La Liberté

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

 . La Liberté. 1867-09-08.

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 Manche 8 Septembre 1867 Dimanche 8 Septembre 186^
papier etTirase fr. j PRIX DES ANNONCES
LA
LIBERTÉ
18
Timbre el port- ? J t.'n ii-amac cinquante eeuiii.es la ligne-
fr. par an. •— >.ï ho par tri.Ms[ro /^N IIM. CH. LM:!AMS et CEtiP, IlEGbSEmlS
64
Place de la Ikjurtc,
PRIX DU NUMÉRO : 15 CENTIMES /^l G

Vente en gros des Numéros à Parig~

Bureaux : Paris, rue Montmartre, 123 MADRE, EUE DU CROISSANT, N* 13;

septembre la Liberté commencera la publication de avec nous, mais elle craint que par la faute de retarder encore la suppression des du- que dit le journal h France des « décla- 1 droyer le ministre qui détrôné le
une alliance russo-turque, soit remis
Le 20 en'vigueiir. La Turquie ajoute que le gouverne-
de .notre politique cela ne soit-pas possi- elles du Nord, de donner une chance de rations officielles qui sont a roi de
fixer
LA COMTESSE DE CHALIS ment du sultan préfère avoir des alliances et des
ble ; elle ne comprend guère que- si nous succès à l'entreprise de la Bavière, d'as- devant le venues Hanovre. * l
rapports basés sur une bienveillance réciproque, et l'Europe les véritables Cette publication a eu lieu, mais
n'avons pas une arrière-pensée de'guerre surer à l'Autriche le temps de se retrou- directionspays
et continner, sur le pied ou elles sont actuelle- [le la politique française ? » doutons nous
OU nous nous obstinions à inquiéter la Prusse ver. Tout acte d'immixtion direct ou in-
ment, ses relations avec la Russie et les autres EMILE DE GIRARDIN.
qu elle ait tué M. de Bismark.
puissances. desseins, après avoir été l'instru- Il s agit d 'un projet de traité présenté
LES MŒURS DU JOUR sur nos direct de notre part hâtera, consolidera
Le Levant, Herald annonce que les équipages
ment complaisant de sa récente fortune ; le mouvement d'annexion, de cohésion, à Vienne par le comte de Reck
peu de
du vice-roi ont été embarqués pour Alexandrie, temps avant la mission du comte de Tauf-
elle ne s'explique pas surtout que si notre de concentration, d'un.ité. La popularité
mais que Son Altesse restera ici jusqu'au 20 sep-
PAR Les Trois Tronçons kirchen.
M. ERNEST FEYDEAU gouvernement a renoncé à courir les ha- de la Prusse s'est accrue dans les Etats
tembre. Le grand-duc Michel Nicolaciewich lieu-
tenant du czar dans le Caucase, doit venir à
sards.dans lesquels on rencontre la gloire il du Sud depuis l'entrevue de Salzbourg. En voici le titre et le texte
:
Constantinople visiter le sultan. résolve tranformcr enfin en Est-ce à dire cependant qu'il n'y ait Il faut en convenir, le journal la France
(Havas-Bullier.) ne se pas à se n'est ESQUISSE D'UN TRAITE ENTRE
Ce que l'auteur a voulu peindre, ce sont gouvernement constitutionnel et libre, rien à fairpl)otir rétablir le prestige de la pas en veine de polémique. REPRÉSENTANTL'ALLEMAGNE
LA PRUSSE
Il exhume du Moniteur ce passage du ET L'AUTRICHE.
les mœurs spéciales de ces dernières an- au lieu de se borner à nous donner de Fi•aiice? Non, certes; car c'est partout à discours La Prusse ne veut, en aucune façon, fi
acquitté l'indé- temps à autre des à-comptes insuffisants l'étranger qu'on sent durement combien prononcé à la tribune du Corps rT
nées, et il s'en est avec PARIS, SAMEDI, 7 SEPTEMBRE 1867 liberté. législatif par M. Rouher dans la séance du empêcher l 'Autriche de s'étendre en Orient k
pendance de pensées et la franchised'ex- de En cas de guerre on est résolu il est'amoindri depuis quelque, temps. car c'est ainsi qu'une digue durable sera opi \
à lutte terrible, acharnée. Aussi tous Mais je connais qu'une 18 mars 1867 :
pressions qui caractérisent son talent. Ce une ne alliance qui posée aux projets de conquête de la Russie, N
doutons pas, LE MAINTIEN DE LA PAIX les hommes sensés et de sens rassis n'en- puisse nous relever : c est celle avec la Li- Au lieu de cette coalition des puissances et que la paix de l'Europe sera assurée.
roman restera, nous n'en visagent-ils qu'avec horreur l'éventualité berté. Des que nous redeviendrons dans formées par les traités de 1815 nous aurons II. — Si l'Autriche ne met pas obstacle aux
comme là peinture vivante et vigoureuse d'un conflit qui serait un crime inexpiable l'Europe son porte-étendard,comme nous en face de nous l'ancienne Confédération di- efforts de l Allemagne vers l'unité, la Prusse
d'une société que fait croupir l'absence de contre la civilisation, qui établirait une le fûmes jadis, nous redeviendrons aussi- visée en TROIS TRONÇONS. Sans doute l'un se déclare prête à user de son influence au-
liberté au dedans et qu'agite notre funeste La lettre suivante, que nous recevons frontière de sang entre les deux nations tôt, d'un consentement unanime, la est plus faible, mais les deux autres, les deux près de la Porte, afin qu'elle consente à lais-
gran-
manie d'ingérance au dehors, source de d'Allemagne, se recol11n\ande à toute l'at- les plus cultivées de l'univers, et qui, en de nation, celle vers laquelle les peuples principaux, intérêts
sont séparés désormais par des ser le Monténégro, la Bosnie, la Serbie et les
*2> contraires; tous deux ont besoin de Principautés danubiennes racheter leur in-
complications et d'instabilité. L'auteur a tention de nos lecteurs. jetant l'Allemagne malgré elle dans les se tournent aux heures solennelles, com- la confiance, de la sympathie, de la grandeur dépendance - moyennant une somme d'ar-
choisi ses modèles dans les régions les duEcrite en quelque sorte sous la dictée bras de la Russie, l'obligerait à déserter la me les musulmans se tournent vers l'O- de la France. gent, et que ces pays, ayant une administra-
fait, elle confirme pleinement la jus- grande tâche'qu'elle doit poursuivre
plus élevées ou du moins les plus en vue tesse de l'idée que la léttre impériale du en rient. Ce n'est pas du Sadowa prussien que En toute sincérité, je ne voispas-d.ans cette tion indépendante, se placent diplomatique-
du monde moderne.LACOMTESSEDE CIIALIS 11 juin 1866 avait éloignée, mais que la commun avec nous, et qui consiste à conte- nous avons à prendre une revanche,c'est du situation un danger pour nous. La Sainte- ment et militairement sous la protection de'
cherché le retentissement; elle l'aura. du .septembre
nir et à diriger ce monde slave qui se Satfowa français, c'est-à-dire de l'avorte- Alliance est brisée: la Confédération est bri- S. M. l'empereur d'Autriche, qui deviendra
a circulaire ministérielle 16 menaçant, aux portes de l'Europe, ment du programme libéral de janvier. Si sée; des-intérêts nouveaux, des intérêts con- leur chef suprême militaire.
