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L'Action française (Paris.

1908)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Action française. L'Action française (Paris. 1908). 11/07/1909.

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L'ACTION FRANÇAISE tl 3UILLCT
REVUE DE M PRESSE
BIMANCKE 1DC3
même la mémoire. Nous avions le deyoir
de la consultée Après les- paroles da son
LETTRE vages -de Port-Fortuné. Dès le départ 3e,
;
ïtoamee fl avait conçu le. projet», aussitôt
LES TRIBUNAUX vexs quatw heures «ma promenade eiv pBaé1- î
ton- aa bols- do^ Bontogoe. en; compaguia. 4$ !
représentant le plus distingué, nous avons D'AUTRiCHE-HQNGRIF l'arrivée au' Canada et ,1a. formation de Mh» de Roahaa.
le devoir de îiui conseiller de se taire. f'iétoibilii^&imienit, dflassaesin«â' -OhaonpiLaint Comme la voBtuiw aïaivaiî & r,iirtea"sectàûîï .
>
Le dévouement*!'André Gaucher puis de livrer 'le eomptoif. tout.installé aux MÉTÈQUES FAUSSAIRES,AUX ASSISES des routesde Sèvrese<i:<ta la.Butte-Morteniarti-;
de Maxim e Real del Sarte,dU Xà machine de l'Etat tA CRISE DU REGIME PARLEMENTAIRE Biasques et «aux Espagnols qui venaient te cheval, effrayé
Deux métèques diorignia allemande,dtra- bile ,s'emballa. M.par Î6passage d'un.autamori
de Rochas vouiui, se jeter,5
trafiquer à Tadoussac ; il pensait ainsi blés de juifs, avec leur nez en, bec d'aigie à la bride de l*animal,,mais-il tomba.si mal*,
comte Maurice de Bruc, Le R. Pi Dom Besse, dans la Gazelle CONTINUE
assurer, sa fortune. Durant la traversée, et toiïES: aeediles déoeiiéœ*,. Menutel et Fil heureusement qu'il se* brisa le- crâne' sur la
de Brard, de BriUaud, de France décrit lamacfca» de l^admi- (Be notre correspondant particulier). cet homme avait commencé par subor mer, com-pajnaifisaiaiit hier devant' le ju bordiune tiu trottoir.
de Dumolîn et de nistration au service de Ffefcat. Elie exé- tienne, le 8 juillet 1909, ner "les quatre plus mauvaises têtes dé ry pour baaques'au'fe fcaudulensei faux,, Quelques mètres p8tas foi», Mme de -
Eocbias
La Marinière. cute une foule de besognes conservatrices
et les pires anarchistes, une fois déco
>
La dernière lettre montait la situation l'équipage, « leur faisant entendre mille itusage. de faux et eom^icité.
•Gcnouvala
.
eOè
la tenitaiive cîemson; rnsfiri; Elus! heu- 1
ne âe fit que1 (ies.ccaaiuôi-cms- sans,
anormale où se trouvait le gouvernement,
. fiaussetés et' espérances d'acquérir du Mendfî], «fui- a prie tes noms îes plus ateuse,
gratté. '
Là Progrès. d'Eure-et-Loir ayaiOt pris de rés du nom de ministres,peuvent la mettre bien» » ; ceux-ci « tour tour avaient peu vairiésa vint s'installer à Paris, au. mois - -
'fra<nsporté dans-un1 étaHP comateux, à- sotf ,
.
i

