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Gil Blas / dir. A.

Dumont

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


. Gil Blas / dir. A. Dumont. 1893-07-31.

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Ilss'occuperont uniquement de besoinPourdoetranquillité.
btenir cetteprospérité, TOUS avez LES AFFAIRES DU SIAM telligent. »C'estuIlnest princefortaviséettrèsin- s'attendre à recevoir souspeudesallemand.
nouvelles
viendra,on passera
l'argentpartides corpset deM. Carnot.
laquestion du. Siam. lefavoridupeuplecam- confirmant lamortdel'explorateur
bienau républicaines genschics.Lesplus
sontles ambi- BRUITS MINISTÉRIELLE Est-ce larevision delaConstitution
? qui bodgien, et,sileroi Norodom mourait Bruxelles, 29juillet.
sincères femmes DECRISE vous donnera cettetranquillité Est-ce en etqu'ilconvînt à laFrancede le rem- Uncomité, parmi lesmembres duquel figu-
tieuses, les d'avocats etdemé- Un certain nombre dejournaux dusoir o nt ouvrant lacarrière aux fantaisies detous L'ultimatum accepté placer le
sl'ondevrait
ur trôneduCambodge, c'est rent d es c onseillers provinciaux, s'estformé
cins quirêvent leur époux des
pourquiveulentêtre affaires annoncé hier que M. D evelle, ministre des les inventeurs deConstitution aux ambi- Hiermatin,le ministre plénipoten- lui que choisir. Mais.ilest afin d'organiser une grande m anifestation
étrangères, etM.D elcassé, sous-secré- detouslesadversaires dela Répu- tiaire
fonctions laélectorales, donné leur tions travailler du Siamà Paris,leprinceVa- possible uelaFrance
deqsuccesseur nesonge asa anti-française
qpuand en 1898, datedu centenaire de
madame conseillère
madamela conseillère travaillent
d'arrondissement,
générale,
taire d'Etat
démission aux
pour
ma- 1°Lagrandeirritation lcolonies,
esmotifs
avaient
suivants :
quisequ'après
manifeste
blique,
raix?
Est-ce
q ue vouspouvez
enréveillant desquerelles
e n dhana, est allé rendrevisiteà
reli- velle,ministredesaffairesétrangères.
M. D e- donner
il mourra. C'estpourquoi
àNorodom
on
la«guerre
Flandres,
parled'in- françaiso.
des
contrebrigands»
les troupesàCampine,
de la
dansles
République
damela députée.Celles-là République, de dans l ecorps de lamarine depuis le gieuses dont t outle monde estlas qu'on Il lui a faitsavoirqu'enprésencedes ternerDuong-Chacr en Algérie, sans
passionnément pour la beaufaitd'armes descanonnières venant se donnera cettepaix à laquelle i l rigoureuses prisesparlaFran- réfléchir qu'il e st spontanément
venuinjusted'attenter en
laforce d e leurs bonnes
toute mainsactivesdeménagères.placer l angues devant Bangkok, on ales obligées, par aspire ? aupays
Laséparation
impossible à
desEglises
l'heure
e t
actuelle.de mesures
ce, legouvernement siamois a cceptait France, 4mt qu'il s erait ACTUALITÉS
kt deleurs ordre, derétrograder. m algré l'Etatest deprétexte sans réserves nirestrictions l'ultimatum à sa liberté.
Aucunagentélectoral
vautunefemmedévouée
desonmari,
jolie.Elle
s
en province
surtout bienvitela
centralisera
auxdestinées
ielleest un
ne 20Lesengagements
peu
po-
déclaration
pris v
seulement
àla tribune,
is-à-vis
de du
nepas
formels
gouvernementM.que,
bombarder
Develle
anglais,aurait
Bangkok,
sa Ellenepeutque
non
etle
sectaires
sous l e
Citoyens,
pourdela
masque
ne
servirles consciences
-
opprimer
vous
liberté.
laissez
des p as prendre
:
aux du20juilletdernier,danstoussester- » SonamitiépourlaFrancedoitêtre
:'1---
chi-
mes
rive
rectification
gaucheduMékong
versement
defrontièresalimite,
d'uneindemnité, c ommepayement
vecla d'autant
dela puissance
poussé l
moinssuspecte
es
denotrepays.
propositions
qu'ila pujuger Onparletoujours
du
S'ilare-
Siam, c'est Buloz.
beaucoup del'affaire
pulation
quinaissent
flottantedesde jeunesélecteursBattambang
leurdroit
àl'usageindécision
mais encore denepas occuper
de Office. sansenavoirréféréauForeigu-mériques.
Langkor par
dans
des
q
mots
uatre
Unea
s onores et
société
nnées d'une nese
promesses
réforme
législature. pas immédiat
coupables.
de3 millions, châtiment - des peut-oncroire,-parcequ'ilscontre
vaincuquela lutte duSiam avait
'estcon- donnée
la
Nousavons
par
démentihierl'information
plusieurs journaux, annonçant
vote; elle fixeraleur entre Dans lasoirée, l'Agence Havas se déclarait Laprochaine Chambre remplira, etam- M.Develle s'est renduimmédiate- Franceétaitimpossible, et qu'il du qu'une réconciliation entremadame etM.
liera les
demi-promesse ;:
lespartisquilessollicitent.
défaillants d'unsourire,
Elleral-
parfoismêmeilfaudra,
d'une autorisée
nière la
àdémentir
plus f ormelle.
AU
cettenouvelle
DAHOMEY
delama- plement,
ques
Une qloi sa
uenous
sur
tâche
r
laliberté
:
siellevote
éclamons
l eslois
;;
d'association
p rati- ment c
duconseil,
hez
communication.
M. C harles Dupuy,
pourluifairepartdecette manche.
présidenttoutavantageàse tournerducôté
» Quand a u reste, i l vous l eracontera
Buloz
pas
était
rapprochement
encore
faitaccompli.
un soità espérer,
produit.
Bienquece
il nes'est
pouremporter influence,
uneelle payerde Lecolonel dugouvernement Uneloisquicomplèteront
loisurles accidents industriels leConseil lui-même, carlevoiciquirentre. Jeme suisprésenté hieràlaRevue des
toutesapersonne ne reculera pmé-
as; l'ordre deseDumasmettre areçu
en rapport avec Behanzinneront Deslalégislation actuelle et perfection-
sur letravail des
M.Ch.Dupuya convoqué
ministres p our deuxheures. Cinq Duong-Chacr Deux-Mondes dansl'intention devoirM.
c'estpO ourle parti;c'est le
pourquisait qui a demandé entrevue.
unedûavoir surl'hygièneministres seulementse trouvant pré- Unehommejeune,de toutepetite Buloz etd'obtenir delui conversation
nage. ui,une femme agréable, Cette entrevue a kilomètres lieule25ou le26 desfemmes
sud-est
etdesenfants,
dutravailetleshabitations ;;
ouvrières sents àParis : MM. Ch. D upuy, Develle taille, pieds d efillette, pénètre denatureà fairecesserlune esmalentendus
àdonner,
propos marchander, à propos
se de l'adultèreavecme- d'Abomey. se àGoho, à quelques au Une loisurlesassurances agricoles Poincaré, l'amiralRieunier f luet,
