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Fondements idéologiques
Les transhumanistes considèrent
certains aspects de la condition humaine
tels que le handicap, la souffrance, la
maladie, le vieillissement ou la mort
comme indésirables. Le transhumanisme
partage de nombreux éléments avec
l'humanisme [pas clair], y compris le respect
de la raison et de la science, une volonté
de progresser et une valorisation de
l'existence humaine (ou transhumaine)
[non neutre]. Il en diffère cependant par la
reconnaissance et l'anticipation des
changements radicaux que pourraient
entraîner les techniques émergentes[1].
Le mouvement transhumaniste se
préoccupe des dangers comme des
avantages que présentent de telles
évolutions[2].
La promotion de l'amélioration de la
condition humaine à travers des
procédés techniques d'amélioration de
la vie, ayant pour but l'élimination du
vieillissement et l'augmentation des
capacités intellectuelles, physiques ou
psychologiques.
L'étude des bénéfices, des dangers et
de l'éthique du développement et de la
mise en œuvre de ces procédés.
Histoire
Avant le e siècle
…
Racines du transhumanisme
contemporain
…
Article détaillé :
Jean_Coutrot#Précurseur_du_terme_"Tra
Transhumanisme contemporain …
Théorie
La question de la vision du
transhumanisme comme une branche du
posthumanisme et celle de la
conceptualisation du posthumanisme
relativement au transhumanisme font
débat. Les critiques du transhumanisme,
conservateurs[6], chrétiens[44] ou
progressistes[45],[46], le perçoivent
souvent comme une variante ou une
forme plus activiste du posthumanisme,
mais des érudits pro-transhumanisme le
qualifient aussi de branche de la
« philosophie posthumaniste », par
exemple[47]. Une propriété commune au
transhumanisme et au posthumanisme
philosophique est la vision future de
nouvelles espèces intelligentes,
évolutions de l'humanité, qui la
complèteront ou la supplanteront. Le
transhumanisme met l'accent sur
l'aspect évolutionniste du phénomène,
envisageant la création d'un animal doté
d'une très grande intelligence grâce à
l'amélioration cognitive (c'est-à-dire grâce
à la provolution)[37], mais se raccroche à
un « futur posthumain », finalité d'une
évolution artificiellement perpétrée[48].
Buts …
Éthique …
Courants de pensées
Il y a une variété d'opinions au sein de la
pensée transhumaniste. Beaucoup des
principaux penseurs transhumanistes
ont des vues qui sont constamment
révisées et en développement[58].
Quelques courants distinctifs du
transhumanisme sont identifiés et listés
ici dans l'ordre alphabétique :
1. L'abolitionnisme[59][Quoi ?]
2. L'anarcho-transhumanisme [60]
(en)
3. Le transhumanisme démocratique,
synthèse de la social-démocratie et
du transhumanisme[61].
4. L'extropianisme.
5. L'immortalisme fondé sur l'idée que
l'immortalité est technologiquement
possible et désirable[62],[63]
6. Le postsexualisme, la recherche de
l'élimination volontaire du genre
dans l'espèce humaine par
l'application de biotechnologies et
de technologies de reproduction
assistée.
7. Le singularitarianisme fondé sur
l'idée qu'une singularité
technologique est possible et
souhaitable[53].
8. Le technogaïanisme , une
(en)
Spiritualité …
Pratique
Tandis que quelques transhumanistes
ont une approche abstraite et théorique
sur les bénéfices des techniques
émergentes, d'autres ont donné des
propositions précises pour des
modifications du corps humain, incluant
celles qui sont héréditaires [pas clair]. Les
transhumanistes s'intéressent souvent
aux méthodes d'amélioration du système
nerveux humain, bien que certains
proposent l'amélioration de la mémoire
et de certains potentiels [Lesquels ?] du
cerveau par un exocortex ou par la
modification du système nerveux
périphérique. Le cerveau étant considéré
comme le dénominateur commun de la
personnalité, il est donc l'objectif
principal des ambitions
transhumanistes[79].
En tant que partisans du développement
personnel et des modifications
corporelles, les transhumanistes tendent
à utiliser les techniques existantes qui
sont supposées améliorer les
performances cognitives et physiques,
tout en expérimentant des méthodes et
styles de vie destinés à améliorer la
santé et la longévité[80]. Quelques
transhumanistes d'âge avancé expriment
leur regret quant au fait qu'ils ne pourront
récolter les bénéfices des futures
techniques de leur vivant. Cependant,
beaucoup ont un grand intérêt pour les
stratégies d'extension de la vie, et pour le
financement de recherches sur la
cryonie, afin d'en faire une option viable
de dernier recours plutôt que de la laisser
comme méthode non éprouvée[81][Quoi ?].
