xy = 4
( x + y)
2
= x 2 + y 2 + 2xy = 6 + 2 5 + 6 − 2 5 + 8
2.
( ) = 20
2
Donc : x + y
( x − y ) = x + y − 2xy = 6 + 2
2 2 2
5 +6−2 5 −8
( x − y) = 4
2
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
Exercice 24 a. 7 + 49 − 31 = 25
R NS
E
b. 9 × 2 − 25× 2 +1,5 = 18 − 50 +1,5 = −30,5
c. 7 + 9 + 6 7 − 6 7 = 16
PH
(5 3 ) −
2 2
2 = 75 − 2 = 73
ST IO
d.
Exercice 25 e. 5 2 − 6 2 + 3 2 = 2 2
O
O IT
2
f. 81 − 5 3 + 9 = 9 − 15 + 9 = 3
Exercice 26 8 18
AP ED
g= − +3 2 = 4 − 6 +3 2 = 2− 6 +3 2
2 3
h=
(6 + 2 ) 2
−
6 2 6 2+2
= − 3 2 = 3 2 + 1− 3 2 = 1
2 2 2
( )+
2
7− 3 21 7 + 3− 2 21 2 21 5
i= = + =
2
7 − 3
2
2 4 4 2
( ) +( )
2 2
Exercice 27 3+ 2 3− 2
J= 2 2 2 2
= 3+ 2 + 2 6 + 3+ 2 − 2 6 = 10
3 − 2 3 − 2
K = 3+ 5 + 1 = 9 = 3
Donc L et K sont deux nombres entiers.
2
Exercice 28 m = 7 + 2 27 − 3 7 − 6 + 50 = 7 − 7 + 44 = 51− 7
n = 3+ 25 + 10 3 − 10 3 + 12 = 40
Hicham a tort car seulement n qui est entier.
Exercice 29 o = 5 − 3− 16 + 36 = 2 − 4 + 6 = 4 q = 5 + 2 − 2 10 + 2 10 = 7
Exercice 30
s=
6 ( 6+ 5 )− 30 = 6 + 30 − 30 = 6
6−5
( ) − 4 5 = 5+ 4 + 4 5 − 4 5 = 9
2
5+2
t=
5− 4
Donc les deux nombres sont des entiers naturels
(de même pour les deux autres)
Exercice 31 Calcul de N :
N=
(14 − 7 ) 7
−2 7 =
14 7 − 7
− 2 7 = 2 7 − 1− 2 7 = −1
7
2
7
Donc : c’est Nadia qui a raison.
2. Samir a simplifie par 7
R NS
E
Alors que le numérateur n’est pas un produit.
3. Voir (1 question).
PH
Exercice 32 a = 5 + 3+ 2 15 − 2 15 = 8
ST IO
b = 7 + 2 − 2 14 + 2 14 = 9
42 21
c = 7 + 3+ 2 21 − = 10
O
21
O IT
2 2
d= 19 − 3 = 16 = 4
AP ED
Exercice 34 a+b= 2− 2
a−b= 4−3 2
a × b = −3+ 3 2 + 2 2 − 4 = −7 + 5 2
Exercice 35
c=
2 ( 2 −1 )+2 2
= 2− 2 + 2
2 −1
2
2
Donc c = 2
2
Exercice 36 2
1. a. D = 3 + 1− 2 3 = 4 − 2 3
2
E 2 = 3 + 12 + 2 3 = 4 + 2 3
( )( )
2
D× E = 3 −1 3 +1 = 3 −1= 2
b.
2. a. En utilisant le théorème de Pythagore
KM 2 = KL2 + LM 2 = 4 − 2 3 + 4 + 2 3
KM 2 = 8
3.
P=2 ( 1000 + 2000 ) = 2 × 10 10 + 2 × 20 5 = 20 10 + 40 5
Exercice 38 A = 10 2 + 4 2 + −14 2 = 14 2 − 14 2
A=0
15 2 + 3
B= − 5 2 = 5 2 + 1− 5 2 = 1
3
Donc Karima a raison.
R NS
E
Exercice 39 E = 3 + 2 + 2 6 + 6 + 1− 2 6 − 3 = 9
PH
2 2 +3 2 3 3+5 3 5 2 8 3
F= − = − = 1− 4 = −3
5 2 2 3 5 2 2 3
ST IO
Exercice 40 6 6
5 × 2 6 − 3× 3 6 −
O = 10 6 − 9 6 − 6 = 10 6 − 10 6 = 0
6
O IT
Exercice 41 G = 3+ 2 + 2 6 + 6 + 1− 2 6 − 3 = 9 donc : G = 3
AP ED
Réponses c a b b b c c b
Auto-formation :
Exercices Réponses
R NS
2
E
Donc : 17,5 2 > 17 2
Alors Mehdi peut poser son napperon sans débordement.
PH
b. L’axe de symétrie de la figure est la médiatrice de l’hypoténuse
ST IO
Ainsi x = 17,5 2 − 8,5 ! 16,24
Or : 17 > 16,24
Alors le napperon va déborder.
O
O IT
x
AP ED
8,5
17,5√2
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Calcul littéral vu en première et deuxième année du collège ;
• La notion de puissance vue en première et deuxième année du collège ;
• Opérations sur les nombres rationnels.
Compétences visées :
• Connaître et utiliser le développement et la factorisation d’une expression littérale dans différentes
situations.
• Connaître et utiliser la notion de puissance et ses propriétés.
• Connaître et utiliser la notation scientifique pour des nombres déminaux.
R NS
E
Déroulement Évaluations formatives
PH
Durée : 2h Séquence 1
Orale Les puissances : Définition et propriétés
ST IO
Écrit
• Objectifs :
Numérique
Développer les connaissances et le savoir-faire de l'apprenant sur la
Évaluation
O
notion de puissance et les priorités de calcul. Des pré-requis :
O IT
D = 23×108 × 53
206 × 1017
E=
26 × 109
• Exercices d’approfondissement :
Exercice 26 ; 32 page 41
• Devoir :
- Exercices 8 ; 9 page 39
Durée : 2h Séquence 2
Orale Les puissances : Puissance de 10 et notation scientifique.
Écrit
• Objectifs :
Numérique
Connaître et utiliser les puissances de 10 et la notation scientifique
Évaluation
d'un nombre décimal.
Des pré-requis :
• Matériels didactiques :
R NS
En utilisant les ardoises ou les
E
Ardoises pour le QCM ; cahiers et calculatrice
cahiers de recherche
• Activité : l'enseignant demande aux
PH
Une fois que les élèves trouvent les deux premières égalités, on lance élèves de donner l'écriture
la notion de l'écriture scientifique ; après on laisse (10 min) aux élèves décimale de chacun des
ST IO
pour terminer l'activité. 5 −3
nombres : 10 ; 10 ;
Généraliser la notion en utilisant des lettres.
12,7 ×102 ; 0,008 ×104 ;
• Résumé de cours :
O
- Paragraphes "1.4 page 35 " 456,8 ×10−2 .
O IT
R NS
E
- Paragraphe 3 page 36 l'utilisation des identités
(L’enseignant pour écrire les autres paragraphes de la page 22 si c'est remarquables dans le
PH
nécessaire pour ses élèves) développement et la
factorisation.
• Exercices d’application :
ST IO
Exercice 1 : développement " page 40 n 20" Auto-évaluation :
Exercice 2 : factorisation" page 40 n 23" Proposer aux élèves de faire à
• Exercices d’approfondissement : domicile les exercices résolus
O
Page 39 n 12 et 15 " Exercice 3 page 37
O IT
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8
Réponses c a b b a b a b
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 8 3 3− 5 −2
a= −1= =
5 5 5
4 5 8−5 3 1
b= − = = =
R NS
3 6 6 6 2
E
5 5 25
c= × =
3 2 6
PH
2
⎛ 1⎞ 2 1 2 11
d =⎜ ⎟ + = + =
⎝ 2⎠ 3 4 3 12
ST IO
−2 2
⎛ 3⎞ ⎛ 21⎞ 16 16 256
e=⎜ ⎟ ÷⎜ ⎟ = × =
⎝ 4⎠ ⎝ 4⎠ 9 441 3969
O
O IT
1 42 5 37
f = 3− = − =
14 14 14 14
5
AP ED
Exercice 13 Factoriser :
A = 5x (5x − 3)
B = ( x − 1) ( 2x − 3+ 5x − 7 ) = ( x − 1) ( 7x − 10 )
C = ( 4x − 5) ( 4x − 5 + 3x + 6 ) = ( 4x − 5) ( 7x + 1)
D = ( 2x + 1) ( 7x − 6 − 2x − 1) = ( 2x + 1) (5x − 7 )
Exercice 14 Factoriser :
A = x 2 − 22 = ( x − 2 ) ( x + 2 )
B = ( 3x ) − 52 = ( 3x − 5) ( 3x + 5)
2
R NS
E
C = ( 2x ) − 12 = ( 2x − 1) ( 2x + 1)
2
PH
D = ( x + 1) − 42 = ( x + 1− 4 ) ( x + 1+ 4 ) = ( x − 3) ( x + 5)
2
E = (5x + 1− x − 3) (5x + 1+ x + 3) = ( 4x − 2 ) ( 6x + 4 )
ST IO
F = ( x + 4 − 7x + 1) ( x + 4 + 7x − 1) = ( −6x + 5) (8x + 3)
O
O IT
Exercice 15 Factoriser :
A = x − 2 × x × 2 + 22 = ( x − 2 )
2
B = x 2 + 2 × x × 3+ 32 = ( x + 3)
2
AP ED
C = ( 2x ) + 2 × 2x × 3+ 32 = ( 2x + 3)
2 2
D = ( 3x ) − 2 × 3x × 1+ 12 = ( 3x − 1)
2 2
( )
E = − x 2 − 2x + 1 = − ( x − 1)
2
F = (5x ) + 2 × 5x × 7 + 7 2 = (5x + 7 )
2 2
( n + 1) − ( n − 1) = ( n + 1− n + 1)( n + 1+ n − 1) = 2 × 2n = 4n
2 2
R NS
E
et 2.
PH
Exercice 20 Développer et réduire :
D = ( 3x ) + 2 × 3x × 4 + 42 = 9x 2 + 24x + 16
2
ST IO
E = (5x ) − 2 × 5x × 3+ 32 = 25x 2 − 30x + 9
2
F = ( 7x ) − 42 = 49x 2 − 16
O 2
O IT
Exercice 21 Factoriser :
G = x (5x − 7 )
AP ED
H = ( 7x ) − 42 = ( 7x − 4 ) ( 7x + 4 )
2
I = (5x ) − 2 × 5x × 2 + 22 = (5x − 2 )
2 2
( a + b) − ( a − b)
2 2
( ) 2 2 2 2
= a 2 + 2ab + b2 − a 2 − 2ab + b2 = a + 2ab + b − a + 2ab − b = 4ab
2. Sachant que :
( a + b) − ( a − b)
2 2
= 4ab
2 2
⎛x ⎞ ⎛x ⎞ x x
Alors ⎜ + 5⎟ − ⎜ − 5⎟ = 4 × × 5 = 5x En prenant : a = et b = 5
⎝4 ⎠ ⎝4 ⎠ 4 4
( a − 1)(1+ a + a 2
)
+ a 3 = a + a 2 + a 3 + a 4 − 1− a − a 2 − a 3 = a −1
4
S=
( a − 1 )(1+ a + a + a ) = 1+ a + a + a
2 3
2 3
a −1
a4 − 1
Donc : = 1+ a + a 2 + a 3
a −1
1
3. On prend : a =
2
4
⎛ 1⎞ 15
1 ⎛ 1⎞ ⎛ 1⎞ ⎜⎝ 2 ⎟⎠ − 1 −
2
15
3
Donc : 1+ + ⎜ ⎟ + ⎜ ⎟ = = 16 =
2 ⎝ 2⎠ ⎝ 2⎠ 1 1 8
−1 −
2 2
Exercices d’approfondissement :
R NS
E
Exercices Réponses
PH
Exercice 25 Réduire : on rend au même dénomination dans chaque cas puis on réduit :
ST IO
2 (5x − 2 ) − 3( 4x −1) 10x − 4 −12x + 3 −2x −1
A= = =
6 6 6 .
O
(3a − 4)(3a + 4) − ( a + 1)( a − 1) = 9a − 16 − a + 1 2 2
O IT
B=
( a + 1)(3a + 4) ( a + 1)(3a + 4) .
8a 2 − 15
Donc : B =
AP ED
( a + 1)(3a + 4) .
C=
( 2 y − 1)(5y − 3) ( 2 y − 1)(5y − 3) .
Donc : C =
(3y − 2)(7 y − 4)
( 2 y − 1)(5y − 3) .
D=
( x − 1)( x + 1) − ( x − 2)( x
2 2 2
+2 )= x 3
+ x 2 − x − 1− x 4 + 4
( x + 2)( x + 1)
2
(x 2
)
+ 2 ( x + 1)
.
4 3 2
−x + x + x − x + 3
Donc : D =
(x 2
)
+ 2 ( x + 1)
.
Exercice 26 Calculer :
9 8 1 1 1 5− 6 1
A= × − = − = =−
16 27 5 6 5 30 30 .
= (2 − x) + (2 − x)
2
.
= ( 2 − x ) ( 2 − x + 1)
.
A = ( 2 − x )(3 − x )
.
3. Factoriser E :
E = ( 2 − x ) ( 3− x ) + ( x − 3)
2
= ( 2 − x ) ( 3− x ) + ( 3− x )
2
.
= (3 − x )( 2 − x + 3 − x )
.
E = ( 3− x ) (5 − 2x )
R NS
E
.
1. ( x + 2 ) ( 3x + 1) = 3x 2 + x + 6x + 2 = 3x 2 + 7x + 2
PH
Exercice 30 .
( )
2. ( x − 1) 3x 2 + 7x + 2 = 3x 2 + 7x 2 + 2x − 3x 2 − 7x − 2 = 3x 3 + 4x 2 − 5x − 2 .
ST IO
(
Donc A = ( x − 1) 3x 2 + 7x + 2 ).
O
(
3. A = ( x − 1) 3x 2 + 7x + 2 ).
O IT
Et d’après (1.) on a :
A = ( x − 1) ( x + 2 ) ( 3x + 1)
.
AP ED
Exercice 32 1.
L’heure Nombre de bactéries Puissance de 2
1 524288 219
2 262144 218
3 131072 217
4 65536 216
5 32768 215
10 1024 210
11 512 29
2. 20 heures après ; l’exposant devient O.
1
3. On a : 0,125 = = 2−3
8 .
Donc : à 23h après le départ le nombre de bactéries sera : 0,125
x − 1 (1− x ) (1+ x + x + x + x )
5 2 3 4
b. = =S
x −1 x −1 .
1
2. E est de la forme de S pour x =
2.
2
⎛ 1⎞ 1
⎜⎝ 2 ⎟⎠ − 1 −1
−31 31
× ( −2 ) Alors E =
2
Donc : E = = 3 =
1 1 32 16 .
−1 −
2 2 .
Exercice 39 On a : 450 ×103 mm3 .globules rouges dans 1 litre de sang et dans 10−6 l .de sang on a 5×106 .globules
12
rouges : 5 ×10 .globules rouges dans 1 litre
R NS
450 × 103
E
Or : = 90 × 10−9 = 0,9 µ dm3
5 × 1012 .
PH
Exercice 40
1. AAMD =
AD × AM 6x
= = 3x ; ACMB =
CB × BM 4 × 10 − x
= = 20 − 2x
( )
2 2 2 2
ST IO
2. a.
Valeur de x 1 2 4 5 8
O Aire de AMD 3 6 12 15 24
O IT
Aire de CMB 18 16 12 10 4
b. On résout l’équation :
3x = 20 − 2x .
AP ED
5x = 20 .
20
x=
5
x = 4.
Donc pour : x = 4 cm ; les deux triangles ont la même aire.
2. L’aire du trapèze : A1 =
(6 + 4) ×10 = 50 Or : A = AT − ( AADM + ABMC )
2 BMC
ADMC = 50 − ( 20 + x ) = 30 − x
.
Je m’évalue :
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8
Réponses a c c a c b c a
Auto-formation :
Exercices Réponses
( )
3
donc : −c3 = a + b
Et ( a + b) = ( a + b) ( a + b) = a
3 2 3
+ b3 + 3a 2 b + 3ab2
D’où a3 + b3 + 3a 2b + 3ab2 + c3 = 0
a 3 + b3 + c3 + 3ab ( a + b) = 0
R NS
a 3 + b3 + c3 = −3ab × ( −c )
E
a3 + b3 + c3 = 3abc
PH
2. on en déduit que :
a3 b3 c3
ST IO
+ + =3
abc abc abc
a 2 b2 c 2
D’où : + + =3
O bc ac ab
O IT
Exercice 44 x yx zyx
+ + =S
xy + x + 1 xyz + xy + x xyz + yx + x
AP ED
Or : xyz = 1
x yx 1 yx + x + 1
Donc : S = + + =
xy + x + 1 xy + x + 1 xy + x + 1 xy + x + 1
Alors : S = 1
Exercice 46 ( ) (
4 x 5x + 5x+1 + 5x+2 = 4 x × 5x 1+ 5 + 52 )
= 4 x × 5x × 31
= 20 x × 31
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Comparaison de deux nombres rationnels.
• Propriétés de l’ordre et somme - Ordre et produit.
• Encadrement.
• Calcul des périmètres, des aires et des volumes.
• Théorème de Pythagore.
• Techniques de calcul - règles des signes.
• Écriture scientifique.
• Calcul littéral.
Compétences visées :
R NS
E
• Savoir utiliser les symboles de l’ordre.
• Savoir comparer deux nombres réels.
PH
• Savoir et utiliser les cas de changement d’ordre.
• Résoudre une inéquation du 1er degré à une inconnue et représenter les solutions sur une droite
graduée
ST IO
• Modéliser une situation de la vie courante en utilisant l’ordre.
O
Déroulement Évaluations formatives
O IT
Durée : 5h Séquence 1
Orale Ordre et opérations
AP ED
Écrit
Numérique • Objectifs :
Évaluation Lier la comparaison de deux réels au signe de leur différence
Des pré-requis :
Connaitre et utiliser les cas de changement d'ordre.
L'enseignant commence la
• Matériels didactiques : séance par le QCM de la page
Cahiers ; calculatrice . 46 n 1 à 8 en interrogeant les
• Activité : élèves sur les acquis vus en 2
AC.
Activité : "page 47 n 1 "
L'activité ramène les élèves à généraliser les propriétés de l'ordre.
• Résumé de cours :
Paragraphes" page 49 n 1 et 2 "
• Exercices d'application : Des acquis :
" p 53 n 6; 7 et 15 " Vérifier le niveau d'acquisition
• Exercices d'approfondissement : des propriétés vues dans la
séance
"p 53 n 9 à 11 et " 14 et 18"
Auto-évaluation :
• Devoirs :
Proposer aux élèves de faire à
Exercices "Page 55 n 25 à 27 "
domicile les exercices résolus
"p 51 n 2 et 3"
Durée : 3h Séquence 2
Orale Encadrement et valeurs approchées
Écrit
Numérique • Objectifs :
Évaluation Utiliser les propriétés de l'ordre et opérations pour donner des Des pré-requis :
encadrements et des valeurs approchées. L'enseignant commence la séance
• Matériels didactiques : par le QCM de la page 46 n 9 à 12 en
interrogeant les élèves sur les acquis
Cahiers ; Calculatrice.
vus précédemment.
• Activité :
" p 48 n 3"
l'activité est une occasion pour utiliser les propriétés d'ordre afin
de donner des encadrements.
