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1 SUITE : GÉNÉRALITÉS

1 – Suites
1 Suite : généralités numériques.
1.1 Définition
I. Définition d’une suite numérique.
Définition 1 : Une suite (un ) est une fonction définie de N (ou une partie de
1) Définition.
N) dans R. À un rang donné n, on associe un nombre réel noté un .
Définition (un ) : N −→ R
Une suite numérique 𝑢 est une fonction de ℕ dans nℝ#−
définie
→ u à partir d’un certain rang 𝑛! .
n

Notations : On désigne
Remarque : la suite par (𝑢" ) ou encore 𝑢
𝑢" désigne l’image de l’entier 𝑢" par la fonction 𝑢, on peut aussi le noter 𝑢(𝑛)
• un est
On appelé le terme
dit que 𝑢 général de la suite (un ).
" est le terme de rang 𝑛 (ou d’indice 𝑛) de la suite.
• Noter la différence entre la suite dans son ensemble notée (un ) et le terme
général noté un
2) Deux• façons de définir une suite.
Si une suite est définie à partir du rang p, on peut noter (un )n! p

§ Par uneExemples
formule :explicite comme une fonction.

Par exemple,
• (unon) :peut
2 ; 5 ;parler
8 ; 11 de
; 14la; 17 ; . .(𝑢
suite ) définie
. "suite pour tout entier 𝑛 par : 𝑢" = 𝑛# − 3𝑛 + 2.
arithmétique
Pour calculer
• (vn𝑢)$!: ,3il; suffit
6 ; 12 juste de;remplacer
; 24 ; 48 𝑛 pargéométrique
96 ; . . . suite 10 : 𝑢$! =
On peut donc calculer directement chaque terme de la suite lorsqu’on connaît son indice.
Cette suite est
en fait un raccourci de la fonction 𝑓(𝑥) = 𝑥 # − 3𝑥 + 2, en effet, pour tout entier 𝑛, 𝑢" = 𝑓(𝑛).
1.2 Définir et programmer une suite
§ Par une
a) Onformule de récurrence.
peut définir une suite de façon explicite : un = f (n)
Dans ce cas une suite est définie par la1 donnée d’un ou de plusieurs
√ termes initiaux et la donnée d’une

u = n ∈ , v =
relation de récurrence permettant dencalculer chaque terme en fonction
n N n n − 3 n !du 3 (ou des) précédent(s).
Par
exemple,b)onOnpeut
peutconsidérer la suite
aussi définir une(𝑢suite
" ) définie par : récurrente
de façon 𝑢! = 4 et 𝑢à"%$un =ou0,75𝑢 " + 2.termes :
plusieurs
Pour calculer 𝑢$! , il faut auparavant calculer 𝑢$ , 𝑢# , ... et 𝑢& .
À un
C'est-à-dire•tous les terme
termes: qui
un+le1 = f (un )
précèdent... 
C'est pourProgramme
cela que ledeplus ) en langage
(unsouvent, on naturel
essaie de trouver
une formule explicite. Sauf que parfois il n'y en a pas...
!
u0 = 4 Entrées et initialisation Définir fonction suite(n)
Pour calculer 𝑢" , 𝑛 étant donné, on peut utiliser l’algorithme suivant
Lire n :
un+1 = 0, 75un + 2 U prend la valeur 4
4→u
Traitement Pour i variant de 1 à n faire
(un ) : 4 ; 5 ; 5,75 ; 6,3125 ; . . .
pour i variant de 1 à n faire U ⟵ 0,75U + 2
0, 75u + 2 → u Fin Pour
n 5 10 20 30
u 7,050 8 7,774 7 7,987 3 7,999 9 Renvoyer U
fin
(un ) semble croissante et converger vers 8 Sorties : Afficher u

