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Journal des débats politiques

et littéraires

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


. Journal des débats politiques et littéraires. 1842-12-09.

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<Sranae-BMtagme. sent qae croire au saccès qa'on leur avait si pompeu- tes maîtres et les nègres, pour préparer tes voies à un af- Le sieur Lemperenr,
cefui ne pouvant se méprendre sur tes
t<Mt(&'M,6~cem&re. sement promis Il a fallu, après de ruineuses expé- franchissement général. » intentions de qui l'attaquait ainsi, s'était reculé tout
rieaces, hausser son prix et aujourd'hui ces journaux à On écrit de Toulon, le 4 décembre: d'abord, et arme de son bâton il s'apprêtait à faire résts"
Consolides au i7 janvier, ouverts à 94
tacM;ferm6sà 941/8. i/8, coupon dé- 40 francs, après
être devenus
des journaux à 48 francs, a
x Hier, à huit heures du matin, eu !ieu dans le port tance; mais en un clin d'œil les quatre autres
l'exécutiondu jugement qui avait condamné le forçatà per- saisirent par derrière et le mirent dans l'impossibilité de
individus le
veulent à toute force qu'on leur permette de publier pétuité Gomare à la peine de mort, pour avoir porté plu- faire un mouvement. « Ne me faites pas de mal, leur dit4t
JFBAIWCE. des journaux supplémentaires à 24 francs. Ainsi, la sieurs coups de couteau et fait une blessure à un sous-ad- alors; vous ôtes cinq contre un, et la partie n'est pas sou-
PARIS.S DÉCEMBRE. pressé à 40 francs aspire à devenir par le fait !à presse judant des chiourmos. tenable. Prenez mon argent, ma montre, et allez vous faire
à 72 francs. Mais ce sont précisément tous ces calculs )) Dès sept heures du matin, ua fort
piquet d'artillerie et pendre ailleurs, x*
'Le journal ~a Fre~e a gagné son procès en première misérables, sans franchise et sans dignité, quidéconsi- d'infanterie do marine longeait le mur de l'hôpital du ba- Mais cette feinte résignation du sieur Lemperour cachait
instance. Nous ne savons pas encore si le ministère pu-
blic interjettera appe). Nous pensons cependant, et nous
a
dèrent la presse aux yeux du public; la rivalité dés gne, à l'angle duquel avait été dressé l'échafaud. Deux un piège auquel les malfaiteurs qni l'attaquaient se laissè-
pièces do canon chargées étaient placées à l'entrée du rent prendre, tl venait de se rappeler qu'à une distança
opinions on a vu se substituer la rivalité d'industrie,
ne faisons aucune difficulté de le dire, que la question et la lutte des prix au rabais à la lutte du talent. Voilà grand-rang. À huit heures, moins quelques minâtes, tous très rapprochée se trouvait un cabaret où il pourrait trou-,
les forçats ont été rangés le long du quai, à droite età ver des secours; au moment donc où les voleurs cessaient
est assez grave et que l'interprétation donnée à la loi ce que la presse devra, en réalité, à ces esprits plus gauche de l'instrument du supplice. Peu après a paru le de le serrer aussi près pour fouiller dans ses poches et
par le tribunal est .assez neuve pour qu'il y ait lieu d'a- brouillons qu'inventeurs, à ces faiseurs d'affaires qui patient, accompagné de M. l'aumônier du bagne, qui prendre violemment, sa montre, il s'ouvrit passage entre eux, en les
voir recours à tous les degrés de juridiction. Il s'agit ont transporté chez elle, depuis quelques années, leur avait passé la nuit auprès de lui. La confrérie des pénitensécartant et courut avac une teUe vitesse qu~it
d'une rduoMo~, comme t'avouent ceux mêmes qui pré- stérile et malfaisante activité. L'antipathie qu'ils Ttous gris entourait l'échafaud. A peine monté sur l'estrade, arriva dans le cabaret du sieur Bonnemain sans avoir été
tendent avoir trouvé cette révolution dans la toi nous inspirent est encore une des choses que nous n'avons Gomare a voulu parler; II voulait, assuro-t-on, manifes- rattrapé par eux.
ne demandons pas mieux que d'être reuoMionttatres jamais cachées. ter le repentir do son crime, et engager ses camarades à Au secours! a: !'atde.' s'écria le sieur Lemparear en se
comme ies autres; nous voudrions seulement être sûrs ne pas suivre son exemple; mais il a cédé aux sollicita- précipitant dan* la salle commune du marchand de vins;
qu'un jour un arrêt de la Cour royale ou de la Cour de tions des personnes qui l'entouraient, et s'est borné à dire puis il raconta les circonstances de l'attaque audacieusa
cassation ne renversera pas no<re ristM~ffM, aa nom
Les nouveUes de Barcelone que publie ce sair te gou- « Mes camarades, mes amis, adieu taII s'est ensuite livré dont il venait d'êtrel'objet. iui
vernement sont des plus graves. La ville est bombardée aux exécuteurs, et une seconde après il avait cessé de « Soyez tranquille, dit le cabaretier, vous ôtes ici en
de la loi plus sainement entendue. On se rappètte ce depuis ta matinée du 3. L'arrivée des deux vaisseaux vivre. » lieu de sûreté, et il faudrait que ces misérables rôdeurs
qui est arrivé au jugement de 1833 rendu, dans une de ligne anglais et les bruits quiSe Sont propagés dans On écrit de Clermont-Ferrand, le S décembre::` fussent bien oses pour venir vous relancer jusque dans ma
espèce tonte pareitte, en faveur dujournaHa Th6u!M le peuple sur la nature de leur mission paraissent de<(Ciermont, Los condamnés de Moulins, dans l'affaire des troubles demeure. »
qui prétendait aussi publier deux journaux, avecun avoir déterminé une explosion dans toute la Ca- de Jaude. Leurs ont subi aujourd'hui l'exposition sur la place II n'avait pas fini de prononcer ces mots, que la porte
seul gérant et un seal cautionnement un arrêt de la talogne et soulevé les populations jusqu'alors incer- grâce, défenseurs avaient présenté un recours en s'ouvrit violemment et livra passage à trois des cinq indi-
Cour royale le réforma. Il est aisé de voir, d'ailleurs, pour qu'ils fussent dispensés de cette seine, qui no vidus qui avaient assailli le marchand de bestiaux. Le mar-
en lisant avec quelque attention les motifs du juge- taines. Plusieurs villes se pronoccent de nouveau, pis- !eu" a~it pas été appliquée par la Cowr d'assises du Puy- chand de vins Bonaemain se jeta au-devant d'eux en leur
ment prononcé hier, que le tribunal a posé la ques- sieurs autres, qui étaient restées tranquilles, se lèvent à de-Dôme. On savait depuis quelques jours que ce recours disant de respecter son hôte, et en leur intimant l'injonc-
tion et ne l'a pas résolue. Sans aucun doute, c'est la leur tour en&n, des milices et des paysans armés mar- en grâce avait été rejeté. tion de sortir de son cabaret. Pour toute réponse les trois
chez lui la saisirent au
chent au secours de Barcelone. » Dès le matin, de bonne heure, les autorités avaient hommes qui venaient de pénétrer
m~me administration qui publie le journal ~a Presse devoir prendre, dans l'intérêt de la tranquillité pu- collet, l'entrainèrent sur la grand'route, et après l'avoir ac-
et qui publie ~~M~tMj'Md:c:'atM; c'est le même gé- En annonçant hier l'M~MMatMM impitoyable d'Espar- cru
tero et le cri de résistance qu'il faisait éclater tout à blique, de grandes précautions. Une force mititaire impo- cablé de mauvais traitemens, lui enlevèrent la montre d'6r
rant, c'est le même cautionnementqui répond pour l'un coup dans la ville, nous disions qu'il était impossible de sante occupait la place de Jaude et ses avenues. Des déta- dont il était porteur.
Cependant te
et pour l'autre. La questionavec ie même de savoir
est précisément chemens du 16' léger, qui avait eu à combàttre l'insurrec- sieur Lemporeur n'était pas demeuré té-
gérant et le rien présager sur ce qui pouvait arriver désormais. La tion de septembre, stationnaient sur d'fférens points do la moin impassible de cette scène de violences. Armé de son
si la même administration,
même cautionnement, a le droit de publier un nombre
iadéûni de journaux distincts par leur objet et par leur
prix, et cette question reste entière après le jugement
lable encore.
portée des événemens devient maintenant pins incalcu- ville. La préfecture, l'hôtel-de-ville, la place do la Po- bâton, il avait chargé vigoureusement les assaillans, et fai-
terne, la place Saint-Héeem étaient garnis de soldats. De sait ses efforts pour dégager de leur étreinte le sieur Bon-
Nous n'avons reçu aujourd'hui aucune lettre de Bar- nombreux pelotons du 16' campaient au milieu de la place nemain. Plusieurs personnes, cultivateurs et aubergistes du
do tribunal de première instance. celone. Voici les nouvelles que donne ce soir Afes- de Jaudo et entouraient l'échafaud, qu'on avait dressé voisinage, accoururent enfin au bruit de la lutté, et, se joi-
Perpignan, précisément en face de la maison démantelée de M. Con- gnant au sieur Lempereur, parvinrent à se rendre maîtres
Nous continuons, comme on voit, Mo<fe f~e M~dMM de sager
M~er chon, l'ancien maire de Clorn'ont, maintenant conseiller à des trois malfaiteurs qui, liés et garottés, furent entraînes
dë~nct'a~Mrs. Nous le continuons commenças l'avons «Perpignan,
d décémbrP,
4 décembre. la Cour royale de Riom. Un escadron de dragons était venu au corps de garde du camp des fortifications.
commencé, hautement, à la face du public, sans rou- <( Le 27, à Valence il y avait quelque agitation dans les occuper les abords de la place de Jaude, où figurait aussi Ces individus, qui ont été reconnus tous trois pour être
gir d'une intervention qui est la chose du monde la plus esprits. Terruel a formé une junte provisoire. A Uenarez, la gendarmerie départementale, convoquée à cet effet. des ouvriers congédiés des travaux de terrassement et do.
simple et la plus toyate car il n'est pas vrai que nous il ya eu âne insurrection rëpubli caine. » o Une foule assez nombreuse encombrait le voisinage de' mur d'enceinte, ont refusé de faire connaître leurs cwm-
réchsfaad, mais on était tenue à distance par la force ar- ptices, et, durant le trajet du lieu de l'attaque, au poste,
ayons mêle la politique à une affaire qui ne pouvait « Perpignan, 8 décembre.
mée. Les souvenirs lugubres de la guerre civile attristaient l'un d'eux a cherché à se débarrasser de !a montre volée
être que du ressort des tribunaux. Nous n'avons pas ? Des rapports de Perthuis de ce matin portent Le tous les esprits. en la jetant sur le pavé de la route, où elle a été retrouvée
demandé MK sefMce au ministère, et le ministère n'avait bombardement de Barcelone a commencé à onze heures du a Les condamnés, arrivés seulement ce matin de Mont- brisée.
pas de service à nous rendre nous n'avons demandé, Le peuple dit qa'avant da se brison, ont été conduitsà onze heures sur la place de Ces trois individus ont été mis à la disposition de M. te
matin, le 5. Le feu continue. français.
nous ne demandons encore à l'administration comme rendre il arborera le drapeau Jaude. Mestas gravit le premier les degrés do l'échafaud procureur du Roi. (GaxeMe <<M T'hSMHaM.e.)
aux tribunaux, qu'une décision notre rote s'estleborné » La Catalogne se soulève en masse et va au secours de ses compagnons d'infortune le suivent sans hésitation. Ils le comte Thadee MostowsM, ancien sénateur pa-
Barcelone. Les milices de Girone et de Figuères sont par- se laissent tous attacher au fatal poteau. D'un concert una- latin M. ministre
là. M. le ministre des finances te sait bien; M. mi- ties. L'arrivée des vaisseaux anglais a exaspéré les popu- nime, ils ont entonné le chant de fa JfarMiHotM. Leur voix vient et de l'intérieur du royaume de Pologne,
nistre de t'intérieur le sait également. Ce n'est pasà de mourir à sa maison de campagne de Billancottrt,
nous qu'il viendra jamais dans la pensée de soUiciter
lations.
nouvelles conBrmées conducteur ne s'est éteinte qu'après que s'est écoulée l'heure d'exposi- commune de Boulogne (route de Sèvres.)
a Ces sont par le de la tion. A midi, ils sont remontés dans la voiture cellulaire,
comme une faveur ce qui ne doit être qu'un acte de jus- diligence de Figuères qai a ente'ida sur toute la routo qui les conduit immédiatement à la maison centrale de priés Ses amis qui n'auraient pas reçu de billets de part sent
tice. Nous ne sommes pas-si spéculateurs que cela. le tocsin. Il vu la milice mouvement cris de regarder cet avis comme uns invitation au convoi,
sonner a en aux Fonrevrault. où ils doivent subir leur peine, à l'exception aura lieu samedi 10 de ce mois, à dix heures. On se
Nous laissons les affaires être ce qu'elles sont, des af- de Jt &<H ~par~ro .'a&tM <M ~~SM et c!M <e[ France.' x de Giraud d'Urtol, condamné à douze ans de travauxfor- qui réunira
à la maison mortuaire, à Billancourt.
faires. Avons-nous besoin, d'ajouter que nous aurions cés, qui doit être envoyé aw bagne de Toulon, » (Droit.)
La propriété du journal !e CoMmer FraKpaM a ëtë
encore bien moins eu le courage de demander M~ ser- Aujourd'hui S. A. R. M. !e duc de Nemours a passé une tribunal le –M. général Donnadieu a fait assigner, devant le
mise hier aux enchères publiques, sur la mise à prix de
ctce aux magistrats qui sontchargés de poursuivre tes revuede troupes au Champ-de-Mars. de 1~ instance M. Crétineau-Joty, rédacteur en 130,000 fr. M. Léon Faucher, rédacteur en chef de ce
délits ou à ceux qui tes jugent? L'avocat du journal la chef de !a Gaze~e du Dauphiné. Il prétend que M. Crétineau- journal,
L'ambassadeur de Turquie a présenté aujourd'hui au Joiy ayant annoncé dans le Journal ~e LUratrie, l'année a poussé l'enchère jusqu'à ITS.OOOfr. M. Théodore
Ffesse a fait hier lui-même une espèce d'amende hono- ayant offert 180,000 fr., a été déclaré adjudicataire.
rabte' pour ces calomnies qui ne retomberaient pas
Rei des Français les chevaxx envoyés en présent à S~ M. par dernière, la prochaine publication de ~'BMfotre la Boulé,
te vice-roi d'Egypte. En outre, les charges, qui consistent en abonnemens à ser-
CoHspiraMoK D!<Mer et de quatre-wingt trois lettres auto- vir par le nouveau propriétaire, s'élèvent à
moins sur la justice que sur nous et, quoiqu'on les Par ordonnance royale du 39 novembre, M. de Coë)s, graphes, écrites par an ministre de cette époque à un 26,000 fr. une somme de
repète aujourd'hui, nous continuerons, pour notre maréchal-des-logis au 1" rég!ment de chasseurs d'Afrique, agent provocateur dans le Dauphiné, a pris en outre en-
compte, à n'y opposer que le mépris. Le publie verra a été nommé chevalier de la Légion-d'Honneur. vers lui, le général Donadieu, l'engagement de faire pa- Demain vendredi 9, l'Opéra donnera la 150 repré-
aisémentqui voudrait donner l'apparence d'une 'ques- Par une ordonnance royale, rendue le 23 novembre, naître sa
raitre cette correspondance comme propre à faire con- sentation de !a JMtM.chantée par Duprez et M"" Méquutet.
tion politique à une, simple question de spéculation et M. Lenormand de Korgrist, capitaine de vaisseau de
conduite dans le Dauphiné en 1816. M. Crétinoau-
d'affaire, et cacher *M~ tH(erë< de 6oM(t~ue sous le mas- 1" classe, a été admis à faire valoir ses droits & la retraite, Joty à soutient de son côté que nul n'a droit de le contraindre
faire imprimer t'Bt~otre de <a CoMptrattOH <!e CreHo6!e, et ACADEMÏE FRAMÇAÏSE.
que de l'intérêt générât. pour ancienneté de services.
~ous,nous n'avons rien à cacher. Comme nous avons autre que lui seul est juge de l'opportunité de la publication.
Par urne ordonnance du Ro!, en date du ~S no- La cause a été appelée ce matin devant la première
dit teuLce que nousavions fait, nous pouvons dire tout vembre, ont été nommés dans le corps royal de la marine, chambre, présidée par M. Thomassy. M. Crétineau-Joly no RECEPTION DE M. PASQMER.
ce que nnas pensons. Oui, nous demeurons convain- savoir: s'est point fait représenter par un avoué. Me Jules Favre a
cus, après comme avant le jugement du tribunal de Au grade de capitaine de vaisseau M. Penaud, capitaine demandé défaut, et obtenu la remise à huitaine pour ex- Ce sont assurément des réunions pleines d'intérêt que
première instance, que le journal fa Presse publie deux de corvette. ` poser les motifs de la demande. celles auxquelles l'Académie Française convoque le pu-
journaux parfaitement distincts, un journal politique et Au grade de capitaine de corvette. A l'ancienneté Un riche marchand de bestiaux d'Auberviiïiers, le blic, lorsque mété la voix d'an homme, long-temps et ho-
un journal judiciaire, ~premier à 48 francs, le second à M. Ritt, lieutenant de vaisseau. sieur LemMreur, venait de quitter Paris avant-hier, lundi, norablement aux grandes affaires, tel que M. Pas-
Au choix M. Bouet, lieutenant de vaisseau (trandjean vers dix heures quier, vient y prononcer le panégyrique d'un prédéces-
24 francs; nous demeuronsconvaincus que cette douMe du soir, pour retourner à son domicile
publication, avec un seul gérant et un seul cautionne- de Fouchy, lieutenant de vaisseau. porteur d'une assez forte somme d'argent; la soirée était seur tel que M. d'Hermopohs. Personne n'a pu s'étonner
Au grade de lieutenant de vaisseau. A l'ancienneté froide brumeuse et l'atmosphère tellement chargée de de reconnaître, dans l'enceinte de l'Institut, la plupart
ment, renverse tes principes dé la loi, détruit les ga- MM. Pujol, enseigne de vaisseau; Saurin, enseigne de vais- brouillards, qu'à peine pouvait-on voir à quelques pas de- des noms aujourd'hui célèbres dans la politique, la
ranties de la société, opère en un mot, une véritable seau Parent-Dumoiron, enseigne de vaisseau. vant craignant quelque mauvaise ren- science et les lettres. On remarquait M. Royer-CoI-
révolution dans la presse. Nous demeurons convaincus, Au choix M. Fisqaot, enseigne de vaisseau. soi. Le marchand, y
contre, avançait rapidement dans l'avenue de Saint-Ouenj, lard, M. Guizet, M. Duchâtet, M. ViUemain, le maré-
d'aitteurs, qae la législation sur la presse, telte qu'on On lit dans le SMH du 6 décembre iorsque tout à coup les pas pressés de plusieurs individus
l'avaitentendueet appliquée regret est bonne et sage,
vitjusqu'ici, chal Sébasfiani, M. Victor Hugo, M. Thiers, M. Mole,
« Nous recevons de Nassau (ile Bahama) une lettre qui qui marchaient derrière lui se nrent entendre. Inquiet, non
et nous verriens avec un qu'on laissât l'es- répand quelque lumière sur t'arrestatJiondoM.Turnbull qu'il eût peur, car sa force corporelle et sa résolution le M. deBarante, M. Dupin, M. le comte Philippe de Sé-
ptit industriei, avec ses ruses et ses inventions peu par les autorités de Cuba, dont nous avons parlé récem- ressuraient contre une attaque individuelle, et ne pouvaient gar, M. Cousin, M. le duc Decazes, M. le comte Appony,
scrupuleuses, se moquer de cette législation et la ré- ment. M. Turnball avait reçu du gouvernement britan- lui laisser redouter qu'un gaet-apens, il se retourna. En ce M. le duc de Grammont, M. le prince de Poix, lenence
duire à rien. Nous le verrions avec regret, moins pour nique la mission d'aller réclamer dans l'ite de Cuba plu- moment, il se vit environné de cinq individus, dont un, fei- du Pape, le général Cotetti, le duc de Castries, M. de
nos intérêts positifs que pour l'honneur même et pour sieurs sujets de S. M. qui sont employés comme esctaves gnant l'ivresse, se raa ser lui en lui disant, après l'avoir Rambuteaa, M. Gabriel Detessert, M. le comte Portatis,
dans diverses plantations. Les autorités de l'tte ont profité heurté de manière à le renverser sur un des bas côtés de la M. Barthe, etc., etc. Le discours du récipiendaire, écrit
l'importance morate de la presse. L'épreuve la plus dif- de certains termes ambigus contenus dans les instructions route, s'il eût été moins attentif et moins vigoureux « Je
ficile est passée. La questien des journaax à 40 francs données à M. Turnbull, peur le faire arrêter, sous prétexte te reconnais, mon coquintu m'as volé ma casquette il dénué avec une simplicité et une netteté heureuse, spirituelle,
est jagée, et leurs premiers actionnaires savent à pré- qu'il avait le projet de s'immiscer dans les relations entre faut me la rendre, ou dire pourquoi.)*b de prétentien,a Justine, par des qualités très