• Exercices:
R NS
E
Des acquis :
" pages 55 et 56 n31 et 32 "
Insister sur les cas de changement de
• Exercices d'approfondissement : l'ordre .
PH
" p 55 n29 ; 30 et p56 n 33 ; 34 "
• Devoirs:
ST IO
O"Page 56 n 35"
Évaluation
problèmes.
• Auto-Formation : Auto évaluation :
Page 57 Faire à domicile les exercices résolus
"p 52 n 4 et 5"
• Remédiations : Je m'évalue :
Page 58 "Page 57"
Réponses a b c c a a b a b a a b
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 6 2 4 2
− =− 2 2 4
1. 3 5 15 ; − < 0 donc <
15 3 5
15 1 13
− + =−
E
2. 8 4
8 8 4
1213
PH
− <0 13 1213 13
3. 205 et > 0 ; donc − <
15 205 15
ST IO
Exercice 7 1. a − b = 2 2 − 3 2 = − 2 ; donc a < b
O
2. a − b = 5 − 2 3 − 4 + 2 3 = 1 ; donc a > b
O IT
b 2a − 5 − 2a − 4 = −9 2a − 5 < 2 ( a + 2 )
4a − 1− 5a + 1 = −a ; avec
c 4a − 1 > 5( a − 0,2 )
a est négatif
Exercice 10 1. a ≤ b donc a − 2 ≤ b − 2
2. a ≤ b donc : 2a ≤ 2b
D’où : 2a + 3 ≤ 2b + 5
1 1 2
a− − b− = a− b−
3. 3 3 3
( )
2
Exercice 11 a 2 + b2 − 2ab = a − b
( )
2
1. ; et a − b >0
2 2
Donc a + b > 2ab
a 2 + b2 − 2ab ( a − b)
2
a b
+ −2= =
2. b a ab ab
Or a et b de même signe ; donc : ab > 0
( )
2
Et on a aussi : a − b ≥0
R NS
E
a b
Alors : + ≥2
b a
PH
( ) = 98 et 10 = 100
2 2
Exercice 12 a. on a : 7 2
ST IO
Or : ( 7 2 ) < 10 et 7 2 et 10 sont positifs.
2
2
O
Donc : 7 2 < 10
O IT
(−4 2 ) = 32 et (− 33) = 33
2
2
b.
Donc : ( −4 2 ) < ( − 33 )
AP ED
2 2
Et −4 2 et − 33 sont négatifs
Alors : −4 2 > − 33
Exercice 13
Négatifs Positifs
Nombres −5 2 −4 3 -7 2 5 21 3 2
Carrés 50 48 49 20 21 18
50 > 49 > 48 et 18 < 20 < 21
Donc : −5 2 < −7 < −4 3 et 3 2 < 2 5 < 21
D’où −5 2 < −7 < −4 3 < 3 2 < 2 5 < 21
Exercice 14 5a − 1
2≤ ≤ 4,5
a. 2
4 ≤ 5a − 1 ≤ 9
5 ≤ 5a ≤ 10
5 10
≤a≤
5 5
1≤ a ≤ 2
Exercice 16 1 01
2 -2 0
3 -1 0 3
4 0 1 4
5 0
6 -5 0 4
R NS
E
Exercice 18
1. Pour : x = −4
PH
On a :
−2x + 1 = −2x ( −4 ) + 1 = 9
ST IO
On 9〉 − 3 ; alors −4 ne vérifie l’encadrement même méthode pour 2,5
2. On a : −5〈−2x +1〈−3
O
O IT
donc : −6 ≤ −2x ≤ −4
3. D’ou : −4 −6
AP ED
≤x≤
−2 −2
Alors : 2 ≤ x ≤ 3
D’où : −15 ≤ xy ≤ −2
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
Exercice 22 7 3
a+ − b+ = 0
1. 2 2 donc a − b = −5
Or −5 < 0 donc : a − b < 0
D’où : a < b
R NS
1 4
E
Alors : <
a + 2 13
PH
Exercice 27 Même méthode que 26
ST IO
Exercice 28 On a : a > 1
2
Donc : 2a + 1 > 2 et 2a − 1 > 0
O
D’où : ( 2a + 1) × ( 2a − 1) > 2 × 0
O IT
Alors : ( 2a + 1) ( 2a − 1) > 0
AP ED
2.
1 ≤ a2 ≤ 9
1≤ a + 4 ≤ 3
1 ≤ ( a + 4) ≤ 9
2
Exercice 30 h × BC h ( h + 6 )
AABC = =
2 2
On sait que : 4 ≤ h ≤ 6
h
Donc : 2 ≤ ≤ 3 et 10 ≤ h + 6 ≤ 12
2
h
Alors : 2 × 10 ≤
2
( h + 6) ≤ 3× 12
A=
(8 + 8 + x ) 6 = 3x + 48
2
Sachant que : 0,5 ≤ x ≤ 7,5
Alors : 1,5 < 3x < 22,5
49,5 < 3x + 48 < 70,5
D’où : 49,5 < A < 70,5
2
Exercice 32 1. 42 ≤ −5c + 1 ≤ 62
16 ≤ −5c + 1 ≤ 36
15 ≤ −5c ≤ 35
35 15
≤c≤
R NS
−5 −5
E
−7 ≤ c ≤ −3
4 ≤ a 2 ≤ 16 et 1 ≤ 1 ≤ 1
PH
2. a. On a :
4 b 2
1 1 1
ST IO
Donc : 4 × ≤ a 2 × ≤ 16 ×
4 b 2
a2
D’où : 1 ≤ ≤8
O b
O IT
b. −7 ≤ c ≤ −3 donc 3 ≤ −c ≤ 7
1 1 1
≤ ≤ donc 2 ≤ b ≤ 4
4 b 2
AP ED
D’où : 6 ≤ −cb ≤ 28
Alors : −28 ≤ bc ≤ −6
c. 2 ≤ −a ≤ 4 et 3 ≤ −c ≤ 7
Donc : 6 ≤ ( −a ) × ( −c ) ≤ 28
D’où : 6 ≤ ac ≤ 28
Exercice 35 1. T1 ( x ) = 40x
T2 ( x ) = 16x + 360
T1 (14 ) = 40 × 14 = 560
a.
T2 (14 ) = 16 × 14 + 360 = 584
T1 (16 ) = 40 × 16 = 640
b.
T2 (16 ) = 16 × 16 + 360 = 616
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
A
Exercice 36
R
5 7
B M C
9
Donc MN =
7
x 5( 9 − x )
9 Donc : MR =
9
Sachant que : 0 < x < 9
Alors : 0 < 2x < 18
2x
0< <2
9
2x
Donc : 5 < +5< 7
9
2x
Or : MN + MR = +5
9
Alors : 5 < MN + MR < 7
R NS
E
Je m’évalue :
PH
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8
ST IO
Réponses b a c a c b c a
Auto-formation :
O
O IT
Exercices Réponses
• Mise en inéquation :
52
250 × x > 1000
100
• Résolution : 130x > 1000
1000
x>
130
100
x>
13
100
Or : ! 7,7
13
• Interpretation : à partir du 8ème mois le montant dépassera pour la 1ère fois 1000dhs.
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Résolution d’une équation du premier degré à une inconnue.
• Développement et factorisation.
• Résolution de l’équation de la forme (ax + b)(cx+d)=0.
• Théorème de Pythagore.
• Propriétés de l’ordre des nombres réels.
• Racines carrées
Compétences visées :
• Maîtriser les techniques de résolution d’une équation du premier degré à une inconnue.
R NS
E
• La méthode de résolution algébrique d’un problème.
• Résoudre une inéquation du 1er degré à une inconnue et représenter les solutions sur une droite
graduée.
PH
• Modéliser des problèmes et les résoudre en utilisant les équations et les inéquation..
ST IO
O Déroulement Évaluations formatives
Durée : 4h Séquence 1
O IT
Évaluation
inconnue.
Des pré-requis :
• Matériels didactiques : L'enseignant commence la séance
Cahiers et calculatrice
par le QCM de la page 60 n 1 à 6
• Activité :
- Activité 4 : Ramener les élèves à transformer la situation à interrogeant les élèves pour voir les
acquis individuels.
l'équation : n + n + 1 = 1557 puis trouver les étapes pour isoler n.
- Activité 2 : les objectifs de cette activité est modeliser une
situation en utilisant les équations.
• Résumé de cours :
Paragraphes page 63 n 1.1 ; 1.2 et 1.3
• Exercices d’application :
- Exercices 6 page 67 Des acquis :
- Exercice 16 page 67 Vérifier le niveau d'acquisition les
techniques de résolution d'équations
• Exercices:
Exercice 22 et 21 page 69 du 1er degré à une inconnue et savoir
Exercice n 8 et 19 page 67 et 68 modéliser un problème.
• Devoir : Auto-évaluation :
Exercices 29 à 30 page 70 Proposer aux élèves de faire à
domicile les exercices résolus n 1 et
3 page 65
R NS
Vérifier que les élèves savent
E
• Exercices d’approfondissement :
Exercices 14 et 15 page 64 déterminer le degré d'une équation
• Devoir : et trouver la méthode adéquate pour
PH
Exercice 13 page 67 la résoudre.
• Auto-formation :
Auto-évaluation :
ST IO
Exercices"Page 26 et 27 p 69"
Faire à domicile les exercices
• Remédiations :
résolus page 65
Page 72 n 1
O • Je m’évalue :
O IT
"page 71 de 1 à 5"
Durée : 4h Séquence 3
AP ED
Orale
Écrit Des acquis :
• Objectifs : Vérifier que les élèves maitrise
Numérique résoudre une inéquations du 1er degré à une inconnue
Évaluation les règles de l’ordre
• Matériels didactiques :
une ordinateur cahiers • Je m’évalue :
• Activité 1 : 7 p 62 p 71 n 6 à 8
L’approche de l’inéquation par tille en utilisant l’Excel et c’est une
occasion pour se familiariser avec les formules du logiciel
Activité 2 : p 62 p8
Dans l’activité ou modélise une situation géométrique du
inéquation
• Résumé de cours :
paragraphe 4 page 64
• Exercices d’application :
67 n11 et 12
• Exercices d’approfondissement :
p 69 n 23 ; 24 et 25
• Auto-formation :
p 65 n 4
• Devoir :
p 66 n 5
• Remédiations : p 72 n 72
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8
Réponses b c c a b a c a
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 6 10
• x = 10 − 5 = 5 ; la solution est 5. • x= = 2 ; la solution est 2.
5
• x = 10 + 5 = 15 ; la solution est 15.
• x = 10 × 5 = 50 ; la solution est 50.
R NS
E
Exercice 7 3 3 • 5x + 5 = 6x − 12 ; la solution est 17.
• 4x = 6 donc x = ; la solution est
2 2 2 x
PH
• 8+ x = − 7 ; la solution est −45
• 3x + 6 − x = 10x − 18 ; la solution est 3. 3 3
ST IO
Exercice 8 Équation a b c d e f g
11 Pas de Tout nombre
Solution 1 8 -2 − -18
O 6 solution est solution
O IT
Signifie : x = 1 ou x = 3 .
Les solutions sont : 1 et 3
De même pour les autres équations.
Exercice 10 3x − 3 6x − 12 2x − 6
a. • − >
12 12 12
3x − 3− 6x + 12 > 2x − 6
−5x > −15
−15
x<
−5
d’où : x < 3
• Tout nombre inférieure strictement à 3 est solution de l’inéquation
• Représentation :
Solutions
0 3
b. • ( ) (
5−3 x ≤3 5−3 )
Or 5 < 3 donc : 5 − 3 < 0
Alors x ≥
(
3 5−3 )
5−3
Exercice 11 • x − 4 ≤ 0 donc x ≤ 4
Tout nombre inférieur ou égale à 4 est solution
• x + 2 > 0 donc x > −2
Tout nombre strictement supérieur à -2 est solution de l’inéquation
9
• 3x > 9 donc x > alors x > 3
3
Tout nombre strictement supérieur à 3 est solution
4
• −2x ≤ 4 donc x ≥
−2
Tout nombre supérieur ou égale à -2 est solution.
R NS
Exercice 12
E
L’inéquation Etape finale solution
2x − 3 > x + 5 x >8 Tout nombre strictement supérieur à 8
4x − 1 ≤ 2 ( x − 1) + 3
PH
x ≤1 Tout nombre inférieur ou égal à 1
−5x + 2 ≥ 2x + 9 x ≤ −1 Tout nombre inférieur ou égal à -1
−3( x + 2 ) + 1 < x + 7
ST IO
x > −3 Tout nombre strictement supérieur à 3
2
• Pour x = 9
Exercice 13
O
O IT
Exercice 14 Dans cet exercice on utilise les identités remarquables pour factoriser :
• ( 4x − 1− 5) ( 4x − 1+ 5) = 0
3
Les solutions sont : et -1
2
• ( t + 3 − 2t − 1) ( t + 3 + 2t + 1) = 0
4
Les solutions sont : 2 et −
3
• (5a − 7 − a + 9 ) (5a − 7 + a − 9 ) = 0
1 8
Les solutions sont : − et
2 3
( )
2
• 2y −1 = 0
1
La solution est :
2
( )
2
• 3x − 4 = 0
4
La solution est :
3
R NS
• Donc Imad pèse : 75 kg et Leila : 60 kg
E
Exercice 19 Partage des points :
PH
Le 1er Le 2ème Le 3ème
X x+75 x-50
ST IO
• L’équation : x + x + 75 + x − 50 = 325
• La résolution : x = 100
O
• Le 1er a : 100 dhs
O IT
( AM + DN ) × AD
AP ED
Exercice 20
1. AAMND =
2
AAMND =
(8 − x + 2x ) × 4 = 2x +16
2
AMBCN =
( MB + NC ) × AD
2. 2
AMBCN =
( x +10 − 2x ) × 4 = 20 − 2x
2
3. à L’équation : 2x + 16 = 20 − 2x
• La résolution : 4x = 4 signifie que : x = 1
• Les deux trapèzes ont la même aire pour : x = 1
Exercice 21 25
1. 2x − 8 = 8x − 33 ; la solution est
6
10t + 3 2t − 3
=
2. 15 4 ; la solution est -5,7.
5
−
3. 6x − 3− 2x + 6 = x − 9x − 12 ; la solution est : 4 .
5( y − 3) + 4 ( y − 5) = 2 ( 2 y + 3) − 10 ( 3y + 5) 35y = −9
4.
−9 −9
y= la solution est .
35 35
( ) ( ) ( )
R NS
E
• 2 − 3 x = 3 signifie : x = 3 2 + 3 ; la solution est : 3 2 + 3
( ) 17 + 4 10 17 + 4 10
PH
• 5 − 2 t = 3 5 + 2 signifie : t = ; la solution est :
3 3
x− 2 x− 3
( )
ST IO
• = signifie : 2 − 3 x = −1 ; la solution est : 3 + 2
3 2
O
Exercice 24 Soit x le nombre de séances.
O IT
x>
35
250
Or : ! 7,14
35
• Conclusion :
A partir de la 8ème séance l’abonnement est avantageux.
Exercice 26 On applique la propriété du produit nul puis on résout les équations du 1er degré à obtenues.
Exercice 27
N Forme factorisée ou réduite Solutions
3
A x ( 4x − 3) = 0 o et
4
B x ( 2x − 3 = 0 ) 0 et
2
6
1 7
C ( 2x − 1)(3x + 7 ) = 0 2
et −
3
2 1
D (3x + 2)( −3x − 1) = 0 −
3
et −
3
E ( x − 3)( −x − 2) = 0 3 et -2
I ( 3x − 2 )( 3x + 2 = 0 ) 3
6
et −
3
6
J ( x − 5)( x + 1) = 0 5 et -1
K (6 − 5x ) ⎛⎜⎝ − 125
4
57 ⎞
x− ⎟ =0
2⎠
6
5
et −
114
125
4
L ( x − 2)(5x + 4) = 0 2 et −
5
R NS
1
E
P et -5
3
17
M 25x 2 − 6x = 25x 2 + 70x + 34 −
PH
38
N (2x − 3)( x + 3) = 0 3
ST IO
et − 3
2
Donc : n + n + 1 = 1993
D’où : n = 996
Le 1er nombre est 996
AP ED
Exercice 30 1. 9
x−1
= 3x+1 signifie : 32( x−1) = 3x+1
équivaut à : 2 ( x − 1) = x + 1
La solution est : 3
2 x+1
2. 2 = 32 signifie : 22x+1 = 25 signifie : 2x + 1 = 5
La solution est : 2
Exercice 31 • Soit : DE = x
AD × DE 5 AD × DE
• L’équation : = ( AD × AB − )
2 6 2
5⎛ x⎞
x = ⎜ 300 − ⎟
3⎝ 2⎠
Exercice 33 ⎛ 1 1⎞
α = 2⎜ x2 + x + ⎟ 2
⎝ 2 16 ⎠ = 2 ⎛ x 2 + 2 × 11 x + 1 ⎞ ⎛ 1⎞
1. ⎜⎝ donc : α = 2 ⎜ x + ⎟
4 16 ⎟⎠ ⎝ 4⎠
1
Donc a = 1 et b =
4
2
R NS
⎛ 1⎞ 1
E
2. α = 0 donc : 2 ⎜ x + ⎟ = 0 signifie x + = 0
⎝ 4⎠ 4
1
PH
Donc x = −
4
1
ST IO
La solution de l’équation : −
O 4
Exercice 34 3 2 9x + 9 = 0
1. x + x = 0
O IT
9x = −9
x 2 ( x + 1) = 0
x = −1
x 2 = 0 ou x + 1 = 0 La solution : -1
AP ED
x = 0 ou x = −1
Les solutions : 0 et 1
2. a − b = 0
x 3 + x 2 − ( 9x + 9 ) = 0
x 2 ( x + 1) − 9 ( x + 1) = 0
(x 2
)
− 9 ( x + 1) = 0
( x − 3)( x + 3)( x + 1) = 0
x = 3 ou x = −3 ou x = −1
Les valeurs de x sont : 3, -3 et -1
À partir de la question, on choisit une lettre qui détermine le nombre de chameaux, on la note c , et
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Réponses a a c c c a c a
Auto-formation :
Exercices Réponses
Exercice 36 1. x 2 +1 = 4 signifie : x 2 = 3 x 2 ( x − 4) − ( x − 4) = 0
2.
donc : x = 3 ou x = − 3 ( x − 4)( x − 1)( x + 1) = 0
Les solutions sont : 3 et − 3 Les solutions sont : 4, 1 et -1
( x − 3) ( x − 4)
2 2
Exercice 37 − =2
R NS
E
Sachant que : 3 < x < 4
Alors : x − 3 > 0 et x − 4 < 0
Donc l’équation devient :
PH
x − 3− ( 4 − x ) = 2 signifie : x − 3− 4 + x = 2 signifie : 2x = 9
ST IO
donc : x = 4,5
La solution est : 4,5
O
x 5x( 3x+1)
1. 3 + 3x × 33 = 28 × 33 2. 7 = 70
O IT
Exercice 38
3x (1+ 27 ) = 28 × 33 Ou en déduit que : 5x ( 3x + 1) = 0
3x × 28 = 28 × 33 5x = 0 ou 3x + 1 = 0
AP ED
1
3x = 33 Les solutions sont 0 et −
3
x=3
La solution est : 3
( ) ( ) ( )
2 2 2
• L’équation : x 2 + x + 1 + x + 2 + x + 3 = 366
équivaut à : x 2 + 3x − 88 = 0
équivaut à : ( x − 8) ( x + 11) = 0
Les solutions sont : 8 e t -11
1er cas : Les nombres sont : 8 ; 9 ; 10 et 11
2ème cas : On ne peut pas avoir (-11) comme 1er nombre car les nombres sont entiers naturels.
