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Analyse de 35 kilos d'espoir

Celles-ci ne sont pas de belles paroles venant d'un garçon de 13 ans. Cela sonne comme un appel
au secours, mais à qui?
Il y a seulement une enseignante qui le comprend. Toutes les autres enseignants sont incapables
de donner à Grégoire une aide concrète pour progresser à l'école. Ses parents sont trop occupés
avec eux-mêmes et ses camarades ne sont d'aucune aide. Seulement à la fin du livre les
camarades de classe deviennent une aide, quand Grégoire décide de prendre sa vie en mains.
Son grand-père Léon est le seul qui le comprenne vraiment et trouve toujours les bons mots. Le
fait que Grégoire est assis à l'école et n’apprend pas avec joie, ce n’est pas parce qu’il est bête.
Les enseignants n’ont pas de tact pour lui et les parents ne le laissent pas s’exprimer. Grégoire
montre que ça peut aussi aller différemment, comme avec son enseignante d’enfantine Marie. La
prouve que la motivation est une catégorie pédagogique de base, comme quand Grégoire
apprenait à lire lui-même, parce qu'il voulait construire quelque chose.
Si Grégoire pense à l'école, il ne se sent pas bien dès le lever et tout au long de la journée la
situation empire. Il perd cette angoisse quand il est de retour dans l'après-midi dans sa chambre et
peut bricoler. Il ne remplit pas complètement son cahier de devoirs, parce que sinon il y a toujours
des disputes, parce qu’il ne veut pas faire ses devoirs. Il fait rigoler la classe en jouant au clown
pendant l’éducation physique et comme ça il gagne la sympathie de ses camarades. En jouant le
clown, il s’est sérieusement blessé et il a été renvoyé de l’école. Il essaie de s’enfuir chez Léon.
Léon est un excellent bricoleur tout comme Grégoire, mais grand-père Léon était aussi premier de
la classe.
Comme Grégoire ne va plus à l'école, il montre sa capacité à la maison. Il construit un fer à repasser
et répare la tondeuse à gazon. Il se rend alors compte, qu’il peut réaliser ses idées d’inventeur, si il
a un niveau minimum de connaissances académiques. Il prend sa vie en mains et dépose une
candidature à un pensionnat qui est très loin de la maison. Dans sa lettre de candidature il parle de
sa détresse émotionnelle profonde. Il est accepté, mais Grégoire doit faire un test d'entrée. Son
grand-père est actuellement hospitalisé. Grégoire lui demande à plusieurs reprises de ne pas
mourir, parce qu'il a encore besoin de lui. Combien il a besoin de son grand-père est démontré
pendant le test d'entrée. Quand Grégoire ne sait plus quoi répondre, il entend de bons conseils de
son grand-père. Il réussit le test et pendant que son grand-père est dans le coma, il passe
beaucoup de temps dans le hangar de son grand-père.
Un jour lorsque le père de Grégoire accompagne son fils à l’école, il lui dit pour la première fois des
choses positives. Maintenant tout se passe bien à l’internat , cependant, Grégoire se fait beaucoup
de soucis, pour son grand-père Léon qui est toujours dans le coma.
Pendant l’ heure de sport Gregoire grimpe même à la corde, qu’il déteste, et veut donner sa force à
son grand-père. Dans la soirée, il prend souvent l'air frais pour en donner à son grand-père. Alors,
le jour quand Léon visite Grégoire pour lui montrer qu’il est en bonne santé, Grégoire éclate en
larmes de joie.

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