Et en langage Python
Python ,:leunprogramme
programme estrécursif
le suivantpart
: de l’indice n puis descend progres-
sivement l’indice jusqu’au premier terme. Un programme itératif part de
l’indice du premier terme jusqu’à l’indice n.
! range(1 , n + 1) est l’ensemble des entiers naturels de 1 jusqu’à n

On obtient : n 5 10 20 30 def u ( n ) :
def u ( n ) :
U u=4
i f n==0:
f o r i in range ( 1 , n+1) :
t u r n 4 vers
La suite semble croissante etr econverger . u = 0 . 7 5 ∗ u+2
r e t u r n 0 . 7 5 ∗ u ( n − 1)+2
return u

Programme récursif
Programme itératif
II. Suites arithmétiques et géométriques.
1) Suites arithmétiques.

Définition
Dire que la suite (𝑢" ) est arithmétique de raison 𝑟 signifie que pour tout entier naturel 𝑛,
𝑢"%$ = 𝑢" + 𝑟.

Par exemple, la suite 2 ; 5 ; 8 ; 11 ; 14 ... est la suite arithmétique de 1er terme 2 et de raison 3.
Point méthode : comment montrer qu’une suite est arithmétique ?
Une suite (𝑢" ) est arithmétique si la différence entre deux termes consécutifs est constante.
Cette constante est alors la raison.
Soit la suite (𝑢" ) définie par 𝑢" = 4𝑛 − 1. Montrer que cette suite est arithmétique.

Propriétés
Si (𝑢" ) est une suite arithmétique de premier terme 𝑢! et de raison 𝑟 alors :
a) Pour tout 𝑛, 𝑢" = 𝑢! + 𝑛𝑟
b) Pour tous 𝑚 et 𝑝, 𝑢' = 𝑢( + (𝑚 − 𝑝)𝑟
!(!#$)
c) Pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 1, on a : 1 + 2 + 3 + ⋯ + 𝑛 =
&

2) Suites géométriques.

Définition
Dire que la suite (𝑢" ) est géométrique de raison 𝑞 signifie que pour tout entier naturel 𝑛,
𝑢"%$ = 𝑢" × 𝑞.

Par exemple, la suite 3 ; 6 ; 12 ; 24 ; 48... est la suite géométrique de 1er terme 3 et de raison 2.

Point méthode : comment montrer qu’une suite est géométrique ?


Une suite (𝑢" ) est géométrique si le quotient entre deux termes consécutifs est constant.
Cette constante est alors la raison.
Soit la suite (𝑢" ) définie par 𝑢! = 5 et 𝑢"%$ = 3𝑢" − 2. On pose 𝑣" = 𝑢" − 1, montrer que la suite
(𝑣" ) est géométrique.

Propriétés
Si (𝑢" ) est une suite géométrique de premier terme 𝑢! et de raison 𝑞 alors :
a) Pour tout 𝑛, 𝑢" = 𝑢! × 𝑞"
b) Pour tous 𝑚 et 𝑝, 𝑢' = 𝑢( × 𝑞')(
$'(!"#
c) Pour tout réel 𝑞 ≠ 1 et entier naturel 𝑛, on a : 1 + 𝑞 + 𝑞# + ⋯ + 𝑞" =
$'(
III. Monotonie d’une suite.
1) Suites croissantes et suites décroissantes.
Définition
(𝑢" ) est une suite de nombres réels, on dit que :
§ (𝑢" ) est croissante à partir du rang 𝑛! lorsque, pour tout entier 𝑛 ≥ 𝑛! , on a 𝑢" ≤ 𝑢"%$ .
§ (𝑢" ) est décroissante à partir du rang 𝑛! lorsque, pour tout entier 𝑛 ≥ 𝑛! , on a 𝑢" ≥ 𝑢"%$ .
§ (𝑢" ) est constante à partir du rang 𝑛! lorsque, pour tout entier 𝑛 ≥ 𝑛! , on a 𝑢" = 𝑢"%$ .
Une suite est dite monotone lorsqu'elle a toujours le même sens de variation, c'est-à-dire lorsqu'elle
est exclusivement croissante ou bien décroissante ou bien constante.