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Équations du 1er degré à une inconnue
• Fonctions linéaires et affines et leurs représentations graphiques
• Équations d’une droite
• Conditions des positions relatives de deux droites.
Compétences visées :
• Connaître et résoudre un système de deux équations du premier degré à deux inconnues en utilisant la
méthode de substitution ou de combinaison
• Interprétation géométrique pour résoudre un système en le liant à deux équations de deux droites
R NS
parallèles ou sécantes
E
• Savoir modéliser un problème en utilisant des systèmes d’équation
PH
Déroulement Évaluations formatives
ST IO
Durée : 6h Séquence 1
Orale Equations à deux inconnues et système
Écrit
O
Numérique • Objectifs :
O IT
Durée : 8h Séquence 2
Orale
Écrit • Objectifs :
Numérique Savoir résoudre un système de deux équations du 1er degré à deux
Évaluation inconnues par la méthode de combinaison linéaire
R NS
E
• Matériels didactiques :
Cahiers et calculatrice
Des pré-requis :
• Méthodes de résolution d'un système :
PH
2. La combinaison linéaire ⎧x + 2 y = 1
⎨
• Activité : ⎩3x + y = 6
ST IO
Activité 2 page 75 L'enseignant vérifie dans cette
⎧3x + 4 y = 53 partie les acquis de la séance
Les élèves modélisent le problème par le système : ⎨
O ⎩2x + 2 y = 30 dernière ainsi il peut demander
O IT
Où x représente le prix d'une tasse de café et y celui d'une limonade. aux élèves d'isoler une fois x et
L'activité guide les élèves à déterminer les valeurs de x et y en autre fois y dans les deux
utilisant la méthode de combinaison linéaire et l• l'enseignant équations
AP ED
insiste sur "l'élimination par addition membre à membre" des deux Puis demander la solution du
équations obtenues. système.
• Résumé de cours :
Méthode de combinaison linéaire " 2 page 77 " Des acquis :
• Exercices d’application : Vérifier que les élèves savent
- Exercice 11 et 12 page 81 utiliser la méthode de
combinaison linéaire pour
• Exercices d’approfondissement :
- Exercice 31 page 83 résoudre un système.
• Résolution de problèmes : Auto-évaluation :
Exercice 22 à 26 page 82 A faire à domicile les exercices
TICE : Sur des calculatrices scientifiques on trouve un mode de résolus "p 79 / 80 n 4 à 7"
résolution d'équations que l'élève peut utiliser pour au moins • Je m’évalue :
vérifier les solutions dans son travail personnel : "page 85"
Par exemple sur "Casio fx-92" renseigner le tableau en mettant les
valeurs de a ; b et c dans chaque équation ainsi on obtient le couple
solution.
• Devoir :
Exercices 36 à 42 page 83/84
• Auto-formation :
Exercices 43 à 46 page 85
• Remédiations :
Page 72
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7
Réponses b a b a b b a
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 8 • 3 × 2 − 6 × ( −1) + 2 = 6 + 6 + 2 = 14
1
• 3× 0 − 6 × + 2 = 0 − 2 + 2 = 0
3
R NS
E
1
( )
• 3× −1 − 6 ×
6
+ 2 = −3− 1+ 2 = −2
PH
⎛ 1⎞ ⎛ 1⎞
⎜⎝ 0; 3 ⎟⎠ est le seul couple qui vérifie l’égalité ; donc : ⎜⎝ 0; 3 ⎟⎠ est l’une des solutions de l’équation.
ST IO
Exercice 9 ⎛ 3⎞
1. Les couples de la forme ⎜ x;2x + ⎟ sont les solutions de l’équation ; avec x un réel.
O ⎝ 2⎠
O IT
Exercice 10
Exercice 11 ⎪
Calcul de x : ⎨
( )
⎧ x + y = 12 × −2
⎪⎩ 3x + 2 y = 31
⎧⎪ −2x − 2 y = −24
⎨
⎪⎩ 3x + 2 y = 31
Donc : −2x − 2 y + 3x + 2 y = −24 + 31
x=7
⎪
Calcul de y : ⎨
( )
⎧ x + y = 12 × −3
⎪⎩ 3x + 2 y = 31
Exercice 12 ⎛ 1 7⎞
Le couple solution est : ⎜ − ;− ⎟
⎝ 4 8⎠
Exercice 13 1 2 3 4
⎛ 1 17 ⎞ ⎛ 1 11⎞
S1 : (1;5) ⎜⎝ 3 ; 15 ⎟⎠ ( 4;5) ⎜⎝ 7 ; 7 ⎟⎠
⎛ 3 1⎞ ⎛ 1 1⎞ ⎛ 7 9⎞ ⎛ 9 20 ⎞
R NS
E
S2 : ⎜⎝ 2 ;− 2 ⎟⎠ ⎜⎝ 8 ; 2 ⎟⎠ ⎜⎝ − 4 ; 4 ⎟⎠ ⎜⎝ 7 ;− 7 ⎟⎠
PH
Exercice 14 En remplaçant x par -1 et y par 2
⎧⎪ −a + 2b = −3
ST IO
On obtient le système : ⎨
⎩⎪ −2a − 6b = 1
⎛8 7⎞
O
Dont la solution est : ⎜ ;− ⎟
⎝ 5 10 ⎠
O IT
8 7
Donc : a = et b = −
5 10
AP ED
Exercice 15 ⎪⎧ a + b = 154
Déterminons a et b tel que : ⎨
⎪⎩ a − b = 28
Par résolution du système : a = 91 et b = 63 .
R NS
E
Exercice 20 On trace dans un repère du plan chacune des deux droites et on lit les coordonnées du point
d’intersection qui sont : (1;−2 )
PH
ST IO
Exercice 21 ⎛ 1 7⎞
1. La solution du système : ⎜ ; ⎟
⎝ 4 4⎠
2. Les équations des deux droites sont les équations du système de la question (1. ainsi :
O
O IT
1 7
x= et y =
4 4
⎛ 1 7⎞
Donc : E ⎜ ; ⎟
AP ED
⎝ 4 4⎠
⎧250x + 50 y = 30000
2. En prenant x le tarif-adulte et y le tarif-enfant ; on obtient le système : ⎨
⎩ x − y = 60
⎧5x + y = 600
Qui devient : ⎨
⎩ x − y = 60
Ainsi : x = 110 et y = 50
Donc : un adulte doit payer : 110dhs
Un enfant doit payer : 50dhs
R NS
1. Le couple ( −2;20 ) ne vérifie pas la deuxième équation ; donc ce n’est pas une solution du
E
Exercice 26
système.
PH
2. p : le nombre de poules
c : le nombre de chèvres
ST IO
⎧ p + c = 18
• Le système : ⎨
⎩2 p + 4c = 40
• La solution du système : (16;2 )
O
O IT
Exercices d’approfondissement :
AP ED
Exercices Réponses
Exercice 29 Système S1 S2 S3
⎛ 3 7⎞ ⎛ 10 ⎞ ⎛ 1 3⎞
Solution ⎜⎝ 2 ;− 2 ⎟⎠ ⎜⎝ − 3 ;2⎟⎠ ⎜⎝ 7 ; 7 ⎟⎠
Exercice 30 Système S1 S2 S3 S4
⎛ 3 5⎞ ⎛ 13 19 ⎞ ⎛ 4 −17 ⎞
Solution ⎜⎝ 2 ; 2 ⎟⎠ ( −13;9) ⎜⎝ 7 ; 7 ⎟⎠ ⎜⎝ 11 ; 11 ⎟⎠
Exercice 32 Système S1 S2 S3 S4 S5
⎛ 5⎞ Pas de
Solution ( −1;−3) ( −2;3) ⎜⎝ 2;− 4 ⎟⎠ ( 2;−2) solution
Exercice 33 Système S1 S2 S3
⎛ 11 13 ⎞ ⎛ 7 50 ⎞ ⎛ 44 58 ⎞
Solution ⎜⎝ 7 ; 7 ⎟⎠ ⎜⎝ 9 ; 27 ⎟⎠ ⎜⎝ 3 ;− 3 ⎟⎠
Exercice 34 Système S1 S2 S3 S4
⎛ 2 5 −1 2 5 − 9⎞ Tout couple Tout couple
Solution (1;0) ⎜
3
;
3 ⎠
⎟
est solution est solution
⎝
R NS
E
Exercice 35 S1 : (1;2 ) est la solution
PH
S2 : Pas de solution
ST IO
Exercice 36 1. 5 × 5 − 3× 8 = 25 − 24 = 1
• 2 × 5 − 8 = 10 − 8 = 2
Donc (5;8) est solution du système.
O
O IT
2 × ( −1) − ( −2 ) = 0
2. et y≠2
Donc ( −1;−2 ) n’est pas une solution du système.
AP ED
3.
( a + 1;b − 2) est solution du système
⎧a + 1 = 5 ⎧a = 4
Donc ⎨ ; D’où : ⎨
⎩b − 2 = 8 ⎩b = 10
Exercice 38 a.
( MI ) et ( SE ) sont perpendiculaires à une même droite ; alors elles sont parallèles.
b. En utilisant le théorème de Thales
AM AI MI
On a : = =
AE AS ES
7 a
Donc : =
9 b
7
D’où : a = b
9
A=
( a + b) × 2 = a + b
c. 2 donc : a + b = 20
R NS
E
Exercice 40 1.
( D ) et ( Δ ) ont le même coefficient directeur 2 ; donc : ( D ) ! ( Δ )
2. Le système est composé des deux équations de ( D ) et ( Δ )
PH
Et puisque ( Δ ) et ( D ) sont disjointes
ST IO
Alors le système n’a pas de solution.
O
Exercice 41 ⎧55d + 40e = 900
• Le système réduit est : ⎨
O IT
Exercice 43
x: la quantité d’oranges en mg
y: la quantité de pommes en mg
⎧20x + 50 y = 32
⎨
⎩x + y = 1
• La solution du syst!me est le couple ( 0,6 , 0,4 )
• Conclusion : On dit mettre 0,6l de la 1er solution et 0,4l de la deuxième.
Exercice 45
Exercice 46
R NS
E
Je m’évalue :
PH
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5
ST IO
Réponses b a a b a
Auto-formation :
O
O IT
Exercices Réponses
⎪( x − y + 1) ( x − 2 y ) = 0
AP ED
Exercice 43 ⎧ ⎧ x − y = −1 ⎧x − 2 y = 0
⎨ est équivaut à ⎨ ou ⎨
⎪2x + y + 3 = 0
⎩ ⎩2x + y = −3 ⎩2x + y = −3
⎛ 4 1⎞ ⎛ 6 3⎞
D’où les solutions sont : ⎜ − ;− ⎟ et ⎜ − ;− ⎟
⎝ 3 3⎠ ⎝ 5 5 ⎠
Exercice 44 2 3 2 3+3
En résolvant le système on trouve cos x = et sin x =
3 6
2 3
Or : > 1 ; donc cette valeur est un impossible comme cos x .
3
Donc le système n’a pas de solution.
R NS
E
⎛ 1⎞ ⎛ 1 ⎞
c. La courbe de g est la droite passant par les points de coordonnées ⎜ −1;− ⎟ et ⎜ − ;0⎟
⎝ 2⎠ ⎝ 2 ⎠
PH
⎛ 1⎞
d. Algébriquement : la solution est ⎜ 1; ⎟
⎝ 2⎠
ST IO
⎛ 1⎞
• Graphiquement : c’est le point E ⎜ 1; ⎟ , l’intersection de ( D ) et ( D′ )
⎝ 2⎠
O
O IT
AP ED
E
PH
Activités
ST IO
O
géométriques
O IT
AP ED
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Proportionnalité
• Puissance
• Équations
• Racines carrées
• Triangle rectangle et cercle
• Théorème de Pythagore direct
• Triangles particuliers.
Compétences visées :
• Utiliser le théorème de Pythagore pour déterminer des longueurs
• Connaître et utiliser la réciproque du théorème de Pythagore
R NS
E
• Connaître et utiliser les rapports trigonométriques pour résoudre des problèmes
• Utilisation de la calculatrice pour déterminer une valeur approchée des rapports trigonométriques d’un
PH
angle aigu et inversement.
ST IO
Déroulement Évaluations formatives
Durée : 5h Séquence 1
Orale
O Théorème de Pythagore et réciproque
O IT
Écrit • Objectifs :
Numérique Reconnaitre un triangle rectangle et savoir déterminer la langueur
Évaluation d’un coté en connaissant les deux autres cotés en utilisant l’équation
AP ED
Durée : 7h Séquence 2
Orale Trigonométrie
Écrit
Numérique • Objectifs :
• Connaître et savoir utiliser le sinus et la tangente d'un angle aigu
Évaluation Des pré-requis :
dans un triangle rectangle.
QCM "p 92 n 7 à 9"
• Connaître et savoir utiliser les relations trigonométriques du
Cette partie permet aux élèves
programme.
de se rappeler la définition du
• Matériels didactiques : cosinus vue en 2 AC.
Ardoises ; cahiers et calculatrice.
Rapports trigonométriques d'un angle aigu
• Activité :
R NS
E
Activité " p 94 n 4"
• Résumé de cours :
PH
Définitions "page 96 n 2.1" Des acquis :
"casse-toi" est une façon de mémoriser les trois définitions. Vérifier que les élèves savent
ST IO
• Exercices d’application : utiliser les définitions des
Exercices 13 à 15 page 100 rapports trigonométriques.
• Exercices d’approfondissement : Des acquis :
O
Exercices 28 et 29 pages 102 Vérifier que les élèves
O IT
Réponses b a c c c c a a b
Exercices d’application :
Exercices Réponses
R NS
E
• EF 2 = FG 2 − EG 2 donc : EF = 64 − 18 = 46 ( cm)
PH
Exercice 9 On applique le théorème de Pythagore :
4 5
PN 2 = PM 2 + MN 2 donc : PN = + = 1= 1
ST IO
9 9
AC 2 = 81 et AB 2 + BC 2 = 36 + 45 = 81
Exercice 10 1.
O
O IT
2 2 2
Donc : AC = AB + BC
D’après la réciproque du théorème de Pythagore, on a :
ABC est rectangle en B.
AP ED
( )
2
2. On a : EG 2 + EF 2 = 12 +12 = 24 et FG 2 = 2 6 = 4 × 6 = 24
2 2 2
Donc : EG + EF = FG d’après le réciproque de théorème de Pythagore EFG est rctangle en E.
Et puisque : EG = EF
Alors : EFG est rectangle isocèle en E.
97
SP 2 + RP 2 =
3. 150 et RS 2 = 35 = 210
25 150
2 2 2
Donc : RS ≠ SP + RP
Alors RSP n’est pas rectangle.
AB 2 ! AC = 21
• cos !
ABC = = ; cos ACB =
BC 5 BC 5
Exercice 14 != EG 0,3 3
sin EFG = =
FG 0,5 5
R NS
EF 0,4 4
E
!=
sin EGF = =
FG 0,5 5
PH
Exercice 15 ! = ON = 3
tanOMN
1. ! = OM = 4
OM 4 et tanONM
ST IO
ON 3
! −1 ⎛ 3⎞ −1 ! ⎛ 4⎞
2. Avec la calculatrice : OMN = tan ⎜ ⎟ " 37° et ONM = tan ⎜ ⎟ " 53°
⎝ 4⎠ ⎝ 3⎠
O
O IT
2
Exercice 16 2 2 ⎛ 3⎞ 7
• On sait que : sin α = 1− cos α , donc sin α = 1− ⎜ ⎟ =
2
⎝ 4⎠ 16
AP ED
7
Or : 0 < sin α < 1 donc sin α =
4
7
sin α 7
• On sait que : tan α = = 4 =
cos α 3 3
4
Exercice 17 2 2 1 7
• On sait que : cos α = 1− sin α , donc : cos 2 α = 1− =
8 8
7 14
Or : 0 < cos α < 1 ; alors : cos α = =
8 4
2
sin α 4 = 2 = 7
• tan α = =
cos α 14 14 7
4
(
B = 2 sin 2 35° + cos 2 35° − 2 )
B = 2 × 1− 2
B=0
Exercice 20
Dans le triangle ABC rectangle en A, on a :
!= AB AB
cos B donc : cos30° =
BC 10
Alors : AB = 10 × cos30°
D’où : AB = 5 3 m
AB = 8,7 m
R NS
Exercices d’approfondissement :
E
Exercices Réponses
PH
Exercice 21 On applique le théorème de Pythagore aux triangles ABC et AEF :
ST IO
• AC 2 = AB 2 + BC 2 donc : AC 2 = 64 + 36 = 100 , d’où : AC = 100 = 10 .
2 2 2
• AF = AE + EF donc : AF 2 = 80 + 20 = 100 , d’où : AF = 100 = 10 .
O
On déduit que : AC = AF
O IT
• AC 2 = BC 2 − AB 2 = 100 − 36 = 64 , donc : AC = 8
• ED 2 = AD 2 + AE 2 = 16 + 9 = 25 , donc : ED = 5
AB 6 3
= = AE 3
2. BC 10 5 et =
ED 5
AB AE
Donc : =
BC ED
! = AB et cos E
3. On sait que : cos B ! = AE
BC ED
!
On en déduit que : cos B = cos E
!
!
Alors : B = E
!
! !
Et sachant que : ABC et AED sont alternes-internes par rapport aux droites (BC) et (ED) coupées
par la sécante (BE).
Alors : ( BC ) ! ( ED ) .
• AC 2 = AD 2 + DC 2 = 9 +16 = 25 , donc : AC = 25 = 5
• BC 2 = AC 2 − AB 2 = 25 − 4 = 21 , donc : BC = 21
Exercice 25 1. Le triangle AEB est inscrit au cercle de diamètre ⎡⎣ AB ⎤⎦ , donc AEB est rectangle en E.
2. On applique le théorème de Pythagore au triangle AEB rectangle en E.
EB 2 = AB 2 − AE 2 donc EB 2 = 100 − 64 = 36
R NS
E
On en déduit que : EB = 36 = 6 ( cm)
PH
Exercice 26 1. a. Calcul de AR et HC.
On applique le théorème de Pythagore aux triangles AHR et AHC rectangles en H.
ST IO
• AR = AH + HR = 36 + 20,25 = 56,25 , donc : AR = 56,25 = 7,5( cm)
2 2 2
HC 2 = AC 2 − AH 2 = 100 − 36 = 64
O
•
64 = 8 ( cm)
O IT
HC =
b. On a : H ∈ ⎡⎣ RC ⎤⎦
2 2
2. On a : RC = 12,5 = 156,25
2 2 2
et : AR + AC = 56,25 +10 = 156,25
Donc : RC 2 = AR 2 + AC 2
D’après la réciproque du théorème Pythagore.
RAC est rectangle en A.
AR 7,5 3
cos !
ARC = = = = 0,6
3. RC 12,5 5
2
Exercice 27 On a : EC 2 = 13 = 13
Et ED 2 + DC 2 = 4 + 9 = 13
Donc : EC 2 = ED 2 + DC 2
D’après la réciproque du théorème de Pythagore, le triangle EDC est rectangle en D.
Donc : ( ED ) ⊥ ( DC )
Puisque : D ∈( AC ) alors : ( ED ) ⊥ ( AC )
Sachant que : ( AB ) ! ( ED )
Alors : ( AB ) ⊥ ( AC )
R NS
E
Exercice 29
1.
OMN ( )
! = 180° − 35° + 55° = 90°
PH
Donc : OMN est rectangle en M.