grandis airs à propos de l'affaire idii Quar en train : aussi bien en Hongrie qu'en Autriche, vis- à peu enrôlé quantité de leurs camarades,
à-vis dm .Parlement..'A Vienne, U ne pou de septembre 1906 sous lie pseudonyme de domicile, RL Victor de-Roches y a su.oèombé
tier latin, jlai demandé à. notre- ami Pier Cette besogne est tonte de coiiservation. vait trouver une majorité assurée dams ei. bien qu'à .Québec ils, pouvaient compter Harold, ear compognà® d'uffl. employé.. U se deux heures plus-tard, sans avoir repris con
re Lasserre, qui connaît fort bien Chastes Elle est indépendante du Parlementarisme et
un Parlement dominé par la,, rivalité des sur lé oonc0urs.de la plupart d'entre eux fit ainsi livrer des marchandises qu'il: «Xi- naissance.
et les Charteaiiis, des- renseignements cer de la.-République. C'est le travail <de la Fian
mationa^iités ; A Ptestih, une ' majorité de à l'exception de quatre ou cinq, tout dé- pédiait 'immédiatement en Am^teterre où
tains su-r les inspirations ée ..cettie feuille. ce qui vit. Le -Parleiiieaitaiàsme et la Républi
çoalitian .tue pouvait maintenir le .minis ! voués au chef « même mon laquais en il ,les réalisait sous le couvert d'une pré pnovrNGEa
Lasserre me répond par la lettre suivante, que changent les <hamm.es qui assistent au était » dit Charaiplam.
daire et précise :
Mon cher Criton,-
...
îoxiictionjiement et- les serviteurs du merveil
leux ouiâi. .Ils peuvent le troubler et surtout
diriger une partie de son action contre tel ou
tère contre la résisiajuce de la .Couronne
àj,son çrogtnamme.
Là crise n® s'est pas encore dénouée en ôftant
Après plusieurs conciliabules, « le Dia
ble tour bandamt à tous.'les yeux et leur
tendre succursale 'qu"îl. disait située' à
Londres, 31 et 33, Higû.'iLaîbonn ; pour
inspirer confiance dams; sa solivahilîté. il (P» notre CQïrëspotïdfcnjtipartàetd.ier); — La dé
t*
— t* désaffectàtioïc da l'HôteliDieui -^,
tel intérêt public. Néanmoins la besogne con Hongrie, la Couronne persistant à ne :pas cidlé de don&er »,
. la raison les conjurés avaient dé- offirait, à titre d)e -gaipaniâe, de faux effets saffection- de 1:H06&1-Dieu. votée comme nous
Tous me demandez, en raison de mes huit servatrice de la machine se poursuit. là vie' la n<uit une fausse alarme publics, fabrigiiés' par. lui; Quant à Eil^ Conseiii i'&vona déjà dit par la.ma-joiriîé blocaide. dut.
années de séjour à Chartres, quelle, autorité est assurés. L'ordre règne. Les affaires vont. se prêter à la. création d'urne banque de et de tirer sur Ghampiain au moment où mec il servait d'émissaire à MemdeT. municipal, vient d'entier déjà- dans
vioraleil convient de reconnaître au Progrès La France vit. Parce que cela se fait, lés mi l'-Eroai hongsrojs,. réclamée- par le parti de la piiass de l'appliaaiicia^L'agiitatioffl,produàte.'
d'Eure et Loir. Le -Progrès est le journal du nistres et autres, qui sont au poste d'où l'on l'indépendance, et metont en première li mis le secret il viendrait s'enquérir ;• ils s'étaient pro Tous deux ont été condamnés- : Mendel par cet acte d:itnquaMiablatyrauinie n'est pâa.
député.Lhopiteau. Homme parfaitement hono veille au ionctiomiement, prennent .une ' al gne des réformes, que l'on -réclame dans le dernières dispositions venaient d'être pri a sous peine du poignard. Les .
dix ans. de travaux? îoicés, 20- ans d'in- près de se caimea", au contraire; »
rable dans son privé, M. Lhopiteau est, en lure de conservateurs. Us parlent, ils agissent même, sens celle de la loi électorale. tiredictiori die séjour et 100-francs, d'amen La journée de vendredi â été marquée par des
matière politique, capable de tout, litgez-cn. en conservateurs. Tous leurs discours et tous Sams doute un gouvernement qui accep ses quand' Testu était arrivé à Québec de ; Filmer à 5 ans de, récuilsibn,.20 ar.s incidents sensatiaraneAs; '
Pendant la campagne électorale de 1906, j'as leurs actes, il -est vrai, ne tendent pas à- la terait, ces condâtions avec, sa barqug au-moment où'il allait d'interdiction et 100 firsaircs d'amende;. Il y avait réuuioa géâaéBBlB des; administra.-'
sistai à-une réunion publique donnée, par lui conservation. Mais Ils en eachibent pou/rmit être r-econsj .; 'teiws. La-,gaestien de-lai-désaffectatiot» était,
salle Saint-Bris. Sa conférence terminée, ' U paraître conserver. C'est à cette . assez pourtitué-par les partisans même die. l'indépenr mé
condition regagner Tadoussac, un serrurier, nom insmite à Fordra da jour eH' la discussion, vu 1
donna la parole à un étranger d'accent russe qu'ils restent hommes au gouvernement. Ceux dancé, dans la crainte qu'un coup plus Antoine Raiei, l'un.-, des cinq premiers J. H: dru C. l'importance âu suje^ î^fe «eBUêmaent-sténo-
et de type juif qui avait, dit Lhopiteau, à prenaient pour des « hottentôts » s!en sensible .encore à l'hégémonie "9e l'élé
qui les conspirateurs, était venu tout lui révéler : gTOD-tiiéet.- v '•
:« traiter d'une question corporative ». Cette aperçoivent et ils en sont tout surpris.. lui fût « J',ai -promis aux
porté par le eou- si' çpi'eux, avait-il assuré, mais je n'en dé autres de faire tout ain NOUVELLES MONDAINES oomms maine-def Lyon, assistaim M. J-Ierriot qui', par IradiMon, fait partie
question corporative- consistait èn réalité à La surprise est agréable. « On peut donc vi-.: ment verain
magyar ne
dissoivaiit -la. Chambre- et la fai aa-ooa&eiJ^-Il
prêcher V'antimUiïarisme et Vantipalriotisme vra,avec ces gens-la. Ils ne sont pas si terri sant réélire en sirais l'exécution; ei qui m'a diéclara, sotenneMeaneni que son projet Drimi-
dans les termes les moins vagues du monde: bles. Es maintiennent l'ordre. Il est possible par un appel direct an. suffra pêché pas ce
de m'en déelairer j^usqu'ici, c'était
em
tif était, abandonné. .'soulèvement -umanime
car l'orateur conseillait formellement la déser de faire des affaires. » Et on lait des affaires ge universel. Aussi était-il probable qu'un .lia crainte qu'ils ne' me poignardassent ». d© tous les vraàs Lyonnais a porté ses fruits'
tion à tous ceux qui se verraient quelques avec eux. Ceux qui n'en font pas trouvent qtie ministère, de transaction serait Iarmé, en NAISSANCES sur ce pcéniû : l'actacai directe apparaît ainsi'-
chances de gagner leur pain à l'étranger. Ce cela-ne va pas trop mal. Dans tous les cas, remplacement de celui doiit la ûourpnne « — Alon ami-, lui avait répondu le capi Mme 'fâ duchessef- de1 fiisacda-ëst 'dèpuisi comme lia meilleure.«âtjtode d'action. On'n'a
conseil fut développé en toute liberté' sous les les choses pourraient aller pire. Si elles pren a accepté La démission. Mais il ne saurait taine, vous avez bien fiait de découvrir un quelques jours mère-drtm© fille. pas eu recours a,os-parlementaires, on a dit
auspices de M. Lhopiteau, toujours présent nent une direction inquiétante, on changera être -que .de transition, -si .bien que les dessein si perniciéuix çtfc mon/tiré que vous nietiernseiot os qu/on.jwiwiuilàiéi.pas^.etïl'ona*
sur l'estrade et qui ne fit pas une objeetwm, de «ministère. Le suivant sera plus sage. êtes homme de'bien et conduit du Saint- — La vicomtesse' Paat :da Rivérieux de Va- : laissé entendue. qu'enf était. fermement décidé'
un geste, qui ne broncha pas. Il s'agissait noms mis en avant importaient peu» '. Esprit. Mais ces choses rax 'vient
ne peuvent passer reçu, le prénom de Gabriel.. de donner le jour à un fils- qui a. à ltobtenir par tous, lfes moyens. Tout de sui-
pour lui d'acheter, par cette honteuse et cri Le R. P. nom Besse a raison d'ajouter

""^
-que 1? sieur Champlain le sache,pour ' te,. on a obtenu .gainée «ausa-.M. Herrior s'est
minelle complaisance, deux à trois cents voix qu'ainsi « les pires ennemis de l'Eglise et ; La même politique -d'émancipation de sans, dons engagé à ntataitêsHïr teft quel'le bâtiment
socialistes et anarchistes qu'il croyait:lui être' dé la Société finissent par devenir accep toute hégémonie nationale qui -atteste la y remédier ; et vo;us -promets de faire tant MARIAGES. d'en,tirée avec lè gîiawi Dôme, ët te cloîtra si
nécessaires pour triompher de son concur tables », et, à la condition de ménager les force du- pouvoir souverain, permet au envers lui qu'il vous pardonnera et., à Nous apprenons les1f-iati<jKiUe's"'d'e M; Hervé' charmant, ainsi que la' chapelle v^àéréa.-Le
rent.
Recevez, etc. intérêts matériels, il, leur est toujours fa ministère' autrichien qu'il a formé de se d'autnes sans" faire
*-et de ce pas"je vais le trouver Hunon de. Kermadec, fils de Mme Hunoa dei reste seta démoli,
.semblant de rien, et vous allez J Kermadec, née de la Fare, -avec Mlle Maries Le premier'point' gagné,' efc® est ccnsidlja-
Pierre Lasserre, cile d'ajouter dans l'ordre moral les rui- maintenir. IJ fait même quelques gains besogne et entendez toujours îj Aubry de la Noë, fille -de' M'. - Auijry de la N06,; ble, ne parut pas- suffisant avec juste .raison
Professeur de Philosophie au lycée de nes. aux., ruines. dans les rangs du Parlement, grâce . à faire, votrediront
Chartres (en congé). l'aprpui des Chrétiens sociaux, qui
1
ren ce qu'ils et ne vous souciez du ; ancien colonel du,- gàiia' et «le Mme née dei aux bons Lyonnais du conseil d'administret-.
: se "rfeâtie », Gousse du lîenesk. tion. M. Vindry; adrnôidstialeur, parla avec
Voilà « le joli mande » qui injurie les
.
Le Cte d'Haussonville à Genève contrent dans .plusieurs nationalités. Çhamplain fit mander Batel ; après lui; — On annonce le procbaln,mariage deiMllei clialeur au nom da sesiûortfrères, de la néces-
;

