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Les Nouvelles littéraires,

artistiques et scientifiques :
hebdomadaire d'information,
de critique et de
bibliographie

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


. Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques :
hebdomadaire d'information, de critique et de bibliographie.
1924-04-26.

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LES TBOIS MOOIS H iriN a
OPINIONS ET PORTRAITS ELEONORA DUSE
Qc m Marcel Boulenger V-

J'imagine Eleonora
->-O. -c
Dusedanssa cabi-fairesa dernière
Peudeviesontexercéun telpouvoirlesboisen courant, l'espritenfeu,et ne ne il y a un an,en routepourle Nord-distoutnetqu'àcommission,
Amérique. mondsentiment.
jeluirépon-
Eleonora
defascination. Peude viesontgroupés'arrêtaqu'à Newstead, où il parvint -J
jadis
Quedetraversées entreprises Duse devait r etarder eparaître à Paris
en une si courte chaîne de jourstant quelques heures p lustard. M ais,d urant avec ellequipermettent dedeviner oùelleavait t ropà perdre, sielleperdait
d'événements et tant d'ardeurs. Peude cettecourse,il s'étaitaccompli en lui S'il y a un trait que l'on n'ignoreblir un quartierd'écuries.» Wagramquelle futsonangoisse
unetristeroutequecelled'Amérique
! C'estd'ordinaire son
du souffrait
halo et son mystère d 'autrefois.
decela,maisplielecomprenait
Elle
viesdéroulent untableausi mouvementé uneterriblemétamorphose. ChildeHa- point de M.MarcelBoulenger, c'estvint à pointle distraired'un projetNord, combien plus triste elle :
d'uneâme.Ony voitdelongues clartés,roldétaitné et allaitbientôtjeterson qu'ilhabiteChantilly.Mêmec'estce qui, sans doute,eût nui à une si trepritcettefois Devant ! comme l'en- elleétaittentée, niaiselleneseraitjamais
desnuances
ûmbres.
pureset paisibles; puis sou- criprovocant à travers l e monde. qui le distingue l e plus de son cadet,
daindesnuéesd'orageet de terribles Noussentonscequevalaitcetteré- lequel,à Paris,préfèreune vie plus lengeraimelessports il lespratiquese cachait l'indiscrétion
volte.Elleétaitbienun peuartificielle. avideet moins ornée.Ajoutons a ussi
belle
tous. I
ordonnance.
l a même étéle
;
M. MarcelBou-
premier à faire
;
d'unennemi,
l'entouraient,
d'undanger,Eleonora
la perspective
desvisages
lesgestesquise dirigeaient
revenue.
Dusebonimentage
qui riblement,
rée du
L
et
a turpitude
descritiques
aussi l
del'éloge
pmauvais
théâtresoi-disant
b
J'agaçaient
ête,l
ter-
goût.Ecœu-
psychologique
e

Cetteexistence, pourla contercommeNousnecroyonspasqueByronportâtà celaAge,dont que Jacquestient pour le deshommesdesportleshérosde ses dans verseUe.avaientJe donde J'enfermer dont oussommes efivahi,on*lui eûtre-
ellefut,pourluirestituersoncaractère,en lui un satanisme,foncier,qu'ilfût Moyen il s'applique avecromans,quece soientle Page, ou La d'effarement unesortedepudeurmalheureuse et parlénde cesgrandes figures où« elleétait
tellequ'ellel'angedéchude la légende.C'étaitun l'autoritédu poèteet du chartiste à Nérissaie dansla CroixdeMalteou le douloureux. incomparable Il et celatuait sesidéaux.
il faut y croireet l'accepter
vécue. les romans, tandis Unjour, la merétaitmauvaise, Elle avaitpris horreur profonde de1
a été Si on l'aborde en sceptique,tendreenfantaltéré de passion.Lecri nous transmettre Marcel l a France
prince de Venascodans l'Amazone
blessée. Lecheval la chasse à l'escale e t je rejoignais
c'étaità
toutseullebord son ancien une
répertoire.
avec lasecrète i ntention d eladiminuer: de soncœurn'estpas dansla provoca- quepour ne com- e t courre petitelauneh à vapeur, grandedeDuse,« Ona brodé e'rsfl'expression même
si onneprendpaspourdogmela sincé-tiondeManfred ou dansla révoltede mencequ'àRonsard. sontpourlui d'unvif attrait. Et jus- surune radede Montevidéo, quel'on enappelle
« brodé, »,brode
sur1=011 silence.
ritédupoète,autants'endétourner. Car Cain.Il tientdansle Mylifeis lovede Et saflsdoutenousabandonnerait-il qu'auparlerdela véneriea dequoisé- larade ce
foraine;moubateaudansaitcom-voltait Mais elle ml'a».«'•/
e n
it souvent -«via laré-
Byronfutsincère,absolument, mêmeet Sardanapale. ? êtresain toutesles cathédrales d'ungothiqueà duirece curieuxdenotrelangage,tou- meun bouchon, à deshauteursqu'onladerépondre
surtoutdanssescontradictions.
maiscomposé
instinctoupar
sa légende
goût, par
: il
Il n'aja- decorps
agi
et Queveut-il
c'estaimer.Mais
a par naturelui a déniéla perfection
d e
besoin sesa- queet il n'a pasla foiquiluipermet-
C'est,
l amarâtre
p hysi-
son grétropflamboyant, pources écu- joursprêtà
cabulaire
compte-t-il
messpéciaux,
de
pas
se
la
battre
moins
chasse
pour
au
lui;
detroiscents
dontlespiqueuxgardentprochant
le
cerf
vo-
ne
ter-
vertigineuses,
quebot
Deloin, ou
u npassager
s'élevait
sanspouvoir
Eleonora Duse
dubord,Duseregarda;me
accoster
étaitrestée.
signala m erap- restait
Son
puisjela étaitune
voyait,
aupa- mettait unepetitefaiblesse
parfaitement
auxmenson^rs
ellearcordait,
décidée
goûtnomadeconstantlui-même
à nepas
H,Dès
codait,
mais pro-
elle
tenir.
tisfaire.Ses singularités, ses amours.traitl'acceptation de sonmal.A la pre- lestraditions,et qu'ilsraviventencoreelle visdistinctement s'éloigner, disparaître, évasion. Toute..avieauprèsde
toutessesentreprises répondirent à des mièresouffrance il avouequ'ileûtpré- alla dans sa cabine o ùelle s'enferma. touset toujours, ellea pensé à s'évader,
ordresdesa nature.Cethomme, de son féréle non-êtreà cettegéhenne. « Plût avecun argotdesplusactuels, ce qui Je restai d eux «àfuir H , c'est p ar centaines et centaines
? longues heures d u
vivantsi soucieux de ce qu'onécrivaitau ciel que je n'eussejamais vu le
delui,si promptà répliquerà la criti-!jour K.répond,dansLe Bossutrans-
que, n'a guèrepenséauxjugements de formé,Arnoldà sa mère,quile traite
ne manquepas
Lestermesprincipaux
de pittoresque
: ;
paquebot, cherchant a utour
parvenir à
de la véneriegrimperje nelarevisplus,elleavaitété «fuir. fuir. lamer.laiuer!!!être
ont,du reste,enrichila langue aller prisede peur
noir,fejmant
sansy
et s'étaitenfermee
y
dansle ses
que je reliscemotdansdesvieuxpapiers
seuledansun coin.fuir,revoirIrcho-
!.ji «circonstance
recoudrela vie,seulement
la postérité. d'avorton. sur lesbrisées,démêlerla voie,cher-blots. jusqu'aux rideaux deseshu- quand violente et immlla-
On y a,hélas!pensé pourlui; et Aussibien,à traversses premières cherdesfaux-fuyants, prendrele con- C'esr,ce qu'ellem'expliqua quandblela une changedefonden comble. J'ai
l'absurdepuritanismeanglais,aprèsrévoltes comme au longdesa courte vie, tre-pied, sonner l'hallali sont d'un tantespère écrit-elleparfois sortirde
ravoirméconnu et exilé,nousa privésil necessera dechercher l'amour. Il crut usage courant. ma prisoncar je ne saisplusvoirina.
d'unepartiede sonjournal.Lesmainslerencontrer versses vingt-cinq ans. Il L'étén'estguère la saisonde la viequecomme prison.Oui.oui.il y
unelemonde,
prudentes deThomas Moore ont jeté aux venaitde retrouversa demi-sœur, Au- chasseà courre.Pourtant,la dernière a desprisons dans etlamienne
ilammesle plusrévélateur, sansdoute,gusta,née,quatreans avantlui,d'un foisqueje fusen forêtdeChantilly, je es; bâtieentresesquatremurs,lepremier
de cetteconfession. Ona voulueffacerpremiermariagedu capitaineByron suistombésur l'équipagedu marquis la foule,lethéâtre.lesecond, la troupe;
ledramedecettevie: pouvait-on ense-aveclamarquise deNoailles. Et désignant grand letroisième. lesaffaires ; lequatrième, 'e
deCarmathen. Il aima me un pisdetous>•.(ici elle nomme unevieille
velir Manfred?La critiqueanglaise,cettesœur,ce n'estpas douteux. Com- cavalier q ui mangeait u ne tartine,le confideme). Ces q uatre murs,
Il bellesolitude, le voilà t oute
poursuitencoresa tâchepuri- mentl'aima-t-il?
pourtant,
ficatrice, accumule les gioses,construitleur amour?Poussèrent-ils
brûlante
enmarsedecettevie Tous unroman
Quellefutlanaturede
cet inces- lenger m e dit :
corpassésur l'épaule,M.MarcelBou-
« LeducdeGuiches
Celam'arappeléunehistoireassezpi- » .
maprison,et
quet m
Lorsque e tombe
je
ma desmains!. )' et ps,
luiremisle médaillonde
bleuen huitvolumes.
sont.puérils.
psychologue
ceseffortsfruit
nom
:
tueuxsentiment
cette
d'une héroïne
jusqu'àen recueillir
petite Medorah
d upoète?
saitretrouver discutésurcepoint,et un critique
quireçutle
O n a beau-
le
quante
fois se
: MarcelProustpensaitquelque-
présenter à l'Académie (J'ai
fleurspoussées
me
crime
j'enavaisétéprié
c ontre l
surlatombe
equel Ibsen s e
d'Ibsen,
ellepleura.
révoltait
com-
Le
dans
Lecritique- gardéle souvenird'unevisiteofficielle ses toutesdernières ((,U\'T'lS, filel'avaitsi
Atraversuneceuvre sitransparente jus- coup
anglaisnotamment, M.RichardEdg- ! et nocturnequ'ilfit à MauriceBarils fortressenti.Cemédaillon ne la quitta.
qu'auxplus secrètesraisonsqui firentcumbe, reprenantla prudeet respec- et queje raconterai un jour).Il suppu- plus.
battresoncœur. tueusetraditiondeThomasMoore, s'est taitlesvoixqu'ilaurait,et,à la fin de LUCNE POE.
Lorsqu'on regarded'unpeuloinla vie efforcé de prouver qu'aucune passion d e sa rêverie, assuréqu'ilétaitdu succès"
de Byron,on aperçoitsur son horizoncettesorte il se répétaitet avouaità quelques-un-,
troissommets quiladominent. Surcha- Byron.Il - n'avaittraverséla
expliqué
vie de
huitvolumes persuadéque le partidesducsjouait
de émineners pourrait pla-
on premièrequecetteAugusta a e n
cune ces
cer la statued'unel'emme.
éclairesa jeunesse; l'autre
vingt-cinq
La
fascine
la
d 'un
troi-
termédiaire
worth,
entre
n'avaitétéqu'unein-
son frèreetmiss
devenuesa maîtresseaprèsun
Cha-
Cl-iehé Manuel frères.
un rôleà l'Académieet ne pouvait
pasrésisterà celuiquiétaitsonami
« du reste,j'ai Guiches ».
: avec me PAUL CAZIN
attraitfatalse3 ans: lui mariage malheureux a vec Mr.Musters. l'iinpeocable Sur pavéduroi,quimeurtrit, tout eniin, l esoir, j elaretrouvai sur le paque-
sièmepuflnle rend à-lui-même e t C'estunbeauconte.Mais riesLouis
quel sensdon-ornementde la pelouse XV,qui sont ce
Chantilly, le flattant,si l'onaccélèrel'allure,bot.
donnela forcedebienmourir.Cestrois ner alors à tous ces émois l orsque B yron de
Paul en Douéed'une splendide mémoire,elle dit le BienheureuxPaul
femmessontlesgrandes i nspiratrices de parlaitde à leurdernier et sur laquelle d onne sa maison. M. le dosde sessujets,le ducqueje ve- n'oubliait
quece qu'elle v oulait oublier, et
sessentiments, desesactes, sa de poésie. sa sœur, Newstead, Bourget est le conservateur de Chan- naisde rencontrer étaitdoncl'amide elle dùremâcher dans les longues heures Essayiste et conteur
Il noussembleque, lorsqu'on l es a évo- tendre a dieu lelong dulacde tilly.C'estdirequ'ily passe l'été.M. Marcel P roust. S ansdouten'a-t-ilja- a elle,tou-
lorsqu'il allaitquitter à jamais F Angle- Marcel qui mais ledécider à suivre chasse. decette t raversée, enfermée chez
quées,ona jetédepénétfants rayonssur terreet qu'ilgravait-leursnomsentre- Boulenger, vitlà toutel'an- pu une teslesétapesauxplussombres etauxplus par FrédéricLEFÈVRE.
cetteàmeeLqu'onen aperçoitmieuxles mêlés
mouvements.
La premièredo ces femmes: Marydépart
s
: urun
« Tu
arbre duparc?
connaissais
Quesigni-
fientles versqu'illui adressaaprèsce pluspatientet
ma douleur
née,a surle parcetlechâteauconquis PourMarcelProust, qu'elle devaitjoyeuses
tousles droitsque confèrel'amourle êtreloin,la forêtde Chantilly Qiri Sansaucundoute,
le pluspassionné. Les sait ! une chasseauraitpeut-êtremo- vovage.
! cellence.
minutes
car
de sonexistence.
- oLle
elleétaitunenomade
avaitlegoûtdu
ElleaimaitlesNord-Américaines. SUT
parex- - Tiens, sécrm Philono'i.>•,
votretablelelivretiePaulCet-
j, VHÊ
Chaworth. Onl'aimeet on la déteste,et pourtanttu n'hésitaspasà la parta-portessont-elles ferméesau populairedifiéquelques parties de sonamvre, ':ÍIl.Ir' suiscurieux de savoirce
cettejeunemuse.Elleétait,la petite-fille je ne l'ai que lesgardiens seprécipitent, luitirentoùles gensdu mondene montentja- mitié, maisquedefoiselles'écria: « Utifild'a-
de ger,et l'amour quej'ai rêvé,Quelle qu'unermitep''«fhir!llj^ravrd4,
d'un Chaworth le grnand-onele
queduel. N'enfailait-iljamais trouvéqu'entoi» ?. degrands c oups
si- luiprendre pardessus. d echapeau e t s'offrent maisà cheval, e t ne se livrentà au- avec
l'Hymalaya
d eux
! ou trois amis
! l'Inde ,)Collectionnant
pas plus,et
les rHwnallLte a Japierre.
Byronavaittué en
pas plusà George
qu'un irréconciliable
Byron pour croire
destinles sépa-cessa
gnification prêteraux lettresqu'il ne àilsontraison
de lui écrire?Enfin,quelledra- dela
!
son
Comme
déférence à cet
Et commecunsport,cequisembled'uneobserva-livres
ilsdoivent
écrivain
mar-
q ui
tionbienarbitraire,
sport h ippique, voilà
les
car courses, lalecture
par quoilesoisifs
le sur l'Inde,
vatau Thibet,
elles'étaitenchantée
de1expédition ducolonel
eUes'enétaitenivrée,
Perce-
à
Elle
If pense,ïi-poirhi
l'auteur
rang, a
d e
quelque*
prl",-:
Théonas,
cet outrageprendra
livres
qua
comme
rait?C'estdurantl'étéde 1803qu'illa destinée
J'eneontra.
voisine
à AnnesleyHall.propriété
deîN'ewstead. demeure
de
ancestrale Ah!certes,nous ne
¡}Janfred? !
matiquemalédiction pèsedoncsur la quer
voudrions
sertla littérature
roi DeChantilly,
françaisecommeson serventencorel'Etat.
M.Marcel Boulenger Avant d 'arriver à Senlis,
pas faitledécordela plupartde sesro- cherest la fleurla plusfinede l'Oise,larmes.Elleconnaissait d ontle clo-
se oynitdansla
deFueit del'éléphant
Jungleet laJ3nemalice
la faisaitrireaux
routesleshistoi-
,-.:lui.IÛ,
langue.,.
parmi/; rnaines
Jacques MaRitain
denotre
ThÜltaS.
desByron.Lejeunelordavaitprèsde mêlerdesfleurs empoisonnées au bou-amans; chroniques dujour- Saint-Firmin, res deséléphants. « Tantquej'auraidenw J'allailuirendrevisite,duranttesva-
seizeans:MaryGhaworîii
avec déjàbeaucoup
le caractère.
en avaitdix- quetqu'on
huit,Elleétaittoutegrùc*.toutevivacité,tombeau
degentillerusedans notreconviction
Byron,avantelle,n'avaitviesentimentale,
d'unpoète.Maisnousgardonsnom
sur ce chapitre
sans que
le
déposeaujourd'huisur naliste, retentissent
; quant
elles
les
pour
d'ailleursla bonneéducation
aux
charmantes
de sa entreprit l'orthographe,
et le
croisades
goût
q
l'élégance,
ne
u'il
sont-
onpasse
émerge
me
Proust
suis
c
d
par
aussi de ce l'abbé Prévost.Sa ManonLescautI!U
'unepoligraphie
ourra
mis soudain
peut-être q
à

touffue,
se

songer
uelque j
retira
et
q
ourla
je
ue
bouche,
Allans
priseà haïrlemonde
illustres
s'écriait-elle,
auxIndes!.)>
de monde.
je voyagerai
Cetteenfantdelaballes'étaitpeuà peu l'Alouette.
!. cancesde Pâques,dansceltevalléedd
duthéâtreetmêmeCouiveiles
Dans longues
Chevreuse dont il vienfde chanter
Samaison est sur la routede
à Gifef sonjardin montevert
aiméquesa cousine, Marguerite Parker.cette convictionaltère aucunement là? les ce ellecroyait ses leboisdeChevincourf. C'estlàqu'ila mé-

i
Il fallaitcet.impossible ellespointpartiesde Nul lieu mêmeaventure avec Un Amour de heures d esolitude, ê trearri- ditélesPsaume* duMatin.Je le trouva
bientôtmorte,d dontil conservait starnotreadmiration. ne démontreen effet plus de Swanll.ce chef-d'œuvre
avecprécision clairetdécisif.va à se recomposer elle-même, alorsque danssasalleà mander,
froncœuruneboucle decheveux. DuraIPl amourpourque Byronsentîtpesersur force la puissance de la Comme j 'étaisà deux de j
Loisy, lescomédiens sont la plupart toutle (ouf noirJ,. puiis*
3essixsemaines
s'étaitimposée.
:
qu'ilpassaà Annesleylui (aprèsun refugemalheureux
il oubliace tendregage AnneMarylemariage)
Deuxfoisil avaitfaiten ciales,commeil avaitsenti,
de longuespromenades
lafatalitédesconditions
dans etde la grâce,et comment
so- dominerle monde.Lenôtre,
au contactpli sard,La Quintinie,
nousavons
!
Gitardl'emportent
d'un premieramour,la fatalitédes ici surlesgrandscapitainesVersail-deGérarddeNervalétaittoujours
je ne pus me
Man-scrupuleslittéraires
d'aller v oirsi le
retenir, p
pas
ar
assez hypocrite,
mailoùrêvala
de temps
Sylviemâché
ne
« .composés
un ces ellelesappelaitles « visagesde papier
».Cette
gardait j
horreur
amais u
p
u;
our

ne
les gens dethéâtre,
étaitsifortequ'elle
lettreni un papier
sa compagnie à
dontil devaittoujoursse souvenir: conditions
« Cetteannée-là je passaisl'étéde nos leux, il humaines. Honniet scanda-lesmêmesuccombe,
quittasonpaysle 25avril1816,s'accorde
d'unorgueilinsoumis.denosdélicieuses à fairede ce
tant ce paysage
château l esiège
place
si
!Entre
surprenante.
nous,
U
c ette Sylvie
neSylvie
n 'est
sa d'uncamarade,
pas sesdéplacements,
me causeprescomédiens
que chezelle; même
ellenerecevait
qu'entenuedesortie.le
dans
sespro-
au milrsudes montagnes de toutfrémissant M.deRégnierplusd'agrément
vacances,
Malver-n. Cefut pourmoidesjoursde Londres C'étaitDonJuan qui s'embarquait à vientparfoiss'y' vertus.. I l n'en tilly,celledontla
parThéophile
dansle parcdeChan-voile
maison fut chantée teau
et lechapeau
le
surla têteet
cela toujours, même
le man-
lors-
roman.Mariaétaitl'idéaldebeautéque l es
pourallerdéfier cœur?sur pasfaitsoncapital;aussilesfontainespar promener. a sur corps, lescontrats
de Viau, q ui, banni pour qu'elle a vaità répéter. Dans
pouvait peindremajeuneimagina-la terreitalienne. n'y sont pointencoretaciturnesni avoirpubliél'éditionobscènedu Par- absolue aveclesimpresarii, elleinséraitla clause
tion.J'aime puisétoutesmesfables - sur la Desannéespassèrent, toutes rempliesdoublesles déesses. L'eau y chante nasse Satirique. fut recueilli par lamai- u de ne pasvoyageravec sa
naturecélestedesfemmesdansla per- de tristesaventures, où il poursuivait clair, il est vrai, et ce n'est pas sondeMontmorency. troupe. »
fectionquemonespritcréaiten ellas» l'insaisissable fantômedel'amour. Puis,le canon qui put l'interrompre. D'il- comprends M. Marcel Lesbruitsdu bord,Duselesconnaît,
a-t-ilécritplus tarddans ses Mémo-lasetdéjàmalade, il rencontra dansun lustresombresse mêlentdans ces Boulenger Ah! comme je tousréaccrochent lessOllvenirs" lesmers
randa.Aussile premierélan sérieuxsalonde Veniseune enfantjeune et interminables devivreparmidessouvenirsparcourues, lesétapesdifficiles, car au-
qu'ilressentitn'étaitqu'uneardeurde malheureuse,
pureté,un fort,besoinde s'attacheret jaloux,puiscomplaisant,
à allées.Labruyère
mariée un vieilItalien,douteavaitun élèveodieuxquine de- qu'exalte
etdecinquantevaitpasluirendreleséjourbienagréa-bois,
s ans unpaysaged'étangs,de sous-fortamère,
de prairies.Laraisonici ne peut dejadis,
paravant l'Amérique
etmaintenant,
e ncore r
elle-même
avagée d
avaitété
cette
sans inté-
ufeu
for-
nature, l 'at- blonde. se laisserdominer. Comme o n dodt y ce
d'exprimer sonamour.La ans plusâgé que cettebeauté ble.Et certes,Saint-Simonne s'est êtrepluslucide! Cefrançaisquigarderieurle plus extraordinaire quinuisse
traitdecettejeunefillelebouleversaient, Byronressentitunefoisencorecemys-paslimitédansle jugement qu'ilporte: la tradition d e notresociété e t de Stes être,elleva là-bas,verslefroiddeElla
lui inspiraient
Chaworth. de grandes résolutions. térieuxémoide l'être,ce pur effluvesur lejeuneducdeBourbon. Maiscon- élégances Rontheim. Elleconnaîtlefortetlefaible
-Mary elle, possédaitune quilui montaitdu cœur-etlai annan-venez queson grand-père a vait eu la lesplusdélicates, sans être, dela réclame nord-américaine, elleena
grâceenjouée, Ce
déjàartificieuse. gar- çaitce qu'iln'avaitjamaiscessédedé- mainheureusedansle choixdu pro- pour le moins du monde, a sservi a ux horreur, mais ellelasaitutile,sonentou-
donimpétueux
sait,l'emmenait
et naïf,elles'en amu- sirer.Il aima.Il aima,etcettepassionfesseur!Il n'enfutpointrécompensédandy
aubalpourdanser sousluifitcomprendre a quelpointil sétait legrandCondémourutsansavoirpu
:ordresdequelquepartipolitique,
assezvaindesoi-même, le
ni le ragele lui a dit,elledevinecomme
vientde lui
lï-I
sera« affichée
sera ménagé
» ; devine-t-elle
dansle triompheouejfien
elle
fataldeie
laisser s eul, chaise, m issCha- nous donner ces jours-ci. a vec ? annon-
-
sesyeux
oùil songeait
comme
etle s urune
il faisaitdepuisqu'ilétaitado- tragiquement
lescent.L'origine desrévoltes
dévasté s
sanscesseà soninfirmitéworth,vingtans auparavant,
oi-même comme
lui avait lirelesCaractères.
faitsentirlamisèredeson troncmajestueux,
deByroncorps.Il compritqu'ilétaitvieilli,cor- sant.Si j'avaisété
"xpliqu,etoujours commesonœu- rompu,prèsde sa fin;et il songeaà misteet promptà melemonterla
Qued'arbresmagni-
fiques! Creuséedans l'écorced'un comte, Sans
j'ai lu Reine.enpas- créerinjustement
dernierlégiti-tationde frivolité,
la mesurede sontalent
sacrifier à tout ce
autrefois
qui
sansabandonner
u ne
put lui
répu-
quelques
ne laplus
me !
joursaprèsl'arrivée
tragiques
cespeut
en lirequ'àNew-York
amoureuse du
sa faim » Ellesaitquesa filleHenriette
:
desmanagers.comme
monde
les
Lafem-
«meurt
on
le
héroïqueà sa peut-êtreeus-je reçu un coup bien légèreté tête, detonet la variété c outumière estquelque partenAngleterre, surladroi-
vreentière parunecausepersonnelle
à tous
il souffre
leshommes : la liberté-. Enfant,
danssonorgueilanimaldece desriveshéroïques.
ficilede mourir
:
donnerune conclusion
jusqu'àl'heuredu rachat,oùil saurase vie.Il prità soncomptelederniersou-émouvant.
dresserenfinpourunecausecommunepirde Manfred « Cen'estpas si dif- à un mètredu sol,sansdouten'est-ceécrit
», et s'embarqua
Undemi-siècle
Comme ce
pourquele prénomd'unepetitefemme 1
plus Le
motroyal e stécrit
?
de sesnuances,
unromand'analyse
trèsremarquable
nagedontnouschercherions
;
M.MarcelBoulenger
il a
psychologique
créé unperson-
tedunavireellesaitqu'elle
a l'argent,
gardé,qu'elle
nata
envainun,ment,danscombien n,
d
Elle
e
a
l'argent,
se
toujours
revoit
qu'elle
dépensé
malade,
d'hôtels
a maniéde sière,
n'en
« a
a pas
lagior-
antérieure-
! Kufferath,
au
livres
jonchées
tapantà grandscoupsde marteau
descaisseset disparaissant
surmilieu
e t
depaquets
devaisselle,
depaille.
delinge,depiles
les genoux d
presque
ans
de
des
tJiedcontrefait
soigné;jeunehomme,sa
s'éveille
douloureusement son:
luiavaitmal tard.Nietzsche
quesa mèresusceptibilité
«
au contactde n'avaientpassu vivre.
devaità sontourlancerpointd'uncertain
»
Sachemourir àceux qui Des
graveur,en toutcas,ne manquaitéquivalent
à propos.
paons,bienentretenus
ramène
par l'Ins- l'homme
e
dansla littérature.
ncore à Chantilly avecce
S'il nous A Bruxelles,
desportqu'estLucienLorédand'émotion
livre,levirtuose, appuyé
oùle
à
directeur
son lit,s'évanouissait
Il meregarde
d'untondemélodrame
deluiparler,et qu'elletraitaitblermondéménagement Etranger,
:d'unairsombre
pourquoi venez-vous
et medit
trou-
Chaworth est évoquer, titut, a ttendent avec ennui J ecrépuscule n'est cettefois prin- misérable, le croyant ému ?
belle;elleestalerte,
Mary
sonpremieramour.elledanse.Il
point e t déses-
Avons-nous pu suffisamment
vou. dansle cadredecetteminceétude,ces parmide
à notre
quiles ferapareils l'automne.
si
à
richesplumages,
Maiscipal.pas
j'ai vu ment. I l s'attarde
cepersonnage
p ourtant à des
comme
qu'elle i
un
nterrompait ses
ne
A Fiumeil nousconduitégale-quedugainqu'ilne réalisaitpas,parce Oui,je quittecettebanlieue
spectacles. oùil y
draitdanser,ne danse se troisamoursdupoètequisont, s'égarer, fautedefrançais, nedontmieux toutautre pas Christinia, oùledocteur de la terresansdoute,maispasdeter-
Egeberg vint roir,et surtout v a un peuplequiT
père sans rien avouer.
riencedela vie,l'injustice
Avantrexpé-
desconditions
humainesle dressepeu à peu contreSegatiet Margarita
sens,lesseules
lineLamb,Jane Clairmont,
à lui satisfactions
Cogni, ce
vie? Caro-
amoursdesa Mariannaunepoulemiteuse. comme
furentles est impardonnable
de son orgueilet de ses quicrois
u ne
!
M.MarcelBoulenger narrations
ilpourraitnousexprimer
Il y a une chosecar il y a vécului-même.
doitle choquerdavantage, car je d'Annunzio
que
le pittoresque,
Et Gabrieie
n'a-t-ilpointparlédansla gulières :
A
lavoir,c'étaitun ancienmarinauxyeuxn'est
bleuset bridés,quiaimaitsurtoutlevio-comme
ion médecin dela Cour i l avait d
façonsdese teniravecsesmala-Bourgogne.
esin-
pasun
ditleprophète.
o
peuple,
ùil
populus
Je vaisnon
Pourma vieentière,je re-
poptilus
chezmoi,en
l'aveuglenatureet le prédispose
jPter son anathème. Une adroiteten- sens,la revanchede ses désillusions.
dresseaurait pu l'apaiser.Sa mère,les capricesde son ennui. Ellesremédierdansla
la
ne
connétable
:
pas.qu'ilpuissefacilement
de
courd'honneur,
Montmorency, les
femmefrivoleetvaine,n'avaitpassu n'ontrien inspiré,ces créatures,tan- besécartéeset tendues avant,n'est posesurunedallede carrare» ? Tousdesamain,comme jam-
y Léda sanscygne de son « visage
le et affilécommeune épéenue qui re- aigre,maussade, pâle des.Il voitEleonora Duse
geignante :
dans son lit,
illuideman-auteur
tourneà materre.Je ne seraijamaisun
lelui
p arisien.
rends. On
Parismedédaigne
n'estheureux q u'on
et je
pro-
Juiapporter.MaryCbaworLh, inconsé-dis que les troisautres,la vierge,la
quenteetcruellecommetantdejeunessœuretlatendreadultère,
filles,devaità sontourle blesserd'un defécondantes muses, quitouchèrent le tant unebienmauvaise
e n
; lesdeux,
furentcommepasencoretombédecheval il a pour-munes: la France.Et le latin.L'Italie.vais
i ls eurent
:
despassionscom-née,il luiclaqueuneénorme
rinnormand
manièrede se Etla plusfine celledes lévriers. là, vousjouerduviolon». Aveccelui-heureux
selle,contrelaquelle que Duse s e prità
ellela luiavaitdon-vince.

aimer,
tapedema-
et luidit : « Levez-vous,
e lle ne
je tion
fut
N'êtes-vol(
? sePvous
On
aul
pas heureux
? appeUe-t.-on
m'appelle ainsi
p ar défini-
pasle Bien-
coupdontil ne guéritpoint.U
qu'il n jour poèteaucœuret déterminèrent sessen- tenir en un ca- OU CARD.paslongtemps malade!. parcequ'onsait
étaità Annesley,
de compagnie
ilentendit la dametiments.
inter-constances
Il fallaitces femmes et cescir- valierXénophon
Byronaprès
commeM. MarcelBoulenger,
dans son Traitéde 9t---
MAURICE MARTIN
Je prétends et je prétendraitoujours,Concourt
que l'Alouette
1924,
dePâques
ce
obtiendra
qui(\!-;I, lecomble
leprix
dela
de missChaworth particulières pourque ce -:
m- ?
roger la
:
jeunefille sur
etMaryrépondit« Pensez-vous
meoucielemoins
lejeuneByron,
que je
devint un
héroslyrique
grandpoète,
comme
:
l
dumondedecegar- ontplusguèrerevudepuislors.Il fal- chevaux
une
es
manière
hommes n
d
'en
e l'èquitation,
c'est une de
se
ces
doitde
statues
protester.
de loin. Regardezde plus près les
qu'ilfaut
Mais
voir Les
-- -
Nouvelles
- - -
Littéraires que
depuis
Eleonora
nueà Paris.
p
Duseneseraitjamaisreve-béatitude.Vousne le croyezpas
Nousne nousvoyions
lusieurs
tésencorrespondance.
années, mais
plusbien,c'estparcequej'ai plusieurs
étionsres-ses: voyez-les
J'avaisprisledroit
danscettemalle.
fessepasla philosophie
Je nepro-
d'Anatole
Eh!
chemi-
France
le
CINQsous
don boiteux! Cefut comme s i on lui lait-aussi génie il ne lui a pas man- de course qui galopent s ur huit pages delui parler f ranchement, lapement, cela pour quiêtre sans chemise est un indice
» cesprairies.Napoléon arrivantà Chan- Pirritcitparfois, etje subisainsiseshu- debonheur.Maispardonnez-moi. Je vous
avait percéle cœur.Il faisaitnuit.Il qué. :«
.ifenfuithorsd'Annesley, s'engagea dans CNrard r UIR. tillyn'eûtqu'unmot Je vaisyéta- meurs. QuandMissRuthQrapervintme laissedebout danscettepaille,et je prde
,
LA
T A CRITIQUE DES
LA FM7C LIVRES
T "-
:

-
NETUEPfliMiEDELOIU
Caïn
a Il
deM.Maurois,
dant,queleraisonnement
tuniste,
dansEurope
faitaprès coup,pour
aune caused'ailleursplaidéed'avance
du16février 1924.
lesbesoins
signifiant
esttoutoppor-Enfait,cette
dote.
? Byron
quelefrèreAbel,deGessner.
lettren'estqu'unebelleanec-
Ellen'explique pasdutoutl'Abel
qui,jusquedanssa faiblesse, garde
de
» Etsitis
Musique et littérature
comparaison;
aucune qualité ;
1mais sa phrasen'offrirale poème.J'auraisaimé cependant
musicaletoulesasciencelieudel'insipide
auditivenepourrapasserdanssesmotsScarron.
et.lesassembler harmonieusement. Bref,la la
M.Thierry
el interminable
Sandreeûtchoisidans
de Demoustier
qu'an
odede
la LXXXIV
wvwvwt
Enréalité,
son, c e n'est
ment.pourdéfendre
ce n'estpasByronquia rai- lespurset religieux
pas M.Maurois qui.récem-
Byrond'hérésie,
expiatoire.
al- pourquoi,
accents
Maiselleaideà
delavictime
comprendre
chéri ce mystèredu Cain.c'est AndréCœuroy
par André Cœuroy ;musique
écrivain
p eut
elle
inspirer
ne delui
confusément
apprendra jamais
un
à
mythologie
lettre,si pleined'espritet d'agrément.
(Bibliofhèquc ditHérissúllf E. -
Malfère.)
sacrifierà la vieillethéorieAbel, dans nesepropose pas d'ana- charmer lesgénies la langue. H.C.
Dansle mêmetempsqu'iltramecom-laitjusqu'à
plotset conspirations
« Chasseurs
trouble
etqu'ils'inscritaux del'artpourl'art,maisc'estle prédicant
anr::'f'Íeain.
des perquisitions
qu'ilsubitle d'Oxford
», policières quidénonçait dansCainl'œuvreElleaide à comprendre
et du démonet, danssonauteur,le démonfait du dramebibliquela transposition
deDieu.choisiparDieu,qui lyserlaquestion
fait si manifestement figurede
pourquoi,
vaincu. et de
si l'on «persuader
cale
la
n'est aux
;desrapports
littérature
écrivains
négligeable,
il
delamusique Qu'enconclure
veutseulement
quel'idée
respondances sont
? Peut-être-
musi-arts,qu'ilspeuvents'iniluenrer
quement,
possibles
maisque lesdifférences
quedescor-
entredeux
récipro-LESnom
tech- lls
courtle risquedesamoursclandestines, lui-même. mêmedu dramedeByron,ce n'estpas quelalittérature pas n'est auxmusiciens
d'iroi- niques q uilesséparent rendent probléma-
bref.dansLaplusfollede-;aventures ita- 11estimpossible deramener leproblème l'Angleterre quial'Angleterre.
vaincuByron, c'estBy- re,à touslesintellectuels p asune tour Ondemande
liennesde 1820-1821, Byron écritCaïn.défensede Cainà un problème d'esthétique. La ronquia vaincu Rappelons à n'estpasen margede /'MpWf". quelamusique' tiquecetteconvergence desart-préconisée unhomme
Le10septembre 1821 -Doii Juan venait d e Byron, biencurieusement re- M.Maurois, quilenie.queChilde H arold, trouvera doncpasiciunethéorie,
Onne parCœuroy.
maisdes d'affirmer
Lesclassiques avaientraison
la divisionfondamentale des ou l'Etrange T ournoi d'amour
:
:
d'êtremisenvente,à Londres, et le suc- prisepar M.Maurois, réduità
3eLuciferparler ceci frèreà peine masqué deByron e tdeCaïn, historiques, psychologiques etcri- genres. (Bloud et Gay.) par André A myrelde
cèsétaittoi lescommis s'arrachnienl, qu'ilestabsurde d'entendre s'élaitdéjàdéfini.d'ixans auparavantexamens tiquesquidéblaient le terrainet prépa- JEAN HYTrER, Etrangetournoi,
dansla rue,que If'scinqtillesdpla"n
vérité,quereluioft
lesballotsdelivresjetéspar commeun Yèque.Malheureusement,
lesfenêtres il en envoiele manuscrit
à Murray,
syllogisme
éditeuret ami.Deuxmois,çoitsansdoutequ'un'portefaix
; le Proudthouffh
estmalconstruit.caroncon- A Lifowithinhimself,
parle
inde s olution,
io
which
breathe
c ould
w f i.nd
itnoul
rent quantité
construction
d'éléments
futured'un
tique.Il fautespérerqueouvrage
utiles pour
dogma-
la Latouchante
de Héroet Léandre
a venture sans d istinction
comtesse
deola.-se
viéceuxquilesvomiraient
nid'Alezza
derace,rou-
conquérir!
ont,
Une
etI.--tlieu
son n e (manktfld Cœuroy l'écrira
pendant lesquels Byronrejoint, à Pise,Té- pascommeun dieu,on ne conçoitpas *-If toujourspour quelque jour.Pourl'instant, il a atteintson seuleloiau
résadivorcée, la réponse
Cen'estpointcellequ'ilescomptait.
se faitattendre. forcément
Mur-ne parlepascomme
queLucifer,quiest
u n évêque. un dieu. Comme il
Ausur- lesgéniesaventureux, arrive presque but.quiétaitd'éveiller
sympathie réciproques
la curiosité
deslittérateurs
et la Tl'at/ur.t
et hm. e n
parMusée
prose <h' Thierry S andre S.F.
liesdumonde
T. soir,la presse
ontpai--
cedétid'amour,transposi-
ray s'effraye Murray
oséfairefigurer
deDonJuan.Il demande sa
qui.déjà,n'apas plus,
flrniesurlacouverture
des coupures,
il fautêtreaveuglepours'y trom-l'emporte
per.L'intention
logétique.
philosophique,
duCain.estsi manifeste voire apo- sursonœuvre.
unevieà grandes
qu'ellepêtes etdesoubresauts,
guides,
la vie de Byrondesmusiciens.
Et comme c'est préface Barrés
pleinedetem- études,
l'œuvre s'entrou-
q ue
etoùil
La preuveen estdansla Ilest peudelégendes
mise
a lelivre
déclare;
têtede
«
ces
en merveil- retrouve On
lesPays-Bas,
Bavière,
en France,
en l'histoire,
aussiJ'tpflnrtue,
en Hongrie,
ltalie. Es-
enplus en à plaindre
i
tion.danslesconditions
civilisation,
d•
dansdants.Lescinqvieil appelaux préten-
vainqueurs
modernes
neserontpas
de la
s'inquiète des propostenuspar Lucifer.réduitau néantcetteai-gumentation. Caïn,ve irrémédiablement Nonque la leusement excitant pourl'imagination dansl'Inde, oumoinsner-ise : tardcn.Mereerelle. Ciioia,é-
« CherMurray.. répondit Byron.cespas- drame,n'a que deuxpersonnages, Abelvien'aitpasdéteintfaussée. s ur elle,lui impri- L'intérêt duproblème posé
». pagne,
Cœuroy modifiée, desdeux jeunes g ens qui,sépa- et Samion. trèsjolies fillesd'ail-
sagesne peuvent êtrechangés sans faire n'étant i ndispensable ledénoue-
quepour jouantmantcetteardeuret cette indiscipline, estrenduplussensible par des réspardel'eau, s'aimèrent cependant tant leurs.ont.chacune, vingt-cinq millions de
parlerLucifercomme révêque deLincoln, mentAdnm, Eve,Adah etZillaline cetteéloquence et cettepassionqui l'a artistesdoubles parl'existence
quiontcultivé à la foi? queàlabelle saisonpermit, à l'amantd'al- dot. Naturellement, les prétendants af-
qui serait
ce neSi discours pas danslecaractère du qu'unrôlede comparses et de figurants fontsansdoutesanségaledansla littéra-ou tourà tourl'artdel'écrivain et celui ler- la nageversl'amante, et moururent filient. D'abord, richissime
un Lesieit industriel,
premier. ne veulent rien lamentables et effacés. Il n'y a pasd'ac-tureanglaise quand, unenuitd'hiver, la tempête é tei- Vernail; puisHerbert qui.à force
ces
paraîtrashlpide,plusil y aurade
rité pour tout Ip monde.
;
dire,tantmieux,car alorsils ne peuventn'ayant
faireaucunmalà personneplusSatannique.djamais
QuanL à
sécu-
tion unechevauchée
soit. I l n'y
ansquelque
vos actionatoutintérieure, pas
d
d'action
à traverslesairs cetteindiscipline
passépourun progrès
ramaturgie
ou;u
scé-cespassions,
quece
moins cilientmal
del'époque, maisjusqu'àdumusicien.
avec
(ausensmoral),jusqu'àlemagne,
jusqu'à
le
cetteardeur
romantisme.
se con-
Contre tierssynthétique,
artsesttrès
Ilsontéténombreux
paysoùlaphilosophie
en

faveur
malgrétoute,tentéedans l'opérawagnérien.
la
e t
est
convergence
quil'a.' s
enAl-
volon-gnitle
des
omme
la
flambeau
jeunefille pour
alluméchaquesoirpar perdu
guider
Leconteprimitifeu, pourbPI",::;'1
villesséparées l'Hellespont :
s onamourei\x.
Sestos.un
d'expériences
des'émouvoir
deux peintre, à nouveau:
un
sentimentales
toutesensibilité
boxeur-,
ei autres,a
etcherche l'occasion
nuisun savant.
âvialcur, le ma-
« alarmes ». croyez-vous, vraiment, une dans
que tuelle, kouf *intellec-Keats,en effet,contreColeridge, Nietzsche lui-même villedeThraceeptar patriedeHéro.Abydos, haradjahd'Ezrapur. un
un anarchiII,un
detelles choses aientjamaisdétourné au- science lesprogrèsde Caïndansla a composé dela mu- villed'Asie-Mineure Léandre. bandit d e large et qui
et patrie de envergure se fait,

j
esprit.Mespersonnages sont-ilsplus dubienet dumal.S'iln'y a pas sique.Maisavantlui.lespoètes-musiciens Cont.e, d'ailleurs, vécupeut-être, le appelerbaronLemart. Acette réunion
cun deconflitpassionnel dansCaIn,il y aura sont nombreux. Ce sont, par exemple. car
deuxmilled'hommes
impiesqueleSatandeMilton oule Pro-Eve,donc,du moins,un conflitphilosophique. Wachenroder, le moinslittérateurd'euxdétroit, ici,estlarged'environ rares,lacomtesse nemontrede
méthéed'Eschyle ? Est-cequ'Adam. tous. e t quisentait p rofondément l'impos- mètres,et lecouranttrèsrapiden'empê-sescinqfillesqu'uneà lafoischaque jour
le catéchisme?.
Adali,Abelne sontpasaussi
Cain paraît. Tout
prévuturrnv. le scandale
d esuite,
dévots
comme lavait
est immense,
Il
ner
n'y
queseulesraépliques
de la
deconflit
pas deCain
toutepuissance
Esprits.Danscetteapologie
philosophique.
s eront
du
p our
Maître
s
Les
'éton-
de l'orgueil,
d a
sibilité
du
d
plaisirmusical
connaissons
tastique,
;
'exprimer par desmots
Hoffmann,
l'essence
quenous
surtoutcommeconteurfan- et quelques
et quitrouva,avantWagner, la
chapoint.le3 mai1810,
tenantEckenhead
minutes,
Byronet lelieu-sans
de nager,enuneheurechezl'auteur
la
qu'ils
trouveront.
de côted'Europemaisaussid'unedangereuse
sachenten venantlaquelle
Despéripéties,
d e beaucoup
quitémoignent
d'imagination,
confiance
ilq
en
àquoirépondl'admiration, l'enthousiasme delarévolteet dela désobéissance, Dieu vraie formule del'artintégral la crédulitédu lecteur,enfinle dénoue-
desécrivains,
Allemagne,
deShellev.
deGoethe.
de Moore.
Murray
et, en n'aurapasd'avocat,
raquette,à peineindispensable,
est attaqué,guments
Cainneseraqu'une
auxar- nirà laréaliserdansdesœuvresviables
Otto Ludwig, quifutsollicité
sans
t ourà
;
parve-
tour
ment. M arden. Mereerelle. Gioia.
sontqu'uneseulejeunefille,et c'estHer-
bert,
e tc.,ne
sottement, et violemment- Unlongpam- r enouvelés
sanscesse et démon. pres- etplus parlamusique et lalittérature, etdontla en quielle a ressuscité l'émotion et,
phletissud'Oxford dirigeun évêque,santsdeLucifer,
ques'il ange ledésir, quil'épouse.
le menace delaprison s'obstine à pu- Longue et
Byronne perdpartie,voilàCaïn maisla thèse ;
magnifique thèse sans contre-
duCain
grande o riginalité
au dramela composition
futdevouloir
ducontrepoint:
appliquer M. A ndré A rnyvelde
illustrerla doctrine
paraîtavoir
de la simultanéité
voulu
pas la tête;
blierlesécritsduDémon.
il écrità Murray une
trèsnoble,trèssensée,trèsposée,où il mystère,
lettre est-elle c elledeBvron ?
'dans
faut-ilidentifier, une trinitésans
Ou,si l'onveut, sa tragédieLeForestierprésenteun jeu
compliqué dethèmes dramatiques qui s 'op- « moi» différents
mêmeindividu.
et réalisables,
Celan'ariendebiennou-
dansun
de
endosse toutela responsabilité desonœu- portons-nous Byron,Luciferet Caïn ? Ici,re- posent.se développent séparément, s'en- veau,maissonlivre,superposilion d'un
vre. « Cettetentative,
effraver, vous,sachant
dit-il,pourvous
qu'onn'yréussira l'Angleterre
querel*le
le
aux faits.Byron
25avril1816En
quilesépare d e pays
a quitté
1821.
estdéjà
la
lacent
me
pourse
initial
tativeunique
e t ; fondre
final
est une
d ansl'unité
l'exposé
descuriosités
duthè-
decetteten-
les
romanromanesque,
d'un roman
d'unromanpolicier
scientifique,
l'invraisemblance et le amuseet.malgré
décousu
et
pasavecmoi, me paraît une desplushon- son plussuggestives dulivredeCœuroy. sodes,parfoisintéresse. (Flammarion.) d esépi-
teusesqui aitjamaisdisgrâcié une épo- vieille. Byron,
correspondance,
pourtant, nes'apaisepgarde aset
S'il ya
que-. Angleterre despoursuitr, j e revien- sa à cetteépoque, Endehors d esartistes q uiontétécréa- HenriCASANOVA.
drai en » (t), Maislespour-lestracesd'unerancune quel'Italiefantas- teursdansles deux arts.il estintéressant Trois
suitesfurentsuspendues, même
siByron ellesfu- aue et libertine exagèreencoreparcom- de constaterl'importance de la musique amuseursd'autrefois
rentjamaiscommencées. paraison.
restaen d'oublier Ausurplus,il ne convient pas chezlesécrivains. Trèssouvent, etspécia- A.-Augustin
Italie. EnAngleterre, àLondres, le calme. I n'est pas
quece maisl'Angleterre Byron qui a lementdansles romans,ellen'estqu'un par
Sictransit.pourrait-on
Thierry
lire. épigra-
puislesilence s e firent peu à peu.tain quittél'Angleterre, Byron. Pourquoi
pu-
1By- flécor.jle,s poncifs musicaux s'ajoutent flonc phe, en ouvrantce livrequi en
tomba dansJ'oubli. Cettetragédie, laFran- ritainequia chassé idées aux poncifs fournis p ar lapeinture e t par pournotreplaisir, troisamuseurs ressuscite,
d'au-
re ne l'a. pourainsi dire, jamaisconnue.ron s'étaitélevécontretoutesles .la nature. Flaubert, sans posséder une vé- trefois. N ous les avions b ienoubliés
Cestà peinesi l'onen peutciterdeux reçues.Il s'étaitdressé, maîtred'unver-
contre l a ritableculturemusicale, a plaisanté agré- Canin deTcdiuon
lifte pnâoep4dtH ErLUsou
Em (!<Aide. 14M) pourtantils furent célèbres. Tellrment.
et
traductions, dontlune,en versfrançais, beinégalable, nonseulement no- ablement sur le sujet.DanssonDiction- cé èbres f f
«avecuneréfutationdes théoriesla blesse
l'auteur.J'. M.Fabuletvientde nouset
de à laquelle
logistede Napoléon,
il appartenait.,
« son
mais,
hérosdearo- po-Southey, le goûtdeByrondemeure
B ards :
nairedesIdéesreçues,Hauraitainsiré-
classi-digél'article CORDanslesboisfaitbonà lacôted'Asie. Il estvraiqueByron cinq
que
à 1Académie, lorsque M uni
cri
oùil futadmis,àsequarante-présenta
révéler,nousla donnant
presquem
verspar vers
otpar mot.en faitdpla
manièreconvenable à ce poèmetouffu,taitlesloisdesacrilège
contre
man». d'unParlement
seulel'hypocrisie
I l avaitdénoncé
et,finalement,
que. L esEnglish
sonpays. qui ressusci-wers,quifirentà Byrontant,d'ennemis
réconciliables,
re- romantisme. sont
Mais
un
a ndScotch
pamphlet
ilsdatent d e
R
contre
1808.
evie-
En
le ::
effet
MUSIQUE
( etle
ir- ironise Elèvel'âme soirsur l'eau).
vers
P ourORGUE,
Dieu, e t pour
il et, d ececi
fortelièvre.
f ut-iltrèsdépité
Vrai a ussi
Fait penserà un tasdechoses.nait avantl'auroreet qu'ilrisquacettecompétiteur.
q ue Léandre reve- ter,
ans,
se
à l'unanimité
ygagnaune qui,un instant,avaitsongé
retiradevant.
Dans
desvoix.Voltaire,
à se présen-
un aussiformidable
monde a imable dela
grandiloquent
l'étudier
et passionné.
d'un peu
Belleoccasion
plusprès qu'on a
connaissait
Le aventures,
lescrimescontrela religion.treizeans.un hommechange.En 1821,Lesécrivains
plus ou moins c ontrouvées, Cœuroy avec v
anglais,
ariété et quisontétudiéspar dangereuse
nonsans humour, suite. M ais,prouesse
enune
plusieurs
légende, comment
nuits de finduXVIII"
faire siècleqcuiavait
e
« i'amour dans
pour aspectphilosophique et qui avaient s uivi son mariage, a vaient date duCain l'acrimonie redouble, aucon- ontbeaucoup usedesclichés
- m usicaux. la partduréel ? la moelle d es os » et s'embarrassait peu
coutume, sousson bravéla moralité publique, blessé, pointtraire,dont.
contre« cescorrupteurs dela lan- Même despréjugés denaissance. Collé.Carmon-
sur laplacequ'ilpeutavoirdanslagene.se cant
aubritan- gue » lesdoctrines « mauvaises; ré- Sherlock Holmes ne paraîtraitpas Dupoèmetraduitpar M.ThierrySan-telleet Montcriff, venant delabasse bour-
du drameromantique.
*lit
#•
Par sa facture,sa forme,l'oubli
J'elalement. descadrestraditionnels.
leplus
ron.onne
ùéIicat,
ou mentsconjugaux.
Cainunepluiebattante,
lef.ifneux
nique.Onavaittoutpardonné
luipardonna
Dans u ne
LordByron
« à Lord
passerf
berline
» By- volutionnaires,
d éporte-
e t sous
fuyaitau Cain
lespendre».
Et.defait,rienne tenddavantage
à Conan
nevalentpaslacordepour joutaità sa qualité
:
compositeur
D oyle
à la sique1 L'inspiration
véritémoralerienne sacrifiemoinsque plusheureuse,
unhomme
touchant
surtout
complet
dedétective
triomphe
musicale
l orsqu'elle
p
s'iln'a-
cellede dessus
dela
eutêtre
mu-
fournit
dre sortIrent.
antiques
gende
rappelés;
comme
existait
danslesGéorgiques,
doncles conteslocauxci- geoisieet de la roture,furentaccueillis
b
ilestaussipourlestempspour-leurbonnemine,leursqualitésde
un pointd'arrivée.
ienavantMusée.
faitallusion
Lalé- boute-en-train,
Virgile,pourvus
( lib.
dejoyeuxvivantsnondé-
deméritesintellectuels etdecette
w»tmoinsundramequ'un poèmeroman-soleillevant.Il fuyaitles detteset les àpllanecdote et au décor.Celongdia- à l'écrivainle bénéfice de culture et III, 258-264) y
ravant-dernier assuranceavec laquelleBeaumarchais,
hilosophique, sa v. et du
tique.Il est injouable.
ne, brise son
cors.setesportants,
cour Il
exiguïté,
il débordela scè-
bousculeses dé- créanciers,
praticables,
ses C'est
soncôtéjardin.
soncôté la scène e st
lesinjureset lesoutrages.
romantique
hommegénéreuxet brave,véhément
un « mys-fastueux, demeurant
à souhait,
Et logue
;
de cet me.laflamme
et gueur
la têtehautesur le l'apologie
cette
passionl'anime,,
ftpOlogie
s'ilestpleinde
neluienlève
de la révolte,
-flam-
riendesa ri- l'exemple
si
lapassionn'enfaitpas comprend
la
le
:
position
thème
d'unemanièrespéciale
ainsi,
de
c hezProust,
decom-poèmegrecressemble
quiaimeet
vraimentla musique,on voit longspoèmes
lapetitephrase de Vinteuil
dessix vers virgiliens. Ovide a
vers ayantperduses fonctions
assezau dernierauprèsd'unefille
écritdeux volontiers
le mêmesujet(Héroï-voirsatournure
surMusée,
qu'onavait
de précepteur
deLouisXV.expliquait
surtoutcraintde
monteraubonnet, deMa-
tère ». ne l'est,pas seulement desrévoltés.
« con-navirequi remport,jetant un dernierCaïn,ne voirdansCaïn te dramede reveniret sediversifier Si Byron explique des xvmet XIX); à coup sûr,les a dame A délaïde. Tous t rois eurentbeaucoup 1
autantdesû- eussouslesyeux.CeMusée,
rûrmément à l'ancientitrequ'ondonnaitregard
aux dramestraitantde sujetssembla-ventsde la nuitsoupirent, que les eauxmesquinement. Caïn.
que
sursa terrenatale,tandisque« les Byron,c'est,encoreun coup,jugertrop retéqu'unleitmotiv
Childe H arold
avec
deWagner. »
«-Grammairien
vi*
surnommé
(finv. oucommencement
siècleap.J.-C.)étaitdel'école
le d'esprit, surent
dejoliesfemmes.
dubonpéraments
j ouer la comédie,
En somme,
divertir
des « tem-
bles», maisparcequ'ilsuppose commemugissent et que la mouette s auvage l e comme Enfin, la fécondité de l'influence musi- Nonnos qui, même t emps quarante- touten dehors, formés par la
DonJuan,estle drame,oula calepeutmêmes'exercerheureusement e n q ue nature à desfinsséduisantes
auditeurs un
né parcertaines
peupledefoiassezpassion-saluedesescris. »
idéespourtoutabstraire Cinqans plustard, ByronécritCaïn.
de ce quin'estpas elles,touts'étonnera
On
admettreEst-ilpossible, aprèstout ce que nouspremier,
oucomme
tragédie, ou
estromantique,
l'épopée
lesmêmes
de l'homme. SiCain
c'estparcequ'ilsepose,le culture
questions que sepo-
sur desécrivains
élémentaire,
turedutoutenmusique.
quine possèdent
ou
: huitchantsd'un
qu'unepaïen lesDyonisiaques,
mêmepasdecul- paraphrase de
poème
l'Evangile
v igoureusement
selon saintJean.
vains
nous a laisséune seul,faitsecond
me
d e o rdre
encoreaujourd'hui
delettres.
»,
entrelesquels
desécri-
Collé.
figured'hom-
de ce quilesconcerne. àne qu'unteldramenesoitpasledra- seront,dixans aprèsla mortde Byron,poète «Il estrare qu'unHéroet Léandre
plus,dèslors,siCaïnn'obéit
maturgie, n'ayant. qu'un
aucune
sujetmétaphy-
dra- savons,
me
Unhomme
?
deByron Qu'yvoyons-nous,
quis'estinsurgé,
en effet? lesjeunesgensqui terminentencoreà
quia refusécetteépoqueleursétudeset.leurshuma-roy, q
soitréellement
uiformule ainsi
musicien
de Il,
uneIl l'illustre
ses
ditCœu-simple
observa- hexamètres
et émue,
estuneœuvrecharmante,Livrequ'unautreauteurpourrarefaire
en troiscentquarantedanscentans,avectroisautresamuseurs
d'uneextraordinaire correc-de notreépoque.
siqueoùlemeurtre d'Abel n'intervient que d'adapter auxexigences delaviecommune tions, lesplusprofondes. p ar tion,œuvresi harmonieuse et si clairetrayant, Celui-cirestebienat-
tomme u n dénouement occasionnel, fourni lesexigences de son esprit, q uin'a point nités. M aisa lorsqu'ils rétréeiront. le pro- l'exemple deShellev. Lamusique agitdonc qu'ons'étonne d e la rencontrer à cette avecsonstyle d'uneprécision dé-
parl'histoire oula légende, nullement né- accepte, qui ne s'estpoint. résigné, qui a b!ème à uncas personnel
dans
dontlasolution
siècle q u'àdeux sur beaucoup depoètes, d'unemanière as- époque o ùsévissaient la rhétorique et le
colorée, qui nousfait songerà lagrâce
tristed'un
cessaire, nullement, dé-
amené,nullement préféréla malédiction n'estréservée
iLl'ignorance et troisgénies,Caïnl'étend, un ou massive. Et peut-être faudrait-il ajou- manque unpeu menuetdansépar des
duit Ons'étonnera moinségalement que,c'estCaïn.Unhomme, au contraire, sou- en fait le pro- sez ter quelestyledel'écrivain estd'autantplus de mesure.Phénomène
curieux que la littérature
d'autantpetitsvieillards,
g recque veillés encostumes dejadis,ré-
a pologistes
pourcertains la plusdéconcertante,de Byron, Caïn mis d'avance aux volontés d'unDieu cruel, blème d onttouthomme esthantéet que plusmusical qu'ilest plusétranger a ux d'alors, contact du christianisme, dif- d 'uneléthargie q ui duraitdepuis
au
Koitsonœuvre
plusdifficile
étroit,
générale.d 'une
à insérerdanslecadre
esthétique sans
tropblant
philosophie d evant
let,préfaçant
EncoreBvron,danssa lettreà pelercettelettrepiquante
la :
la satisfaitde sonpeude scienceet trem-le doutene résoutpas.Dansla conclu-procédés
mort
Cain, n
c'est
'a pas
A bel.
omisde
M. F abu-
rap-
sionqu'ila donnée
ron, Taine
dépassé l e
prétend
monde v
à sonchapitre
science
quela palpable
isible et
sur
« des
By- mentdite.C'est
qui
techniques
q ue
a enrienà cequ'onappelle«musique
». Hugo,prodigieux
delamusique
celle-cine ressemblepropre-fèreessentiellement
ver-
cien.Or,
JulesCésar sans
S caliger,
de celled'avantLu- plusd'unsiècle.{Plon-Xourrit.)
attribuer,
Héro
à l'exemple
et Léandre
de
a u 11!:.¡m.:;¡¡.I!!.¡j.u_m.¡¡._3
E.M.BÉSECH.
deByron.dontastres,des pierres,desplantesoù,dédai-bale virtuose duvers,Musée contemporain deLinaset d'Orphée,
leurfournit-ildesarmes.N'ou-voici connaissait lamusique. Barrès,
Murrav,
blionspas. toutefois,
Byronest pourchassé
: l eslignes q ui nous importent seules gneusement. on laconfinait
qu'àcelleépoque,ici « Quandj'étaisencoreenfant,écritderrière lepoint,de deByronet sateuraux sonoritéssavantes,déclare
par toutes l es poli- l'exiléde 1816,j'avaisétudiél'allemand, n ous vue
» a laissé loin ne
« Jela redoute,
pas
je l'évite,
: pro- on placerait
poème à
volontiers,
l'époque pourle style,ce Nousrappelonsà nos abonnéset
classique.
je neveuxpas M.ThierrySandredonnede cettehis- lecteurs quetoutescommunications au
ces dumonde et qu'ila toutintérêt à faireque je n'aijamais et j'ai totale-. de nospoètes.Tainese trompait., quin'y rompre l 'harmonie de ma pensée e n lais. toired'amour, belle entretoutes, S'ijetdes ABONNEMENTS, (enflolde
croirequ'iln'y e n ait
a pas.Qui voit, d'idées p ro- su que voyait p as toujours
fut un des parléautantqu'aujourd'hui c lair.Jamais o n n'a sant desviolons et des f lûtes mecommu- une tra- chèques, m andats, e tc., changement
prementsubversives. ne mentoublié.
cepen-premiers L'Abel deOessner
quemonmaître mefit maldusiècle.C'estpourquoi,
d'unnouveauniquerleurangoisse. » Deplus, il n'entendduction
spécialistes
à la foisexacteet littéraire.
saventles difficultés
Les
être
(1)Surtout*1 cileliisioirecunecdotique
lapréface M.Louis
de lire ; et,
ouvrages
tandisqu'ilpleurait
larmes,je pensaisque tout autre que
Fa-Caïn
à chaudes Caindemeure,
et manifeste
sans
à nosyeux,d'uneéternehle
actualité.
doute, «rienà
contre,
la noble science d es
Proust,amateuréclairéetfinement sons»). Par genre de
introduction,
travail. E n
un appendice
de ce d'adresses),
outre,unecopieuseIIBRAIRIELAROUSSE,
et desréféren-Ji/lontparnasse,
doivent adresséesà la
13=17 rue
falll,OD consultera gu"
admirable tradllc-barrassant eûtà peine commis crime
un aussiin- en dé- sensible, n'empruntera à la musique q ue cesnon moins copieux rappelleront, ou postaux,n. 153.83 Paris.Compte chèques
buleta miseentètedePson Hlln)et l'article le monde d'unhomme JaoquesROBERTFRANCE. desidéesdecomposition et dessujetsde apprendront, nombre dechosesintéressant Paris.
tionF. Rio-der et C", aris,
L'ESPRIT DES LIVRES claire. On a l'impression
nousracontant
qu'ila un buten vientparalytiquegénéralet metle feuà a éltéunecrised'enthousiasme
cettehistoire,et ce but, uneailedel'asile.Ledirecteur
à côtéde il lui manquela verveet.le pittoresque
decelui-cettelittératurecontemporaine. d'Alphonse
Daudetet i;ln'apaslaprofon-
--" " .,.:.:.,. de la Sa.
nous
suader
dangers
le voyons
nede
d e
l'excellence
t
certaines
Veut-il
pas.de vie
la
?
héories
nous
et des
Ceserait
ciestun
per- d'idiot.
sisteà
microbaphobe
Ainsi,
une sortede
et
toutlelong
tientdes
dulivre,propos
onas- Le
dansemacabre a u roman deM. J
*
*+
eanBeslière.
Margue-
deurpsychologique
te,sespersonnages
deuxromanciers,
deBoyiesve. N'impor-
ont,avecceuxde ces
unairdefamileévident:
Leplusgrandpéché, AndréThérive(Grasset). Notre-Dame
gesse,par PierreDominique
Beslière(Emile-Paul).
par
-
(Grasset). Marguerite Fauquenoy, par Jean d'Utrecht
fautdes
ne courent
romans à
par
idées,
riteFauquenoy,quelque
tropaiséet,deplus,lesidéesdel'Eglisecoursdeélaquelle
lesrues.Ledé- passent Oùest
c'est q u'on attend, Sagesse ?
lroiteme-nt
la
la Sagesse
enlacées.
Folie ?
et la Folie
Où est la souriant.
M.Pierre Do- en
a
M.JeanBeslière
littérature, iily a
a
chosedeplus ils appartenaient
faitsesdébutset,
quelque v ingt ans, héros
surtout,au même
d uPage
au mêmemilieusocial
Mutilé,
milieumoral.Les
surtout, ressemblent
t malgrésoi, uneconclusion. ne serais Je minlqu. q uiestmédecin, etmédecin alié- avec unroman en écrit collaboration avecbeaucoup à enthousiastes chimériques,
pente,je nediraipas jusqu'à que M.André l'hérive,qui niste, semble témoigner beaucoup M.Alain Morsang, et qui s'appelait La ces
M.AndréThérive est,onlesait,un destunosecrète maisdu moinsà un ce^ainest pas surpris de Mérimée
ne
et qui a de respectà la science
pas de confrères, Mouette ; leMercure deFrancelepublia dépeints ;
à cespassionnés du passéqueDaudeta
lauréats
pas
duprixBalzac.
attenduleprixBalzac
M.AndréThériveétaitpleinde
et l'unde nosjeunesromanciers
Maisnousn'avionsl'anarchie,
poursavoir queesprit
talent, là
quipro- démons
de
d
bien
?
erévolte Après
extraordinaire
t out,
les ;
i ln'y
seuls
ontété faitsavecdesanges et ilIl
rien
avrais
; voulu
un admirateur
quelque c hose
surtout
y a réussi,
n
de
ous
lui dansl'esprit,
inquiéter
carsonroman
si ; e ût
celaest,
estinquiétant.Depuis
ni avoir
catégories une
de
l'Eloge
confiance
la psychologie
ses dansles,c'était
absolue
pathologique.
u neœuvre
témoignait
delaFolie,duvieilEras- viedesentiment
touohe à
tendre
d'uneardeur
l'artet
et
j
généreuse
uvénile p
etaussipourtoutcequi ou
our
qui
la Ah1
Fauquenoy
dansLesRoisenexil,
dansMlleCloque. L'Enfant
plaisez-moi
et Boylesve
à laBalustrade
donc Marguerite
est uneaventuretrèssimple,
l
mettaient,
PierreDominique.
Andr6
le plus.M. Martin-Chauf-
M.Louis
Thérive.
Mauriac
M. ce sontde
Baudelûire.
grands catholiques. Pascal e t est d'ailleurs
quiontle mieuxexprimé construitet bienécrit avecquelques
et quel-entreautreschoses le nihilisme total.affectations unpeu
r emarquablement
pédantes et
bien
dégage
me,beaucoup
pense
d'esprits
M.PierreDominique.
ontpensécequeJeanBeslière
n y a, dans leslettres q
à la poésie.
;
Depuis.
se.tut il ne reparutdansne
u'avec Franzili, délicieuse
M.
his-
presque banale.
contrainte
C'est
devivrechez
l 'aventure
fillequi.à la mortde sonpère,jeu-
des
d'une
est
parentsen-
fler.comme M.François total,quiest contenu impression générale
, d e force. M aisun ouvrage p euconnu de Musset et de toired'une jeunefille, q uifaillit a voirle
leautres,
ques
(lue portentmêmele témoignageCenihilisme christianisme, en une
faitmêmele pourquoi, l'ayantfini,sommes-nous doncneStahl, qu'onne réimprime jamais,Je prixConcourt et quileméritaitplusque cance nuyeuxet malveillants. Dansl'étatdeva-
roman « à l'ancienne mode», con- germedansleduPlusgrand péché. M. A n- à pointinsatisfaits ? saispourquoi, danslesœuvres comple-le livrequi l'eut c ette année-là e t que sentimentale, de désarroimoral,
sujetcentral d'aspiration vagueoùellese débat,ellene
meoncommence à diredanscertainsmi-
lieux.a encoresesfervents dansla jeu- dréThéi'ive y montre lesravages faitspar ce *
tesde Musset, Le Voyage
plairade délicieuses
où il noustoutlemonde
digressions sur ce Malheureusement
a Óublié.
lui,M. J eanBes- trouvede refugequ'auprès d'un jeune
nesse.Càeque l'onappelle, d'ailleurs, le certainehérésie,celle del'église d 'Utrechl, .* thème. Etje me souviens également d'une lière pour écrivain q ui a étél'ami d e son père.Em"
l'ancienne mode» estleromanquiest,d'ailleurs, aussivieillequelemon- Comme Le plus grandpéché, Notre-admirable nouvelle, signée F rédéric L aw, ne s'est j amais m anifesté paraucunedevientrapidement .a maîtresse, un peu
roman « de etdont unepartiea reparuavecles Damedela Sagesse, nouveauté deforme, ni aucun dogmatisme
narratif,celuiquifaitportersesrecher-Albigeois.
chessurl'humanité
sur la psychologie
lalesplutôt quesursa
qu'ilentend dépeindre,
et sur lesidéesgéné-dechair,ccoupable
présentation
l
Cettedoctrinecombatl'œuvrenique,est un romanconstruitsur une et
méta-d'unevie, ondamnée
deperpétuer
même parDieu
l'horreurdonnée
puis- traitesealaisse
bstraite,
deM.PierreDomi- intitulée
mais,ici,la donnée
moins a bsorber par laréa-
la Revue
puissance de
AGhee parueautrefois
Indépendante,
fantastique
et qui
abs- cetteidéeavecunerare vigueuret une qui
quimanquent
dansagressif.
illustrait
à
Or,il sepasseen
à ce quiétonne,à ce quibrutalise,
quisemblen'avoirjamaisété fait.Cer-
:
littératurece par et
la fauted'uneHongroise
amoureuse
se passeen peintureon va d'abordson aimablefolie.Et peu nprès.Roger
à ce Bertetti.
qui répand
son amant,l'abandonne
romanpsque
autourd'elle
pour
phorique. comme le romana la modequ'ilne bénit queceux quise détournent litéet.plutôt q u'un roman, Notre-Dame de M.PierreDominique. tains maîtres audacieux, mais qui faireunmariage riche.
l 'intérêt i mmédiat.consiste d'elleet.elle célèbrel a stérilité v olontaire fois conte philoso- effet, pour 11 fallaitbeaucoup de talent
nouvelledont
surtoutd*anssesinventions v_'rbatc:!et sa et.la finde l'humanité. Lespremiers laSagesse
siè- ph:que està la un
et uncontefantastique.
Sonlivre,en qui,par ailleurs, con-
esttropbienfait, cetaspect révolutionnaire constituait nue
ont ainsicréé unejeunir unsujetaussicd'ingénuité
pourra- :
transfiguration poétique
Lepremierromande M.Aénergique
de runiver. clesde l'Egliseont été
ndréThérive,hérésiesanaloguesn'était :troubLés
Manichéens,
par des Lethème
Monta-Notre-Dame
d'ac-
même
tle*
e stquelque p eu banal.
la- Sagesseest un asilecertainement
tientdebeauxendroits,
trop ordonné.
ce
Ledondu
quinousmanque
fantastique est nkp.sitéIntérieure,
mode, quin'est
le-plus.fait confondre passans danger.
toutnovateur,
Carelle
quelqu'il
Beslière a
quiluipermet
de
une sorte
onnumai_s
devoirla vieavecdesyeux
M. Jean
foncière
;
l'Expatrié. était une œuvre
subtile on y suivait,II";;:
et nistes: le
penséeset le cepter
jansénisme
leurrigueur.
pas loin
M.Thériveplacesond'aliénés. son
M.PierreDominique
livresur un lieucommun
a établiNotre-Dame
desplus oharmant
de la Sagesseest un livresoit,absurdeou véritable,
et amusant, maisconstruitsur artisteetdonneà quiconque avecun grandd'ailleurs. toutjeunehomme ce qui explique,
sa prédilection pour les ado-
caractèred'un hommeau-dessus
:
guerre,ad'unvouiuse
•mêlée expatrié.
mettre
qui,pondant
Cetteanalyse
l
dela
a
d'unencore
1857. où l'Eglise
romanednesprosélytes.
Undesapôtresdecette
grandeintel-rencontrant M.Vailade.
U trecht
curieuse
lieutenant
faisait