MN 2 2
2. On a : sin !
MON = , donc : sin35° = alors : ON =
ST IO
ON ON sin35°
D’où : ON ! 3,49cm (arrondie au centième)
O
O IT
Exercice 30 1. BI 2 = AB 2 + AI 2 , donc BI 2 = 2 + 4 = 6
Donc : BI = 6
AB
AP ED
sin !
AIB = 2 3
2. BI donc : sin !
AIB = =
6 3
! !
3. On a : AIB = CID (opposés par le sommet)
!
Donc : sin AIB = sinCID
!
! = CD
Or : sinCID
ID
CD 3 5 3
Donc : = d’où : CD =
5 3 3
AB
Exercice 31 cos !
ABC =
1. BC
3
Donc : cos60° =
BC
1 1 3
Or : cos60° = alors =
2 2 BC
Donc : BC = 6
!
2. On a : ACB = 90° − 60° = 30°
AC
Et : cos !
ACB =
BC
Exercice 32 3 3 3
sin r! = sin60° =
1. 4 8 , donc r! = sin −1 ⎛⎜ 3 3 ⎞⎟ , donc r ! 40,5°
⎝ 8 ⎠
(On fait de même pour les autres questions)
Exercice 33 1 8
• sin 2 y = 1− cos 2 y = 1− =
9 9
8 2 2
Donc : sin y = =
R NS
9 3
E
2 2
sin g
PH
• tan g = = 3 =2 2
cos g 1
3
ST IO
Exercice 34 Calcul de C :
O
On a : 15° + 75° = 90° et 35° + 55° = 90°
O IT
C=2
Calcul de I :
I = cos2 x − 9sin 2 x + 10sin 2 x
I = cos 2 x + sin 2 x
I =1
Calcul de J :
On a : 72° + 18° = 90° donc : cos72° = sin18°
2 3 3
Alors : J = 2 ×
2 2
(
+ sin 2 72° + cos2 72° − 3 ×
2
)
− 2
3 3
J= 2 + × 1− − 2
2 2
3 3
J= −
2 2
J =0
(cosα + sin α )
2
Exercice 35 = cos 2 α + sin 2 α + 2cos α ⋅sin α
1.
( )
2
Donc : cos α + sin α = 1+ 2cos α ⋅sin α
(cosα − sin α )
2
= cos 2 α + sin 2 α − 2cos α ⋅sin α
3 6
cos α + sin α = =
2 2
1 2
cos α − sin α = =
2 2
6 2
cos α + sin α + cos α − sin α = +
3. 2 2
R NS
E
6+ 2
Donc : 2cos α =
2
PH
6+ 2
D’où : cos α =
4
ST IO
6 2
Alors : cos α + sin α − cos α + sin α = −
2 2
O
6− 2
O IT
D’où : sin α =
4
AP ED
Je m’évalue :
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6
Réponses c b C b b b
Auto-formation :
Exercices Réponses
Exercice 36 AB
= 1 donc : AB = AC
AC
Puisque : BC 2 = AB 2 + AC 2
( ) = 2 AB
2
2
Alors : 3 2
9 × 2 = 2 AB 2
AB 2 = 9
D’où : AB = 3
BK 2 BK
cos 45° = donc : =
BC 2 3 2
3 2× 2
Alors : BK = =3
2
R NS
E
D’où : KC = 3
• ABKH est un rectangle donc :
PH
AB = HK = 5 et AH = BK = 3
• Dans le triangle AHD rectangle en H.
ST IO
AH 3
tan60° = donc : 3=
DH DH
O 3
D’où : DH = = 3
O IT
3
Donc : DC = 3 + 5 + 3 = 8 + 3
AP ED
IB 2 17
Alors : IJ = = = 17
2 2
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Symétrie centrale
• Proportionnalité
• Fragmenter un segment à plusieurs segments isométriques
• Équations
• Technique sur le calcul numérique
• Quadrilatères particuliers
Compétences visées :
• Connaître et utiliser le théorème de Thalès pour calculer des longueurs
R NS
• Connaître et utiliser la réciproque du théorème de Thalès pour prouver que deux droites sont
E
parallèles.
PH
Déroulement Evaluations formatives
ST IO
Durée : 5h Séquence 1
• Objectifs :
Orale
Se rappeler le théorème des trois rapports vu en 2AC et
Ecrit
O
l'étendre vers le théorème de Thalès.
Numérique
O IT
Durée : 7h Séquence 2
• Objectifs :
Orale
Connaître et utiliser la réciproque du théorème de Thalès
Ecrit
pour prouver le parallélisme de deux droites.
Numérique
R NS
"page 117"
E
• Auto-formation :
Exercices "Page 117 n 28 à 30"
PH
• Remédiations :
"Page 118"
ST IO
O
O IT
AP ED
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8
Réponses b b b c a c c c
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 6 AM AN MN
= =
AC AB BC
CP CM PM
( PM ) ! ( AD ) = =
CD CA DA
R NS
E
DP DM PM
( PM ) ! ( BC ) = =
DC DB CB
PH
BM BN MN
( MN ) ! ( AD ) = =
BD BA DA
ST IO
Exercice 7 AM AN MN
= =
AB AC BC
5
O 2 MN
= =
O IT
9 AC 7
18 35
Donc : AC = et MN =
5 9
AP ED
Exercice 8 ST SU TU
= =
SQ SP QP
ST 7 5
= =
2 3 QP
14 15
Donc : ST = et QP =
3 7
Exercice 9 KE KF 4 KF 24
• = donc : = alors : KF =
KI KJ 7 6 7
24 18
• JF = JK − KF = 6 − =
7 7
Exercice 10 AM 4 2
= = AN 8 2 AM AN
1. AB 6 3 et = = , donc : =
AC 12 3 AB AC
AM AN
2. A, N et C d’une part et A, M et B d’autre part sont alignés dans le même ordre et on a : =
AB AC
D’après la réciproque du théorème de Thalès : ( MN ) ! ( BC )
R NS
BC BA
E
BK BI
3. On a : B, I et A d’une part et B, K et C d’autre part sont alignés dans le même ordre et = .
BC BA
PH
D’après la réciproque du théorème de Thalès : ( KI ) ! ( AC )
ST IO
Exercice 15 En sachant que : ( AC ) ! ( EF )
D’après le théorème de Thalès :
O
BF EF 2,5 1,75
O IT
On a : = donc : =
BA AC 7 AC
7 × 1,75
Alors : AC = = 4,9
2,5
AP ED
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
Exercice 17 OM 2,4 2
= =
1. OP 6 5 et ON = 2
OQ 5
OM ON
Alors : =
OP OQ
2. Dans le triangle OPQ, on a d’une part O, M et d’autre part P et O, N et Q sont alignés dans le même
ordre.
OM ON
Et on sait que : =
OP OQ
R NS
E
AI 3
=
2. a. AC 5 et AF = 4,8 = 3
PH
AD 8 5
AI AF
Donc : =
ST IO
AC AD
AI AF
b. On a : =
AC AD
O
En citant les données de la réciproque du théorème de Thalès, on déduit que : ( IF ) ! ( DC )
O IT
AE 3 AF 3
3. On a : = et =
AB 5 AD 5
AP ED
AE AF
Donc : =
AB AD
D’après la réciproque du théorème de Thalès, on a : ( BD ) ! ( EF )
DE DI IE 2 IE DI
= = donc : = =
DC DB BC 8 6 9
6×2 18
Alors : IE = = 1,5 et DI = = 2,25
8 8
2. Le triangle IDE et les parallèles ( DE ) et ( FB ) ; en sachant que : EF = AD = 6 .
D’après le théorème de Thalès :
ID IE
=
IB IF
2,25 1,5 4,5 × 2,25
= donc : IB =
IB 6 − 1,5 1,5
Alors : IB = 6,75
EA ED AD
= =
EB EI IB
4 3 2×3
b. On en déduit que : = alors IB = = 1,5
2 IB 4
EA AJ
2. Le triangle EBC et les parallèles ( AJ ) et ( BC ) ; d’après le théorème de Thalès : = donc :
EB BC
4 AJ
=
2 3
Alors : AJ = 2 × 3 = 6
R NS
Alors c’est Houda qui a raison.
E
Exercice 23 On applique le théorème de Thalès deux fois.
PH
OA OC OA OB
= et =
OM OB ON OC
ST IO
OA ON
Donc : =
OM OA
D’où : OA × OA = OM × ON
O
2
Alors : OA = OM × ON
O IT
= =
DA DB AB
3 DE ME
Donc : = =
8 10 12
3× 10 3× 12
Alors : DE = = 3,75 et ME = = 4,5 A B
8 8
• On a : MN = AB = 12
M E N
Or : EN = MN − ME = 12 − 4,5 = 7,5
2. a.
( EN ) ! ( DF ) et ( ED ) ! ( NF )
D F C
Donc : ENFD est un parallélogramme
b. D’où : FN = ED = 3,75
Exercice 26 1.
Exercice 27 GE 48 48 2
On a : = = =
GD 120 − 48 72 3
GF 60 2
= =
GC 90 3
GE GF
Donc : =
GD GC
En utilisant les données de la réciproque du théorème de Thalès, on a :
R NS
E
( EF ) ! (CD )
Donc : le clavier est parallèle au sol.
PH
Je m’évalue :
ST IO
Questions Q1 Q2 Q3
O
b a b
O IT
Réponses
Auto-formation :
AP ED
Exercices Réponses
Exercice 28 E
A
B I C
Donc : !
AEC = !
ACE
Alors : AEC est isocèle en A.
2. En appliquant le théorème de Thalès :
IB AB
=
IC AE
Guide du professeur - Collection Etincelle 127
Or : AEC est isocèle en A.
Donc : AE = AC
IB AB
D’où : =
IC AC
Exercice 29 EB CB 4
1. En appliquant le théorème de Thalès au triangle BFD : = = =2
EF CD 2
CA AM 6 3
En appliquant le théorème de Thalès au triangle AMC : = = =
CB BE 4 2
EC BC 4
2. En appliquant le théorème de Thalès au triangle ABC : = = =2
EM BA 2
EB EC EB
Et on a : = 2 donc : =
EF EM EF
EC EB
3. On a : =
EM EF
Et en appliquant la réciproque du théorème de Thalès au triangle EBC, on déduit que : ( BC ) ! ( MF )
R NS
E
Exercice 30 1. En appliquant deux fois de suite le théorème de Thalès, on obtient :
BD BE ED CD CF FD
= = et = =
PH
BM BA AM CM CA AM
BD CD BD + CD
Donc : + = (car BM = CM )
ST IO
BM CM BM
BC
Puisque : BD + CD = BC et BM =
2
O
BD CD BC 2
O IT
Alors : + = = BC × =2
BM CM BC BC
2
AP ED
ED DF BD CD
2. On a aussi : + = + =2
AM AM BM CM
ED + DF
Donc : =2
AM
D’où : ED + DF = 2 AM
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Triangle inscrit dans un cercle
• Le cercle et ses éléments géométriques
• Somme des mesures des angles d’un triangle
• Angles complémentaires et angles supplémentaires
• Le Triangle rectangle et ses éléments géométriques.
Compétences visées :
• Compétences visées
• Connaître et utiliser les angles inscrits et les angles au centre
• Connaître et utiliser les relations entre les angles inscrits et les angles au centre qui interceptent le
R NS
E
même arc.
PH
Déroulement Évaluations formatives
ST IO
Durée : 1h Séquence 1 • Des pré requis :
• Objectifs : Au début de la séance le QCM
Orale
Connaître et utiliser l'angle inscrit à un cercle. de "la page 120" est une
Écrit
O
Connaître et utiliser l'angle au centre dans un cercle. occasion pour se rappeler les
Numérique
O IT
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7
Réponses a c b a b b c
Exercices d’application :
Exercices Réponses
!
Exercice 5 1. MBN n’est inscrit ni angle au centre, donc on ne peut pas déterminer sa mesure.
!
2. MON est un angle au centre associé à l’angle inscrit !
MAN .
Donc : !
MON = 2 !
MAN = 2 × 65° = 130°
R NS
E
Exercice 6 !
BCA Angle inscrit !
AB
PH
!
ADC Angle inscrit !
AC
!
DOC Angle au centre !
DC
ST IO
Exercice 7 1. AMB est isocèle en M.
O
Donc : !
MAB = !
ABM = 73°
O IT
L’angle au centre !
AOM associe à l’angle inscrit !
ABM donc :
!AOM = 2 !
AMB = 2 × 73° = 146°
!
AP ED
2. AEB et !
AMB sont deux angles inscrits au même cercle qui interceptent le même arc donc :
!
AEB = !
AMB = 180 − 2 × 73° = 34°
Exercice 8 1.
! = 25°
2. STR est inscrit au cercle de diamètre ⎡⎣ ST ⎤⎦ donc : STR est rectangle en R et puisque STR
! = 65°
Alors : RST
! et RST
On sait que : RNT ! sont inscrits au même cercle et interceptent le même arc.
! = RST
Alors : RNT ! = 65°
!
Exercice 9 a. AMB est un angle inscrit associé à l’angle au centre !
AOB .
!
AOB 110°
!
Donc : AMB = = = 55°
2 2
! !.
Exercice 10 1. KIJ est un angle inscrit associe à l’angle au centre KOJ
!
KOJ
!
Donc : KIJ = = 54°
2
! ! sont deux angles inscrits au même cercle qui interceptent le même arc.
2. IJK et IMK
! = IMK
Donc : IJK ! = 32°
Et par conséquent :
( )
! = 180° − 32° + 54° = 94°
IKJ
R NS
E
• !
ADB = 90° (ADB inscrit au cercle de diamètre ⎡⎣ AB ⎤⎦ )
PH
!
EOB
!
• EFB = = 15°
2
ST IO
Exercice 12 I ∈ ⎡⎣ AC ⎤⎦ ! = 180° − 120° = 60°
1. donc : DIC
!
O ! sont deux angles inscrits au même arc.
2. DCI et IBA
O IT
! = IBA
Donc : DCI ! = 30°
!
( )
Donc : IAB = 180° − 30° + 60° = 90°
! = CAB
Alors : IAB ! = 90°
Donc : BAC est un triangle rectangle en A.
!
(
• De même : IDC = 180° − 30° + 60° = 90° )
D’où : BDC est rectangle en D.
Exercice 13 1.
! = 90°
2. STR est inscrit au cercle de diamètre ⎡⎣ SR ⎤⎦ donc STR est rectangle en T d’où : RTS
!
( )
3. On a : TRS = 180° − 30° + 90° = 60°
! = 60°
Et puisque : TO = OR (deux rayons), et ORT
Alors : TOR est un triangle équilatéral.
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
Donc : !
KAL et !
R NS
EAB sont opposés par le sommet.
E
Alors : ! ! = 20°
KAL = EAB
PH
Exercice 15 ! est un angle au centre associé à l’angle inscrit CAI
BIC !.
! = 2BAC
! = 80°
ST IO
Donc : BIC
Puisque : ⎡⎣ IB ⎤⎦ et ⎡⎣CI ⎤⎦ sont deux rayons du même cercle.
Donc : IBC est isocèle en I.
O
O IT
!
180° − BIC
! !
Alors : IBC = ICB = = 50°
2
AP ED
Donc : !
MAH = 90°
•!
AMH et !
ABH sont inscrits au même cercle et interceptent le même arc.
Donc : !
AMH = !
ABH = 62°
!
(
• Donc : AHB = 180° − 62° + 90° = 28°)
! ! sont inscrits au cercle (C) et interceptent l’arc ⎡ ! ⎤ .
Exercice 17 1. IAB et IDC BC ⎥
⎣⎢ ⎦
! = IDC
Donc : IAB ! = 64°
! et ICD
IBA ! sont inscrits au cercle (C) et interceptent l’arc ⎡ ! ⎤
⎢ AD ⎥ ⎣ ⎦
! = ICD
Donc : IBA ! = 16°
Exercice 18 ! et BAC
HDC ! sont inscrits au même cercle et interceptent le même arc.
! = BAC
Donc : HDC ! = 20°
Puisque CHD est rectangle en H.
!
(
Alors : HCD = 180° − 90° + 20° = 70°)
Guide du professeur - Collection Etincelle 133
130°
Exercice 19 •!
ABC un angle inscrit associé à l’angle au centre !
AOC donc : !
ABC = = 65°
2
•!
MBH et !
ABC sont opposés par le sommet.
Donc : !
MBH = !
ABC = 65°
!
(
• D’où : BMH = 180° − 65° + 90° = 25°)
Exercice 20 • EFG est isocèle en E.
! = 180° − 2 × 55° = 70°
Donc : FEG
! = FEG
RES ! = 70° (Opposés par l e sommet).
! est un angle au centre associé à l’angle inscrit RES
• ROS !.
! = 2 × 70° = 140°
Donc : ROS
Exercice 21 •!
EFB et !
EAB sont deux angles inscrits et interceptent le même arc, donc : ! ! = 35° .
EFB = EAB
• EBF est inscrit au cercle de diamètre ⎡⎣ EF ⎤⎦ donc : EBF est rectangle en B.
R NS ( )
E
!
Alors : BEF = 180° − 35° + 90°
! = 55°
D’où : BEF
PH
•! ! sont inscrit au même cercle et interceptent le même arc.
BMF et BEF
ST IO
Donc : ! ! = 55°
BMF = BEF
2
180° − 36°
Alors : !
ABC = !
ACB = = 72°
2
2. On a : !
ABO = ! !
ABC − OBC
Donc : !
ABO = 72° − 54° = 18°
Exercice 23 1.
! = 90°
2. • EFG est inscrit au cercle de diamètre ⎡⎣ FG ⎤⎦ alors : FEG
! = 28°
et puisque : EGF
!
( )
Alors : EFG = 180° − 28° + 90° = 62°
! et FEG
Or : EMG ! sont inscrit au même cercle et interceptent le même arc.
! = EFG
Donc : EMG ! = 62°
! !
Exercice 24 2. ENF est un angle inscrit associé à l’angle au centre EON
! 80°
EON
!
Donc : ENF = = = 40°
2 2
3.
( FN ) tangente au cercle de centre O en N, donc : ENF
! = 90°
! = 80° = 40°
On a aussi : EMN
2
!=!
Donc : ONM ! = 70° − 50° = 20°
MNE − ONE
D’où : !
MNF = 20° + 90° = 110°
Exercice 25
R NS
E
PH
ST IO
O
2. a. ABC est inscrit au cercle de diamètre ⎡⎣ BC ⎤⎦ , donc ABC est rectangle en A.
O IT
Et puisque : !
ACB = 60°
Alors : !
ABC = 30°
AP ED
b. • !
AEC et !
ABC sont inscrits au même cercle et interceptent le même arc.
!
ABC = !
AEC = 30°
!
ACM et !
ABC sont insuits au même cercle et interceptent le même arc.
Donc : !
ACM = 30°
3. Dans le triangle BMC rectangle en C.
!= MC MC
On a : tan B alors : tan 30° =
BC 4
4 3
Donc : MC = 4 × tan30° =
3
( cm)
4. Dans le triangle rectangle AMC.
! = AM
On a : sinC
MC
4 3
Donc : AM = sin30°
3
2 3
D’où : AM = cm
3
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6
Réponses c a b b a c
Auto-formation :
Exercices Réponses
R NS
E
DH × OC 6 3 ×12
A1 = =
2 2
PH
Α1 = 36 3 m2
ST IO
Or l’hexagone régulier est formé de 6 triangles superposables à ODC.
Donc : A = 6 × A1
OA = 6 × 36 3 m2 = 216 3 m2
O IT
A ! 374 m2
AP ED
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Triangle et ses éléments géométriques
• Droites remarquables
• Somme de mesures des angles d’un triangle
• Droites parallèles et sécantes
• Symétrie axiale, symétrie centrale
• Théorèmes de Pythagore et de Thalès
• Angles et cercles.