1866 et les deux discours- impériaux des presse, et qui déjà frappe fort pour qu'on lui nous ne nous y décidons pas, habituons- traires,existent entre ces Etats, qui ne mena- III. Sous ces conditions, la Prusse et
1 h janvier et 31 août 1867 ont ramenée. cent pas la France. l 'Atit,riche garantissentà la Porte ses
maintien ouvre. nous à n'être plus qu'une puissance de se- SiOllS territoriales, pourvu qu'elle accorde posses-
Cette idée, c'est le de la paix. Exhumer du Moniteur à
LES DÉPÊCHES TELÉGRAPHIQUES A0 Dans le Sud : Bade est presque enL cond ordre, inférieureen liberté, ainsi que ces trois tron- sujets chrétiens liberté entière d'exercer
EMILE DE GIRARDIN.
entier rallié à la Prusse ; le Wurtemberg; vous, l'avez dit si souvent, aux Anglais, çons, c'est extraire de la carrière trois pa- ses leur culte, et qu'elle cède l'île de Candie à la
se divise entre des bismarkiens et des ré- aux Allemands, aux Italiens, aux Portu- vés; et quels pavés !... car c'est rappeler Grèce moyennant une indemnité pécuniaire.
Allemagne A Monsieur Emile de Girardin. publicains; la Bavière hésite. Quoiqu'unt gais, aux Belges, aux Hollandais, aux que le lendemain du jour où M. Rouher IV- 7~ ce projet ne peut pas être réalisé
Berlin, 6 septembre. paiti prussien y existe, cependant ellei Suisses, aux Danois, etc.; ou bien accep- avait ainsi exposé sa théorie des trois par voie diplomatique, la Prusse prêtera à
du D'Augsbourg, le 2 septembre 1867.
On lit dans la. Gazette de l'Alleniag?ie reste très-attachée encore à son autono-- tons les périls et les responsabilitésd'une tronçons, cette théorie tombait, comme un l'Autriche, son alliée, le concours nécessaire
Nord : Mon cher ami, mie; et c'est de très-bonne foi que le; guerre impolitique, inexcusable, pire château de cartes, sous le souffle de M. de pour que l'Autriche s'agrandisse en Orient
Il faut rendre hommage à l'empressement J'ai fini mon voyage en Allemagne. J'ai les
<t
qu'a mis le gouvernement français a tranquilli- causé moins prince de Hohenlohe, que l'on croit à torti mille fois dans ses conséquences désas- Bismark. Le ministre prussien s'empres- armes à la main.
V. — Par contre, et prenant en considéra-
ser les esprits par ('envoi d'une note-circulaire. avec les politiques qu'avec les partisan de la Prusse, va essayer, avec; treuses que ne l'a été l'expédition du sait de se servir de la tribune prus- tion
Ce document d'un caractère émineml11' nt
ras- artistes, les hommes de lettre9lfles philo- l'aide de Frœbel, toute confédération dui Mexique. sienne, non pour faire un coup d'Etat cet engagement de la Prusse, l'Autriche,
mettra plus obstacle au développementde
surant. joint aux déclarations pacifiques répétées sophes. les indifférents, les femmes : par- Sud paraissant irréalisable, de préparer mais de théâtre, portant
ne
l'Allemagne
du gouvernement français, de nature à met-
tout, à tous les degrés de la hiérarchie so- la Bavière à accomplir * Vcile. un coup en comme Etat unitaire, èt accéde-
tre un terme toittesà les conjectures que l'entre- au midi l'œuvre EMILE OLLIVIER. brusquement à la connaissance de la ra pour sa part avec les Etats allemands de .
pro\'olJuéu,s. ciale, j'ai recueilli la même impression; et d'absorption et d'unité que la Prusse vient France et de l'Europe l'existence des trai- la couronne, à la fédération allemande.
vue de Sali bourg a. ;>
Ee lin, (î septembre. tandis qu'il n'y a pas en France un seul, de terminer nord. Mais si cette tenta- tés des 17 et 22 août 1866, secrètement VI. — S. M. l'empereur d'Autriche consent
au
Une dépêché circulaire adressée aux représen- ministre qui puisse dire où tend notre po- tive échoue, qu'il est permis de crain- UNE OMISSION conclus, le premier avec le grand-duché à ce que ses troupes allemandes, en cas d'une
exprime h satisfaction du litique étrangère, je n'ai pas rencontré ce de l'Allemagne avec une puissance
tants de la Prusse un la question soit posée dans ces de Bade et le second avec la Bavière; trai- guerre
gouvernement au M;}fit des coimmmicalions qui seul Allemand, jeune ou vieux, ignorant dre, et que étrangère, soient placées sous le commande-
été faites parles cabinets de Paris et de termes Autrichienne ou prussienne? la Le journal la France livre à énu- tés par lesquels ces deux Etats plaçaient,
lui ont
leurs armées sous le com- ment en chef du roi de Prusse.
Vienne. relativement au voyage de 1 empereur ou instruit, qui ne connaisse et n'explique Bavière répondra : Prussienne.
: se 1
mépation qui suit en cas de guerre, VII. —S. M. le roi de Prusse mettra un..
de; Français à SalzbouTg. la politiqueétrangère de son pays. Vous :
mandement de la Prusse.
BAdin, 6 f,r:ptcmbre, soir développer longuement le résultat de mes Si donc à Salzbourg on a voulu prépa- En trois circonstancessolennelles, des dé- nombre égal de ses troupes à la disposition,
agression prochaine contre la clarations officiellessont Cette déclaration imprévue, cette dé- de l'empereur d'Autriche" et sous son com-
On l'onsidere comme probable une entrevue de investigations, ce n'est pas possible dans rer une venues fixer devant claration à la fois tardive et hâtive, c'était mandement, dans le
la reine douairière de Prusse avec sa sœur, l'ar- une halte au milieu d'un voyage; toutefois, Prusse et recommencer une nouvelle édi- le pays et devant l'Europe, LES VÉRITABLES cas où l'Autriche serait
chidnehesse Sophie, mère de )'e;hpereur d'Autri- la Sept c'est une DIRECTIONSDE LA POLITIQUE FRANÇAISE. la réponse de M. de Bismark à cet autre menacée d'une guerre avec une puissance
de franchir la frontière allemande, tion de guerre de ans, étrangère.
che, pen,Lw: Id séjour de Sa Majesté au château avant folie. Une première fois, le 16 septembre 18G6, passage du discours de M. Rouher, égale- VUI. —Les Etats d'Autriche et d'Allema-
de Siolzenleis je voudrais résumer en quelques proposi- ment rappelé le journal la France
1ioiis substantielles ce que j'ai entendu et Si l'on s'est borné à méditer une orga- par la circulaire de M. le marquis de La par :
Valette. gne confédérés se garantissent réciproque-
nisation de la confédération du Sud Quoi la Prusse serait pas satisfaite ment leurs possessions territoriales, et con-
ce (lue j'ai vu. Il me semble que cela ne sous ne
Espagne
Madrid, 6 septembre. protection l'Autriche, c'est Une deuxième fois, le 15 février 1867, par Ses limites seraient
la de une le discours de l'empereur à l'ouverture de la pour des SIÈCLES ne pas solideront par là la paix de l'Europe.
En vertu d'un ordre royal du 1. septembre, tous sera pas sans profit pour d'autres que pour utopie.
!