FenNetoB dn Jfommat des débats j I


se dévawait corps et âme à ce qui souffrait; mais n'y son-
geait plus, <c d<M toMrne, comme on dit vulgairement.
ronspassesamaaa. l'avenic prouvera si l'on doit consi-
dérer les propos de M"' Pipelet, au sujet des voisins de h
bottines da casimir noir à semelle un poa épaisse, rappelait v
t'allure alerte, coquette et discrète de la caille ou de
bergeronette. EUe ne semblait pas marcher, elte efBeurait
ta
Souvent elle s'interrompait de rire aux éclats pour pleu- ~risette, commères calomnies ou des indiscrétions.) Ri-
rer sincèrement, et elle s'interrompait de pleurer pour rire golette, disons-nous, ne choisissait ses amoureux que dans le pave et!e glissait rapidement à sa sarface.
encore. sa classe, c'est-à-dire no choisissait que ses voisins. et Cette démarche particulière aux grisettes.àla foie agile,
agaçante et tégèrement effarouchée,doit être sMs doute at-
LES MYSTERES DE PAMS. (1) En véritable enfant de Paris Rigolette préférait l'étoar-
dissement au calme, le mouvement au repos l'âpre et re-
cette égalité devant le toy<r était loin d'être chimérique.
Un opulent et célèbre artiste, un moderne RapAa~ dont tribuée & trois causes
tentissante harmonie de l'orchestre des bals de la Char- Cabrion était !e JM~ RoMat'M, avait vu un portrait de Ri- A leur désir d'être trouvées jolies
( FbuM tes N<" des 23, 34, 38, 26, 50 novembre, A leur crainte d'une admiration traduite. par nae pan-
l"2,5,4et8deeembre.) <reMM ou du Ca~ee au doux murmure du vent, des eaux golette, qui, dans cette e<M~e d'après nature, n'était aucu-
nement nattée: Frappé des traits charmans de la jeune Ëtie, tomime trop expressive;
CHAPÏTREX!.
et du feuillage.
Le tnmulte assourdissant des carrefours de Paris à la se- le maître soutint à son élève qu'il avait poétisé, idéalisé son Au désir qu'elles ont toujoars de perdre le moins de
Htade des champs. modèle; Cabrion, fier de sa jolie voisine, proposa à son temps possible dans leurs pérégrinations. °
de la lui faire voir comme objet d'ar<, un dimanche Rodolphe n'avait encore vu Rigolette qu'au sombre jour
_]R<~]te«e. L'ëMouissement des feux d'artiSces, le Camboiement da maitre l'Hermitage. Le RapAaeï, charmé de cette ra- de la mansarde des Moret ou sur un palier non moins obs-
6oM~Me<, le fracas des bombes, à la sérénité d'une belle au bal de cur il fut donc ébloui de l'éclatante fraîcheur de la jeuM
Rigolette était à pen près da mém< âge qae. !a Goaa-
lease, son ancienne amie de prisen. nuit pleine d'étoiles, d'ombre et de silence. vissante Sgure, fit tous ses efforts pour supplanter son Jt<<M
Fto<Ka:H. Les offres les plus séduisantes, tes plus splendides,
Hélas oui,la bonne fille préfet ait franchement la boue tandis
ntte lorsqu'il entra doucement dans une chambre éclairée par
furent faites à la grisette: elle les refusa héroïquement, deux larges croisées. H resta un moment immobile,frappé dw
ï! y ~vait entre ces deux jeunes aUes !a diffërenee qn'U noire des rues de la eapt<a!e au verdoiement des prés fleuris, que le dimanche, sans façon et sans scrupule, e!ie gracieux tableau qu'it avait sous les yeux.
yteatr€ier!reet!es!armes; ses pavés fangeux ou brûlans à la mousse fraîche et velou- acceptait d'un vaisin un modeste <itner au jNen<Hett (cabaret Debout devant âne g!ace placée au dessag de sa che-
Entre i'insouctatcejoyenso et ta rêverie më!anca!ique
aae sombre, tée dès sentiers des bois parfumés de violettes; la poas- renommé du du Temple) et âne place de ga- minée, Rigolette Naissait de nouer sous son menton les
Eatrel'imprëToyaaceIaptasandacienseet sière suffocante des barrières en des boulevards au ba- lerie & !a Gat<eboulevard brides de rubans d'un petit bonnet de talle brodé, ern<
ou à !MM~«. compromettantes,
mM incessante prëoccupation de l'avenir; lancement des épis d'or, émaillés de l'écarlate des pavots De telles intimités étaient fort et pou- d'une légère garniture piquée do faveurs cerises ce banaet
Entre âne natwre déUcate, exqnise, ë'evëe, peëtique, sauvages et de l'azur des Muets. vaient faire singulièrement soupçonner la vertu de Rigo- très étroit de passe, posé <rès en arrière, laissait biea& à
doatMMnsement sensible, incurabiement Messéa par le re< Rigclette ne quittait sa chambre qae le dimanche, et le tette. découvert deux larges et épais bandeaux de chaveux lisses
morts. et une nature ga!e, vive, heureuse, mobHe, pro- matin de chaque jour, paur faire sa provision de moMfon, de Sans nous expliquer encore à ce sujet, nous ferons re- brillans comme du jai, tembans très bas sur )e front ses
8tUtqne,irrëf!<chie, quoique bonne et cempatissante.
toin d'être égoïste, Rigotette n'avait de chagrins qae
Car,des
jMtH, !<K< et <~ c~HeM< pour e!~ et ses ~M.c 8MMMa?, marquer qu'il est dans certaines délicatesses relatives des
comme disait M' Pipelet; mais elle vivait à Paris pour secrets et des aMmes impénétrables.
sourcils Qns déliés, semblaient tracésà l'encre et s'arron-
dissaient au dessus de deux grands yeux noirs ëveiitét
matins; ses joues fermes et pleines, se veleataient du plu*
et
ceax antres eMe y sympathisait de toutes ses forces, Paris. EMe eût été an désespoir d'habiter ailleurs qae dans Quelques mots de la Sgure de la grisette, et nous intro-
là captée. duirons Rodolphe dans la chambre de sa voisine. frais incarnat, frais& !a vue, frais au toucher comme une
Autre anomalie Maigre ce goût des plaisirs parisiens, Rigolette avait dix-huit ans à peine, une taitte moyenne, pêche vermeHIe imprégnée de la froide rosée dn matin.)
(l) M'reMMncBoB des N~<<erM d'e faWs est formenement petite même, mais si gracieusement tournée, si Snement
malgré la liberté, ou plutôt l'abandon où elle se trouvait, cambrée, Son petit nez relevé, espiègle, effronté, eût fait la fortune
ttterdKe.e~ laJPïHMttREPARTfE.danstes Naméros des étant seule au monde. malgré l'économie fabuleuse qu'H si voluptueusement arrondie. mais qui répon- d'une Lisette ou d'une Marton, sa bouche un peN grande,
<9, M,29, 35, !4,9S, 26, 20 et99jnin, des 3, 3, 5, 6, 7. 8, lui fallait mettre dans ses moindres dépenses pour vivre avec dait si bien à sa démarche & la fois leste et furtive, qu'elte aux lèvres bien rosés, bien humides, aux pétées dentt
6,et7,158.JotUet.
16. i2
des 9, 10,1S.~OM:
14,1S. 21, M,23,
)a 1DEUXtÈME PART!E et38tesseptembre.
25,97dans NumÈros environ trente sous par jour, malgré la plus piquante, la paraissait accomplie an pouce de plusj lui eût fait beau- Manches, serrées, perlées, était rieas* etmôqueasa;de
ta TROtSt&HE PARTIE dans les Numéros des plus espiègle,
jamais Rigolettela plus adorable petite aguro du monde, coup perdre do son gracieux ensemble le Taouvement de trois charmantes fossettes qui donnaient une grâce mutine
!'OMM l", 3, 4, à sa physionomie, deux se creusaient aux joaea, t'aatre
t, 8, a. te, ii, t5,16 et 17 novembre. ne choisissait ses amoureax. (Noas ne di- ses petits pieds, toajoars irreprochaMememt chausse* ae
reeUM, cet empressement auquel on devait s'attendre. t'& rejoint dans an antre mmde. C'étaitM. l'abba Boyer~ d<mt ja
lui-même
Nt. pasqmer a parlé de avec modestie et di- medesue n'a Jamais voulu francMr tes bornes de l'enceinte sa source;tifaMait ne pas craindre de demander du secours i~ entre Napoléon et te Saint-Siège, reprises
gmte, de son prédécesseur avec convenance et sest, avec tant da sacces, consacré de

l'ensetKue- il où les prétendus sages aCoetaientencare de ne reconna!treau- en~S22, !es conférences de SaInt-Sulptce en
Frayssinous ont
1814et termtoees
été rénnies.' par
aux travaux profonde retraite droit,
grâce; tl a surtout fait ressortir, et tout le mondeavec ment ecclésiastique. Dans cet asile, dans
toi et dans la société d'un têt ami, tescaractère cette du jeuneprêtre
cun de ne rien apercevoir qai fût
'ime. Mais comment donner le signât de ce retour si nécessaire
digne de la moindre es- .M. lai-même, en un corps d'ouvrage, sons Je tttre
parfaitement convenable de défense du christianisme. Qui pou-
M ~sa gré. ce progrès admirable de nos mœurs, qui, durent prendre natureliemeEt )e méditations qui s'estdepuisma- dans des vaies trop iong- temps désertées, et par où commencer? vait avoir, mieux qaa lui,le droit do mettre son nom à ta suite'
ete~nantimjustice des haines politiques et leurs san- nnesté dans~cas ies actes de sa vie. Quel temps en'et, et queMe Lorsqu'il s'agissait de ramener tes espritsâ i'examen do ce qu'ifs d'un :ei titre ?
glantes vengeances, permet à tous les généreux mattëre n'o-t&ait-it pas aux réfiexions d'un espritenqaj~tait encere avaient si cosnptétement méconnu, lorsqu'on voûtaitleur inspirer )) Qaet qao soit te mérite de cet ouvrage, H no faudrait pas
sou- capable do le considérer d'an œil ferme et de la juger avec tente te désir et même te besoin de discuter comme chose sérieuse ce toutefois
yemrs et à tous les sentimens honorables de se faire qu'ils s'étaient accoutcmés à ne regarder qoe comme chose pue- qu'elles ont se laisser aller à croire qu'il rende les conférences telles
ta
jour dans la limite des intérêts communs,pourvu que jours la p)éni'ude de sa ra'son H était impossiMe que la férocité ton'
de tant de scènesà jamais déplorables et répé-
rile et rMicuto, qui pourrait ne pas voir à que! point ii devenait ta crainte d'être été prononcées.ïl en donne bien ta substance: mais
leng s'y laisse un peu trop apercevoir, et surtout
marche paisible de la civilisation ne soit pas entra- tées encroissante
tant de lieux, aanom d'une liberté qu'elles déshocoraient, nécessaire de réveiller d'abord le précieux souvenir des grandes
actions opérées ~t des chefs-d'oeuvre enfantés durant tant de! on ce retrouve pas s"msamment dans ce nouveau texte la trace
vée au troublée. L'éloge du prince qui nous ne sou!evât pas dans les âmes indignées des ressenttmeos qui sièetespar les hommes animés de cette foi sur laquelle tant do morceaux des mouvemens si sçimes qui jaillissaient habituellement des
et quL représente si bien le besoin de l'ordre, gouverne 'ratent enfantant ch.ique jour de nouvetles calamités. Contre de
à tels maux, contre un tel danger, aucun secours ne' pouvait être mépris avait été si foliementjeté?Nefanait-il pas surtout, en re- tant de puissance. improvises, et qui agissaient sur tes auditeurs avec
ne se résout pas sans quelque regret A
ta noble mdulgence pour les opinions sincèresassocié
et pour pius euicacement invoque que ceiui do la religioa oppresseurs et
mettant ea lumière tant do secours portés à tous tes genres d'in- cette consciencieuseOn
fortunes par les ministres de cette rehgion si dédaignée, tant de accompi!, et quand observation; mais quand te devoir en est
iesjrecennatssans souvenirs, s'est placé naturellement opprimés. e)!o parlerait à tous au mémo titre, avec même auto-. services rendas en son nom à l'humanité souffrante dans tous tes l'immensité dos objets, on examine ensuite la grandeur et même
à côté du récit touchant et habi'e des derniers ntA; aveem&me conte. Nedevait-eUe pas toujours en enet cette âges, dans toutes les parties du monde, faire rougir deteur in- a dû eatror dans recuci!. l'esprit est saisi à )a vue de font ce qut
momers re!)gfon do paix se montrer patiente et miséricordieuse ? Ne de- ce oùta sagedistribution~es matières
de M. de Frayssinous. M. Mignet, dont la réponse gratitude ceux qui avaient été capables d'en perdre la mémoire? a donné à M. Frayssinous ie moyen de ne négliger aucune de
M. Pasquter a partagé les honneurs et le succès de laà les égaréspas
yatt-eUe toujours tendre la main faiNes, courir après
et tenter de ramener mêmeaux les pius coupaNes ne ') L'entreprise avait de quoi tenter tous -ies hommes de 'cœur celles qui se rattachaient au vaste plan qu'il avait conçu, ou
séance, a très bien fait remarquer, cette limpidité von)a:t-eife pas surtout que rien ne fut épargné pour préserver
et de talent; mais le tableau où elle se montrerait d~ns toute M pas âne des ditUcultés qui se rencontraientsar ses pas n'est éla-
« les cœars dont t'ianocence n'était grandeur ne pouvait être tracé que par la main d'un ma!tre, Fart dée, où les relies de la fol sent établies sur leur plus soMo~ 'i
heureuse et délicate de ton, qui ne laisse soupçonner point encore pervertie? y devait épuiser tontes ses ressources; et pour le rendre digne base, où!e dogme est tocjeurs expose et discuté avec une Inn~
aucune réticence, » et dont le discours du récipien- aussitôtpeu Ce de mots doit suNre pour indiquer la voie qui s'ourit do sa glorieuse destination, ce ne sera pas de trop de toutes !es neuse franchise, où pas un précepte n'est omis de ceux qui sont
à la pensée de M. Frayssinous. et ou la soHdito de richesses d'une éloquence Inspirée par t'fmagiaatioa ta p!us fé- '6 fondement do la morale la pins pure, où la religion ecun est
aau'e donnait un exempte frappant. La parole de M: Mi. esprit.oùtes tumiëresdesa conscience n'ont jamais cesséson
gnet a rarement eu plus de force, de précision et d'é- l'affermir. de conde et ta plus poétique. toujours montrée d'accord avec les plus hautes intelligences, et
1 ? Un livre parut en i80t, et ce t!vre était l'ouvrage d'un hemiree venant su secours des plus faibles; rien n'y est omis, rien n'y
clat que dans cette circonstance. Il a commencé
par
)) Lorsque le terme fat enfin venu de l'époquesociété
dansiaterriNe !a plus -vioiente que terre étrangère venait cafta de rendre à sa patrie riche <;e est négligé tes erreurs les pins accréditées celles dont la con-y
ta
présenter l'Académie Française comme la réguiatrice tout entière,ium fat permis crise où M voyait engagée la française
de se consacrer aux modestes fonc- tous les dons qui viennest d'être indiqués, et jeune encore, il rap- j futées
portait avec !ni te trésor inépuisable dos sensations vivM, ~es ré-
le
tagion serait plus à craindre, y sont toutes combattues et ré-
les questions tes ptusardaes, celles qui ont constam-
ces convenances sociales et des variations du langage, nons d'un vicariat dans la commune qu'il habitait son séjour n'y flexions jastes, solides et profondes dont )t s'était pénétré, dont ment préoccupé les sages de tontes les époques, ceux mêtae de
comme le rendez-vous naturel des intelligences êprou-' mt pas de courte durée, huit années de sa vie s'ysont écoutées it s'était nourri dans le cours d'une vie déjà tant éprouvée, et qui l'antiquité,y sont ramenées a leur terme le plus simple, et la
vées dans toutes sphères supérieures. Après avoir ca- et 'i faudrait pas se plaindre de la longueur d'une retraite
aassi ne car elto a été très favorable aux études qai jt'oai
tontes t'avaient conduit à la coatempiation !a plus sérieuse des solstion en est toujours cherchée dans ces principes d'éternelle
ractense, avec unesagacité ingénieuse, les deux car- s! bienprofonde hautes vérités que peut-être les forêts de l'Amérique enseignent rai'on, d'éternelle justice, quête christianisme a fait triompher.
S~
jM. Mignet a terminé son discours
préparé à la mission qn'ii devait incessamment rempiir
hommes d'Etat dont il avait a s'occuper, On croit que te plan de ses conférences fut, dès cette épooue
rêté dans son esprit.
ar- f-'
mieux encore que ne te peuvent faire les plus doctes entretiens dans le monde.
dans tes cités tes pins populeuses et tes pins ftorissantea. » Usez sur le libre arbitre ce chapitre qce M. Frayssinons ne
°`