Compétences visées :
• Reconnaître et utiliser deux triangles isométriques
R NS
E
• Reconnaître et utiliser deux triangles semblables
• Utiliser les cas d’isométrie et de similitude dans la résolution de problèmes.
PH
Déroulement Évaluations formatives
ST IO
Durée : 3h Séquence 1 • Des pré requis :
Triangles isométriques Au début de la séance le QCM de
Orale
• Objectifs :
Écrit
O "la page 134" est une occasion
Définir l'isométrie de deux triangles
O IT
• Matériels didactiques :
• Des acquis :
Cahiers et matériel de géométrie ; papier calque.
Vérifier l'application du théorème
• Activité : de Thalès (Insister sur les étapes
"page 135 n 1" de la rédaction)
L'activité mène les élèves à définir l'isométrie de deux triangles en
• Auto évaluation :
utilisant les symétries centrale et axiale.
Proposer aux élèves de faire à
• Résumé de cours : domicile l'exercice résolu
Définition "p 137 n 1" "p 139 n 1"
• Exercice d'application :
"p 141 n 5"
• Activité :
"page 135 n 2"
L'activité mène les élèves à découvrir les 3 cas d'isométrie de deux
triangles en utilisant le papier calque.
• Résumé de cours :
Cas d'isométrie "p 137 n 1"
• Exercice d'application :
"p 141 n 6"
• Exercice d'approfondissement :
"p 143 n 16"
R NS
• Activité :
E
Thalès (Insister sur les étapes de
"p 136 n 6" la rédaction)
3éme cas de similitude : 2 angles
PH
• Auto évaluation :
• Activité :
A faire à domicile les exercices
"p 136 n 4" résolus "p 141 / 142 n 2 à 4" et
ST IO
• Résumé de cours :
• Je m’évalue :
Propriétés "page 138" "page 145"
O
• Exercices d’application :
O IT
• Devoir :
"Pages 142/143/144 n 10 ; 13 ; 22 ; 27 et 30"
• Auto-formation :
Exercices "Page 145 n 31 et 32"
• Remédiations :
"Page 146"
Réponses b a c a b c c b
Exercices d’application :
Exercices Réponses
•! ! (même codage)
ABD = DBC
• AB = BC (même codage)
R NS
E
Donc : ABD et DBC sont isomètriques
! ! sont deux angles homologues dans deux triangles isométriques.
2. BAD et BCD
PH
! = BCD
Donc : BAD !
ST IO
Exercice 6 1. ABCD et ABEF deux parallélogrammes.
Donc : ( CD ) ! ( AB ) ! ( EF )
O
Et : CD = AB = EF
Donc : CD = EF et ( CD ) ! ( EF )
O IT
Et on a aussi : AB = CD et AF = BE
Alors : les triangles ADF et BCE sont isométriques.
! ! sont deux angles homologues dans deux triangles isométriques.
2. AFD et BEC
Alors : ! !
AFD = BEC
Exercice 7 1. • ! ABC sont deux angles alternes-internes par rapport aux parallèles ( EF ) et ( BC )
AFE et !
coupées par la sécante ( BF ) .
Donc : !
AFE = !
ABC = 80°
! = EAF
• BAC ! (opposés par le sommet)
! = 30°
Alors : EAF
2. Les triangles ABC et AEF ont deux angles respectivement de même mesure.
Alors ils sont semblables.
Sommets homologues A et A B et F C et E
Côtés homologues ⎡⎣ AC ⎤⎦ et ⎡⎣ AE ⎤⎦ ⎡⎣ AB ⎤⎦ et ⎡⎣ AF ⎤⎦ ⎡⎣ BC ⎤⎦ et ⎡⎣ FE ⎤⎦
! et EAF
BAC ! ! !
ABC et EFA !
ACB et !
AEF
Angles homologues
Exercice 9 On classe les longueurs des côtés dans un ordre croissant et on compare les rapports :
RD 1,8 DU 3 RU
= = 0,6 ; = = 0,6 ; = 0,6
FC 3 FA 5 CA
RD DU RU
Alors : = =
FC FA CA
Donc : RDU et FCA sont semblables.
Exercice 10 1. • ! ! = 90°
AHC = BAC
•!
ACH = !
ACB (Angle commun)
Donc : ABC et HAC sont semblables.
R NS
2. Sachant que ABC et HAC sont semblables.
E
AC BC AB
Alors : = =
HC AC HA
PH
Donc : AC × AC = HC × BC
2
D’où : AC = HC × BC
ST IO
3. De même : AB × AC = BC × HA
O
Exercice 11 1.
O IT
1,5m
B
AP ED
C 1,2m T
50m
F
! = OBT
On a : CBF ! (opposés par le sommet)
! = BTO
Et BCF ! = 90°
Donc : CBF et TBO sont semblables.
2. On a : 50cm = 0,5m et sachant que CBF et TBO sont semblables.
CF CB CF 1,2
Alors : = donc : =
TO TB 1,5 0,5
1,2 × 1,5
D’où : CF = m = 3,6 m
0,5
2.
( BF ) est tangent à (C) en B et ⎡ AB ⎤ est un diamètre de (C).
⎣ ⎦
Donc : ( BF ) ⊥ ( AB )
Alors : ABF est rectangle en B.
! !
3. BAE = BAF (angle commun)
!=!
BEA ABF = 90°
Donc : AEB et ABF sont semblables.
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
Exercice 14 A
R NS
B
E
I D
C
PH
! !
1. IBC = IAD = 90°
ST IO
!=!
BIC AID (angle commun)
Donc : AID et BIC sont semblables.
O
IA ID
O IT
2. D’où : =
IB IC
Donc : IA × IC = ID × IB
AP ED
Exercice 15
I
A B
C D
1. On a : ! ! (angle commun)
AIB = CID
! + BAC
• On a : A ∈ ⎡⎣CI ⎤⎦ , donc : IAB ! = 180°
! et BDC
• Et BAC ! sont deux angles opposés dans un quadrilatère inscrit au cercle (C).
! + BDC
Donc : BAC ! = 180°
! = BDC
On en déduit que : IAB !
D’où : AIB et DIC sont semblables.
IA IB
2. On en déduit que : =
ID IC
D’où : IA × IC = IB × ID
Donc : ( MF ) ! ( HN ) et MF = HN
Alors : MFNH est un parallélogramme.
2. En utilisant le parallélogramme on obtient :
EF = HG ; NF = MH ; EN = MG
Donc : ENF et HMG sont isométriques.
! !
Exercice 17 1. IAC = BAC (angle commun)
Et on a : ! !
ABC = ICA
Alors : les triangles AIC et ABC sont semblables.
2. On en déduit de la question (1) que :
AC IC
= donc : AC × CB = IC × AB
AB CB
Exercice 18 !=!
1. On a : CIE AIB (opposés par le sommet)
R NS
! = IAB
! (alternes-internes)
E
et IEC
Donc : ABI et CEI sont semblables.
! !
PH
2. IEC = AED (angle commun)
! = ADE
et : ICE !
(angles correspondants)
ST IO
Donc : les triangles ICE et ADE sont semblables.
3. Sachant que le triangle ICE est à la fois semblable à AIB et ADE.
O
Donc : AIB et ADE sont semblables.
O IT
Exercice 19
M
B
AP ED
A
E
C
! = BMD
1. On a : CMA ! (angle commun)
! !
Exercice 24 1. BAM = BAN (angle commun)
! !
2. BNA = BCA (interceptent le même arc)
!=!
Et BCA ABC (car ABC est isocèle en A)
Donc : ! !
ABC = BNA
D’où : ! !
ABM = BNA
Donc les triangles ABM et ANB sont semblables.
AB AM
3. On en déduit que : =
R NS
AN AB
E
Donc : AB 2 = AM × AN
PH
Exercice 28 1. On a : !
ABH = !
ABC (angle commun)
et : ! ! (angle droit)
ST IO
AHB = BAC
Donc : ABH et CBA sont semblables.
AB AH BH
O
2. On en déduit que : = =
CB CA BA
O IT
a. Donc : AB × BA = CB × BH
D’où : AB 2 = BH × BC et AB × AC = CB × AH
AP ED
AH × BC AH × HB
b. On a : AABC = et : AAHB =
2 2
AH × HB
AAHB 2
Donc : =
AABC AH × BC
2
AH × HB HB
=
AH × BC BC
D H A
O
D’où : !
ABD = !
AHC = 90°
•!
ACH et !
ADB sont inscrit au même cercle et interceptent le même arc.
Donc : !
ACH = !
ADB
Alors : ABD et AHC sont semblables.
R NS
E
AB AD BD
2. On en déduit que : = =
AH AC HC
PH
c 2r
Donc : =
h b
ST IO
D’où : bc = 2rh
Exercice 30 != IC 6 3
O tan CDI = =
1. a. DC 10 5
O IT
AB 3
tan !
AIB = =
AI 5
! ! ! et !
AP ED
b. Donc : tanCDI = tan AIB et on sait que : CDI AIB sont aigu.
!=!
Alors : CDI AIB
!=!
2. On a : CDI ! = ICD
AIB et IAB ! = 90°
Donc : AIB et CDI sont semblables.
!=!
3. On en déduit que : DIC ABI
Or : !
ABI + !
AIB = 90°
!+!
Donc : DIC AIB = 90°
Et puisque : !
BID = 180° − !( !
AIB + DIC )
Alors : !
BID = 180° − 90° = 90°
Donc : IBD est rectangle en I.
4. En utilisant le théorème de Pythagore, on en déduit que :
BI = 9 + 25 et DI = 36 + 100 = 2 9 + 25
BI × DI
Or : AIBD =
2
2
2 × 9 + 25
Donc : AIBD = = 34
2
Réponses b a C b b c a b c b
Auto-formation :
Exercices Réponses
! !
Exercice 31 1. ABH = ABC (angle commun)
!=!
BAC AHB = 90°
Donc : ABC et HBA sont semblables.
AB BC
Alors : =
HB BA
D’où : AB 2 = BC × HB
R NS
E
2. De la 1ère question on déduit que ! !
ACH = HAB
Et on a : !
AHC = !
AHB = 90°
PH
Donc : AHC et BHA sont semblables.
AH HC
Alors : =
ST IO
BH HA
D’où : AH 2 = BH × HC
O
O IT
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Parallélogrammes
• Caractéristiques physique d’un vecteur
• Égalité de deux vecteurs
• Relation de Chasles
• Notion de translation
• Construire l’image d’un point par une translation
• Théorème de Thalès.
Compétences visées :
R NS
E
• Connaître le concept d’un vecteur et opérations sur les vecteurs
!!!" !!!" !!!"
• Construire AB + AC , K + AB ( K nombre rationnel)
• Être capable de déterminer l’image d’un point par une translation donnée
PH
• Reconnaître la translation, et son lien avec les vecteurs et le parallélogramme
• Être capable de déterminer l’image de : un segment - une droite - une demi-droite
ST IO
• Un cercle - un angle par une translation
• Utiliser la translation pour résoudre des problèmes géométriques
!!!" !"! !!!"
• Alignements des points en utilisant la relation vectorielle AB = K + AC AB = k : AC.
O
O IT
Durée : 4h Séquence 3
Produit d'un vecteur et un nombre réel
Orale
• Objectifs :
Écrit
Utiliser la colinéarité de vecteurs dans les constructions et pour
R NS
Numérique
E
Évaluation démontrer le parallélisme ou l'alignement de points. (le niveau
des exercices dépend du niveau de la classe).
PH
• Matériels didactiques :
Cahiers et matériel de géométrie. • Des acquis :
ST IO
• Activité : Vérifier la compréhension des 3
A ; B et C trois points non alignés tel que : AB= 6cm caractéristiques d'un vecteur :
Placer les points E ; F ; G et M tels que : Direction ; sens et norme et les
O
!!!" 1 !!!" !!!" 1 !!!" !!!" 5 !!!" !!!!" 2 !!!" utiliser dans les constrictions.
O IT
AE = − AB ; AF = AB ; AG = AB et CM = − AB
2 6 3 3 • Auto évaluation :
L'enseignant doit insister sur les étapes de la construction en Faire à domicile l'exercice résolu "p
utilisant les caractéristiques d'un vecteur. 153n 2"
AP ED
• Résumé de cours :
• Je m'évalue :
Définition "page 152 n 3"
"page 159"
• Exercices d’application :
"p 155 n 4 et 6"
• Activité :
"p 157 n 12 ; 13 ; 20 et 21"
• Devoir :
"Pages 142/143/144 n 10 ; 13 ; 22 ; 27 et 30"
• Auto-formation :
Exercices "Page 158 n 22 et 28"
• Remédiations :
"Page 160"
Réponses c b a b a a
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 4
A A D C B E
A
B C
er
Exercice 5 1 cas :
R NS
E
B A C
P
PH
B C
P
ST IO
P
2ème cas : A
O
O IT
B C
AQ
AP ED
B C
Q
3ème cas :
B C
Q
L
A
L
A
C
B
L
A C
Exercice 6 B
A
C
B
B
G
C
Exercice 9 1. pour placer le point E ; on utilise la fonction translation dans les transformations.
2.
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" "
!AB
!!" + CD
!!!" = !AB
!!" + BA
!!!" = AA
!!!" = 0!!!" !!!" !!!" !!!"
AB
!"! +!!!CD
" +!!!EC" = !AB !!" + !AB
!!" + BA
!!!" = AB + AA = AB
!X!!"+ DE
!!!"− AB!!!"+ 2!AB
!!" − AB
!!!" = AB
"
CE + CD = CE + EC
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" = CC = 0
AB + AD = AB + BC = AC
Exercice 10
R NS
E
PH
ST IO
1.
O !!!" !!!"
( )
2. On a : E = S B A ; donc B est le milieu de ⎡⎣ AE ⎤⎦ d’où : AB = BE
O IT
!!!" !!!"
( )
3. On a : t!!!" B = F donc : AC = BF
AC
!!!" !!!"
4. On sait que ACEG est un parallélogramme donc AC = GE
( )
et puis que : S E G = Q
!!!" !!!"
Alors : GE = EQ
!!!" !!!"
Donc : AC = EQ
5.
Point Son image part Justifier
!!!" !!!"
A C AC = AC
!!!" !!!"
B F AC = BF
!!!" !!!"
G E AC = GE
!!!" !!!"
E Q AC = EQ
!!!"
Par la translation T de vecteur AC :
⎡⎣ AB ⎤⎦ ! ⎡⎣CF ⎤⎦
( BG ) ! ( FE )
AGE ! CEQ
! !
ABG " CFE
C ( B; BG ) ! C ′ ( F; FE )
( ) (
b. T ⎡⎣ AF ⎤⎦ = A′ F ′ )
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
Exercice 12
N A M B P Q
R NS
E
Exercice 13
J C
PH
ST IO
B L A
O
O IT
k I
Exercice 14 • AB + CD + BC = AB + BC + CD = AD
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!"
• CA + DC = DC + CA = DA
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !
• AB − AD + CD − CB = DA + AB + BC + CD = DB + BD = DD = 0
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!"
(
• 2 AB − 2 AC = 2 AB + CA = 2CB )
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!"
Exercice 15 • AC + DC + CD = AC + DD = AC
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" "
• AE + EC + CA = AC + CA = AA = 0
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!"
• DA + BD + AB + DB = DB + BB = DB
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!"
• EG + AG + EA = EG + EG = 2EG
!!!" !!!" "
Exercice 17 a. MA + MB = 0 signifie que M est le milieu de ⎡⎣ AB ⎤⎦ .
!!!" !!!" " !!!" !!!" !!!" " !!!" 3 !!!"
b. 2NA + 3NC = 0 signifie : 2NA + 3NA + 3AC = 0 signifie : AN = AC
5
!!!" !!!"
c. CP = −2CB
M N
B C D P
Exercice 18 1. Figure :
D
R NS
E
B C
!!!" !!!" !!!" !!!" !!!" !!!"
2. AD = − AB − AC signifie : AC = − AB − AD
PH
!!!" !!!" !!!"
Et on a : EA = − AB − AD
!!!" !!!"
Donc : EA = AC
ST IO
Alors : A est le milieu de ⎡⎣ EC ⎤⎦
O
Exercice 19 1.
O IT
D
A
AP ED
C
N
B
M
( ) ( )
!!" C = M et T!!!" D = N
2. On a : T!AB AB
!!!" !!!!" !!!" !!!"
Donc : AB = CM et AB = DN
!!!!" !!!"
D’où : CM = DN
!!!" !!!!" !!!" !!!"
3. On a : AB = CM signifie : CA = MB
!!!" !!!" !!!" !!!"
Et AB = DN signifie : BN = AD
!!!" !!!"
Or : CA = AD
!!!" !!!"
Donc : MB = BN
D’où : B est le milieu de ⎡⎣ MN ⎤⎦
Exercice 20 1.
C
B
E
R NS
!!!" !!!"
E
Alors : EF et AF sont colinéaires
D’où : E, A et F sont alignés.
PH
Même démarche pour les exercices 21, 22, 23 et 28
ST IO
Exercice 24 1. O A B
F
O IT
D C
AP ED
2. A⟼D
B⟼C
C⟼G
E⟼H
F⟼E
3. On a : T ! ( ) !
ABE = DCH
!=!
Or la translation conserve les mesures des angles ; alors : DCH ABE = 60°
4. L’image d’une droite par une translation est une droite parallèle
( ) ( )
Or : T ⎡⎣ CE ⎤⎦ = GH , Donc : CE ! GH ( ) ( )
!!!" !!!"
( )
5. On sait que : T!!!" E = H , dDonc : AD = EH
AB
2.
A
B C
R NS
E
E F
!!!" !!!"
PH
3. On a : AF = 4 AC
!!!" !!!"
Donc AF et AC sont colinéaires
ST IO
Alors : A ; F et C sont alignés
!!!!" !!!" !!!" !!!"
Exercice 27
O
1. • AM = 3AB + BA + AC
!!!!" !!!" !!!"
O IT
AM = 2 AB + AC
!!!" !!!" 1 !!!" 1 !!!"
• BA + AN = BA + AC
3 3
AP ED
B
I C
M
!!!" 2 !!!" 1 !!!"
3. On a : AN = AB + AC
3 3
!!!" !!!" !!!"
Donc : 3AN = 2 AB + AC
!!!!" !!!" !!!"
Or : AM = 2 AB + AC
Je m’évalue :
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9
Réponses b a C b a b b c a
Auto-formation :
Exercices Réponses
R NS
E
PH
ST IO
!!!" 5 !!!" 3 !!!"
On a : AP = AC + CB
2 2
O
O IT
2
!!!" !!!" 1 !!!" !!!" !!!" !!!" !!!"
CQ = −2 AC + AB donc CB + BQ = 1 AB − 2 AC
2 2
!!!" 1 !!!" !!!" !!!" !!!" 1 !!!
" !!!"
BQ = AB − 2 AC + BA + AC = − AB − AC (2)
2 2
De (1) et (2) on déduit que :
!!!" !!!"
PB = BQ alors B est le milieu de ⎡⎣ PQ ⎤⎦
Exercice 30 1. a.
D
B K C
!!!" !!!"
b. On a : AJ = − AC
!!" !" ! !!!"
Donc : AI + IJ = − AC
!"
! !!" !!!"
IJ = − AI − AC
R NS
E
3 3
!!" 1 !!!" 1 !!!" !!"
IK = AC − AB − BI
PH
3 3
Or I le milieu de ⎡⎣ AB ⎤⎦
ST IO
!!" 1 !!!"
Donc : BI = − AB
2
O!!" 1 !!!" 1 !!!" 1 !!!"