Jeunes gens auxquels la Sûreté générale a Pourtant l'Union' "Slave, composée des- Slo .:
avoir tout fait divulguer il lui pardonna: de la Côdre de MontpaniB* fille de M. de lai . sité do la ccascs^ation-iiutégrale du menument
fcesmdiu un piège odieux. « Le Gouverne
(Le comte d'HaussoiivilJe, au nom de vènes Slovaques- et Tchèques, ,ne lais et Côdrer de iMonloponini. ei,de Mme-née de Bar,, auqwel se rattajj.liiemt' tamt'de souvenirs' de
et tout

'.
-
, le renvoya tronquilileniein-t re-
ment a peur des Camelote diu Roi, dit La lîlnstitut de Faramoe, est allié « sourire » sera guère passer dans cette sessîoai d'au-'
lui perstant. Puis- hélant le Pilote die
sa cha avec le comte Jean des Ligneries, fïls'Tiu mar l'histoire lyoEiiaisft
quis des Ligneries dé la marquise née Ere" Devant Je, parfciriœtei
Maie..oe fut.en vain,
dè.. Monsieur 'le Maïiié,-
BastiUe antimaçonnique. « Les actes si aux Genevois, qui ont souri à .leur tre proposition,.du Gouvernement que cel loupe il commanda d'inviter quatre
: -elf
il -
produisit
de .P-ény. alars un véritable coup' de
nombreux par lesquels ces jeunes gens tour, du sans doute, comme il l'a" dit, à cau le diu budget. La réforme financière et les galants prii&eipaux'de l'entreprise « ce®
à
t tea'U.' -
annwii«'-fcs fiançailles' de!
se
théâtre;•
"ont récemment manifesté, avec autant de se « sang genevois qui coule dans ses traités de "commercse' ne .pouimient' alors .nir déguster d'iun vin que les omis ve- de; — D'Amiens on
Mlle Marguerite de; Diesbach de Belleroche„ M. Petiffl,. aîioïm1ingéWieur«1 cHief des Pcjats
i.
crâaierie que de bravoure, leur dégoût _n!être veines » (« mélange » dont il a déclaré être discutés- avani la session des -Diètes, Tadoussac- lui fait fille de la. .comtesse de .Oiesbach. de. Rellero-t et Chaussées,, président 1 dit conseil', d'adminis
.pas médiocrement fier ») et de son i provinciales. Ce dernier point avaient tenir en pré-:
cause en, sent/ Sans défiance, les quatre conjurés sej che, avec M. de Bengs Puyvallée, petib-neft'eui tration des hospiees de-ïyoaii donna'sa.doubla
pour la République, inspirent à Clemen-. '« attachement «
héréditaire cette' .Serbie, où le traité est très désiré, vive démission: président du
ceau et à sa bande une frousse au fond » pour une rendirent à bond, de la; torque où ils fu-s -dû R. -PwderBengy qui lot fusillé, en 1371. de conseil ©fc-d'admi-
très légitime. Ce qui l'est moins, ce sont «grand petite ftépublique qui est cependant un" iirritaiion contre les-soi-disant Néo-Slaves,' arrêtés. « Voilà donc mes gal-anits; —Jeudi denier, -en cï» eathédiale de Saint, : Lyomaaia très at£ac<bé.-à tbuiés teB tra.diifoiiâ Inistiiateoir.
pays | qui ne le seraient que die nom. Ce qui rent ie-- mariage de M. Jeaa de notre ville.il
- •
les procédés employés par le Gouverne ».
montre fois- de plus —
l'inanité de la bien étonnés, écrit Ghampiain dans sa re Br.ieuc a été célébré •
a vaufl» protesteir
ment contre ses adversaires. Ne pouvant La fraaideur d'un une
pays ne se mesure pas en 'conception d'un nationalisme internatio lation.-; aussitôt je flîs. lever un chacun,, Coatgourden;' fille- de avac. Haenteens, inséniewr. Mflfi Maria <id -tiâLaâsquitravaiWejit
.. y,déiiTii»'ô les monuiaenïsi -
s'en' débarrasser, ni par ks mêmaces ni effet, a lu surface occupée par lui sur .la carte: nal. M." Stanislas, da- Coat-i
du monde, {car. c'était sur les dix heures du soir), et gouraèn, chef de "bataillon-en retraite»- 'dhayai et les œuvres que nous a légués le passée et
mais au rôle
pair la répression, il a essayé de les sa l'histoire et .à la grandeur des idées qu'il qu'il a joué dans' je .leur pardonnai, à -tous, pourvu qu'ils lier de la Légion d'honneur. 'La bénédiction :s'élQfver cwtxe, l'immixtion de plus éii pïns
lir en les compromettant dans une affaire présente. Et c'est pourquoi Genève est un re- - . La ....
Chambre' des Seigneurs aborde la. . me disent la vérité de tout été,donnée de grandè •
de l'auioa'jfô ^nnonicipale dans l'idmi-
ce qui s'était nuptiale a par'l^abbé HarscQUët,
d« jupons ! Quand um régime en arrive à grand .pays, parce que-Genève représente avec question Bosniaque-i un orateur, venant: passée
ce qa'ils firent et après je les fis. cousin de la mariée: aiiisbration auitarsoime- d-ft nos hôpitaœç. TL. ai
.voulu défendre atasi rorganisaSiioniséaaLaire.
«tiliser de semblables armes de combat,, un égal éclat deux choses également nobles :i des .rangs, des.Chrétiens sociaux, réclame^ • retirer». Rennes» en