Remarques :
◆ Si dans la définition, on remplace ≤ (respect. ≥) par < (respect. >), on dira que la suite est strictement

croissante (respect. strictement décroissante).


"
◆ Il existe des suites qui ne sont ni croissantes, ni décroissantes comme la suite 𝑢 définie par 𝑢" = (−1) .

2) Techniques d'étude de la monotonie d’une suite.

✎ 1) On étudie le signe de 𝒖𝒏%𝟏 − 𝒖𝒏 :


"!
𝑢 est définie pour tout 𝑛 ∈ ℕ∗ par 𝑢" = #"

✎ 2) Si 𝒖 est à termes strictement positifs, on compare le quotient 𝒖𝒏%𝟏 /𝒖𝒏 avec 1 :


-"
𝑢 est définie pour tout 𝑛 ∈ ℕ∗ par 𝑢" = "

✎ 3) Si 𝒖𝒏 = 𝒇(𝒏) avec f définie sur un intervalle du type ]𝒂 ; +∞[, on étudie les variations de f :
#"! %$
𝑢 est définie pour tout 𝑛 ∈ ℕ∗ par 𝑢" = "! %.

✎ 4) Si 𝒖 est définie par récurrence, on peut utiliser un raisonnement par récurrence :


𝑢 est définie par 𝑢! = 12 et 𝑢"%$ = I𝑢" + 4
IV. Le raisonnement par récurrence.
1) Une idée simple.

On considère une file illimitée de dominos placés côte à


côte et espacés régulièrement. Alors, si le premier domino
tombe, et si Les dominos sont suffisamment proches pour
que si l’un des dominos 𝑑" tombe le suivant 𝑑"%$ tombe
également, on est assuré que tous les dominos de la file
tombent les uns après les autres.

2) Le raisonnement par récurrence.

Principe du raisonnement par récurrence


Soit P une propriété définie pour tout entier naturel 𝑛 supérieur ou égal à 𝑛! .
Si la propriété P vérifie les deux conditions suivantes :
☞ Première étape : P est vraie à partir d’un certain rang 𝑛! (la propriété est initialisée).
☞ Deuxième étape : Pour un entier naturel 𝑘 ≥ 𝑛! quelconque, P est vraie au rang 𝑘 entraine P est
vraie au rang 𝑘 + 1 (la propriété est héréditaire).
Alors : La propriété P est vraie pour tout entier naturel 𝑛 supérieur ou égal à 𝑛! .

Attention : Il faut veiller à ce que les deux conditions « initialisation » et « hérédité » soient vérifiées.
En effet si l’une des conditions n’est pas respectée, on arrive à une conclusion erronée.

3) Deux exemples.

§ Considérons la suite (𝑢" ) définie pour tout entier naturel 𝑛 par 𝑢! = 0 et 𝑢"%$ = 2𝑢" + 1.
Démontrer par récurrence que : ∀𝑛 ∈ ℕ, 𝑢" = 2" − 1.

§ On considère la suite (𝑢" ) définie pour tout entier naturel 𝑛 par 𝑢! = 12 et 𝑢"%$ = I𝑢" + 4.
Démontrer par récurrence que la suite (𝑢" ) est décroissante.

4) Inégalité de Bernoulli.