Alors IK = AC − AB + AB
O IT
3 3 2
!!" 1 !!!" 1 !!!"
D’où : IK = AB + AC
6 3
AP ED
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Droite graduée
• Parallélogramme
• Vecteurs et translation
• Théorème de Pythagore.
Compétences visées :
• Connaître le repère orthonormé , l’abscisse et l’ordonnée d’un point et d’un vecteur
• Connaitre et appliquer les coordonnées, du milieu d’un segment de la somme de deux ( ou plusieurs )
R NS
E
vecteurs et le produit d’un vecteur et d’un nombre réel
• Calcul de la distance entre deux points et son application dans divers situations géométriques Objectifs
PH
Déroulement Évaluations formatives
ST IO
Durée : 2h Séquence 1 • Des pré requis :
Se repérer dans un plan Au début de la séance le QCM
Orale
O
• Objectifs : de "la page 162 n 1 et 2 " est
O IT
Écrit
Rappeler les coordonnées d'un point dans un repère du une occasion pour se
Numérique
plan vues en 2AC rappeler les propriétés vu en
Évaluation
Connaitre et utiliser coordonnées d'un milieu et d'un 2éme AC qui sont nécessaires
AP ED
R NS
E
• Des acquis :
"p 164 n 4" Vérifier l'application du cours
L'activité mène les élèves à appliquer le théorème de dans la détermination des
PH
Pythagore dans un repère orthonormé pour déterminer distances.
une distance.
• Auto évaluation :
• Résumé de cours :
ST IO
Faire à domicile l'exercice
Définition "page 166 n 6" résolu "p 168 n 5 et 6"
• Exercices d’application : • Je m’évalue :
O
"p 169 n 11 puis 8" "page 173"
O IT
• Activité :
"p 170 /171 n 16 ; 17et 23 à 25"
• Devoir :
AP ED
Réponses a a b c a
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 7
Points A B C D E
Coordonnées (1 ; 1) ( 2,5 ; 0,5) ( 2 ; −1,5) ( −2,5 ; −1) ( −3 ; −1)
Exercice 8 !!!"
AB ( −1 ; −2 ) ⎛3 ⎞
R NS
E
2. ; AB = 1+ 4 = 5 ; M ⎜ ; 0⎟
⎝2 ⎠
!!!" ⎛7 ⎞
PH
• DC (1 ; 2 ) ; DC = 1+ 4 = 5 ; N ⎜ ; −1⎟
⎝2 ⎠
ST IO
!!!" ⎛5 1⎞
• AC (1 ; −3) ; AC = 1+ 9 = 10 ; K ⎜ ; − ⎟
⎝2 2⎠
O !!!" ⎛ 3⎞
• BC ( 2 ; −1) ; BC = 4 + 1 = 5 ; L⎜ 2 ; − ⎟
O IT
⎝ 2⎠
!!!" !!!" !!!" !!!"
3. AB = − DC donc AB = CD
AP ED
b. On déduit que : AC 2 = AB 2 + BC 2 et AB = BC
Alors : ABC est un triangle isocèle en B.
Exercice 9 1. Coordonnées de P :
A est le milieu de ⎡⎣UP ⎤⎦
Donc : x P = 2x A − xU = 2 × ( −2 ) − 0 = −4
y P = 2 y P − yU = 2 × ( −2 ) + 5 = 1
Alors P ( −4 ; 1)
• Coordonnées de B
B est le milieu de ⎡⎣VU ⎤⎦
7
xU + xV 0 − 2 7
Donc : x B = = =−
2 2 4
yU + yV 0 − 5 5
yB = = =−
2 2 2
⎛ 7 5⎞
Alors : B ⎜ − ; − ⎟
⎝ 4 2⎠
158 Guide du professeur - Collection Etincelle
!!" !!!" ⎛ 7 !!!" ⎛ 1
IP ( −5 ; 1) ⎞ ⎞
2. ; JV ⎜ − ; −1⎟ ; PV ⎜ ; −1⎟
⎝ 2 ⎠ ⎝2 ⎠
!!!" !!!"
Exercice 10 • AB ( −1 ; −4,5) et DC (5 ; −8)
!!!" !!!"
Donc : AB + DC ( 4 ; −12,5)
!!!" !!!"
et − AB + 2DC (11 ; −11,5)
Exercice 11 2 2
⎛ 2 ⎞ ⎛ 11⎞ 4 121 1105
AB = ⎜ ⎟ + ⎜ ⎟ = + =
⎝ 3⎠ ⎝ 2 ⎠ 9 4 6
(2 2 ) + (2 3)
2 2
CD = = 8 + 12 = 20 = 2 5
Exercice 13 ⎧
⎪ x D − x A = −5
⎨
R NS
⎩ y D − y A = 6 donc ⎧
1. ⎪
⎪ x D = −5 + x A
E
⎨
⎩ yD = 6 + y A
⎪
D ( −3 ; 10 )
PH
!!!" !!!"
2. ABCD est un parallélogramme signifie AB = PC
ST IO
⎧
⎪ x − xP = xB − x A
Donc ⎨ C
⎩ yC − y P = y B − y A
⎪
O
⎧
⎪3− x P = −5 − 2
O IT
⎨
⎪3− y P = 3− 4
⎩
D’où : P (10 ; 4 )
AP ED
⎧ x A + xC
⎪⎪ x M =
Donc : ⎨ 2
⎪ y = y A + yC
⎪⎩ M 2
⎛ 5 7⎞
Alors : M ⎜ ; ⎟
⎝ 2 2⎠
!!!" !!!" " !!!" !!!"
Exercice 14
1. AE − 4 AF = 0 signifie : AE = 2 AF
2
⎧3− x A = 2 ( −2 − x A )
⎪
Donc : ⎨ 1
⎪ − yA = 2(4 − yA )
⎩2
⎛ 15 ⎞
D’où : A ⎜ −7 ; ⎟
⎝ 2⎠
!!" ( A) = M
t!EF
!!!!" !!!"
2. signifie que : AM = EF
⎧
⎪ x M − x A = xF − xE
⎨
⎩ y M − y A = yF − yE
⎪
Exercice 15 A( 2 ; 3)
1. ; B ( −2 ; −1) ; C ( 4 ; 1)
E ( 0 ; 1)
2. ; F (3 ; 2)
3.
!!!"
BC ( 6 ; 2 ) !!!"
a. ; EF ( 3 ; 1)
!!!" !!!"
b. BC = 2EF ; donc ( BC ) ! ( EF )
Exercice 16
1. AB = 32 = 4 2 ; AC = 8 = 2 2 ; BC = 40 = 2 10
2
2
2. BC = 40 = 40 ; AB 2 + AC 2 = 32 + 8 = 40
2 2 2
Donc BC = AB + AC
D’après la réciproque du théorème de Pythagore ABC est rectangle en A
R NS
E
AB × AC 4 2 × 2 2
AABC = = =8
3. 2 2
PH
Exercice 17 Même méthode que (16)
ST IO
Exercice 18 1. A est le milieu de ⎡⎣ BM ⎤⎦
⎧
⎪ x = 2x A − x B
Donc : ⎨ M
O
⎩ y M = 2 y A − yB
⎪
O IT
⎧
⎪xM = 2 − 5
⎨
⎪ yM = 4 − 1
⎩
AP ED
D’où : M ( −3 ; 3)
S A (C ) = N
2. signifie que A est le milieu de ⎡⎣CN ⎤⎦
⎧
⎪ x = 2x A − xC
Alors : ⎨ N
⎪ y N = 2 y A − yC
⎩
D’où : N ( 6 ; 4 )
!!!!"
NM ( −9 ; −1) !!!"
3. a. et BC ( −9 ; −1)
!!!!" !!!"
b. On a : NM = BC
D’où : BCMN est un parallélogramme.
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
x A + xB 2 − 3 1
xE = = =−
2 2 2
y A + yB 5 + 4 9
yE = = =
2 2 2
160 Guide du professeur - Collection Etincelle
⎛ 1 9⎞
Alors : E ⎜ − ; ⎟
⎝ 2 2⎠
!!!!" !!!" ⎧⎪ x M − x A = −3( x D − x A )
2. AM = −3AD donc ⎨
⎩⎪ y M − y A = −3( y D − y A )
⎧ x M = −3( −4 ) + 2
⎪
Alors ⎨ ⎛ 13 ⎞
⎪ y M = −3⎜ − ⎟ + 5
⎩ ⎝ 2⎠
D’où : M (14 ; 24,5)
!!!"
Exercice 20 AB ( −8 ; 1) !!!" !!!" !!!"
b. ; AC ( −3 ; 3) ; BC (5 ; 2 ) ; CD ( −1 ; −6 )
Exercice 23
1. EF = 1+ 9 = 10
EG = 9 + 1 = 10
R NS
E
FG = 16 + 4 = 20
2
2
2. FG = 20 = 20 ; EF 2 + EG 2 = 10 +10 = 20
PH
Donc : FG 2 = EF 2 + EG 2
D’après la réciproque du théorème de Pythagore le triangle EFG est rectangle en E ; en plus :
ST IO
EF = EG
Alors EFG rectangle isocèle en E.
O
O IT
Exercice 25
1. MN = 8 ; MP = 18 ; NP = 26
2. NP 2 = 26 et MN 2 + MP 2 = 8 +18 = 26
AP ED
Donc : MN 2 + MP 2 = NP 2
Alors : MNP est rectangle en M
(Réciproque du théorème de Pythagore)
Exercice 26 1. AB = 2 ; AC = 2 ; BC = 2
2. ABC est rectangle et isocèle en C.
Exercice 27 KM = 5 ; KN = 5 ; KP = 5
Donc KM = KN = KP
Alors M ; N et P appartiennent au cercle de centre K et de rayon 5.
!!!"
Exercice 28 AB ( 2 ; 3) !!!"
1. et DC ( 2 ; 3)
!!!" !!!"
2. On a : AB = DC donc ABCD est un parallélogramme.
3. M est le centre du parallélogramme ABCD
Donc : M est le milieu de ⎡⎣ AC ⎤⎦
⎛5 3⎞
Alors : M ⎜ ; ⎟
⎝ 2 2⎠
Exercice 29
1. AB = AC = 5 et BC = 10
!!!"
Exercice 30 AB ( −2 ; 2 ) !!!"
1. et DC ( −2 ; 2 )
!!!" !!!"
Donc : AB = DC
Alors : ABCD est un parallélogramme
2. AB = 8 ; BC = 18 ; AC = 26
2 2 2
3. On a : AC = AB + BC ; donc ABC est rectangle en B ; et puisque ABCD est un parallélogramme
R NS
alors il est un rectangle.
E
Exercice 31
1. AB = 5 ; AC = 5 ; BC = 16
PH
On a : AB = AC
Donc ABC est isocèle en A.
ST IO
!!!"
AC ( −2 ; −1) !!!"
2. et BD ( −2 ; −1)
!!!" !!!"
O
Donc : AC = BD
!!!" !!!"
O IT
3. On a : AC = BD
Donc ABDC est un parallélogramme
Puisque AB = AC
AP ED
⎛ 3⎞
On en déduit : E ⎜ 4 ; − ⎟
⎝ 2⎠
!!!" 5 !!!"
5. On a : CE = CD
2
Donc ( CE ) ! ( CD ) et CE < CD
!!!"
Exercice 32 AB ( −2 ; −2 ) !!!"
1. et AC ( −4 ; 1)
⎧⎪ x E − x A = x!AB
!!" + x !!!"
AC
⎨
⎪ y − y = y !!!" + y !!!"
2. ⎩ E A AB AC
⎧ x E − 3 = −6
⎪
⎨
⎪ y E − 2 = −1
⎩
Exercice 34 !!" ( T ) = D
t!RS
!!!" !!!"
1. signifie que RS = TD
⎧
⎪ x − xT = −3
Donc ⎨ D d’où : D ( −1 ; −2 )
⎪ y D − yT = −3
⎩
2. On a : T est le milieu de ⎡⎣ RE ⎤⎦
⎧
⎪ x = 2xT − x R
Donc ⎨ E D’où : E ( 2 ; −2 )
⎪ y E = 2 yT − x R
⎩
3. On a : RS = SE = 18 et RE = 36
Donc : RE 2 = RS 2 + SE 2
On en déduit que : RSE est rectangle isocèle en S.
R NS
E
Exercice 35 1. On a : S B ( A) = E donc B est le milieu de ⎡⎣ AE ⎤⎦
PH
⎧
⎪ x = 2x B − x A
Alors : ⎨ E D’où : E (5 ; −7 )
⎪ y
⎩ E = 2 y − y
ST IO
B A
2. On a : BA = 9 + 16 = 25 = 5
Et aussi BE = 5 et BC = 5
O
Alors : BA = BE = BC
O IT
Exercice 36
1. MA = 4 + 25 = 29
MB = 4 + 25 = 29
Donc : MA = MB
NA = 4 + 25 = 29
NB = 4 + 25 = 29
Donc NA = NB
Alors M et N sont équidistants de A et B
Donc : ( MN ) est la médiatrice de ⎡⎣ AB ⎤⎦
2. On a : MA = MB = BN = NA
Donc : MANB est un losange
Puisque E est le centre de AMBN
Alors E est le milieu de ⎡⎣ AB ⎤⎦
Je m’évalue :
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7
Réponses a b a C c b a
R NS
Auto-formation :
E
Exercices Réponses
PH
Exercice 37
(x − xO ) + ( y M − yO )
2 2
1. On a : OM =
ST IO
M
OM = x M 2 + y M 2
O
Donc OM 2 = x M 2 + y M 2
O IT
Or : OM = 5
Alors : OM 2 = 5
AP ED
D’où : x M 2 + y M 2 = 5
1
2. On a : x M = − y M donc y M = −3x M
3
Alors : 9x M 2 + x M 2 = 5
1 2 2
xM 2 = donc x M = ou x M = −
2 2 2
2
Puisque : x M < 0 alors : x M = −
2
3 2
D’où : y M =
2
!!!" !!!"
Exercice 38 AB ( −4 ; −1) et AC ( −8 ; −2 )
!!!" !!!"
Donc AC = 2 AB
D’où : A, B et C sont alignés.
Exercice 39
841 1417
On a : • MA = 16 + =
36 6
1369 2665
NA = 36 + =
36 6
361 2665
NB = 64 + =
36 6
Donc NA = NB
On en déduit que M et N sont équidistants de A et B
Alors : ( MN ) est la médiatrice de ⎡⎣ AB ⎤⎦
D’où : ( MN ) ⊥ ( AB )
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Vecteurs et colinéarité
•Alignement
•Coordonnées d’un point dans un repère
•Système d’équations à deux inconnues
•Fonction linéaire et fonction affine.
Compétences visées :
• Modéliser une situation réelle par une droite dans un repère du plan
• Tracer et utiliser une droite dans le plan
R NS
E
• Caractériser analytiquement une droite
• Reconnaitre et utiliser les positions relatives de deux droites dans le plan.
PH
Déroulement Évaluations formatives
ST IO
Durée : 3h Séquence 1
Équations d'une droite dans un repère du un plan
Orale
• Objectifs :
Écrit
O
Savoir déterminer les équations d'une droite par lecture
O IT
Numérique
Évaluation graphique et par calculs.
• Matériels didactiques :
Cahiers et matériel de géométrie.
AP ED
R NS
E
"p 183 n 7 à 11"
TICE : l'enseignant peut apprendre aux élèves à utiliser la
calculatrice "mode table" pour trouver des points de la
PH
droite pour tracer les droites à partir de leurs équations.
• Devoir :
ST IO
"Page 186 n 28 à 30"
• Auto-formation :
O
"Page 187"
O IT
• Remédiations :
"Page 188"
AP ED
Réponses b a b a c a a
Exercices d’application :
Exercices Réponses
B ∈( L ) Donc : 8 = −5x B
+ 3 d’où : x B = −1
R NS ( ) ( ) ( )
E
3. On place les points A 2 ; −7 et B −1 ; 8 puis on trace la droite AB
A ∉( Δ ) ; B ∈( Δ ) ; C ∈( Δ ) ; D ∈( Δ ) ; E ∉( Δ )
PH
Exercice 6
ST IO
Exercice 7 yB − y A 5 + 1 6
1. m = = = =3
x B − x A 3− 1 2
Op = y B − mx B = 5 − 3× 3 = 5 − 9 = −4
O IT
( )
Donc AB : y = 3x − 4
(CD ) : y = 3x + 1 ; ( EF ) : y = −2x + 3
2. ( AB ) et ( CD ) ont le même coefficient directeur 3 : donc ( AB ) ! ( CD )
Exercice 8 1
( ) ( )
1. • L′ ! L donc : m( L′ ) = −
2
1 3 1
( )
• A ∈ L′ donc : p = y A +
2
x A = −1+ =
2 2
1 1
( )
Alors : L′ = y = − x +
2 2
1
( ) ( )
2. Δ ⊥ L donc : m( Δ ) × − = −1
2
D’où : m Δ = 2
( )
B ∈( Δ ) donc : p = y B − 2x B = −5 − 2 × 2 = −9
( )
Alors : Δ : y = 2x − 9
y B − y A −5 + 1 −4
m ( AB ) = = = =1
x B − x A 3− 7 −4
2.
( )
3. Δ est la médiatrice de ⎡⎣ AB ⎤⎦
( ) ( )
Donc : Δ est perpendiculaire à AB et elle passer par M
• ( Δ ) ⊥ ( AB ) donc : m × 1 = −1 alors : m = −1
Alors : ( Δ ) : y = −x + 2
Exercice 10 ( )
1. • Δ coupe l’axe des abscisses au point d’abscisse -3 et parallèle à l’axe des ordonnées donc son
équation est : x = −3
R NS
E
( ) ( )
• Pour déterminer le coefficient directeur de L on a les points d’intersection de L avec les axes
−3
PH
du repère en suivant un déplacement vertical puis un déplacement horizontal ; ainsi : m = = −1 et
3
( )
l’ordonnées à l’origine est le point d’intersection de L avec l’axe des ordonnées qui est : 3
ST IO
( )
Donc : L : y = −x + 3
2. • ( L ) ! ( L′ ) donc : m( ) = −1
O
L′
O IT
Alors : ( L′ ) : y = −x
AP ED
• B ∈( D ) donc : p = y − m( ) × x = 3− 1× ( −1) = 4
B D B
Alors : ( D ) : y = x + 4
Exercice 11 • Le coefficient de MN : ( )
3− 1 2 1
m= = =
−1+ 5 4 2
• Les coordonnées du point K, le milieu de ⎡⎣ MN ⎤⎦
x M + x N −6 y + y N 3+ 1
xK = = = −3 ; y K = M = =2
2 2 2 2
(
Donc : K −3 ; 2 )
( )
• Δ est le médiatrice de ⎡⎣ MN ⎤⎦ donc :
1
m( Δ ) × m = −1 donc m Δ × = −1
( ) 2
Alors : m( Δ ) = −2
( )
• K ∈ Δ donc : p = y K − m( Δ ) × x K
( )
D’où : Δ : y = −2x − 4
Exercice 12 yB − y A 2 − 1 1 1
3. a. • m = = = =−
x B − x A 0 − 3 −3 3
(
• La droite passe par B 0 ; 2 donc p = 2 )
1
( )
Alors : AB : y = − x + 2
3
yC − y A 0 − 2
b. • m = = = −2
xC − x A 1− 0
• p = yC − mxC = 0 + 2× 1 = 2
( )
Donc AC : y = −2x + 2
Exercice 13 10
= 2 donc : ( Δ ) ! ( D )
R NS
1.