déterminées par le traité de Ni Kolsbourg; ! IX. — S. M. l'empereur d'Autriche con-

les ofticier" '. ;"":rmission ou en l'elraite devront mOl-même. session. voudrait jusqu'au Zuyderzée.
se p;ése:v-:'. avant le Ili rcurant. devant les 1° Les annexions opérées par la Prusse L'heure de toutes ces velléités est pas- Une troisième fois, le 18 mars 1867, parle Elle
go::',',:!", :.--s militaires des d "sti,let-. où ils résident sont définitives, quoi qu'en disent les jour- sée. On peut retarder l'arrêt du destin, discours de M. Rouher devant le Corps légis- à
aller sent à ce que, par un arrêt du Parlement, les
La Prusse, messieurs, donné à la France, mêmes lois, monnaies, mesures et poids qui a
ac'ueV .v. -,Iit. mais le Le rôle allemand de latif, les interpellations relatives af- cet égard, les garanties les plus absolues. sont en vigueur en Allemagne, soient intro-
naux. soutenus en France ou ailleurs par non casser. sur aux (Mouvement.) Si la France n'y avait pas cru, duits dans les pays allemands de sa cou-
le roi de Hanovre. Une minorité dont les l'Autriche est terminé, irrévocablement faires d'Allemagne. elle n"1aurait pas souffert de telles ambitions. ronne.
terminé. Il lui reste plus qu'une lÙis- X. —'S. M. l'empereur d'Autriche se fait
rangs s'éclaircissent tous les jours pro- Cette énumérationlaudative se fait re- (Très-bien ! très-bien 1)
Etats-Unis

New-York, 6 septembre. ne
sion, et qui être glorieuse et utile La France accepté les conséquences couronner dans chacun des Etats de sa cou-
Lca démocrates l'uut emporte da ns les élec- teste seule. La masse approuve, ratifie et pourra marquer par une étrange omission. a
limites, et je crois ronne et nomme ses frères et cousins vice-
lions de la Californio témoigne sa satisfaction. Quand le roi de à l'humanité : c'est de constituer le cen- Elle omet la « circonstance solen- d'une guerre qui avait ses n'accepte
Prusse est- venu visiter Cassel, ln. ville, tre autour duquel se grouperont les Slaves nelle » du Il juin 1866, celle des quatre ses nécessités; mais elle pas les rois de ces Etats. Ces vice-rois assisteront au
déréglées et les prétentions sans grand conseil des princes allemands (dcuts-
Egypte m'a dit un témoin oculaire, ressemblait à de l'Ouest, dont les croyances se ratta- circonstances solennelles qui, dans l'or- ambitions très-bien!)
SllCZ, 6 scptembrc.
vase de fleurs. C'est à Francfort sur client à Ronic, pour résister aux Slaves de dre des dates, aurait dû être rappelée et limites. (Très-bien! cher. Furstentag).
XI Enfin Y Autriche exige que la Prusse -
[,p [laquebet des Messageries impériales YEr.y- un l'Est, dont les viennent de By- A la réponse de M. Bismark qu'a ri-
tout que la résistance continue avec une croyances citée la première. laisse à chaque Etat allemand une adminis-
Vfmntnc, apportant les malles dl) Maurice et 'de La noble et héroïque Hongrie, posté le gouvernement français?
ia lîéiîftion, l'Sr arrivé ici ce malin. La santé était certaine obstination. zance. con- Elle omet La mémorable et ineffaçable tration indépendante intérieure; qu'elle ga-
Loane à àiaurice. S0 La Confédération du Nord s'organise duite par son Deak, ne demande qu'à la lettre du 11 juin, adressée par l'empereur Nous l'ignorons. rantisse à chaque prince allemand sa souve-
c'est l'unité
sans difficultés sérieuses, et quand la seconder dans cette tâche; et elle y inté- f1 son ministre des affaires étrangereg, M. militaire Ce que nous savons,
l'AIIemag'ie, ainsi
que
faite téné-
raincté, et qu'elle rende, à l'exception du
Grande-Bretagne
Prusse lèvera le doigt, elle se convertira ressera sa population allemande, et elle Drouyn de Lhuys, et lue par M. Rouher, de -
Slesvig et du Holstoin, les Etats annexés à,
LOllLlrcs, 7 septembre.
immense annexion. Les petits la retiendra ainsi si elle se dégage du son ministre d'Etat, à la tribune du Corps breusement, ainsi mystérieusement cachée i leurs
ancien3 possesseurs, en se réservant
en une
(Oftlcieî). Le consul britannique en Egypte an-
princes ne durent encore que par la grâce concordat et si elle devient libérale. législatif. d'août 186t.>'à mars Ï867, ainsi brusque-- seulement la diplomatie et la force armée de;
rien continue la mise liberté Etats, afin de représenter à elle seule au;
nonce que ne en
dc's prisonniers anglais en Abyssinie. Le patriar- de M. de Bismark, qui, pour le moment, Dans une telle situation, la conduite de Pourquoi cette omission? ment proclamée, n'a pas empêché que deux; ces dehors le droit de l'Allemagne.
che arménien est sans nouvelles des prisonniers. paraît résolu à les laisser en paix : ce qui la France est toute indiquée. S'abstenir Est-elle involontaire, ou bien est-elle mois après le roi de Prusse et le comte de XII. — Sous les conditions précitées, les'
est très-heureux au point de vue du dé- rigoureusementd'intervenir soit par des volontaire ? Bismark ne fussent les hôtes de la France, Etats allemands de l'Autriche, ainsi que lai
veloppement intellectuel et artistique de actes, soit, par des paroles, soit même par Serait-ce. parce que la lettre du 11 juin le roi Guillaume logeant au palais des ' Bavière, le Wurtemberg, le duché de Bade
Russie
Saint Pétersbourg, 6,sepfembre.' la nation allemande. des voyages de cowloléancc: ; renoncer à 186G proclamant la « NEUTRALITÉ ATTEN- Tuileries ! EMILE DE GIRARDIN. et la Hesse, accèdent à la nouvelle Confédé-
u Invalide russe public IIJI articlesympalhique 3° Une fierté patriotique, joyeuse et des armements saperfkis, inquiétants et TIVE » serait en désaccord avec le discours ration allemande, et reconnaissent le roi da'
à l'iit-'iirreciioti bulgare. Il dit que tous les peu sûre d'eHe-mêmc, anime tous les ruineux; vivre en bonnes, et loyales rela- du lh janvier 1867, où cette expression a Prusse, Guillaume Ier, comme empereur-
oies s a vos du sud ,lui\', ut. faire une 1., vée de bou Je n'ai rien • cœurs. Le comte de Bismark foudroyé d'Allemagne.
îiiers pjur 'donner la. ii!i"f':c :ntx Bulgares. - aperçu néanmoins qui ressem- tions avec la Prusse d'abord, puis avec été remplacée par Cel,le-ci : « STUÏOTE
- J blat à de la haine contre la France, et
en- l'Autriche et la Bavière ; leur laisser ter- NEUTRALITÉ'7 )) Nous prescrivons à notre correspondant.
cof'e moins au désir d'une rencontre avec miner leurs affaires i. leur gré, sans s'en Si Sa lettre impériale du Il juin 1806 Un journal allemand imprimé en fran-- fie Berlin de nous envoyer des nouvelles
Turquie
Con-Uiiiiiiiople, 0 septembr?.. jeile. Tout au plus ai-je constaté un peu mêler d'aucune manière : \(;;!iL ce que !a et si- le discours impérial
du v. janvier çais à Paris, la Situation, avait annoncé' de 51. le comte de Bismark par le téléara-
Lo journal la T(ir(>itï démotît. l'r.raeriion ilti d'ironie et- beaucoup de défiance. Cette na- sagesse cOIlsciLe, et plus encore la nécessi- 1867 se ressemblent,comme la guerre res- avec fracas
depuis plusieurs jours la pu-• plie. A. FAGNAN.
'/T'mf [It-rfild ! ic \ '.iUî:«r Skei tion v.''u:!!'ai', vraiment vivre eu amitié té. II n'existe pas cn elft-t d'uni ; e move-i semble à !a ;.ai:;:. mie faut-il penser de ce blication de documents oui devaient fou-