l'église Jîoise-Eame, a' éiâ
A de la Cliarité-à' Lyon; qui-fait si-bien }°adlmi-
ctesit qu'en vérité il est .bien bas ». L'hé- le culte de l'indépeii-dance nationale et celui: pour la Bosnie unie à l'Herzégovine, une' Rate! îu-i-«iêirie confectionna alors -six, célébré le" S juillet, le mariage de M: JosepH ' -raskai' dea -pajTSctviliitéSr -que(ie-a hôpitaicpxi'A-
ïtoïsmé de nos prisonniers a d'ailleurs éle des hautes lettres. constitution autonome, dont il la dit par paires, de menottes, Hamon, docteur en. droit, Jjls de M. Henryi •'méTjKiUio enii calq^ leur .çrgwisationisur, fci!
Votre indépendance nationale, messieurs, faitement digne par l'esprit conservateur! dont deux paires pour HamoDi. maire de Passais Za.Conception,.et da nôtre.
vé leur action, à un degiré de dignité mo . domine; Tl prûne le chirurgien .Bomener et un'austre nommé!
rale dont elle ne peut plus descendre. Mais avec quelle vaillance, au prix de quels efforts; et traditionaliste' -qui y ; 1
,Xa Taille, qui d'abord accusés les Mme née Barralée,, ayea Mlle Madeleine. Ques-i La sonveQe-di9,!«eiU«iââmissâoa:au£,sâtôt •
, con-
vos ancêtres ne l'ont-ils pas autrefois défen l'affranchissement de la propriété serve' .-chefs.de la pour don de Suv'arenne,'fi'lle de W. Adolphe GUesi -niM -en ville où- i/U Peti4.,eist<unâvarsellemen/6
ai esst amusant eit sigmifleatif de cons due 1 .Resserrés, presque étouffés entre deux sédition furent bientôt recon don de Suviamanne,.j^ug©*,d'instruction, et dé ; «bhm et.apprécié, a prod'ujt une très. sroisse
tater tous les efforts tentés pour l'en faire puissants par les. moyens adminisitiraitjiîs pour fer i
et ambitieux voisins, les ducs de-
mer les. voies;<à- l'usure, comme, l'a enten nus innocents at remis en liberté. Cha-m-' Mme,née Barralée,. , impreESian. C'est t&,-CQinHit.aig^i entre lés li
déchoir. Savoie,-et les rois .de France, s'ils n'avaient .plâiri'fit emauate descendre' galants Sur là demande ï
à&. Mgr Bâifdfel, évêîpie da bertés traditionnelles et le césarismo adminisr ,
fait tête des deux côtés à la fois, mais avec; du- lé prince 'de Liechtenstein.. — La 'Cham- à Tadoussac où de Pontgravé « ^ses Sêez, le 'Pape avait envoyé sa, bénédiction traiifr .
Documents sur les élections plus plus de vigueur du côté par où as étaient le bne Jiaute se dispose, in même temps àj de les- gardier, reçut ordres aux jeunes, époux.'. •
menacés, c'est-à-dire du côté de la' Sa comprendre^ -au nombre des religions, re- avec mission, de les rame-i ... . . : St Rkleuc Un maitre antimilitariste^^- M.
.prochaines voie ; si en particulier, dans cette glorieuse, eoainues par l'Etat, rïslamisme qui' & de nex. à Québec dès ses affaires terminées.' NECROLQGIE Giooirgeta LeniaiBigj . — conseHJer gétaéral et maii'a
nuit de l'Escalade, idont tout récemment vous •fioirteffi racines- en Bosnie. Quiélqueis jours; après, ils étaient de re . de- Gouarec, ccsnfiaraissait devant lâ -tiibuiDal'
'S propos de la réponse faite par Clemen célébriez l'anniversaire, tour On annoneg.la .mort, au-Mans; de-l'abbé de correstionnei bris clôture-;. Le jour,
ils ne s'étaient mon-, La même Chambre va procéder à l'é et s'ouy-rit alors leur procès,. .Gham-s| Bigault, qui a été pendant de longues,années pour- dô-
ceau aux partisane du scrutin de liste (A très soldats.vigilants et intrépides, au lection de sies représentants pour- la réu ipLaiin, dë' Pontgravé, le-capitaine, le ohi- pwfesaeuiç à.l!é<»le de iairue^ des Poste sï coinseài dè revision,' avait: voulu^^fnettra
la prochaine législature ! A 1914* !), M. Er rait été votre destinée ? Vous auriezquelle
' dus U-
été, sui rurgis», le maître, le contre-maitTe, et Les ,
Dtibulej
à la disposition.. d ea-jenHie^cofflseMite p&BT'qu'ïla
nest Judet publie dans l'Eclair d'hier un vant une expression oélèbre, une de ces pre- nion des Délégations gui doivent voter le qued-quès miariniers siégèrent en tribunal;, décédé —. -obsèquesc -de. M. .6tHllaume<
article d'un sens très juste et-très vrai-: imières feuilles d'artichaut que la maison de. budg'et commun aux deux parties de la*>j pendant la traversée de Bordeattxrà
.. Savoie a. cueillies l'une après l'autre. Puis Momarchie. On s'y-prépare aussi dans 1 ai ' vait être
Jean Duval fut condamné à mort-; il de -Buenos-Ayres' auront iifeui mardi prochain, êf quit -uatjnieaaiaiàar. at iii.enîoittoer la porte.
Si nous coimpranomis bien le sens et le buffi lorsque cette glorieuse maison en -Laquelle seconde Chambre, sur la. base-des compro- exécuté immédiateiment, et les, onze heures, à' SainSAugustinv 1 -M. I^ioin®, anijMurs,<iei'sa:défeiïsQ„.(ié«iajra,,
fie œtté réponse qui ;&e itaie à niem, CLemenr j'aime-à.-saluer la plus vieille.dynastie da
mis. qui assurent à chacun des pays de ,sursis, irais autres à être pendus,, mji.is avec un Mi.vrvna,E^ ..
quiil était socialiste,, m'OTiulioitmaireiet eaane»
eeau a préparé son travail avec les préfets l'Europe, après les -Bourbons, a dû pour obte •la de matiièrs à pouvoir .être renvo mi de llarméa. -
tëiii scrutin d'arrandâEisament, et comme ai met nir le droit de coucher dans un lit plus grand; Moxiiarchàe, um nombre de sièges corres
son amour-propre à dirigea* la manœuvre dui faire le sacrifice ide son berceau, vous auriez pondant à l'importance de chacune .des ample
rettwaiveMemmt, comme son potot d'honneur suivi la. idestiné© de vos voisins du Chaiblais et nationalités qui en fournissent la' repré
yés en Ftoance*
j-ustice. «
pouaf
Jean
leur
Duval
étiré
fut
fait plus
pendu et
FAITS DIVERS .Le .préaidOTt dju; trSjriiïiaî 1l'a'
R oubaïs. t~ lia sah.Qtage..ties.tiiB, téiégraphr>
tait . expulser. :