E
5
( )
2. 1× −1 = −1 donc : Δ ⊥ D ( ) ( )
PH
3 −5
3. × = −1 donc : ( Δ ) ⊥ ( D )
5 3
ST IO
9
4. = 3 donc : ( Δ ) ! ( D )
3
( )( )
O 2
5. 1− 2 1+ 2 = 1− 2 = 1− 2 = −1
O IT
Donc : Δ ⊥ D ( ) ( )
AP ED
Exercice 14 2
( ) ( )
1. • Δ ! D donc : m =
3
2 4
( ) ( )
• A 1 ; 2 ∈ Δ donc : p = 2 −
3
×1=
3
2 4
( )
Alors : Δ : y =
3
x+
3
2.
( Δ′ ) ⊥ ( D ) donc : m × m′ = −1
2
× m′ = −1
3
3
Alors : m′ = −
2
⎛ 3⎞ 11
( )
• B ∈ Δ ′ donc : p = 1− ⎜ − ⎟ × 3 =
⎝ 2⎠ 2
3 11
( )
D’où : Δ ′ : y = − x +
2 2
4 (D1)
3
2
1 2 3
(D2)
(D3)
Exercice 16 1 3 1 3
1. m = et p = − donc ( BC ) : y = x −
2 2 2 2
3 2
( ) ( )
2. Δ ⊥ AB donc : m( Δ ) × − = −1 alors m( Δ ) =
2 3
R NS
E
( Δ ) passe par A.
2 5
PH
Donc : p = y A − m( Δ ) × x A = 3− ×2=
3 3
2 5
ST IO
O ( )
Alors : Δ : y =
3
x+
3
Exercice 17 1. −x A + 5 = −4 + 5 = 1 = y A
O IT
−x B + 5 = −2 + 5 = 3 = y B
( )
Donc : AB : y = −x + 5
AP ED
x A + xB 6 y + y B 1+ 3
2. xC = = = 3 et yC = A = =2
2 2 2 2
(
Donc : C 3 ; 2 )
3− 1 2
3. • m( AB ) = = = −1
2 − 4 −2
( ) ( )
• Δ ⊥ AB donc : m( Δ ) = 1
• C ∈( Δ ) donc : p = y − m( ) x = 2 − 1× 3 = −1
C Δ C
D’où : ( Δ ) : y = x − 1
Exercice 18 1
1 3 y = 3x −
2
2 2 y = 2x +1
2 2
3 − y = − x+3
5 5
4 2 y = 2x − 5
Exercice 19 −2
1. • 3x A + 7 = 3× + 7 = −2 + 7 = 5 = y A
3
( )
• 3x B + 7 = 3× −1 + 7 = −3+ 7 = 4 = y B
Donc : A et B appartiennent à D ( )
3xC + 7 = 3 × ( −2 ) + 7 = 1 = yC
2.
Donc : C ∈ D ( )
Alors : A, B et C sont alignés.
Exercice 20 ( ) ( )
1. On a : A 6 ; y A ∈ L donc :
5
yA = × 6 + 1 = 15 + 1 = 16
2
R NS ( ) ( )
E
2. B x B ; −4 ∈ L donc :
5
−4 = x + 1 d’où : y B = −2
PH
2 B
3. On place A et B puis on trace L . ( )
ST IO
Exercice 21
O 4
O IT
3
(D2) 2
1
AP ED
1 2 3 4 5 6 (D1)
(D3)
Exercice 23 En utilisant les déplacements verticaux et horizontaux (voir le cours) on détermine le coefficient
directeur et l’intersection avec l’axe des ordonnées donne l’ordonnée à l’origine.
3
( )
• Δ :y=
2
x−3 ( )
• Δ ′ : x = −5
4 • ( L′ ) : y = −4
( )
• L :y=− x+4
3
s
Exercice 24 ( ) ( )
1. On choisit deux points de L et deux point de D pour les tracées
x 2 4
( L) : y 3 -1
x 0 1
( D) : y 1 2
6 = 3x E yE = 2 + 1
xE = 2 yE = 3
(
Donc : E 2 ; 3 )
Exercice 26 2 3 2 3 1
1. − x A +
5 5
= − + = ≠ y A , donc : A ∉ L
5 5 5
( )
2
( ) ( )
2. On a : L′ ! L , donc : m( L′ ) = −
5
( )
• A ∈ L′ donc : p = y A − m( L′ ) × x A
2 8
Alors : p = −2 + ×1= −
5 5
R NS
E
2 8
( )
D’où : L′ : y = − x −
5 5
PH
−2
( ) ( )
3. • D ⊥ L donc : m′ ×
5
= −1
ST IO
5
Alors : m′ =
2
O 5 5 9
( )
• A ∈ D donc : p = y A − x A = −2 − × 1 = −
O IT
2 2 2
5 9
( )
Alors : D : y =
2
x−
2
AP ED
Exercice 27 ⎛1 7⎞
1. M ⎜ ; − ⎟
⎝2 2⎠
2. On compare les coefficients directeurs de AB et BC ( ) ( )
1+ 2 3
m( AB) = =−
−3− 1 4
−8 − 1 −9
m( BC ) = =
4+3 7
Sachant que : m( AB ) ≠ m( BC )
( )
Donc : AG : x = 1
3
( )
4. CG : y = − x − 2
2
⎛5 ⎞
5. a. K ⎜ ; −5⎟
⎝2 ⎠
L’équation de la médiane BK ( )
−5 − 1 −6 −12
m= = =
5 11 11
+3
2 2
12 36 25
p = yB + x B = 1− =−
11 11 11
R NS
E
12 25
( )
Alors : BK : y = −
11
x−
11
PH
b. Pour déterminer les coordonnées du centre de gravité de ABC au résont le système :
⎧ −3
⎪ y= x−2
ST IO
⎪ 2
⎨
⎪ y = − 12 x − 25
⎪
⎩ 11 11
O
O IT
2
x= et y = −3
3
⎛2 ⎞
Alors le entre de gravité a pour coordonnées ⎜ ; −3⎟
AP ED
⎝3 ⎠
Exercice 28 1 4 1 4 5
1. − x A + = + = = 1 = yA
5 5 5 5 5
1 4 6 4
− xC + = + = 2 = yC
5 5 5 5
Donc : A et C appartiennent à L ( )
y B − y A −4 − 1 −5
2. • m = = = =5
x B − x A −2 + 1 −1
()
• p = y A − mx A = 1+ 5 × 1 = 1+ 5 = 6
( )
Donc : AB : y = 5x + 6
−1
3. On a : 5 × = −1 et A est un point commun entre ( AB ) et ( AC ) .
5
( )
Donc : AB est perpendiculaire à AC en A. ( )
4. a. AB = 1+ 9 = 10
AC = 25 + 1 = 26
AB × AC 10 × 26
b. AABC = = = 65
2 2
f 2 ( 6 ) = 800 × 6 = 4800
Donc : f1 ( 6 ) > f 2 ( 6 )
( )
• f1 10 = 3200 + 400 × 10 = 7200
Par : f 2 : y = 800x
b. La représentation graphique :
(
De f1 est une droite passant par les points de coordonnées 0 ; 3200 et ( 2;4000 ) )
Celle de f 2 est une droite qui passe par l’origine du repère et par le point de coordonnés (10,8000 ) .
3. a. Graphiquement c’est l’abscisse du point d’intersection des deux droites qui est : x = 8
R NS
E
⎧ y = 800x
b. Par résolution du système : ⎨
⎩ y = 400x + 3200
PH
(
La solution 8 ; 6400 )
Donc pour 8 tonnes ou paie le même prix dans les deux tarifs.
ST IO
Exercice 30 ()
1. TA x = 12,5x
O
TB ( x ) = 8,50x + 1250
O IT
x > 312,50
Au delà de 312,50km le tarif B sera plus avantageux.
Je m’évalue :
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7
Réponses b a c a b a a
Auto-formation :
Exercices Réponses
On considère le repère orthonormé d’origine A et l’unité sur chaque axe est 0,5
(
On en déduit : B 7 ; 6 et C 9 ; 8 ) ( )
yB − y A 7 y − yA 8
On a : = et C =
xB − x A 6 xC − x A 9
7 8
Puisque : ≠
6 9
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
FICHE DE PREPARATION
Pré-requis :
• Parallélépipède - cône de révolution - prisme droit - cylindre de révolution - pyramide
• Savoir dessiner un patron de chaque solide cité au-dessus
• Position relative de deux droites, d’une droite et d’un plan, de deux plans
• Théorèmes de Pythagore et de Thalès et conséquences sur les aires et volumes.
Compétences visées :
• Reconnaître la perpendicularité dans l’espace de deux droites - d’une droite et d’un plan
• Calcul d’aires et de volumes d’une pyramide ou d’un pavé droit
• Utiliser l’agrandissement ou la réduction pour déterminer : les longueurs, les aires et les volumes.
R NS
E
Déroulement Évaluations formatives
PH
Durée : 3h Séquence 1 • Des pré requis :
Orthogonalité dans l'espace Au début de la séance le QCM
ST IO
Orale
• Objectifs : de "la page 190" est une
Écrit
Renforcer la description des solides dans l'espace et la occasion pour se rappeler les
Numérique
construction de patrons. notions du programme de 2
Évaluation
O
Savoir déterminer la position d'une droite et un plan dans AC qui sont nécessaires pour
O IT
l'espace. la leçon.
• Matériels didactiques : • Des acquis :
Cahiers et matériel de géométrie et de papier-cartonné. Les exercices permettent de
AP ED
R NS
"p 197 n 6 et 7"
E
• Activité :
"p 200 n 20 et 22"
PH
• Devoir :
"Page 201 n 23 à 27"
ST IO
• Auto-formation :
Exercices "Page 203 n 31 à 33"
O
• Remédiations :
O IT
"Page 204"
AP ED
Réponses b a a a c a b a a b
Exercices d’application :
Exercices Réponses
Exercice 4 ( ) ( ) ( ) ( )
1. On a : AC ⊥ BC et AC ⊥ CD
et ( BC ) et ( CD ) se coupent en C
R NS
E
2. On a : ( AC ) ⊥ ( BCD )
Et ( EC ) ⊂ ( BCD )
PH
Donc : ( AC ) ⊥ ( EC )
ST IO
Exercice 5 1. ABCDEFGH est un pavé droit
( ) ( ) ( ) ( )
O
Donc : CD ⊥ AD et CD ⊥ DH
O IT
Or : ( AD ) et ( DH ) se coupent en D
Alors : ( CD ) ⊥ ( ADH )
AP ED
2. On a : ( CD ) ⊥ ( ADH )
et : ( DM ) ⊂ ( ADH )
Donc : ( CD ) ⊥ ( DM )
D’où : CDM est rectangle en D.
Exercice 6 1. a. AB = AB 2 = 36cm2
1 2
b. V = AB × SO
3
1
V= × 36 × 5cm3 = 60cm3
3
A′ B′ 2 1
2. k = = =
AB 6 3
3
⎛ 1⎞ 60 3 20 3
3. V ′ = ⎜ ⎟ × V donc : V ′ = cm = cm
⎝ 3⎠ 27 9
Exercice 7 V
On sait que : = k3
V′
Exercice 8 1. V1 = 2 × 4 × x = 8x
18
V2 = ( x + 2 ) × = 6 ( x + 2)
3
2.
x 2 4 6 8
V1 16 32 48 64
V2 24 36 48 60
3. V1 = V2 pour x = 6
R NS
E
• AM = AB 2 + BM 2 = 402 + 402 = 40 2
PH
• AF = AB 2 + BF 2 = 40 2
• BN = BM 2 + MN 2 = 402 + 202 = 20 5
ST IO
2. On a : AM = AF donc AMF est isocèle en A.
AB × BM BC 402 20
3. V p = × = ×
O
2 3 2 3
O IT
16000 3
Donc : V p = cm
3
16000
AP ED
4. VS = V p + V pd = + 402 × 20
3
16000
VS = + 32000
3
112000 3
VS = cm
3
Exercice 10 1.
Pyramide de SABCD Pyramide de SIJKL
Longueur AB = 6cm IJ = 2cm
AB 6 × 3cm2 = 18cm2 2 × 1cm2 = 2cm2
18 × 9 3 2×3 3
V cm = 54cm3 cm = 2cm3
3 3
3 1
2. k = =
9 3
Exercice 11 3 3
1. V = 5 cm = 125cm
3
1 125 3
2. V ′ = 53 × cm3 = cm
3 3
AB × AD × SA 3 × 4 × 6 3
2. V = = cm = 24cm3
3 3
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
Exercice 13 ( ) ( ) ( ) ( )
1. AD ⊥ AC et AD ⊥ AB
et ( AC ) et ( AB ) se coupent en A
Donc : ( AD ) ⊥ ( ABC )
2. ( AM ) ⊂ ( ABC ) et ( AD ) ⊥ ( ABC )
Donc : ( AD ) ⊥ ( AM )
R NS
E
Exercice 14
• AC = AB 2 + BC 2 = 16 + 9 = 25 = 5
PH
• EC = AB 2 + BC 2 + AE 2 = 29
ST IO
Exercice 15 1. AG = 4 + 9 + 3 = 16 = 4 cm ( )
O
2. ( BF ) ⊥ ( BC ) et ( BF ) ⊥ ( AB )
O IT
( BC ) coupe ( AB ) en B
Donc : ( BF ) ⊥ ( ABC )
AP ED
Puisque : ( BM ) ⊂ ( ABC )
Alors : ( BF ) ⊥ ( BM )
( )
Alors : SO est la hauteur de SAC issue de S.
( )
On en déduit que SO est la hauteur de la pyramide SABCD.
2. ABC est rectangle isocèle en B
!= AB
Or : sinC
AC
4 4×2
Donc : AC = = =4 2
sin 45° 2
3. a. D’après la question 1
SOA est rectangle en O
2 2 2
b. En appliquant le théorème de Pythagore : OS = AS − AO
( ) ( ) = 12
2 2
OS 2 = 2 5 − 2 2
1 2 1 32 3
c. V = AB × SO = × 16 × 2 3 =
3 3 3
Exercice 18 A′ B′ 1,5 3
1. k = = =
AB 4 8
AB 2 × SO 16 × 5 80
2. On a : V = = =
3 3 3
3
Or : V ′ = k × V
3
⎛ 3⎞ 80 45
Donc : V ′ = ⎜ ⎟ ×
⎝ 8⎠
=
3 32
cm3 ( )
Exercice 19 1. a. ABCDA′ B′C ′D′ est un pavé droit.
( ) ( ) ( )
Alors : DD′ est perpendiculaire à DC et DA qui se coupent en D.
R NS
E
b. ( DD′ ) ⊥ ( ABC ) et ( DI ) ⊂ ( ABC )
Alors : ( DD′ ) ⊥ ( DI )
PH
Donc : IDD′ est rectangle en D.
ST IO
2. • Calcul de DI puis ID′
On applique le théorème de Pythagore au triangle ADI puis DD′I :
2 2 2
• DI = AI + AD = 9 + 9 = 18
O
O IT
2 2 2
• ID′ = DD′ + DI = 16 + 18 = 34
D’où : ID′ = 34
AP ED
Donc : AG = 62 + 62 + 62 = 6 3 en cm ( )
3 3 3
• V = 6 cm = 216cm
( ) (
2. On a : AD ⊥ ABE )
et I ∈ ⎡⎣ AD ⎤⎦
( ) ( )
Donc : AI ⊥ ABE
Or : ( AJ ) ⊂ ( ABE )
Alors : ( AI ) ⊥ ( AJ )
3. On applique le théorème de Pythagore au triangle AIJ rectangle en A
IJ = AI 2 + AJ 2
2
⎛2 ⎞
Or : AJ 2 = AB 2 + BJ 2 = 62 + ⎜ × 6⎟ = 52
⎝3 ⎠
Alors : IJ = 9 + 52 = 61 cm ( )
1 AB × BJ 6 ×4×3 3
4. V = × × AI = cm = 12cm3
3 2 6
AC 2 = AB 2 + BC 2 donc AC = 2 AB 2 = 6 2cm
Or : O est le milieu de ⎡⎣ AC ⎤⎦
AC
Alors : OA = = 3 2cm
2
• On applique le théorème de Pythagore au triangle SAO rectangle en O.
R NS
E
⎝ 3⎠ 27
PH
D C
ST IO
A B
I
O
G
O IT
H
M
O
E F
AP ED
2 2 2
• Au triangle ADM rectangle en A : DM = AD + AM
2 2 2
• Au triangle AMI rectangle en I : AM = AI + MI
2 2 2
• Au triangle ADI rectangle en A : ID = AD + AI
( ) ( ) 2
2. On a : IM 2 + DI 2 = AM 2 − AI 2 + AD 2 + AI 2 = AM 2 − AI 2 + AD 2 + AI 2 = AM + AD
2
2 2 2
Or : DM = AM + AD
2 2 2
Donc : DM = IM + DI
D’après la réciproque du théorème de Pythagore le triangle DMI est rectangle en I
3. On Calcule IM :
2 2 2
On a : AM = AI + IM
2
Donc : 16 = 9 + IM
Alors : IM = 16 − 9cm = 7cm
1
Donc : V = AAMI × AD ×
3
AI × MI AD
Alors : V = ×
2 3
3× 7 8 3
V= × cm = 4 7cm3
2 3
Guide du professeur - Collection Etincelle 183
Exercice 25 La hauteur de la pyramide est : AM = 5cm
Le côté de la base mesure : 5cm
52 × 5 3 125 3
Donc : V = cm = cm
3 3
Exercice 26 702 × 20
V = 50 × 702 +
3
98000
V = 245000 +
3
833000 3
V= cm
3
Exercice 27 CI 2 CD 9 6 3
1. V = × = × cm = 9cm3
2 3 2 3
DN 2 1
2. a. k = = =
DC 6 3
R NS
E
2
⎛ 1⎞ 9 1 1
b. AMNP = ⎜ ⎟ × ACIJ = × cm2 = cm2
⎝ 3⎠ 2 9 2
PH
3
⎛ 1⎞ 9 1
c. V ′ = ⎜ ⎟ × V = cm3 = cm3
⎝ 3⎠ 27 3
ST IO
Exercice 28
1. A =
( AB + DC ) × AD = 10 × 4 cm 2
= 20cm2
O 2 2
O IT
1
2. V = × 20 × 12cm3 = 80cm3
3
AP ED
Exercice 29 3 3
1. • EI = × AB = × 6cm = 4,5cm
4 4
3 3
• KE = × AD = × 8cm = 6cm
4 4
2. En appliquant le théorème de Pythagore :
• SI = SE 2 + EI 2 = 122 + 4,52 = 164 + 25
3 73
SI = cm
2
• SK = SE 2 + KE 2 = 122 + 36 = 6 5 ( cm)
( )
3. V = AE × AB × AD = 4 × 6 × 8 = 192 cm3
AB × AD SA 6 × 8 16
4. a. V ′ = × = × ( cm ) 3
2 3 2 3
V ′ = 128cm3
3
⎛ 3⎞ 27
b. V ′′ = ⎜ ⎟ × V =
⎝ 4⎠ 64
( )
× 128 cm3 = 54cm
3
c. V ABCDEIJK = V ′ − V ′′ = 128 − 54
= 128 − 54
V ABCDEIJK = 74cm3
• AH = AE 2 + AD 2 = 64 + 36 = 10 ( m)
4×3 2
2. a. AAIB = m = 6m2
2
b. V = AAIB × AE = 6 × 8m3 = 48m3
3 3
3. V ′ = 5 × 6 × 8m = 240m
V ′ 240
4. On a : = = 5 donc : V ′ = 5V
V 48
h × AB
5. On a : AAIB =
2
h×5
Donc : 6 =
2
12
Alors : h = m = 2,4m
5
R NS
E
Je m’évalue :
PH
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7
ST IO
Réponses a b a a C a a
Auto-formation :
O
O IT
Exercices Réponses
Exercice 31 V1 + V2 + V3 = 33 + 43 + 52 = 216
AP ED
3
et : V = 6 = 216
Alors : V1 + V2 + V3 = V
Exercice 32 AB × BC BF
V= ×
2 3
3
1 ⎛ a⎞
= ×⎜ ⎟
6 ⎝ 3⎠
a3
=
6 × 27
a3
=
162
Exercice 33 EF × FJ IJ
1. V = ×
2 3
15 × 7,5 15 3
V= × cm = 281,25cm3
2 3
( )( )
2. • AM = 15 − 2 cm = 13cm
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
E
Activités
PH
ST IO
statistiques
O
O IT
et graphiques
AP ED
Pré-requis :
• La proportionnalité et propriétés.