etlegénérai dansla salleoù noussommes. aux qui circulent dans lapresse à sonsujet.
On n'a pas encore reçu dedépêche l'assistance publi- Sa ja- Après longue a ttente danslesbu-
sure en
qui usesoigneusement
évitant
teriedésintéressée, —
candidature c'est
qu
lagalan- Nous sur
le succès avaitcomme
elle
lesrésultats
croyons
decette
savoir
instructions que
e ntrevue.
lecolonel
den'assurer
Dumas
à Be-
que
Une loiquiorganise
dans
Uneloiquidonne
m utuels
;
lescampagnessociétés
aux
large liberté
de
d'action;
Loizillon,
à un échange
leConseil
d
n'a
'observations.puque se livrer
Ladélibé- quette
rouge.
noire,
Sous
se- rationa été remiseà unautreconseil, milieuduvisageolive,à peineduveté nepouvait la boutonnée,
chevelure
estrosettée
dure etroide,
d
au
e reaux, on
Cependant,
une
m'afaitrépondre
me recevoir que
encemoment.
M.Buloz
pa- hanzin sa reddition,cours une lescaisses jequittaisl'hôtelde
tronne.
assurépourla
Entreles républicaines etles aristocra. sans
quelavie
autres
L'ex-roi deDahomey
sauve,
conditions.
contre
a-t-il accepté ? C'est ce
Uneloiquiémancipe
gne;
Une loi sur lesretraites
d'épar- qui
ouvrières. M.Carnot.
dans sera tenu aujourd'hui
l'après-midi, sous
dimanche,d'uneombrede moustache,
la présidence de attiretoutdesuitel'attention
vivacité
le regard laruede l'Universite,
p ar
intelligenteson fortune de
comme
rencontrer
j'ai eu la bonne
habituéde la
unconfidences
tes, c elles q
sées,ce sontles
fonctionnaires.
uise trouvent
pauvres
Oùaller
fortembarras-
femmesde être
? Comment
que l'on ne
renseigné
l'autre.
se Dans
sait p asencore,
surce pointd'un
le casoùBehanzin
et on
seqserait
s'attend
moment à
à
soumiscaux
Nommez
mettront des
moins
socialistes,
républicains,
d eréformes
maisquitiendront
qui
que
vous p
lesradi-ro- Touslesministres
secrétaire d'Etat d es
absents
colonies,
leurs lementquittéParis,ontété priéspar brûle-pourpoint
e tle
qui a
sous-
éga-
éclat s cintillant,
matoise. sa
etJevaisdroit but, je demandé
et
au princes'il n'a pas — : à
maison
vantes
quim'afaitles
*
IlM.estmalheureusement trèspossible
sui-
conduire? Quifréquenter? Sil'onn'est complètement, il estcertain ue le général engagements. dépêche de revenir p our p rendre p artà écrit au siamois let- que Bulozne reprennepasle poste
pointduparti société,
dela quotidiennes,il fauts'at- Dodds ne retournerait pas a u Dahomey. Iln'y Choisissez-les surtout pour leur c aractère ce conseil. a u gouvernement u ne qu'ilatoujours occupé àlasatisfaction de
tendrea des avanies et se et pour l eurs c apacités. tre provoquant les propositions qu'il tous. En trèsregrettable
priverdesplaisirs, déjàrares,quepeut aurait pluslieu,
expédition en effet,de recommencer
militaire. N'écoutez pasceux qui r estent deshom- A l'issueduconseil partield'hier,M. s'estvantéd'avoirreçues. assemblée cecas —
d'actionnaires serait c —
onvoquéeune
Quelle une lader- mes decombat etdehaine,aprèsquela Develle, ministredesaffaires étrangè- Aprèsavoirparuchercherquelque prochainement,
offrirlapetitetvilledeprovince. Presque touslesofficiers
côtésdqui ontfaitDodds lutte a cessé, et qui,aujourd'hui encore, res, s'estrenduàRépublique Marlypourmettrele temps danssamémoire. afind'examiner différentes
tristesse p our ellejolieexilée deParis, nière c ampagne aux u général s'efforcent d'empêcher la réconciliation de président de la au courant Duong-Chacr, combinaisons.
femme desous-préfet,femme
desfinances ou d'ingénieur,
de receveur
desesentir Dahomey.
ont d emandé àl'accompagner de nouveau au touslesFrancais
Ceshommes danslaRépublique.
se réclament delaRévolu-dela situation. bon
Oui,
—français, m edit -enassez
oui;j'aiécrit,ily a envi- - Pour Etquelles sontcescombinaisons
lemoment, ilyenadeux.
?
Lapre-
de château, des C'est encore lecommandant Taverna, qui droit ! ron deux ans,au gouvernement sia-
miseà
réceptions
l'écart
cité,deschasses,
d esfêtes
auxplus vieuxhôtelsde la avaitrepris
desrallyesorganisésguerre, tat-major
onservice
quirsemplira
; lecapitaine
au ministère
lesfonctions
Vuillemot
dechef
repartira
tion. I
la LaRévolution
ded'é- lsn'en
vailetlerespect
Les ennemis
ont pas le
établi
adela
delaRévolution,
lalibertédprivée.
propriété
sont
utra- pêches
l es
L'agence
: Havas transmet
suivantesnous
Bangkok, 29
lesdé-
juillet.
mois,jamais
-Vous
lettre ?
depuis.
rappelez-vous lestermes
conservée ? d evo-
mière
Beaulieu,
vez, l
s erait
quien faveur
exerce,
esfonctions
deM.
comme
demembre
PaulLeroy-
vous
d u
le sa-
conseil
parlesofficiers ! Passeren province les également ce tre L'avez-vous
bellesannées et n'avoir général.
de jeunesse,budgétivo- comme officier d'ordonnance du socialistes quiveulent que l'Etatrégle-
tout, détruisant Ungrandconseil
Lesfrères duroia euylieu,ont
hété
ier,à la —
convo- Jerappelle
nel'ai pas conservée et je ne de surveillance
Mondes.
à la RevuedesDeux-
Dansla seconde, ladirection se-
pourvdegrossiers
isiteurs detristes
quecourtiers LES FILS T ÉLÉGRAPHIQUES mente toutet accapare
personnel cour.
l'initiativequésenmême temps lesministres. m'en pas lestermes, maisbien raitdivisée encdeux. Lapartieadminis-
d'élections! ainsi avec l'intérêt p q ue
rolongée pendant plu- l'esprit. L orsque je me suisréfugié à trative s erait onfiée à
resou Leministre du vientdeprendreindividuelle etl'esprit deprogrès. sont sieurs Ladiscussion s'est spécialiste, et
suivantcommerce un
Il fauts'y résigner pourtant.Le fonc- l'arrêté : Lesennemis de la Révolution, ce de Onaffirme heures. Bangkok, il y a deuxans, le gouverne-M.Brunetière
delui faire teurenchef.prendrait letitrederédac-
tionnaire
ucuib deeue
politique samoitié :
est responsable delaconduite Article
unevalse impru- rêté premier.—
du21août1890.
télégraphiques
L'article
relatif
du
premier del'ar- lesradicaux
locations
auxintérieur, rio 1789
tnlRra.r»r»o
quioublient
et defraternité lesprincipes
quenospères de par l'emporter, que leparti d
et l'instruction
elapaix a
Vtélégra-
mentsiamois
fini connaître m'ademandé
àlasuitedequelsévénements »Mais,
J'aisatisfait nesontje vouslerépète, cescombinaisons