Les communautés transhumanistes
régionales et internationales aux
objectifs divers ont créé des réseaux et
des forums pour discuter et mener des
projets en commun.
Approche technologique …
Approche politique …
Selon l'Association Française
Transhumaniste, il est naturel, donc
politiquement neutre, d'« accompagner et
encourager les innovations scientifiques
et techniques propices à l'accroissement
du potentiel physique et intellectuel de
l'homme »[89]. Aussi, le transhumanisme
n'est-il jugé ni prosélyte, ni militant. Pour
ses partisans, « les gens adhéreront
forcément au but dès que les techniques
seront là – certains, en quête de plus
"d'intelligence", d'autres d'échapper à la
maladie et/ou la mort. »[90]
Art et culture
La pensée et la recherche
transhumaniste s'écartent sensiblement
du grand public et défient souvent
directement les théories orthodoxes. La
notion même et la perspective [pas clair] de
mise en valeur de l'homme et les
questions connexes [Lesquelles ?] suscitent
également des controverses publiques.
Les critiques du transhumanisme et de
ses propositions prennent deux formes
principales : les objections visant la
probabilité de concrétisation des
objectifs transhumanistes (critiques
pratiques), et celles s'opposant à leurs
principes moraux sous-jacents ou à leur
vision mondialiste (critiques éthiques).
Toutefois, ces deux formes de critiques
convergent et se chevauchent parfois,
surtout lorsque l'on considère que la
biologie humaine commence à peine à
modifier notre vision de l'homme.
[précision nécessaire]
Des critiques ou des détracteurs
considèrent souvent les objectifs
transhumanistes comme « de véritables
menaces pour les valeurs humaines ».
Certains font également valoir que
l'insistance transhumaniste pour
l'amélioration de la condition humaine
pourrait détourner l'attention et les
ressources des solutions sociales. En
soutenant les changements
technologiques en faveur de la société, la
plupart des critiques contre les
transhumanistes vont cependant dans
leur sens quand ils attendent de la
technologie des progrès sociaux dans
des domaines tels que les
communications ou la santé. Leurs
critiques sont alors souvent une question
d'accent. [pas clair] Parfois, les désaccords
sont cependant importants au sujet des
principes implicites, avec des vues
divergentes sur l'humanité, la nature
humaine, et l'éthique des aspirations
transhumanistes. Au moins un
organisme d'intérêt public, l'organisation
nord-américaine Center for Genetics and
Society, a été formé, en 2001, avec
l'objectif de s'opposer au projet
transhumaniste de modifier
génétiquement les hommes, comme par
le clonage ou la technologie du choix
germinal [Quoi ?]. L'Institut sur la
biotechnologie et l'avenir de l'homme du
Chicago-Kent College of Law fait une
analyse critique des applications de la
génétique et des nanotechnologies à la
biologie humaine dans un cadre
universitaire.
Fiction policière …
Transhumanisme et
technique
Le transhumanisme s'inscrit dans une
optique explicitement technophile qui se
décline principalement dans le
mouvement New Age : toutes les
recherches sont encouragées, y compris
celles qui prêtent à controverse, par
exemple le génie génétique appliqué aux
humains ou le téléchargement de tout ou
partie d'un cerveau humain sur
ordinateur[97]. Considérant que les
avancées de la technique mènent à la
création d'une intelligence artificielle
dont les capacités peuvent dépasser
celles des humains, les transhumanistes
appellent de leurs vœux le remplacement
pur et simple de l'espèce humaine par
une nouvelle : le cyborg [réf. nécessaire].
C'est pourquoi le transhumanisme est
souvent appelé post-
humanisme [réf. nécessaire].
Lumières et racines
humanistes
Suivant l'influence politique,
philosophique et morale des Lumières,
en particulier du mouvement
utilitariste[101], le transhumanisme
cherche à construire [Quoi ?] à partir de la
base de connaissances globales, pour le
bien de l'ensemble de l'humanité.