estranglé — Un».enquÉte.ou.verta: pal > M. Gla«


.
est de durer au. moiiins quatre- ama et de finir du Fauciginy, et vous seriez aujourd'hui ce sentation. Oe n'est pas une des moindres au dit_ Québec et sa teste mise au ques..
sur un succès, il est trop sûr du système m que vous avez été pendant quelques années, particularités;à relever dans cette Monar ibout. d'une pique pour estwe plaaiitée au becli©,. cojDmiasaM'o attaché à la brigadie mo-
TOgueur pour changer son fusil d'épauie en •au commencementdu siècle demier^non sans chie si esseffitiellement composite. Wau lie plus-éminent de nosttre fort et les EPHEMER1DES OU VIEUX PARIS bile, dn-ris, tes quai-tiîOTS 'de Brun-Piain, à Tour
plaino bataall®. .votre légitime orgueil en ait souffert, le trois autres coing et. ai Roausq, «t prouvé que des .fïlâ anfci
que renvoyés en -France. .11 juillet $557. — Le tl juillet 155.7- la. Villa été sesti(5nnés.e6.détaches'par diîs prtrfflsfiion.-
. modeste chef-lieu d'un département français. .Cte fut la première exécution capitale .acheta, rue de Sèvres,
D'autre part,.îe Soleil annonçant que M. En voici une autre qui est un trait uni le- terrain d'une an» niels. ' En. quittant' Tùnimjiïifl; le commissaire .
Gaaithier (de Glagnv) quitte la politique, Quelle horreur l que de ses mœurs militaires : Le cinquan las
au Canada ; au moment ou. chaque année cienne maUtdr£.rie et. y, fil construire un hôpi 6\eèt rendu>à. WJUïpteliol,,ou,Aain®lu nuit, uni
Quel malheur l tenaire de la bataille de Solférino a été CaDadiens-Fmnçais célébrant la fon- tal que l'un appela les. Petites-Maisons parce poteau téléphonique.plaeéi .le long d.ii^caaial,-,
rapporte ces paroles du parlementaire sér Ah / messieurs-mesauditeurs,
' l'empare,u-r l'QccasâO'n d'honorer, d'une diatâon-
de laur vflle Sainte, il est piquant qu'il était composé de chambres hasses et sêi avait, été SGio à' un. mèi«reîdu soi " "
iant : pour
-
Si encore, pouirsuàlt -M. .Ga/utbier de .Clagny, - Regardez corder mes pleurs I, haute distinction le dernier des combat- de se rappeler k quoi tint, alors! .la desti- cueillit pour parées
tes
chacun
mendiants
des. malades
incorrigibles,
1 on y rat
les- vieiU beaucmbc. — tUi — EUe'va; battre, son
tamts qui y acquirent la croix de Marie- •néë cte- cette cité colossale que domine la lards, les infirmesk les enfants teigneux,, les plein.'aoa.DS peu.:inEtaUées, eaïf .d^jà.beau»3mp:dFattracitions ;
cm aboutissait à dies résultats I Mais voyez à iMaâs vos ancêtres n'ont pas».voulu qu'il en' Thérèse le baron Fejerwaxy, naguère •çteiini staifcue du conquièrent, la statue de. Cham- épileptiques et les fous foaainesisont
le président des oociaidiériiîle, momidiaU'e.même,', .Cette foire, .asstrefois -,
quoirimis servons: - • • • > •. * • fût ainsi. 'De siècle en siècle, ils "-ont lutté d'un —
cabinet ' - Comptes Jeati Luttlier fut-son principal bien* car l'orti^ ve-
Les dépunéis sont -tombés dans dfiscrédit ch'ef
votre indépendance avec une indompta capitaine de la Garde impériale ef royale hongrois, aujourd'hui, -
jneit de tomes- lee. parties.du moade,. durait du;.
pmfogid : je veux Cuir 3a déconsidération. Oh ! pour faiteur; qvAbre portierz y- exerçaient ia'polict 2 ; 28 juillet madîuteniant elle dure
« oui Jean MÉRIGNAC.
Boimivaird uin pe®
s'il y avait encore une belle, campagne d'en ble énergie ; et depuis
dans les caveaux de Ghillon «e poétique em- t subissant hongroise^ On sait ' quie' cette -.croix n'est et U y avait deux prisons\ où- l'on enfermait aiu
les pensionnaires récalcitrants ,- l'hôpital,-de* .moins et n'a û'èat' plus,, pâur- ainsi* diim:
;
plus l'importance iindustcLeabafT
semble à fairei, s'il y avait une organisation, prisonniement fait accordée que pour des services dë guerre
de l'apiposition, un programme commun., un jusqu'à Pietei de Roehemour, qui a son nom immortel, éclatants. avoir déterminé venu hospice des Petits Ménages, a'été transh d'auffinefoiis, qu'une fête
1
, gramicHoss sitm/Ce sur-un©-vaste
but bien défini, je ma remetaais en marche;:. tenant «iu congrès de Vienneréclamant et ob assez pour un. féré de nos jour» iï Issy--: — R.
promemade-aaÉc arbre»' sécula'îpes ousj bords-
Mais.... » le rétablisse événement milit aire dû à la seule initia
ment, de la République de Genève, vous avez; tive de l'impétrant. -Gefr événement -fût, dli-Rhône-. ' :••. *_„•,
Et par ce « mais » suspensif, ie décoorage- toujours trouvé des citoyens courageux pour
meni poliuiquie de M. Gauthier die- Clagny se la-défendre, de telle sorte que Genève évoque pour îe titulaire, l'échec des Piémontais-j $JADR€PLE ^0iVMâL\ATI0i\A MORT
La température. — Le vent
laut-d^iotee noiadi eiLaaiesiLmx.-idos côtes-de la
est assez fort -ou '
'
'
: ETRA^ern

:
-î '

tnaduàsait fort clairement. dans l'histoire l'idée la plus noble qui soit devant ' Bemedeta, qui " commandait l'aile-* - Manche,, en. Bretagne et an. Provence, ..
d'antre .
Ainsi; l'on tombe d'accordd'ùne part que au monde et. dont la grandeur ne saurait être droite et à Pétot-ma-jor duquel ^jtoit atta sud et ouest en -Gascogne-; ïa mer est-houleut
M. Clemenceau' .est «. sûr du système' en,
méconnue'^ue par des malades ou par dés:
fous,car elle est mère die toas les dévouements
ché le jeune capitaine ; celui-ci .parlant '. - Valence, 10 juillet. se au- pas de Calais, grosse/ dans les; parages
de la Corse, agitée anHeurs ; les variations de
Messine — La ferre tremble. — La tiuS der-.
nière, à .miniuïti «*eçt produit um fortr1,
yigneuT ». On avoue, d'autre part, qu'il et de. tous .les héroïsmes_;. l'idée de patrie. en son nom, sans en avoir reçu l'ordre, David continue à faine des mots, n di température dé terre sufivi- de grromKlemefaÊ®.
sûit déterminer et guider une brillante con- sait ce matin à un des gendarmes qui l'ac- gtons^ somit--'f)ail^,dÉ«»toiuitesi|ios râ- tnembleime.nit
manque à l'opposition le moyen de faire :
tire«attoq.ue -qui coiuronna victorSéuseme-Dt " ' ; f souterrains, pémtaprésî-Biûe &ffleqiuiss® ®éiai i©a-
,nne « belle campagne d'ensemble », « une' Bref, vive l.la, Pg^aie. des auttfes 1- Nouï la journée de ce côté du- champ de .-ba compiagnenit : - « La garde meurt, mais ne En France, dies averaes sont probables - ;
avec 'eenH*. ' " ' •>