une défense élo- ? Son nom,fort connu entre tant d'autres que ta révolution craint pas de terminer par une belle citation de Jeaa-Jacques,i
quente des intérêts et des progrèspar Rappelé dans la capitale pour concourir, en <88J avec les
intellectuels. Nous prêtres du séminaire de Saiat-Sutpice avait chassés devant eHo surgissait a peine dans le monde iitté- de cet écrivain trop célèbre, pour me servir de son expression,
tonnerons demain cette réponse. Voici le discours de qut se réorganisait au sein des études th6o!ogiques à l'instruction supérieure raire, et c'était lui cependant qui était appelé, qai était envoyé et vous y verrez comment, après avoir fait justice du désolas
M. Fraysst- pour donner ce signât que Je demandais ii n'y a qu'un m<)jtnent. système du fatalisme, après avoir montré a que! point la dignité
M. Pasquter, dont le lecteur appréciera aisément la nous y arriva dans des circonstances qui ressemblaient à Il a!tait se jeter au plus fort d'uuo mëiéo où sa présence inatten- de l'homme est agrandie par la faculté que lut a laissée son créa-
celtes où il s'était vu obligé d'en sortir. Le pouvoir était peu
haute valeur littéraire, le mérite historique et le bon redevenu enfin due aurait apparemment quelqao chose de provtdentie!, où ses teur de choisir librement entre le bien et le mal, il arrive à cette
goûtparfatt: protecteur, et it offrait un abrt a tous ceux qui consea- armes, quetqae paissantes qu'elles fassent, auraient besoin d'âne sotennelte déclaration que la liberté est un des attributs do la
ta<ent à le reconnattre, a se ranger sous sa loi. Un besoin de protection, d'âne jnspiratien venues de bien haut, et qut ne lui nature humaine mais cette vérité si féconde n'ôtaït-ca pas la
«Messieurs, cmcatton générale avait pénétré dans !e plus grand nombrepa- des ont point été refusées. Vous voyez bien, Messieurs, qoe Je veux religion chrétienne qui l'avait seule enseignée au monde,qat
esprits; mats les moyens pour y parvenir laissaient encore beau- carter de fauteur du Génie du c/irM<<t?nsHM.Entre tant de beaux seule en avait fait jailtir les conséquences au profit de tous les
à
m.
~?~
B Presto dix mois se sont écoulés depuis !e jocr où vos suf- coup désirer. livres dont l'esprit hamain s'enorgneijML, et qai ont eu te mérite hommes sans exceptionT Qu'elle est donc grande et belle ta mis-
~ges m'ont appelé âl'honaenr de prendre place an seia de cstte pour le ".no.
)) uansdéveloppement
cette
"~u,, France, de
ou
..v. i"n
la
toat
forceétatt
xn":n si admirablement disposé et le benheur de venir dans tes temps qui leur étaient tes plus sion de l'orateur chrétien! tl ne parle pas en faveur de quelques
compapie et ce long retard des armes et de la puissance propiees, en connait-oa beaucoup, à aucune époque, en aucuneuns feulement, if prend en main la cause de la race humaine
dans l'usage d'un droit aussi
préoeux me fait éprouver besoin .de vous en dire les motifs prodigieux génie
te qai allait incessamment marcher de conquêtes conquêtes
en te circonstance, qui aient été à tour but ausst directement, aussi (eut entière Il ne parle pas seulement pour le jour, pour le len-
nés devoirs tmpérieux m'ont d'abord que la gloire et la fortune portaient avec tant sûrement, qui t'ateat atteint avec une promptitude aussi surpre- demain, pour les quelques mois qui vont suivre; les salutaires~
de la sesstoa législative, et dopais commande d'attendre )a nn ae raptdité à un rang déjà si voisin du rang suprême, n'avait rien nante? L'impression qu'il produisit,
ce livre si mémorabie, sur- les saiates maximes qu'il proclame seront encore vraies dans mille
une tristesse trop juste, trop trouvé qui fût prépare, je ae dirai pas saSsamment, mais avec passa le:) espérances de ceux-là même qai ea avaient te mieux ans, comme elles le sont au moment où*il les fait entendre, et st
plané France,
peBr qu a sur la !a moindre d'ciucacité
it mefùt possible, sans un nouveau délai, de me livrer ordre tat&iaire, premier besoin des sociétés, et dont
apparence poar le rétablissement de
l'absence,
cet auguré.
teurs, et,
Le sucées
maigre
qu'il obtint
les efforts
s'étendit
d'une
a toutes tes ctasses de lec- quelque chose du fou divin qni animait les Ambroise et les Au-
critique passioaaée qui ne com- gustin a pénétré dans son âme, sa parole comme la leur ne ces-
avec une suffisante liberté d'esprit, au cours des idées qui me depuis dix années,
"'spirer en ce moment. Je n'hésite pas, d'ailleurs, à l'impuissance avaient donc été complètes se faisait si craeiiement sentir. L'incurie ou prit ni la valeur, ni la pertée de ce qu'elle attaquait, it fut popu- sera jamais d'être invoquée. Combien est moins sûre etmolas:-
Xî° î~~?' s'.Java!S voulu me hâter davantage, voos c'aurfez qu'aa jour où ie premier Consul entreprit enfin la sur ce point capttaijas- )aire, dans tente l'étendue de ce mot comme dans sa meiifeure heureuseà côté de celfe-lâ, personne, je l'espère, ne s'oSensera
pas été ~?~ m'entendre que je ne me serais alors de porter remède à un si grand mal; il avait déployé grande œuvre acception. La France dut à ce succès d'entrer dans'une ère entiè- de me l'entendre dire, la condition de~t'oratear que tes intérêts
~em<~ on état m'exprimer comme ft convient dans cette em-
ceinte. qm
était
le caractérisait dans toutes tes
y
résolutions
la vigueur rement nonvelte, et d'y entrer sons ies plus briilans auspices ce (lu jour, que les affaires de l'Etat, même tes plus grandes,
où sa conviction fut, pour )& puissant et précieux essor des idées morales et reli- pellent à nos tribunes les plus élevées quel que paisse être le n." ap-
forte et
_) Je ne m'arrêterai pas long-temps, Messieurs, snr la recon- forts mais tl avait bientôt compris profonde, et te succès n'avait pas manque à ses ef- gieuses. une de ces époques de renaissance qui se laissent aper- tentis~emeuKo sa voix, quel que soit l'accueil favorable qui l'en-
M ssaace qoejevons dois, et dont que ce succès courrait te ris- cevoir de loin ea loin dans l'histoire des sociétés et dans coite de courage, quel qHO soit même le témoigaage qu'il se rende d'avo))*
personne ne saurait douter. que de n'être que très éphémère, si les principes qui pouvaient toutes les connaissanceshumaines.
R~
Cet honneur que ]e tiens de vous, et dont je jouis-en mo-~ seuls
tust'em~t'e~és~" et ne
des plus justement enviés ? pas
ce
l'un neur.
ea assurer
Lorsque,
entreprenait
la
pour
durée n'étaient
construire le
incessamment
nouveau
remis
gouvernement
en hon-
qa'it
))
prêter
En écoutant
vetre
cette partie du discours auquel vous voulez bien
rempli de grands, d'Impérieux devoirs,
se résigne a voir ses plus
attention, vous yoo's serez facilement aperçus, roent dans l'oubli heureux si la postérité qui commence si vi'e
belles
il faut trop souvent qu')I
inspirations retomber incessan:-
de fonder, it travai))ait avec tant de persévérance a Messieurs, que je l'ai écrite sous une impression qsi a du être pour les hommes d'Etat leur sait quelquegré d'efforts que )0
w Depnts plus de deux siècles it est )a digne récompensé des réunir
travaux auxquels se sont livrés les esprits éminens qu~at MUé dans les eiemeas de force -et de vie qa'it trouvait épars ça et ta bien vive puisque taat d'années qui se sont écoulées depuis no succès n'a pas to~ours couronnés, d'intentioas que trop souvett
!onr a tour dans la carrière des lettres, et dont tes précieux tes raines, comment no se serait-il pas aperçu que ie cou- !'ont point encore effacée et il me serait, je t'avoue, dimciie de )les événemens sont venus traverser avec leur Inconstante braf-
ou- ronnement manquait a son éaince, et que les condiiiens d'une croire qu'aucun de ceux qut m'enten~eat et qui oat été témoins queri9 Pour les plus favorisés, le triCtNphe de leur éloquent e
aYoïr charmé les contemperains, sont destinés à ventante sehdité
vivre dans !a postérité ne seraient point acquises à se~ nouvelles créa- du beau mouvement
et à traverser les âges. Tels sont, en eEfet tions que le chef de l'Etat, lui-même, serait mal assis dans dont j'invoque te souvenir soit (enté .de
d'en
m'a- les aura menés à une élevatio!t passagère, tient les jouissances
!es titres qm abondent dans ies œuvres de vos devanciers, et palais aussi long-temps son dresser te reproche avoir exagéré l'importance. durent souvent moins long-temps que les jregrets ~oi la sHive"
qnon se ptatt à retrouver dans tes vôtres. Il est donc Juste et de ses temples, n'y serait que le cuite de Dieu, remis en possession ? j
Les résultats ne se firent point attendre, et beaacoap d'es- l'our l'orateur chrétien non de semblable n'estacraindre~ les
simple que veas vous demandiez, alors qu'il s'agit de réparer l'engagement to.pius
lanedea~ pertes qui vous amigent trop sonve: si cetai qai
point placé sous là sauvegarde de prits, libres enfin da Joug qui leur avait été imposé, laissèrent grandeurs qui le viennent quelquefois chercher, a'étaat point
soloaBeHement.taré? On dut à cette heareasa bientôt connaître qu'ils commençaient à regretter des croyances but auquel il aspire, il en doit être moins enivré, et les préoceapa-
te
hasarde a soliioter yes suffrages se recommande soiHi'amment se conviction le Coscordat qoi 'fut,en 180!, conclu entre la France qu'iis n'avaient point abjurées puisqu'ils tes avaient à peine con )tioas qu'elles lui causent sauraient être que très fegiiives,
et te Saiat-Siége. Ce traité, dont la valeur a été si grande, qui qai leur étaient échappées comme à ienr insu qu'on tour il sait que ce n'est point sur elles qu'il sera définitivement jugé
ne car =
-par quelques mérites qui ne seraient pas à une trop grande dis- si heureusement réso)u lit pins a nues,
tance de ceux que je viens de rappeler. grave des difHcnites qui pesaient avait en quoique %or(e dérobéas ce fut alors que dut commencerM. Frayssinous, au milieu des honneurs qui no lui ont point man-
alors sur l'exercice de la religion que professait, qu'a touiom-sSa tâche du prêtre chrétien c'était à )ui et à lui seut qu'it appar-qué, fut-il donc jamais plua grand
')) Mais ces mérites, vous ne tes renfermez point daas les iimites professée l'immense
majorité des Français, est des gloires tenait de profiter de heureuses dispositions, ( aax yeux des hommes dont
que pourraient vouleir leur assigner des aperçus trop étroits de Napoléon, et il est d'autant pins une ces d'évangéiiser, de l'estime
i était pour lui du plus haut prix, aux yeux de ses vértta-
Vous smvez l'esprit humain dans sa marche, vous l'eocouraeez enuere, qu'aucun des actes de vie politique juste de la lui reporter tout convaincre ceux en qui elies se déclaraient. L'heure de Frays- blos pairs qu'il ne l'avait été dans ces jours où, apparaissant à
a
M t
toutes les voies où voas le voyez s'avancer avec succès. Bans a aacune époque, plus complètement appartena; sa ne lui a peut-être sinous était donc arrivée. !i monta 1805 dans la chaire de Saint- chaire do Saint-Salpice, ignoré en quelque sorte de lui-même
sur
Mstnttes de la vie publique, comme dans celtes du barreau hommes qui tenaient la première place dans queconseils. parmi les Sulpice et ouvrit les conférences
en
auxquelles son nom est resté at- "t
ta
1
a peine aperçu du pouvoir qui planait sur les destinées de +.