au 26*
répandus,
hérésie,l'essence A
et sa
de ce
celui d
dédicace
lieu
e nous
commun
le plus
:
mêmeest commeun raisonnement
sage
réalitésfantastiques,
expression très
logique
juste que
et nonsur des cepasparsurprendre
pouremployer
j'emprunte
à
une cheusederéactionnaire,
à
Vol- dedémodé. On ne mettra
necommen-
uneapparence fâ- lescenls.
ture
outoutau moinsdélicieuses
jamais assez en
Aussia-t-il
a\ecune
qun invente.
racontécetteaven-
:
délicatesse et
il croît sincèrement uneémotion
Onsenibienqu'iln'écritpce
à
solitaire étaitfaiteavecune oùcelui-cidoute Devenaient Qui, t andis q ueses camarades M.FranzHellens. Il fait penser garde un certain public c ontre c ettefaus- as
Laireplutôtqu'àEdgarPoe"ou à Dos-se interprétation
ligence
frappé,
que
;à je me
sa
rendaient
souviens
lecture,
combien
dusonpleinet
toutessesphrases.
partdeslivres,si on leslit avecsoin.
témoignent.
je fus Léger,dansunepériode
riohedetoutet, en particulier,
o
général, n viensde rapporter.Léonard
adhère, à la vie.
de la bontéde
Laplu- la vie,lui enseigneles théoriesque je
Vailadey
s'enfonce dans N'a pas
notairesou médecins, toïewsky
Pèresdefamille
Ouvieuxgarçons
trouvé
a bstinents
alcooliques, bleet
mieux un
de
,
mot.
;
C
ony
ola
terminerl ie
voudrait.
de pathétique,
l'empêche
plusd'inexplica-
plusd'angoisse
pas,
en raire
d'aiHeurs,
trèsbelle s cène, arrive aujourd'hui
; de la nouveauté
aprèsavoir-sttipirteme.nl.
toutnovateur commeun dancer,onqui
à'l'excès c ontraire,
litté- créer
considéré
en soient
le
deshistoires
viequotidiennenonque ses sujetsen
distincts
romanesque,
;
un livrepourécrireun livre,mais pour
quiledétournent
mais y metlatendresse,
: la douceurqu'ilvoitab-
il
dela
*s'aperçoit qu'ilsne en renonce découragement, et (Intelligent et pondéré c omme i l l'était) se sur une est de.croire que toute'innovation. quelle sentsdelaviequotidienne.ou quin'y
quede l'adresse littérairede l'auteuret la solitudeet.dansle suici- Qued'êtrefou. quandle pseudo-fou et lepseudo-homme qu'elle soit,implique un certain génie.
que,souslesmots, il n'y a rien, quedémoralise sa sœurquifinit parse sensésoignent et pieurentla femme, qu'ils Sicelaétaitvrai,notreépoqueseraitsontpasassezmarqués. Celafaità Mar-
dessouvenirs
encore,
d'autreslivres. ou, pis der.Je résumerapidement
desexpériences personnelles dontcidentsimpressionnants et
uneséried'in-
bien amenés. il
Ainsi,dansNotre-Dame
fous auraun
y qùiontl'ai,r chassé-croisé
et
de la Sagesse,
incessant
q
de
uiont
ontaiméetousdeus:et quele pseudo-fou
a entraînée au bonheur la plusrichede notrehistoire
et à la mort. j'ai bienpeurqu'iln'qnsoitrien. l ittéraire :
gueriteFauquenoy. comme
lé et à Franzili.uneatmosphère
au Page Muti-
particu-
n'a passucomprendre
pnLevins le sens général. Je n'aipasdit,par exemple, que ce Léo- s age de sages dela Sagesse, malgré AvecMarguerite Fauquenoy lièreet
etavecLe J'auraisaimé, d'ungrandcharme.
grand, péchén'estpassansrap- nardVallade, si sévèreaux autres,naà s'échappe l'air fou.Le principaldémentdu livre MaisNotre-Dame Page Jlutilé,qui parutl'an dernier,nousqnerite cependant, que,dansMar-
Îiortsavecl'Expatrié. MaisM.Thérivea cependant, pas le d
couragefemme e renoncer de l'asile avec la maîtresse de son tonplus plaisant, est, au fond, u n li- Fauquenoy. le récitfûtmoins hâ-
n oir Leplusgrand péehé. Je avons r etrouvé lesqualités charmantes de
ait desontroisième roman, un récit ;
plusl'œuvre de chairavecune
plusvariéque le premier plaît.A la findu,livre.uRenoncer,
:
quiiui l'interne,devientun
a ppolé,
n prêtre,renon-presque un apôtre,
agitateur
etsuscite une
p olitique,
émeute ;aussi
vre il
parlais, y a
que
quinze j ours, d unihilisme Fiîanzili. M: J ean Beslière
des uniesd'enfant* excelle à 1 dé-
etd'adOle?-aux
tif et que l'intérèfs'attachâtdavantage
scènesessentielles. Quandun récit
(tramatique,
lesévénements y abondent.
blancessontdansle sujetmême.
ment,M.AndréThériveaimeles isolés,
Lesressem-dit ce motprofondcc
Décidé-cer,ce
c'est
seraittrop»facile.Le
(faccepter.
plusdur,
il donne
lève cette
supérieurs
à la malheureuse
illusion
queson
d 'une
amant
vieet
r
fillequ'il
d'unamour
aisonnable
en- daïste
ne pas dadas n e
;
tot'\!quiest au fondde la tentative
lesjeunes
montrent
écrivains
pasun
qui ne
da- peindre
sont
optimisme
ceirf.set
appareils
à noter
trop
lesmille
délicat
troubles
pour
de
lesaimables
ces
urontcoutumedelesman'er.Al- mentle demande.
brutesaDaudet
n'estpas uti contept doit nous
l'illusion
insister,
d
i
e
ci
la réalité,
là. quand
ou Marguerite
i l
donner
a avantage
y le à
développe-
beaucoup plus grand. J amais la revision
les réfractaires,
eonformes
pas si, au fond
lesconcentrés,
; il adelui,iln'éprouve
beaulesblâmer,
;
les non-Le plusgrandpéchéestunroman
je nesais ticulièrement
pasune impression de
noir.etquilaisseunegrande
découragement il
parcequelapen-
;
---- ---
laisse
:ui
ce
pour
a jamais
par- soirdemascarade,
dément,
autre
et
donnés.
personne
choze q
Bour,
estdéguisé
ne
u'unmalade
l
veutle
'interne,
enfou
de la
un
par desvaleurs
prendre
sec-
plus
au milieu de
courantes
d'ûpreté.Heureux
ces
n'a été faiteavecphonse
c eux
démolitions,
quipassentêtresesmaîtres
en souriant licatesse, leur
et,RenéBoyle?ve
sensibilité, leursentimen-
; ;
semblent
véritablesil a leurdé- y auraitgendroits.
que par
agnéuneintensité
Fauquenoy.
quilui man-
sympathie pourcesoutlawsquisaitsi aussiuncertainmalaise, Uilautreinternede- §tsaoslesvoir 4 Larévolution romantiq"* talitédiscrète, leurgrâcehumainemais Edmond IALOUX.
fit écrivainbienpensantse caohepas séedel'auteurn'yapparaîtpulleparttrès tiondesépileptiques.
,
•'

Cette
hé«ffHi
Byras,la

tée par
son amie,Mme
IJlme),
listriée
(tH,telle
plus
troll ewtretint
fllfe du
me de Hianôrabtë
-
toutesles liaisonsanxv

cfcffrile
cadetdë lofdMelbourne.

Caroline
laquelle
étitieuxmémoires
mouvementée
avec
de

peu
l'a
L
longhe

trèsjeuneà un homme
amb

cetteliaison,Byronse trouvaun jour, v.


ou plutôt
qui aurait
unenuit,dansune
pu devenir
qui,grâceà sonespritdà-propos,
comique l e plus
t

transcrite
(1).
n'aimaitpas, dut chercher
dehorsde sonfoyerl'âmesœur
appelaitde toutel'ardeur
.eusos de que M.

ragique,
fut

elle-même
(Idade
Gardine
d

de son
celle
la beik Caroline,line
Bemborough et fem

Samt-
ans
Lamb,
-

ais
tour- l'y
divertissant.
à
ses
J
mais
led!
«
situation »deIlmanière,
choir

êtes
joux.
austèrebruitdela
qu'elle
ima-
noux,
en prétendu
son
à
Il
t
Lamb n'eûtrencontré
celui-ci,
la porte,se montra
donnez-moi
Je

serrasonmanteau

!;
dit : « Caroline,

sonna.
enue
poignard.
»
qui.

sautai
WilliamLamb,fils tiroir,» et je lui donnaile poignard.
Aucoursde Maintenant, dit-il,vousêtessau- sur
me
à
s
et
ïe
'êtrecaché

se
mé dit
poignard
du lit,

je suismaintenant
t
«
de

autourde soncorps,
fixa avecun légerchâle à moil'inextenso
na auaventure connuefut racon-commeceinture,et ainsi déguisé,me feeweidérations
voleurvéritable votreécrinou vousprithumain,
morte
sonnette

M.Lambd'unevoix
exaltée.Elleentretintdesre- vousne mejurez,elleet vous,de me ce
par
«
les
Bvron,
derrière
Caro-
ouvris
Ka-
Ç'
"i.J

un mesquinerie
Je lui donnaimesbi- retrouver,
Monmariaccourutau LordByTon,
etm'aperçutà ge- aprésumonset
cheveux
Elleest.morte,
p ar

caverneuse,
mon
voleur,prêtà mefrapperavecM.debonne
d it-il
si
ce
,;.- -,
Due préface
,.,
',.f.:'ptifpos

nous
imrecueil
que
dés
"A

En attendantla publication
desLettres d e* Lord
un teursPlonetNourrits'apprêtent
lemarché,
prisesuffisamment
s'entourala têted'un mou-gencesde l'actualité
d'unpoète qui
traditionnellement
deLord --
,;lettres1

Byron,
dansuneexcellente
cacheran œil, dantcetinextensodela correspondance
a d'autant
recroquevillé
d'une bassesse
biendignes
avons
d
e
delettresu
u
p
q
,'"

Une préface reÍl'oUY6e de Georges Clemenceau

ue

généreux
lebonheur
lamaisonCalmann-Lévy
c hoisies
- -.
intégraleccl'ébaliissement
lesédi-

es-
de
de
éditévers1910 autantquenousle «ropede sa renommée,
JeanDelachanme,
avant-propos
qui nous
m
ces
aison,
lettres,traduites
avecquelque
signéGeorges
dispense deprécautions
n

«
«
«
be.

le
vie
En

sacrifice
H.
Enfin
une noble
:
revanche,

par « accomplissement.
éLégan-
d'un
sontprécédées (cautrement
Clemenceau,
ora-
«
«
etjugeant

«
s
Mourir
c
Byron

d'unpublicdoutre-tom-
sous

uprême,

ause,
le dédaindesgensincapables
que
contrelaunexemplaire
(ctiondevant
iHiur
lequel
à
l'apprêt
à lanceru re, il transparaitun hommed'espritlutjamais
entre-« libre,de cœurhaut,quiosaaffronter
justifiéepar lesexi-« sonpayset sontemps,etqui,noncon-portance
littéraire,en atten-
lusdroità
dansdes
« tentdeparler,
de son admiration
« grande
qu'unecertainecritiquel'a «« paraîtredansla résurrection
« nisme
et dune « générée,
u
m
ne
oments
source
v oulut

n
faire.Laferveur
pourl'undesplus
del'histoire
ouvelle
l

luifit
qu'untelobjetvalaitjour:

après
Tout
il lui
trente-six
a voir e
donna
0"

ittérai-

anspour
mpli
estun assezbel double
s uperbe
eux-mêmes,
depensée
lesmeilleurs
que
ap
del'hellé.nie,
d'humanité ré-
sa
l'Eu-
soit
Hseren-cetennemi
Byron et sa Légende

en
En
Byron,
delégende,
revenait
luilepoète

parmi

de
devivrehionabîc
Il
sa

ses
qualité

direqu'ilétaitle
temps,
la noblesse
et
p
il
encemonde,
our
ne
degrand

Vousêtesbienheureux
leslords
sut
nature,
malheurs.
etd'ac pluschers?Quelscandale
d'entre
e t
tirerdegrands
m
paraîtreaccorder
à ses écrits.

lord
Il
1
pournous,estsurtoutun hérossouslaquelle
luidéplairait
ieuxa

parmi
a
dmirer
seigneur,

l
vantages
il
beaucoup
aimait à se
pas,

de
s'il
l'homme.

laisser
plusgrandpoètedesonsurun coursier
maisil s'attachait
desonsang,mieuxquesongé-desnuitsentières
luivalaitla célébrité
La comtesse de Blessington

cette
maisellefutaussila causeàà Mi!an.
aurait-elle
Cqgnment
despréjugés
punepas
l'aristocratie
réagir
quiluiétaient
que l'éclosion
c
fas-
ontre
les
d'un
deta
denousvoirnégliger Letroupeau
ce
des
nevou- barques

tre
me
jeune
vérité.

d'im-surlésgrèwsH.sur

Il était
d'êtrepoètetémoignages,
espoètes!
celant
penser
e;
devrait
reparaît
dhallui-même,
de personne,
lord

tineenthousiaste.
à fairecroirequebrise,rapidecomme
sedissimule

r
humain
iche,beau,
à lui lesvagues,

dontil étaitfier.néesdanslecadredauelavoluptueuse
lui dit un Mais.en réalité,
beau.Nous le savons
dhal.quifutfasciné
son
Il écrivait
a l'expression
donner
tout
qui
au
«
-
lesoucitragique
se laissaéblouir

et, eu particulier,
parson
génial.« ayant
telquelemontrait

profild'ange».lorsqu'il
deschevaux
Onle voyait« galopant
d'Arabie, légeroomme

par maints
par Sten-
regard
plustard:c(Sijeviens
qu'un
génie,
à coupdevant
se flattait
avaitété éblouicomme
grand pein-
cette
par
Lamar-

l'éclair»,ous'enivrant
milieud'orgies
qu'était-il,
la
effré-
Venise.
ce Byron?
étin-
levit

têtesubli-
moi.
den'être » Sten-
dupe
gindtion
stionsd'étroiteamitiéavecWellington, toires t oujours plus ou moins p arasitaires. «nous peuvent utilement s'arrêter. Faibles- génie t empétueux au seinde cette noblesse les

nnus
laisser ses diamants e t dem'aecompa- Lerecueil de ces lettres c hoisies dans la d econduite, fautes s 'yrelè- oùl'hypocrisie était u ne nécessité! Lorsqu'il autres. Il aOh'.cependant, Ja faruité du
Ganhing,Hobhouse et surtoutavec son
te correspondance deLord Byron dis- ses,erreurs
« veront peine,comme chez touthé- dutquitter l 'Angleterre, il succombait de- çrand seigneurci quelques-unes desesfai-
UgoFosrolo oui fut pointdesautrespublications nese cc sans
de « rosqu'ilvousplairadechoisir. d'exaspération qu'ilavaitblese,
poèteitaflieri
hôte Brocket-Ilall. tinguerait Mais, s'il vantiemouvement Ce-,petitscôtés du caractère
en sortchâteaudede cegenre s il ne portaitpascetteétoileà fi se dégage decette âme tumultueuBe une causé. Il avait a gi en poète, mais ce poète,qu: de Byron,
Maisla grande passion sa vie fut
de beautéet
son frontet celatoutsimplement
quedeslettres choisies ne lesont
parce« puissance
jamais« volontés
de passionqui emporte
denoblesse à l'avenir d'unehu-
dos dontl'orgueil exigeait toutes le; j
libertés, *»'»u> aident a iemieuxconnaître, c'est
; Byron dontla réputation Invaicm intention p réconçue. Faire un inanité supérieure, demander de
par
la célébritéunmême peutapeuse sansune visée«« plusà notrefragilité que sonr l emieux r évélés. Xoiv*. avan-; d'elle un
Réduite avant qu'ellele connut, choixsupposeet présuppose une ?» recueil rieconversations et desouvenirs sur
lui fut priJ*ehté à une rélp" quelconque, et j'imagine que la visée de Je voudrais qu'enlisantceque dit là Byronquil'i extrcnieni-'nt précieux. C'est
*V-& illadyJersevet qu'illui parla,
0-iaP<\ M.JeanDôlaehaume
sans aucune de ces
futuneviséed'art. Georges
préoccupations qui (l'a-il
Clemenceau,
l a viedeLord
on etreigne
Byron
d'un
lais-
a Gènes, enavriliK.!2, qu'ellele.rencontra,
P:tiF' pnxaUadéfaillir. tropémue C ette première transpirent tropsouvent oui,tropsou-santlesanPcdotierscoup en pendant qu'ilhabitait a unedemi-lieue de
-enh'¡\llu\' fut assezternecar. qneLc
r»o'îrfio-ivoirlui exprimerce des
!
vent detravauxsimHaires,
ceslettres, onalal'impression
Enlisant pourpre
queletraduc- de sa
pit des apparences,
tapisdanslesplisde
renommée. Cette v
fut celled'unsoli-
ie, e n dé- cetteville,lat.asaSaluzzo.
baro. K He avoue
auviiiasredAi-
quesapremière impression
j'br;fR:t, ellene put lui direaue teur a écrémé correspondance de Lordtaireet d'unintense d ans son isolement. fut unedéception: il n'étaitni grand,ni
bR¡¿1h'.Maisdèslelendemain ellese Byron lespetits
pour Delachaume gourmets dela cu- lesa comptés, lesvraisinten- imposant comme c voulait sa légende. Son
let- riosité. M.Jean a traduitdJe es Sonsiècle
ses,puisque c'estlesiècle deBeethoven, de visage étaitpleind'expre>sion; mais, à
'f'sll;.it et lui écrivitune longue lettres c lassique et quile eontrestées. Leopardi. de Foscolo, dlAlfieri. MaisBee- te-quatre an-,ilgrisonnait
tren-
fti?..où, faisantallusion au héros.te ne lui feraipas l'injurede croireque, thoven restamurédansle murdesasur- utrèsfortement ;1
soneélèoi-e poème« le Corsaire
Offrait<1Conradl'amourdeEGulnare
», elle
et nouveau F énelon,
avaitfaitpourlesEpigrammes
il a fait ceque
à l'usageduDauphin.En France,nousFoscolo
l'autre dité.Leopardi mourut
deMartialnière plus que de son désespoir. d ela moelle é pi- etcouvrait
paraître ses ii
cheveux d'huile
plussombres, avaitunpenchant
à h HK-iancolie."
pour lesfaire
sonsourireétaitfugicii.
11£'dévouement de Kaled. lle résolut n 'a jamaisété qu'unWerther «rapidecomme delumière
.-IP.réméré elle-même cettelettreaétait '9"\-
Uy- SavonsplusdeDauphin, et nousavonséchappé
le palaisassezblasépourgoûtersans brerdansla fuméedesinsurrections desbrumes allemandes pour s om- retombait unrayon
dans
aussitôt unegravité n,et il
hautaine
ron : !:-li1isachant que sa maison craintelesplusmeurtrières descuisinesliennes. ita- et-distante.
rironreu^ement ferméeaux importuns. littéraires.Plusde Dauphin,maisdes chedeByron Alfieriseul,peut-être, serappro- Silavnif.dansl'ensemble desapersonne,
elleimaginaun stratagème romanesque becsfins. et pour lesquels n'expurge
on L'épo-à traversl'Europe q uand illançait ses chevaux quelque chusede nobleet dedistingué,
pour pouvoir p énétrer j usqu'à lui. riendespréparations incendiaires. p our étancher la soif sa
d'infiniquile dévorait. Seulement, il de- miseétaitcependant trèsnégligée. Il avait
Ellesefit faireunelivréede domesti- queestau pimentrougeenfaitdesensa-vaitplustarddégringoler de sa cime et beaucoup maicrri ies qu'il
que à sa taille,dissimula sa chevelure tion,,,etc'estbiencequ'ilconvient
organisations dedéguster avec ce
à nos
souriresombrer dansdemisérables accordailles ! taitétaienttropetlarges vciemcnts por-
et paraissaient ne
jSotïsune casquettegaionnéeet ainsi dansles yeux qui ne parvient pas,cepen- LaviedeByron,
épopée,
elle. e st supérieure
lefameux
dans pas avoir é télaits pour l ui.Enfin, il y avait
puisée vintfrapper-à laportedel'il- dant. à effacer leplid'amertume son
uu coinmystère car le « mystère » , dans sesmouvements une gaucherie causée
ittstrepoète.Cefut un valeldechambré, dela bouche. n'estplus donton nousrebatlesoreilles, par la préoccupation constante dedissimu-
le dévouéFletcherquivintlui ouvrir. un mystère pour tousceuxqui ler qu'il bo:.ta:t. I' déplaçaii.
disant * toisent l adyByron avec la toisequ'elle brusquerie se avecune
Elledemandaà parlerà Byron, important mérite,et,dansladyByron,l'aristocratie soudaine pour::;:paslaisserle
qu'elile avaitun message très Uneétoileau irontde sonlivre,telleanglaise toutentière. temps de remarquer soninfirmité. Cettera-
à lui remettreen mainspropreset af- BijYùn tfi officier gfte brillela préfacede Georges Clemenceau, Ici encore, donnons la parole à Georges LaComtesse Ttr':.W Guiccioli quifatpiméepiditéinsolite choquait plusdanssonallure
tel air de mystèreque le effet,lorsquel'onouvrela traduction Clemenceau deByron que la ditïormitc de soupiedqu'iltenait
iectant
,ÀdèleFun letcher,Sganarelle de ce nou-gner jusquedansla rue. » Je n'avaisde enSi. JeanDelaohaume, une étoileà feuxIlest,detoutes : «lL'aristocratie
esorganisations
britannique
d'oligar- tantà cache:*.
veau DonJuan, l'introduisit sans re- pas sênc Besoin de feindrela terreur dans fixeset qui éclairent la personnalité de cliie,et la plusfortement organisée en recevant, un jour, une tragédie avecunen-
tardauprèsde sonmaître.EHeletrou- Mte decomédie. M.LambtombaLordBvrondansquelques-unes de ces«« desconventions intangibles et la plusvoi« à George Byron», laissaéclatersa Voilal'apparence "•»
deByron. Quantà son
nonchalamment sur untâ." dans le panneau. N ousdescendîmes tfrvptes profondes oùlegrand poète d issi-« libéralement inclinée. Supérieure decul- colère : caractère, il avait lui.dissimulée
va étèndu mulait ses véritables aspirations. Regar- ttireà touteautre classe s imilaire, elle v e n sous
iiapéet lisant.Sansmotqu'il
lenditsa lettre pendant
dire,elle lui avecle voleur,et monmarilui ouvritdezcomme,
l àlisait, lui-même l a porte.Le lendemain l es dèslespremières
:
lignes,la «« s'honore deprodiguer ses précieuses ia- pareille i !
Jamaisonne mejetaau visageuneunepétulance
mpertinence Unêtrestupide, un tous l esinstants
excessive,
ayant son unesouffrance
origine dans
de
elleenlevasa casquette
ruisselèrent sursesépaules.
et ses
jronse retourna,elletombaà maispour sespuus. voleurvousdoitla vie lesbijoux
: «
plume d evient griffe
cheveuxbijouxnousfurentrenvoyésavecun sementdanssonsujet « Le nom(du ««consentà les reconnaître
Quandiiy. biHt,pourM.Lambainsiconçu
;
e t s'enfonce
Le «poètedeChildcHarold)estrestédans« hommage
sont « la bouche deshommes,
vigoureu- veurs à quiconque,
aux
et si touteune «quiluifontofficedepensée.
de troppourluicettefois; maistenez-« vied'ardentesincérité,sous le voilea qu'elleeûtfaitdeByronl'undesplushomme
en
sentiments
ayant p aru digne,
d'un facileignorant
traditionnels
Nuldoute
surmes
décidé
sepermet
titres et
depasserà piedsjoints« effroyahle
mon rang!.Je
à ne pointlirecettetragédie:
suisbien que que
un deChateaubriand.
nous
contusion
c onnaissons
delameromanti-
» déià
parlesaveu:
cette

« Je suisà vous,luidit-clae, Ka*vous importun, maintenu« beauxfleuronsde sa couronne.Maislesrèglesdubon


quifaitun pareilsolécisme contre Pointdemesure. De-îbagatelles pre-
aujourd'hui,je ne veuxêtre que biensurvosgardes,car il espèrertd'unromantisme a tonet deladécence 6t nne importance tragique et leschi':--
aller les reprendre. .Malheureuse- « le renom del'œuvre, la figure d elhrrn Byron, étrangerà caste que incapable dejamais r ienécrire quimérite plus lesplus s érieuses
lea. Cettelettrevousa appfisoù vousment voleurromanesque » avaitlaissé«est encoreobscurcie partant de légen-«« conscient, d'appartenir
sa parce
à uneéliteplusd'êtrelu! graves,
négligées, méprisées, réduites
dek.vie -
à unjeu;¡:-
pouveztrouverGulnarè. Byronvou- tomber ce des,déformée haines v iva-
lut la prendredanssesbras,majs
» eilei d ans maMonchambre une lettre « partantde
assailliepar tant d'insinuations haute, etplus
« prétendit soustraire tarddépaysé detout p ays, Voilàoùle lo-rd se rotrDuVt'! ":i.Comme
La natureperstitieuxSnelley. Bvron îre-' .-u-
était
sortitun poignard d e ceinture e t1en adressée à Byron. mari me la mon- itces,
perfides, qu'on
sa turctout df tra et je lui avouaitout. Il me par- «peutsaisir. Voilà;certes,lebilande itvoirsd'hypocrisie.ne saitoùla réalité se « se à sespremiers do-deByron
Pourcetoutrageau qui beaucoup e stfaite de ces violents contrâmes je monde, et croyait aux :"('ïl':lia:, Dans
desa première
rtipnjira.« Voilàqui
bon,beau page,lui ditle poète
est
:? mais donna,» «
nos informations,
» et beaucoup ont déjà « dogme deschoses établies, pour l ecrime ont
ilvitse lieisapersonnalité.
contribué à mettre e nre- impression
il restait
et incapable
eteiave
de mod'tier saine-