*
jialuu}!'U. la ulsgrace. nia réseau est ontproclamés pour l'honneur dela phique a étéenvoyée au prince adhanaj'avaisquittéleCambodge. qu'aléatoires, etilfaut espérer
Onvivradoncen son coin,comme d es modifié comme suit : France e t dela République. d'accepter l'ultimatum français sans t enir àcette demande, et, ence moment mê- lesrancunes particulières s'éteignant, que
M.
ours, attendant impatiemment lalibéra- postes «Article premier. — L'administration des Vive l aRépublique! compte d esréserves formulées dansla me, j'écris pour M.le sous-secrétaire
tion, c'est-à-dire leretourdanslagrande journaux ettélégraphes est autorisée à louer aux réponse desamedi dernier. del'Angle-d'Etatfrançais colonies long Buloz reprendra poste
son de avantpeu.»
de SEINE aux un rap- Cesouhait estcelui
ville,—dansParis1
Tout celaest morneetmédiocre d
:
esfem-
la se»,
dant des
la
et
latransmission
fils
nuit
agences
desdépêches
télégraphiques
pour une
publicité,
dites
période
envue
disponibles
déterminée
de
de« pres- Premierarrondissement.
pen- Guyot,
blics, ancien
dont ministre
connaît d —M.Yves
estravaux
lesdémêlés pu-
Ledocteur
terre,
cette
LaHydra a
Jones,ministre
a étéimmédiatement
décision.
quitté l e port
informéde portoùtous
emportant la
latés.
— Pouvez-vous
cesévénements
me lesfaire —
serontre-
connaître?
tout
Albert
-——————————
l emonde.
Cellarius