Théorème
Soit un nombre réel 𝑎 strictement positif.
On a alors : pour tout 𝑛 ∈ ℕ, (1 + 𝑎)" ≥ 1 + 𝑛𝑎

Démonstration au programme.
1 Suite : généralités
V. Limites d’une suite.
1.1 Définition
1) Limite infinie.
Définition 1 : Une suite (un ) est une fonction définie de N (ou une partie de
Définition
N) dans R. À un rang donné n, on associe un nombre réel noté un .
§ Une suite (𝑢" ) a pour limite +∞ si tout intervalle ouvert du type ]𝐴 ; +∞ [ (avec 𝐴 réel) contient
tous les termes de la suite à partir
(und’un
) : certain
N −→ rang.R
On note lim 𝑢" = +∞. n #−→ un
"→%0
§ Une suite (𝑢" ) a pour limite −∞ si tout intervalle ouvert du type ]−∞ ; 𝐴[ (avec 𝐴 réel) contient
tous les termes
Remarque : de la suite à partir d’un certain rang.
On note lim 𝑢" = −∞.
• un est appelé
"→%0 le terme général de la suite ( u n ).

• Noter la différence entre la suite dans son ensemble notée (un ) et le terme
Remarque : Dire
général qu'une
noté un suite a pour limite +∞ revient aussi à dire que son terme général
(𝑢" ) est aussi grand que l'on veut à partir d'un certain rang.
• Si une suite est définie à partir du rang p, on peut noter (un )n! p
Illustration graphique
Exemples : dans le cas où la limite est +∞ :
• (un ) : 2 ; 5 ; 8 ; 11 ; 14 ; 17 ; . . . suite arithmétique
Les termes de la suite deviennent aussi grand que l'on souhaite
• (vn ) : 3 ; 6 ; 12 ; 24 ; 48 ; 96 ; . . . suite géométrique
à partir d'un certain rang.

1.2 Définir et programmer une suitedit : pour tout 𝑛 ≥ 𝑛! , 𝑢" > 𝐴.


Autrement
a) On peut définir une suite de façon explicite : un = f (n)
1 √
un = n ∈ N ∗ , vn = n − 3 n ! 3
n
b) On peut aussi définir une suite de façon récurrente à un ou plusieurs termes :
Définir fonction seuil(A)
Algorithme
• Àdeun détermination
terme : un+1 d’un = f (seuil
un ) : N prend la valeur 0
Programme de (un ) en langage naturel
Il permet de déterminer ! un rang N à partir duquel une suite croissante U prend la valeur -2
u 0 =
de limite infinie est supérieure4 à un nombre réel donné A. Entrées et initialisation Tant que U ≤ A
Lire n 2 U ⟵ 4/3*U + 1
Par exemple, considérons 0, 75u
un+1la=suite 2
(𝑢"n)+définie par 𝑢! = −24et →𝑢u"%$ = - 𝑢" + 1. N⟵N+1
Cette suite (est
un croissante et admet
) : 4 ; 5 ; 5,75 ; 6,3125 pour
; . .limite
. +∞. Traitement
Fin Tant que
En appliquantncet algorithme avec A = 1000, on obtient en pour iNvariant
sortie = 25. de 1 à n faire
5 10 20 30 Renvoyer N
Cela signifie qu’à partir de 𝑢 , les termes de la suite dépassent 0, 75u + 2 → u
1000.
u 7,050 8 7,774 7 7,987 3 7,999 9
#.
fin
(un ) semble croissante et converger vers 8 Sorties : Afficher u

En langage Python
Python ,:cela donne :
un programme récursif part de l’indice n puis descend progres-
sivement l’indice jusqu’au premier terme. Un programme itératif part de
l’indice du premier terme jusqu’à l’indice n.
! range(1 , n + 1) est l’ensemble des entiers naturels de 1 jusqu’à n
2) Limite finie.
def u ( n ) :
def u ( n ) :
Définition u=4
i f n==0:
f o r i in range ( 1 , n+1) :
Une suite (𝑢" ) a pourr elimite 4 nombre réel ℓ si tout intervalle ouvert I contenant ℓ contient tous les
t u r n un
u = 0 . 7 5 ∗ u+2
r e t u r n 0 . 7 5 ∗ u ( n − 1)+2
termes de la suite à partir d’un certain rang. return u
Dans ce cas, on dit que la suite (𝑢" ) converge vers ℓ et on note lim 𝑢" = ℓ.
Programme récursif "→%0
Programme itératif