-
(le
le couragede me tuer » rent Naturellement les amantscontinuè-faitfaillite.D'autres netiennent plusguè-««odieux
détourner
devouloir
deluitout
êtrelui-même,
ce monde d'admira- L'nbeau monstre! C'est qu'il voulu mentsdon jugement, il aimaita répéter la
àuriez-vous
*–« Oui, répondit-elle ; j'ai bien eu ce- à se voir, m aisByron
et s'affichabientôt
en eutvite
avec d'autrestez
re,îowrbues
ceque
parunusage
ditGeorges
a veugle.
Clemenceau :«
E cou-
L'np- « tif empressement
« con<pi^o~a$isurêê.
dontil avaitcru la êtreet cequia faitsa gloire.Quand
Etquantifia plus'criièl-écrivains
c e a
n os
ilsnégli-main
parole e Luther,
estcomme unhomme à
quidisai:iiiiel'esprit
ivre cheval:
hu-
il
•luidevenir. Je suisprêteà tout.B maîtresses» -a-sse;z iquespécialedeLes
faillit«.tn'est l'écoleromantique- « lecalomniefondée sur desapparences parlent duRomantisme,
de en étaitainsidusien,incanable deteniren
..Et moi,je ne lesuispas, luidit-ilin
:nant. Puisquechezvous 1s myrteset en devenirfoile elle
poigna, volage a mant d
;
L'infortunée
e
Caroline
pûtirautvit
assiduités, luifai-
p lus
son «« elleprétendit
lanôtre.
choquent
débarrasser
conventions
a ujourd'hui
dont;
la littérature««se contre lesquelles il eùtsagement
prémunir vintfournirà la foulejouéByron
faitde gent
fut
t rop souvent rappeler
au débutdecemouvement
seulement littéraire.
le
Byron
rôlequ'a
i
selleet penchant
quid'un
ncar- côteou del'ruvre. toutde sur.te.
<¡:l
malgrésoi,
q:¡'pnnerai-
les roses
testament.«
cachent

• Dèsle lendemain,
un iiene
Vousverraiquequandj'auraifait mon santpubliquement, scènes
mener
d
à
e jalousie
elle. U
;
ses
dansle monde,des «l'appareil
elle
njourqu'elle
ne putle ra.-
étaitchez
il étaitchezelle, lui, l'attendantdans son cabinet,elle «{C'estmoiquisouligne).
«
«
nous
lavérité
«l'excuse
v écue.
moins
théâtraloùellecrutdécouvrir
Byron e uttout
d'unemiseenœuvredeVidée.it
n u
que
moins
«
l'occasion
« l'opinion
« nisme
dre sur
Leplusimpé-« tigela revanche
d
rlrt;
publique,
ecommande,
l'idole
i ndignations
d
prompte
s'empressa
épouillée de
desimpuissances
vertueuses,
aude
:-on
pren-
pres-
ne
force
pée
de
plus
pas
purita- naleRomantisme
nérations.
s
sa
Il prêta
légende
ublime
auxveuxdenplusieurs
a ux idées
tragique,
poèmes.
ouvelles
vivante
Les
gé- ion
la
l i
épo-
esprits
intervint.
Ilaima:ià parlerlorsqu'il
relit occasion despectacles
sesavaitccou-
savoureux
Staëlfu-
pour
etcettefoisle poignarddeKaledresta aperçutle romande « Vatlieck» ou- « rieusement orgueilleux deshommes de « lis-éet' coa- que ses ceuxquieurentla chance d'yêtre spocta-
lesplusraisonnables de l'époque voyaient
danssonfourreau.Cetteliaisondurait vert
depuisquelquetempsdéjàsansquele degarde
ttiari, naturellement,
lorsqu'il,
: Souvenez-von
s'en lût aperçuvBvron,qui*Étaitbien décidéà rompra,cc
arriva aux deuxamants
s
fette déchirale feuilletet le luienvoyaavec« ment
I »
« son temps, y
et sedétachaavecune
ture lasupériorité
d e
compris
sursa table.Elleécrivitsurla page «lue,il eut,surcerival dontil s'épritfraie
demoi
propre p
Napoléon
égale
ersonne
lui-mô-
désinvol-
d'undésintérefse-
quile cou-
I reste x.à faire
Ii"lapuritaine
plusd'unefois,depuisByron,
circonstances non
observer quelescrisd'or-enluiunBonaparte
AnQ!o('HH'1'C ont. r etenti
etdansdes 1824.
moinssensationnelles.
mourut,
gratitude
aux premiers
dela poésie.
jours
il devintun dieu.Sesmalhcnrs,
de sa patrie, la générosité de
de
teurs,
l'in-imagination
ce. elle
Tous
Desqu':!Staëlsabandonnait
duprintemps
d eux étaient
à
e:.avec beaucoup
mettait dans
ia
ses
éloquents.
puissance
Mme
de
de redondan-
phra-is fleuries
de
sou
et
1 Remem-«nduisiteusa MaisavecIn trmpset la connaissance sonbrillantes de profondeur
aventure iragico-comique à laquellecesvers: « Bemembèr
- ":CLl:.J;:il:: qui

:
tlue pleine exubérance dejeunesse,plusapprofondie de no? voisins, n ous sacrifice au profit d'une cause c hère à tous netan ru
nousavons fait allusionau débutde ber thee i Till Lelhes.Meressouve-« jusqu'ausacrifice de sa vie pourune appriscequ'ilenfallaitpenser les cœurs,faisaient de sonnomvt de sa clatreuient qu'uiv obscurité ouellen»1 voyaitpas

-,; .,, 1
m article.la Voicien quelstetmesCaro-nir detoi! meressouvenir detoi!Ah1 «telles causeade beauté.Cen'estpasversde avons et nous avons r épondu ! gloire le symbole desidées nouvelles au c'/e-niénie cequ'cnccherchait à
lineLamb raconta: .júqu'à ce que laflamme de ventures
la vie * vitéslittéraire ques'orientent lesacii- poini: qu'onnepeutcomprendre exactement ex)rim('r, B'.TO:l, luiaussi,pratiuuai: lati-
d enotre temps ». or rade. mai- avec a-se?: de nresence d'esprit
Ala suited'unbal,j'avaisdon-la s'éteignedansle Léth, le remordset « pourquoi de lettres. Voilà qu'elleest,cette it* cequefutle Romantisme à sesdébutssi
pourn;("'e:' ¡f>";repliquvs perdrelefil
né«AByronl'hospitalité p«nirk nuit. hontes^attacheront
suivrontcommeun "hp. dèiimnt.
a toiet te pour- contraints
Moivivifiante
«
doncnoshommes
de reconnaître c e
quela vertuvéedeGeorgesClemenceau, préface retrou- l'onneconnaît
ParByron.
pas lalégende
leRomantisme
denyrCtl,
devintrapide-adeMme son,r"()¡r..:.
^aus
FI cela,il étaitsupérieur
touslesdeux.moidans ressouvenir et je vou-
Nousdormions
lit,
mon que}ql'unîui divan, q uandtout
sur un frappesur Vê-doutepas..,ettonépouxaussi de toi?.«Ah! oui, n'en dessiècles
dela fois'estdissipée
». nous proposent-il saucoursdraisavoirpu la citertoutentière.
« avcc voudrais nvoirpuvous fairecomprendre
Je ment
contre
l
les
'expression
préjugés
d'une révolte
lesfreins
del'individu
quiluisont zivilt le de Staèl.quisemblait
elleparla::, l ù ne riener-
elleparlait
à fcôup
pattl : je m'éveille
terreurmonmari.«
toutbas,îevez-vous
me
me
et reconnais
: mon
qu'il y aun voleurdpansla
doque
avec souviendrani l'unni l'autre,nousne
dit-il t\3uMieroms,
démon pour
Caroline L
femme
moi1
amb
perfide
»
se vengeaen
a?enres- unecynique
pour luiet;
femme,
rannées
mêmes
ent,
plume n pour
naïveté,lesconceptions
qu'ilss^ernpressent
superbement ?
l'honneur
de rejeteresu-
(Pas
» de tenirtous, J
ux-
Hmeu.
une
(pieles événements
depuis
ontguère
traduction
q ue
t
cette
erni l
quisesontaccumulés
préface
'éclat r
f ut
t,qu'après
écrite,
tout.
n 'en
l a
imposés.
posa aux
Dansie domaine
traditions
tine,renouvelées
des lettreschoisiesde Lordtourà la natureet auxélansmystiques
et
de
par la
la
del'art,ii s'op-tauù.ar-..
culture r
Renaissance.
o-Ia-
Rl*-
du
donti' avait
vnri's.oùchacun
Sv.nl.Byron
rompuavectoutela voiubililé
le secret.
c
réussissait
Leduel
herchait à
d
àl'inter-
deparoles
edeux
étourdir
ba-
l'ad-
prétend
main : nousl'avortscherché artoutce quiest terrible, et femmedelet- prendire
enEllepublia « C'estqu'ils sonthorsd'étatde com-Byron parM.JeanDelachaume
dorejoindre lesouvrages oubliés
seraitprèsmoyen
decetteBrémond. âge.comme l'abiencompris M.labbéversaire, Que!
dutêtre duniushautcomique.
étaitle fond de Ifcinaturede Cet
tres,ce qui est atroce.' la puissance
un « desidéesqui suscitaient, profonde des gran* espèce puisque noussommes Byron
à la veilleclarait jamais tableau d étestait lesmusées et dé-
trouver,nousallonsmaintenant,
sanslel'inspection C'é- « l'rnthollsins. d'avoir ! -;potdecrème e ntier faitde que u n n i unmonu- enfantterrible? Avec beaucoup depetites-e
faire de voirechambre.» tait romanavant pourtitreGlmarvon. et en ment desculpture dans l ecaractère, Byron a\tiir. demême
- « Crèl! m'écriai^-je, tîftvfrl-eiïf
et je jetai un regardangoissédu côtécipalétaitBvron.
L. » tin !h"fto'ft
Il n'étaitp'l'$jcommeun fâwmstire,
tïîef's-ddiïilebérosprin- meuvfin*
-Elle le ,re,po.irplait..
«
(i
«
luiprêtanttousles «laborieuse
me
IHI8
aesgénérations
encore
victoire
précédantes
lemonde
tescondamne
d'isne.application.
Ùl'heure
qui
fil'épreuve
C'est que
correspondances
mêmequéd'unpareilliminaire, - si ce livre n'était
JehanOURIEUX.
mar- avaient
vant l
doniié l'émotion
esspectacles
ou
dela
d'arohitectltrt:
qu'ilressentait
nature. Il
ne
avait
d
lui
e- dela grande
découvrir
un railleries,
tir
-esparoi
et
lessentiments
unepénétration
<K'autmi.
tout
es dureset iroides.
vive
Sous
pour
ses
où Bvronétaitendormi. de toutesles infa-1 l'écart aufait, paraît c hoquant sentiment violent de l'impuissance <ie^ con- il
imele ditan.Ace moment nom enten- viceset.l'accusant d
«à quin'a coin el'idée ceptions humaines, et c'estdans cet esprit dissimulait uncœur tendre, blessé par les
dîmesroulerunhommedansPesÕa- mies, f aisant m ême delui un assassin., pas
« et rcfu. par faiblesse m l'ingénuité durêve qu'ilméprisait grandsmalheurs
Toutbiencertainement dontilavaitétélavictime,
c'étaitle Celivrefit un scandale énormedansla' «périls se deFaction. decœur,aux Acheteurs numéro, tou- dansluniverssespropres ouvrages.
liet; monmari
domestique qui
ycourut.
â'vait g lissé. io : craignais haute société
terrepour
d
IleAndréa
n'enavaitcure» 8NMflruitté
totï.fouis.
t; mais Byron, «
l'Angle- Et,plusloin «Byron,
« sa pensée,
:
n'a
»
aucun
quitentadevivrejours les NOUVELLES
droit aux trans- à la même
au
librairie
demandez
LITTERAIRES
ou au même
l'homme
ou de terreur.
du troupeau
est fait pour surprendre
etluiarracher
S'ilfaut.
humain,
descrisd'admiration
p
adopter
our êrrecompris
c'estl'éternelle
pa-se p our L ui
par:'-;l.
cynique
qu'ungrandenfan;tr.a!heureux.
et
proprefaute.K:
histoirede l'homme
quin'est,enréalité,
qui
« porte quesuscitecheznosdilettantes 'a sonlangage,
(41Mémoires
1829,
d'une Co-ntemporatM, 8 vol.. HMètOTtU* I«fastueuse vanitéd'uneviecomposée pourkiosque. cene peutêtrequ'avec uneirouiesecrète JacquesMORLAND.

Les Lettres françaises


L'ÉLOQUENCE
La prédi'catibYi
'èOttm'frt'
Inqueftce
otilde
rapport
Valéry
deËmsuet,
s'accordent
épmwé.Èlîesen sontapartie
PetIt-on iflfidireautant ?
'
celle La- A
»
style
ujourd'hui
de la châtre Y a-t-ilquelque
à"u'lCiâtIdùl,
de leur

lapose d'Art-,
HE LA
Trn-i<B»p»r
1ïc Jè. ï f1du
vaitdemêJlre
eù « intégrante.prédicateurs
del'é- ,pnnc1fde
parïaHo*>e
ittéraireentreia paicdè Pairii'ermft:l'e
CHAIRE
xixesièete>
cdïitreun

ipontificaie
iM'f.!cW.c
jprocianuafent
»
LMn
autre
cottihat'tîMeM
1789,
i i«IH«
Xlîî'8'élcè-
eiteès.Les
latinereprésentée
«urla civilisation
,de- lutl»ériajiî«ne,
ha ïuMlîtede la eciottee.
Wïelîletjrs
années
îmrtiennent

il de
prédicateurs
presque
nicainquià têtrouvé
tout«ôHclai&SiCtBin'è.
phores,par sermofts
tt?eeentendre
ïaiVe et
u
répétitions.
enchaire les troisserbes,ttoisadjtWCtifs
Soutenaient
rité de la civilisation
la supério-tentet serenforcent,
lontespluspuresméthodes
«.Qu'ileetstdifficile
Hlle
refuscftl
d£ trnnsformer
ohstiliémeiit
de
dé ces dernières
ont répudiéteRomantisme.
tousà l'ordred'Omi..
touteson'ausLériH\

t'onipat'aisons
pour îofeer
Trois
sans

propositions,
quise'C"Dhl!pIÙ-
académiques
decOrtvaincre
ml
"Crenoncer
\olonte
:
vier.Avecmoinsd'élégance
Ilsap- lamanière
ChezlepèreJanviersfrèresPrêcheurs
ii ne resterienUnîOinantîstiié
^bUre. prêchésangimages,ii
en troispoints.n prédicateurs
pour
l
mieux s e
'attratiou,
grandest
puepour
tisme.
Rien
s
oratoire
lèPèreDelorne diffère
decelledu PèreJanvier.
dei.ticor-leurgrandetradition
Lacordaire,
acrifier
demoins
envérité
qui imaginer
ungenre
aux
a
pas
semblent
luéta-hainedesvainsornements

ctuel-en
toutvaj>artrois,se-.plusfroidquecettefaçondeprêcher.
a
uneintel-luide l'élogeacadémique. ussi
un de cessemions
ù leursd'uneoconversion
a
et d'ampleur
d'unautreDominicain,
sensiblement
En eomme
: dialectique
que
avaient
prestiges
i
du
quelques

apparence,
rtificiel
à
de
quecc-
l'ürigine
cetteformule
rien,Francesco
les soit
delubouche
rolesortiedu
avoirrenouéd'êtrearrivéeàcœur
serrée,l'émotion
de leurordre,dontle plusquese proposent
nterrom-
roman-
ciscains
lectique
clair
voir.

ou
chàtié,
<.'t

cegenre
On11caurait denombreux
d'introduire
d'ungrandprédicateur

religieuse
Taj-ugi

oratoriens.
impeccable,
ils se
C'est Laguerrea toutnaturellement
d'éloquence
aumôniers
:

dansleursprêches
«

les prédicateurs
plus
Plus
que
que
préoccupent

sacrée.
ne pas
d'une

O
orato-l'éloquence
Uneparolequi son.
arrivea.l'oreille; unepa- Ilsemble
ne s'arrêtepasavantdominicains
autre
un lesauditeurs
chez cœur.»
frayerle cheminde la foi.telestleDonr
Susciter
but
fran-
dia-
d'unlangage
d'émou-
dévelop-
n
craindre
réact
veur
ple que
vier,q
duPèreDieuou duPèreSam-
qu'après

le successeur
uivient d e
la voguecontinue
depuisbientôt
désigné
prvcher'pour
foisle carêmeà Notre-Dajne
Samson.La guerreen rapprochant,
clergé
tre ans
pement
desfidèles,
beaucoup
du
lesprêtres

journalisme
dansçotfce
sport
a vu liquesy estnoua*
y a
d
cm
itns
un
iOIlsoitprès dl"se produireen fa-
desoratoriens.
siècle,
C'est.ainsiparexem-
duPèreJan-

mêlantpendant
.aux
l
soldats
évolution.
espatronages
beaucoup
nu>si sa également.
(part
l'argotriesbilité. pm>ceupûtionsderesponsa-
des
une

la dernière,
le Père
e::;t, le
qua-
estpour
Letlevcloo-
catho-
Le
âTétëiàe* on dee-iraitelmix et féSsetttiifcfSi ou d'une crise religieuse. tranchées pourmieux atteindreleurau- bk-ntLes littéraires sem-
àe nosprédicateurs *! LecàrÕrne qui vfomt,
oocawom
LéouXHIl«ir '&f.pelil
étaitdecasamesàer Saintes
leurdevoiridée,a lenrrs
queEcritures affections,
et Qu'ilestdifficile
à leurshabit'iïd^s!
d'orienter Cecommentaire
versie souve-desvérités presque bureaucratique ditoire,Lemoule dessermons de moinsen moinshanterlespré-
apprisausé- dicateurs.
fie«'achever étaituneexcellente ,dévelolppar los leS.t{linBienile-spensées, desdésirs, d
-desef- dresseuniquement ela religion c hrétienne s'a- minaire s 'en est trouvé b riséet iln'eistpas les conférenciers catholiques.
<àes'enretodfe compte etdefairele point.de devanteurs auditeurs à desâmessolidement raredepuisd'armistice d'entendre dansdo Ustendent à s'adapterà leurpublicde
ï/expérietoce acquise au cours dece der- « véritésdel'Evangile. De'même, laspapesfortsquid'éUS-mètneS s'attachentat'Acroyantes et désireuses decompléter leurj sportifsindifférents à la linéraiure,de

,t.
ïriwCarêmeYia.faitque confirmer uïi PieXetBenoît XVcondamnèrent lespre-biensinférieurs est difficile
1Qu':H- derom-instruction. nombreuses églises devillage d essermons bourgeois
enregis-àioateurg quise faisaient tesapôtresde prelesmillenœuds,etc.» Onencore: Pourtant du tourleplusdirectet le plusfamilier habitués auxmanchettes et aux
tertaînnombre
trées ailtotars
: Bienentendu,
de laguerre.
de constatations
il nesauraitil
la ùémocmltie
"frwiricidu Donnons
chPétienuev
un Instant d'attention àXlïî, « Cesapôtres(lesprêtresd'aujourd'hui),
ces dansnosbolirgs, dansnosgrandescités,sansrapport
bariiieues
cogenred'éloquence
parlementaireavec notretemps.
développé
prononcés
Le régimelangage
d 'élo-
par
n'estpas battants.Ledivorce desprêtres
d'aujourd'hui
d 'avec
qui se
la vieet te
faitsicruel-
nouvelles
ancienscom-d'information, troislignesdes
en d'ouvriers
parolerapideet directedeissecrétaires
journaux
accoutumés à la
de
'tWnfeDtl
cnjfeinent
ftrtâieatems
decette
de la
prédication,
forme qû'elle
onttoujours-été
Les
s-ag-itwii-
atttfrftifa
:F.édtatc:H'sNàm,,¿s
les aùtros p ar
les
'P¡leX tins par
etBendît
mààlas,shlon adapterleuréloquence
Ivéon
X V.
Oute
dttns
:aê
nos
uïie
làttélJfMlis
îé'fmeté
prêchent
«ans
oflabre,
l'Evangile
défaillance, une
un désiutéressenïent
quence
prêcheurs
a
démagogique
n'ont demandé
maisilsse sontiipas
nspirés
ungenre
auquelles frères
demodèles,
lementsentirdansl'éloquence du Père leursvndicats.
JanvierouduPèreDeloresticiévité.Ceséparable
decegenretout sontencore des conférences,
de
L'onction
l'éloquence
des confé-peuau feudela viemoderne.
quisemblait
sacrée fond
in-
peuà
littéraires et y onteoiifWraé lewr auxpréoccupations deleurépoque, l^s
pre- mais inelange. » m moderne d'éloquence qu'estla conférence. toutes r amilières,
rences jusqu'àla grande mais quipeuvent L'éloquence de la chaire traverseen
éloquence. Lesttiodes«phllosophi!^^ îj>-miersenportantla discussion çurJeter- Dans un récent sermon sur « l'apostolat
ïiehtMion
*'ftée del'espritpublicà unepériode
tl'!OItt pasmanqué nota plusd'éfl-,
r-ai%même
démocrates
choisi parleursadversaires etla -
.perfcdin chrétienne
et fibre-penseurset en etn.lePèMJanvier5aduhailt.dela chaire, »(6avril1924),
dIt
Frayssinous,
Monsabré Lacordairc,
ontcréé
Haviguan,
etdéveloppé en
Félix,se
France
religieuse.
Le
hausser
sermon
définitivement
à la façon
condamné.
éloquence.
d'autrefois semble
Undes repré-une
somme
D'une
comme
période
lerestedenotrelittérature
incertaine est assezcvidées
13..ri,lesvieillesformes,
haotique.
de
îlaeniX!* l'éloquence sacrée.Onvoyait #u ployant lefe procédés de.polémique de ces î»îott^-I>ame, définitescaractères de l'élo-le genreduPèreJanvier
dela conférence Lessentants
sontpasdes d'éloquence lesplusremarquables decegenreleur romantisme, s'étiolentet se dessè-
doXWsiècle,lesprédiôateate es- adversaires mêmes, lesdeuxièmes en ten-quenCé sacrée. Lasimplicité, laclarté,tel- sermons n e direct*
conférences doutel'abbéThellierde este t émouvante chent.
am. caineet D 'autre part, l'éloquence francis-
pagnolss'aiderde 'précieux aCCesSoife», -tantdecon ciher'l'idéal démocratique «ttù lessont les deuxqualitésmaîtresses qu'il sermons, cesontdevéritables PODdie-, oratorienne réduiteà uuecon-
M&ftter deschaînesquandIli;pal-làiegt religion. Ainsi au 4tvtïi# aiètJ.e,lesprédl-«réclame duprédicateur : « Cette (c'estd'ailleurs
clartéConférences letitrequ'illeurdonne aucun ville. versation collective
4eT&ttterÇiénlonccr
,':teàftlè icfcïr
d^demis -avecun..t'- cat«urs
-4uvrè4i.:MIft, imifair âques .
se
, i
piquaiehtd'êtrede»scient!-,pleme
âes^tysicknt.la^iâàsièiades e4éfe
entycloipédiètes sous Taftonaft &«de
4Unmptteïlé
Aujourd'hui estd'autantplusnèces-d'untontrèsde
que Viqnorance enma-
Etil cite
Notre-Dame
soutenu.
de Paris)tI
Lesoratoriens ontgénéralisé
thode.Pourrendreplu accessible
cettemé-
familière
vialitéet manqueencoredestyle.Hfau-
draitun grandorateurpour mettraau
côtoie la tri-

fé;O,D
_è'àse
époUVMftéS lei deteiR1aitditaà-
V*?a&lawtoiefép' tesfirédS. jutHetd'étïe dM;libérauxset des^ortianti-4ïàre defoi estplusuniverselle.
lesdeuxvers de Boileau » : 1t
** ligion,ils«'attachent à prendre p
la re- point
our thp- cetteformenouvelle d'éloquence re-
liWs
r«>rwentwit
It
lltfMtts,tàtOt
'iM1œ8 figurant
:leèofeilTirant
lagrâce,
au*emveiiles ques.
ptlîfire
allégottès les'f1ItJOD-.:Leromantisme
pare^enh.'pleie ^éloquence
leChrist,te jourdont
ètc*.fcepftfïe
o n
dominait
sacréc.Lesgrand
foftmissait
imto-kitgrs4i*HM#tres du au
<een
«néon
Haoâèlèa
1914
ftensions
séniinaireles
; et iitit î'otttonçoitbiens'énonce
ÉïM mots yo»nt'
«IJte.élevaienttrès Simple,claire,élégante,
le direarrivent
cllllitc-
aisément.
A lagrandetraditiondominicaine
[merit,pendant
ciscaine
4naisdépour-peutconsidérer
et en parties'opposent
tresgrandes traditionsla tradition
et la traditionoratorienne
en
fontmesdeleursconférences
deux-au-actuels
fran-à dégager
qu'on;lesvérités
; possible.
quedescontingences
é ternelles
blocetquiestprésen-jaillird'unsujetmédiocre
dessujets aussi ligieuse.
rèncontré.Cegrandorateurs'est,toujours
de ractualitéFranceBossuet.
de l'tise, à faire Cette
lesinquiétudes
dans chaque
Toutleurartconsistefoisqu'ils l'a fallu.Il pays,
Maasillon
foisencoreil rueferasans
toutesles
s'est appeléen
ou Lacordaire.
doutepas
=&i finà cesallégories
dela littérature profane.
trqp;nètteamm
peut-être
4e^«cwtfoéUqfue'
eirreïèvent-ils
rotattntiqtteH vued'émotion et de v moelleux », telletement représentée surtoutpar desont.. lesplusprofondes,
encore. les apparaîtla manièreoratoireduPèreJan-rieïïs.Cettetraditionpetitserésumertais] ttom.C'est?eqat tmfatWrtsa lesplushautesasptra-
pU nemplej
défaut.,.Mais q u'ilriehâte !
MkjantinORDIEUX.
1
., .J, (,
LES BEAUX-ARTS
GÉRICAULT heursquelesarts ontpd éprouver,
notretemps,la mortde admirable l ; de
Géri.
le Mu dans la futureModerne uouvantes, maisencore
tationslesmoinsaudacieuses,
quis'enpénètre,
danssesmanifes-
de disouter
interdit,à
l'orientation
cault.Il a gaspillé
extrême entout
deschevaux
;
il ta,jeunesseil était
n'aimait à monter
entiers,et il choisissait
que
les
plastiaue
l'espritguidant
convictions
ou lescette littéraires
main.« Degas,
de
dis-
EntreDavidet Delacroix,
libreréaliitne,contemporain
infantdusiècle, comme
l'Ecoleet le161elleeût convenu
Musset
de Byron,un Baudelaire,
émotifet l'âprepoursuite
à un Petrus
chezGéricault
du réaliste,
Borel,plusfougueux.
manifeste au moment
pouvait
Il reconstituapeine presque
Je L'aivu plusieurs
oùil montait
lefaire quepar
:
d chevalil ne
surprise
fois
; DEGAS >
descène, le repos a
tiguedanslaloge.L'illusion
près l aclasse, ou la fa-
cipled'Ingres
q ui
nanteformule
duballets'éva-manuels
»
un de festraînent
ifaits
peut-on
comprimés
d ansla
lire, en
de jugements
savourant
presse.
d'unsiècleà résumés
tout
Eton-
et à
sensibleavecexaltation, et, comme lui, demême, scrupuleusement, lesphasesdu àmonture. en selleil étaitemporté parluisa nouit. L a féeest créature l asseet ! Degas estalléà Ingres comme
rapidement emporté, Géricault représente drame et pource, lia connaissance Unjour que je
avecet sonpère,il nousquitteavantle des-dînais avec une légen-Renoirà Ruhens, Racineà Sophocle, et
lessurvivants. voicilecontraste, entrel'impression pénétré J'ensei-
de la peinturefrançaise, le paroxysme.
Salon de1819, le tableau f it sert pour aller au Dois d e Boulogne. Il Le nu appelle une réalisation ptastique, daire qu'elle a crééeet laréalitéméméoù gnement Boïeldieu à Mozart ! Il acontradictoire et
Néà Rouen, le26septembre 1791, c'està Exposé au
moinspourla révélation d'unetempspart comme un éclitii-.- n'ayantpas le deprimeabordcontraire auxloisgénérales un la découvre. Lemotde réalitéamène seulslesignorants d'ailleurs si
Parisqu'ilfitses études,élèvedeCarlescandale, nouvelle l'outrance d'unsoir,ede se retourner pournous direbon-de l'impredsionnisine. Pourtant, aprèsle "eluideréalisme. Cependant Degasn'estque passionné ontunifié d'In-
Vernet,puisdeGuérin. esthétique que par réaliste. 11 s'efforce à gres, e n de son artet detoutce
L'Ecole
;
Française
fiela noblecomposition,
klesformes copiées
perpétuait un davi-spectacle
tiismedégénéréony exaltaitlesvertusetdéplacé
dela perfection
l'antique,
que
tresd'histoire,
certainsdéclaraient
milieu
giens,deleursnymphes
d u concours
au de leurshéros
etc.
hideux
despein-
mérovin-
lebon
nous
t moide
vieillard.
entendons
nait au degalop
me
: :
un
il
remettre
Aubout d
à table avec
edixminutes,
grandbruit; il reve-celui-o:
lui manquait une des
lavait
schisme
queli l
Renoir,
nous faut
demeure
voici
b ien
le cas
compter,
trèsnettement
derécolediteducaféGuerbois.
Degas avec
malgré
le-
que
en dehorsque
pasun
traduction
maleà
servIle.
ne
La sorte
pas
causentrhébtudeetla postureani- garde
i'effort,
la
d
seconde
evient le
de
centre
l'effort o u
une
d'avilissement,
après
d'uneillusion
quis'attacheà un uléticr.MaisDegas
cipe
songraphisme
hiéroglyphique
S'ill'enrichit, cene
ne
particulier,
sa
fut
nouvelle
que selon
le prin-
langue.
sa na-
sur onvou-
discrète, Même Gros,prétendit-on, murmura basques son
: serré habit son cheval D'esprit dfisnique, ayant toujours c on- desesintentions.
lait quela couleurfùtlimpide,
Il faudra luitirerquelques palettes de je ne saisoù,et luiavaitfaitper. servéprèsdeluietregardé comme plastique
l'unede l'aboutissant, etledépart,enmême tempsque tureet lesexigences
vans heurts,sans clair-obscur, ans tons « drecet accompagnement nécessaire. Un sesmeiHeures œuvres unecopie del'Enlè- d'unearabesque inédite. LedessindeDegas n'évoque lesten-
pas cédé
sang. » LdgarDe-Saisirleleprincipe exact,tationsvoluptueuses
furs.
Géricault,
contrainte
incapable
apportait
de subirquelque
au travail un tempé-
LaMéduse, exposée en Angleterre
sible pourun shilling,rapporta17.000
a ttribuer
etvi- accident
minante
néesdéjà,
de cemort.
desa
l es
genre D
accidents,
fut la causedéter-vement
epuis plusieurs
suites d ela
an.
dans
fou-
desSabines, dePoussin. comme
plier à une
ferait un
expression
du mouvement
instantané
«d'art,sans»doute et le
! Watt
c'est
eau.
une
P tud'hon,
recherche
auxquelles
Géricault,
souvent
ont
:
Ingres
angoissée et
Sonmaîtresuivantan- gleterre francs à Géricault. Faut-il à ce Maiseninversant et enprenantlemoyenuneconsultation Recherche
ramentpUSiODDé.
xieusement sesprogrès versunaspect neuf succès ? Il devait
ledépart d eson auteur
se plaire
p our l'An-
dansceipaysLout,
gue qu'il portait e namour
avaienthorriblement
c omme
Compromis sa pourlafin,od'un na souvent donneà Degas la aussiquenettepeinture
du souvenir.
changeante, tra-
îlela peinture, étonnant en cetempsde où la sélection produit d'incomparables santé: il neseprivaitpaspour celatout psychologie photographe désabuse.
puisse a ussi vaillée.soumise il lal'orme,où sur une
chienset deschevaux à faitdu plaisir
d'unerarearisto-jour,dansune demonterà cheval.Un Nulle f olie qu'une œuvrene même toile, un même c arton, heurte-
se jamais
cratie. promenade (i Montmartre, victorieusement, démentir 1 rontdesprocédés que l'onn'avait
Si à Paris,il hantaitlesbalsdebar- chevall'emporte
tonmalheur et lejette par terre. Après s 'êtreappliqué à l'école d esche- unis : peinture à l'Imite, à la détrempe,
rièreet lesguinguettes, s'attardantjus. Lecontre voulutqu'ilportâtpar terre, \aux, desdanseuses, desouvrières, Degasnu pastel.Pastelliste d'abord,endessina-
qu'ill'ivresse, à Londres, en compagnie ou unepierre,ill'endroit delabou- commence, vers1883, cetti* étudedu nu teurd'instinctet de race.poudre Degasa su
cleabsentede sonpantalon, où se tcm- féminin quilehantera jusqu'àla mortet lierle?autrescuisines à In deses
vaitun bourrelet, qu'ilavaitformépoury
dé- le confinera danscetisolement définitifcrayons etorchestrer
dessymphonies, avecdê timbres nou-
suppléer. Cetaccident lui causaune oùonl'a vuse retirer.Ladernière expo- veaux tantôtd'une pu-
viationdam:l'une desvertèbres, laquelle sition impressionniste marquepour précu lui reté presque c lassique, tantôt d'un irn-
n'occasionna, pendantun tempsassez l'heuredelaretraite. Etpourtant, la noto- dedissonances oùs'évoque, toutà.