représente.«
politique, en divisant lasociété on avec
mes, a tué la.viedeprovince. Ellen'é- comprise entre9heures dusoiret7heures du lessyndicats delaBoursedu Travail, se malle pour Singapour. étrangers —Certainement, bienquele sous- UNE ENCYCLOPÉDIE
tait passans charmes, autrefois, cette matin.» L'heure ducommencement de la période Dans réunionqui tenue
Presque
également tous
partis,
de- lundileslignesdublocus.
lesnavires
afinde franchir a
sont secrétaire
vant vais je
d'Etatpuissetrouver
que qu'iln'afasse à desjournalistes mau-
des
vie un peumonotone àlasurface, mais pourra être fixéeexceptionnellement entre main uneàhuitheuressera
lundi, demie, dans confidences
e t pasencore reçues
oùles immuables
gitaientpourtant,
passions
en vagues
humaines s'a-
pluspro- cinq foisqheures
ue
etneuf
l'administration
h eures
se
dusoir
trouvera toutes
en
les le préaudel'ecoledela ruedesBour-
me- donnais, M. Y ves G uyot d éveloppera son Legouvernement
Bangkok,
siamois a
29juillet. lui-même.
accepté a u- Depuis
:Enfin,voici
1885, jevivais f orttranquil-
S'ilestunouvrage
l'attention
compétents,
detousleshommes
c'estbien
quimérite
l'importante
d'attirer
sérieux et
publi-
fondesquedansl'instable Paris.Ony sure derendre disponible, dans cetintervalle,programme. jourd'hui toutes l esconditions del'ulti- — à Pnom-Penh,
lement dans lepalais d u cation intitulée D ictionnaire des Diction.
aimaitpassionnément etlonguement, en un conducteur télégraphique, sansqu'ilen Il aurapourconcurrents M.Muzet, vice- matum français.
gens
l'amour. Une
rienpourse distraire
quinontintimité s ingulière réunis-
résulte
de général. aucuninconvénient pourle service président
le petit h duconseil
omme d'Amiens municipal
qu'on deParis
appelle ;
M. L'inspecteur
aller p rendre, Lambert
au Laos, estdésigné
lecommandement
roiNorodom, père.J'étaisenfort naires,
pour bonstermesmon avec les fonctionnaires consulter
Le
uechacundoitse procurer
qsouvent.
Dictionnaire desDictionnaires,
et
de
»Enaucun casne seraconsidéré comme français et avec lesEuropéens. Jem'ini-
saitpourdesplaisirs
quiseconnaissaient
modestes
depèreenfilsgens
des
: disponible,
cela affecté même pendant lanuit,aucun fil René
Roussel,Goblet,
avocat
devenu
à laCour,socialiste,
présidentetFélix du laissé vacantpar l'assassinat
Grosgurin. duregretté tiaisà votre langue,àvosmœurs, etje M. PaulGuérin,ancienprofesseur
philosophie, comprend six volumes de
de
normalement àl'échange de1 acorres- Comité d'action delagauche libérale. me familiarisais avec euxiorsque arriva e nviron 1 ,300 i l
valaitbienlesvainsdîners, lesrécep- pondance publique entre b ureaux télégraphi- Quatrièmé arrondissement. —Les élec. (Nous publierons demain, sur la ques- au Cambodge, en qualité de résident chacun
placer seulement p ages; peut
désavantage, se
tionsbanales deParis. Ceuxquilong vou- ques p ourvus d'unservice dedemi-nuit ou teursdeladeuxième circonscription du tion duSiam et sur lacondition respec- supérieur, M. d eVerneville. mais non succès,sans à côté des
laient entreprendre uneœuvre de d'unservice permanent. e ncore a vec en-
del'arrêtéquatrième arrondissement, réunissalledu tivedesintérêtsfrançaiset anglaisen »Dès sonarrivée,je fus enbutteà cyclopédies lespluspluscélèbres, les
souffleen avaienttoutle
cantonentiers'intéressait
loisir,et le Art.
bien- du 21 2.—1Les
août 890 autres
restent dispositions
en vigueur. »
Café,
entendu 1,boulevard
lesexplications Henri IV,après
républicaines avoir Indo-Chine ne interview
ufrançais d'unhaut sespersécutions. Il m'accusa complètes,
denefré- couvertes les auilcourant desplus
dé-
avec INTÉRIEUR so- fonctionnaire dans ces régions.) quenter queses ennemis; j'aurais e u du modernes; lesvauttoutes,
veillance à cetteœuvre.Lesfemmes cialistes ducitoyen Chassaing, député sor- plus,unemiseau depoint
doit,onlesait, tant, ontacclamé sacandidature auxpro- Chezle princeDuong-Chacr mal, vérité,à fréquenter amis, avec, enlesplusrécents desré-
ne luttaient
cœurs, c e qui qest pourla conquête
ueleurvéritable rôle.
des Le
se
président
rendre au
duconseil
Puyavant lqui
esélections pour chaines élections législatives. Dans une interview publiée par leFi- car jeenne croisqu'ilenait. ses sultats
qu'on n e saurait troplouer. Illa science,
ya làune
Huitième arrondissement. Legénéral garo,leprinceDuong-Chacr, »Bref,avaient
en1890, unjour que desagents connaissance