SPECTACLESDU SAMEDI 7 SEPT. Haas Dais BOURSEDU

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SEPT. Précéd. Premier Plus Hits nRiirAT10»JS Précéd. Dernier Bans-jBa.*- PRIMES- LIQUIDATION FIN PROCHAIN quiétudeparmi le menu peuple de la. Bourse; tats du pape, et de faire retourner Garibaldî
16 btlfiùS HI / jLrii clôture cours haut bas C) 'I: rOliLIC-ATIO%'S ciôu:ro. cours $la se et alors chacun de vendre du mieux qu'il à Caprera. Au reçu de cette dépêche, M. Rat-
tazzi invita trois des amis de Garibaldi MM.

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leur en a donné l'exemple. On ne parle plus cher Garibaldi à Orvieto. Celui-ci ayant déjà
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Lft Cravate blanche. 50 1367 50 1363 7s à
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VAUDV,VILU. — La F.cu-iiille
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C'est donc,encore en définitive,à l'état ché- l'entrevue eut lieu dans ce v!!!ac.e, et c'est là
tif du marché,accablépar le moindre redou- que fut décidé le voyage de (;aJ'ib:¡ldi A Ga-
Gerols'ein. —Un Fait-Paris. jUÉDiTAGiuc.,jKi,T.-JHn'. cpt m Nord 319 ... 319313
... M'idi
blement de malaise politique, qu'il faut nous nève.
7 ?/Jt, j»a ... ,-ki)>al.
La Grammaire. -
I n Coup do ,,eilt.
La Mariée du j. nui-novcnit. f«t... 31
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en prendre de la réaction de la Rente; des L'ancien dictateur a donc complètement
.....•• Sociétés de crédit et de toutes les valeurs <hi renoncé pour le moment à toute entreprise
immobilière..dl -101 ..... ~
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Le Juif errant.
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*n: REPORTS. — Fin courant. Trois heures.—Le o ('?//(> ferme à G'.) 70.—
Baisse, 10 centimes. On nous mande de Rome que l'on a com-
,,-"Ji u. —Peau 51 290 291,2;) 293 285 .. 293 75 Est <*> DUi
7 0/0 d'âne.
i. — PRINCE-IMPÉRIAL.—Cirque •,•••!•*
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GfiF!!RAi.E cru 5237.. 525
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.. M5 ..iArdennes 312 50, di oO 1 ..
M. MONBEL. mencé à vendre l'ameubtemcntdu comte de
J. ril-octobre 525.. 523 ..' Daupltiné 313 a0; ... Sartiges. Notre correspondant ajoute qu'en
....
¡Si
e 0/ 523 50

........... fesi»: ::'i::..:: S£:::: :^t

ATRE DU
Américain. — Exercices équestres.
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ciH •- '-OMPTOlft ,D¡¡::;C,:-)M:'l'E..
.. (i'iz ôU
!" TS' 50 Victor-Emmanuel., M .à ... Ouest A
... conséquence 011 ne croit t as au retour de
8 0 .iO t:<x:nriï.s- PARISIENS. La Bonne aux 31 .... j. fevricr-aoùt.
671 50 670 .. 680 ..ti — l1SÔ3
Lombardet S.-Autr. ..... 107 ..1
9,16 7o, 75S 50 .:1 175
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M. de Sartiges a. Rome,:yt que son rempla-
.....5 ^.. ORLEANS ...'.. ......
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)-a)nël)a?. — Le Spectre jaune. — La
Main leste. — L'Homme à la mode.... '.
de Caen. ....|.2 50 .NORD.
FANTAISIES - PARISIENNES. — Le Calife ......2
de Bagdad.-^Le Nouveau Seigneur, ..i
Les Soufflets. ..
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J. mai-novembre
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TROIS HEURES
Berlin, 7 septembre.
L'ordre pour la convocation des hommes de
çant intérnnaire, M. Armand, serait destiné
également à un autre pos:e.
Le duc (L.\ode, fils du roi Vidor-Emma-
903 "
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^ 'ii p-.ÏLIES-TFAINTGBKMAïK. — Le Médecin
5^. 1.,Rl,S-LYON-"Ü:;DIT£na. cpl 90.3'.! yu2 :Jo !.... û ,,!;r<i.rà d'ESf'a¡::ue....
^543'0 ..!-;l'oriugais 50j
....| .... ...... Cr 'emob. e--.... à
lUl! 50 1...1
dît : ^rd-fcspasn* » confiance
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du Slesvig-Holstein vient d'être pré-
• •
nuel, vient d'offrir par lettre, au ministre de
7
des cnfaniS.
3 7.j >. niai-novembre
2 aO MIDI.......
y; 9i;3 23
..47 o(T
'Ligne
.-••••! ^ ^ .....1 .. sS t'u Cl-nisi.... ... * ... *• d a
•
Barcelone ... A
sente à la signature du roi.
cpt --.y 50 'V'"68-, " " la guerre à Florence, sa démission de géné-
93 ..¡...:1....
a0t .1 ......
de-Lille, '1803, 3
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? ! j h FGLllhS-DRA:lÕATIQUES.— Les Canotiers
de la Seine. — Monsieur. ....2 1 2a!
50,OUEST..
j. jniiTitr-juillet,... 31
| c;:' 5\6 ")' <-Xa 231
571 -ol
Ville ue Lille, 3 0/0,1 9j 50
ut" *.!:Vil!o
.1:
7.3
t-6
à .:..
tiUill.-Luse:ii!,
A
sue,
' ... position
Le Reiclisrath doit être saisi d'une d'une pro-
ral de ral'lllÔc italienne. Le jeune prince
,.!.3 73' j. an¡J-OCIGiJre.. -V-
!!! !.laûobaix, il 73 ..!.. 2;)¡.... •:<
pour le règlement du service militaire
A, ...
T. Y. Túurcomg. 23: C* transatlant
7 S//» tEAUMARCHAis.— Marthe la Lorraine. Si 573 T, " 5-0 a a • «
populations maritimes sur les bâtiments de donne pour motif de cette démarche son
. 30'.... 'vB.DBSOBOx-CaAKBKTÎs .rij "35 !!:.Ville de Bordeaux.. -0 .. 90 ..j Gaz, C" paris ... des