|
long,qw. desdouleurs quine furentpas riétén'étaitpasloindeconsacrer Partde coup,et bienaprèsleqtempshéroïques,
Biot le servage.ierévolutionnaire d'autrefois.
unavertissement
>.-tDupuytren
malétaitdéjàpresque
fut condamné à
suffisant
s'en aperçurent
rester
dudanger.
quandle
remède
sans moins
cotlché, et
; il
ce peintre.Degasendédaigne
Aussiva-t-elle
êtremoins
plusspontanément
choyerl'expression,
profondément
typique,
peut-
fouilléemais
de Toulouse- Vient de paraître
FrancisCARCO.
d'unan après,il mourut,le 28janvier
1824.
11avaittrente-trois ans. futacquis
Lautrec.
Degas
l'intimité
associe lareprésentation
la plusabsolue
dunu à 1
dela femme. Il
LE 1
LeRatlealt
le gouvernement
delaMéduse
pourla.somme
par
deG.000 nenousla représente qu'aumoment
ellese faitFLORILÈGE
où,

-
LeChatBlanc mêmeavecunedomestique,
francs. seule,à satoilette.
tntrefroideur
iâit-il, esthétique : «Vouslaites, di- .* Pourcepeintre, elledoitabdiquer toute
Jetravaild'uninsensé.Jele crois datelénoque où la jeunegas n'était pasun inconnu à l'époque où coquetterie. Enjambant sa baignoire, ac-
bien,observa plustardGéricault,
tais-jepasavisé
LeLouvre,
d 'ymettre
enrichipar lesvictoires
ne
del'énergie)1 !
m'é.
et
DeGéricault
peinture se séparedel'lnflumwe
Ilfutlepremier
Renoir,
deDavid.mentcélèbres. Pissaro
desontempsà exalterla Paris,destoilesoù lesrecherches
l'individu l'école.
e t Sisley
Ilavait p
d evenaient
eint,en Italie
juste-
et à croupiesur son tub,s'épongeant,
suyant à
dissi-tée,maladroite,gestes g auches
poussant
pénibles,
oulaborieusement
s'es-DES
voû- REVUES ETDESLIVRESI
lespillages de Napoléon, luioffrait, d'iné- prépondérance de sur leiïrinquiétude sousdebelleshar-lepeignedanssescheveux, laissantpen- 1Magazineillustré
puisables modèles. Il copiadesCaravage, PourGéricault, la peinture ne fut pas mulent
monies ingmtes.Or,l'anxiétéprépareà dreau boutdupied unesandaledissra- del'élite
Titien,Rembrandt, Paibens,Velasquez, but,maisunmoyen.
unLac-ouleur à l'indiscipline.Et,dès que l'exemple deMu- cieuse, la nymphe deCabanel s'esttrans- LIRE
etc. servant uniquement com- uetdéclencha l'offensive, Degasse railiaformée ménagère quivientdequit- dans Deuxième
Durantlesvacances, étaitnéesa pas-
Monain
poser dela vie.
L'exposition actuelle, à -la Galerie Char- bien viteauxnovateurs. Siloin que sonter sa enune chemise. Cette personne attentive son Numéro mensuel
eionpourles chevaux. C'està pentier, révèle à quisouhaitaient un tempérament, ses certitudes leplacent des auxsoinslesplushumiliants » (t)a oublié AVRIL
qu'ontrouvera 5011 seul p ortrait,le repré- ceux scien-hardiesses impressionnistes, iln'hésite pas n'ajamaissuqu'uncorpssemblable au
sentantAgédevingtansenviron. Il s'y retourau davidisnie,
tifique, pour lesquels
it la peinture
lequalificatif peintrecependant à se diredesleurs.Enfin, il en-ou
alenrésumela plushauteferveurdes
révèle,fier,élégantet fin. treprend 'lecombat
oùfut lapaix,sibienquepour plusretrouver
ne manièred'unesthétiques. Etcependant Degas s'acharne La Pensée francaise
Sonpremiersuccèsfutà l'occasion
Salonde lbl2.causépar l'Officier
Chasseurs
du
de
à citerai,et lui valutla mé-deCharlet,
dailled'or.Danssonesprit,lesujetoffraitlads,partageant
moinsd'importance que l'objet-
il
traité,un mêmequ'unesoudaine
fréquente desjockeys,
leursorgies.Il homble
mélancolie
des
l'ait
detempérament
levéritable
et

la mort.Dere- gonzac.
ce n'est n
maître
i
Prèsde Géricault,
queluidoivent
semblepéjoratif,
David,
d elapeinture
ni Ingres.
nouspensons
Delacroix, Daumier
moderne
à ce
Claude
et ses
Monot
admirateurs
poursuivant
et Se-sarisfei'ont jamais
* la
unefoisfixée Degas
destentatives
e t rêvant
demeure un
sur l'inconscience
d'unevulgarité
quine le l'artiste,lè peintre,
dedétruire ou fortiste e t que
s
de
pourlepeintre Onpourraitcroireque l'uniquedésir
ans
son modèle.
réserve
lelithographe,
lesvingt d
a
ernières
obsédé
l'aqua-
années
desonlabeurne furentqu'un(dle-lonnc- folie. -Prière à Ruda
:
et l'infini.-Un grand
timide J.-J. Rous-
seau. L'Art et la
chevalheunissaHt,
Géricault
chargeant
est passionné
tousmus-pousséjusqu'àchercher
clestendusc-td'unaspectscuLptural. touren
devie,detra- mondaine, France,il reprendsonexistence
maisil est.las,et, un jouril U.U e
FELS. derefaire
1.-
laplupartdesesœuvres.
Ilsuffitdeconnaître
deDegaspourconstater
quelques réalisations
qu'entre l'impres-
ment desolutions
me.Maisil nousde
provisoires du
paraitvaindenousattar-
problè- -
vail.C'estun mondain. C'estaussiun tombe decheval. Unabcèssedéclare p ro- sionniste et son art, 11 ne novatrices. l'examen
pouvait e xister derà causespossibles et de génie de l'Amour. -
athlète,il montedeschevaux entierset chela colonne vertébrale. Il se fatigue, qu'uneliaisonde sympathies nousen tenirà unemisogynie quipeut Comment nous sont
r'amuseà lesmaîtriser. l'abcèsfuse.Aprèsplusieurs moisd'ac- Unpaysage deSisley oudeGuillaumin, est n'avoirquedesrapportsincertains avec
Il voyage en Italie,on l'y fête.A son calmie, et se croyant guéri,il prendquel- GALERIE B. WEILL 1 une innovation. II.seborneà suggérer, à l'idéalde Degas.Protestons simplement parvenus les textes
retourenFrance,il trouval'opinion pu- quefatigue.L'abcèsreparaît,il fautlui I 1 proposer, danssonsentimejit coloré,un contrecettethéoriedulaidpourle laid latins. - Les Anes vo-
delafré- fairesubirplusieurs desensualité visuel le.Mains exclu- dont on alui infligé l aconception. Sides
bliqueémuedurécentnaufrage opérations, c'estla
! moment
gateLaMéduse,
accusa
capacité
quise rendaitau Séné-cariedesos, et le 28janvier1824,
gal. et dontquelques
trouvéspeitiuà
lecommandant
quil'avaient choisi,
hommes
deLaMéduse
et l'onrenditresponsables
c'est-à-dire
furentre- raitlejeunemaîtreduréalisme.
en mersurun radeau.On Delacroix
d'in- L'histoire
ceuxtristesexemples
l'adminis- artistes.Voyez
notedanssonjournal
de notretempsprésentede i
delaviemalheureuse
Gros,quiavaitacquistout
mou-
:
des
Exposition de
PEINTURES allusion. I ! sif,lesouci

!
mêmes.
une attitude
d'unDegas
Degas,
et,
presque
par
Ilenchaîne
unethèsedecommune
varierselonl'époque,
nous
làmême,
relieà nous-écrivains
toujours,cherche
provoque
sujetà d'autres,
sonplasticité
maisqui
une
quipeut
subsiste
déchéances,
re d'une
à intention
Il
loindetoute
timée p
ontvolontairement
odeur d efosse d
de cetordre,mêmetransposée
arune
hantise
cruauté
o
s
rdurière,
péciale,
accumulé
lestares,etsaturéJ'ntmosphè-
'aisances,
voire
n'a pu
les
jamais
légi-
suf-
lants.
Marie,
baguette
- Cassandre.
Hélène. - La
divinatoire.
trationdeLouisXYIII.Géricault
pour sujetLe Radeaude la Jléduse,dans unemare ;
choisitce qu'ilvoulaitfet qitiest allémourir
Léopold Robel't, qiCon Louis PAVIOT
par entière,toutefois,
1 estconçue. à l'instantoù l'œuvrefireà expliquer
prêter
quoiquece soit.Sans
d'antrebutà l'undeshommes les
etc.
:
i
moinspar passionpolitiqueque pouradoraitetquis'estcoupé la gorge.Prud' Renoir peintlafemme plus fermés
La dedérouter quiaientexisté, queleplaisir 35illustrations magnifiqass 2fr.50
trouverle cadred'attitudes pathétiques hon,quin'aJamais étéaccepté p ar les transposition dugroupenueaurepos.
des Baigneuses ses contemporains, neconsidé-
exprimapar descorpshumains, tordus artistes desontemps,estmor!:définitive- sculptées à Versailles d'abord
n'estqu'uninterlu-ronsledessin.que i ci l'essentiel de sonœu- Abonn. :Un:a'essai
ui,l'r : i^uang'-i-, je ïr.
par la faiiuet la soif, le meurtreou la mentassezmisérable
travailla
mort.Acetdfet.ildescadavres,
Beaujon,
que=-
tantmême
dessinant
qu'ilgardait
die!.luijusqu'à
à l'hôpital
empor-
putréfaction,
desdébris anal-oini-
fameux G reuze,
avaitétéimmense,
cet
estmortlittéralement
et peuregrette.
homme dont
Le
la vogue
j DU26 AVRILAU110
et avecjusterqison, <46,RueUaffitte PARIS vement.
danslamisèreet a!
été-misdansla fossecommune.Il faut
MAI
j de.Lesmodèles
couchés.Degas,lui,
premier
course.
:
de Cagnes
Deuxtentatives
effort immobiliser
sont.assisou vre
veutinterpréter
dominent
lemou- Il :
esttoujours admirable
dansson vresi hautquela magiequien émane,
:
un chevalde nonseulement
Unautre,d'espritpluscomplexe
etplace
dansseshardiesses
l'am-
ouses Editions
AIlUnll.
(.«oit
un--l'tj'ij).
de ô
ESCULAPE,
Compte. ùlllluc
de:im"i5
l'r.p'ij-
1fr. *l'r.
.le
15,r. Froide
postal Parts
tirriïi.
vaux
€33.27
nonpar perversion, quelque attitudequi placerait nombre desplusgrandsmal- figerla pose,legestedela danseuse hors (1)JeanLouisVaudoyer. m

LES LETTRES DANS L'EPOQUE jusqu'à :


:%M
unemortelle
déprédation
delavé- Quelques excellentsespritstels queet Maurras,ne laissèrent
pasassezvite, qu'ilsdeviennentla femmeet
ritablesolidité
énergique je maistroptard,deflairerdansleursmé- piresurnosêtres,a étérégléeasonem-
individuelle.Barréset Maurras,aidésd'ailleurs, vecunÍ
Dèsl'école, durantle siècle,uneaccu-suppose, par leferment dessoinsdeleur Lhodes, insufflées deGœthe, deKant,puis sortedevolontaire mécanique tranchante,
mulation
capables
d'enseignements puérilement in- éducation privéeet l'avertissement
de tremperle vrai ressortde deleurgénie,se sont,biendébattus
secretdeSchopenhauer,
seconde m un composé
ain;transpositions
froidet de bienperspic-tce
enfinqui déelanciiement,
et cerlr.,
biencomposée
m aisqui
dans
chaque écolier, maisd'une grandeetfaciletre lesenveloppements psychologiques con-et échappent à lagénération où.ellessepro- son man-
que peut-êtreun P(lU systématiquement
-
V. Barrès et Maurras deux aspectscaractéristiques
de la destructionromantique
efficacité
dans
s'ils'agissait
pentesavonnée
lesuperficiel et le
del'engager
du sentiment
relâché,
surla littérairesambiants
abandonné
prélevait,
jeunesse
sursauts pour en
du xix"siècle.Leurduisent,maisquiréussissent
estpleinedesmarques
sortir, de même deleursprendrela curiosité
dela
que des tes;quirechercheront pourquoi
malà sur- d'unecertaine
critiquedessuivan-
religiondontcesmessieurs,
nourrisde Docteurs,
desélé- tionestpratiquement,
croientquela ques-
quelquepeu in-
legrossissement
pour précieux du à l'âme, le poigne d esphilosophes promulgateurs ments d esivigoureuse originalité digne.
temps qu'oneûtvague
pu employer règles, sèches e t systématiques, del'intel- vaient d onner, chez desesprits s nepou- Maurras
ystémati- construit lapetite guillotine, et
bienfaits généreux aux
d'uneculturefermede ligence et dola sensibiJiM, dansnoscon-quement assimilateurs, que dogmes s
froidsilyfaitpasser !'<Amantde Venise.
Surcequej'aiindiqué
Barrés,et.comme
porta.ceseraits'égarer.
del'humanité
à rencontre
au moins
de Auprès
il secom-corps-à-corps
à monfascinateur
sens,d'yprendrela raisond'unamoin-teurspourleconquérant,
deBarrés, nousavonsregardé
d'unhomme aveclemonde
et avecla politique,
le défense
glorifioa-
etdefond.
Lesromantiques,
tellectuel
maisauxterri- blespropositions
de l'homme
allègres autoucher
fait,sontdétesta-
anxiétés
in- milieux
sensibles
:
tactsaveel'art,l'histoire,
plusfaits
prendre
Taine,Renan,Soury;
pour être
émulation.
goûtés
lespayset les et pertedevie.
écrivains Surlesécrit-! deBarrèset deMaurras
ontpesél'Ecoleet lesécolesdu siècle
quepoury Leursreniements n'ychangent
;
rien. M ê-
Sansdoutecelaébranle
telliîenc-e.etprésenie
flexions
mais garde
et ravitnotrein-
unesomme
et bien arrangée:
notre
deré-
fond
aux une duprocédé prenons que cœur sePrin-
drissement de sa staturegénérale. blesreverspourl'homme
Dansmonsoucicritique, j'avouequeje desa conscience.
dansleprofonddu jeunehomme.
moyens
C'estdavantage les Arencontre
d'unemesuredesoiet d'unfreince, qui s'assimilait
d'Anatole Fran- me cette culture a nglaise, si méprisée
dispute,et qui Barrés,avaitdonnéByronà sa voracitécessedeClèvcsL. par d'autre sorfe.si nous
: pensons
Et puis Rousseau,
à la
La-
ne m'embarrase pasdejugements autres AvecBarrèset Maurras, quasisolidai-critiquequ'ileûtfallu donnera la Jeu débitait desa plume sans
molledecalligraphe, intellectuelle. Onestsaisi,à lalecturedes clos,Stendhal, leursdo-
spéculatifs n i de qui dansl'action, ontcommuniqué
une purs, pour-res
ce dejuges l es
nousentronsparmi nesse, quedesélémentsplutôt excentriques deshommes de sensplusriche,Barrés,ouvrages d. nojdeuxFrançais, decequ'ilscuments authentiques. deçadeno>
et.enHeine,
raitprêterà l'agitation morose pluscertaines victimes delasouple et ajoutésà sonenthousiasme naturel. Maurras, tapaient du talon,dansl'impa-n'évoluent pointdansleursensoriginal.Ils grandsclassique?. Chamford. Scho-
romantique. en- L'impression
improvisés,
analyses.
Nousommes
valetsdsephune
excités parla lecturedemesveloppante
à un pointd'étudeoùles leursnatures
sont déportés. Nous mise
nous sureux
tyrannie
Barréset Maurras,
opposées,
decette
respectivement
ontsubila main- Recouvrant
maladie morale. Leurnos grandsmoralistes,
sentimentale
selonpesaitsur le sensdesclasses.
lesconstructions
romantique tience d
solidesde centsécrivains,
millebranches
e se sentir dans
dusiècleou deseslointains
ceux-là
l'esclavage moral
ouplusré- par
romantiques-types,
ceux-cidoctrinaires,mais également
paraissent tourmentés,
l'important
laparalysie
ter la mélancolie
: certes, mais point penhauer,
personnelc'estl'effetde volontaire
romantique;
amèrede Barrés,et un pas
ontaiguisé l
.es
carabindel'amour.
il y fautrappor- Aprèstout,mélions-nous
seulement les planches
j;:i-alpeLs
essralpels detout
si cene sont
anatomique:*
occupons, et désor- vies'estpasséeà lasubir,à lacombattre,
un tourment
nous nous
mais,de certainsécrivains
occuperons
intimeévident
chezlesquels ou a s'yprélasser;
révèlequ'ilsadversaires,- à
victimes
êtretourmentés : printanières
des
enlieutenants. milesquelles
et
s'étendaient,
mélancoliques rêveries
lespassions
ou mille t
nocturnes,
tordaient
ableaux
par-
leurs
grandsvoyageurs,
lations
les
n octurnes,
ruinescélèbres.
excités, ou deconstel-
d'ensoleillement,
ou Par tant d'efforts sur une
l'effervescence
sorte
tique
deperte
urgent
spirituelle
fondamental
deMaurras.
del'aplomb du
delaraison
dans
cri-
sensob-
Musset,
agiteet
deMme
qu'on
doute
SandetdePagello
mèn..,:
nécessaire
d ans
qu'on
unechirurgie
sectarisme spi-
ontpris.avecleurdestin,
matique. un contact dra- Ilsontfléchi jusquedansleslieuxcom-frivoles, leurslanguissants, ou leurssom-qu'ilstirentpours'endégager, Barrèset jective;dedissolution dela tramesque-sans rituelexclusif naissant audeMaurras.
Ce-seraitbienfâcheuxque revintà blic munset tes piresutopiesdu « bienpu- bressoucis. Lesgrandsaspects fondamen- Maurras ontbienconnu, eux-mêmes, com-lettique spirituelle. Dansle livredeMaurras, letraindela
vouloir comprendre (cequieût tauxdelasolidification delaraisonfran- meilsencomportaient l'ascendant. Ascen- Soudain, aux prémices habituelles de passion et desmarionnettes
moi,chezquimonesquive entière del'opi-été,à» sans
leurspropresyeux,la dégradation çaisedevenaient d'accessoires incidents, dantquiparfois d evint sureuxune ty- l'âgemûr,après devigoureux de mené:
essais, quement ef onv sentsurtoutune
estméthodi-
nionpublique estla condition fondamen- de leursgestesdémagogiques) que c'est au prixdesgéniales et séduisantes déli- rannique maîtrise. Notamment, ainsi, s 'é- d esonde fux-mêmes, après a voir troide activité à étouffer lui-même les
talede pensée
Barrèspourune et d'écriture, dedénoncer danslaleçon
attitude,plusou moinsversoncaractère
à chacun desmoyens detrou- quescences cordiales deJean-Jacques, ou tenditsur Barrés,la puissance particu-coupscherché detoutes en leursforces
à pénétrertroisfantômes en
lesplustyranniques im-
propre dûtcelafairedespalpitations constellées de Chateau- lièreidéologique de JulesSoury.Barrèsl'homme, appuyés sur leslivresdeleurs plantésparuneépoque particulière dans
heureuse socialement, qu'ila menée com-alorsde lui notreadversaire, et tant briand,ou deVictorHugo,dontle lyris-se l'assimila ot toutesa viepolitique en aînésetdeleursaïeuxdusiècle, on lesvit latètedesécoliers desasuite.
me il l'entendait,au mieux desesmoyens, mieuxl que réside l egrand pouvoir de me entraînait dans ses nuéestousles débit.
futl'exact Ausurplus, l evieux maî- s'effacer décidément du bon et de-
desescalculs et desesoscillations mora-bienfait que leshommes vraiment avertisidéalsdela République. trescrupuleux écrita M.Camille
atenait Vet-venirexaltésdegestes,puissens, verser dans *
*t
Jes;au mieux desesvelléités, desesten- détiennent, et qu'ils peuvent à Bre:t, siècledu délaiement de tous tard, Barrès idées d elui,et des excentricités dogmatiques effectives
tatives;au mieuxdesesfaiblesses
sesartificieuses
sons.
ouparfoisvéritables
Il ne fautpasnégliger
de
et ceux-mêmes
rai- plustyrannique,
sens
devoirquela teursouvent
reste pourtant un jugeet
proposer
dontledébatdevivreestle lesétatsd'âmesurmenés
maischezlesquels
un
justeseLclairvovants,
conduc- apporté
un
lebo-r.queued'uneinterminable
d ans
dan?porainecaricaturale,
une
avait,comme
comète,
représentation
le sublime
contem- tion
q ue
la qu'illuien montrait
suiviet tude.Nefaut-il
dupessimisme
déroule-desréactions
s es
uneentière
pointsignaler
historique
politioues de Maurras
ingrati-dontlesformules
deTaine,
?
et tuelleet
:
aussilafilia-leurstendancesde composition
correspondaient
d'opportunité
Barrès;dedévouement
personnelle chez
Une autre
bienà ces seholastiques
spiri- détermination
grande
de
nante.trèsverbeuse,
àl'illuminationdu l'emphase
pesanteur
très
desambian-
était,enparticulier,
la beauté
fugace, d
une
trèsratioci-
ans
direction desécrivains vers le monde, ou leurrapidité d'impression. e-If
»der-.'îlexe ment f rançais quis'étendit de1789 à 1815 Il faudraitmontrer l'encombrement caractère chezMaurras. idéologique; toujoursildéploie-
y sur-
: venait,plusou moinscaché,du
à rencontre, échappe
t'equidétermine, pour
à leurvolonté;
e ux,
que quasianimale.
l'uneoul'au- -- **
déroulement
solidaire d e
original, où l'héroïque
l'établissement du Droitde
essai danslequelle natureldeBarrèset celui
deMaurras se sont d ébattus, dufaitdela «+
+ mentet du pathétique
convenue et poncive
: dela
c'est la beautés
manière insen-
trevoie,estunesériedecirconstances de Contre pourraitcomporter l'homme aboutit, sitôt que lesentiment de domination sureux desimpositions scho- Avantcela,n'oublions pasque Maurras sible doctorale. Hors,riendeplusétran-
leurspersonnages et des contingences, ceque d'im-la forcenationale fut
en asservir
accru, à la vo- lastiques, deleurs lectures, deleurs disci- avait c onstruit cet ouvrage type del'ana- vraiaspectémouvant desœuvres
sympathiqueshostiles,qui les fontprudemment
r
mmolliet se ou confier
péjoratif
dentsur Barrés,je veux
à la bonnefortunecroisfermement
monchapitre
notercomme
précé-lontéeffective
je et à notrefaillite. denous l'univers; pulats,dontlaplusgrandepartiedeleurslysehumaine méthodique, lesAmants de gerau
néesdugénieetdel'art.
Tableau r apide d'une talents littéraires a montré que leurs épau- enise, synthèse, a-t-ilécrit, 4e ma cri- Barrés e t Maurras ontétédesprison-
trompeusp,
mentparticulier,
replier,dansunsenti- somption,
ouseselon lescaractères.
à la fragilité,
maisaussià la légitimité
à la pré- convulsion
du la recherche généreuse de notrepaysverslesavaient un telfaix. tiquedu« sentiment et dugoûtromanti- niersrécalcitrants del'Ecole officielle; ils
librearbitre; de libre arbitre q ui,c hez d'unrégime r aisonnable et Chez B arrès,s'ensortir a étéle prin- ques, à laquelle lamoitié a u moins d e ma en ont transporté les marques certaines.
Cequ'onappelledignité, mépris d e
ou d'hierBarrés, ce
restaitsi incertain, humain, et de ce que rentrainemnt du cipaldesoneffort:il y mitunegraveet vieintellectuelle s'estdépensée ». Làest Harrèsa eu lesmainstoutensanglantées
la gloire, chezlesgrandsrepoussés sidétrôné dans
-..chez les Moréas, les -Mallarmé,,,'Ies le cœur,maisquis'affirmait danslespa- succès peutenfaire.Somme
sentlesthéories d e
decequepè- nerveuse
solidarité, inscrites sait, par.
âpreté.Maisquand
éclairs, il no
il y réussis-unedécomposition
rencontrait plus gestes d estrois
dela psychologie
personnages
et des d'enavoirvoulubriserles
lesplussi- Maurras, danslamême volonté
chaînes.
d'unesem-
eL
Sclfwob, lesRemy deGourmont.
tJide n'était passansamertume
cœursdecesmaîtres;il seraitvaind'ac-sourdes
ceptersanscontrôle ceque leurorgueil lé-
roles,parcequ'ildevenaitvolontairement
lesAndréforcé par lemaître,
aux testations profondes
cavernes
danslesobscures
de soninconscient.
avec
jusqu'àrejeterlespro- motsfameux, le sang dela Révolution
et pratique. et leuressaideréalisation
En- Devantles destins,l'hommeseul,et dessous
danstrois alors
sesmorts
neure d
:
quesonpropre
uromantisme,
delafirme d
s quelette,
essencemàélodramatique
ela
lavérité,
sa terreet
bien au-
gnificatifs
l'époque
raisonvive. MmeSandla «
destracas
proprement
vache
:
del'amour
romantique
à écrire»
iperson-
Musset.
blable
mi- nageslestrois plusfameuxamantsde dansla chaleurspirituelle libération,
sointhérapeutique
deNietz-l'unet l'autre,ladéroute
conçutuno
de
tellefièvre
et danslebe-
l'action, que,chez
gitimeblessé eûtpunousendonner ladé- ragé dans u n trop grave r eniement du sens lui-même, dans dégagement Epuisante surcharge les données sche, et Pagello l'Italien); ils sont démon- desoi-même est,
négation. humain,l'instinctmêmede censervation pour
sonnel bien averti son défendu per- schoiastiques,
desphi- que à nosyeux,patente, leursgestes politiques
Peut-être commence-t-on demieuxdis- devenait chezlui engagéà défendre e tbien telles qu'on lesaccumulait, lés avecdignes perspicacité, et une froideur
une du casuistePèrejésuitedélirants s'yFontgreffés.
ce lanthropies trompeuses, peutconstruire à sans juste économie dansleur échelleavertie, Lafindece chapitre, où nouslesver-
tinguer lanécessité oùjefus,danslestroisterribleet irréparable mensonge. son unique u sage, sa solidité morale, meil- d'importance. Etsurtout d éplorable le sens Kanchez. ronsau point culminant deleurépreuve
premiers chapitres LedramedeBarresfutdanscetteins- leureou pire,n'importe,
de ce travail,et bientabilité et son régime de direction qu'elle^ laissaient aux plus Maisdéjà,danscettepiècesibienmon-intellectuelle type,lesmontrera, l'undans
queje n'aipas cachéla nauséequej'en biend'endifférer, du tourmentde se réaliser, ou raisonnable, libreetviable; moquant tou- faibles comme meilleurs
auxattiraient, esprits, à téedeMaurras, leparti est prisd'enfinir son acharnement, et l'autredanssonéva-
avaismoi-même, de mettreen reliefla nerlasouffrante ou mêmed'endétour-te volontéd'empreinte extérieure, et la ceux que leslettres mais à qui bonne
une d'ascète,f ois avec l'amour, pour tran-
sa feu nescence spiritueIle. tels que les récents
dégénérescence de la moralitégénérale préoccupation, lorsqu'elle même. ellesfaisaientrechercher,
en France, moralité solidaire, malgréelle,apparaissait tropnécessaire et tropacca-mort Aulieu que l'exemple décisif a it été gnons c omplémentaires de pourcompa-
leurinstruc-
quillité
d'artifice de ses
et enfinpour
exclusifs
lelibre
pouvoirs spiri- représentants
desdeux grands
et lesderniers
e xcès, extrêmes
excentriques
et déme-
de la domesticité desMascarilles deLet-blantedansle grandéland'activité in- compris, c'est une pareille p rédominance tion, d esécrivains d ont le génie même tuels.
tresquien furentlespasteurs,
deleursmaîtres politiciens,
sous l'œilquiètedeBarrès,cet homme
financiers ou lièrement contradictoire
si particu-dessentiments,
danssa composi- défaillants,
tourà
delasolidarité
touracclamés
etdelafrater-
puis avait d éjàétéembarrassé
Chateaubriand, Sainte-Beuve,
ledoctoral
parRenan, :
Tai- d'un
Partir, comme
principe
il semble surés, s
qu'ilait fait, romantisme:
physio-psychologique
péciaux, du manque
de ce romantisme
po- grandeblessureouvertede l'époque,
d 'aplomb
quifutla
du

Fectaires. Cequej'ai montrélà,ce sonttionintestine. Satragédie survintavecla nité,quia faussé, dansuneexclusivité la- ne,Soury;personnages systématiques et, santquel'amour n'estqu'unecrudescence touteslesnocivités
lesdébrisd'une époque degrandemisèrecerliiudetvqui dutlui apparaitre unjour, tenteétalée, durant t out un siècle, lesétu- au surplus,significatifs de la considéra- del'organisme, avec, consécutivement, une greffer.
secondaires purentse
intellectuelle et morale; quecetteréalisation
touteslesvaleursvisaitdécidément delui-même luide- des,et lescommentaires officiels obligéstionpersonnelle gourmée, fût-cemêmedéperdition proportionnelle de la raison. Faut-ilencoreque le géniedesmeil-
originales, vives,authentiques, repoufr- interdite,à causedesdeshumanités; violences morales, renou- dans une bonhomie apparente, oùperçait et pousser celadans une histoire, métho-leursaitdûtrouver, àcombattre
Bées, méprisées oumoquées. Débris d'une rMg>ûngabilitég surhumaines dontcethom-velées dessystèmes religieux, leser- un certaiiitour de JosephPrud'homme diquement, sanscesze

';
(époque sinistrement déchéante. meégoï»t& et cynique, maisprudent, au- vice du e f anémique pour
souci r épu- d'Académie. l'intelligence
estsimplecoupdeviolence de leromantisme,
del'écrivain, lamarque dlla permanen-
raitreçq,lepoids pauvre etdelavolonté desesdévastations eneux-ml:mes,.. Et
de la jeunesseoùil estpermisdevoirun refusd'expé-ce
-Avecmonarrivéeà Barrès,
précédent, j'ai touchélesabords
térètplusdramatique.
lorspourmoidedégager
audChapitre
Il s'agissaitdès.
lecaractère vé-
truchement
'unIn- avait substitué
écrasantdesmains
artificiel de lui-même
à lui-même.
<
du blicain,
qu'ildebonne v olonté,
Aujourd'hui,paralt-il
mine,sesecoue, et
,
pleinexclusivement
etmaître d
denaïvetéet Lesmaîtresimmédiats
el'Université.
l'Université
vavers
dontétaient B arrés
s'exa-saientsurgirleuroriginalité
smiindépen- parmiun amoncellement
e t Maurras
d'une
ne
propre
lais- rience v
quedeségarements
sortede transports
itale, r efus quimène peut-être à
bienplusaliénésqueles mantisme,
capricieux naturels du corps e t
que
dontil
nous
Maurras,
puissions
dans
ainsi
écrit q
son
légitiment
gi-and
quecethomme
u'«ilavive
débat
lacuisson
regarder
le
avec ro-
amoureux
desa