organisation », « un programme commun »,


on « but bien défini ».
-
aimerions que cet altruisme effronté et
candide-s'exerçât, S'i -M. .d'Iiaui^oravLll'e a
O' O"
taille.
.
; à '•' se reiûfepas 1... Dans quelques jours je dé temps.; frais. ?•'
filerai ». ... A Pams, le ciel est resté couvert.entièrement
et la pluie est tombée presque sans in}-
•.«. • •- Après -
les sseoussas- do'f lai,.nuit, quatre-se-,
pousses ont..été- signalées liie® nxaJàr»;ctont ,un%
à anze- houres .quinioi- tixfâ' toptei- asccsw^s^aàSi
Pour achever de nous renseigner sur Je
désarroi intellectuel du monde parlemen
envie de l'exercer, de personne à persoiw La spontanéité, qu'on n'aurait pas cru
ne et non, de;cité à cité Ten sacrifiant la rencontrer
.- Dès l'oaivertuine de l'audience, Me Joseph •hier
.Rey proiraice une habille' plaidoirie, pour prisies dansjusqu'à
temrupitiwn andidii, puiis à plusiesitns r,a- de bouiNcftsmeimiefnts.- '- '
taire, qu'il soit de droite, qu'il soit de gàu- moi dé sa patrie, M. d'Hiaussoniville ne ,dans lé caractère autrichiien, Berruyer, puis. lie. bâtonnier, Joulie, pré rature fraîdhiït le reste dBk ïaf ipacnée ; l&itempâ-
eha, voyons la conversation de M. Gau
thier (de Clagny) déjà nommé avec il. de
se 'relève encore dans d'autres domaines.
ne sacrifie -nuiliem-eat son moi propre, iJ sa Les associations ouvrière® chrétiennes,
crifie lé nôtre, qui est d'aitaurs récalci-
sente la défense de David. David, ditiil, encore.
n'est pas, le chef de bande dépeint par la - Bureaux de poste, — Bureaux oaiverts a*u-
. DES THMîIS
COURRIER
Noussane dans l 'Eclair. Les regrets, unani- 'treuniRien de-.mo-ins-'géîiéreux au fiond que fournées sur l'initiative du député Kuns- légende.- -Les véritables .bandits; ee sont jourd'hui dimanche 10 juillet.
chiaik dans les centres indutriete, viennent Rivé droita (anronidtilsemants du centre) s
mes causés par le départ du député de ces largesses faites avec notre bien. de tenir à Vienne leur Congrès annuel. Liotard et Beirnuyer ; tout était organisé
Hôtel dies Postes, -nue çtu Lomvre et njet Etieai-
Seine-et-Oise suffiraient à établir qu'il n'est par eux lorsque David vint* les rejoindre. ne-Marael.
pas le premier venu. Ecoutons-le. La tri Pierre Lasserre C'est la bramche encore, la moins dévelop
pée du réseau d'o^anisations copporajti- David s'est contenté die suivre la bande. (ouvert au servi — Bureau Bourse du Commerce
oe; télégraphique jusqu'à miidfi.
LES. C0NC0U1Î9 OP CONSERVATOIRE
À noter','-.
bune du Parlement a fini par. l'habituer et le doyen Croiset ves dont Vbgélsang .fut l'inspirateur, Luet Il montre son client, vagabondant dès l'â seiutoment). Hôtçl
— Çaiitiîi'einiilail. Rue Saàmti- " C'était,' biep, la journée: d'opéra.,
. twijpuEs
une tendance exagéré© à préférer les
à ne penser que par nuées. et Liechtenstein les promoteurs et les ge de 10 ans dans la rue . où le malheur Denis, 90. —. Avepjue Friedî'asnd',—21. — Rue compositeurs contemporains,., ce, ,<rpi est'" 1fâ
Il dit : tr-Cette caricature de Rêpuljlï- Nous lisons dans l'Opinion, le Journal ger guides. Les branches principales sont cel
Pa jeté, puis condamné pèu-après et en Boàfiîsyd'Anglias, 3! —. Boîilevard des Ca.puci-
cheux, sons nul doute,, pour des'écoliers ; cas;
çue... » Or, rien n'est plus faut. Ce portrait de M. Doumer, à "la Chronique littéraire le des métiers, qui se forma la premiè voyé. dans- unie maison de correction. aies, 12 (jGraicud-HôielL),-r- Rue d'Amsterdam, 19. le, jugement du temps^ souverain' équKrisseur,--,
de. la République est bon, loyal' et fidèle. die Paul Soudiay :
re-dans la classe moyenne et s'empara Mais, tandis que son défenseur s'efforce — Rue Bleue, 14. — Rue du ChâteourLandonj, n.'a pas passé, par là,,et. c'est donner prise aux?]
C'est le modèle qui est vilain» ; -M. Pietro Lasserre a'conquisla-gi'aidenoto- : de la municipalité de Vienne d'apitoyer le jury, David indifférent, tou 22. — Boutovard' Saint-Martiii', 41. — Avenue
.
passions inacceptables dans. le bon établisses
U dit On a fait « la guerre à' tout ciété d'un seul coup,, qui était ùo coup de des ; ; puis celle jours gouailleur, toujours moquem4 ri Parmeintàier, 134. — Ru© des- i'Yamcs-Bourgeoia, ment das valaurs d'un coneoujs. Aussi,"avant
paysans cultivateurs, qui envoie aux , Bouleward Voltaire; 237. de.dire -les. succès,et au moment, où' nous ignor..
idéal ». u Ce pays est par essence, par tra maître avec soin éloquent et puissant ouvrage Diètes provinciales le plus grand nombre cane et hausse les épaules. — « J'ai joué, Le—bureau de Paris numéro 98 (paiaiis de M, rons encore les. résultats, sachons gré à MMW
dition, par tempérament, chevaleresque et sur le i Ronxanttame ». Il a publié aussi'de des Chrétiens sociaux. — On ne saurait
j'ai, perdu, je paierai » a-^t-il dtit. Eh bien) Bauiree) l'esté oaivert- tous les d intanches et Imbert et Clauzure et'à îéurs professeurs,MAL
Eonfiant. Il lui faut de nobles buts et de briliantets étudies sur Nietzsche, et tout récem ajoute son défenseur, il veut trop payer.' jooiirs fériés au service télégraphique (service
ment une très savante brochure :« M. Alfred dire toutefois que les masses, socialistes Bouvet et Isnardon d'avoir ohoisi l'Œdipe à-
généreuses pensées. Que lui à donné la Ré- Cet homme avoue trop de choses. II. s'a permaiwrat- de jour-et die nuit). Colonne de Saschiai. Nous féliciterons encora;
Croiset historàisa de la démocratie athéoleaiiae » engendrées par la grande industrie^, soient Airrondispemenitis die la périphérie : Rue
buhliqué difforme... etc. » Erreurs encore t où il refaite ce que les opinions du doyen de la enct-ie sérieusement entamées, voue coupable de crimes qu'il n'a pas Mile- Guibl'in et son. proifesseur M. Dupeyroif?
La campagne Dreyfus fut dans la bouche faculté des lettres-avaient de trop ..faVorable y a progrès dans ce sens. — mais il commis et cette vie que le . ministère pu Erard1, 5. — Place Cluapih. — Place, d» TFOca-
déro, 2. —BuaJouÊfroy,! 55. — Rue de 'Clignan-
de s'être .arr&tési à. i'Qrpl^ée, d^ Glucls, .Mil®
île ses prêcheurs un thème de haut idéal : aux démooratieis de l'antiquité. Je ne me per blic veut lui arracher, - il n'en a cure. Ne P-anis, élèwe du même-poH? s'être attaauée è-,
KIRALYL couirt, 70. —Place des Abbessœ, 8. — Rue d'Al AIceste de Gluck, MiM. Nepote et Laloyé, et le.
h justice, vérité... » L'anticléricalisme se mettrai pas, faute û» compétence et de prépa 'l'envoyez pas à l'échafaud. lemagne, 139. — Rue Benj-amin-Cbostant,'2. —• mô'më professeur, pour avoir fait'choix d'îphit
réclame d'un idéal j libre pensée... Le pa
cifisme antimilitariste invoque un autre
Idéal : l'humanité. Ce n'est pas faute d'i
ration suffisantes, d'iratervcinirdams oe débat;
.mais iîlia prudieaixie au moins est évidemment
du côté de M.. Pierre Lasserre; puisqu'il reste
fidèJie. à l'enseignement de Fuste! de CouJian- '
VARIÉTÉS Après la plaidoirie de M* Chabanon, le
président demande à chacun-des accusés
s'il à quelque, chose à ajouter' pour sa dé
95..-
Pyrénées, 800.