i...
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0 oii,' TKÉATKE DÉJAZLT.— Clôture. " i'Viiiode Rouen.............
% 50 A
..I.... j. fevrier-aoui ai 340 Mt, ........... ...
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... , immobilière.. la flotte fédérale. désir de laisser l'avancement libre à ses col-
1 20f "... ilKSîAG. liip. MAiUTiMss.
à C6
7 Ajk idENLtH'lA!sIRs.-L'Ahuri de Chaillot.
^ cpt 728 75 j3j "\ 730 ..j Comp. immobilière. 170 .. no
• ••
Le prince Frédéric-Charles fera prochainement lègues, en raison des réductions opérées par
ti vil' FOL'ES-MARiGNY•—L'Hériage du pos- J. juin-djouuitic 31 7S2 50 ii
tillon. — M. Benoist. — Une Farce ....!....jC'PAaistEKSSDC l..,Z,..... C;),. 1572 50 1573 157250 „IVKBS*8
J)j
. R....5 •• un voyage dans le royaume de Saxe, pour inspec- mesure d'économie dans le personnel supé-
.....7 fer Lyon Gr- - BULLETIN FINANCIER ter le continrent saxon, qui forme le 12e corps
8 0/0
tIe fumiste. —Un Pierrot en cage.
CSRUTNS DE L'!MPÉRATR!CH.
tî'questrcs. t Exercices
.......,;ll0
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J. avr:.'—-ictobre
CAK.vLiiARZTi«EDE
j. FUrld-)u;!!el 31
3,1
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310 .. iài.i
.. 815
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31 > Cii. fcrLignedItalie
310 .. Cildefer daMeuoc. 2a0 .. ;
..to
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a.3 de l'armée fédérale du Nord. ^ rieur de ''armée Italienne.
315 ..i Eut. ^ai- g. Par..
JJÔUX heures. — Consolidés, 9A hjS L'um;)cre.'r Francis-Joseph et l'impéra-
C'TuaasaTLANTIoob.... cpt 325
.. 323 50 oc- 50 <>25 à
8 0 '0 LA rAYKTTE. —Le Pont du Diable. .. ..
2 50 i. j.unier-J,"¡¡¡el,:::: 3i aox 322 tn !....]
.... 322 50, Cre«. ihoS'I. ttausn. •• Genève, 7 septembre.
'.'.L... 5 biilO^lLlÈSK... cpl 1^8 1-27 50 12S 76|jSoc. C. jnù. Amsler,
»
292 aO
5/8. Baisse, 1/8 0/0. tric,; i,tis:'bcttt se tendront au commence-
'...1.3 731 J. ¡..¡nier-juillet 75
Pav* Garibaldi est attendu demain. M. Fazy a été
SPECTACLES DU DIMANCHE 8 SEPT. 31 132 50 130 128 73jig^nlue * 430 Les jours de haussa ne S.-J suivent
_ pas. un chargé ment d.) la semaine prochaine dans leur
Mirés,...... sûr lendemain de lui souhaiter la Bienvenue. Dès appar-
propriété hongroise de ()(u.lcdlœ pour y sé-
OJ-KRA- —
Relâche...
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peut presque vendre à coup le
des jours d'amélioration. Tout le monde ce- cevoir
tements sont préparés à l'hôtel Fazy pour le re-
journer quelque temps avant leur départ
"..i....,,
Cri,spin. rival de iSi)K5-^3'-'fv.- ".rt1-'
THËATM- t-RANçAis.
maître, Les Folies amoureuses.
, , son
— Ba-
*.
STATS-UWS Ci 0/0
j. janvier-juillc'-..,.. 31 83 5/16 ICorapt. CJ i iyrie.... ••
bia ...5 pendant s'y laisse prendre. [Ilavas-Bullier.) pour Paris.
— (soc. l'ApjirovijiOn. •«
On croit à quelque commencement d'une
OSLÎA-COMIQUE.
- Galatee. - Fra Diavol .... 1 W> CU. DE fkk AUTRICHIENS cpt
j. janvier-juillet
488 75 48S 75 .487 50 490 ir. 900 .. 92> .. 2j
Cail, act de "JO
.. Vieiiie-iloatsgne JiJ t-10 ...2
......
.... série de mises aux enchères des bonnes va- L'agence 1 lavas était mal renseignée lors-
François le Champi. Le i .... .ta- •2 50 bi oiS7 51, 487 50 490 .. ..
3"7 50 Docks de bt-Ouca.. lïJ
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qu'elle a donné comme rectification de sa dé-
leurs, et qui ne revend: pas aussitôt reste
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c-oÉrOîN1. — Girodot.. SUD-AUTRICHE-LOMUARDcpt
j. luai-novembre.....
387 51 390 ..
5 ..... 383 75 Docksenlrep. in-ars. J 2V0
., DERNIÈRE HEURE.
poeiit de César .1 25 al¡ 390 .. 383 3i7 50
in pêche erronée que le baron de Holstein était
THÉArI:.E-LYRIQ.UE.-
Le Freyschutz.
Aiedecmma.gié lui.
Le
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Vicîoa-EMMAMUKL.....cp;
J. j¡:,nÙ:r-hiileÎ 3t
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Union des Gai .... ijw •• 1.5 détenteur de la marchandise. C est là le
grand vice de notre marché, épuisé d'argent appelé de Stuttgard à Paris pour remplacer
Demi-Monde.- Affaire est

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Ca. DE F]îR iiojuiss Soc. gén. i020
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OVMNASE.—Le
arrangée. La Vertu de nia femme. " "
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de spéculation. Nous avons annoncé hier que des repré- M. de Radowitz, deuxième secrétaire d am-
Itadowitz est le
Toute nouvelle est bonne pour revendre ce sentations verbales faite par M. Nigra au- bassade. Le successeur de M.de Holstein n est
—
VAUDEVILLE, — La Famille
Benoiton.
vAïULTKS. — La Belle Hélène. "
j. JaLnvier-juiUet IStii 3-i 175
t CRÉDIT MOB. ESPAGNOL,
c'l" 197 56
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197 50 01>!ig. 0l'l9n}aneft,;-.-, 247-50
200 .. Snapr. tunisien iSjj
3) 60 31 7o
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qu'on a acheté. Tantôt c'est un article du près du cabinet dos, Tuileries ont eu pour comte de Lvnar, et le baron
le quatrième secrétaire
FALAIS-ROYAL.— La Mariée du
mardi gras.¡,,
La Puce à 1 oreille. -3
ô 7',
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J. janvier-juillet
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. Journal de Saint-Pétersbourg qui fait ap- conséquence la résolution de changer fonciè- que le troisième ouPrusse à Pans.
La Grammaire. —
CHATELET. — Cendrillon, ou
-nerveilleuse.
la Pantouflee ' " 'i "
' j,Janvier-)uillcl......
sEn:'!;E-X'El:llS-CADIX
j. jauïier-j;:;!!et
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•

