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CAS PRATIQUES

Œ- Mme D a été a été engagée en qualité d'employée de commerce à effet du 10 août 2010 dans un
supermarché.
Le 19 décembre 2019, son employeur lui demande de montrer le contenu de son sac et constate que
s’y trouvent des articles qui n’ont fait l’objet d’aucun passage en caisse, ce que confirme la salariée.
L’employeur lui annonce alors vouloir porter plainte. La salariée l’informe préférer démissionner
plutôt que de subir une telle honte et rédige immédiatement une reconnaissance de vol ainsi que sa
lettre de démission à effet immédiat qu'elle remet à son employeur ;
Le 24 décembre 2019 , elle rédige un courrier dans lequel elle conteste sa démission en invoquant
s'être trouvée contrainte par son employeur de démissionner sous la menace d'une plainte pour vol,
et l’envoi 3 jours plus tard.

 - Mr X, cadre dans une association est menacé par son employeur d’un licenciement pour faute
grave et de poursuites judiciaires notamment pour dissimulation de documents administratifs et
juridiques, faux et usages de faux.
Pour que sa carrière n’en souffre pas, son employeur lui propose alors de démissionner. Le salarié
s’exécute 5 jours plus tard en faisant parvenir son courrier de démission mais se rétracte 5 semaines
après.
Paul Emploi, jusque là directeur des ventes, s’est vu reprocher un manque de
motivation depuis quelques semaines et un défaut d’implication dans la nouvelle
politique commerciale de l’entreprise.
Pour ces raisons, la direction a décidé d’engager une procédure de licenciement qui
s’est déroulée ainsi : convocation à entretien préalable remise en main propre le 10
octobre, entretien le 12 octobre, envoi de la lettre de notification du licenciement
le lendemain 13 octobre.

Après avoir donné les caractéristiques du licenciement, donnez votre avis


Monsieur Jacques OUZI a été engagé le 02 novembre 2000 par la société AC en
qualité de comptable. Son employeur décide de le licencier pour faute grave
(malversation). Il lui fait parvenir une convocation le 04 octobre 2019 pour un
entretien préalable le 10 du même mois et lui notifie son licenciement le 15
octobre.

Soucieux d’avoir une gestion humaine de son personnel, il lui permet d’effectuer
son préavis en l’informant qu’il fera l’objet d’une surveillance plus stricte en raison
de la perte de confiance dont il est l’objet suite à la faute commise.

Monsieur OUZI conteste son licenciement. Qu’en pensez vous ?

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