Rive gauche (arrondissements
Rue. des - Pyrénées,
Ru© des
. ...du- oentao).
.Bureau numéro 4î, rue «te'Grenelle, 103. (ser
:
génie en Tauride de. Gluck ; .et ajoutons, voc'
lontiers, que, pom* ingéras, la ;recherche.d'çeu-.
vres. déiinitives est plus aisée que pour l'opé-*
dées « généreuses » ou « nobles » que ce ges.ee grand esprit-que-I'on n'a pas encore tout fense, puis il déclare que les débats sont ra-'comique..
clos et lit au jury les deux cents questions vice télégràpJiâiqtDe permanent' de- jour fet de Et, maintenant, aux wnst-oinq•coneunvants;.
• .
paya est malheureux. C'est, uniquement a fiait placé à son rang et dont le cbef-d'œu^ ' nuit), i—. Ru» Amélie,. 12. — Hue de Renaies, 53. le jury, composé de MM; Gabriel Fâui'é,, Mes: ;
faute: d'idées justes et d'idées vraies. vue, la « Cité antique », ne le cède en. rien ^ auxquelles il a à répondre. Le' jury se re Rue de PontoJseï, 6. :,t- Paul, jjtufcas^
M. Gauthier (de Clagny) dit encore (com .aux plus .fortes pages de Montesquieu, UNE CONSPIRATION A QUÉBEC EN JUILLET 1608 tire alors gons la Chambre des. délibéra sager, Berntteim,,Broussan,
Airondiissemerats- diè la. .périphérie r Avenue Gheusi; Erlanger,. Dèlm&Si., Gunshourg, <Rer..'
me on lui demande si la faute de tous les Il est-intéressant de voir des esprits im- ^ . Juillet touche, à sa -fin. Au miliéu dés tions.- •• d'Italie, 27. — Avenue d'Orléans, 15. — Bom- naud; E'scalaïs,, d.'Estoumallea.. de. Cunetantp:
malheurs publics est à la Franc-Maçonne partiaux et fermes porter ainsi-leur témoi- ; érables abaittus, des lianes arrachées, sur Après deux heures trois .quarts de' déli lev'ard Montfpanjasise,. 174:— P Uie Blomet, 93. et Fernand Bourgeat,- a-décerné les-ré.compcn--
rie) : « Je n'en sais rien ». Il ajoute que bération, le jury rentre en séance. Les rrrr Rîie de-'la Ccnventioai;; 6.. '.. (.' . ees suivantes. : ; "•v.vv/.
c'est du reste vraisemblable, mais qu'il « se gmage. de Témdente « imprudence » du : les bordis du Saint-Laurent, dont les flots trois acousés sont introduits ,*•lecture leur .- -..
Hommes; Pas?de. premier prix ;-2ss '-prtx ï'.
refuse à erpire » que la désorganisation doyen Alfred Oroiset.: bleus bruissent mystérieusement,- se.dres: est donnée du verdict Les incendie»; — tJn ijacendie s'est déclaré
MM. Ghah-Mouradian, (biiasse Isnardon), lier
sent une « habitation » et un magasin. Liottard et Berruyer restent assis et im hier àprès-midi dans un magasin à fouirages
Systématique du pays soit l'œuvre d'une Un sonnet de Paul Arène Cela est Québec, que viennent de fonder .situé a/u 71' - de lia rue dîAangouième. re Qupré (Bouvet)- -,-1""- -accessits : Çômbes'
association politique. Raison : « Ce serait passibles seul David affecte de ricaner L'inceindie- a pris naissanee au deuxième (Isnardon), Carrié, Nepote et Lajôye (Dupey-,
trente Français, commandés par Cham pendant que dure cette lecture. étage où tmois" voitures, de paille avaient' été xon),- Clauzure (Isndyqony 'i ?? accessit i: lut;
encore plus st'upide que .criminel ». Il suf Mistral nous parlait l'autre jour, en-ré pion!. Arrivés depuis le 3 juillet 1608, sur bert (Bouvet)
fit, de comprendre que les Maçons travail La Cour condamne David, Liottard .
et , déchargées. Femmes; lenf;prix Mlles. Panis (topejTon), ;
ponse à la dépêche de nos prisonniers, du une barque légère, ils avaient le trente ,1-, ' •*
lent au compte des Juifs et que. les Juifs Berruyer à la peine 4e mort. « Boum 1 s'é Un employé de là ràaôjson, , M. Robin,
a été Kaiser et Bourdon (®ouwet)..;;29»;prix : Wilte :
poète provençal Belaïud de la Belaudière, juin quitté Tadoussàç, y laissant, le sieur crie' David, au revoir et merci' ! » Il est à blessé à la' main au- eours des opérations dâ
sont des étrangers conquérants pour com gui avait connu comme eux cet aspect de de Pontgravé avec lés vaisseaux de fort sauvetage. Trois lamçes 1 ont été' mises en bat- (Bouvet), Daumas' (Melehissedec) ; 1ers accès-*!
prendre que l'œuvre criminelle n'a rien de la fortune. Noua trouvons dams l'Antho tonnage. Qhamipiain servi par son bon remarquer que les circonstances atténuan turie-.*-:. - sits r Mme W-illaume-Lambéirt (Bouvet); Mlîa-'
stupide à leur point de vue. Et bien, au tes avaient été accordées à Berruyer.- Jean Après lies . » inoé-ndiès . . des-
voitures de paille Guillemot (Isnardon); Mme Dèlisle - {Iiupev,-
logie âe l'Amour, provençal, .que publie sens normand, sa.science de stratège -aver Lamarque, actuellement en fuite, est con ron)..; acoessite : Mlles Alise. Gautieri (Bou-::
tontraire. •; • .. ront aujourd'hui même nos amis Ernest ti; avait rapidement deviné le parti que que nous siénalio/ns ©es jours derniers, la po 2<*
vet),; Çourso (Melchissedpc^v . "
1! Il dit encoure :