•
pel à la grande agglomération des Slaves par rement la position de la légion d'Antibes, à de l'ambassade de
le soulèvement des Bulgares ; tantôt c est un t'égard de l'armée française. Ce résultat a On annonce que M. Cassan, employé su-
PORTF-SAINT-MARTIN.—La Biche au •: Nord DE l'ÛSPAGNB cpt) " , 72 .. \)bl¡g. Aulricl1. 155. 333 75 331 25 discours du grand-duc de Bade qui vante a été communiqué par le télégraphe, le 30 août. périeur
7)
de l'administration des postes aux
67 c
Le Juif errant. •*» •• •* " j. janvier—juillet..... 3ii 75 "* ^0 "l " " .. ''' •• l^éridionauiû--îuher. 210 «
sujets charmes de l'absorption prus- à M. Rattazzi.
in -0 " SARAGOSSK APA)!pEn;r<B cpt 37^- . Bons Loinb. JSiiS-70 497 50 ses les sous peu à Paris, pour
Le gouvernement français, en prenant cetL Etats-Unis, arrivera
tMBiOU. — •i %i Il 31 o0
«JTÎTÉ. — Peau d'âne. " déjà disciplinés
BhWfMMARgKAis.— Marthe la
Lorraine.
.2 59 .. • • iaayjer-juiliet 31 Sons Lonb. 1871-70 443 75 443 75
.. sienne, et les félicite d'être voies à un traité postal entre
.... y préparer les la république
SaraS06S6 a UASicutoBB Cpt I- t)bl.Fof!Q-d'JHllr;0. ggO
' FOLisb-SAiN-r-eERMAJN. - Le Médecin dc;,.
ii- i. avrii-ficl.obre...... 31
52 50!
jr. ! ¡pagarùs........... .....
....50,;Empr. et économisés à la façon de M. de Bismark. engagement, demandait en même temps que! la France et américaine. —
•! .. o. PoiiTL'ÇAls, C. ROY.4j.iI,. cpU
3l! 60 " 6' " ' \ 67 tunisien 1867 ?io .. SI Ces prétextes suffisent aux baissiers ordi- le cabinet de Florence se chargeât d'empê-
roi.tçs-DRAMATiQUES.— Les Canotiers de lfj!
••
.7 50 .... jFoNci»«tD'AuTtticHE....
janvier-juillet Ç0 60 .. ,.
... \ 60 ..liKrapr. danubien.... 61 % 61 % !
naires de la plUce de Paris pour semer l'in- 1 cher toute invasion garibaldiennedans les E- ET. JUNCA.
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eptt 63) 73^ 1
•[ mai-novemLire 3P 637 210 ' ...
MENUS-PLAISIRS.
L'Ahuri de Chaillot.
—
j .. "
 ——?
blée de faire retirer cette phrase du rapport.. la Bourse, pour se continuer ensuite, tou- 1793, Hébert, rédacteur du journal le Père - - " *
nistres qui a lieu aux Tuileries ,J,');tnt le dé-
Cette proposition est adoptée.. jours en droite ligne, jusque dans l'axe d*u Duchesne. Après le 10 août il fut nommé part de l'empereur pour Biarritz
NOUVELLES D'ESPAGNE Les résolutions suivantes sont alors sou- nouvel Opéra.
-1 membre de fa Commune de Paris, procu- Nous avons reproduit avant-hier, en nous
mises et adoptées par rassemblée : Li première section, entre la rue du reur, puis syndic de cette sanglante adminis- y associant, une réclamation de Y Epoque, On lit. dans
11, Le congrès pense que les efforts tentés s Temple et - la rue Saint - Denis, est ou- tration. qui se plaignait de ne pas recevoir ses jour- la Co rresp o / Ï lance générale
C