comme dans les paroles la chaire fait entendre, parfont enfin oombre fut très petit de ceux qui consentirent a entrer dans ses le ~aché. Aucune nature do controverse ne pouvait être plus appli-
<
France, il réunissait cependant autour de cette chaire tantd'es-
où vous reconnaissez leque talent de bien dira, de bien écrire ce vues, qu'il eut même à surmonter des résistances assez vives, !ui it ses Mble a l'état des esprits que celte où it les fit aussitôt entrer avec prits de toute nature, dont plusieurs étaient déjà versés dans
qm a été bien pensé, partout où ce talent se recommande par assez paissantes, et qa'ii iui fallut tenir ne s'agissait pas sans doute de pactiser avec le .siècle, 1
mais tous
[ les secrets des connaissanceshumaines, et qui tons, en ve-
les restUtats auxquels it parvient, vous trouvez bon qu'it paisse qaes dangers qui n'avaient ne aucan compte de quel- ;)our le combattre avec succès il avait fallu t'étudier avec soin; nant auprès de lui, avouaient, sur la première des sciences, sur
espérer que vos rangs ne tui seront pas toujours fermés. Cette observation
pu échapper
étrangère
à sa vigilante attention. jour le ramener, pour le réformer, it faitait choisir avec discerne- celle ( de la religion, une ignorance qui Icar pesait et dont fis wu-'
Quelquefois même vous avez encore été plus loin et n'est point
dénote une situation qui no saurait être trop remarquée. car
)) a mon sujet eUe aent le terrain sur lequel ii était ie plus abordable, i! avait Mû iaient enfin sortir?
vous
avez pensé que de certaines situations honorablement acquises et qai travaillait à ce! te époque la sociéié française était deteUe Le mal :nfln chercher et trouver to mode de discussion, la forme même )) Voiià sa véritable gloire, et ceHe-tâ ne loi sera Jamais con-
~ai témoignaient de quelques services reBdns dans des carrières natare que le chef de l'Etat, si haatqa'il fùtpiacé, coavaK !ie langage qui convenaient le mieux à l'espèce de lutte qui allait testée t il a marche à la tête de ça beau mouvement qui depuis
où te bien public veut qu'aucun encouragement ne soit refusé. alors qu'il entreprenait d'y porter remède, sutHre a ne loi-même s'engager. jamais ratenti. et qui toujours entretenu par tes travaux
ne s'estdignes
peuvaient être digaes de la palme dont vous seuls avez to droit1 pear obtenir l'obéissance, il Miait d'abord qo'M fût sumsamment se M Le succès de M. Frayssinous répondu à la sagesse des vues de ses successeurs ne cesse de pousser dans nos temples.
ae disposer. Ea agissant ainsi, vous avez rendu plu~ sensible Je compris de ceux qu'il ventait soumettre a
ses
me craindrai pas de le dire, la puissance que veus exercez au commenty parvenir, aussi long-temps que de puissantes erreurs bientôt se réuair pied ne
nom d'une littérature assez haut placée dans t'estime universeiie n'auraient pas été euicacemeut combattues?qao de pernicieuses studieuse
eommandemens et auxqueUes
preuve et
ii
que
s'était arrêté
personne
au de
et à
fut
sa
la supériorité
tente
chaire
de
non
de tatent dont il Ht cette foute religieuse. dont la présence assidue ne manque & an-
contester;
seulement
on vit donc cune de tenrs solennités.
la jeunesse )) La première des fonctions que M. Frayssinous eut à remplir
pour qu'il iut appartienne de mettre un dernier sceau à toutes les .doctrines n'aaraieat pas été victorieusement réfutées que d'à- tcore qui, qui abonde dans le quartier des études, mais celle en- en dehors des services religieux auxquels il s'était consacra, fut
plus abandonnée aux ptais!rs du monde, semblait de- ceUe d'inspecteur de l'Académie de Paris. M. de Fantane.< t'y `,
existencescomme à tontesles renommées.
Cette faveur si grande n'a été accordée cependant
âne condition dont ne furent jamais dispensés aucuns deque
N
ceux
vendes
tats
sons les ne
qui
passions ne
s'obtiennent
seraient
ni par des
pas désarmées
décrets,
plus énergiques volontés y rencontrent des obstacles
l'ont obtenue ii a toujours fa))u qu'aucun doute ne put être élevé Jear appartient paa de surmonter il lear faut des auxiliaires
ni même
Mais de !e!s résul-
i
(
voir
1 résister davantage à un ense'gnemeat si sérieux. L'âne et avatt fait appeler pour tempérer t'eSet assez fâcheux qu'avaiti
par des lois, et t'antre se firent remarquer par ia reiigieuse attention avec la- produit ta suppression des conférenees en 1809.
qu'itne quelle
< elles écoutaient ce nouveau maitre. Dans les derniers mois de ta même année, sur !cs instancec1
que » La voix de M. Frayssinous avait ce ton d'autorité qui com- de t'encte de Napoléon, du cardinal Fesch. et sons sa présidence..
sur tenr amour pour les lettres, sur :eur zèle pour tout ce qui le oet, heureusement, tient en réserve daas sa bénie, et qa'it prc- )mande le respect, qui invite à la confiance. Toutes ses parâtes M. FrayssifMns assista, avec l'homme doat tes lumières inspiraient
doit en assurer, en accroître fa splendeur. Cette condition da duit qaan~ ie joar en est venu. A ceax-1~, à ces hommes puis- ftrespiraient cette conviction profonde et réfléchie
moins n'est pas de celles qui m'auraient effraye, et si, poar y sammeat tnspirés, appartient le droit d'éci'airer, do convaincre et )
satisfaire, des témoignages m'avaient été nécessaires, ~e serais [i'entrataer. L'époque dont je rappelie la mémoire, 1plus cammumcative qu'ette s'exprime avec
qui est d'autant ators te pins de confiance, avec M. Emery, supérieur général
ptus de modération Saiot-SutjMce, aux deiiberations d'âne commission dont faisaient
de
veau. Messieurs, tes chercher au milieu de vous avec iacon– méat n'a pas macqoé de secours, mais il lui a été magnifique- (dont non seafe- ettorsqu'on voyait tes rangs si pressésde ces jeunes hemmfs encore partie, avec denx autres cardinaux, des prêtais du pre-
Sanee que de bieaveiiians souvenirs ne m'y seraient pas refuses. ment accordé. ( la fonte s'assemblait autour de lui, it eût Été difficile de ce mier mérite. On y traitait, mais très infructueusement, des p)as
Mais c'est assez parler de moi, et je me bâte d'arriver à la pas reconnaître qu'il y avait dans 8e~ discours quelque chose de hauts intérêts de t'Egtise, si gravement compromis des cette épo-
)) Toat a été dit snr te dix-bnitiéme siècle tes louanges et les merveittenscment adapté instincts de cet
partie do mon sujet où votre intérêt ne peut manquer de m'en- reproches lui ont été prodiges, et peut-être avec une égaie Jus- sions peuvent égarer, maisaux âge que les pas- que. Une fatale aberratioa poussait Napatéon à méconnaître le
qui toujours se soumet assez .prix de ta bonne inteiiigenco qu'il avait, en 1S01, si heureuse-
courager, do me soutenir, ït est des circonstances qui se remar- tice;na ptastibro cours, donne partout aax inspirations de ta volontiers, et même avec nn~ presque sorte d'empressement, aux dé- mentrétabiie entre la France et te Saint-Siège. Les excès anx- °
quent peu dans la vie d'an homme ordiaaire, mais qu'on se piait pensée humaine, et les heareux avancemens qni en sont résut- monstrations qui ont grand caractère de bonne foi. hom- <]ueis cette erreur l'a poussé ne sont que trop connus, et tcije~
a recaeiiiir, quand elles laissent apercevoir les premiers indices téa dans tes diverses voies de ta civilisation, tedéveioppementde mes d'un âge plus mûr, na Des
<hme betie destinée d'un grand avenir. des hommes graves, dans toutes tes pro- ne puis résister, Messieurs, au besoin deyeus soumettre unCt
beaucoup d'idées généreuses et tes salutaires adoucissomons fessions, dans toutes tes situations, ne tardèrent à venir ju- reOexion'qui me saisit.
-aM. t'évêqne d'Hermopoiis était origiaaire du département de qu'eues ont ameaés dans fes fois comme dans tes mœurs, puis ger par eax-mêmes du mérite d'un enseignement pas
l'Aveyron, de l'une de ces contrées où une nature forte et sévë''e enfin les progrès qui oat été obtenus dans ta science de l'admi- tissement n'avait dont te reten- )' Que reste-t-ii de toutes tes grandes cheses aceomp!ieaparle
donne volontiers aux hommes qa'eite produit nn caractère sé- nistration, et le sensible bien-ëire qui en est résutto pour on sf tèrent fut une éclatante pa leur échapper, et le jugement qu'iis en por- p]us grand capitaine des temps modernes ? Tout ce que son epee
rieax et méditatif qui ies rend éminemment propres aux fonctions grand nombre d'individos, rien de tout cefa ae saurait être me- trouvèrent environnes. eonfirmatioa des impressions dont iis se avait abattu et brise, s'est relevé et s'est reconstruit toutes
combicatsons de sa politique si vaste, si persévérante, si hab!'e
!es
da saint ministère et à Faceompiissement des devoirs qu'i! im- eonnn mats d'antres résultats sont nés aussi de la compiete in- )) Ne se parant qu'avec une extrême réserve des ornemens dans sa témérité même, qui a d'un boutà l'autre remué t'Eareoe'r
pose. Aajeard'ui même, à l'heure où je parie, i'Egiise do France dépendance accordée à des esprits qui en ont trop abuse, et de d'une éloquence qui anrait pu donner à sa parole, un caractère de fond en comble, n'ont pasetéseu!ement mises au néant,
ne compte-t-eiie.pasdans son sein trois archevêques, dont l'un tristes egaremoas peuvent être impotës au temps qui les a pro- trop mondain, et s'appliquant chercher ses moyens de suc- mais eties en ont enfanté de toutes contraires et cependant M&
est tevëta de la pourpre, et quatre évoques, qui tous sont nés duits il faut bien avouer la fata!e iaftaence des doctrines qui fu- cès que dans l'exposé même adene la doctrine antique et révérée sioire a survécu à ce grand naufrage de sa fortune; it le do.t sur-
et ont reçu ieur première éducation dans ies mêmes lieax ou rent alors propagées, et il serait impossible de nier ia persévé- dontie dépôt était confié à son ministère, était tout, n'en doutons pas.à ta conservation de cènes de ses œavres <'
des attaques qae, pondant la pias grande moitié de ce siè- pourtant écouté avec cette curieuse attention quiFrayssiaous
s'écoula la studieuse jeunesse de M. Frayssiaons ? M.
rance
» Issu d'one famiite honoraNe eU'ainë de cette famine,i! était cie, la retigtoa chrétienne et le catholicismesurfont, eorontasnn- dinairement que là où se rencontre le puissant attrait ne s'obtient or- dant le caractère fut éminemment pKc.ifique; ce sont e)ie< qai te' `
natureHement appeté à protiter des avantages que iaiassurait porter de la part des hommes qui M décoraient dn nom de phi- veaaté; c'est qu'il racontait t'Evangite de ia nou- recommsndent encore et qui le recommanderont toujours à);!
cette situation mais aassiiôt qa'it fnt en âge de faire un choix, sa tosophes, et dont piusioars dominèrent dans les sciences et dans neuvième siëcte, c'est qo'it parlait d'une aux premiers jours du dix- mémoire reconnaissante d'une société qn'iia en quelque sorte
vocatien se déclara pour l'état ecc!ésiastiqGe, et e)ie !e conduisit les lettres. La perversion dans te monde, où leur action s'exer- mystères, de sa morate et de son cutte divin, retigisn révélée de sf9 reconstruite, gn'it a replacée sar tes soutes bases où la civiiisatioa
à Paris où il entra dans une commuaauté que dirigeaient les prê- çait avec le plus de poissance, était arrivée à ce point qae te ben qui no pouvait plus se rappeler, sans un profond devant nn auditoire so puisse reposer avec pleine cenfiance; et en tête de ces œuvres
tres de Saint-Sutpice. U fat ordonna prêtre en 1789 à la veiiie goût et le bon ton semblaient y être attachés à une sorte de dé- honte et de tristesse, que des Français avaient été sentiment de d'an si grand prix, comment .ne p)acerait-on pas avec !e Code
condamnés a civii, avec ta création de i'Université, ce Concorda) ~ont ttrigonc.tf
par conséquent du rade combat qui allait bientôt s'engager entre dain pour toutes tes croyances qni avaient jusqu'alors servi do assister aux fêtes do !a Raison, et naguère encore on avait rénse exéeution lui a été si importune, qu'ii aurait veuui faire
l'esprit novateur de cette époqno et l'attachement aux principes base A la morale et assurer la paix des consciences.
et aux devoirs reiigienx dont ie eiergë ne panvait se départir. On Sous peine de se montrer atteint d'une faibtesso d'iateltigence voix de t'cratenr chrétien,
entendu retentir sous ces mêmes
que
voûtes,
les misérabtes chants de
où dominait enfin
prétenda
!a fiéchtr devant toutes ses votantes, qu'il prétendait réformer
contre Jequel sa toute puissance est venue se briser? et
ne sait que trop à qneiies persécutions ce combat vint aboutir. qui serait par trop honteuse, ou ne devait plus rien penser ni ou)te inventé par tm homme assez MMe d'esprit peur ce croire qn'it ))M.Frayssin6us ne vit point s'éeonier dans la capitaieles ·
B M. FrayssiMus s'avait encore rempli aucune des fonctions rien croire de ce qu'avaient cru tes plus sages, tes ptos iUustres lui appartenait de fonder
ponr lesquelles ie serment demanda au nom de )a constitution ~e nos ancêtres. Cette maladie était dans toute sa force en ~7M nt que d'instructions devaient une religion. Quet prodigieux contraste! dernières années da l'Empire; ses montagnes ravaien~recu eu
civile du cierge, fat a!crs exigé, et tarsque forage révolutionnaire et etie avait, en 1793. pénétré jusque gans les profondeurs da jactances, que tant d'efforts en sortir, ators que tant de folies t:()fe une fois. U eu fut naturctiement ramené en 18l4,etrou-
ii
pot y échapper en regagnant sa dernier desrangs de l'ordre social tes ravages qu'elle y causa, mieux èta)er les misères de l'orgueil humain, étaient remplacés impuissans qui n'ont abouti qu'a vrit aM mois 4'octobre le cours de ses coBférences. ïnterrompaes
~c!ata dans toute sa violence
terre natale; les montagnes du Ronergueiut offrirent, au sein de sa les malheurs qui vinrent a téar saite, et tant de misères endurées par cette imposante etsotennette discussion, où te prêtre n'aspi- vrier par !a crise de l8tS eiies ne furent reprises qu'au mois de
l8t6; mais dés le mois d'août précédent, io roi Louis XVM
fé-
famiUe, nn asiie qu'il partagea avec un parent,t, avec un ami, eccié..avaient Mon été pourqaeiques uns an utiie avertissement eti)s rait qu'à rendre toujours plus sensibte la puissance de Dieu dont )ui avait
ap-

.`.
eiastiqne comme toi, qat fuyait devant les mêmes dangers ~ont auraient du dessiller tocs tes yeux. Mais le ma! était trop invé~ if célébrait la gloire et les MeafaKs. donné une marque de sa haute co~nance il l'avait
itt vie (M. Frayseimas me saaMit gré de rappeler ce souveNir), pelé à faire partie-do ta commission d'instruction pnbiiqué qui
i
térô, et pour ea arrêter te cours, pour le combattre avec succès,
e'est des ters presqa'entiëremeBtassociée à la sienne, et qui déjà <avec autorité, tt fattait; remonter à son origine et l'attaquer dans !a triste mésintettigence
interrompues en 1809, lorsque vint à éclater st violemment
~ut subsistattdéjâdopais trop long-temps maître et au conseit de l'Université.
devait exercer les pouvoirs précédemment attribués aa grand
<