PAUL MILAN 2 TERMINALE MATHS SPÉ


Remarques : a) Une suite non convergente est appelée suite divergente.
b) Dire qu'une suite converge vers ℓ revient aussi à dire que son terme général 𝑢" est aussi
proche de ℓ que l'on veut à partir d'un certain rang.
c) Lorsqu’elle existe, la limite ℓ est unique.
d) Il existe des suites divergentes qui ne divergent pas vers l’infini, c’est le cas par exemple
de la suite 𝑢 définie pour tout 𝑛 par 𝑢" = (−1)" .

Illustration graphique :

Quel que soit la largeur de la bande horizontale choisie, il


existe un certain rang 𝑛! à partir duquel tous les points de la
représentation graphique de la suite sont situés dans cette
bande.

Autrement dit : pour tout 𝑛 ≥ 𝑛! , 𝑢" ∈ I.

3) Limites des suites usuelles.

Théorème
𝑙𝑖𝑚 𝑛 = +∞ 𝑙𝑖𝑚 𝑛# = +∞ 𝑙𝑖𝑚 𝑛- = +∞ 𝑙𝑖𝑚 √𝑛 = +∞
"→%0 "→%0 "→%0 "→%0
$ $ $ $
𝑙𝑖𝑚 =0 𝑙𝑖𝑚 =0 𝑙𝑖𝑚 =0 𝑙𝑖𝑚 =0
"→%0 " "→%0 "! "→%0 "# "→%0 √"
VI. Opérations sur les limites.
Les tableaux suivants permettent de donner la limite de la somme, du produit, du quotient de deux suites
lorsqu'on connaît leurs limites respectives. Seuls quatre cas représentent des formes indéterminées L.

1) Limite d’une somme.

lim 𝑢" = ℓ ℓ ℓ +∞ −∞ +∞
"→%0
lim 𝑣" = ℓ′ +∞ −∞ +∞ −∞ −∞
"→%0
lim (𝑢" + 𝑣" ) = ℓ + ℓ′ +∞ −∞ +∞ −∞ L
"→%0

2) Limite d’un produit.

lim 𝑢" = ℓ ℓ>0 ℓ<0 +∞ −∞ +∞ 0


"→%0
lim 𝑣" = ℓ′ +∞ −∞ +∞ −∞ +∞ −∞ −∞ +∞ ou −∞
"→%0
lim (𝑢" × 𝑣" ) = ℓ × ℓ′ +∞ −∞ −∞ +∞ +∞ +∞ −∞ L
"→%0

3) Limite d’un quotient.

lim 𝑢" = ℓ ℓ≠0 ℓ 0 −∞ +∞ ∞


"→%0
lim 𝑣" = 0 avec un signe
"→%0 ℓ′ ≠ 0 +∞ −∞ 0 ℓ′ ℓ′ ∞
constant
𝑢" ℓ
lim [ \= ∞ 0 0 L ∞ ∞ L
"→%0 𝑣" ℓ′

#
Exemples : a) lim ]𝑛# + √𝑛^ ? b) lim `3𝑛 + 5 + "a ?
"→%0 "→%0
$
$ -)
c) lim (𝑛# + 3) `1 + a ? d) lim √"
#)"#
?
"→%0 √" "→%0

Point méthode : comment lever une indétermination ?


! "
Les formes indéterminées sont au nombre de quatre : « +∞ − ∞ » ; « ∞ × 0 » ; « » et « », une
! "
étude particulière est nécessaire chaque fois que l’une de ces formes se présente. Il faudra alors essayer de
changer la forme de la suite ou utiliser d'autres propriétés sur les calculs de limites pour pouvoir conclure.
Déterminons les limites suivantes :
-"! %"
a) lim ]𝑛 − 2√𝑛^ b) lim c) lim ]√𝑛 + 2 − √𝑛^
"→%0 "→%0 "! )- "→%0

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