aujourd'hui par les associations ouvrières, verte aujourd'hui. Elle s'arrête à la rue Il est assez curieux de rappeler ici la com- naux d'Angleterre en même temps que ses de Vienne :
'Xous empruntons les détails qui suivent s'ils se généralisaient s
dans la forme actuelle,, Thévenot. Voici, d'après le plan officiel, la position du corps municipal de Paris durant lettres de Londres, et nous avons constatéé
,
M. Rouher, ministre d'Etat, quj s'était rendu à
lt notre correspondance de la frontière tendraient à constituer une quatrième classe3 description du tracé depuis cette voie publi- la période révolutionnaire. Sur 200 magis- que nous nous trouvions absolument dans lee Vienne en quittant Calsbad, a quitté notre ville
d'Espagne et de Bayonne : ayant au-dessous d'elle une cinquième classe3 que jusqu'au boulevard des Capucines. trats, on compait 31 Provençaux, 21 Lyon- même cas que notre confrère. le h au matin ; il n'a pas eu l'occasion de voir M.
plus misérable encore; Pour se cont inuer, la rue de Réaumur doit nais, 19 Artésiens, 18 Auvergnats, 17 Cham- Nous lisons au jourd'hui dans ce journal : de Beust, qui n'est revenu qu'avanf.-liier de Gas-
6 septembre.
2° Que pour obvier à ce danger il est né-- entamer le massifdes maisons de la rue Thé- penois, 16 Bretons. 15 Limousins, 1A Borde- tein, etil n'a fait ni reçu aucune visite officielle.
Nous devons à la. justice de décorer que nouss Le nombre des invités au dîner donné avant-hier
Ce que j'avais prévu et que je vous annon- cessaire que le prolétariat comprenne que lat venot, du côté des numéros pairs. Quant aux lais, 12- Suisses, Il Piémontais, 5 Prussiens, avons reçu ce matin nos journaux anglais
en n en honneur par l'ambassadeur de France
çais dans ma dernière lettre est en effet &r- transformationsociale ne pourra définitive-- immeubles Impairs, ils devront avancerpour 3 Danois, 3 Italiens. 6 Autrichiens, 2 Améri- même temps que nos lettres de Londres. Nouss étaitson tout fait
rivé en Espagne. aimons trop a compter sur la bonne administra- subit est attribuée a restn int. La cause de son départ
ment s'opérer que par des moyens agissantt; se mettre à l'alignement de la nouvelle voie, cains, 1 Suédois et 6 Parisiens seulement. a une dépêche qui 1 invitait à
On a manqué d'unité, on a agi sans en- sur l'ensemble de la société et conformes à la1 circonstance qui doit entraîner plus tard leur tion de M. le directeur général des postes et surr revenir retard à Paris.
l impartialité de M. le ministre de l'intérieur, sans
semble, et Narvaez a détruit par petits pa- réciprocité et à la Justice. expropriation. RUE DE CLÉRY.
quet,i; toutes les bandes qui se sont formées. 3° Le congrès pense néanmoins que tous' Un arrêt du conseil, du mois d'août 163li, jourd bui par leque
pour supposer nous ayons été favorisé au-
A l'extrémité droite {le la rue Thévenot, le hasard. Ne doutant-pas qu'il eni Tous les amis du marquis de La Valette,
On fait en ce moment un relevé général de les efforts des associations ouvrières doiventt tracé la des Miracles, détruit ordonna l'ouverture de demain jours même
toutes les forces qui ont pris part au mouve- être encourages, sauf à faire disparaître le; l'impasse coupe cour cette rue, qui prit s, ra et les suivants connue il en a ceux qui avaient regretté lo fin de
de l'Etoile pour déboucher dans la son nom de l'hôtel de Cléry, dont les dépen- été ce matin, nous ne pouvons qu'adresser noss de la circulaire du 1C septembreque 1806 fût en
ment. J'estime que le nombre des Insurges plus possible de ces associations le droit de: rue des Petits-Carreaux, dont la surélévation dances aboutissaient alors fossés de la remerciements à qui de droit d avoir si bien en-- contradiction
aux avec le <x.nn!i)encement. l'ont
.a été d'au moins 1:2,000 hommes. prélèvement du capital, sur le travail, c'est-à-' présentera des difficultés de nivellement qui ville. tendu notre réclamation. félicité de n'avoit-
Prim a dû être bien désappointé. dire y faire pénétrer l'idée de mutualité et, entraîneront l'expropriation d'un certain Dans la maison portant le n° 97 demeu- Nous devons constater aussi de notre côté circulaire du 35 aoÙJ,. pas été ]e signataire de la
Il est évident aujourd'hui qu'on l'a trompé de fédération. Jamais document di-
nombre d'immeubles. Voici seulement les rait, au moment de son arrestation, le poëte que depuis deux jours notre service se faitît ptomatiquo annonce
et qu'on a voulu exploiter et la popularité numéros des maisons qui doivent être démo- André Chénier. avec prétention/attendu
régulièrement. Nous remercions la directioni avec^impatience n'a produit moins d'eifct.
qu'on lui prête en Catalogne surtout, et son La ville de Genève ne s'appartient plus lies, d'après le plan officiel : nos20,22, partie - d'avoir fait droit aussi promptement à notre3 Aussi, a-t-on qualifié de I(t:t\- de faire
çourage bien connu. des 23, 2h, 25,partie des 26,27,29,31 juste demande. - ET. JUNCA.
Cette fusion du parti démocrate avec le en ce moment, elle est toute à Garibaldi : tie du n° 33. Après avoir dépassé la et par-
RUE MONTMARTRE. part moitnaire. L'henttet- généraiemem dé-
des Pour indiquer les agrandissements succes- signe du marquis de Moustier est le marquis
parti progressiste dans le dernier mouve- ce ne sont de toutes parts que préparatifs Petits-Carreaux, le tracé rencontrera rue
la de La Valette. Après le discours d'Amiens
ment comme dans celui du 22 juin 1866, ne de réception, projets de fêtes, préparatifs d'Aboutir, qui doit abandonner à la nouvel rue Sirs^ de cette Voie publique, nous rappellerons
que la porte Montmartre, faisant partie de Encore l'Agence Havas! c est I héritier logique" Mais 'qui nommer au
pouvait pas être sincère. Les démocrates se de toute nature, bateaux à vapeur pa- le voie les immeubles ci-après 55, 57, 59, 61, l'enceinte ministère
battaient pour la république, et Prim, s'il voisés, voitures pour traverser la ville, 63, 65, 62, W,) 66,68, 70, 72, 714 : de Paris sous Philippe-Auguste, se de rinto-ieur en remplacement de
faut en croire le programme de son ;inii Olo- girandoles, pavois, cortéges, musique, ca- 76. et partie du dressait entre les maisons portant aujour- Nous lisons dans IVImpartial du Rhin, M. de La Valette"''Deux noms s illt mis cn
.zaga, se battait pour la maison de Bragance. nons, discours : on un mot tout le connu
d'hui les nos 15 et 32. Vers l'année 1380 Pa- journal de la préfecture, la première à I'A- avant celui de M. E, Leroy, pré''.') de Rou- n,
Le tracé atteint ensuite la rue de Cléry, et ris avait dépassé ses anciennes limites et celui de M. Chevreau, préfet de Lyon.'
C'est au moins ce que beaucoup de gens et l'inconnu. Je ; une gence Havas qui suivre
croient en Espagne. ne sache pas que jamais lui enlève une partie des nos 13, IJ. et 15 avec seconde porte fut construite aux angles méri- va : L'incertitude du choix est ce qui arrête le
réception se soit annoncée aussi imposante la totalité des nos 16, 18, 20, 22, 2h et partie dionaux des anciennes rues des Fossés-Mont- L'Agence I-la't-as est décidément une vieille; mouvement.
Quoi qu'il en soit le trône d'Isabelle est aussi significative. du 26. et machine qui a besoin d'être renouvelée. Car elle
fortement ébranlé, et lorsqu'il s'écroulera il et Les En quittant la rue de Cléry,
martre Neuvc-Saint-Enstache, confondues fonctionne bicu' mal
le tracé écorne aujourd'hui l'une et l'autre sous le on dirait que les rouages Après une audience de l'empereur, lU.
sociétés ouvrières vont sortir leurs nom de en sont totalement usés. Cette agence
:
ne laissera de regrets qu'à une bien faible plus belles bannières; les citoyens réu- la rue du Sentier à l'endroit où elle com- rue d'Aboukir. Le mur d'enceinte nous ex- Bont-ree, ambassadeur d France à Constan-
partie de la nation espagnole, partie que re- se se dévelop- pose sans cesse par ses inexactitudes au délit de
et lui enlève les nos l et 2, ainsi qu'une pait entre la rue des Fossés-Montmartre et fausses nouvelles. tinople, qui devait partir hier pour retourner
présentent fidèlement le padre Claret et la nissent en assembléespopulaires Dans la mence, partie du n° 3. De là il pénètre dans la rue l'impasse Saint-Claude. Cette dernière s'ap- Cette agence nous annonçait hier, et toute la à son poste, a ajourné indéfiniment son dé-