a Lee électeurs se sont eni
. .
Gajubert et Jules Vérani,' un sonnet de Paul pouvait retirer 1a colonisation de ce pro damné par contumace à la, peine de mort. lice croit que, comme les précédents, le sinistre \ .t.. .
vrés , d'illusions ». D'idéal, alors ? Idéal Brenier. le recéleur, est acquitté. d'hier ajprè&imiidi serait dû à la malveillance " ' '
-, S» '£.< » f-'
Arène, où lie. nom de Belaud est également montoire escarpé, énorme rocher naturel Le départ de la voiture cellulaire empor et ses recherches âant dirigées dans ce sens, A l'Opéra î- -- ^
faux, mais idéal. invogué. Ce poème d'-un art délicat et so- : lement- fortifié, sorte de sentinelle avan Snectaclesde la semaine .: Lundi, Tristan et
Tout cela ne tient pas. Tout ce discours bre, d'une vive fraîcheur,, vaut la peine ; cée sur toute la ligne "de' navigation du tant les condamnés à la maison. d'arrêt a — Dans l'a matinée, un' autre incendie a Isolde, Mme. Félia Lit'vinne,. M. Van Dycky
(d'un éminent orateur de l'opposition est d'être cité : . {Saint-Laurent. A cette pointe, (Quéhec, di été salué par les cris de i « A mort !-» et .éclaté dans .une usine: de . pétroles, essences et' Mlle Rase Féart, MM. Dùfranne, A. Gresse,
dans sa substance aussi incohérent que les par une bordée de sifflets, poussés par près huiles diverses, située, rue Barbés^ au Grand- G onguet, Nansen; Triadou- ; Jeudi, "Faust,
Si j'avais un long manteau brodé comme saient lés sauvages); il avait résolu d'ins- trois mille personnes qui étaient mas Montrouge. -
déclarations mêmes d'un Clemeinceau.il n'y l'avait La .Belaudière,— je me dresserais dams éaller le principal établissement du Ca de sées sur le boulevard Bancel. Un escadron Un moment, le {pu était tel que l'on, crai Mlles Yvonne Gall, Goulancourt, MM. Mura>.
tore, Delmas, Teissié.; Vendredi, Tunnhauser£
•a riien à en retenir que la constatation du nada ; aussi tenait-il à en diriger lui-mê de gnit
. pour un immenseentrepôt contenant une
fait, d'ailleurs public et manifeste. « Nous la rue, — à cheval sous ton auvent. chasseurs escortait la voiture cellulaire. quantité considérablede. fûts d'essenses diver Mlle Demougeot, MM. Van. Dyck, Dafranne. v
Viole aux doigts, épée au côté, — Je te di me les premières fondations. son pareours jusqu'à la prison, la
;
«'avons plus d'idéal politique. Nous avons rais ma .première chanson ; — Vous seriez Or le 24 juillet, des hommes de l'expédi Pendant
voiture été arrêtée deux fois par la foule,
ses». ',. ......
Le sinistre paraît v..dû à l'im-piPudeniee -d'un Les théâtres d,e verdure.
cru à la République ; ce mot faisait battre deux pour m'écouter, — toi et l'étoile du ma
tin-.
tion venaient, sous le commandement du malgré al'escorte. ouvrier. Demain dimanche; à Autoay-aux-Champs?
l'es, cœurs. Ou sont-ils aujourd'hui, ceux qui capitaine Testu, d'achever le décharge -
Rouge plus que le raisin, — dans• mon grand —maaaam»»—. fausse alerté, s'esit produite hier après- à 2 heures. et demie de l'après-midi -: V. La!
aiment d'amour la République et la voient manteau cramoisi, — tandis que tu rirais de ment d'un chaland arrivé de .Tadoussac —,— — Une
grain -merveilleux, adaptation dramatique
pure, noble et désintéressée ? Mais quand
U ajoute que « nous n'avons» plus d'idéal l'aubade, avec vivres et munitions. Cihamplain sur RÉUNIONS - midi. Les -pompiers ayant été appelés Fau
bourg-Poissonnière, le bruit courut que le feu d'une légende de Tolstoï ; 2. Le lundi de la-
patriotique », on peut répondre à M. Gau
§ut mon cheval je t'emporterais — et tu
cnerais : « Pauvre de moi I — je crois
veillait les travaux d'un jardin entourant ET CONFÉ RENCES venait d'éclater au- Conservatoire, Il n'en était
rte. . '*;•,
Pentecôte, un acte de Maurice Pottecher ; £
thier (de Clagny)' : — Parlez pour vous, arquin .m'a ravie I ».
qu'un « l'habitation », lorsque, le capitaine vont *
-
Intermèdes poétiques où seront dites La Char*
le trouver, demandant "à l'entretenir un rue, Les deux moissons,'Lé socialisme du blé-i
Vols dans les magasins. —. Hier matin, des trois belles oeuvres dë Clôvis Hugues. Inter-.,
ipoô.te l'L'idée de .Revanche se serait main instant, en un lieu secret où ils seraient L'Accord Social (Ligue Royaliste d'Action
tenue si elle avait été sagement adminis Belaïud de la Belamdière avait fondé la agents de la Sûreté ont arrêté en flagrant dé prêtes : Mmes Irma Perret, Marie Kalf,. î,^'-
seuls. Ghamiplain l'emmène dans le bois, Sociale, groupe du Ve ).
trée par les gouvernants (mais ils nous ont société des arquins, qui étaient, pense-t
et là il apprend qu'un complot est tramé dictoire, le mardi 13 juillet, — Réunion contra lit de vol à la tire, dans -un grand magasin, Henry Perrin, etc., etc.
ànené à KieX en juin 1895, saluer l'aube on, d'assez joyeux vivant^. Il est fâcheux à 8 heures trois dieux imdiiividuB se disant employés d& commer
que l'on ne puisse traduire tout à fait le contre lui. quarts du soir, salle au Chambon, 14, boule ce, ainsi- çpu'uïie fille, Blanche Leclère. '
de la marine-allemande) ou si les proies-' charme de ces jolis vers : " Le chef de la conspiration se nommait vard Saint-Germain, sous la présidence de Tous troiis ont été ejpvçyé.s au dépôt Monsieur Alphonse.-, t
sÈionnels du; patridtiSiiie avaient su la <ié- Jean Duval 4 cet homme, un ouvrier ser M. P.-A. Paillard, président du comité roya Demain, la, C.omôâ,ie-FrançaKe,. a'fiprend, "
lendre contre l'Etat républicain (or ils.l'ent Sarias dous pèr m'ausi caitta rurier, avait pris part en 1606 à l'expédi liste du. Ve arrondissement. Les systèœfies so Mortel accident dp voiiy/é, — M- Vfctor de après un' long intervalle^.la célèbre",comédie
jfftchée). -L'opposition parlementaire p'a- que Tu; me \\estello maiijiiero.. ciaux
tion d'Acadie ; il s'y était même distin Les dames devant la Monarchie, par"Georges Paul. Rochas, industriel,..$12 tea boulevard Penaii®, d'Alçxandré Dumas-fils,-quijeta-un-léger dis1
^es toutes % son actifs JJlie .'a.tQut^çràu, .
dûroj** gué .lors.d'une escamouchè .sont priées d'assister &..Ia réu- parept du'poiLanel d4 Rochias, ancien «dml- crédit sijr Je prénom. d'Alphonse,'encore qu'il-.
•- •
' ! £vec..des -sau '2li013«v ' ' <" a^istrateuir ,i}a J'Eooîfl polytectoique, faisait eufflse d'Alphonse de'Latnayttoe çt d'Alyhen?® -

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