-
ritablede cet écrivain,supérieur, par *. dancedecorps,et respecte l'indépendance ouatelittérairecommunément méthodi- del'esprit l esplusextraordinaires. plaieententantd'arracher unepointequi
Barréeet Maurras, soient-desesmembres, pouvait
quelques qualités
fectiongénérale
noms,parsa jonction
s ignitlcatives,
,
à la dé-
.U.,;.,
où il.s'esttrouvénéaa-ite,sontladernière
-"'-- pu faitsocial, dil daséle
tattoft
marasme
si différents
expression
- a,.op" eeerw
dela chutelatentessuccessives
d'unsièclede fermen-habitudes
m politique
désuètes
vis-à-vis
intellectuelle
desindications
du Pouvoir,
durégime.
que,
et des cevoir
a u fond delaquelle
quel'élément,
espritsbiendenotreterre,comme
:
on aper- Ilestà noter q ue
leplusneufetlepluschezBarrés,la questionembarrassante,
et failliesdela débilesolideleurvenaitdel'Est pourquoides voireimportune,
Barrèsmaisquivoudrait aux
chez Maurras,
bonsélèves
s'imposer
comme ledéchire
studieux, (Chupitrp.
auxhommes
».
à suivre.)
AndréROUVBVItr
Henri
,

aux
\i
BACHELIN
11est,chezlesécrivains,
ciauxdeParis» c'est-à-dire
cent,transplantés,de garder leur voltiger
meil estdes
Teniont
nièresmodes
premiers

colle à
leuhracines,
têteets'évertuent
tementestimés
cules:jelevoudrais
Jedéplore
imaginée
mainsdesvieux
bachot
au risquedeme».
d'expliquer

Néil y a --
petitemaison
chelinhabite
lemoins
tondes
devait
que

:
que

J'aimerais
déconsidérer,
comment

quarante-cinq
uneœuvre

bassduMorvan,
«aujourïhui
Batianoiles.
le séduire.
LAVIELITTÉRAIREETARTISTIQUE

:'"'J"J"_--j,.j1'-----J.ÎJ:.iJ.i_j,.-gr..w.'tW1:!.ÏJJ.îr""
EN
fiè"'c'ni
,..-

quis'effor-quinze
dans
sèvelesvertusduterroird'origine com-dequelquesjolie. femmes.
« parisiens deprovince

m'enservir,
pour
ple,trèscalme,a punaftre,dansun des comprend
quartiersles plustranquilles
d'unécrivain
ees,Lès
originaire
pluspaisibles
ans dans une
HenriBa-Morvan
ce
',
PROVINCE
"y":' \;":;;£,;',.
attendre
des'essoufler
il publie,
Labancale,
vainsd'esprit
plusieurs
cernaitendémarches
maîtresse
Aquelque
embellit
gesu npeu longue
Française.

piété
v

livreen1918,
des« provin-deHenriBachelin,

» qui, pointd'orgueil,
fontdes effetsde tementd'unbonfilsqui
à suivrelestoutesder-vieuxpèredisparu
del'esprit.Je re saissi les dumonde.
sontaussipleinement,
lesseconds
aussijus- Peut-être
années
sur

sontridi-l'âgeaidant,unecertaine
pourHenriBachelin.Lesplusmodestes,
la ccthéorie
jadisparM.Taine,
p
dumilieun, les plus pnulents,oparce
ne
rofesseurs,
soitplus,
qu'une
«ventdanslesvoiles
tdcherHenriBachelin
trèssim-cetteremarquable
deParis,Coq(1923)
u

LesRustres
et
Ona ditdeluiqu'il
le dernireétagerable.Il».estplusetmieux
bruyant d'unehautemai-clairvoyant,
Cequartier provincial impartial
Lesdieuxlares j'en- ciale.Ceuxqui voudront
le

Jugement
et
A ,,'L'ETRANGER
-----.:..:_:'.;.-----;;';.:------_:.-;..---' ';.
d'œuvre.
l«agloiretoute
d1910,
il

Péché
d'unedesprovin-vientdeparaître.Ettelest,croyons-nous,
deFrance. le commencement

lepeintre
despetitesse:
:
ce
cette
plusmoderne
miles « maîtres sur lestréteauxde
jurys.
Lui,sontalents'essayait
.qu'ilpressentait
tempsdelà,Juliette

encore
labeur
»
.,;-:",:':' (-::'

avie,plutôt
courirasprès.etle.
courte
en étaità l'âgeoùde?écri- n ouvelle
siègent

prudentes
toujours

desonsourireenfleurslespa. huitlivres
grises
Cette
oiréclore
pourfiliale cetadmirable
e

Leprix« VieHeureuse
d ela

tdepitiéhumaine
LeServiteur
Nouvelle
nouvelle
déjàplusde corps.Onsentait1 "'irle cité
roman. Maisil a fallucinqansencorenatique.
poème

futdécerné
futjustice.

maissansdouteleconten..

cependant
les

sentirsoutenus,pousséspar ce souf-
fledela renommée
nt
tourneversson
hommages
prit-ildecesuccès
assurance.

qu'ona comparé
».Etc'estacinq
construisit
trilogie

e
étroit
st
p
(1922),
d
desonoeuvre
e la
le
en

«
encore
Le
ignorémalgré
Revue

lorsque
rovinciale
LeChantdu
Vierge
nom

tardifs

qu'ilssont
besoin de

véritable.
peintre
qu'hono-
l'observateur
scrupuleux, lejuge
dela vieprovin-
connaître
q
.,'

que
: Elcakiiiîn HDiz
Quand
par-

Z'œu'vrc

se
au
ans
qui

plus
ui
et
laJolieCaballero
offraitsente

qu'est

u
Mme

au
Renée
del'écrivain

de cèsdelibrairie
années.
unhomme
unjourlassée
ellelequitte
assidu,semità d'Andalousie
leslèvresdeshommes.,,
Il n'en
et
tira
Ut.
Une
nés;elledevient

j esttrèsheureuse
.::,:'J<,t;}'f{"--'<"-"

': : .-;i_:.:"------------- -----";'---'-----

Il n'estpaspressé,Il préfère
--

Audaz
etl'œuvre
public
vaired'unefemme),
livre
f

e
a
emme
f
et unepartd'ironie,
------
imnniu¥imn(¥¥¥¥¥inrwr¥Yif¥¥YrrmYMYwiM¥iiuiAiuiiiiuiJUUuiiiiuuwiiiiiiiiiWMW¥Vvyrmrmvnrrrr'>*"">'n""r
UnécrivainEspagnol

'WWW-–
Lafont
espagnol

été
vient

enEspagne
que
rançais

l'un
sortie
avecl'argent
uneétoile
delabassesse
tmène
uneexistence
quand
dans
",

Mme

des
d
dans
u
ET,',
,'",

detraduire
ElCaballero.
n'apaspublié moins
K.
laSinVentura

prus
peuple
de-ses
de
L

g
,
-'------------ .:.:.--

un
Audaz.
afont

rands

desonprotégé,
une petite
depénitente.
lejeune homme,
livre

ces dernières
e
amante
music-hall,
v
pré-

suc-
ntretient

ille
;::'_:..,,

--_:._------------------------
'"****"*ivmnTrnnnnnnfrinnrm"*rn(VAYiiYïVTn"^TYrnvrrr>

Réflexions

El L'édition
sousla direction
,Cal.la sœurdu philosophe,
avecunepartdemysti-FoersterNietzsche,
décritl'Espagne fa- zainedevolumes.
présenter
fortu-ments,
mais
Nietzsche.
Le

Aquinze
dernier

latroisième
d

ans, i

poésieet, si possible,
soirs
ner,
chevet.
un poème
affirmer
Hoelderlin
kespeare.
p
quinit lesEcritsde jeunesse,
inédits,
aru

duphilosophe,
vine,un desplusintéressants
Cesdocuments,
excessive,
nettetélesdifférents
entre
collégien
detreize
quinze

ans,
e t
,¡"

Des inédits de Nietzsche pendant

sur rHistoireLittéraire nement


i'I\I\I\I--
complète
dedlx-sche,entreprisepar le Musarion

de

lconstate
période
desœuvres
deM.Max

ansl'ordre
recueilrelativement
notes,aphorismes,
posent,à côtéde sesouvrages
presque la majeure,
ces
Elleil vient,d'êtrefaitun tirageséparé,réu-
et
d'uneprofusion
nousdessinent
vingt-cinq
:
visages
Voicid'abordlejeune-filsde pasteur,

tiqueM,et,faisantpreuved'unesagesse
quin'estpasdesonâge oud'unman-
que
de «
de sagesse
s'exercer
» . Déjà
:
Mme
Oehler

Etie offrel'avantage

volumes,

ans.
à l'écoledePforta.Depuisl'âge
E

chronologique
completdes frag-

presque
c'est, o n
",

etc.,qui com-
partiede l'œuvrede
3

deNietz-vres

dela série.
avecassezde

il faitdesversromantiques.
qu'ilentre« dans
desonévolution

quien esttrop décida


dorénavant davantage
d'écriretous les
il saitse passion-
avecforcesespréférences
et Byronsont ses livresde
Il célèbre enversl'œuvre
Levoici,unpeuplustard,fon-
dont
tous
lede-
presque
deNietzsche
mentcertaine
l'histoire
nements

LA FEMME DE JUDAS
poé-

à la

deSha-

MAX JACOB
.::.
-i
l'étuded'unindividu

qui n'apasdefinlogique.

LIB-GRASSET
estrelative-lologues"
et dunnedesrésultats.
estla science
dontbeaucoup
sard,c'est-à-dire
Onabuseaussides étudeslittéraires.
Qu'onliseShakespeare plutôt
qu'onlui a consacrés!
lirePlalonl
q ue

ALBERT MALAURIE

'L: "::

=
'F

---.w--------
ŒUVRES
Maisnéanmoins

lesli-
Verlag,Il esttempsdetrouver justeéchellechaientà l'humain

achevés,
de
et devaleurs
lisabeth

le dreni pour
pour
comptedéjàunedi- dejeterpardessusbordlelestinutile. ceci
de Nietzsche, on levoit,
laphilologie
une
lesécritsd

ni
el'antiquité
nese montreten-
pour
et

lesphi-
voilà

DE
Comment
commencé
sontdusau hfl-çaitexceptionnelleimtnt
sontnésparun eTlchaî-

commpnt
et
debonpourNietzsche
luifaireécrire
se fait-il qu'il ait
danscetordred'étu-
d'unefouled'évé-desunecarrièrequi,dès1868,s'annon-

frèreétaittroporgueilleux
faire
tout
bien
que
tout
Qu'onfasseétudesdèsqu'elles
pectives
cequ'il
Nietzschese

l'Origine
f

à
brillante?
répondMmeFoerster-Nietzsche,

luiouvraient
philosophiques, dès
laphilologie

6.50
l'universel

dela
eutdu

Maurice

Vient deparaître

- --.::
« C'est
quemon
pournepas
» C'estsur-
aisait.
réconciliait avecses
despers-
qu'elles « tou-
». Et
moins
qu'elledevait
Tragédie.
BETZ.

.==7=
I
I
I

1
tendssonhumble mobilier defamilleet tarddanssa minutieuse exactitudela vie dantunesociétélittéraireoùil ferades
sessouvenirs Jiy sontpointdépaysés à raientrecourirà un témoinplus judi- conférences sur Byron,sur l'histoire, sur
l'extrême. Ils'yestretiré avec eux, cpeine
ommecieux. le librearbitre,sur « l'élément démonia-

,. ,».
tinsage, t rès haut, t rèsloin. C !est à
Bienou BachelinSon œuvre véritable commence. Henri queenmusique Acôtédedissertations
silemurmure delavilley monte. a 45siècle
ans,et il n'enfaitpoint apprêtées et froides, onrencontre desno-
presque n 'y trouble l e songe c ontinu o ù mystère en ce d egénies prématurés. tationsd'étatsd'âmed'unlyrisme sincère
ment ensilence lesfigureset ledécordu «Cestl'dge,nousdit-il,oùl'homme est etpersonnel, decurieuses pagescomme ce
paysnatal. -
en possession complète
----- S'iln'a plusles impétueux
detoussesmoyens.
de lai romantique poèmesur Saint-Just, et, au
Cesfigures,ce décor, il tesporteavecmilieujeunesse, élans lendemain du coupd'Etat,un portraitde
lui.Peuimporte, à vraidire,le il marcheavecplusdefermeté
les regarder III où déjàle jeune.Nietzsche LEROIDEBEOTIE 7 95

.,.,. "",,0.,.,.
qu'il
danss'est choisi pour vivreetdeconstance ; tout s'éclaire en luid'une Napoléon
le secretdesa mémoire et dequ'il
son manièrenetteet toujourségaleà elle- reconnaît à l'homme d'exception le droitFILIBUTH ou LAMONTRE ENOR 7fr.
cœurilL'a-t-il seulement choisi? Où même. » desemettreau-dessus delamorale etdes
soit,
son«
demeure
souvenir
soi. l'embrassais
àd'eaux,
proposd'unretour
de préset
brusquement se
lui-même,
et tenanttousses
a
plantait,
n
appliqué
d'uncoupd'oeil,
pays,
deboismontants
comme
sur A cetteclarté,
biensen le couronnement
dit-il,solide
le décordations
si je l'a- tionde
dontil a creusé
-
etposé
laborieux.
a vec
qui « Onm'afait,medit-il,uneréputa-
i l
p
voit,j'en
de l'édifi.modeste
prudemment
atience
Enréalité, je
travaille
suissûr,

travaille
et
lesfon- e veutniperdre
lesassÜes. vient l
chantage,
a rechercher
n!tuerlaporfle
et,grâce un
la décideà repartir
à bon petit
pourMadrid.
lois.
En 18r>4,
auxœufsd'or.Bonnet commence
qu'ilabandonne
à laphilologie
Nietzsche quittePfortapour LECABINET
desétudesdethéologie VISIONS
bientôtpourseconsacrer
classique. Aucoursdesan-
,.,..
CINEMATOMA

Œuvre,
NOIR,LettresavecCommentaires
INFERNALES,
UnPortrait »
à paraître dans la collection« Une
12fr.
2.50

10fr.
vaisavecmoiapporté ni perdu, de Paris. Enréa-
» et il trèspeu,parcequeje avecai- Elledoitsubiruneopération et comme, monnéesquisuivent,il confiera pêle-mêle au
lité,il nel'avaitniquitté,d'enretrouver sance. Dieu, elle a tout d emême unpeu dechance, papier s es réflexions sur lechristianisme,
s'étonnait
toutà coupune
et colorée
seulement
endehors
unpeu
desoi-même.
N'est-ce
imigeunpeuplusnettedel'art cettedéfinition
paslui.cependant,
l'effort» ? Maisn's'efforce
espritvantchaque en
quia donnéellemeurt
: « 11réussite
paix, é
jouravecplaisirla pagequ'il teurqu'elle
cri-
dessuites
de heurpleinl'âmecarelle
desonopération,
aimatrèspurement
a retrouvé
dubon-surl'histoire,
undoc-ques,sur la musique,
enAndalousie.
sur lesméthodes
raire.C'estsonexpérience
sur l'histoire
philologi-
de philologue
lith;, l!!Y
Bagage léger,d'ailleurs, pourun
cetteimagedoità sonœuvre, danscesdernières notamment,
volontairement dépouillé, sourdauxclameurs quin'ad'au-que, con-
que
élémentaire et lafoireauxvanités. de Unfilma ététirédeceroman ; signel'étudiant Nietzsche. -----------------------------------------
Maiscetteex-
trèssimpled'undomaine
bornél
ci C'estunpetitcoinde terresi
comme elles
trèspeu debien
son destin, qui
travail,telun bon est
Il suitdanslecalmetresintentions
d'écrire.
ouvrier,
fairesuffità honneur
Content de
la satisfaction
et à»a
son men'estnibonne
milieu. LaSin
:que de prouver
nimauvaise
Ventura. n'a
qu'aucune
toutdépend
paseu
fem-
dechance.
périence
du cetteépoque, e st celled'unhomme
faisait c
LES
raquer t
q
ousles
ui,dôs
ca-
MAITRESSES
accidenté.
avaient, peur
Lescollines,
desefaireremarquer, se dé- joie.DansLeChantdson uCoq,quiestune EnEspagne, comme danslesautrespays,il dresoù méthode on tentait
était
de l'enserrer,
déjà«dedevenir i
dont,la
ndifférent AUTHENTIQUES
pêchent 4es'abaisserpourse confondre ma ièred'autobiographie, il a pc '•lui- faut b ien les
que romanciers etlespoètes ima-auxfaitsparticuliers dèsqueles horizonc
avecleschamps, lesprés plats. Rienn'y même laconclusion sereinedecettedesti-ginentencore quelques calvaires defemmes
Il mourir,
néed'homme pluslargesapparaissent ». Et c'estassez
est heurté,accidenté,
fautlongtemps
moyens pourlestrouver
Telest,vuparlui-même,
extraordinaire.
regarderces paysages
beaux. n deson nide
lepays heureuse
delettres: « Aumoment
je ne regretterai
cesserdevivre».Parunerencontre-
et rare,l'art et la sagesse
de pourmontrer
ni d'agir vécu,mauvaise
s'ac-pastoujours
volonté
aux hommes
que
frivoles
leurs c
de bonne
ompagnes
ouheureuses.
et
ne
de
sont direquecesfragments
beaucoup moinsphilologique
raireetphilosophique.
offrentun intérêt
ifovîr StJtOlt
que litté-j
de

maîtreet amiJulesRenard.
lesien.
Il lesa longuement
paysages,
s'estappliqué
ena V
regardés.
et il lesa trouvés
à nousles
donnéune représentation
Telestaussi
soi,
en ces
beaux,
peindre,et il
,NA
et il
si
cordent

INFORMATIONS
en lui.
Itti.

- -- - - -
NoëlSABORD.
- - .- - -------
-R-
R.C.
--9 IDEESPOURSERVIR
DES ETUDES
*#
A L'HISTOIRE
LITTERAIRES
nous
fidèle appréciation
que leplus qu'ilenporteest 'Unehistoiredesétudeslittéraires. con- FÉLIX ,;,,1 par
RABBE
lejugement justequ'onpuisse faite
: sidérées
Cet à

-.,.:.,.,. FR5
de.sonœuvre. surtoutdansleurapplication
1,'jsonœuvre aussion,peut dire «Bien !J E l'antiquité classique, estun sujet'quetout
n'y estheurté,accidenté, extraordinaire. ABeyrouth ces duCercle Littéraire Eniiîe Goudeau bonphilologue qui a quelques idéesgé- ouvrage estleplussérieux etlepluspassionnant document sur la vie
Jlfaut longtemps regarderces images une conférence sur « Goncourt
lesfrères et », nérales devrait traiter un jour ou l'autre. tumultueuse du grandromantique anglaiset lesmœursde lVuL.8FR.50
lestrouver
pourdesadmirateurs, b elles». Et c'est ainsi Le cercle del'intelligence deBeyrouth dans parlé d e leur journal. a J'entends : uneposition c laire de tous les son temp*
que quine furentpointsa séance du12avril1924 a protesté endes fa- D'après lecélèbre romancier, toutle bruitpointsde vuedevenus féconds, bienque
toutd'abord
plusnombreux,
unie.« Tune père,à
séduits,luifont,deplusen Espagnes,
un cortège
destinée
tenais
plus
fidèle.
Iln'estpasde guère,dit-il,parlant Samedicalme, plus
veurdeMiguel
dédaigneux
champion
3mai,
deUnamuno,
etserein.
à
dela Latinité,
14 heures
Lumière
Esthète,
trèsprécises,
fait,autour
plement
listes.
simple
de
dun manque
Etvoilà.,
et nous
ce
a
« journal
c'est de« copie
u
urions ne
Ilvient
explication
préféré s
tout s
IIdejourna-
unpeu
avoir si
im-
le
plusoumoinsfaux,
dérerl'antiquité;
marcation q ui
d
bref,
sépare
c ,-
'oùl'on
ette
les
peut
ligne
idéesphiloso-
comi-
dedé- Delamait,
LIBRAIRIE
Bomelleau
STOK
et Ce,Paris
à l'ombre de son m'engageais cequej'écrive théâtre duCrystal-Palace, 9.ruedelaFidé-conférencier tionducarnet étaitpourou contre
denotesdesesMaîtres. Japublica- phiques dechaqueépoqued'unehistoire
tilémiseen accusation, devant le tribunal
danslesjournaux. Je la sur littéraire ditFaubourg, dulivre r :
etentissant Certains, dit-on, regrettent J.-H. Rosny deslettresrelativement objective.
PORTRAIT
une
tu
rouledont
redoutais
estengagé
pour
avec
ournles
pmoi elespoint
tourments.»
tranquillité,
connaître,
s'yesttenu
Il sy LeDictateur.
:
personnel
défenseur
: ;(Allunç-nous
?) AccuséM.Alphonse
M.Louis L
versun
atzarus
; pouvoir
Séchéune
accusateur:
n'aitpoint parlédelapréhistoire,
visiteauxgrottes
Peut-être une autre
que
des.Eyzdes.
fois-.
surtout après
aux
Unexemple
poètes e t
: De toustemps,
auxécrivains
ona prêté
passéle
d'ANATOLE FRANCE
du
avec
s'est
constance. Ce
fixén'estpasdeceuxqu'on
fracas. Et
avec vieuxpèreredoutait
petit
pourtant,
domaine
cette
qu'il
exploite
vocation
M. J .
moinsà charge
Bertrand,
;
Ernest-Charles,
Charles
avocat
età décharge
RenéYalfort,AndréDelacour,
Lussy,
à.la
André
cour.
commandant
K
T
aminker,
é-
JeanDes-deVersaillesIl y a déjàbiendesannées
même
AVersailles ceuxqueprenaient r
l'historien.
ang et la
L'histoire
même importance
lescontemporains
littéraire r
que
eproduit
de
eutdesori- thielLx, quel'onsourittoujoursplusoumoinsl'image delapoé-
aucson
gines, romantiques.
disait-il tisans e
etc.Ladversaires
t aux
aparole sera donnée
duDictateur, auxpar.
Pour portes deParis. villemorte,
Depuis citéprovinciale
quelques, mois, pour- -
auxsie contemporaine. Tenir comptedes Gravéà lapointesècheetmisenlumièrepar
C'està L'école
récemment, que
primaire,
la littérature
me futré- lacontradiction,
me crétariat. 38, rue
s'adresser
de Moscou, •
lematin,
Central ause-
44-22.
tant,dejeunes
detirer de sa
et vaillants
torpeur lavilleartistes
d
ontrésolupréférences
uGrand Roy. d'une époque!
et des tendances générales
GORVEL G.

.-.
encoreet lemot et la M.PaulValéry, de.sonvoyage Ona déjàpujugea- ¡:!osrésultats
vélée.
chose.
J'ignorais
Jen'avais q ue huitans.Cependant, en Italie,vientd'être aucours
l'hôte,à Gardone, de est.
ungroupe théâtral, LEffort. doiitobtenus par Lesétudesd'histoirelittérairesttbis-
l'animateur
unepage de Chateaubriand, dictéepar Gabriele d'Annunzio, Il ffè
a oùil a fait
reçu faitdel'OE-iivi-e.M .
E mile
Dars, pensionnaire de la Maison sentl'influence: a) desécrivains contem- dont MOREASa pu dire ;
l'instituteur, me bouleversa, et je ne l'ai une ment par Mussolini,
conférence
à Rome,
trèsapplaudie sur
a
Baude- L'u.n d espionoiiers de mouvement néo- porains, deleurstendances etdeleurscon- et ANDRE SALMON; Monsieur Gorcel. Honneur de la gravure.I
jamaisrelue depuis sans ressentir le vereaiUais. M. M arcel ce
Marchand, demandé ceptions esthétiques; b) desconceptions Cequidoitêtreditd'flùurà, c'estl'admirable
même trouble. Je lasaisencoreparcœur. laire. poètechansonnier Pierre S a
imon-Nierot au
d'êtredominantes de l'époque, soitphilosophi- effort deGorvel, acharné à restituer toute
C'était ABordeaux son collaborateur ocoasionne.], Ilsviennent de s oitreligieuses morales; c)dela leurdignité à Venu f orte
e t au biirin.Il
SoiJis duCercle Girondin
lesauspices le poèteRenéVio-deuxactes dela faire représenter, à Versailles. unerevue e n ques, ou a rendu à fartclassiquedesservices insi-
.- LesCanards Sauvages Liguedel'Enseignement, etunprologue : EnVers.. Saillants. manière,particulière à chaqueépoque. gnes
Lit-
desCahiers parM.Ed.Ptrès Cette r evue a , d'ailleurs, étémise e n scène d'apprécier et d'aborder l'étude h istorique;

.,.-.
untemps grisâtre d'automne, lors• laines, delaS.G.L., directeur ioger etfortbieninterprétée des EXEMPLAIRE SURwÂAJPrPIEP
«Par queles téraires, rédacteur enohef deLaRenaissance pard) du pointde vueet del'érudition
que labisesoufflé
ois perdentleursdernières
sur leschamps,
feuilles, Provinciale
une Catulle-Mendès, et secrétaire
a fait,
général
le15courant.
du Comité
à l'Athé-
unetroupe homogène.
lesauteurs,
lants, lecomédien
M.Fabre,
Jean M
quicomprenait: historiens
diseurdevers.sail-plus moinsdéveloppée
orel
etMlle R ené Hv- ou
eux-mêmes; e) de
chez
la
tel
faculté,
ou tel
(Gravure il cm.sur cm. avecde trèsgrandes
8 5 ) .,,
marges IO fr I
troupe d e canards sauvages, tous r angésà néeMunicipal, une causerie sur Mme J ean Envoi dans son rouleau d ecarton recommandé.
lafile,traversent ensilence uncielmélan-Balde, André Lamandé, René Maran, Serge Bar-vernault. peuple,de comprendre etd'assimiler les
,çolique. >,
Rienn'estplus opposé au styledeHenri
mix etLoysLabèque.
A Genève LouisPirandellof
-Informations dItaUe
d u
choses étrangères oucellesdupassé.
* 50épreuves duJapon
TIRAGES DELUXE LIMITED
20 fr.
Bachelin quece lyrismemagnifique. Les La section dansle bruit succès **
étincelles projette le génie p euvent en- d el'Association desPeintres, desa saison a méricaine, annonce Un roman, 100 épreuves sur Hollande 15 fr.
que sansSculpteurs et Architectes suisses expose au auquel il travaille depuis plusieurs années : Lejugement portésur certainsphilo-
flammerlesespritslesplusdivers flamme. Musée Bath d esœuvres deMM. Barraud, Alix, Un, p ersonne et cent mille. I la faitreprésen- sophes, poètes, etc.. e st toujours c aracté- Envoyer lescommandes aunom deG.GOllVEL
qu'ils brûlent ensuite delamême A.Cacheux, J.Chapet. cesderniers
Et c'est trèsheureux pour la diversité de Blanchet,
M.d'Eternod,
E.BressJer,
J. François, F.Gos,RenéGui-ter intitulée : Lavieque
temps unesorte
jet'ai donnée
detragédie ristiquepourl'individu
Cestle jugent. ou l'époque qui
jugés
auxbonssoinsdesNouvelles Littéraires,G,ruedeMilan. PARIS (9e)
l'artetlerenouvellement de notre joie. nand,G.Mannoir, Vanmuyden.
H. Perrier, See
Albert
Pa- drame
Track-mysticisme, d el'amour maternel allant j usqu'au Surtoutlorsque leshommes
Lebranleainsidonné,' HenriBachelin linke,A.Silvestre, A. lesplus jusqu'au fanatisme, destructeur onteux-mêmes ducaractère et durelief,
devaitobéir tout doucement, plustard,à set.. bles
Parmilessculptures
s ont c elles deJames Vibert,
remarqua:
deLuc I aggl, aussicomme
contre de
toutepassion
François Mauriac
déréglée.
dans son
Laren par
Geni exemple u n Héraclite, un Schopen-
cetteimpulsion première. Même en pleinede Maurice Salkiffof, de MM. M arcel et trixet dePirandello estexcessivement cu- hauèr. une Sappho o uun JeanPaul. "=",,,",,,Hin_H",.d-r-g:nUL""r_i M-- r 1f1"",_)TH)j_;"';..---HUir
jeunesse et endépitdecetteinitiation ro-
méfiéde cesflammesPierreNoverraz. A Montpellierdel'auteur rieuseà siqnaleT, Maislatragédie italienne .Comparer lescho- CHEZ 11
|
man tique, il s'est desSept p ersonnages estcomplè- avecenthousiasme
qv& jettele feuintérieunet quiretombent
«ont tement diverse du,roman français. Nesuffit-sesdu présentauxchoses ditpassé,mais
d'autantplusvitequ'elfes plusbrus- Cesderniers temps a étécélébré dansla il pas deconstater lepointdedépartdes nonpastirerau jouravecun regardin- N VIENT DE PARAITRE PLON
anement
premierlivre
jailli,n
A^ingt-cinqans,en1904,
,- un recueil
il publiait
deverscommedéric
chapelle
son sidence
deRequiem
M
desPénitente
deMonseigneur
istral ourle reposde
petdeCharloum
blancs,
Migmm, sous
unemesse
l'âme
Rieu.
deuxauteurset avecquelsérieux
la pré-Iraiifleursujet,
deFré-atmosphère
tous deux tuelle, dont
intellectuelle
n ous a vons
j uger
pour et-dartistique
l ieu de nous
ils ontdifférent
'unecertaine
r ac-le
éjouir intéresse.
deschoses
rapportavecleprésent
fanées
! e t mortes. C'est
quisurtoutnous deL'ACADÉMIE
LES
ENRI-ROBERT
GRANBSrROGES
FRANÇAISE
nOGEr. BOUTET DEMONTEL
ilcoins
: -
convient à sesfrais.Ces'Jrizonsde
duMorvan,que devaitillustrer breux
et prieurs honoraires decetteconfrérie. pour
Denom-beaumétier l a noblesse de
d'écrivain ce? beau motet de ce Quiconque traitedupassédel'humanité
cromis le bonpeintre Louis Chariot drns assistaient f éllbres deMontpellier et delarégion esttoujoursassurédetrouverun public;
éditionseconde doiinée. cinqav. s plus M."Jacques à cettecérémonie il esttentantdecomparer DE L'HISTOIRE LA VIEDE LORD BYRON
une Frollot vient d epublier unro- car sapropreTROISIÈMESEME
tard,par les'Cahiers
-unepassent
« grande sagesse
duCentre;
lyrique.'fies
stir depauvrespaysages,
accusaitmandontl'action
canards bienconnus
mais ainsi d'unbalde
se déroule
denoscompatriotes.
l'Eldorado
dans d escadres
n conduitlil
au cimetièreA
:=.';:::-: ¡.' :;i_;::t-":.::
ür-::.:.;.
t":'"::5æt;"S!I'i=;;!o.-:7 grosse^ tête
microcéphale
d?imbécile .au
destempsrévolus.
crâne d equelque •
te Grandt
Lamort Catherine-
duduc lIIori.lffltoi"
i'Enghiea-LftReine HortenseUnvolume in-Sêcude340pages, souscon
,,'UnliO;1Jo'ln.1f superbe dans l esstro- Saint-Lazare.
"-:--;,"'
nos Correspondants * 10frspuat PARIS106 Sliat-Gennainverture
boulevard illustrée,
avecportrait 12fr.

|
phesdeëhateaubrland. que Ph. Lebesgne prépare unroman q ui sera ..*

•- ,,:!
Il s'y manifeste néanmoins une certainepréfacé
titre
parA.-M.Gossez
Eugamtstes. et quiaurapour £ , Il commence à êtretempsdeneplusrtt-
:
mélancolie, particulièreà cetâge avoiroùl'on A Nantes ! DESORMAIS 'r minei- sur lalettredestextes. CORRESPONDANCE

ï
\sè\çrr>it déjàtrtevientpour un peu 9
péeu ',,'" Ala galerie Préaubert, M. Pernand Morln i la SIXIEME
-- Et d'abord.qu'oncombatte
foiscontrecét abusinsensé
une bonne
et sans frein DE LORD BYRON.
il vient defaire uneexposition de 50toiles
toile--;et
et page
:I

-'-!':
:.' Att!celuiquej'étaisn'estplus! Comme
: jem'avance, recule,de dessins
Ce n 'est p
« Onnenousdonne
rQhaussés.
as dontét
l'aquarelle M.Eed.L emé
c'estplusquelenote : || estentièrement 1
consacrée desétudes historiques.
à faireque de s'occuper
L'humme a mieux LESCAHIERSDUNOIS
d'hwtoire. Si,
Amesure que mon passé dessin. que les«masses ». à pourtant, il s'en.occupe, qu'ilcherche du ADMINISTRATION AvecB.P. Shelley,
Stfciohel Hohhouse,
19,"'et;' LadyMelbourne,
É€e< jC-
passé,qu'il
iretonfidence ;regrette, il vajfrous er. feintées
tains d suivant
écos d leur
essins p lan
évoquant etleur m atière.
lesujet m
Cer-
ieux
la moins l espoints de vue quipeuvent l'édu- REDACTION Rue Uncoln, Parlé l'honorableDouglas Kjnnaird, etc.,
^nÎHf
:
presque .aussitôt
tiolùmequiest une.autobiographie enun peut-être,
pluslibrement,que ne ferafti
se joue,
œuvre a chevée.
parmileslignes;qui
etdesmouvements.
L'œn,
»
i Vie Littéraire et Artistique querl S ije
minutieusement
tentais d ereconstittier
possiblece;quej'ai puj
leplus J
ABONNEMENT
publiéeparJohnMurray.
traduiteparMme F.Laroclie. I
enquatre volumes.
Tomeset Il.