.-««
Aujourd'hui, riendetoutcelanesub- rendre compte de sonmandat à ses éleeteurs,Lewal, ancien m inistre dela — filsduroi depolice des pierres, M. d e del'histoire, dela géogra-
siste.Onnese reçoitplus,on ne tra- quittera Paris lesamedi 12août etsera de re- candidature dansladeuxieme guerre, pose
circons-du Cambodge, Norodom, déclarait que Verneville reçu phie, d ela médecine, de la mécanique,
Onn'y aime tourlelundisuivant danslamatinée. sa domestiques de delaphysique,
vailleplus endelajolie
province. * cription. Ilestsoutenu par lecomité de legouvernement duSiamcomptant sur ceméfait.Iaccusa l savait mbes ien, p ourtant, que siologie,
dela chimie,
qui ne cette
de la phy-
êtreindifférente,
peutpartie
plus. L etype
lantea lui-même presque
provinciale
disparu. ga-
Il n'y Legénéral - Loizillon, ._,
ministre delaguerre,central l'Union l ibérale
républicain
républicaine
duhuitième etlecomité l'influence
arrondis-cambodgiennes
exercée sur lespopulations lecoupable
lejeuneprince,lui allatrouverleroiNorodom, n'était p as de ma maison. Il sans p ourtant que s cientifique
plusquedespolitiqueurs
atiqueuses.
Triste politique !.
etdespoli- chargé
COLOMBINE du
res,
dereprésenter
nauguration
quitte
général PRau,
aris, ce
s
legouvernement
delastatuedeBayard
matin.
on chefIlestaccompagné
decabinet
à l'i- sement.
à Méziè- Sonprogramme
et de suivants
nion
comprend
qu'ila développés
publique p résidée par
les points avait
battre
dansuneréu- cespropositions,
MM. Albert
p
contraire,
roposé
;
lesFrançais
à
d par
e s'unir
de
a lui
qu'ilavait pourcom-
r
popularité
epoussé
en
donna
quim'aime
d e me b
jeter enprison..
eaucoup,
et qu'ilétaitprêt,au dans la mêmejournée,un fonction-depuislongtemps
et lui or- nuise
refusa.Troisfois,
clopédie,
monde
aureste
Monpère, vastesconnaissances
s
car
avant,
de cettemagnifique
M.
a
P aul
voulu
G
et
uérin,
l'érudition
appréciées
s'entourer,
ency-
dontles
danslesont
pour
deuxofficiers d'ordonnance. Martin, avocat àlacourd'appel,etPoir- notrefaveurcuser sa nairedelarésidence vint leroi chaquebranche,
* rier,sénateur,
Chambre de ancien présidentde la Cetteinterview,
:
deParis
ontreleSiam.
résumée en quelques dem'emprisonner. Il cèdasommer en pleurant, ciaux etd'uneautorité
de collaborateurs
éprouvée.
spé-
M. G uérin, ministre dela justice, doit se commerce etl'on me mit aux fers. On peut se procurer cette œuvre, com-
ÂTRiVERSLAPOLITIOUE guration rendre demain àDijonpourprésider l'inau-pour «Ordre,
avoirdprogrès,
ignité
stabilitél'intérieurlignes,a attiré au princecambodgien »J'yrestaiunmois.Libre,je courus plètement
etpaixauàdehors. Eco- certainscommentaires désobligeants. parue aujourd'hui, prixde
au mois,
dulycéedecette ville.Il seraac- nomie, réforme desimpôts et répartition LaPolitique coloniale, notamment,dans à Saigon. M.Piquetétaitalorsgouver- raison 180francs, payable en dix-huit à
compagné par M. B oyer, directeur du person- plus équitable des charges quipèsent s ur neur général. J'allai me plaindre àlui. d e 10 francs p ar mois, ou de 162
Laprésencedesnaviresdel'amiral jean,chef-adjoint
nelauministère delajustice,
desoncabinet. etparM.Gros-lescontribuables.
tique, legénéral
»s'est
Au :
pointdevuepoli- naux,
exprimé ainsip«arti-
article
Je parleleprince
r eproduit
un insinue lespropositions
qpue
par plusieurs jour-
dont Il écrivit lettreà M.deVerneville,payable
etquandune jeretournai au Cambodge,
francs
je Toutecomptant.
payable àsixmois, ou de155 f rancs
àl'embouchure fitoorgas Dvret. n'ai d'attaches ourraient bien avoir é té souscription doitêtreadressée à
Humann duMeinam avecaucun groupe aunelettrequ'ilauraitlui- trouvai pour recevoirla propre M.l'administrateur