En particulier, le transhumanisme
cherche à appliquer la raison, la science
et les techniques dans le but de lutter
contre la pauvreté, la maladie, le
handicap, la malnutrition et les
gouvernements dictatoriaux dans le
monde. De nombreux transhumanistes
vantent activement le potentiel qu'offrent
les techniques futures et les systèmes
sociaux innovants pour améliorer la
qualité de la vie, tout en permettant à la
réalité physique de la condition humaine
de satisfaire les promesses d'égalité
légale et politique en éliminant les
barrières congénitales mentales et
physiques. [pas clair]
Au-delà de l'humanisme …
Manifestes transhumanistes
La première déclaration transhumaniste
fut formulée par FM-2030 dans son
Upwingers Manifesto[102] en 1978,
comme une vue optimiste de l'avenir et
une référence à l'idée politique que ni la
gauche ni la droite n'apporteraient les
changements nécessaires à un avenir
positif.
Google et le
transhumanisme
Depuis quelques années, Google est
devenu l'un des principaux sponsors du
mouvement transhumaniste, notamment
par le soutien financier massif des
entreprises portant sur les
nanotechnologies, biotechnologies,
informatique et sciences cognitives
(NBIC), et par l'engagement au sein de
son équipe dirigeante, en décembre
2012, de Raymond Kurzweil, spécialiste
de l'intelligence artificielle[105], théoricien
du transhumanisme et cofondateur de la
Singularity University, par ailleurs
parrainée financièrement par Google,
prônant le concept de singularité
technologique, c'est-à-dire l'avènement
d'une intelligence artificielle qui
« dépassera » les capacités du cerveau
humain[106].
Critiques
Diverses sources de la communauté
scientifique ont classé certains éléments
du transhumanisme parmi les sciences
marginales[86],[110]. La notion de
développement humain et les sujets
connexes ont soulevé de nombreuses
controverses[111]. La critique du
transhumanisme a pris deux directions
distinctes : une critique pragmatique
concernant les objectifs de ce courant, et
une critique morale des principes du
transhumanisme.
« Jouer à Dieu » …
Les critiques faisant référence à l’idée
que les transhumanistes joueraient à
Dieu proviennent de sources diverses,
religieuses ou non.
Arguments du « mépris de la
chair » et « peur de la mort »
…
bonheur
Ségrégation génétique …
Guerre eugénique …
Certains critiques prédisent l'existence
de guerres eugéniques, le retour à une
discrimination génétique soutenue par
les gouvernements en violation des
Droits de l'Homme, incluant des
stérilisations obligatoires de personnes
avec des défauts génétiques,
l'euthanasie et la ségrégation raciale ou
le génocide de races jugées
inférieures[135]. George Annas et Lori
Andrews sont parmi les personnalités qui
souhaitent mettre en garde contre de
telles perspectives[136],[137].
Dans la fiction …
Transhumanisme et
Christianisme
Les dogmes …
Christianisme et transhumanisme
peuvent fusionner …
Notes et références
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années 1930, mais dans un sens
différent, comme une conception
unissant et fédérant diverses sortes
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21 février 2006) [PDF]
Annexes
Bibliographie …
Essais en français …
Articles connexes …
Liens externes …
Notices d'autorité :
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Notice dans un dictionnaire ou une
encyclopédie généraliste :
Encyclopædia Britannica
Ressource relative à la littérature :
The Encyclopedia of Science
(en)
Fiction
Qu’est ce que le transhumanisme? ,
Association transhumaniste mondiale.
Transhumanistes sans gêne , par
Frédérique Roussel et Marie Lechner,
Libération (écrans).
Qui sont les transhumanistes ? , par
Thibaut Dubarry et Jérémy Hornung,
Sens public.
Le Transhumanisme: fin de l'humanité ?
(Bernard Burel 21/02/2017 )
Dossier: Critique du Transhumanisme ,
recueil de textes pour la critique du
transhumanisme et autre avatars de
l'homme augmenté.
Pourquoi lutter pour une durée de vie
beaucoup plus longue ? , par Didier
Coeurnelle, Heales .
Modifier l’espèce humaine ou
l’environnement? Les transhumanistes
face à la crise écologique , par Gabriel
Dorthe et Johann A. R. Roduit,
Bioethica Forum 2014 (7):3.
Chaire Éthique et Transhumanisme ,
première chaire universitaire française
d'étude du transhumanisme (cliquez
sur l'onglet "Chaires de recherche").
L'article "Transhumanisme" de
l'Encyclopédie philosophique, rédigé
par Jean-Yves Goffi
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