i*de-
ptiècfeuseet
zwïzfànv
'Wd^itie
.J;;tllI1!!niti:
têmentf
rare
rcktantique,
Pas-comm
sent,Avrai dire,plusque,la-.mé-
sérieux,
Mes-autres,
l'influencede Chat-
Jules-Renard' >Après
'fI:vrépare
àpêtits coupsdressai,son« chefi{Académie
sonticidesintentions

len-fcistodqite une visiteà la fameuse


des Byzies,
a
Gofieôort»
APérigueux ! eiProvioee l'Etranger
stationpré-
M.J.-H.Rosny/.aîné, 1'
de
iti
h -; l
t
',' fairele
ne
j'apprtmdrai,
suggestive
2W décembre
jeu,un gaspillage
sije devais c onstater
plusvite
enobservant
1866,
que
et
ce

de
seraitlà

façon,
le présent,
.o.:"
de masagacitésurtout ordinaire
des f aits
St ec-
un
que
plus sur
vélinLafume
surpapier vergé
(Un

d
an)

'Arches
France
32fr;40
SSIr.
7 1fr.
itrIager
fr.
62fr.
SB fr.
Deux
que
WÊI^^M
volumes
volume
F.XVÉSTE
avecdeuxportraits,
in-16
CIKZIWSLES
dia-
790

'f!': !:"; ,-,'


donné, souslesauspi-
--,
LES NOUVELLES THEATRALES

ET MUSICALES
LOUIS LÉON-MARTIN
M LA MUSIQUEX AndréCAPLET LE
iiiiiifiifififiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiifiiiiiiiiittiiiitniiiiiiiiiiiiiiiiiniiiitiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiniiiiiiiiitiiiiiiiiiiiifiitmiiiiuiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiiiitfittiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiii
MUSIC-HALL f PRIX DE LA RENAISSANCE 1924 1

JEAN DENIS
In-16.8fr.73
WWW
LES CONCERTS
si-C
Quantà Schœnberg, pourachever la re-
-
»1WWW •- A proposd'YvetteGuilbert
maîtres»,je ledétesterpo. Onsaitquechaque
vuede « nosvoudrais jeudi,au Caméléon, Germaine Lix,Zibral,LesAndos
(Jn vol.
tousles musi-et sou lesauspices Gé-
-
WWW
On sait tout ce quedoivent
lumentet je
ciens de monpays fermassent
à Jean cœurs
le
que
à un telart. PierrotLunaire,
qui
Un« florilège
est offerten audition,
deMmeMarcelle
leurs rar, la soiréese trouveconsacrée
c'est musicien. » de sesœuvres
précédé
à un AL'OLYMPIA
Lorsqu'encompagnie du bonpeintre TUVACHE
Wiénerlesjeunesmusiciens, romantisme décadent, l e marais par uneJosué Gaboriaud j'usaisdes pantalons
quitrouvè-veutse faireprendrepourl'océan,Rolli-sortedecourteconférence, que l'onnom-d'uniforme sur lesbancsdu lyceeHoché

in-16.6fr.75
renttoujourssur les programmes de ses lesCaraïbes. l'endroit« présentation verbale». et desculottes
concerts la piace(lu'ailleurs on leurau- natchez
trisesuperbe, une
Aveccela,unemaî-meen
adresse s imiesque qui Cespetitesréunions, viveset animées, defootball sur lespelouses OU LA TRAGEDIE PASTORALE
raitmesurée. bonditet rebondit sanscesse par dessousn'ontriend'académique, et, d'abord, l'on duparc
pleine
de Versailles, le music-hall était
Quelques-uns desplussaisissantsas- lesfuséesconjuguées dela flÛteet de la n'attend point les
que gens soient morts en vogue. Lecapitaine à l'Iledu
pectsdenotreart il n'estpaspermisclarinette, les paquetsd'accords disper-pourleurfaireplaisiren pariantd'eux. Diable, Charles Dupuy, enpassedechanger Un vol.
de le nier n'étaitau théâtrede" sésentrele quatuoret le piano. Musique L'autrejeudi,le Caméléon son
dardaitson inamoviblefusild'épaule, etJacquelin, détenteur
Champs-Elysées ou salledesAgriculteurs néfasteet inquietante qu'ilfallaitconnaî-œilvigilant lemusicien AndréCaplet.dents ditmaillottricolore. D'impru- LIB. GRASSET
qu'il fallaitleschercher, lorsque W iénery tre, et qui m'estodieuse p arce qu'elle Abondant sur c oiTespondants de nos lointaines fa-
faisaitconnaître Matra,Sacraleou Pier-bouleverse toutce quej'aime et opposel'auteurtint programme bienchoisi, où milles, redoutant leJar-
'¡"ntLunaire,aprèsMilitaudet Poulenc.sonaffirmation crispéeà l'allègregéniepiano, prélude enpermanence la partiede poureux-mêmes
Ainsi,auxcôtésdesœuvreslesplusver-d'unIgorStravinsky.
maîtres et s'opposaient
ques. Disons-le nettement :
les esthéti-nousattendrions
aujourd'huiPierrotLunaire. encore
Wiéner
:
tes,desderniersvenus,se situaientles; Maisil faut louerWiéner sans lui fêtecharmante,
l'audition d e ce
Manuel,
oratoiredeM.Roland-(lind'Acclimatation
toutétaitunipourquecefûtune te matinéeclassique
dela musique,
et dugoût.L'auteurd'Isabelle
del'espritemmenaient
dominical
auxFolies-Bergère
oùlafunes-
au Frantais,nous
ou à l'Al-
et Panta-cazard'Eté.J'auraispréféréde voirla 21.RueHautefeJllle,
LES ÉDITIONS G. CRÈS & C1*
21 PARIS(VI*) n. c. : seine100.412
tenterunesynthèse
aclasser
sous ia
decequona vouludeshostilités.
rubrique
veau»,onestobligédereconnaître
geureet combien
«
paraissent
Esprit Nou-
la ga- ceux,
viteinconci- breux,
desemaineen semaine
que passionnent
a tenutêteà bien lon,quiestaussiun critiquedepremierrevanche
Pianistesolide,

ses
m usicien
; ordre,pratique
de race, il a réuni autourde lui tous rie onconnaîtla manière
plusnom-aisée,toutensemble,
hardies e xplo- d'employer
excellemment
en l'occurrence.
la
impeccable
qu'ilestaccoutumé
cause-
Jacquclin-Morin,
lantdequilesjambes
et lesplusbellesditmonde.
de vue n'était
Et,cettefois,d'alors,et Nijinsky, pas
é
oùcenègrevo-
taient, disait-on.
Maisce point
celuides potaches
ViBttt :
deparaître
LAURENT TAILHADE
UNEŒUVRE INEDITE de
liablesleséléments enprésence. rations.A chacunde sesconcerts, nous AndréCaplet fut particulièrement bienla m(..ela beautédqui devaitremettre à
Stravinskv casse
berg,quitirela barbiche
leslunettes
:
d eSchœn- trouvons
deSatie neles fortheureux
un attrait nouveau.
dudernier.L'admirable
Jesuissorti
can-
fit en avec
servi.Son œuvre
intelligente
s'est
sympathie,
trouvéedéfinie
:
eséphèbes,
et aussi,pré-peine.Ce qui noustroublait,c'étaitles
naissait à
LA MÉDAILLE QUI S'EFFACE

$"
peignonsdoncplus la maindans la tatrice,MmeVéraJanacopulos,

.,.,.,
tendre,deWiéner y cision. C aplet, dont l'art et l'amitU fu- jupons Ah 1lesdessous de la troisième
main.Lavéritéestautrement saisissante, lui-même, trois« Bluesrentselonle cœurde Debussy, est un République

vol.
n'est-cepas? A voirce quilessépare,chantés» qui sontunerévélation. Je ne Normand avisé, m aisenthousiaste, chezFroufrou,

..,.
froufrou, parsonjuponla femme- leNaturalisme. Souvenirs surLeGrenier Raoul Ralph,Henry Bordeaux.Bla-coIbanès. et Bob.
Cypee.,

*
d'ailleurs,vous comprendrez mieuxa suisplusguèresensible, je le confesse, à quila cautèlejamaisne coupalesailes Froufrou,
quoiils s'opposèrent. Le cuistre, q u'il la séduction des rythmes américains. Cesà la ferveur. Passépar le Conservatoire, froufrou, del'homme trouble rame l'a ,..,.,..,.
volume Armand
l-tti
f,,;oil'tll',Judilh
Silvestrc, Gautier, ru-néeVivien, etC.
7fr.50

-r
sorte de la classede M.\Vidorou de trépidations, halètements, frémis-comme de
n.:\IIf'
de.\1,d'Indy,qu'ilsoit« planaire» sements, ces
leur puissances'affaiblit
ces
assezdeLeroux,
tout un chacun,
Vidalou Lenepveu
il suitlesleçons Lesdessous
; il nesuit la mousse capiteuse
Mlle M ealy é taient
deParis.L'èredela
a lors
vol.,..,.,.,.,..,.,.
Dumême
Quelques fantômes
aliteuT,à lamême
dejadis(Verlaine,
l ibrairie
Moréas,
:
Sully-Prudbonune,
ViHlere, etc.).

..,.,.
ou « cellulaire». ndmirrzcomment vite.Onaimeraitquelques mesures de re- pasleurexemple, et c'estmieux. valse lente s'ouvrait. Toulouse-Lautrec, 5
1étrille,ledécrotte,
Stravmsky en tourdemain,
un de
! Il estrisible
pos, q uelques accents
taisiemoinsmécagique.
i mprévus, une fan- Levoilà
Maisles« blues» ronla seconde
grand-prix deRome
« annéedu siècle.Et envi-
», ceci,
le l'n
PeUt. Mémoires delavie. Uncarrft papier 6 ir.
lr. l'»
un voirceA Le Satyricon.
Un volume in-12 sur veryé orné
d'Ecosse, d egra-
taquins,culs par-dessustêteset, toutdeJeanWiénerdépassent
vtourdisencore,.essayerdese consoler me touchent parce
le pasticheet nonplus,n'estpasuneréférence,
qu'ilscontiennent de jour est venu, o ù dansl'air
Or,le
saturéde
vures
-- SîO
oncouleurs
exemplaires deLABOUREUR
survélin .,
purniLafuina
18fr.
40Ir-*»
mutuellement ! DePetroue hka ÚVOctuor, jolie et expressive musique.Entendusvvagnérisme et defranckisme, Pelléasva Cedernier volume aparuauxEditions delaSirùiie.
viiattendant, demain, lapremière auditionaprès,un grimaçant Trio,deM.Villa-Lo- précipiterun goûtnouveauet changer,
dumerveilleuxConcerto pourpiano,on bos,péniblecentonoù s'accumulent les pourun temps,le coursdeschoses. Notre 7.'4
suit un artistegénialet conscient, pluslieuxcommuns du genre« moderne », ils musiciense baigneavec délicesdans
lyriquequ'onne le futjamais(songez furentvraiment rafraîchissement, l'harmonieuse atmosphère. Délices et non
Sacren. et incroyablement
lui-même etdesesmoyens.
au
lucide,eûrde lesingénieuxet heureux
un Poèmes
C'estmonmaî-tulle,pourchantet piano,de DariusCapletdemeurera
avec
de Ca-déraison,influence maisnullesujétion
un debussyste
;de l'es- LES ÉDITIONS G. CRÊ5 & Cie I
tre,je J'avoue, il m'émeut sansme trou-Miihaud. pritet nonpointdela lettre.Aureste,ce (R.C.Seine100.412)21,RUEHAUTEFEUILLE, PARIS R. C.Seine100.412) I
passionne
,
bler,m'enchantesansmediminuer,
sansme briser. O ui,j e
me
lesais,
c'estun Russe et nemesuis-jepasfait séanceorganisée
reprocher,d'autrepart,mon« nationa-
Je devrais
d'Arcueil
lisme» musical?. Maisce Russe,étu-lestrèsjeunescompositeurs ».
vous
Onsait
parler
à l'Atelier
pour
de
encoreEcole la quej'indiquesèchement
parl' «raisonstrouva
quelles
mieux
Manuel.
réunissous musicaux.
présenté par
Et sonlumineux
illustré à
le
icifutbeaucoup
spirituel
commentaire
souhaitpar lesexemples
R oland-
se
plus grand peintre de mœurs de notre
COLLECTION IlARTISTES à D'HIERD'AUJOURO HUI I
diez sonœuvre et vousverreztoutce cetteenseigne m e semblent toutparticu- Inscriptions temps,avaitfixédeuxéléments del'épo- GUSTAVEGEFFROY
qu'unFrançais
età la chérir!
peutgagnerà la pratiquerlièrementdouéset promisà de justes capella Champêtres,
réussites. Maisje n'ai puentendre que la «laaséduction », composent
en triovocal,quefinissante
un décordontdecycliste
laissecependant
: Tristan Bernarden culotte
sur lapistedel'ancien CLAUDE MONET
Buffalo,
Uol'Académie Goncourt

1C
-
PourSatie,quiplusquemoil'a aimé ? première partie de cette séance.De denetscontours. v aporeuse Yvette Guilbert,aux paupières étroites,
M.Sauguet, lesFrançaises et la DanseForêt,quidéploie LesuperbeChantdela maniant

in-lG
Qui, sur tous Jesmodesmajeurset mi- affirment u n beaulyrisme s ans l'obscénité avecdesgantsnoirs,
neurs,a plussouvent chantésa louangenante,spontanée, déià une personnalité très pre- y goûtantduboutdesdents,aigre,sirène SA VIE, SON ŒUVRE
«cu- grandiloquence, montremieuxencore,au
en desmérite
quelque
s'écriait-on
tempsoù il y avaitpeut-être
à cela.« Ouvrez lesyeux,de riosités
autourde nous,c'estun no- metduColonel,
taire normand,un pharmacien deban- beaucoup
»
cemois
postiches.sans
Vous e
sonpetitopéra-bouffe ;
artifices,
ntendrez
où se manifestera
sans
à lafin peut-être,
LePlu- peintre
une
avec Unrondel
ce
normand,
habileté q
donplastique, cet
: art
sagace,maissincère coup
uin'est pasen fil de
de
fer.
corsetinterminable.
auxgrandes
préférait A ses
Elleplaisaitbeau-
personnes.
sourires p
L'adolescence
incés et à ses Deux volumes
Orné destrizereproductionshorstexte
fr.

_?¡_.Y"
plusd'ampleur artiste-né, et quatrain,ddouxet e Charles d'Orléans, ou un sous-entendus amers, à sonstylenetà la JJ;
lieue,le citoyenSatie,dusovietd'Ar-dontles
cueil,le copaind'Alphonse
fatigables sur desPlovels
Allaisf4. e pièces goûts
!
chantrede la Rose+ Croix » Vinès semblent
laissait-il courir,vers1013, ses mainsin- me
?
hypnotisésLesjoie
petitespiècesdeSatie,c'étaientpourles n'aienmaiM.Roger écouter
me
pourlepiano
adroites
méfiedela brièveté
un
sontchersLesbré\c-sduBellay,permettent
deM.Maxini>.ïa»
! Jeretrouverai
Désormières,
lesmélodies,
nb brosser tableauléger
etfines.Maisqu'ilse trouvent
dvce
dontie core
etquiestéga- sans Et
un
fixés
l'esprit, d
l
fin angevin de Maupassant,
'attitude,
eshommes
doutepeut-on d
auet musicien
et deschoses.
iscuter,
de de l'éblouissante
précis,où se blondeur
legeste, mais
lesourire
fondante
en- toirenousinquiétait.
tout fairel'amour e n
d e
fiacre
humide
Germaine
Meait/.
L'idée
me
et

que
généreux
Galloiset la
Sonréper-
l'onpût
paraissait dé-
CLAUDE
:
DU
tirage
MEME
COXSTAXTIX
limité
MONET
filLafuma,
ACTEun
GUYS
: sa
tlrape
vie,
UmM
:

s
.,.,.,.,.,..,.,.,.
2portrait;.
à1.001)exemplaires
onœuvre,
à 1.000 , ,
avec
(-lem5 4
dont4 oncouleurs.
3iIréliotypies
plaire"
dont
reproductions 5en
3-ur
couleur?,
doIloiiaodo,
Tcrfi-6
sur
tj.jrr,
venré
1rJ rr,
pur
benêts,amusettes d'unsoir,joujouxpourlement pu sur goûtante etje necomprenais pastrèsbien
grandespersonnes, piedsdenezbonstout beaucoup chefd'orchestre
unattendre. duquelil faut cela,esthétiquement. Applaudissons, au lesmésaventures vénériennes desfameux
tréteaux Jesaisqu'il va dij"t:'r moins, à la réussite.
au pluspourles
a découvert
dela Foire.On attachante
depuislecharmeneufet pré-je
cieuxdetant de pagestourà tourironi-que
'me fécilite sériedereprése-itr'-tirn^
me delevoirà l'œuvre
t » J'avoue n e point g oûter
V,1plus blesdeLaFontaine dontla musicalité a utant l es « Fa- « Troispetitsgafçons». Je n'ai pasint
Yvette Guilbert à l'Empire. Jeconnais son
- - ----- ---- ---

-.,
moine luifaitconfiance. Et l'onsait m'échappe. n, ancienrépertoireet je craignaisque le LESPRESSESFRANÇAISES
ques tendresetquiconduisirent
mentetleurauteur à cesdeuxœuvres :
douce-I queje nesuispas facilement inlulgont
AU I
RIO. facilité d
Cettemimique,
'effets à la portée d cestics,
etout le une nouveau,
mon-clwnson,genre vieilleFranceet bonne 10bis,medeCbâteaodnn, PARIS IXe
CAMILLE SPIESS
oùexemple. l'tlt déception. parlait
,------
Paradeet Socrate, quelquesjeunes Georges de, j'enéprouve quelque g êne, m algré ne une 1 Ainsi l'Homie
hommes trouvèreat
bienémouvant..
tin.
Cettemusique,
parfait et
on- ne.par-
toutl'amusement
réaliser - sesintentions, au piano. [
qu'ona devoirl'auteur Toutesnos diseusesréalistessontses BIBLIOTHÈQUE ROMANTIQUE
vient point à sa compréhension parun fiflenaturelles, maisellesportentlesche-
entraînement, une éducation. Si vousne Je préfère cette production dernièreoù veuxcourtset lesmainsnues.MlleGer- Publiée SOISladirectiondeHenri GIRARD
sentezpasle premierjourtout ce que le musicien puisa une inspiration nou- maineL'ixa repris,à l'Olympia, quelques VIENT DEPARAITRE-' Préfacede LouisEstève
despagescommecellesdonts'accompa- velle,ensa foiaffermie par la guerre.Le chansons d'Yvette Guilbert avec un inutile
gnentlesgymnastiques mélancoliques du Credoest un fortbeaumorceau, ampledécord'ombres. Elledit tu payesun GEORGES ROTII
Chinois
«tonicien »desdeParade, ouledialogue pla- et dense.Certains y trouvent l'ardeurun bockH,phrasefameusea«ujourd'hui dé- LA COURONNE POETIQUE pn L'auteur docetouvrage dépasse Freud
« Bordsdel'Illyssus» con- peuéclatantedu néophyte,mais est-cenuéede signification, car les dames d u ce sens qu'ilcomplète la psycho-
psycho-syn-
tiennentdesubstance, d'expression contraireau caractèremêmedu texte? promenoir analyse freudienne
nueet pure,tenez-vous pourferméà un
soute- L'Epiphanie jouéepar l'auteuret M.Ma-selonles bonnes ontdesvisonsoudesmurmels,
t raditions ;
naturalistes DE BYRON I thèsequiétudielepajune
problème del'hom-
tel art. Et ce seragranddommage. Les réchal(compagnons de guerre, j e crois me dans toutesa généralité eihno-psy-
contrepoints souples et vivants, lesclaires bien) et que Roland-Manuel avaitsu maisellepourraitrenoncer à imiterl'éter- ellQ-sexu
elle.
harmonies aiguisées par le jeusubtilde présenter avecun artexquis auraitpu, de
cesoir,séduirelesabonnés
nuement sanglant
duConserva- son,ainsiqu'àcetriangle
delatêtedanslepanier Ed.luxe,40fr. Ed.ord.8 fr.
noirquiorne
Unvolume 5 francs
éditeur,Paris "l'
« pédales imprévues, toutela technique Sotice détaillée demande

I
» maistrèsvolontaire, toireeux-mêmes, quelque perdus,na- sa robeet lui donnel'airde marcherles ONSOUSCRIT sur AndréDLLPEUCII,
un peuingénue, qui peu
soutientla fantaisie,la veine,l'inspira-
tiondeSatie,à toutcela,quiestdeprix,
vousne participerez
drezlesbénéfices
point.Et-vousper-
d'unepersonnalité
faisante.Eneffet,ce qu'il faut avant
bieik
guère,danslesentrelacs
violoncelle.
n'avaient-ils
suivrel'étoile
Ceshommes
pointrefusé,
du concerto
? Montronsuneconfiance,
plussagedansl'œuvreprochaine
de jambesécartées.
de peu de foi énergique,
d 'ailleurs, de sonsgraves,
de l'au- moinsde
sa
mimique.
Avecson visagevivant,
voixjusteet bienfourniede
ellepourraitmieuxfaireavec.---- ..-.-.
t;.. - -.--.-.-.-.-..-.---
,.- - -
A LACOLLECTION

tirage
,". - - ¡,.. :",' -
exemplaires de notre de
..---;1
,,-"'-:.--';;,;

Samaigreur Les cent


tourgoûterchezSatie,c'estla jeunesse,SPORTS, AVENTURES, VOYAGES UHIÉ teur: LeMiroirdeJésus. M.Zibralestfortamusant dansunnu-
}afraîcheur
composp..
dontle meilleurdelui est CINÉMA,
Sesinspirations lesplusheureu- SCIENCES, ROMArfS Bg|| Louons, enfin, une interprétation vo-
méroà la manière
tubulaire, sonmaillot
deGrock.
noir,savoixdecon-haut luxe du numéro ANATOLE FRAECF.
ses ontquelquechosede candidepar LeMagazine caleoùbrillèrent MmesM.Gérar,Rueffférencier ascétique, voixdepédantbien
dessousleur sourirenarquois,quiest lelàmoin*
plusvehmr
ivant, MlêSm N et Warrain : la qualité d'exécution des sa
proprement juvénile. Ausortirdecela,on leplus
clignedes yeuxdevantl'auteur.Com-
moderne,
jEt~ Inscriptions,singulièrement, laissieaitélevélui composent
croirequel'auteury donnacessoinsîfar- le manche
unpersonnage
à balaifleurid'unpavillon francs
auquelà 10
de sont épuisés.
veilleux q u'ilapporte à l'étude des phonographe, oùs'exprime fantai-
menr,cesbinocles, ce parapluie, cescolè- 24
tics, pages. - LeN*:75cent. vres.
œu-
siemusicale,
par sa
s'adapteavecunebizarrerie II reste encore quelques exemplaires
!
res ! Quoi.cescalembredaines,
cesbattementsdiscrets, cesgammes
ces
ces cabriolesEt cesmélodiesapaisées,Emplionuilem-t
ou-
'fouslesSamedis
le1"N*: •!r.M ~nE~Ë~~ Puisil estdoux,aprèscesjeuxalter-
nés,d'allervers la Rotonde,
trèsnaturelle.
« à cettedesAndos.J'aimebeaucoup lescostumes tirage sur
noiret or du beau papier simili-Japon
vertescommeun éventail.ces quartes heure tranquille oùleslions vontboire », etlevisage e xtasié d elademoi-
fuyanteset aériennes.« Possibleaprès
!
tout » pouremprunter un traitauvoca-
etd'ydeviser
pagnie, sur laencore,
musique,
la meilleure
enlechant, com-selleaitparasolqui,surunecordetendueblanc
lethéâ-à 45°, promène dttplateau j usqu'à l
à
'am-
3 francs.
bulaire satiste.Mais allezdoncécouter treet touteschoses s e
notre Klingsor,et vousme compren-
drez! AndréGFORGE.
phithéLitre, avecunetouchante gravité.
RogerALLARD.MMM.M~MMM~~M~-~~-M' !r.!f:" ¡,.!\',':.

CHRONIQUE DRAMATIQUE recommence tendà faireoublier


reux.Sapièceestatrocement
desheu- estleseulbutapparent
douloureuse l'égoïsteet forteCharlotte
denotrevie,que discipledeJésus,Nathan: il annonce
? Labontéest Messie quiappelle précisément
le cirquecomme
les hommeslaits.(Je
ailleurs.
prendreun exemple,
LesFrateilini,
me semblentsur-
pour
etmême pénible parendroits; maisà d'au- la compréhension intuitivede la solida-à l'Amour. Jean-Baptiste, rassurésur le n'aborde qu'entremblantcet
tres,elleprendunaccenthéroïque danssa ritédetousetdetoutavecchacun. L'êtresortdela doctrine qu'ila comprise trop ordredechoses, dontnotrecollaborateur
pitiéetsacolère également sacrées. LeCa- bon.en faisantdu bienauxautres,crée tard,tendsansregretlecolà la hache. Roger Allardvou?entretient régulièrement
GROUPE DUCANARD SAUVAGE
M.PhilippeFauré-Frémiet. LESESCHOLIERS
troisactesdeM.PaulHaurigot. ODEONJésusdeNazareth, ::
: Sic vosnonvobis,pièceen troisactes,de bis,

trois actes,de M.Paul Demasy. ATELIERVoukzvousjoueravec


?
: Alphonsine, pièceen
nardSauvage
pièceen choixexcellents.
quia montéSicvosnonvo- dubiendansl'univers
doitêtrelouéunefoisdepluspourses un peuplusdebonheur
*
**
et l'aideà réaliser LeJudasde M.Demasy
quifinirapeut- lectuelquisaitphilosopher.
être par retentirsur sa proprevie.La davantage
bonté,c'estla suprême
OnvoitquelapiècedeM.Haurigot
encore,
intelligence. trahirDieupourtrentedeniers,
est un intel-disculer
S'ill'avaitsu
iJ aurait,comprisque aile
ce
- peut pastrèsfort.Maisà lafaveurdesesaven-parade
avecune spirituelle
Mounel-Sully,
si le snobisme
Llibien M.Marcel
a
n'était degeaiquisecroitunpaon.) -
fantaisie: on peut
maispasChocolat,
prisChocolat
!
Achard
sousson
a écritune

beau
moâ pièceen troisactes,deM.MarcelAchard. M.PaulHaurigot
vingt-deux
lumièreestbellecommeau plus destroisactes,levoiciquitentedesche- triste c'esttrèsfréquent
« Lajourde l'été,car le soleilest très minsnouveaux :
ans. A
est,toutjeune1 i-1a mener
ussi v oit-ille monde
à cetâge.Les d'avoir
l'âmeverscesrégions
oùleBien etleMal s e
en secretde nosêtres.C'estbeaucoup
mystérieuses
confrontent au plus
tures, le dramaturge
qu'estM.Demasy
scènedeCalphe
que ple,où
(
excellentparfoispiècelittéraire
parexemple
et desdocteurs
dansla
duTem-snobisme
declowns
sansy
habileté. Il
quia
il
tomber,
a
l'agrément
su : d'une
profiterdu
cequiestla su-
en revenantau principevrai3:
hautdansle ciel.Lesarbres
l'aspect
et lesbrânehettes
Les
del'hiver. troncs,
emplissent
ontencoreromantique
lesbranches(ladivision
l'espaced'un actes,annoncée
et shakespearien
deSicvosnon
destableaux
vobis
parle programme,
comme
optimistes
Hugo
entrois dentdélibérément parce
estsu- de tristessedansleur
;
sontcertains
qu'ils p
vieillards
erdent, ilsfon-
lescausesparticulières
écrit
peut-être p
une tellepièce,
ourses
nousfaitainsiréfléchir.
finale,à passi l'onn'avait p as
unpeu
troisactes, m
légère
aisqui
Onneréfléchirait
salem et
passe
se
politiques
lesouffle
heurtent
d el'antique
lespoints
et desmystiques),
ététouchéparun d'undoigtà lafoisfibreet respectueux
d e
Jéru-
vue des
a feuilleté
prême
piècesontdélicieuses
la drôlerieet quelquefois
a nuurrisa clownerie
lui a donnéunsens.Tellesscènesde sa
parl'imprévu dela
la profondeur
et

treillisnoiret pourtant léger.Lesfeuillesperposée et artificielle). croyance cellequi,avecl'histoirel'Eternelabruptedes répliques. S on Isabelle,