n'a culier.J'appartiens au partirépublicain une réponse voiture d me supérieur
urésident qui fit du Dictionnaire des
;pastardéàproduire son effet.La cour et auprogrès. Tantquej'ai été ministre,même é crite. L'article a joute « qu'il y a desexcuses. me Dictionnaires, 56, a venue d eDéols, àChâ-
deSiama cédé.Elleaccepte toutesles ÉLECTORAL a-t-il teauroux. illustré êtreajouté
conditions exigées laFranceet con- LEMOUVEMENT ajouté, jemesuis surtout préoccupé peut-êtrequelqueimprudence à faire »Ses bonnesdispositions ne durè- Unsupplément à
ouvrage.vPaul
par dubien-être etdusort d upetitsoldat, Si l'éloge d 'unhomme qui, d éjà en 1885, a longtemps. magnifique a
tenues dansl'ultimatum du 20juillet je suis député, jem'efforcerai defaire vo- étési étrangement dévoué a ux intérêts rent pas M.de Verneville ce
dernier.Leministre LesManifestes entama contremoiuneguerresourde: Louis
a informé
resCeétrangères.
siamois
hierM. leministredesaffai-
à Parisen
Lecomité
y estallé
d'action delagauche
aussi sonmanifeste liberale
tertoutes
ration dusort
Alafindela
leslois quitendent
despetits
réunion, etdes
la
àhumbles.
l'amélio-delaFrance.»
candidature » Leprince Duong-Chacr avait-il écrit ; ilinterditaux Européens
moi ilfit courir le bruit—
toutrapport
je
vautbiende qui,ma dugénéral lalettredont avec etmême«fairesque
augouvernement siamois LESVACANCES
promptet heureuxrésultatestdû foi,
à la fermeattitudedu gouvernement, en Citoyens,
Unautre. Onzième étéadoptée
aarrondissement. àl'unanimité.On nous on parlait ? Quelavaitétésonrôledans Norodom. voulais détrôner auter»
aux
aussimesures
rapidesqu'ila prises,
à l'unanimité danset Les radicauxsocialistes, c'est-à-direcommunique« Lesélecteurs l'ordre
deladujoursuivant
première
—: le soulèvement
circons-Tellesétaientlesquestions
cambodgien de 1885?
dontilétait de»Je partispourSaigon,
laprotection pour demanderl'heureuse
deM.Piquet.
Si,àl'occasion desvacances,
idéedeprofiter vousavez
descombinai-
qu'il a trouvé MM. C lemenceau, Pelletan, Barodet et cription duonzième arrondissement (Folie- intéressant de connaître l aréponse, et nouveau sons m ultiples que vous o ffrent lesCompa-
la Chambre pourLesapprouver et appuyer étant leursamis, se cprésentent à vouscommeMéricourt), réunis aunombre detroiscents quejeresolus deluiposer. Malheureusement, occupé à recevoir le dechemins de fer,nousvousre-
jsesrésolutions. ennemis de la lesseuls apables deré&J!ser lesré- àlasalle duCommerce, faubourg duTem- tzarewich, il neputguère penser àmoi. gnies commandons toujours
France, les adversairesde son in- formes qu'ils
qu'ilsont
n 'ont j
«
amais
vingt foispromises
sérieusement
» ple, laconvocation
sur aprèsavoiredu comité radical Duong-Chacr
jours au premier
habite
é tage
depuis quelques
d'unmodeste Verneville. Il se contenta d'écrire une lettre àM. d e leux petits v comme
olumes connus sous
ceslemervei-
nom de
fluence, ceux qui, e n toute occasion, s'ef- et propo- socialiste, ntendu l e citoyen hôtel d efamille, Jacob. A arri- Guides Conty, etqui r ésument tout, m algré
forcentd'entraversonactionet de lui Pourexcuser sées. Ch.Floquet, 'députésortant, rue
tant sur sa véeà Paris,il y a unpeuplusd'un » A monretouràPnom-Penh, son leré- leur prixdérisoire de2fr.50.
susciterdesdifficultés, n'ontpasren- passé,ils affirment leurimpuissance dansle conduite passée quesurson attitude fu- mois,ilétaitdescendu sidentsupérieur allaseplaindre de moi quels Quels plusgaiscompagnons deroute et
contrécettefois,auPalais-Bourbon, l'es l'obstacle que le Sénat a été ture dansla législature prochaine, ap- au Grand-Hôtel; àNorodom. Il représenta plusprécieux talismans pour être
àtout p rogrès. déclarations, mais plus modiques me comme un famille,
auxiliaires qu'ilsy trouvaient jadisdès Levéritable obstacle auxréformes du prouvent
clament sesacteset sesquiestla seule
sacandidature,
sesressources
ac- s'accommodaient maldurégime que prin- filsdéloyal, méconnaissant l'autorité du reçuunpetit
partout
cahier comme en
rosequipermet
grâceà
auvoya-

:
qu'unequestion de ce genreétait en programme desradicaux-socialistes, c'est des candidatures en présence représentant cierdontil avait cru devoir, toutd'a- roi,et allant,par-dessus sa tête, porter geur de se plaindre si ona voulu l'écor-
jeu. Toutle mondecomprend mainte- le vagueetdeladisciplinel'incohérence deleursidées. lesrevendications de la République dé- bord,s'infliger leluxe.C'estdoncrue ral.Ildemanda mesréclamations au gouverneur géné- chervif.
cheznouslanécessité
nantcoloniale d'unepoliti- Ilsparlent républicaine, mocratique etsociale. » queljesuis allélui rendrevisite. Aprèsavoirlongtemps qu'on me remît a ux fers. Tout ce quipeutprotéger lesvoya-
que persistante etsuivie,pra- et ils n'ontcessédes'allierauxmonar- Dansla deuxième circonscription, les Jacob Seule, a princesse, jeuneCam- pèrecéda.Monprotecteur, résisté,mon geurs, lesaider,lesdéfendre, M.Conty l'a
tiquéeavecclairvoyance etméthode, et chistes pour
parlent r enverser
delaréforme lesministères.
administrative membres descommissions texécutives dn bodgienne fortgracieuse, unequin'entend M.Piquet, petits imaginé, inventé, aussitrouve-t-on ses
il fautféliciter
pas
laconfiance
cettepolitique
leParlement de n'avoir etIls
hésitéà donnerau gouvernementdeilsn'osent
etlalatitudesanslesquellestruction
Restemaintenant
seraitimpossible.
danscetteaffaire milles
décentralisation.
donner
tuitédans
i
même
ntégrale.
? Prétendent-ils
les lycées
Ils
A
parlentdelemot
pasprononcer
quiveulent-ils
accorder
auxenfants
la
comité
Edouard
la gra- Quinzième
des :
républicain
républicaine
l'ins- pour soutenir
Lockroy.
fa- cription)quartiers
socialiste
socialiste
la candidature
arrondissement
et
déclarent

Saint-Lambert
del'Union
s'unir ni neEparle
du citoyen me.
rentrer,
n attendant
jem'entretiens
(2"circons-çais,envisitechezlaprincesse.
etde qui
defrançais,
unmotDuong-Chacr,
avecun
Cambodge
Fran-
CeFran- d'être
étaitparti,M.
est at ho- connaissais
quiva memitenprison.
»Jetranquille.
d eLanessan,
pas, l'avaitremplacé.
queje On
pouvaisespérer,là, au moins, ——————————
Pasdutout.Je susque
ne Quioserait
Guides
< volumes
Conty ïî!
dans
voyager