M menton,non loin d'un grain de beauté, petite mouche gré sa Sgare à la fois bienveillante,aère et hardie, tui plai- sur uns tige d'acier et sur un pied de plomb. Une assez eUa veiHaït au coin de sonpetitpOMe & la clarté donce '¡¡:;J
O'ébène, meMrtncrement posée an coin do la bouche. sait beaucoup pais il se montrait si compatissant envers les grande glace carrée, encadrée d'une hordure de bois noir, desa lampe. Ce'
Entre un col garni, largement rabattu, et !e fond du petit More], en leur cédant généreusement sa chambre, qae, grâce surmontait la cheminée. Puis chaque dimanche ette se distrayait de cette vie labo-
tonnet froncé par un ruban cerise, on voyait la naissance à cette preuve de bonté et peut-être aussi grâce a i'agré- Des rideauxlaine,~en toile perse, grise et verte, bordes rieuse par une franche et bonne journée de plaisirs parta-
d'ana forôt de beaux cheveux si parfaitement tordus et ment de ses traits Rodolphe avait sans s~n douter fait un d'un galon de coupes, ouvrés, garnis par Rigoïette, gés iayee an voisin jeune, gai, insouciant, amoureux
re!evës,que leur racine se destinait aussi nette, aussi pas de géant dans ia conSance de la coutùriÈre. et aussi poses par elle sur leurs légères tringles de fer noir- comme elle. (Rodolphe n'avait ators aucune raison de
noire qne si el!e eût été peinte sur l'ivoire de ce charmant Ce!te-ci, d'après ses idées pratiques sur l'intimité forcée et cies, drapaient !es croisées et !o iit, recouvert d'une courte croire à la vertu de la grisette).
coa. les obligations réciproques te
qu'impose voisinage, s'esti- pointe pareille; deux cabinets à Vitrage, peints en blanc,
Uae robe de mérinos ratsm de Corinthe, à dos plat et
à mait très franchement heureuse de ce qu'un voisin
Manches justes, faite awc<a?MM- par Rigolette, rovoiait que Rodolphe venait succéder au commis voyageur, à Ca- placés
te
de chaque cote de l'alcôte, renfermaient sans doute
Le lundi e!!e reprenait ses travaux en songeant aux plaf-
sirs passes et aux plaisirs à venir. Rodolphe sentit a!ors
les ustensiles de ménage, le fourneau portatif, la fontaine, la poésie de ces refrains vulgaires sur ~MeMe et M e~aMt-
tme taiUo tellement mince et svelte, que la jeune fille ne bhon et à François Germain car elle commençait à trou- les balais, etc., etc., car aucnn de objets no déparait 6reMe, sur ces foties amours qui nichent gaîment dans
portait pâmais de corset. par économie. Bne souplesse, ver que l'autre chambre restait bien long-temps vacante, l'aspect coqHet de cette chambre. ces quelques mansardes, car cette poésie qu! embellit toat,
âne désinvolture inaccoutumée dans les moindres mouvé- et elta craignait surtout do ne pas la voir occupée d'une Une commode d'un beau beis de noyer bien veiné, qui d'un taudis de pauvres
mensdea épaules et du corsage, qui rappelait iamcei- manière c<MtM!!a6~. bien lustré, quatre chaises du même bois, grande gens fait un joyeux nid d'a-
ÏeaM ondulation des allares de la chatte, trahissait cette Rodolphe proStait.de son invisibilité pour jeter en coup table à repasser et à travailler, recouverte d'une dé ces cou- moureax, c'est la riante, fraîche et verte jeunesse.et
une
particularité. d'œii curieux dans ce logis qu'il trouvait encore au- verturesde laine verte que l'on voit dans quelques chaumières personne mieux que Rigotette ne pouvait représenter
Qu'on se Egare une robe étroitement coUëo aux iormes dessus des louanges que M~'Pipoiet avait accordées à l'ex- de paysans, un fauteuil de paille avec son tabouret pareil, cette adorable divinité.
rondes et polies du marbre, et l'on conviendra queRigo- CMsive propreté du modeste ménage de Rigoïette. habituel de la couturière, tel était ça modeste mo- Rodolphe en était Hda ses rëuexioM, lorsque, regar?-
ïette dont nous avons parle. La ceinture d'un petit tablier
<e MvaBtine gros vert encourait sa taiile, qui eut tenu en-
chambrette.
iette pouvait parfaitement se pEsser do l'accessoire de toi- Rien de plusgai, de mieux ordonné auo cette pauvre siège bilier.
Enfin, dans l'embrasure d'une des croisées, on voyait dant machinalement ta porte, il y aperçut un énorme ver-
Ua papier gris, à bouquets verts, couvrah les murs; !e la cage de deux sérias, Ëdcles commensaux de Rigolette. rou.
Un verrou qui n'eût pas dépare la perte d'une prison.
tre les dix doigts. carreau mis en couleur, d'un beaa roage, tuisait comme un Par une de ces idées industrieuses qui ne viennent qu'aux
Confiante dans la solitude où eUe croyait être, car Ro- miroir. Un poète de faïence blanche était placé dans ta che- pauvres, cette était posée au milieu d'une grande Co verrou te Stréuechtr.
cage
dolphe restait toujours & la porte, i-BMaobi'e et inaperça, Ri- minée,où l'on avait symétriquement rangé une petite pro- caisse de bois d'un pied de profondeur, placée sar une ta- H pouvait avoir deux signiScattans, deux asages&ien
gelette, après avoir !nstrô ses bandeaux da p!at de sa main vision de bois coupé si court, si menu, que sans hyper- ble cette caisse, que Rigolette appelait le jardin de ses oi- distincts.
mignenne, blanche et parfaitement soignée, otit son petit bote, en pouvait comparer chaque morceau à une énorme seaux, était remplie de terre, recouverte de mousse pen- Fermer la porte <H<~ amanronx.
pied sar une chaise et se courba pour resserrer le lacet de aitumette. dant l'hiver; au printemps y semait du gazon et des pe- Fermer sa porte sMr les amoureux.
ea bottine. Cetta opérttion intime ne put s'accomplirsans Sur ia cheminée de pierre Bgurant du marbre gris on tites Heurs. on L'un do ces usages ruinait radicalementles assertions de
exposer awx yeux indiscretsda Rodolphe un bas de ceton bianc voyait pour ornemens dea-s pots à Neurs ordinaires, peints Rodolphe considérait réduit avec intérêt et curiosité; M" Pipetet.
comme !a neige, et la moitié d'une jamba d'un ga!be
et irréprochable.
par ce
dun beau vert émeraude, et dès !e printemps toujours il comprenait parfaitomenM'airde joyeuse humeur de cette
remplis de Beurs communes,mais odorantes; un petit jeune Slle.
L'autre les connrmait.
Rodolphe en était ta do ses interprétations, lorsqaa Rigo-
D'après le récit dëtaitlë que nous avons fait de sa toilette, cartel de beis renfermant une .montred'argent tenait iieu M se Sgurait cette solitude égayée par le gazouillement lette, tournant la tête, l'agerçut, et, sans change:'d'atti-
<a devine que la grisette avait choisi son ptus joli bonnetdo pendule; d'un cote briuait un bougeoir de cuivre étin. des oiseaux et le chant de Rigolette; l'été elle travail- tuie, lui dit
par
et son p!as jo!i tablier, pour faire AoMMMr~sen veisin dans cefant comme de l'or, garni d'un bout de toM~c; do l'autre Itiit sans doute auprôs de sa fenêtre ouverte, à demi- –Tiens, voisin, voasëUez donc là? t
teHr visite au Temple. co:obri)!ait non moins resplendissante une ces lampes voiiée par un verdoyant rideau de pais de senteur rosés, de EMàtfBSn~
EUe treavait le prétendu commis-marchand fort a son fermëM d'un cy!indro et d'en réNecteur de de cuivre moaté capucines oranges, de volubilis bleus et blancs; l'hiver (ta<M!« d ~maM: _`
Me était présMee par t'nn <e ves pins iMastres confrères, epfseopanx. Ïl s'y a rtea, on se !e sait qae trop,où ne veniUeat ? CoMparez ctaMenant, Messieurs, pnis jugez et rendez jastfee
M. Frayssfaons avait, pendant de mémaraMea aanees, Mntenas
que recommandait dealers 1~ précieuse réunion d'en grand ta- atteiadre les ambitions humaines, où eites ne s'efforcent de pé- à votre temps, à votre pays. U a payé eher l'éducation qu'ila re- de ses conseits, instruits par ses exemptes, ne asaieat dn pea de
tènt et d'un caractère teujnnrs fidèle aux règles de confluiio qu'il nétrer, et leur habileté est grande à faire valoir les titres qu'elles çue et qui ne s'est accomplie qu'à travers tant de révolutions forces que l'âge ienr avait laissé, ponr apporter snr la tombe da
s'était posées, et qui eat dicté tant de belles paroles consacrées s'attribuent. Tout le monde est d'accord sur ta fermeté avec la- qu'il lui a fâitu subir. Mais enfin elle lui a bien proSté, eette édu- t'6vêqne'ïe pieux témoignage de tear reconnaissancepour Fhum-
à la défense des plus honorables, des pins justes causes, et dont queite M. Frayssinous repoussa toujours tes motifs do préférence cation et la route où nous sommes entres, j'ose croire, j'aime à ble vicaire qui leor avait été si sccouraNe.
piusiaara ont été prononcées daas des circonstances où de telles qui ne pouvaient pas être pesés au peids du sanctuaire. L'Egtise prédire que nous ne sous en détournerons jamais. Elle est la )) Ne penserez-vpus pas. Messieurs, que ce rapprochement si
paroles étaient Mssi de belles actions. ae France !ui doit une notaMe partie des pontifes dont elie s'ho- pias belie, 'paisqu'eUe est !a plus généreuse elle est ta ptus sûre, natoret et si tonehaot est te meilleur rësnme d'une vie où tant
» La place da maître des conférences da Saint-Sulpice, de nore, et dont les vertus, dont tes talens ne cessent pas do porter parce qu'eue est ta ptus juste; on respecte toujours ce qu'os de devoirs si divers et si graves ont été. durant tantd'années
l'instituteur religieux dont la parole, depuis plus de dix années, tunt d'heareux fruits. Féiicitons-nous de ce qu'un si bel exem- estime, et pour qui sait le mériter, pour qui sait se le conciiier, le accomp)isavee!a persévérance d'an zèieqai a résisté âtaat
s'était montrée si puissante sur la jeunesse de ia capitale, était ple se continue sons nos yeux avec un soin si religieux et ren- respect est nt! puissant auxiliaire. Mnis cette route à qui devons- d'épreuves, et avec te SEceës qui était dû à un (tevoneaient si
ttatareUement marquée à côte de celle de 51. Cuvier, de M. de dons grâce à la puissante main qui ne permettra jamais que tes nous, non seutemeat de nous y être engages, mais de nous y être complet. ?»
Sacy, et d'un autre homme d'un rare mérite, dont la mémoire dépositaires de son autorité s'égarent dans une autre voie. maintsnns avec une persévérance dont rien n'a pn nous détoar-
aussi est restée chère à tous ceux qui font connu, de M. Gae- M Dans tes luttes parlementaires où U se trouva
engagé, la r.er?La téponse à cette question vous vous chargez tons de la
neaa ne Massy.Une telle rénnion devait tenir et a term tout ce
qu'elle promettait éclairée par ta prudence et soutenue par la position de M. l'évoque- d'Hermopoiis dut subir les conditions faire, et votre pensée se porte aussitôt sur le prince que sa des-
que j'ai indiquées plus haut, lorsque je me suis permis de mettre tinée a fait monter au trOno dans des circonstances que seule
BOURSE BE PAMS
main ferme et habile du chef qui lui ~vait été donné, ette a, dans en regard de ta puissance exercée par l'orateur chrétien cette de peut-être, une habileté commehabileté ta sienne était capabie do sur-
âne de ces époques de transUioa où la sage mesure en tonte l'orateur politique. H eut à supporter de vives contradictionil monter. Mais ce n'est pas cette que je veux célébrer je DU 8 DÉCEMBRE.
ëheseestsidimcite à garder, conserve, défendu avec persévé- tes surmonta plusieurs fois avec bonheur, mais ne parvint pas mets bien an-dessus les ~uatités d'un cœur qui a si parfaitement
rance le précieux dépôt qui tui était conné. L'instruction publique toujours à faire triompher ses opiaions. Il eut au moins la satis- compris le seul moyen d'apaiser ce qui ne peut pas toujours Les affaires ont peu de mouvemens, et les cours des Rentes
en maias n'a pas cessé d'être nationale, et le principe d'u- faction de voir ta justice qae ses adversaires les plus prononcer être dompte, de desarmer ce quia trop souvent bravé ia puis- françaises se sont eu
nitéses
qui permet de luiimprimer partout )a direction la plus ap- n'ont pas cessé de rendre à la pureté de ses motifs, à ta loyauté sance des plus redoutables lois, de pacifier enfin ta eu tant d'au-
soutenus presque sans variatiens.
propTiéo aux beseins du temps et a ceux de la société qui doit
coûter..
Ceux des Chemins de fer d'Orléans et de Rouen ont continue
de ses intentions. tres n'ont vu que la nécessité d'en venir aux plus cruelles extré- de s'élever. !1 y a eu aussi
a
en recueillir les fruits été soigneusement maintenu. Sons cette
direction les études se aont étendues, et sont devenues pios so-
» Son étocutioa vive, animée, et où tes raisoanemens s'en- mités, n'ont cherché que te moyeu de triompher, quoi qu'ii en pût Versailles, rive gauche.
un peu d'ametioration dans celui de
chaînaient toujours avec une merveilleuse ciarté. fut constam- COMPTANT. Comparativement aux derniers cours d'hier
ndes; elles se sont aussi, ëo joar en j~our, plus fortement em- ment admirée, et plusieurs de ses discours peuvent être donnés B Pearqaoi fant-i! qu'une bonté
si généreuse ne mette pas ce- le AU Cinq pour 100, le Trois pour 100, les Obligations de Yersaillef'
preintes des salutaires inspirations qui ne peuvent émaner que comme des modèles d'une puissante discussion, d'une habile tai qui !a ressent et ta pratique si d'goement à l'abrt de ces ter- rive droite les Obligations d'Orléans, Emprunt, les QbU-1
dialectique. Je citerai, entre antres, avec pleine confiance, ceux iibtes coups qui frappent et déchirent d'autant pins qu'ils s'a- gations de la Ville et les Actions de nouvel
t
de la religion, etdontM.Frayssinuas enseignait la valeur avec jouissance des Quatre-Ca-
tant d'autorité. qu'il pronoB'ça devant ta Chambre des Députés en 182S et 182B, dressent à des natures plus élevées, à des âmes d'élite naox n'ont varie. Il y,a eu baisse de 2 fr. 50 c. sur les Oo~tre-
M Heureuse ''Université d'avoir reçu dés lors cette impulsion, au suj~t des allocations portées dans le budget pour les dépenses Mais ))'Impénétrables décrets auxquels il faut bien se soumettre" Canaux pasprime. Les Actions de la Basque ont hausse de
dent ne t'ont jamais laissée dévier les hommes supérieurs qui ont du clergé. pour s'incitner devant eux avec le respect qui leur est dû, M fr., laa\uo Caisse hypothécaire et le Chemin de fer de VersaiU~s'
été depuis appelés à l'hanneur de surveiller, de diriger ses utiles » Les exemples seraient difïlciies à trouver d'un exposé aussi combien est grand lo besoin de se <!er a l'éternelle justice dont rive gauche, de 2 fr. SO c., celui d'Orléans, Obligations nontibé~
labeurs, et dont tes lumières, dont ies talens n'ont jamais été su vrai, ausst habiie, aussi puissant des principes et des faits qui ils émanent, et combien en serait malheureux de ne pas croirea rées, de 6 fr., et celui de Roaen de 7 fr. 50 c. Le Chemin de fer
dessous de la fâche qui leur était imposée. démoBtrent à quel point sont indispensables les secours que la ce trésor inépuisable de grâces, de récompenses qui s'épanchent, de Strasbourg a baissé de l fr. as c.
))M._Frayssinous a pr<m9ncé..en 1818 l'oraison faaèbreda religion prête et qa'etie seaie peut prêter à toutes les sociétés, quandH tui p!a!t. de sa main toute-puissante, et dont ta meii- La Rente de Naples a baissé de 10 c. H y a eu hausse de </4
prince de Condè, et il pnNia dans le cours de ta môme année un a tous tes gouvernemens. Dans cette belle déduction, te langage teare part reviendra sans doute aux vertus qu'eiie aura trouvé sur l'Emprunt rotaain et sur la Dette active, de 5 fr. sur l'Em-
livre sur les vrais principes da t'Egiise gallicane. Je ne dois pas du prêtre et du pontife s'aiiie merveilleusement bien a celui que bon de soumettre aux plus rndes épreuves Heureux et conso- prunt du Piémont, et de </8 sur le Cinq pour 100 beige Emprunt
me livrer à l'apprécfation d'an têt ouvrage. Je me borne à dire )o ministre doit tenir, et t'un et l'autre se prêtent un nmtuet, un lant espoir auquel la France entière aime à se livrer 1 de ~8~0. Le même Fonds, ancien Emprunt, n'a varié.
que daas nne.matière sur laquelle les esprits étaient fort animés, salutaire appui. a Vous comprenez maintenant. Messieurs, et sans nnlie difH- Aussi comparativement aux pas
M. Frayssinoas, avec !a prudencequi le caractérisait, fit de ses M Quand survint,
ea 1829, le mouvement ministériel qui eut cntté, que je n'ai dû éprouver aucun embarras à vous parier du d'hier, le Trois pour 100 a baissé de 5 c. Le Cinqderniers cours
MN DU MO!S.
profottdes connaissances,do sa science incontestaMe, ëtdel'au- iiea an mais d'août de cette année, M. l'évëque d'JHermopo'is ne voyage de M. l'évoque d'Hermopotis en Aiiémagne. Les motifs pas varie. Le Cinq pour 100~ belge s hausse de ')/4. pour 100 n'a
tonté qu'elle devait lui donner, l'emploi qai pouvait être le pias fut chargé que de la présentation aux titres ecclésiastiques, e) qxi t'y déterminèrent sont écrits dans les dernières pages qni à
Apres la Bourse, quatre heures, 79 fr. 37 c. 1)2 demande
utife au maintien de la paix dans l'Eglise et dana l'Etat. c'était, la seule part qu'il eût maniement des .affaires, iorsqae viennent de vous être lues j'ajoute que le devoir d'aller achever
au ~79fr.40c.on'ert.
M L'eratson funèbre da prince de Condé lui avait fourni l'occa- survint, 1850, le grand événement qui aiiait soumettre la t'éducation religieuse d'un jeune prince dont il avait béni le CHANGES. Ceux sur Amsterdam, Hambourg, Londres et Saint-
slon dé faire éciater la sagesse et la mesure qui le rendaient émi- France à en une nouvelle et difuciie épreuve, dont ei)e a triomphé berceau, était de ceux sur lesquels H ne pouvait avoir aucune Pétersbourg n'ont pas varié.
nemment propre à traiter.tes sujets, où tant de ménagemens cependant, et qui a témoigné encore uno fois de sa force, de sa hésitation. .BoM~e de ~.osMfre! ~M 6 deMm!)re.– Fonds consolidea. S4 1/8
étaieot nécessaires à garder entre des souvenirs trop facilement sagesse et de sa puissance. H pensa bientôt après que son ro'e )) Ces paroles ne sont point prnoncëes, je me hâte de
!e dire
dans ie monde politique se devait pas se prolonger plus iMg- pour le justifier, car je ne m'en reconnais pas le droit, bien as- caias. active,
irritables. i Oette 181;4. Brésiliens, 68 Colombiene.9l ia. MMi-
50 5~. Daaots, 85 3/4. Russes, lia 5~.
T) retenn âne des phrases qae l'orateur prononça en cette
Ona temps,et il renonça même à siéger dans la Chambre des Pairs. suré qu'il n'a pas senti le besoin d'un tel secours et qu'il ne l'au-
occasion, et eUe sutHf pour donner âne idée de l'art avec teqae), Comme it no fut poussé à cette détermination par aaeaa senti- rait pas accepté. Ce que je veux, c'est le faire connaitre, c'est le AOeoaîjPTAKT.
en disanHoate la vérité, il parvint à surmonter cette dimealté. ment passionné, eilo n'altéra point la rectitude de jugement qui faire apprécier autant qu'il dépend de moi. Une vie aussi labcf- c.MC/C.J.daSSsept. 119~57075~0 ~.EanaaaftSSS).
a A la suite d'un tableau énergiqnement tracé des luttes où la était l'un de ees attributs les plus distinct, etquiseretrouv;) rieuse que la sienne avait nécessairement laissé de profondés lt9f7570 DBMBTBBHtMt.t.ANDAM..
tout entière dans use circonstance où ses conseils furent presque traces,et, quoique le nombre de ses années fût déjà considérable, ecÀ'fttSi/aO/OJ.daSïsept.
valear française s'était vue engagée sur tant de points à la fois,
après avoir montré les prodiges qu'elle enfantait dans les dépàr-
temens de l'Ouest, où la guerre civile avait fait surgir tant d'hé-
aussitôt invoqués sur une matière où iis devaient être d'un grand ie poids s'en faisait plus sentir que la force natureUe de sa cons- attATEEO~.j.daSSsept.
poids. Je ne hasarde rien en disant qu'iis earent une très salu- titution n'aurait dû le faire présager. Des accidens d'nne dange- rMts!)/C,j.n9Sja!B. TUf3025
go/0,
10130 m:t.pORTc<:A!<50/P.
~.s'HAm.?;
roïques courages, sur les rives étrangères où d'antres Français taire influence sur des hommes appelés dans ce moment a occu- reuse nature rayaient déjà atteint, et quand il s'éloigna de sa Bm'RmfT<!eM4!,].daa~jniB. BNP.BCP!ÈMO{fT. H2]
déptoyaient une valeur not~noias grande ea combattant pour use per dans l'Eglise des positions fort importantes. patrie en 1855, l'espérance de la revoir ne lui était guère per- AC*.D)!LABtNQC!t.33tSf3350f3360f TMMC/MjtCTBMH'EN. M7":n MMB'ABTEtet!
cause qo'its regardaient comme sacrée, et enfin dans tant do con- )) It profita peu après de la liberté qu'il venait de recouvrer mise. It l'aimait chèrement cette patrie; qn'aUait-it donc cher- Mt!TBDBLAV!t.MDtPASK.
trées, où Féctat des prodigieux triomphes que ne cessaient de pour aiier porter aux pieds da saint Père l'hommage de son res- che)' ? azusATïoMBBLt~tM~ t30a.. CjtMmtAMnnrB,tt!ap.:BS9'. 05750
remporter les armées de ia France faisait t'étonnement et l'ad-
miration de l'Europe M Eh bien! s'ccriait-i), la gloire à cette
pectueux dévouùment, et s'il dut à cette démarcha de n'être pas
resté complètement étranger à la.direction qui fut alors impri-
M Vous
devaient
m'acoarderez
être fort
sans
étrangers,
peine
et que
que
tes
les rêves
récompenses
de l'ambition
où il
tni
pouvait iCANACS avec prime.
CAmBBBTPOTHEOAmB. 7?U..
M5250esEBiNdaBaim-UertNaia.
eeap.60<)M.scg~so
epoqne était partout, le tonheur n'était nuiie part.))Et cette mée anx attires ecclésiastiques on peut aHIrmer, sans crainte aspirer n'étaient pas de ce monde. H y a satisfaction à' penser MitaoNTANBMCAfN. VmrM'ife:,riM droite.. 370
–V9!'sa)Ue<fTOMt"'6o..
phrase, YenlUez le remarquer. Messieurs, n'était pas seulement do se tromper, que la France n'a eu qu'à s'en féiieiter. (jtM )e bcnbear de se retrouver en France no lui avait pas été tt.CB~APLM,t.ii9Jcit.lC7f25
–F<t!i40r:eM!act.tib. 09
on heureax mouvement de l'art oratoire, c'était un jugement, a Au retour de ce voyage, M< Frayssinous n'aspirant plus qu'au rctosé. Ityrooira à la fin de 1858, heureux de ce que te temps 0/0 Bt L'ETAT MHjUa.. 10434 –M.,act.nou)ibëraes. (jt5
c'était une belle, une utile leçon que l'histoire ne démentira
et qu'elle exprimera difuciiement en des termes'plus heureux.pas
repos, était allé, encore une fois, le chercher auprès du foyer de ne lai avait pas manqué pour satisfaire, aux obligations qu'iiil C!Q
ses pères et il ne pensait pas qu'aucun pouvoir, qu'aucun devoir s'était imposées. BttTTEBn'pNamMMinMret.
–fahe~Renen.
ïSp.axrrBAcrnrB.S334 –MontpcUier~CeKi). OtTM
J'ai déjà parlé des honneurs qui ne manquèrent l'obligeât désormais à quitter une retraite où l'attachaient de chers » Ses premiers pas s'étant dirigés sur )a capitale, le séjour BBTTEPA63IYB.
4-iMMSD!FMMS.
– jBordeMX&hTeji.s. –au)heBS~&Tr.a!t!t.
M. Frayssinous il ne les avait point cherchés, il les évita pas
même
à
aussi long-temps que cela lui fut possible, et aacua donte ne sau-
souvenirs et où il en rapportait de non moins précieax que lui qu'il y a fait, et qui ne fat pas de très longue darée, a été mar-
devait fournir la longue carrière durant laquelle il avaitsi digne- qué par une circonstance dont l'intérêt me parait assez grand E3i.6tQM.Emp.
ment rempli sa tâche d'homme et de chrétien de citoyen et de pour qu'il ne soit pas hors de propos de vous la raconter. M.
183~
T&OMO/0. 193 5;8 –Straebos!'s6B!fe. 2t2SO
En<!f!idetaSran4'Camf)a.
rait exister t~r la résistance qu'il opposa, en plusieurs circons-
tances, aux intentions bienveiiiantes que le roi Loui~ XVU! avait nrêtre. Mais l'heure n'était pas encore venne où il luisera't per- N Lorsque je voas ai parlé de la nominationen 1829 de M. Frays-
H. 5 peur 190. nen re~b.. 1045/8 pom'-ES-ocp-soB.
M.SseMMgeBtmteaeSttm.EspRtT.3/<}(t'hect.)d!:pcB.4
manifestées à son égard. mis de ne pins penser qu'à loi-même, et dans ia seule vue dont sinoas à l'évéehé tn part~MS d'Hermopotis, l'ordre des idées que ~~tm ~.rnm~r e
uae âme comme la sienne pouvaitêtre préoccupée. Je poursuivais ne m'a pas permis de m'arrêter sur un fait que MMCOCB.A.RT.
)) Cette résistance fut vaincue dans les derniers mois de i82),
et tt accepta le titre de premier aumônter du Roi. Une fois eHtré
dans la nouvelle carrière qui s'ouvrait devant lui, tes pas qu'il y
» Une invitation qu'il considéra comme un commandement de- vous allez apprécier.
vant lequel toute résistance était impossible, lui parvint dans ic fut sacré à Issy, et le premier usage qu'il fit, en descen- ~Prem.
Cttsrs.
P)a< fis!! T)e~*
esar:. hMt. bat.

