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Pour l’heure, ma famille constitue ma source d’inspiration principale
Elle blâme ceux qui profitent des richesses du pays après l’indépendance, alors que son peuple
souffre toujours de ses blessures
L’autobiographie est difficile car elle réside dans la narration de ses propres vécus, et qui vous laisse
sans protection, au publique, en face à toutes sortes d’agressions morales
Elle a choisi la réalité car elle dépasse la fiction, et la fiction est inspirée par le réel
Elle écrits pour se sentir mieux : « je ne suis que douleur. L’écriture me guérira peut-être » (p.14)
« Qu’a-t-on fait pour tout ce que l’enfant algérien a subi durant cette guerre ? »(p.13)
« Je reste convaincue que ceux qui écrivent s’inspirent de leur vécu… moi je le fait » (p.14)
Résumé :
Le tremblement de terre qui a dévasté en partie Boumerdes en 2003
C’est pendant l’hiver, avec le brouillard, il fait trop froids ce qui est triste pour la narratrice
Fatima c’est une personne qui se pend pour une victime du destin, et soumisedevant ses parent et
l’injustice elle est le contraire de la narratrice
Fatima elle prend le silence dand toute les situation, elle ne pleur meme pas, ses larmes ont taris
depuis belle lurette
Les femmes doivent se montrer patientes et ne jamais se plaindre devant son mari ou sa belle-famille
et refuse toute forme de colere
La mort de Dedda leur frere dans la guerre a bien marqué fatima et la narratrice, il n’avait pas de
tombe, car il ne l’on pas trouvé
Fatima exprime sa tristesse et son choque apres la mort de son cher frere qui est mort aussi jeune, et
il aimé vivre, a la pardu le scense de la vie, et elle n’attent rien de cette vie
La maman de la narratrice
Fatima : elle se revaille a 5h du matin, discrete, silencieuse, est maigre et fragile, viellie, un visage aux
traits émaciés ,au teint mat, qui porte les stigmates d’un passé tellement douloureux, des cheveux
blancs, avec une grande tristesse dans les yeux, timide
Passage :
« Je déteste entendre le bruit des pétards, cela me fait rappeler la période douloureuse qu’on a
vécue pendant la guerre d’Algérie »
Remarque :
La narratrice n’arrete pas de critiquer et de juger sa sœur Fatima
Lieu :
Mizrana, la maison
Ethnographie :
Mektoub, chahid