AVISIMPORTANT
t outes l esmains.
aujourd'hui sansles

duSiamàtraduireendesolides
lesbonnes
deBangkok.
intentions réalités
dugouvernementobligatoire
Cene serapeut-êtrepas quelles
aussifacilequ'onpourrait lecroire.Les
r
Ilsparlent
iches,
bases
àtout o ul
decrédit
bienimposer
emonded
l'établiront-ils
i
émocratique
? Comment :le latin
sur
Javel.—M.Barruel,
au
porte
en tant.
maire d
centre
uquinzième
M.Laguerre,
républicain,
arrondissement,
député
çais,
adjoint fonction o a occupé
fficielle
se de grandsintérêts,va merenseigner
sor- surlerôleduprince
Letraitédu17ejuin
et a u
qui y
n1885.
a conservéune

1885,medit- decette
M.deVerneville
père
coups
de
d me
e«trique».
avaitdemandé
faire administer
Instruit
jerésolus pdem'y
ar
à mon villégiature
cent expédiés
desamis
Beaucoup
Viticole
de personnes
nousdemandent
partout en
Franco-TunisienneFrance,
quipartent
si lesvins
par l'Union
ont besoin
en

*
menace,
Asiatiques sontgensexpertsen l'art assureront-ils des « puissances le mécanisme?
financières Ilsparlent
trop tardive- M.Chauvière,
Javel, r évolutionnaire
conseiller municipal
blanquiste, estéga- -«
de il,enlevait
au roi Norodom t outes ses traire par lafuite. O nm'aida, sous- d'un
etjem'é- més. assezlongreposavantd'êtreconsom-
d'éluder lesparoles données, et oncom- mentréprimées dansleursentrepriseslement candidat. prérogatives royales. Nousne pouvionsprison. vadaiaprèsêtre restétroismoisen Ledirecteur de ce syndicat, quenous
mettrait une graveimprudence en ne pour mettre lamain surlepécule detous». Seizième arrondissement. Dans une doncespérer q u'il acceptât d e bonne 1 avons consulté à ce sujet, dit que tousles
pas restant trèsàcheval sur la question Pourquoi lesamisdeM. C lemenceau ne réunion t enue par lecomité — républicain grâce soumission imposée le revol- » Je me rendis à Bangkok par Battam- vins expédiés par l'Union en barrique,
desgageset desgarantiesjusqu'àsolu- vousdisent-ils pointleuropinion sur le duseizième arrondissement, la candida- une baug.J'y arrivai l e17juillet1891. J'y demi-barrique etquart d ebarrique, sont
tioncomplète dudifférend. Larectifica-Panama? dudocteur Marmottan versous lagorge.—Pendant lessixder- vécudequelques
tionde frontière,notamment, Ils parlent de supprimer lesmonopoles, ture
l'unanimité. aétéadoptée à niers moisde1885, ila préparé larévolte mentsiamois, subsides dugouverne-livrés tôt clairs-fins
qu'il setpeuvent
'agisse d e êtrebus
leursvinsdu aussi-
ne sera début car jen'avais p as le sou. reçus,
pasuneopération commode, et ellede- etilsoublientdeM.Goblet deseprononcer surlespro- —————————-
veutlanationalisa-
quia éclatéau de1886. »Voila, monsieur, ce que j'ai écrit Midi qpuidébutent à 90fr.labordelaise
mandera beaucoup de ténacité,de fer- jets tiondolaBanque, quideschemins defer et »Duong-Chacr,
frèresprenaient
alorsquesesautres aux
ouvertement le parti Siamois, en 1891. Je ne leurai ja- franco rixd'expedition, comme de leurs
meté,uneconnaissance parfaite dupays, desmines, c'est-à-dire créerdes mono- COULISSESDELA FINANCE desFrançais quileurservaientune maisécritdepuis. vins deBordeaux
Catalogue auxprixlesplus
échantillons, 85, édeRi-
levés.
desprécédents historiques — et r ue
tiquesiamoise.
nosintérêtsonttrop
etdelapoli-
Les représentants
souvent manqué
de
de que
poles d 'Et.J.t
l'innombrzble
nouspayons
et dont l ebutestd'ajouter
arméedesfonctionnaires
trèscher, de nouvelles
à -
pension
rodom, se
et nous
déclara
combattit pourson père
avecacharne-
No- > Aumois
nementde Bangkok
d
fois,despropositions
'avril d ernier, l e gouver-
m'afait,partrois
verbales, etlaqua-
chelieu.
ces essentielles notions légions
qu'ilne Ilsparlent defonctionnaires. ment, c 'est v rai.Aussiest-ille seul à trième,des FAITS DIVERS
soitpasutiled'insister pour de « préserver le~ capital a c- Le marché n 'a été que trèslégère- avoirconservé l 'affection d e Noron- propositions écrites.La lettre
surce point. quis par le travail ».Pourquoi disent-
ne ducol- mission ment i mpressionné par lebruit d eladé- dom. » fin dela estentre lesmains d eM. P avie. On me
LesSiamois,d'ailleurs,aurontdes ilspascequ'ilspensent desfolies deM.Develle, ministredesaf- »Ala demandait demefairenaturalisersia-
collaborateurs et desconseillers dans lectivisme qui letravail e t leca- faires é trangères. guerre,lesfonction- mois,d'entrer, comme fonctionnaire,l'iscendus DUQUAI DELArâpée(suite).
cetteœuvredélicate de ladélimitation ? menace nairesfrançais voulurent se délivrer
desfrontières. Les gensqui,dansla pital Citoyens, comme lecomité del'extrême- On tenait en :
réservedes nouvelles d'unadversaire aussi r edoutable en lui dans un
soulever
ministère
lesCambodgiens
s iamois, et
duSiam
de faire Le chiffre
l'incendie
d esdégâts
considérable occasionnés
duquai par
dàelaRà-