sontjeunes,clairesetvertes, etsi menues Jecroisqu'ila eutortdansl'espèce et,à labonté del'univers. M.Haurigot n'enest accentsincère.On peut attendrebeau-divine d'Adam
légende,
et Eve,a faitrêverle plusdepuisamoureux féminin avecunecollerette, rend
queleursombres ne peuvent se rejoindre.partdetrèsraresexceptions, la présenta- encore qu'auxexpériences individuelles.coupdecejeunehomme. 1.800 lescervelles humaines. touslesspectateurs parsaver-
Vraiment À
lesoleilseulestmaître. terre, tionen ordredispersé, et il a fort a faire, s emble-t-il, avant d 'en MlleJamois e st l'actrice-née pour ce a ns adorable
les.feuilles mortesdel'anpassé se dessè- cartoutepiècedoitêtre del'idéeau théâtreprendre
idéesousEscholiers, sonparti.Danssa piècequeles genre depersonnages, tendres, faibles, La jeunetroupede l'Odéona donnésatilité
ar- toute nerfschangeants.
et ledémoniaque
ToutParispourellea
de ses
chentetsedorentunpeudanslalumière.» une sous l'habile direction d e M. dentse nsilence, etvaincus, comme laMar- dans ce drame o rnédemusique. Je
uneforme vivante m'apparaît comme tinede M.Jean-Jacques Bernard. Ellea signaleM.Balpêtré M.Raoullesyeuxd'Auguste.
enJudas,etScarez
C'estparun tempstoutsemblable,
vantlemiracle annueldelagrande
de une régression.
Résur-synthèse, Levraiprogrèsc'estla Auguste
tée,il y
Rondel,ont
a dela
remarquablement
tendresse, une
mon-étédélicieuse
tendresse en Alphonsine. Henry en Caïphe. M.Marcel en FERNAND CRECH.
rection.quej'écriscesmotsdecritiquepastrompé. et notreart classique ne s'yest presque russe quirelèvecequeceltepièce LesEscholiers ontjouéen mêmetempsJésusestbeau, maisun peubêlant.Les P.-S. J'apprends que la DuseesS
femmes ont paruagréables, sansplus- morte, etj'ensuistrèsému.LaDuse,pour
dramatique,
me
feuilles
L'hiver,
etbiendespècesdecethiver
paraissentsoudain aussisèches
mortesdel'anpassé.
que les M.Fauré-Frémietpeut-être
saisondel'artserein,del'art sepasseproprier
a
danslesrégions dévastées
pourraitoffrird'unpeutropnaturaliste
«
vouluap- servante, dansun hôtel,Alphonsine
la coupedesa pièceau sujet,qui estdouceet a le cœurfaible,travaillé
oùsé- ledésirdel'amour. Sescamarades,
elle
lesau-
:
et qu'Alphonsine,
tranchedevie ». C'estl'histoired'unenesquede M.PierreLafene-stre,
longue
par premier
nés.
une fantaisiearistopha-Mais
à lafin,maisdontleprologue
acteétaientspirituellement
un peu
etle
tour- au
l'ensemble
honneur
estd'unetenuequi fait eliacun
à M.Gémier,
chacun
surtoutsil'onsongesonnelle. nous,ç'
detiou;;, ., uneaventure
ç'aété
tantsondouxvisageasymétrique
nombrede piècesquece travailleuret ardent,battude l'ailede sa chevelure,
infatigable trouvele moyen de monteren tant sa grâceflexible et blessée,
per-
capable
[lucide,vitencore Jevrai«souffle dudésordreH: à tres servantes,lui écriventune fausse * un mois. Il vientdefaire,avecun pleind'ailleurs d'uneénergie n erveuse inépui-
ditMallarmé. C'estencoreplusla saisonsujetchaotique piècesuccessive.foutefoislettrede déclaration s ignéed'un nom *+ succès, une reprisedela ViePublique. la sable,tantsongéniemobile, à lafoisbrû-
duthéâtreLalumièredeslustresdonne commepresquetoujours,avouons-le, d'homme. Naïve,elle rendau rendez- J'attendais plusdeM.PaulDemasy qui bellepièce d'EmileFabre.sur laquellelantettendre,furentpournouslaFemme,
semblant donnéà lafindese reviendrons toutà loisir.
un
éphémères :
devéritéà cesreprésentations mêmequandlapiècesenunune Lorenzac- vous
de la vie la vraielumière,cio(maisicilegénierattrapaittout) lementellesemorfond
lalettre,
sous la
e tnaturel-
pluie, sans
nous a donnéun Jésusde Nazareth
l'Odéon.M.Demasyest l'auteurd'une
à nous
**
plusqueSarah,plusidéale.plusque
Réjane, plusréelle.Je l'avaisvueà vingt
&liedusoleil,
leurpauvreté.
lesmontre
Quelques
sistentà l'éclairage
toutà coupdans l'intérêtse disperâe
œuvres seules r é- ments
violentque Pâques,necommence
divisanten deuxl'annéethéâtrale,vient qu'aumoment
d elieu
à
trop
à travers
fréquents,
leschange-voirpersonne.
etletableau
avoircréésonatmosphère
avant
adressera u ne parole un
où le rideause referme.l'aura.C'estcequiarrive Alphonsine
; :
MaisvoilàsonâmeséduiteTragédie
peu aimable
d'Alexandre
d'avant-garde, et d'un
quilefitgrandement
son corps le premierqui lui apprécierde la critiqueet du public J'ailu aux
Faustcù il y avait avec Mod,deM.
champs
M
leVoulez-vous
arcel Achard,
jouer
quivient
ans,avec
Femme
nesse e
SonJésusde deparaîtreen librairieet queje n'avaissi éprise,quenousn'avions
n
desamisde monâge,dansla
deClaude,
avait
et notrefervente
étésienthousiaste
jeu-
et,mieux,
puallernous
se desscènesremarquables.
jeterbrusquement
rampe.
Cettecitation
Fauré-Frémiet,
dela nouvelle piècedeM. recoupement.
qu'elle
;
sur le mondede la L'ordresuccessest l'ordr mêmedu donneà un galantvoyageur
roman au théâtreil fautconvergence
Cette objection
et un motgentilen passant.
en mêmetemps d'œil devaisfaire,je louerail'art nerveuxet d'unjour(qui
chantefemme,Charlotte,
faite,queje bonheur
quilui a dit Nazarethest surtoutun Jean-Bal)tiste
Mais une mé- suivid'unJudasIscariote.
jalousede ce reprisle titrequeWagner
quinaissait,lui volecetamantau dramequ'ilméditait
M.Demasy
voulaitdonner
pu entendre
a snobisme
à l'Atelier.
à faitcharmant.
clownaire,
avantParsifal.et qu'ondistinguait
C'estvraiment
Il y a aujourd'hui
autrefois lespédants
tout coucherbourgeoisement
un révélation
sij'osedire.Demêmenousavonsequeparune
à la risnocturne,
et
aprèsune telle
nuitpâledejuin
rréjusqu'aumatindansPa-
en disant desvers.Lointains
nousauiaamenés à lanceruncoup cambréde M. Fauré-Frémiet, encoreelle d'ailleursse conduitavecdontle mysticisme fluadansce chef-cavalière, dontl'espèce n'estd'ailleurs pas souvenirs, dontnotre âmeestparfumée à
d'unjustescepticisme
production sur lecourant dela qu'une f ausse
théâtrale,auraeu l'avantagequejenepourrais s implicité,
que jesensplus con:me u n « mune n) et finalement d'œuvre
viennedon-la faitchasser.« Et direqu'ilfautvoir la plaieet le paradis.
m onstrueux et sublime q uisent éteinte, on pourrait r epérer 'aujourd'hui jamais I Je verraitoujours
J'eusseespéréque lessnobsdela pitrerie,lesgensqui ne cieldeParisdanscettenuit-là.LaDuse
i acouleur du
la prouver,
Frémiet :
ausside vousfairesentir
brielFauréest,comme
que M. Fauré-nerà sespersonnages,
estpoète il a dequitenirsi Ga- quechosede'schématique.
je lecrois,l'égal cettehistoire
parmoments,
Et puis
quel.ça! »,dità peuprès parlabouche
dans
sespersonnages lejeunedramaturge
depauvresgens, unaveu-hélasl enverrad'autres.Toutcelaestle l'aborder
d'unde M.Demasy jouerait l a difficulté et trai- jurentquepar cirques
qui, terait son sujetin pleno; il a préférédécidés
debiais. d'unefaçon, au reste, Auguste
et cafés-concerts, étaittoute« donnée
à y trouvergéniauxle moindrefigureet dans
ou la moindre « diseûse son
n, elleportait
art le battement
à voix», siblede soncœur.C'estun être mieux
sursa
sen-
eîtmusique d'unChénier, voluptueux, gle,
un mutilé dela jambe,un nègrephti- trainde lavieet lesfaiblesonttoujoursfortintelligente. estundramepar manièrede protestation contreles qu'admirable, et un êtreadorable quidis-
tiste et naïfcomme lui.Ainsiquetouslesar- sique,
d'aubergeet sa tort.Alphonsine à
Leprologue
est unefaibleet elleest complet luitoutseul.Il nousmontre
vraisjeunes,M. Fauré-Frémiet
rtans se
une tenancière
cherchefillequi ne peut« guérir
lasser;etaorèsnousavoir,dansle paresseux, M. Fauré-Frémiet
du Disordre,donnéunepiècere- montrélatristedestinée
"Souffle
marquable, jetéedanslemoulecoutumierla guerrequelefatalégoïsme
» d'unbellâtrebroyée.
nous
desvictimes
a Maisquisaitsi,
qu'aurapendant quelques
grâceà la
minutes
féerie
inventée
dei sontendrecœur,eileneserapasalléeplus l'Amour.
delaviequi loindanslaconaaissaflce del'univers,
Précurseur,
regrettant
Jean-Baptiste,
d'avoirprêché
Historiquement
qui dramatiquement
et
c'estpossible,
le théâtresréguliers.
doutantdelui, Il y a biende l'exagération,
laTerreur non
et
dansleurenthousiasme
nie,u n Charlot ouune
lesêtresdegé-
Raquel
c'estneuf.Survientun rarespartout,au « caf'eonc'» pu au génie
Meller, sont
: paraît.ladprnière
montré j usqu'où p
dutriogénialqui,avant
souvent,lebouleversement guerre l'évolu-
dela
tionfatalede la femmenouvaLle,
ouvait
féminin.
monter
et
aulw
Tantiqua
(¡'1 F.
REVUEDESREVUES
, i, la LittératureFrançaisedepuis 1880


Baiiomaile Il n'enétaitrien. LeNaturalisme ju fut jfniiiinTFWL M
i
ET REVUE DE LA
I-1 J
PRESSE
Emile
'," -
ZOLA et
«
le naturalisme
un
moqua
feude*
intellectuels
Lesymbolisme
paille.Dès1890sa situationr LEBIBLIOPHILE
fut compromise.

et la religiosité.
l.eshautesclasses,les LdeeBoolos,
le trouvèrent
de ses prétentions
lassant,on se *muisla description
scientifiques.
mità lamodeIInconscient
Zolaeutbeaudireaux mande,
à Paris(Y-),
celits ou\'r-rJ¡.(
ilchoisis
î rareté
avec
ou
PRANOA.8,
HlIclmlS
leuruiiiilité.
contient
ràià«>nMèe
et
soinpourleurinti-rf':
Sursimple
«, mej;jJ
tous te8
de sixN
modenl. H
leurJs4i
d e-
-
AlbertTbibaudet
--- -
unpeu
ponne elasse,
ncore
leurironie
; oà Vespoir
VotrePenses-tu
secram-
réussir ? a De1830 : Symbolistes
faire » et
: « Jeferaicequevousvoulezi durant
verser d ans une sorte demysti *
vous
six
J'-.
le reevrezpracifcuserwnt
mois
, motrra'i
Cl
H

B-,
1901)
Dansla Revue
cienMau.,y'
rains »
Bleue
à propos
faitleportrait
avril,
du19Princes
des« d'Albert
suivant
M .Lu- marqué
Lor-nesse.
lemoment
Tinan,
batsansissue
Thl-clairvoyance
nousvse
q ue
pathétique
ous aimons
:
sontlivré
tendresse
et labrûle
denotre
pourlecoin
jeu- bénigne
à
enFrance.
la science
Elleenrichit
envousla degensetn'entuaguère.Touteuneclasseinstincts.
Vimpéneust
futbonne
beaucoup
e t sonore, populaire,
vaitcelaà sa classe,
lui dut sa fortune,sonprestigeet son tnnesainsidéfiniesSurlesprincipaux
Ilappliqua
physiologique
sonéducation
honnêtement
il de- clame s
:
ocial ( Affaire Dreyfus
et ses nierslivresdeZola lesquatreEvangi-
lesdoc les),oncessait del'écouter
et les
etd'acheter
der C.~M~H~-t.
ses : ACHATDE BIBLIOTHÈQUES
En
.,
:
fcaudet : estde14famille tendresse qui ne p ascomme l'amour, ascension : lesingénieurs, lesconti emai. événements du temps il réunit livres. Huysmans
de*dos fin,la mortde Daudet passait à l'ennemi. raresentousgenrta, •
Filsdel'almamJaurès, ater,ilirviis dif-quine réfléchit l'amitié et quitres,lesmédecins, (1897) et celle de i1 etdelivres
::
desFitquel etdesde l'autre, combien fpascomme
itpleurer denostalgie. lesinstituteurs,les siers,dontil fitdesromans.L'ensemble Zola (1902) vinrent clore l'èredu Natura. comptant
auSerend et >.leurplushautprix.:
-firentdel'unet encore qu'unecependant
M.GleGoût vous
flbert
Charles intitule son étude Ti- pharmaciens, etc.Or ce fut préoisémeni compose la grande é popée naturallsie des en rovince * sesfrais. 1
récitsc.en.lisme.

:
certaine générosité del'Intelligence le rap-
il nan et de FEnergie. Ilconclut cette« petitebourgeoisie », travailleuse llougon-Macquart (1871-1895), : Librairie A. Lacroix, :
d
proche quelqueu tribun socialiste, pour lequel et instruitequisoutintla monarchie de tifiqueet lyriquedela vied'unefamille Malgréleurtalenton leurgénie,le*i 112.nie de Richelieu. Paris
manifeste
favorise
tionsd'où
avec
pcibilt
de non
un
auturilé
unedigue,
faibleSeule
jours
Fagwt s'évade
décroissante
reservoir mi. s
l'université
pourtprépara-
ceslongues raiter
omni
de l'a
'assemble
-
Tinan
volonté
plénitude
re se trompait
é taitm
lepoussait
qu'il
sur
n
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par
lesmoyens.
énergie. Mais
lavieettoute
à rechercher
pouvait
é
Il ditqueBar
nergie
s

but
a Juillet,
lepouvoir
la
puislesecond
unidéaldile enfinqui,en 1870,
atteindre. car
troisième avec M. T
république.
E
hiers
mpire.
1
M.
y
G
Cefutelle
prit personnellement
eut
ambetta
d'abordet
bourgeoise
neurs
cool (
( Germinal,
L'Assommoir,
XIXe
livresoù ilaudécrivait
siècleen
lo)),les
1876),
France.
l'existence
ravages
la guerre
Les
del'al-
de
naturalistes
France ont
régulatrices
n'avaient
desmi- goûtsauxhautesclasses;Of,ceMrs-ci
gardéle
et
pu
lesoonservatrices
imposer
privilège ""-
leurs
d'êtreles
dela lit i1ACHAT X --.,-,
"It ---.-- -.--_-.-.------__-- ----
deBEA LIVRES:|
1

Dmutance
rage,
; des
semblable
d l'abri
cataractes
d ceuxTdes
duquel
jauressiennes
vallées
hihaudet
rès a été
alpes•mespourrait
cautilise
son
bar-Leplusgravétc-rtdecertains
êtreaujourd'hui
sans
jeunes h um. quelques,
decroirequebourgeois
O r,e llepeut
disputes pour savoir q uel g roupe
gouvernaitenfinil devinlmense.(En1907,
«plaavillon »
70(LaDébâcle,
de. la Débâcle
1892),
218.000
firent u n bruitim-
exemplaires
térature.Dansl'ensemhle,
de scientifique leurdéplaisait
lfi
comme
religion
verbalp
deZolaI| Incunable* etMmnt-s ; rit« »

ai
très, 17.
deses prodigàlités futu- l'énergie est suffisante en. s of. évident que grossebourgeoisie avaientétévendus, 204.000 de et superficielle, l'expérimentation Seizième et Dix-Hu t Imcillustré. J
lessources mères se dévoyer et s'affaiblir tout c omme t'ardeur vraitbaisser devant ces frères Nana, 1 57.D00 de l'Assommoir). Malgré les leursemblait arbitraire ef ridicule Pnfin. Editions originale*, et modernes
- uu-
res.M aisl'université, quilesa sibien pour-un points'exalter dansplushumbles nouset IEmile NOURRY anciennes
vus, prévoyait-elle lyrisme OTotOITt, ce mystique
cadrequine veut qui,en contactplusdirect protestations et lesclameurs de la criti-lesfoulesintéressent peuclieas -– Vi 1(
lyrisme idéologique ce
7 ne
fixe. L es
lecroitdesrhafnes,
supports, jusqu'au
limites
moment
sont m
ellesson't
oins qu'on avec lepeuple
,aussidesétaient,par là même,
l'ameasoli.
queconsume yantmanier
desvilles e t des campagnes,
mieuxplacés :
que,
pour uneécole
l'époque se reconnut.
leGroupe
Zola
deMédan
a vait
( du
f ondé notre individualisme
nomner le Naturalisme
euttôt
comme
faitd'élimi
groupe. Mai*
naaeaumm
quiavalentformécettedoc-wwwwffwwwwémuwm»
n l'A»IS_l
PAlUS (\,

1
acquis sa magnifique liberté se l'instrument électoral (ou- électeur). de la propriété de campagne de Zola). lesinstincts
de cendres. Ilsprirent l e pouvoir, ils firent a ussi Hennique, Céard, P .Alexis, Huysmans. trineet cetteécole sont restés vivnces OFFRES & DJiMANDJiS
Albert
ta pente,
Thibaudel,
est un
quandil s'abandonne
penseur lyrique.
à tairement
CritiqueCenuméro
etrenaît ses
réunit encore des pae
D
deDa. unelittérature et,bienentendu, se rendi:entMaupassant,déclaraient élèves.
se ses De 1egrandsécrivains leurontétértdè', Il:
sollicité d'échapper aux servitudes Halévy, Jean-Louis Vaudoyer, la science
EmileàDepuis cequ'ilsavaientreçudd'e;le. 1880 à 1890, il régna. faudraitciterentretousJulesRenardet, D'OUVRAGESD'OCCASION
toujours discipline,
ac salescoliaste derompre
etl'auteur, lepactequimiel Henriot" Paul L eclercq, Francis deMioman. dessiècles, etavantmême'avoir Il n'étaitpointnaturellement observa- surun autreplnn,MIrbeau.
ils po. teur,illui*fallaitfixerleschoses
ttnit dejuger,l'autre
Sacritique,
la Nouvelle Revue
à attendant
Française,
l'unmisen
meure tellequ'onpeutla suivredans)fét-érie, d'être j
de.dre.Edmond
ugé.
n'estpasunerection Albert
Jean
Pilon,AlbertErlande.
deLassus,
deBersaucourt
duDivan a
G.-Jean
communiqué
quil'areproduite,
Aubry.
Alph.acquis
M. daient
j'aisance
à la di- épriseduneprose,
unelet-disposée esobjetset
et l'autorité,.
bruyante,
de la bienen chair,
viephysique,
à la satire,animéed'uninfati-correct.
pourles
voir.Il n'étaitpointun écrivainagréa-notrehistoirelittéraire,
ble.Sonstyleétaitpesantet parfoisin- quelques
LeNaturalisme fut un brefépisode
maisil a
dp
:
laissé OFFRES
beauxlivreset il a donnél'occa Librairie etLeLivre pourtousD, 37,ave
juridiction. Valiezpasl'enblâmer. AsseztredeJean
habilement Ttnan à Jarry. gable o ptimisme qui cache m alderrière Il manquait de senspsychologi- siondese faireentendre à l'unedesc'a-- 31-59 nuede Saint-Ouen. Téléphone : Maroadet
manient plusoumoins se queet d'invention. Il avait peu degoût lespluslaborieuses etlesplusestima Collection
(l'ahir-a
ouoeomplaisamment la férule.Nous MEMENTO
df«motsgroset gras.Rabelais,
Charles Sorel,Diderot, Restif
Furetière,
delaBreton-acharné, et unecultureInégaJe. Maissontravailses tlle,dela nnUon française. méros sauf dt's
î.y.t.. Culinrr- V'-r?-. Tousle?nu-
'OiJrnann-I.évy. vêlli::
avoua esoin debiendesgenres decritique. sa volonté infatigable, l'horreur Urrne d uniai.. C J()III'lII:"t"roèlu.
o)r!!c;, Sou-
Fi, parler
.o,:C!î}:'l
désarmée d ela critique decombat. si ne sont d ecette lignée e tl'ondoit v oir en pleine d'admiration que lui inspirait l e Bernard F AY. venlTs d'Enfuncc. Loii, eii:.Nouvwii»* coLe.'-
aujourd'hui, la méthode précise LaNervie dernier numéro lesancêtres duNaturalisme.
d'uniasserre,
terrxrti intuitive
l'enquête
d'un
sisouple,
Brémond
sidélia*à la Nouvelle
figurent d un comme l'onsait,
consacre
Pléiade
la
son
comtesse de
étoiles
dontles Noailles, sont eux
Cette doctrine, toutefois, doitson suc-enlisé,
peuple, oùil avait
sa perception
verbal,
f ailli t omber
desfoules,
et mourir à
descorps,Livres consulter
faisait delui
: 1tion
ires
C aiit-r.
: 1.1'>--:
Larousse
H i..-.r.j,
Plains.!•*>
éditeurs.
Animaux,
I.eTiivuire
!m,jo.'[¡:'.
nofiiUr».
de1S9S
i:.x c.
collection
;
au'rfi ùôlelasauvegarde d'unetradition bienPierreCamo. Ch.Derermes, Xavier deMa-cèsetsonnommême à Emile Zola,enqui sonécrivain lyrisme toutcela Emile Zola,deLepelleUei. Legroupe de ;1ltn
'¡ar:¡."l,t. celledugOiit, gallon.FernandMazade. PaulValéryet s'incarnèrent
Joachim Gas-téristiques etlestendances etles'carac-vies puissant.
un ratéesetsalies, Sesdescriptions de Médall, dpDeffous etZavie. Comment Zolah'ti<rn ofjrt.
M.Marty, Vallon, Verneuil (Eure).
Tristan Derème quiremplaça principales decetteclasse. De oùilmettait toute sa comvosait sesromans
livre e xcellentd eH.Massis (qui m e Cahiers vert* n- ti.r.5.26.27. 32.22.
JeandeTinan quet. sang françaispa-rsa mère,desangita- depareils sincérité, toutl'effroique lui causaientsemble un
eieriiiintil. Zola. et cjc'<;plus«jus- Tîô. HT e tCnronique des IlLettres Francsise*
LarevueLeCap(critique, art,philoso- lienpar son père,il n'avait reçu,en d ésastres, choquèrent et boule- tes »/: de etc. 19Ï3. Actu-îe ouechuii^v' cu.'iierï v er*1,
Lt:'ivandu1eravrilestdédié ausouvenir phie),dontlepremier numéro vientdepa-naissant, ni génie f acile brillant, ni versèrent sonsiècle, maisellesne lassè- ;" 19
deJf-m deTinan
il '.aitlaGjeunesse
"dS2
pas
note érard
etil estrestélajeu-rel Hiver,
d'HouvlIIe.
eilli d'unjour7!lefeuillage:
son œuvre n'a
d'uneheure,aussipaslimitée
raître.réunitles
deFlorent
de
d IvanGoll.
noms de PaulHuffson,
H.Martinfe,
deMûr
Fels,et cfece Capla vuen'ésîd'ambition
labeauté,
dinaireassiduité
un
nilafortune,
a u
et unesensibilité
e t
maisuneextraor-eutdugénie.
n'avait,beaucoup
excitable
rentpersonne
que LeNaturalirne
insensible
triomphait,
et, par là.
aveclui,avec
Zola
Maisons recommandées i M.Babin,
A.f sep?rue
Ecrirv
M.Naud,
34, George-Sand,
:
Eii:uritfmal»?.-.
50,rueSébastopol,
Paris(16
!&U
Marseille.
i);
troublaitjamaissa sensibilité, Daudet(bienquece- K».1! :.ii:I.li.
re-pî'-xent
'û,.,
proches
hommes
nouvelle que
d'aujourd'hui
de sa sensibilité se
ironique
sentant
ou
et les LaRenaissance
toutblierunnuméro
triste,Thyrse. hors
d'Occident
série
vient
enHommage
d e pu. ne
pauvre. Il s'éleva l
ait Sonpère,aprèsbiendestentativesui-même et lui
asfezMaupassant,
seul.
etdes
lui-ci s e
dan.)Daudet
tîntà
avec
l'écart
(1840 à
d u
1897),
groupe d
plusmodéré,
e Mé- -
..iwww
Cahiers
Librairie
bruck (
Verts
Geffroy,
Sarre). 95, B ahnhotstruee,
27.1».
Sarre
l'aiment
M.Tristan
M.JeanLebey
et"admircnt
Derème
:
comme l'undesleurs.
a écritunpetitpoème.
reconnaît
DanslesTablettes
CitéFraternelle
Léon(nouvelle),
de février-mare
de L. Barbedette,
parEdouard
l'Oncle
insuccès,
la réaliser
d'Aix ;
avait
quelque
mais
f
une
ini,
chose :
mortsoudaine
Michel. prendreau milieude ce travail,et. la Comme
ingénieur,
comme lecanal
degrand
par
vintle
pluscultivé,
ceptive,
milieux t
et doué
raditionnalistes
Zola,sesromans
d'une
avaitadaptéle naturalisme
de
âme
la
plus per.1
aux: LEBOUQUINISTE
France.
et i: vardMagenta,
LUTECIEN,
à PIIrl.X*.envoie
14. b oule
franco
:
A
1 vt-ris.
offres
vernir--
!le157.
M.Bréauté,
Maria
i coupé. bon Caitf'de.iain'?.
trc- état.Adressa-
19,ruedeMiromesnil,
cahiers
Paris.
Tinanest un desspécimens-types
jeunesse
besoin de1895,
desincérité
vraiequ'elle voulait
qui se cherchait
insatiable
saisir,
de la Dans
avec un
danslaréalitéraines,
coûtequecoûte.
çaise
les cours
Remarques
: parEugène
del'Institut
sur leslettres
Marsan.
d'action
c
fran-
ontempo-
15
famille Zola
pasretomber
bon
dutlutterâprement
danslepeuple.
élèveà Aix,fut un mauvaisétu ce
Emile pourne
Z o'a,
documentaires,
et recherche
mais
plus
il use
sontsociaux
moins
letonlittéraire.
Zola,Daudetplutà causedestableaux
descien-
Comme :
sur de,nde son
anciens
Catalogue
et modernes
de Livres :
1 TrA*
Barrés
: fjîifiê-
j-':!.-. premit-rt-
nvecpuniesit?:.eh'",:.
M.Machiels,
«r-.iviv-
auQu.'trt:»'!Pl-ifjuette di' Maurice
13"E:-f!!\'
de
offre-:.
Atraverstoutcequ'elle vtvait; Dans
au fondde avril,LeMouvement la Revue de l'Université du dlantà Pariset neputpassersonbacca.populaires qu'il peignaitet du frisson Achat, 6, rue Vézetay, (S").
iii Ecrire ülfrl,liaNnel F:iur»\ troisLprands
ce quinousamusait,
blessait,
jeunesse
Cousin
voilàla différence
d'aujourd'hui
et malgré
nous
-
tourmentaU,
absolue
n'endéplaise
lui,eûtditTinan
avec
à
nous
M
la Hartenberger.
Dansl'Aned'Ord'avril.
freudiste,
Notes
par le Orlauréat.Il lui fallut
surl'ori-
gent pour
librairie
vivre, et
Hachette.Mais
on
g agner
levit
ilne
quelque
garçon à
ar-
la
qu'éprouvaient
reconnus qui
s'avouaitheursn'a\'ons-nOU3 se
en: le lisantlesbourgeois
disaient
i «
pas échappé
Aquels m al-
» Ni moriéeszième a u
expertises
livresrare et anciens
dix-neuvième
JulesMeynial,
et ventes
siècles
libraire.
publiques
desquinzième,
R eliures
30.boulevarn
ar
fn-qnrlno
sel Laroute
(Au
d
nois rJ;¡Y:->
aquarelles
* Grenoble.
Rey
esDolomi'es.
de
SurInVhi
pèlerinage
Bavard),
Villll:1!, Phototypies
mlJb,
Dauphi-
et
"brochL-"
decequ'ilexprimaitense flinaltté, par Henry Cabriliac ; te Renonce- pasvaincu, ilécrivait, sanssedécourager, ZolaniDaudetn'étaient, à proprement d*Pic-m1 ('i,lli¡."
méfiant
nous
même
efforcions
le Vrai,d'abord
à découvrir
parrapport
leBien.leBeau
nousment sentimental,
à notretemps DansArtset Lettres
par André Vialles.
d'atilourd'hui,
dedéplorables vers. I
un routes,assezplats.Il collaborait
l rédigeait despetits parler, d upeuple ( ouvriers
à des aussi,enont-ilsparléd'unefaçonémou-
et paysans) ;
'fr.ifl.
Haussmann. Pari? 9» Téléphone Cent
k
H 5-7? valeur fr..rabais
:::-II} r res!III P rOUr.:.

Les écrivains de langue française 1


afinmême demieux pouvoir atteindre en. poète m ystique, par Edmond Joly. journaux (Figaro,Evénement, Viepari-vanteet convaincante, l'un sur un ton
suiteà cequ'ils contiennent d'éternel comme laNouveUe duMidi, sienne,
leChe-159à 1868. Petit J ournal, Tribune, etc.). D e tragique, l'autre avec émotion et pit:é.
à laréalité réelle decetteéternité leBien, Dans Revue sa viefutdifficile. SacritiqueMaupassant (1850-1893) usad'undurmé-
leBeau ; lerrai,livre,dirai-je à -montour,valier Adrien Peladan, parBernard Lntza- d'artl'avaitd'abordfaitremarquer (Mespris.Il étaitleplusdoué desgrandsna-
quin'estpeut-être
rait,enpartie,
deCousin,
s'ajouterla signature
auquelpour-début rus,
prati-anglaise,
lesCourses
duX/Xe
par
deTaureaux
siècle,
JeanCatel; H.Chohaut
à
par Noëld'esclaves,
Nîmes au haines, -
; Poésieadroit,niamusant,4-1865). M
et
aisil
lesjournaux
n'étaitni
dela
turalistes,
le
et
plusoriginal.
celui dontl'esprit
Mais Il avaitbesoin
eùt été
de à l'étranger I
que deJulesSbibliothèque
imon quej'aide vue e n b-onne:
place
&feois. • dansla Léon Bour- i par Raymond-Marc
fredRobert. ; Palestriques, par Al- hautebourgeoisie
sèsdons.Thérèse
ne
Ttaqvin
pouvaient utiliser poésie, debeauté,
eut un succès malà sonaise dansla doctrine
devolupté etil se trou-
qui!
DansOcdu.20avril,lesProgrès duCa-sanséclat,aprèsquoiZolase maria.Il va pratiquait. L'ascétisme littérairequ'il I
M.PierreLièvre
Parisde1896
Lesétoffes
mousseline
t'intérieur
:
deenvogue
desoie,
er»*e
étaient
lesrobesdevilleétaient
faitUtae
l
1I;jllnoir
epétrin.
lepeignoir
description
étaientlesraJL,ta l'âme
lesvêtements
ella
etla
montantes,
marinée,
du talanisnie,

Milau.
le dé-parGuillot
par Jean
DanslesPrimaires
populaire
Vonkassovitch,
Dans l'Essor
Granpère.
bretonne,
Niçois,
deSais.
par
de mars,Renan
par PaulLehofs,
Phileas
Lenoyer et
et
Lebesgue.
ses
étaiten passede finircomme
mancier
dupremier
commandaient
noix,plaçant
estimé
et urvint.transformant
coup
» quand
Zola
(ilfut
sesidéesparmi
la guerre
parmi
presque
un d
ceux
« ro. s'imposa
e1870
qui
sous-préfet),
lestendances
de France.
loppant
luifut unetorture.Sesœuvres
furentpourtant
le public,mettantet sa réputation reçuesavec
estrestéeimmense
Celaestjuste,
lenaturalisme
à la et exact,en l'exprimant enun
enthousiasme
style
dansdescontes,
hors
enve-
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LITTEIATURE FRANCAISE !
Négligées
les lettres
jusqu'ici
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d'uneétudespéciale
fascicules (5i, p
dansiapiupa-n
rançaises à l'étranger
araissant
de la grandeHistoire
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danslesdouxdemi,:>r..:
aujourd'hui.
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tolletédejourn'étaitplusenusage, celui modeet stimulant d'unefaçonbrusqueMaupassant supprimait iesdeuxobstacles


ditsoirétaitdiscret. Il y avaitunelimite Dansl'Aloès. lesArts à Nice, par Henri génie.LeDestin, favorable enfin, l ui principaux quieussentgênéla diffusion
delàde laquelle femme étaittropDinay. son
tu
lécolletée. Lachafrnune e se montrait point fournit unamiinappréciable enla person- dela littérature nouvelle : l'ennui quise d I
publiquement.
Ipsgantslongs(Yvette
lesbrasdemeuraient
Entre l es grosse*
Guilbert
cachés.
manches
triomphait
Lesdanseuses
et
; Dansla RevueFédéraliste
rhodaniens d'avril;
Reynaudla France, Bouts rimés,
terre
par
des pays
Jacques ne
et
de Chnrnentier,
hardiquidevint
d'immigration, painquotidien,
deJ. Lebeau,et surason
jeune
s on
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éditeur,
l'aisance
a
lui
droit
as-
dégageait
oùlestenaient
puisla ledomaine
de cesgros
les
desarts
livres
connaisseurs
« et deslettres,
e t.lemépris
»>.(Dans
le res- en 2 volumes,
ILLUSTREE
publiée 50U:;;Jawr,?cJ(,il JI:' I
I
(tel'ifcadémie Nationale deMusique parL.Forcheron
et les leftctour. : Poème richesse et qui répandit sas grands ro. pect, h umaîn est une ' farce desnotique.

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1flur de Mu
figurantes aie-Hall ne se montraient pflt'ICfceph Joli non. Joseph BÉDIER 1 Paul HAZARD
u'enmaillot desoierose.M.Bérenger etla fran-tnanspar
lemonde. « Surtout enFranceu.diraitStendhal.) I
contrela licence desruesluttaientçaisDans hors
la Revue
(leFrance,
del'Enseignement
la tnnifite classique, et C'est a lors que Zolainventa, fonda et Letriomphe duNaturalisme fut com- delWcadtmie Française deia''rtjt.l!lnr'
çowr l a pudeur. Esthétique ounon, l e nu ses législateurs, par F.Graiffe. imposale Naturalisme, plet
Reprenantles sant.;devenait disait Hugo e t Zola Maupa.
n'étaitpasdanslesmœUT,)
sa moins desbasnoirs, v
il fallaitavoir
!- -..s..
--:-. =:=- idéesdeTuine,appliquant oellos deClau-
de Bernardà la littérature,suivant,liersfrançais
on «
classique,
lisaientlesContes
»
et tousleséco-
de mon d'ensemble
leplushautde IIIaIiM.
Cetteétude,
/,it,,
quin'estpasunesimple
critiijue et documenté a
bibliographie,
étéconfiés
mri? unvéritable
s
à(fi';^pï-rïtilisît
¡ù;,
¡j¡lTliru!ir"
pourin BELGlQLT II
Dussane écrit: OFFRES & DEMANDES crovait-il, les techniques de Stendhal, Moulin comme lemodèle C.CHARLIER, del'Cni\'(lrsik
Jecroisbienquertousvousenvions BalVac et Duraniy. Zola proclama que le ceque l'ondevait é crire. Al'étrnnczer le deBruxelies.
par M.Charly C 'LRGt
fois,Tinan,carvotre
t-os journées
étaittoutenrobé
superflues
:
vie futbrève,mais
étaientlonguesvotretravail
deloisir,desmousselines
jouaientautourde t'os belles
D'EMPLOI romandevait
nersur
!TUe la biologie
être« expérimental
luviesociale lesrenseignements
donnesur le monde
Aujourd'hui le romanest
Naturalisme
». don-désobligeante fixauneimagecrue,
de notrepays.Onse plai-
des saità admirernosviceset notire
Oncrovait voir enfin la Praritt.-
p arfois
génie.
réconciliée
M.RenéCIUTHERON,
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situation F
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O (aucomptant
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ceurs q ui e ntouraient été
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vies- nous vous
sommes stricts,nous sommaires, (irellet, Neufohatol (SuiF. rience scientiflqe. Il doitêtre rédigéet rarchisée dumonde, paraissait enlatrainde
vreux. etdansnotrerlpreunivers, l'acier est réalisécomme uncompta renduimpartials'ouvrirà tous,de se mettreà portée OnsouTilcheztOll,~.s'JL~'r<~
roi.Maisnousvousaimons
qU'Il travers toutes c es
surtoutparce
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