"f'
conrs du mois de septembre 1853, et maigre ~ie rudes atteintes dant de l'autel, des droits que t'épiscopat venait de depuis tni conférer,
Nt forent extrêmement rapides. Ce qu'it redoutait surtout dans
l'épiscopat, c'était ia charge d'âmes qui y était attachée; cette
diNcutté fut ievée en is~par sa nomination à l'jÈvëehé M pa)'-
<)6M< d'ncrmopoiis dans te cours de cette mémo année il fnt
grand-nMMrede l'Université, l'Académie l'appela dans son sein,;
et la digaité de pair lui fut conférée. Puis enfin le ministère des
qu'aires ecclésiastiques, qui venait d'être créé, fut, en ~824, con-
qu'avait déjà reçues sa santé, il se mit en route pour Prague dès eut lien à l'occasion d'un jeune néophyte qui était
ie mois d'octobre soivant.
)) J'arrive ici. Messieurs,
que temps l'objet ses de soins particuliers,
à la plus imposante des questions it adressa de touchantes, de prophétiques paroles, et dont la
qui puisse se rencontrer dans ia route qu'il m'est ordonné de vocation devait être bien prononcée, car il renonçait pour )a
parcourir, mais, si je ne me trompe, à la pius belle aussi, a suivre à âne carrière où ses débuts avaient été marqués par de
i'UNe de ces questions enfin sar lesquelles on aime à s'expliquer. brillans succès c'était l'abb6 de Ravignan.
qu'il tonsura,
quel- tE~!90/Oea!!9.
auquel
Mat.
PtmeoaMnt.

Maia.
P.'iiBeBBseR-

Fmcoarant.
Pn~Snpr..
Xmp.Wt.entiq
(!.M~:?,
7945 7945 7940 7940
7960 7955
79 SO 7995 d.50°~
&acf<~MiMB<a)!<
.~<K!tM~.
on

Cè a ses soins. quand on parle devant des esprits aussi élevés que les vôtres. Je )) Et voiiâ qn'aa mois de
février 1859, M. l'évoque d'Hermopo-.
Primeanproch.
~nt~lir: d. 1

dois arrêter vos regards sur un des plus heureux progrès dont la lis, courbe sous le poids des années, mais toujours ptein de

rant.
La vie du prince qui avait réuni sar sa tête tant do hautes d'l'aurr~
civilisation moderne se puisse énorgneiiiir, et ce progrès, au cette vie qui se puise dans tes ptus hautes facultés de l'âme, est m.gu 0/O on U9 95 !t995 tM 99 t)9 90 ~n
~mftttfS
~a~ <'a<<M

shsin.
faveurs touchait alors à son terme, et le jour ne tarda pas à ve- pays, l'esprit dont il animé, du assis dans l'église de Notre-Dame, ea face de va
nir où le dernier hommage, celui qui devait se faire entendre grand honneur de notre de est )a chaire où P'imeSncoc- TM3.
d.59M.tMt.
snr les tombes de Saint-Denis, allait lui être rendu. L'accomptis-
sement de ce pienx devoir fut confié à M. l'évoque d'Hcrmopoitf.
Et où était l'homme, eaeuet, qui, plusque'tui, aussi bien que
lui, aurait été pénétré des sentimens qai doivent inspirer l'ora-
développement de ses institutions, de la force, de ia sagesse du paraitre l'oratear dont la voix, depuis que la sienne a cessé de
gouvernement qni le régit, c'est la France qui en donne t'exem- se faire entendre, est en possession de remuer les âmes et d'cn-
pie. Peur montrer ia valeur d'an teiservice pour en faire traincr les convictions avec une puissance qu'aucun aatre peut-
comprendre toute l'étendue, je n'aurai pas besoin de remettre être n'exerce au mémo degré; et cet orateur, qui semNo avoir
sous vos yeux le daulourenx spectacle des fois cruels emporte- recuein! son héritage tout entier, c'est le néophyte d'Issy, c'est
MmaSnpro-
MPI.MMUi;
jfiBConrtnt. M.
ajH'M.i,
t3010 t20 5
QCAT.'iH.
i2a 75 <50e!!<e-
~'M!?. ~,).
teur en une ocea&ion Sussi solennelle, lai qui n'avait quitté qu'à
mees aox~eis se sont livrées, toutes les que ie pou- cet abbé de Ravignan auquel il imposait les mains en 1822. Son 50/OBBL6SMCV M~5/8l0~8~0~5.810~.7;8
son dernier soupir le prinee qu'il ailatt célébrer, et dont les quali-
tés avalent dû, en tant de circonstances, se révéler à ses yeux,
dont la raison supérieure avait si souvent sympathisé avac la
voir est tombé entre leurs mains, !es démocraties révolution- apost~at a décidément passé sur la tête de son disciple. Admi-
naires, dont les passions, nous ne l'avons que trop éprouvé. rable succession, prontaNo à tout le monde, et où le bonheur CHEM!KS BE FER. ~~Ï'B.
sleano?
N L'honneur de prononcer l'oraison funèbre de Louis XVni, de
ao connaissent aucun frein ii me suiHra de reporter votre de cetui qui la recueille ne pourrait être surpassé que par le t'ABtSAOM.BAM. 615..6t6a5(it5..Ct025Id.
attention sur ce qui se passait à une époque qat n'est pas en- bonheur de celui qui l'a transmise "t.'a<jt~j
core très éloignée dans un pays voisin, dont la situation offrait )) Il serait diiBcite de dire quelle fat eatre ces deux hommes si 9t
VHRSA)H.E')(r.Ù.) 99
ce roi qui n'a pas seulement donné la Charte, mais qui en a ton- 25 90 9:a5 aM5M.
Jeurs tiré son premier titre de gloire, est donc encore échu a
M. Frayssinous. La tâche éiait de beaucoup et pius beiie et pfus
de grandes analogies avec cette qu'a créée notre Réy.oiution de i'étsotion
1850; et ce pays, cependant, marchait dès lors au premier rang
lignes l'un de l'autre, au moment où leurs yeux se rencontrèrent,
!a plus vive; mais cite n'échappa à personne ceito émo- pARHABOCEN. 6406064S75GM..04S75STNASB.ABAM.
YERSAn.t.ESfr.g.)
7!)f{0~.79fMM
0 79t 4 2

grande que cetle dont it s'était acquitté en lSt8 aux funérailles parmi ceux où les lumières de l'esprit brillaient avec éc)at la tion st naturelle, si touchante et l'auditoire tout entier s'y as-
science du ~oMMftMme~ y était surtout en grand honneur, et a socia au moment scrtoutoù M. de Ravignan laissa tomberquejques
da prince de Condé, et elle le devait puissamment inspirer mais
t'eraison funèbre, oserai-je le dire, a été élevée si haut par ie génie fort bon droit, puisqu'elle avait déjA produit les belles combinai- unes de ces paroles que !a talent no produit pas, qui ne peuvent
sons do pouvoirs qui, dans ce moment même'allaient s'affer- s'échapper que du cœur, et où ta gratitude où la piété filiale du
Spectacles 9 Décembre.
~ha
dé .Bossuet, que les orateurs qui ont depuis abordé ce genre
d'éloquence, quelque grande que fassent leurs talens, vaincus
en quelque sorte à l'avance par la pensée d'une comparaison si
redoutable, sont restés presque tous au dessous d'eux-mêmes
et n'ont répondu qu'assez faiblement à l'attente qu'on avait pu
missant, et doat l'heureuse application a perte
comme moi, vons avez tous présens a la mémoire cette succes-
si haut la puis- disciple éclatèrent sans
sance et'ia gloire de la Grande-Bretagne eh bien vocs connaissez craignit pas de saiuer du doux nom de père.
contrainte pour l'ancien
» Voi!à de ces satisfactions, voitâ de ces joies que !a via du
sion de bills et cet arsenal de lois, toutes pius impitoyables les monde ne donne pas, auxquoUes elle ne saurait prétendre mais
maître qu'il ne
LaJaive.
Th..f. THÉAT&B BE H'OpimA.

7. à. J.. TM[Sj&?mX-E'&&N~A.
concevoir eu les voyant entrer dans cette lice. M. Frayssinous a- unes que les autres, qui furent aiors mises en viguear pour at- sachons du moins les comprendre, et, en tes mettant à toute leur Le FUs de Cromwel), les PrëYentions.
teindre, dans ce royaume, non pas seulement les actes de rébel- valeur, tes honorer comme nous la devons.
t-il été plus heureux ? Après Massition, après tant d'autres <foRt lion, mais jusqu'aux moindres traces de rapports avec la famti!c » L'état de sa santé commandait à M. l'évêquo d'Hermopolis 7 h..f. @s~s.a.-eag~m~
tes noms tiennent dans l'histoire de la chaire une place si hono-
rable, on pourrait en douter, sans que ce doute eut rien dont se exilée souvenez-vousde ces paroles de Montesquieu K H est un des soins qui le ramenèrent à ta un de 1859 dans le département
pays, dit-ii, où l'action de boireàà la santé d'un certain homme est de l'Aveyron.
LeRoid'YYetot,PoIichineHe.
dussent offenser ses admirateurs les plus dévoués.
N !t parcourot
punie do la peine de mort, » et l'exécution de ces terribles lois » A partir de cette époque ses jours, jasqn'à celui qoi a vu se
Ch.OBÉOBT.
soin, dans le discours qu'il prononça,
teaiës les périodesavec
de la vie si traversée ae Louis XVIM, et en n'a pas été de courte durée, car elles n'ont commencé à sem- terminer sa carrière, se sont teus écoutés dans ces paisibles lieux Acdromaqne(M~DorYat),!eMectMr.
meiiier que sous )e règne de Georges Ht.
fit sortir pour chacune d'eiies les éioges qui iai étaient dus. <jQi mi étaient restés si chers et où il avait toujours cherché un 6 &. l;a VAC~B?ï5BE.
Ayant ea, dans la dernière do ces périodes i'hoonenr d'être » Maintenant regardez ce qni sa se passe autour de neus depais asile quand le besoin s'en était fait sentir.
? MMietdeRamboui!!3t,IaGraiB8fïeLin(Arna!).
appeié trois fois aax conseils de ce rai doatle souvenir est pro-
fondément gravé dans mon cœur, vous me permettrez, Mes-
sieurs, de rappeler devant vous les paroles qui me paraissent
plus de deaze années. Pas âne loi spéciaie n'a été rendue, aucune

aucune désignation nouvelle de crimes on de délits,


» Dire les marques d'attachement, de vénération, dont il y fat
ferme de jugement n'a été réclamée en dehors du droit commun. cntoaré, et tes soins qai, jusqu'à son dernier moment, lui ont été
Mcune exten- prodigués par la reconnaissance et par l'amitié par!er même de
sion'de peines, aucunes rigueurs inusitées n'ont~été introduites sa fin si exemptaire, si édifiante, si chrétienne, ce serait s'engager Davis, BeHe-AmMie, Cetiae (M"" Rosé Ch6ri), !es Qaatre Nations,
7 h. '&'s'mr<rASB~.
).

empreintes d'un grand sentiment de jastico, et que M. l'évoque


d'Uermopolis ut entendre au moment où ii Hitait descendre do )a en raison des cireonsiaaces qui oct dû survenir. On n'a demandé dans un récit où personne ne trouverait rien à apprendre; car qui eb.J.–VAE.XÊT~S.
compte que des actes les ptua éciatans entre ceux qui s'étaient pourrait supposer ané autre issue à une telle carrière ? à une teiie Les MormaHoBs, HàUfax, ma BIaitrcsse et ma Femme.
chaire, après avoir parlé de la durée du règne do Louis XVIII passés à la lumière du plus grand jour. Tonte liberié a été laissée existence un autre dénouement?
)) M vivra dans nos anaaies, ajoata-t-H, ce régne de dix an- aux communications qne motivait le besoin de satisfaire à des )) H est des deuils, noas ne le savons que trop, qui
se portent 7:B'A&~ïS-BLO~S,
< s nées qui vient de uair, et ii y occupera une p!ace gtonease set'timeas toujours respectables; rien ne s'est opposé à ce que dans le cœur long-temps eaccre après le jour où tes signes ex- Le Capitaine Charlotte (M"' Déjszet).
x le monarque comme pour scn peupie. ))
B L'avenir, J'aime à l'espérer, ne démentira pas cet nngoro.
')) Le successeur de Louis XVUt, le roi .Char'es X continua à
pour
les témoignages d'intérêt et même d'attachement que pouvaient térieurs en sont effacés, et la viite de Redez sera ftdèie a. )a mé-
cotnmanfier d'honorables souvenir'! fussent ostensiblement portés moire de ce)ut qu'a causé dans son sein la perte de M. l'évoqué nllathilde:
à d'illustres infortunes. Ainsi les effasions du cœur sent restées d'Hermopoûs. La pompe des fanéraitles auxquelles elle donna MathMe.
g ë. FOS.TE-SAÏNrT-JaA~TjO~.
M.' l'évéqne d'Hermopo!is toutes' !cs m.irqacs de Connanra qui parfaitement libres, et aucun des setttimeos qui peuvent vivre Heu fat rehaussée par ta concours d'une population qui n'avait
!n) avaient été précédemment accordées. Le m'aistère de-! affaire"
ecclésiastiques lui fat donc conservé; de nombreux, d'imposa~s dansées âmes générense.sa'a été comprimé. La iiberté d'atier, pas eu besoin d'être appelée, et qui se pressait à la suite d'en ~<!ac~~<ac~<?~a~Mpo}Ma~,
de venir, a été constammentrespectée;eUel'aétè au su de tant nombreux cierge accoarude toute'l'étendue du diocèse, et même ARMAND BERT!N/ t
devoirs étaient attachés âcetteéminente fonction; mais ieptus fe monde, sur toutes les routes où pouvaient être conduits ceux des diocèses environnans. Dans cette foule, et au milieu de toat1
redoutabto de tous, il l'a souvent exprimé, fut toujours& ses qai s'y croyaient appelés par i'accompiissement d'un devoir dont ce qa'elto renfermaitde ptusconsidérable, quetquesvieiiiards
yenx celui do rechercher, pour les offrir an choix du Roi, 'es
.mérités qui lai paraissaient les plos dignes d'occuper les sièges
)!s sont restés les seula juges, dont personne no leur a contesté d'un extérieur bieusimpte,bien modeste,
!t valeur.
se
dant remarquer c'était le reste de ces anciens paroissiens qne
fanaient cepen- Imprimerie de LE NORMANT, raa des Prëtres-S.dat-Germaia-
i'ÂuMrrois,n'l7.
S~3M~NB~RSat!EEBS'=~Sa~a~)~FJfS~'t~SSB~3~