».
plus sérieuses etplus v raies lacommis- coupant le O ninstruisit procès; con-
réunion
Londres,
delaChambre decommerce de cières.
traitaient,il y a deux doivent
gauche, nous
Maisnous v oulons lesréformes
quesilesimpôts
finan- sion duSiam ! ilfut condamné cou. a mort. E son
nl'absence de tre lesFrançais. J'ai refusé, et, en mai, pées'éléve, approximativement, deux
jours,de«nous êtrepluscroyons
équitablement répartis, elle *LaRente n'afaitqu'unbondà9815et M.Piquet,résidentgénéralau Cam- jem'embarquais pour laFrance. millions etdemi. entièrement
flibustiers »,parce quenous reste demandée àce cours. Personne bodge, lesecrétaire général, M. N icolaï, » Etmaintenant, ajoute D uong-Chacr Les établissements consu-
avionslaprétention excessive ilestimpossible
dedéfen- aulendemain de bouleverser dujour pointe d 'amertume, més,et dontil ne resteplusde traces,
dre ce qui nousappartient, serontlà aussicompliquée une organisation financière ne croyait q u'on en finirait s irapide- suivant lesinstructions du gouverneur avec une en termi- sont :
certainement
bonsaviset leur pourles aiderde
suggérer
leurs Lapremière
d'ingénieux nepas accroître
que-la
tâche q
sanscesse
nôtre. c'estde ment.
uis'impose,
lescharges
iJs
en
pas
Aussilesacheteurs
toute
de joie
hâte. etlesvendeurs
tiennent- générald'Indo-Chine,
neserachètent lutfaire exécuter
l'être,lorsque M
la
.P
M.Filippini,
sentence.
iquet r evint
Elle !.
et
vou- rie
allait
s'y
nant,on parledem'interner
» EUGÈNE
en Algé- Lesateliers
CLISSON constructeur
Les chantiers
et magasins
debateaux
debois d e
deM.Tellier,
deplaisance;
boulange deM.
expédients.
Aussine serait-ilpasprudentdedé- Est-ce
sarmer. C'estquandl'Orientalparaît expédiant
céderqu'ilest souvent
dre.Il nefaudrapaspermettre l eplusà crain-
Sia-
écrasantes
ler,desloisqui
milliards
aux ont veraàdiminuer
quipèsent
envotant
un
en quelques
surjour,
chaque
lesaugmentent
budget d e ;
lescontribuables.Laliquidation
plus
séances
sans
de
qu'on
calcu-
est-ce
quatreen lainsauspices.
arri-
surdes
nous changera
s'annonçait
guère et sur
sous
ce
lahausse
d evi-
Oncomptemaintenant »Le gouverneur
reportsà bonmarché,
c e
opposa.
quine l'ordred'exécution.Pour
Piquet f it usage d
Filippinirenouvela
unelettre
s'ysoustraire,
secrète
NOUVELLES
q u'il

M. ParuttrHetdépêches denoscorrespondants
Bourgault;
Ceux
marchand
quinze
d
Lesateliers
eM. S oyer;
et magasins
detonneaux,
mille f utailles;
deM.Barg,
oùlefeua dévoré
lescharges publiques? qui nenouschangera pas.Espagnole possédait, luiconférant de pleinspou- Londres, 29juillet.
moisderattraperendétailcequ'ils
hccordé enbloc. Comme
nous voulonslecomité de l'extrême
desloissociales. gauche,
Mais nous
L'Italien
montent
e tl'Extérieure
maisils conservent ne voirs,
qu'après
m ais d ontil
avoir a ne
visé
devait se
legouvernement
servir Le nouveau journal
lasanté d u du
docteur soir, le Sua,
Cornélius an- Châtelet
Herz Les
:
Leschantiers
etBougard
hangars d
deMM.
e
Lièvre,
l'importante
Saulnier,
distillerie
ADRIEN DUVAND savons qu'elles
c'est-à-dire aux
coûteront
contribuables. cherà l'Etat, fermeté
C^est pour- letempsquicourt.
pas,
relative, ce quiest énorme
une
par métropolitain.
en
»Il télégraphia doncà Paris,nonpas main
nonce
estassezque rétablie
à Londres. pourqu'ilsoitconduit :
de- Lafferrière
Lesremises et lesécuries deM.Génin,
INFORMATIONS quoi nous d emandons d'abord d esécono- Fermeté desSociétés de crédit e n gé- lavoie ordinaire de Singapour, mais M. H erz comparaîtra lundi d evant le ma- marchand demeubles, rue de Bercy.
mies, del'ordre, dela prévoyance dans l e néral et de la Banque deFrance par Battambang gistrat eir JohnBrtdge, quiexaminera lade- Troishangars appartenant àM. Adenis,
LACONSEIL D'AUJOURD'HUI budget. ticulier. e npar- par etBangkok. Il reçut l a mande d'extradition. entrepreneur detravaux p ublics, ontété
Les ressources nécessaires pourappli- réponse par la même voie. L eprince Berlin, 29 juillet. consumés, ainsi que les magasins deM.
Lesministres se réuniront aujourd'hui à querces lois,la prospérité publique et Lasemaine finit b ien. Duong-Chacr fut sauvéet faitofficier LaOazttte deVoss se ditconvaincue qu'E- Huchard, autremarchand defutailles; les
Dm&tre heures àl'Elysée sousla présidence -privée Dourra seulelesfour nie- DônCaDrioe delaLésiond'honneur. miti-Pacha a ététuéauConeo etditQu'il fauï écuries delaComDaffnie des /E;.¡.ux deVi-

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