• Représentation .graphique d’une fonction linéaire et sa liaison avec la proportionalité et le pourcentage
• écriture de f(x)
• Calcul littéral
Compétences visées :
• Déterminer par calcul ou graphiquement l'image ou l'antécédent d'un nombre donné par une fonction.
• Modéliser : traduire une situation de la vie courante par une fonction linéaire ou affine.
• Représenter graphiquement une fonction linéaire ou affine.
• Déterminer l’expression algébrique d’une fonction linéaire ou affine..
R NS
E
Déroulement Évaluations formatives
PH
Durée : 5h Séquence 1 • Des pré requis :
Fonction linéaire Au début de la séance le QCM
ST IO
Orale
Objectifs : de "la page 210" est une
Écrit
Traduire une situation de proportionnalité par une occasion pour se rappeler la
Numérique
O
fonction linéaire. proportionnalité vue en 2 AC
Évaluation
Savoir exprimer une fonction linéaire littéralement ou .
O IT
R NS
E
• Exercices d’application :
"p 217/ 218 n 6 et 12"
PH
• Activité :
"p218/219 n 12 et 16 à 18"
ST IO
• Devoir :
"Page 218 n 8 à 11 et page 220 n 19 à 22"
O
• Auto-formation :
O IT
Réponses a b a c a c b
Exercices d’application :
Exercices Réponses
R NS
3. La représentation graphique est la droite qui passe par l’origine du repère et le point A 1 ; 4
E
Exercice 5 1. Le tableau représente une proportionnalité de coefficient 3,75
PH
Alors il représente une fonction linéaire.
2. C’est la demi droite verte qui représente le tarif
ST IO
( )
3. P 90 = 24 dhs ( )
( ) ( 2 ) = 2 ( x + 1,5) = 2x + 3
Exercice 6
O 1,5 + x × 4
1. A x =
O IT
2. Sachant que l’ordonnée à l’origine n’est pas nulle alors c’est une fonction affinée.
3. 2x + 3 = 8 signifie : 2x = 5
AP ED
Donc : x = 2,5
(
4. C’est la demi droite passant par les points A 0 ; 3 et B 1 ; 5) ( )
Exercice 7 h (1) − h ( −2 ) −1− 11
1. • a = = = −4
1+ 2 3
() ( )
• b = h 1 − −4 × 1 = −1+ 4 = 3
Donc : h ( x ) = −4x + 3
2. −4x + 3 = 9 signifie : −4x = 6
3
Donc : x = − = −1,5
2
L’antécédent de 9 par h est : -1,5
Exercice 8 ()
1. f x = 3x
3 3
2. a = donc g ( x ) = x
2 2
( )
3. A 1 ; 5 ∈Ch donc : h 1 = 5 ()
D’ou : h ( x ) = 5x
(
4. La représentation graphique de f est la droite qui passe par l’origine du repère et par : E 1 ; −2 )
190 Guide du professeur - Collection Etincelle
Exercice 9 5 − 7 −2
1. a = = =2
2 − 3 −1
b= 7− 2×3=1
()
Donc : f x = 2x + 1
5− 4 1
2. a = =
3− 1 2
1 7
b = 5− ×3=
2 2
1 7
()
Donc : g x =
2
x+
2
()
3. h x = 5x + 3
( )
4. Une droite qui passe par : E 0 ; −1 et F 1 ; 1( )
Exercice 10 ⎛ 1⎞ 1
1. f ⎜ ⎟ = 4 × = 2
⎝ 2⎠ 2
R NS
E
f ( 3) = 4 × 3=4 3
( ) ( )
PH
2. f −1 = 4 × −1 = −4
3. f (8) = 4 × 8 = 32
ST IO
5
4. 4x = 10 donc : x =
2
O
5. 4x = 20 donc : x = 5
O IT
Exercice 11
() ( ) ( )
1. g 0 = 3 ; g 1+ 2 = 5 1+ 2 + 3 = 8 + 5 2
AP ED
2. g ( −2 ) = 5 × ( −2 ) + 3 = −7
8−3
3. 5x + 3 = 8 donc : x = =1
5
Exercice 12 1. C f est une droite qui ne passe pas par l’origine du repère.
Donc : f n’est pas linèaire
() () ()
2. f 2 = 3 ; −1 = f 0 ; 5 = f 3 ; −2 = f −0,5 ( )
3. f ( 2 ) = 2 × 2 − 1 = 4 − 1 = 3
f ( 3) = 2 × 3− 1 = 6 − 1 = 5
Donc : f ( x ) = 2x − 1
1
4. 2x − 1 = 0 signifie : x =
2
1
La solution est :
2
Exercices d’approfondissement :
Exercices Réponses
7 56
x = −14 donc : x = − = −8
4 7
(
4. C’est la droite qui passe par l’origine du repère et le point A 2 ; 3,5 )
Exercice 14 FG × EH 6x
()
1. A x =
2
=
2
= 3x Le coefficient est : 3
7,5
2. 3x = 7,5 donc : x = = 2,5
3
Donc l’antécédent de 7,5 par la fonction est : 2,5
Interprétation : pour : FG = 2,5
R NS
E
L’aire du triangle est : 7,5
(
3. C’est une demi-droite d’origine O et passant par : A 1 ; 3 )
PH
Remarque : On ne trace qu’un segment.
ST IO
Exercice 15 228 − 240 −12
1. = = −0,05
240 240
O
Donc le pourcentage de la remise est de : 5%
O IT
Exercice 16 () ( )
1. P x = 1,5 + x × 2 = 2x + 3
Donc c’est une fonction affine non linéaire.
( )
2. a. P 1,5 = 2 × 1,5 + 3 = 6
8−3
2x + 3 = 8 signifie : x = = 2,5
2
Donc l’antécédent de 8 par P est 2,5
( ) (
b. La courbe est la demi-droite qui passe par : A 0 ; 3 et B 1 ; 5 )
Exercice 17 ()
1. a. f 0 = 1
b. 0 = f ( 2 )
0 −1 1
2. a = =−
2−0 2
()
et on a : f 0 = 1
1
()
Donc : f x = − x + 1
2
Exercice 18 1.
X 0 4 8 10
Exercice 19 ( )
1. • T1 75 = 15 × 75 + 400 = 1525
T ( 75) = 20 × 75 = 1500
2
( ) ( )
3. a. C f est une droite passant par : A 0 ; 400 et B 100 = 1900
R NS
Cg
E
b. La distance est l’abscisse du point d’intersection des deux droites qui est : x = 80
Pour 80km les prix sont les mêmes dans les deux tarifs.
PH
Exercice 20 ()
1. P1 5 = 4 × 5 − 2 = 18
ST IO
P (5) = 2 × 5 = 10
2
b. P ( x ) = ( x + 3) × 2 − 6 = 2x + 6 − 6 = 2x
2
Exercice 21 −4
1. f est affine de coefficient a = =2
−2
et d’ordonnée à l’origine 4
Donc : f x = 2x + 4 ()
2. • L’abscisse qui correspond à 2 est : -1
• 2x + 4 = 2 signifie x = −1
Réponses b a c b a c
Auto-formation :
Exercices Réponses
f (8) = 28000
R NS
• La salaire de Jamal est 28000dhs
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Pré-requis :
• Paramètres statistiques vus en 1er AC et 2ème AC :
• Proportionnalité.
• Diagrammes statistiques : Diagramme en bâtons, Diagramme à barres(Histogramme), Diagramme
sectoriel ; Diagramme en lignes brisés.
Compétences visées :
• A partir d’une série statistique sous forme de liste de tableau ou d’une repésentation ; savoir
déterminer et interpréter ;
- L’étendue le monde et la médiane
R NS
E
- La moyenne et la fréquence
• Savoir établir un diagramme et l’utiliser
PH
Déroulement Évaluations formatives
ST IO
Durée : 2h Séquence 1 • Des pré requis :
Mode, étendue, effectifs, fréquences et diagrammes Au début de la séance le QCM
Orale
O
• Objectifs : de "la page 224" est une
Écrit
Utiliser des données statistiques pour déterminer occasion pour se rappeler les
O IT
Numérique
différents paramètres statistiques et faire des notions de statistiques vues
Évaluation
diagrammes et les utiliser en 2 AC.
• Matériels didactiques : • Des acquis :
AP ED
R NS
E
"p 231 n 5 à 7"
• Activité :
"p231/232 n 8 à 12"
PH
• Devoir :
ST IO
"Page 234/ 235 n 17 à 22"
TICE : L'élève peut utiliser la calculatrice scientifique
"mode stat" pour pouvoir calculer la moyenne et vérifier
O
la valeur de la médiane.
L’exercice 20 permet aux élèves d'utiliser l'Excel dans les
O IT
statistiques.
• Auto-formation :
AP ED
Réponses b a c b c c a b a
Exercices d’application :
Exercices Réponses
R NS
La médiane est la moyenne de la 4e et la 5e valeurs qui est :
E
= 8,5
2
PH
Exercice 6 La réponse de Hicham est fausse car il n’a pas classé les valeurs
7 ; 16 ; 18 ; 19 ; 22 ; 23 ; 25
ST IO
La médiane est : 19
Exercice 7 0 × 2 + 1× 5 + 2 × 4 + 3× 10 + 4
Ox=
25
O IT
1.
59
x= = 1,18
25
AP ED
10
9
8
7
6
5
4
3
2
0 1 2 3 4
Exercice 8 1.
Nombre de vidéos 2 4 6 8 10 12
Effectif 3 9 8 10 1 2
Effectif cumulé croissant 3 12 20 30 31 33
Guide du professeur - Collection Etincelle 197
2. On a : 33 = 2 × 16 + 1
Donc la médiane est la 17e valeur qui est : 6
Interprétation : au moins 50% de l’effectif ont vu au moins 6 vidéos
2 × 3+ 4 × 9 + 6 × 8 + 8 × 10 + 10 × 1+ 12 × 2
X=
3. 33
X ! 6,2
Donc chaque élève a vu en moyen 6 vidéos.
Exercice 9
Durée (en min) 0 ≤ d < 10 10 ≤ d < 20 20 ≤ d < 30 30 ≤ d < 40
Effectif 15 25 50 10
Effectif cumulé
15 40 90 100
croissant
1. Le plus grand effectif est 50 ; il est associé à la classe : 20 ≤ d < 30 ; donc c’est la
classe modale.
2. 100 = 2 × 50 ; donc la médiane se trouve dans la classe : 20 ≤ d < 30
5 × 15 + 15 × 25 + 25 × 50 + 35 × 10
R NS
3. X = = 20,5
E
100
La durée moyenne est : 20min30s
PH
Exercice 10 1. Le plus grand effectif est : 10 ; et il est associé à 15 ; donc 15 est le mode de la série.
14 × 3+ 15 × 10 + 14 × 5 + 17 × 2
X= = 15,3
ST IO
2. 20
Donc l’âge moyenne est environ : 15ans.
O
Exercice 11 1. Dernière colonne du tableau :
O IT
2.
Donc la moyenne d ′ ancienneté est environ 18 ans.
3. 150 = 2 × 75 ; donc la médiane est dons la classe : 15 ≤ A < 20
35 7
F= =
4. 150 30
Exercice 13 1.
Fréquence : 0,43 0,34 0,17 0,06
2. Moins de 40 ans : 94651+ 75537 = 170188
3. Pour 40 ans ou plus : 37940 + 13193 = 51133
10 × 94651+ 30 × 75537 + 50 × 37940 + 60 × 13193
4. X =
221321
X = 26,66 (environ 27 ans)
Exercices Réponses
Exercice 14 1. • Ahmed : 2 ; 4 ; 6 ; 10 ; 11 ; 13 ; 15 ; 16 ; 16 ; 19
11+ 13
La médiane : = 12
2
• Mounir : 2 ; 5 ; 9 ; 10 ; 10 ; 11 ; 12 ; 14 ; 14 ; 19
10 + 11
La médiane : = 10,5
2
112
XA= = 11,2 106
10
2.
;
X M = 10 = 10,6
7
FA = = 0,7 7
3. 10 ; FM = = 0,7
R NS
10
E
Exercice 15 1.
PH
ECC 10 35 65 80
Fréquence 12,5% 31,25% 37,5% 18,75%
ST IO
2. Le plus grand effectif est 30.
Il est associé à la classe : 5 ≤ m < 7
Donc : la classe modale est : 5 ≤ m < 7
O
3. • On a : 80 = 2 × 40
O IT
2 × 10 + 4 × 25 + 6 × 30 + 8 × 15
X=
4. 80
420
X= = 5,25
80
La classe moyenne par élève est : 5,25kg .
5.
Effectifs
30
25
20
15
10
0
1 3 5 7 9
Masse(Kg)
X ! 34
5. Digramme circulaire :
R NS
E
PH
Exercice 17 1.
ST IO
J F M A M J J A S O N D
150 170 230 250 150 50 30 20 50 120 130 140
2. a. Les mois de sècheresse sont : Juin, Juillet, Aout et Septembre.
O
b. Les mois d’inondation sont : Mars et Avril.
O IT
1490
X= ! 124
3. 12
AP ED
X m = 3,74
Donc : la masse moyenne d’un saumon est : 3,74 kg
60 × 5 + 65 × 14 + 70 × 12 + 75 × 8 + 80 × 7 + 85 × 4
XL =
b. 50
X L = 71
La taille moyenne d’un saumon est : 71 cm
2. On a : 50 = 2 × 25
Donc : c’est la moyenne de la 25ème et la 26ème valeurs :
mm = 3,5 et mL = 70
X = 11,5625
Donc : la charge moyenne est environ 11,6 tonnes.
b. 128 = 64 × 2
Donc : la médiane et dans la classe 10 ≤ m < 15
Interprétation :
Au moins 50% des camions ont une charge comprise entre 10 et 15 tonnes.
c.
Nombre de camions
48
R NS
40
E
32
PH
24
ST IO
16
O 8
O IT
0
5 10 15 20 25
Masse(t)
AP ED
32
f = × 100 = 25
4. 128
Donc : 25% en infraction.
X ! 5,3
Donc : environ 5 voitures vendues par jour.
3. a.
Valeurs 0 4 5 7 10
4 6 8 10 3
Fréquences
31 31 31 31 31
4 10 18 28
F.C.C 1
31 31 31 31
b. On a : 31 = 2 × 15 + 1
Donc : la médiane est la 16e valeur qui est 5.
Au moins 50% des jours de ventes ont connu au moins 5 voitures vendues par jours.
3.
Frequence (en %) or
t
Sp
urel
45% 15%
Cult
30%
Loi 10%
sir lité
réa
50 Histogramme Télé
R NS
E
40
PH
30
Sport
ST IO
20
Téléréalité
10
Loisir
O Culturel
O IT
4. La plus grande fréquence est associé au sport ; donc le sport est la classe modale.
AP ED
Je m’évalue :
Questions Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8
Réponses a a b c a a b a
Exercices Réponses
R NS
E
x ! 10,04
2. Pour augmenter sa moyenne, il faut avoir 2 points de plus dans un contrôle avec le coefficient, ils
PH
vont donner 4 points et 4 > 3 .
ST IO
O
O IT
AP ED
• BROUSSEAU G, (1982) :
R NS
E
didactique
PH
des mathématiques, IREM d’Orléans.
ST IO
• BROUSSEAU G, (1986) : «Fondements et méthodes de la didactique des
sauvage, Grenoble.
AP ED
DE Grenoble.).
A D
• Action 8 • Découpage 40
• Activité 8 • Découverte (activités) 62
• Addition 23 • Déductive 13
• Analogie 13 • Démarche (Concept) 12
• Analyse 13 • Déroulement 60
• Application 62 • Déstabilisation 14
• Apprenant 10 • Devoir 13
• Apprendre 17 • Diagnostique (évaluation) 19
• Apprentissage 10 • Dialectique 13
• Approche 9 • Didactique (matériel) 59
• Approfondissement 62 • Disciplinaire 13
R NS
• Attitude 9
E
• Auto-formation 62 E
• Educatif (auto) 23
C • Égalité (auto) 23
PH
• Cabri II plus 52 • Éléments (auto) 42
• Cadre 8 • Élève (organisation) 36
• Calcul symbolique (logiciels) 52 • Enseignants (formation) 54
ST IO
• Calculatrice 51 • Équivalent (auto) 65
• Calculatrice (Outils) 50 • Erreur (concept) 14
• Capacité (concept) 7 • Évaluation (auto) 20
O
• Capacité 8 • Évalue (auto) 65
• Chapitre 27
O IT
• Chronologie 39 F
• Classe (organisation) 36 • Fiches (préparation) 55•59
• Coefficient 11 • Formative (évaluation) 20•59
• Cognitif 8 • Formulation 16
AP ED
• Collective (Évaluation) 53
• Combinaison appropriée 10
G
• Communication (Technologie ) 48
• Généraux 9
• Communication (Maths) 44
• Géogèbra 52
• Communication (stratégie) 45
• Géométrie (logiciels) 49•51
• Compétence (Visées) 59
• Géométrique 24
• Compétence 8
• Gestion 34
• Compétence 8
• Gestion de classe (progression) 37
• Comportement (classe) 38
• Gestion de classe (séquence) 39
• Composantes 33
• Groupe (concept) 10
• Concept 8
• Conflit
• Connaissances
11
14
I
• Indicatif 3
• Connaissances procédurales 9
• Inductive 13
• Constitutive 8
• Influence 11
• Contexte 8
• Informatique (Salle) 52
• Créativité 9
• Informatique (technologie) 48
• Criterieé (Évaluation ) 21
• Innovation 3
• Inspecteurs (impulsion) 53
• Inspecteurs (rôle) 53
R NS
E
• numérique
• Normative22
23
T
• Tableur 51
• objectif (concept) 9
PH
• Technologie (information) 48
• obstacle 15
• Technologie (lycée)
• Officiel 3
• Temps
• Organisation 33
ST IO
• Théorie
• outils 50
• Tice
P • Transfert
O
• Pédagogie 17
• Typologie 52
O IT
• Performance 10
• Phase 16
• Pourcentage 24
• Pré-requis 27
AP ED
• Préparation 56
• Problématique 9
• Problème 12
• Professionnel (Lycée) 49
• Programme 23
• Prolongements 27
• Proportionnalité 24
Q
• Quotient 23
R
• Recommandations 56
• Référence 8
• Règles 39
• Régulation 17
• Remédiation 62
• Rôle 17
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Une Collection
résolument tournée vers les élèves.
3AC Étincelle
e
3AC
e
Étincelle 3AC
e
Étincelle
sur le site de la collection
MATHS Guide du professeur
Etincelle
Conforme au Programme Scolaire Marocain
MATHS Guide du professeur
www.collection-etincelle.ma
Numéro de série : PICM 0212320 - Date d’homologation : 13 août 2020 Numéro de série : PICM 0212320 - Date d’homologation : 13 août 2020
3AC Étincelle
e
SCANNE MOI