BBÊmECME ML~eHSnÈM~ME ET SOaMTAMBtJ~t~tJE. a échappe aax voies d'absorption, i'or~ne auqu~i il était destine. M'ayant ptus 63 com-.Itures, améliorations
des dans voire an)euNement,vons
deoieites, voulez des bronzes, des étoucs, des vos-
pos'tinn normale, fonctionne avec pei~e, qucjqucftiis avec douiour, et c'est là ce qu'on équipages ou dss eefin tout ce qui est du ressort de la mode du
En i780, le docteur Mesmer présenta le magnéttsma comme aa nouvel agent ihéra- appette sa matadio; mais les saSgoées et tes purgatifs ne peuvent ~n'appauvrir un organe gaùt, des arts, vite une lettre, un mot à ta maison ûirond de Gand tes commis de cette
peatiqne pour combattre les maladies. Cette assertion, quoique appuyée sur des faits déj:) si afî.ubti de iongues soattrances. Aa.«i n'cst-it pas rare de voir des praticiens maison choisissent poor vous, achètent, expédient, et vous recevez le tout frais gra-
mcontestabies de guérison ne put échapper a t:: contestation et an doute qni accom- expérimentes par et consciencieux avouer t'impuissa~ce de la médeone en pareit cas, et cieux, coqaet. On sait que cette maison ne'fait ses achats que dans tes principaux ma-
pagnent toujours les neaveiles découvertes. Quatre années plus tard.M.Puy~égnr, dire qu'Mfte ma!<t<!ie cAroK~Me est
vivement frappé des résnttats obtenus par te somnambuiisKte. ne s'appiiqna, comine ea nens apprenant à conHaHre laMM <;MneM: at'ec ?~<;Mc! t< ~!M< ~re. La chimie scuic, gasins de Paris. Et maintenant qae j'ai donné '.m conaeit à mes amies d'enfance, causons
composition inthnc do i'orgabo Bain et de t'orgaae un peu de fout.
Mesmer, qu'à les faire tourner au profit de l'art de guérir. Eutm, en 1815, M. Deleuxe maiade, peut nous fournir les moyens de neutrnttser. an sein de cet organe, te germe de J'ai fait hier une course au bois dans la veiture de Mme )a marquise de B. ce!(e voi-
puMial'BMtotre cr)'<~MedM .ifs~netMme; dés ce jour, l'opinion pnb'iqae commença à ta Maladie, et d'y apporter t'étément réparateur qui doit y cimenter )a gaérisan, de !a ture, Mrue des aieiters de notre fameux B~oMc~-Touc/tar< possède ça confertabtc
s'éclairer. Depuis 1S20, de noiabreHses et beiies expériences physio)ogtqnes et théra- même manière qu'on neutralise à t'instant l'ivresse par t'a~cmoniHqne, et tes. acidités He élégant, cette coupe gracieuse, ce roulement doux et gracteox qui font tout le prix et
peutiques ont eu iieu par tonte ta France, dans les Mpitaux, devant des médecins, i'estomac par le bicarbonate de soude, ainsi que !e prouve )'onvrage du docieur ~e! de tout le mérite. Ïi faisait froid. La marquise, vous le savez, est fort éiégante; elle
et la médecine magnétique a commencé à se répandre mais dans ces dernières années, yoMg'!<t, rue du Bac, <06, contenant des detat!s curieux snr )t',t guerisons surprenantes, dorioiait, friteuse, dans do riches fourrures qu'elle avait achetées la veitie chez GoK se
quelques magnétiseurs, voyant les corps ssvans repousser le magnétisme comme ebtennes pat ta chimie, de près de miite personnes, avec ieurs n'~ms et teurs adresses. rae Ytvienne. Ei)e avait nn pardessus de satin de la maison BfMne! et ~c~MerM,
moyen curatif, ont essayé de faire do magnétisme M'pn'M!<'M<<t!;i)sont mis en paMic
des somnambules qui ont vnja travers des corps opaques qui, tes yeux fermés, ont )oné
as~M:8 ~N maL MAts~N s~xafTE-AMm, Neuve-des-Petits-Champa, SS, d'une forme excessivement commode, fHatinguéerue
qcti, j'ose t'afUrmer,est destine à révolutionner la forme des crispins. Ce vêtement qui
et
aux caries et !u dans des livres. Ces phénomènes,'après avoir Sxé l'attention générate, a été baptise da nom de pafe<o< fMMc, dessine la taiiie, ne Compromet en riea la'tof-
ent convaincu quelques personnes d'antres, se refusant à l'évidente, ont parte de char- 4 (ef, rue de Choiseut, et 13, rae de Grammont. tetfe qu'it recouvre ses vastes revers avantagent la poitrine. Un chapeau dont ~)!e;csM-
atantsme le pSus grand nombre s'est demandé, d'après ce qu'il avait vu, quel rapport <h'fne, i4, rue Neuve-d'Antin, possède soute te secret de ta coupe, encadrait le visage
il pouvait y avoir entre la médecine et le magnétisme. Les phénomènes physiologiques Quand it s'agit de créer qaelque mode nonvette, ou de faire exécuter à Lyon qneique rosé de la jeune marquise, mon amie; ce chapeau en velours noir, était orné d'unleM
peuvent être, en enet, fort intéressans, mais ne rien prouver en faveur de la puis- magnificence poar grandes toilettes, robes de bal et robes de cour, c'est toujours ta saule, dont le bout de i'aite venait se poser caressante sur le cou. Etia avait un bracelet en
sance du nouvel agent médical, et nuire même à la santé du malade. C'est sons ce ~<moM Sa'M<e-~Knc qu'on voit aa premier rang. L'etite de nos dames fashionabbies, en imitation de diamant, d'un trayait merveilleux et d'une forma tout-à-fait nouvelle nous
dernier point de vne que MM. Puysegur et De)euze ont proscrit tonte espèce d'expé- adaptant cee hautes nouveautés, justifio son activité et ses efforts assidus. A cette spé- t'avions acheté ensemble chez JSOM, rue de la Paix. Aujourd'hui personne ae rougit do
rience publique. Voici maintenant qui prouverait~ue ces principes sont bien fondés ciatité bienacqaise et justement méritée la ttfsfMK Sa<K<e-.4MKe joint ans~i en autre porter des diamans en imitation Us sont aussi beaux; H est impossible de deviner la
M. ~MM G«MMMr, autour d'ace Yn;ro<fMC<ott <tM Jtfo~McHtmc ~) et d'une NMtotre du avantage, apprécié généralement aujourd'hui, celui de vendre au prix te ptus modéré rase, et puis c'est économique. Le marquis, qui était avec nous, avait un de ces pale-
SoMKam6M:Mm<'(2), qui occupent aujourd'hui tout te monde, a voulu justfner ses écrits une immense variété d'étoiles et de tissus pour les toHettes de vitie et les toitettes plus tots-sacs que la MMM Bet-mar~, rue Neuve-des-Petits-Champs, 69, a mts st grande
il a ouvert, rua de Clichy. so, un <f<M~meM( des n!a!st!t<M négligées do matia. L'approche du nouvel an a sembié âne occasion de fatre de grandes vogue. Le patetot-sac est à co!!et droit, croisé sur tonte sa tongoeur, et a en
par une pratique sévère, etdirection pour cachet
le m~tt~Mm~~ sons la
parsérieux et la ~«rMtMftnee de M<M<cMM tM~cc~tf!. Là, tout acquisitions de 60~ marc~. Voici t'époque de? 6'f?nnes, et souvent on est bien aise de particulier des manches demi-larges, coupeà J'orientato, sans parement, pouvant
est oa n'a en voe qae les gnérisens, et tontes expériences sont défendues. Le s concilier avec fes intérêts de sa bourse tes exigences de l'habitude et tes élans de sa retrousser le dessus de ia manche s~aUenge sur la main en décrivant an demt-eerctese
malades on les curieux ne soat pas admis à consulter les semnambales pour nno Ms: génétostté. Faor nous, prêtresse indigne de ces dieux tout pnissaas aujourd'hui, le et toute cette partie est ornée d'une élégante chamarrure it en est de même dn cottet'
c'est an traitement qu'it faat snivre moyennant une somme modique (i50 fr. par mois), Hoùt et la Mode nous qui devcns savoir toas tes mystères qui s'accomptisseatdans teurs qui est également chamarré à la polonaise. Tout le vêtement est bordure d'un galon a
M. GatttAMr attache an maiade un magnétiseur, na somnambule et un médecia. Aucun temptes, nous devons sans doute être agré::Mes aux dames en leur racontant tout ce plat et doublé de soierie. Cette innovation attire en ce marnent fhez .BcrMen! toas les
rcm&de c'est administre quasar l'ordonnance dustédeci~. Un journal, la ~cftMM~Me- qui nous a snrpris )ors de notre visite à !a EBaison Sa!'M<<MK*. Les grandes vérités éiegans. Le marquis avait un chapeau de Biget et une canne de ~rdMt-.
K~M~~ rendra compte des cares et des faits qui auront lieu. en France et a t'étranger, et se résolvent par des chiffres ainsi,peur certifier qu'a quaiité égaie on ne peut trouver on se marie beaucoup dans ce moment-ci, et tout te monde sait qn'i) n'y a~ pas de
cette seconde entreprise assurera la jastiacation complète da magaétisme considéré aittears des prix aussi modiques, noaa dirons que noas avons vu de délicieux )MKts mariage fans cerbeiile. et pas de corbeiiie sans chates de cachemire. La maison
cemmemoyeacaratif. ~MadrtHes sur levantine croisée a 4 fr., un assortiment comp)et~e<f<'MMMf!r«t)M9t<M frottM~ GTama~Mc, copnae de longue date pour la richesse et la beauté {de ceux
dtt
Ce qai preuve que
was?tetttme,
)e
fondée
magnétisme
en l8tS par
est
M.
vraiment
le
en
marqats
vote
de
de succès,
Puységur, M.
c'est que
Deteuze et M. le terminer cette nomenclature,
à
~a Soctefe nouyeMX a 5 fr. 50 c. et 3 fr., des satins unis de toute conteur 9 fr. 9p c. ennn, pour qQ'elIe reçoit, en a dans ce moment un assortiment encore plus beaux, s'il est possible
engageons nos tectrices à~Hervoir un monceau de Voûtez-vous, sans danger pour votre vie, voir des bêtes féroces, et sans dangsr ponr
cemte Abriat, Tient de se reconstituer. Les travaux se dirigerontprincipalement sur l'uti- Pékins satmés 2 fr. 40 c., dontnous
a la disposition et ta fraîcheur se iaissent rien à désirer. votre cœur, voir les plus gracteases Mguunes, aliez chez .Mr(H<.c-(t'~)t~Hn', rue Casii-
lité du concours <ta magnétisme avec la médecine dans le traitement des maladies, et Dans un prochain Numéro noas parteroas d'une foute d'antres charmantes nonveantés gMene, n°*8, tout cela y est en bronze, ses magasins sont un-yrai musée; H a des
tes statuts porteEt qao tes membres M dowent /atre cttCMKe f.Epj'n'ence pu6h9Me. La sé- pour Qchas, écharpes, etc., etc., qae les femmes apprécient tout pour compléter une flambeaux surtout d'une originalité des plus attrayantes. Il faat que je vous fasse âne
vère application de ces principes sera nae véritable recommandation, et M. Ganthier toMette. JULIE BED* confidence, c'est que cette année on donnera beaucoup de bonbons ea chocolat pour
tera bien d'y persévérer. Un traitement tel qae le sien est le vrai moyen d~ proaver les CAtISERtES. étrennes, d'abord parce qu'ils sont meitleurs qae les autres, et ensuite point nuisibles
vertus curativesdn magnétisme. ° D~.LOMSROux. à la santé on peut en manger tant qu'on vent, sans risquer de se rendre malade.
J'ai beaucoupà cmser anjonrd'hai te Jour de FAu fournit âne amp!e Natiëre. Mais 7;ott~'fM-RotMse! a non seulement inventé de nouveaux benbons en ce genre, mats aussi
Les maladies chroniqaes consistect dans !e défaut d'équitibre des étémens de l'organe gavant tout, ces premières lignes s'adressent à vou9, mes jeunes compagnes d'enfance ,1 de nonvetles boîtes pour les renfermer, ce qui, je crois pouvoir l'aNrmer, n'a pas peu
malade. Ces élémens apparUenaent tous aa régne animal, et, du mement où l'un d'eux deaux, Victoire, Laure, Ctarisse et Adetine; yeus qui, tout en habitant notre chère vitte de Bor- contribué à rendre ce benboa sià la mode.
voûtez être étégantes camme à Paris, c'est faciie, écoutez-moi bien Vous écri- dé- tl y a une chose que les femmes aiment au moins aatant que les bonbons ce qui
()) Unyol. m S". Prix: 6 fr. –(9)Deax vol. m-8°. Prix: M ff. Ces deux oavrages, sirez yez ta maison
vez àa lR maison de COMMISSION
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~6, RtJf~. BERGÈRE, que vous dé- vient sans doate de l'analogie qui existe entre leur fragilité et la fragilité de cette cho~e
RUS BERGERE
encoaragés par le Roi et par M. le ministre de l'instmction pnbHqne, se tronveat aux envoyez tant de robes de bat, tant de robes du maUo* tant de robes de promenade, et voua ce sont les porcelaines; qu'est-ce qui ne connaît pas l'escalier de cristal au Palais-
un corsage ptat, ua seul,, avec la toagueur dejia jupe c'est tout. Vous deman- Royal et son aimabie propriétaire, M. Lahoche-Boia qu'est-ce qui ~e Mtt pas quo tous
bareaux da la Ae~ue m«ett~Hs, rue de Cticby, so, et chez tes prmcipaux libraires. de~ une tayette un trousseau, uu3 corbeitte fie uisriage, vous voûtez faire quoique a les beaux services de table, soit eu porcelaine, soit ea cristal vienaent do cette maison
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Aventures de Tetemaque, par Caee~ftttmt 3S .Moe'eeaMx eBM~Ba!H, ft~e)~ KecmBMjtRgnemeMtde ptttMO, MBte TX~tiee, DANS L'HOMME, Ï.A NATUB.E ET LA SOCIÉTÉ,
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Cet oavrage a mérité
tes sympathies de teute ta presse do Paris et des departemens. (6486)
Discours sur
sëiie, par
Oraisons fanÈbres de
Bossuet.
l'Histoire uoiver-
Bossuet.
3
1
Lettres Persanes,
Grandeur des Romains !'dcm,
OEuvres choisies de Buu'oa.
t
6
N.B.C~aQMe~u<eMrdf*!<tCoHtc<!onscccHdM~(trcmen(. MECVEtJESMtMÂeTJt~BJJËaMEA.T'ABîSEKdN,
EN FRANCE et A S.'ËTRj&.NGKR, chez tous tes dépositaires de Professeur de Chant au Couse) vateire.
COMPTOIR CEDJTE-a.ï. DE I.A MBB.AI&IE.(6289). S~~FE~E ?!? 4 W~B.~IME~,
-LALMER, PARtS OEUVRE. t. A B C~L'StQAL.
4. SOLFÈGE
2. Snite de )'A B
B'AR'nSTE(tttr<OU<M!MC<<s).
C.– 5. SOLFËGÉ a*2 VOtX.–

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`
(()7t6)

~CBtCHe)!4.Nf-tTatt)B.HC<<<C.
!"qa!).S!'<;C3t.S'<nt~
Bit«/e de .')/<Gui
Gtft.~oM. at'OMe, ft« 6'euz'e-
ram A'ettM- DH6BNHB, tenu par M. Pétron, bo.)[evard Montmartre, n" t. Cette vente corsiste en L'assembtee ~enerate du )0 novembre I<'JNVENTEUR KE CRAIGNANT PAS L'iMtTATtOK. F6tB(:M5!)3&)78 t SU Tt t '?0 7StW
~ftt<)dtb!t.i<j&36..t.t..
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dernier n'ayant pas réuni tes canditiont Leur perfection consiste danst'inscnuiteet tajasteMeevec hquet~ e))et sont adaptées
''xi~ëes pour pouvoir s'occuper de ia r" sur les gencivt'i sam tenir anx dents yat~tnes par 4es crochets oti ressorts toujours

f.
forme des statuts, ie gérant, aux tfrmesd~ naisiMfS. Ces dents sont garanties po'.)rtenrso)iditf!,)<'urcouteur et <furfe~emb!anee ~:n.4.j(.t..
f.tB)!en*< M!!<T-m!iHt. .'h 0 ~c.

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tnut!i'E'nce~cscrtccsdutrihunaleï'ntdp
premiers instance de la Seine séant au Pa- et très
Les Vins qui feront partie de cette rente sont en généra) de première qualité
Fuyard.vieux
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)'art!c)e H.i de t'acte ftc Société, a )'t«tnT)eH) pxrtaiteaTt'Oesdentsnatmettes.
~JEtiter !HM. h"! Actiontiafresase réunir t
(6:jt.)! P<it!:<!t 38 t 3*) a'j 37 t o. M~ t
ia~s-de-Justiceà Pfiris, tocai de!f)
chambre dudtt îribHna!, une
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heure
reieyAM.te 98d<ce<Ei)re l&H, en Hn'seu)
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FOMDS ?
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vetoppement.S'adresser,pour tes renseisnemens, daBeutheures & midi,aM.Nr!tche- Jehx
t'* A M* Guidtu, avcue.pM!!rsuiïant, ruf
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eonj.ons. (e p. )u. tes Certitieats prov. etc ))~BB~~H~aW&B'at ?&
jPM S9 ttOMM~e
Ht!t<Bt!t.OTfi)s,eharroo,rBedMEerut!ff),
8,l)em.–Juj;e-commis9.iire,M.Cha.

_72~)
Keme-des-t'etits-Champ!, 02; ERRATUM. nans notr'* numéro da 'enet; syndic proYisoiro,JU. Lorrancois.
2"A M'' Vincent, avoue présent a î< vente, courant, a t'annonce OBSTMH?C'!tON BEB
f. CEBîTMtES. rueRiehetieu.C!).
rue Saint-Fiacre,2~; Pourcansede dissection ae Société, fn d!)tè du B0jui))etl8t3,)etribuna!a décidé &&Ta ET CBS SttBatS, sans arsenic, lisez PETïT AFPARStL <tue chacun peut facitement ADAPTERa tOUTES SORTES NiB Bt< 3 daccmbre 1842.
3" A M' Norës, notaire, rne de Oery. i). ruedei!ond)-,l?,autieudet~coœmenuu'
qae, pendant la durée de la liquidation,Sxée à dix-hait mois, il serait interdit au sieur )'a\ons in<!ifjuc.
B&Z!EM t.&mrBS.qNi ienr fait donner une HrenEUE EBt.OCtSSAttTE SANS FUMÉE, et qui CuÈNEAU, maHre d'h6te) garui,
de préparer, vendre ou annoncer son remède contre le coi) RE et les scuo- EKrpECHS ics VSHRB3 D'ÉCL&TEH. Chez JO&NNB et C<, fabricans de LAMPES rue LepsOe~
tter. 5. –Jugo-commii.sairc,M. 'I 'ubaot;
AVEaMmE,' plus adres- A VENC&B t5U ,tr. Menbte de saiCD com'- brevetées a MSUL&TBU& et JETCfNTtNU, de toutes fonnes. pour tous les usages, syndic
MLES. Jusqu'au29 janvier 18t4, tes tcttres de demandes ne )n: seront doncliquidateur, de t4fr. et au dessus. ASTE&MSA3 fr. et an dessus. fAuranc~r.) provisoire, M. Pasca), rue Ri-
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sées, mais uniquement à M. jon<?~, rue du Sentier, 3, à Pari<, nommé
et qn) seut pent vendre ta fOCjBE DE CEtfOT, préparéepar Baz ère.
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ff'7~6)
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S'adresseraM'Cariier, notaire, rue des Les CKATTFfB-ASSIBT- Qn'on est ecRo parvenu à apporter à Paris sans aucune nttération. Juge-commissaire, M. Le Roy; svndic.
Fii!es-Sa!nt-Thomas,9, phce de ta Bourse. TBS et fes APFAHEU.S erotisoire,M.Th:et)aut,ruedela Bien-
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Juse-eommissaire, M. Meioery; syndic
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si justement renommée. Cette année, ette s'est encore surpassée. s'itcstjp8Mib)e:tés comme ornement, tes corsets de M"M c~M~Mt sont prescrits-auxJeunes fities. Quant trouverez toutes tes denteties possibles, (eues que voiiettes ea~entettes nefres dans ton
étrennessont comme te printemps, ceiai-ci fait éclore 'esfteoTS, cetai-tà, tes objets < ses Co~c~ ~t()ie ~emme, its sont si vite mis que ta (crame la pius paresseuse n'M pas te'; prix, grand choix poar étrcnnes, écharpes riches, petterines, votans, application",
d'arts, cadeaux ravissans, dons d'amis, du cœur, et de l'orgueil quelquefois; mais même t'excuse de la paresse pour s'en priver. Ils se coûtent que 2{), 50 oa 40 fr. les mais encore on se chargera de toute e.ëce de réparations
qu'importe si tout te monde y gagne, le vendeur, t'acheteor, et ]'fb!ige A ce moment plus riches no dépassent guér.e 100 fr. EUGËKJE t~OA. La vieitte réputation de t'Eatt d<? Bo:')( ptace to'tjoars ce dentifrice au rang des ptas
important qui est )a veitie des fêtes, des bats, des soirées, où i'on renoaveUe tes CMtt~X~tJjE. precteuscs dccoavertes faites par la science dans t'int~ret de la toilette. L'Batt <!e Notât
teatnres des appartemens, comme on renouveite sa garde-robe, il est urgent d'aller n'est pas seuiement honae et utite pour tes soins de ta bonche, e))e est eacore enaptoyëe
'visiter tes magasins de papiers peints de j~. /'ro<, passage Choiseut.où )'é)éganceest Je ne saurais mieux commencer cette chronique qu'en vous partant d'une charmante avec le pius grand succès en totion~ et en bains car eUe as~oupttt la peau du cores
réunie au confort. A la dernière représentation de i'Opéra-Gomiqae j'ai remarqué de Revue littéraire pubtiée sons )6 mêmetitre, ie 15 deet qui obtient en ce moment )e ptos grand au'.<-ihipnqn'e)terafr;)ichitet parfume i'hateine.
charmans chapeaux de velours à ptumes de héron, dans !esqae!s j'ai cru recon- succès. La CtroM~Me parait le 1" et chaque mois, par livraisons d'an moins La CowiM~'e Bfft'de~tMe mérite bie') aussi que nous lai consacrionsqtctques ))gaes
naître te goût :i par de ?"0 cordter, 56, rue Neuve-ties-Petits-Champs. -M"" Corf'~r a 52 pages grand in-8", qui tonnent, à la Sa de chaque année, trois magnifiques vo!umes. jamais tfiministratiot) mieux orgaaisee, et f'jnctionBant dan'! un bat p)as morat, He s'é-
eu t'idée de faire des chapeaux de vetoars, dans tesqnets il entre desJenuances ditTé- Oa s'abonne rue Neuve-Saint-Augustin, S7. Alexandre La dernière livraison parus contenait: tait occupée de fournir a ta consommation puriHenne des vins de qaa)itc aassi supérieure.
rentes de la même couleur cette mode obtient une vogue metitée. me souviens SfMttt-.?<moM)t. Intéressante Bouve)!f de M. Dumas; f~ Siogr'ap/ttc /.a- Cela vient de et! que, achetant toujours sur fea ticux mêmes et à t'cpo~ue de la recotte,
avoir vu aussi un (urban-suttanequi sortait également de chez elle, et qui faisait fureur mntMaM, par M. Gandonniére; ~erah:u's du d<;K-?MMMC!Ke~Mf'<e. par M. le baron les gerans de la CnMp't~t? Bot'~hMM sont certaina d:; t'o igin~ et de ttt qaatite de Icars
raatre soir aax Itaiieos. de Goutet; ~)c.e, par MM. Anton! Deschnmps et Eugène de Loutay; L-!<rM sto'~ vins. C'est là une grands garantie pour te coMommateHr.
Même Harpagon l'avare disait Il faut manger pour vivre; or, pour manger il faut Mot't~, par Mme la marquise de Vngneux; ~'f!<CoM'')t<'r, <M C/i~t~ft, <<S<Ms-E<fMr!, Le guiUoch!s imagine sur bois, sur marbre, comtM sur métaux par .M. f.oM(s Pettttc-
avoir de fapétit, et pour en avoir, ceci s'adresse a c~uxqui n'en ont pps, il faut prendre, !e~ û<ï:W!'He ~eaM)M-rc, F;!KMe a .Mode, !t~ Gi'<t~!<M c< !M ~htfs C~o«' SoMpc~ quin, ébéniste, breveté, rue de Lesdiguières, 5, près de t'Arsenat, nous semNe appeto
<a
repas, an petit verre de ~ot'oM-mc~ere. Cette liqueur, aas&i agrécbte ?))'
un peu avant lefort'Oante tmpos~iMM, <~ MfprMe, <.ijMKfM!, J?"e aMMidire, ~"s~cM:, i'/7o<e< t.'e HamhHM!Me<, à faire une r6vo!utio'i dans fart de la décoration. Les moutures <ii(es peMtt'-qmKertM, da
aupatais que pour l'estomac, se tecommandB par son nom même, qui HacM ou t'Ae)tr<MM C/)M<c. La CA'ont'~ue nes'eatioftt~pas ta; eito offre encore a nom de t'invc:t!eur, sont devenues d'un usage universet; c'est te p)as riche ornement
indique qu'efte Be contient d'autre spiritueux que celui da vin de Madère. Le stoughton- ses nouveaux souscripteurs, d'ici au 15 décembre et à titre de prime, un magtiiuque qu'en puisse donner aux meabtes, te)s<}ue sièges, pianos, bittards, intérieure <te ma-
madëre se vend chez ~'cs GaiMurd, distillateur breveté du Ro', i7, rue du Peiit-
Carreao.ca)s
à Paris.
keepsake pour étrennes.
Ce mot tombé de notre ptume vient de réveiner en nous le souvenir de la rne du
gasins etd'.ippttrtemens. Af. 7'ftttt~utnest, on le
quoique ses prix toient des
sait, nn ~rfisto en ebenisteria;
ptus modères, tes amafears de meubtes rares et arti.ste-
et,
Si !es n'ont pas encore commencé, tes soirées sont déjà dansantes, et !e pinno Coq, 7. H n'est personno qui n'ait vis.te au moins une fois !es vastes magasins d' t!pAonse ment trhvaines pourroat )ni commander des ameub~emens dignes des p)ustiches hotets
y joue un fort grand rô)e. Je ne saurais trop recommanderceux de J.'attfra, rue Fie- CtroM~, dans iesaoeta oa trouverait au besuin des etreanes pour tout Parfs. L'établis- de même que tos fortunes mnde!.tes pourroct h'en procurer qui Joindront une eteganto
chier, 2. Les pianos de A'aK<t'ft ont t'avantage de joindre à une sonorité parfaire une sement de la rue du Coq est un veritab'e buzar où vous trouverfz n satisfaire tous vos simpiici'e a toute )aso)idite des premiers.
<tuatité de sons <;ui les ptacent parmi les meit'eurs instrumens des facteurs de Paris. goûts,vos moindres caprices aussi bien que vos plus tuxueuMs fantaisies. OAMM?BR.ES &ESOCQ. Voilà certes une invention doat t'utititô est iscoHtes-
L'ébénisterie en est très soignée, te clavier est bien (ait, io mécanisme est cxceUect,
M. Manera n'emptoyact. pour la garniture de ses marteaux, que des peaux de premier
Si ron ne dcaoe des étrennes qu'une fois ~ar an, en revanche on va tout l'hiver au
speetacte ou au bal. Vous n'attendrez donc pas tu Jaur de t'An pour rendfo visite a
!ab)e. Djns la saisan eu neus venons d'entrer, chacun M préoccupe du soin de se dé-
fendre centre tes atteintes du froid avec te ptus d économie possibte. Les appareils de
choix. M"' BMKMttM, rue de ta Chaassée-d Aotia, 62. grâce au buste mécanique sur teqoei unes Grfj~iOH et.Jaftt, dont !es henux magasins de ta rue Vivicnne, 16, font t'admit aiion f~coc<boutevMd Poissonnière, 14, ourent une économie de 90 pour 100, éceaornic
eite pose !e corsage, fait t)M
a avancer. Le
toutes vos robes sans qu'il
mecftn'~ttf est une
ait
un pti à rect'Oer. uue agrafe à
invention et un progrés du
de toutes les personnes qui les connuissent Ces d~mcs viennent
nue de créer une nouveauté qui permet d'en récupérer le prix en quelques semaines. Oéjà de nombreux etabtisse-
reenter ot: .B'eft~e'ttt délicieuse pour foiiette a'Opérn ou des ttatiens c'ei-t
jupes, robe en moussetine, à trois mens puMics sont venus sanctionner )a fa"eur que la précieuse ioventioa de J~. ~tcoM
dix-neuvième Mëcte.Cn mot encore avant de finir: vous êtes trop femme, trop amie avec entre-deux de dcnte!!es vatenciennes et maiities. Edes en ont égatement iui n méritée. Nous citerens entre autres tUo!e'. des Invalides, tabiMiothe~ae du'J.trdia-
de vous-même, po~r ne pas savoir qa'une grande partie de la toilette, qce ia partie la d'autres aussi à trois jupes, p)u~ simpies, pour jeunes personnes. Cette mode, d'âne des Pianies, ).i Manufacturedes Giaces. les hôpitaux Beaujoa et ta Charité, tes cunéges
plus importante n'estai ta robe, ni tes bijeux, mais bien )e grand soin qu'oc a de sa élégance pleine de distinction, aura, nous n'en doutons pas, te pius grand sucées, ti en Staaistas, Saibie-Uarbe, et ptusieurs autres grandes institutions. Yoita des faits qui éta-
peau, ? Mcre< <!c !a (oHefte enSn. Par exempte, combien y a-t-il de femmes de quarante est'de même de !a nouvettt; innovation de ~V<)-, rue de ta Paix. Cet habite gantier blissent bien mieux que des étages le mérite des cjtort~eï ~coc~.
ans en p'-ovincoqu! ont quarante ans, tandis que celles de Paris du même âge, n'en vient de changer encore une fois ses garnitures de gant' pour bats et soirées. Le geare
est on n'e)t paraissent, ce qai revient an même, que vingt? C'est que .M. B!s?:c/tc. Pa~o~f, qn'it d adopté,est d'une élégance dont rien n'approche.
tT.HNEKAtREmESETMAWeitatSA.Z'ABUS.
parfumeur, breveté, passage Chotseut, a inveattiuoecrème, jeunesse,
.'a crëine d'jHébê, qui
qëi Je vous ai parlé du J.<U magasin do7a A'*get)cc, i5, bontevard Poissonnière; leurs SOlEB.ïES ET NOUVEAUTES. A l'Entrepôt gênerai, 8, rue de la Vritiiëre.
eonserve ou qui redenne à la peau le velouté de la efUce les rijes ou propriétaires, ~M. 9/<trM et ~M'erM, yiennt:utde satder cne forte partie de manchons, MOBES ET ARTICLES DE COUR-– LEMOMER-PËLVEï, 348, rue Saiat-Hanoré.
Iss prévient, et que toute élégante, qui sait être élégante, &'Bt) serf; c'est que son Msrh-<; de f<t AoMMHe-~ciaKtfe, imitant parfaitement ta martre zibeline, ~tqu'its livrent

P~t'ht'f.
B.OBES. M~< HOUAT, Cité des 'tatiens, rue LaNtta, 1.
savon de pâte da guimauve est admirable pour tes maies, qu'it !es rend ddnces one- pour 100 à 120 ff. Us ont auxs! un très beau choix de camaits ea fourrures, dans les TAÏLI.EUR. SCUVAK-rz,rue Richetieu, i05, et rue d'Ambotse. t.
tueases, et q-fe sa pâte sidoanienne, dont on se frot'e les mains après se tes être prix de 300 à 500 ff. Cet article est très soigné dans tes magasins ëe !<t. ~enc< Une
OBJETS D'ART. ALi'HUKSE GtROUX, 7, rae da Coq-S.tint-HoMrë.
tavéas teur imprime an parfum a~oMbte. J'ai fait mettre nn échantiUon de toutes ces autre spécialité non moias remarquabie, c'est
tftéâtrf~et )asoirées,' Nous
pour
ti!t,:erie. y avons remarqué des VOITURESDE LUXE. OKSOUCHES ToccMARC, 42, avenue des Champs-Eiysée)'.
choses !à dan" 'a caisse que Gtrot't de Ras~.vous envoie. bonnets Gri.ï et t./tart~Ha, pour d'une étégaHce et d'ungoût SOIMS DE LA BOUCHE.–Docteur tM~OQUE, 30 CM, ruo de Kivo)i.
J'avoue que je ne trouve p.'s de cersets plus commudtS qoe ceux de Mme CicMett~na,
no 8, rae du Pf) t-M:'hon. Cette habUe artMte a su rendre cet indispeasabto
vetemeut Je vous recommanderai également ie Dépôt de Cen.!ef<« de la rue du Dauphin. Chaque –M. DCPO~rayant trouve, en Hussie et enAtiemagne, )e piacement dos anciens
d'une souplesse feite qu'on né )e sent pas; it soutient )a taitte sans ta serrer it t'at- Jour un accident arrive; nnctou insolent emporte la moitié d'une broderie. Comment c/Ktte!, prévient )es Dames qu'il éctmfige ceux dont ettes voudraiest se défaire contre
!onge, i'assaupUt, ta diminue à readroit de la ceinture. Comme hygiène, ainsi que faire aiors ? Adressez-vous an Dépôt da ta ma du Sauphia. La, non seulement vous de nouveaux. 2, rue Meuve-des-MathuriBS, Chaossëe-d'Antia. (65ti)

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