scedr Pairocinio. môme soirée on peut estimer à dix les réu- Montmartre et absorbe en partie les nos 12/i,
On racontait hier, au milieu de toutes les nions qui se sont tenues iL Genève au su- 97 et la totalité des nos 126, 128, 130, 99, 101.
pelait alors rue du Rempart. presse a publié le télégramme : « Que le baron I art.
Cette deuxième porte fut abattue en 1633, de Holstein,ambassadeur de Prusse à Stuttsart,
défections qui se sont produites autour de jet de la réception -.'t organiser et des ova- 103, 105, 107 et partie du n° 109. Puis,
Prim, deux faits que voici : pour et vers la fin du règne de Louis XIII, une était nommé ambassadeur à Paris. »
Premièrement,
On assure que le gouvernement français
tions à faire au général. Le Pâquis, la former un évasemcnt bien utile du côté de la troisième fut construite entre la fonta.ine et il n'y a pas d'ambassadeur de vient de commander 800,000 ceintures, con-
An Férol deux régiments étaient gagnés à Couleuvrinicrc, les cercles, sont remplis rue d'Aboukir, les maisons ci-après devront la Prusse à Stuttgart : aussi avions-nous eu soin, tenant chacune
l'insurrection. Le gouvernement le savait ou d'hommes, de femmes et d'enfants avides encore être démolies dans la rue Montmar- Saint-Marc'. rue des Jeûneurs, presqu'en face de la rue tout en enregistrant la nouvelle, de substituer le une petite pharmacie. Cette
Cette dernière fut démolie vers mot Ministrerésidant au mot.: Ambassadeur. pharmacie renferme ce qui est nécessaire
le soupçonnait au moins, et il les faisait sur- de savoir si leur société placée à la tête du tre : 73, 75, 77, 79 et 81. l'année 1700. pour faire, tant bien
Deuxièmement, le baron de Holstein vient rem- que mal, le premier
veiller.
Ces deux régiments sont restçs tranquilles, cortège sera celle qui sera,'l'tee par gé-le la
En quittant
de Réaumur
la rue Montmartre, Je
tracé de
RUE RICHELIEU.
placer, à l'ambassade de Paris, comme secré- pansement d'une blessure ou ce qui est né-
taire, cessaire pour arrêter la dyssenterie.
la Joquelet et DE M. dl!' Radowitz, qui a été envoyé à
et ces jours-ci Narvaez a décidé qu'ils se- néral. J'oserai dire que c'est du délire. lui rue coupe rue
enlève les nos 7, 9, 11, 12, 13 et partie du1 L'enceinte de Paris construite sous Char- autre poste. un Ces 800,000 ceintures ne coûteront,
raient embarqués. sans doute pour être trans- Les campagnes doivent descendre dans n° 5. les V et Charles VI suivait, à l'ouest de la M. von der Goltz, revenu el Paris mardi soir, a plus de 1,500,000 fr. pas
portés duns une colonie espagnole. la ville lors de l'arrivée et se joindre aux De la Joquelet le tracé pénètre , dans lai ville, la direction de la rue Traversière-Saint- repris, la direction de son ambassade, dit a ce
été rue l'officieux Etendard, et il ne parait pas
Pendant qu'ils allaient au port, ils ont différents groupes de la ville. rue Notre-Dame-des-Victoires, et lui prend1 Honoré, aujourd'hui dénommée rue de la sujet il doive la quitter de sitôt. Le Journal de Paris assure que la Franco
suivis par toute la population, qui les huait Toutes les nuances de l'opinion pu- une partie des nos 32, 3JI et 36. Fontaine-Molière. La porte Saint-Honoré, quEst-il permis,
et les sifflait parce qu'ils avaient manqué de blique, radicaux, libéraux, démocra- Le tracé de la rue de Réaumur atteint en- qui faisait partie de cette enceinte, était si- quand on s'appelle Y Agence IIa- et la Prusse,s'étantdemandé des explications
décision et qu'ils expiaient ainsi le tort de tes, membres de la Ficelle et autres - vas, d'ignorer la langue diplomatiqueet de com- réciproques au sujet de leurs armements res-
nuan- suite la rue Vivienne et lui supprime le n° 27. tuée à l'endroit où l'ancienne rue Traversière mettre des erreurs lourdes comme celles-là? pectifs, se sont réciproquement donné des
leur funeste conduite. En quittant la Vivienne, tracé prenait naissance dans la Saint-Honoré.
D'un autre côté, on prétend que Valence ces, se sont mises d'accord afin de rendre rue le se rue assurances de leurs bonnes intentions mu-
plus imposant et de prouver poursuit dans la rue des Filles-Saint-Thomas, Cette porte et cette enceinte subsistèrent L'Omnibus du Travailleur tuelles. Les deux puissances n'ont nullement
avait faitdes promesses formelles à Prim. Le le cortége et lui enlève les n03 h, 6. 8, 10 et 12. de côté jusque le
sous règne de LouisXIII. envie de se faire la guerre. Elle se conten-
général se serait présenté sur un vapeur, en que, devant l'admirationprovoquée par le ce
général le3 dissensions doivent des Colonnes, coupe Ensuite la voie à son extrémité la rue; Sur l'emplacement des hôtels d'Armagnac et DE LA RUE COQUILLIÈRE tent de renouveler leur matériel d'armement,
vue de la ville. Il aurait fait en vain les si- toutes qui doit livrer à la nouvelle; de Rambouillet, le cardinal de Richelieu fit
, en vertu de cet axiome : « Si vis pacem
gnaux convenus, aucune réponse ne lui s'effacer. artère les nos 1,2, 3 et partie des h et 5. bâtir en 1629, par son architecte Jacques Les institutions de crédit ayant pour objet para bellum. »
ayant été faite, il aurait été obligé de s'éloi- Le programme probable est le suivant : En quittant la rue des Colonnes, la voie> Lemercier, un hôtel qui d'abord porta le nom 3S
m de faciliter aux diverses classes de la société
gner.. Le général arrivera, le samedi à six heu- pénètre dans la rue de Richelieu, et enlève; de Son Eminence. Garibaldi, Victor Hugo, Louis Blanc et
Il est évident que Prim, qui est aujour- res du soir par le bateau le Simplon; tous les nos 70, 72, partie du 7A et le 79. le moyen de se procurer tout ce qui peut leur
Mais l'habitation du ministre se trouvait d être nécessaire sous le rapport du mobilier, Pascal Duprat sont arrives à Genève, où ils
d'hui l'objet d'accusations violentes en Espa- les drapeaux des sociétés genevoises seront Après avoir dépassé la rue de Richelieu, laL en quelque sorte étouffée par le mur d'en- de l'habillement prendre
gne, fora connaître sa conduite et n'hésitera réunis en un seul groupe; une députation voie entre dans la rue Ménars, et absorbe les ceinte. Richelieu, dont la fortune et la puis- à la vie sociale sont et des choses indispensables vont part au congrès de la paix. Ils
fort rares en France. Ce y ont été l'objet d'un accueil tiès-sympa-
pas, à son tour, à faire justice de tous les remettra au général les adresses votées, et nos 1, 3, 5, 7, 9, 1.4 et 16, ainsi qu'une partie; sance grandissait de jour en jour, se sentit it n'est que depuis deux ans seulement qu'il tique.
gens qui, s'étant engagés à le suivre jus- il des nos 11 et 12. trop à l'étroit dans cette demeure d'un Les séances du congrès commenceront
qu'au bout, l'ont abandonné tratireusement sera conduit en grand apparat à la mai- De la rue Ménars, le tracé se continue tilhomme. Par arrêt du conseil, gen- 1- s'en est formée une qui, sous le
nom de lundi
son Fazy, sur le bord du lac, au bruit des dans la rue Grammont, qui en date du u l'Omnibus du Trov,. i lew', est venue com- 9 septembre.
au milieu de l'action.
;
disparaître 7 octobre 1631, le mur d'enceinte est abattu,
On saura ainsi indubitablement s'il a été détonationsdel'artillerie,des bombes,etc., les nos 7, 8 et partie du n° 5.verra le fossé comblé, et grâce à de nouvelles ac-
bler une lacune dans l'organisation dit véri-
ï- table crédit : celui qui est réclamé par les _M. Manresa, sous-secrétaire d'Etat au mi-
ou s'il n'a pa§ été sur le territoire espagnol. précédé et suivi de bannières et d'orifl.,Ilii- La nouvelle voie pénètre alors dans la rue; quisitions, l'hôtel de Richelieu devint en 1636 premiers besoins des masses populaires. nistère de la justice espagnol, a offert clé.
Lf récit q'.ril fera de sa tentative;avortéesera mes ; les musiques seront de la cérémonie. de Choiseul, qui lui abandonne les nos 10, le Palais C!i1'dina!, Avant cette époque, des mission qui a été acceptée. sa
lu avec le plus grand intérêt. Bien des gens On est ime à environ vingt mille le nom- 11, et partie des nos 8, 12 et 13. On^ sait avec quelles difficultés l'ouvrier
lettres patentes du 27 avril 1632 avaient or- '-;- laborieux, l'employé rangé. le petit rentier,
doivent, craindre la vérité sur cet événement. bre des qui prendront part à la De la de Choiseul, le tracé entre dans donné la formation d'une longeant
On attend à BIanUx l'en:l'('!'cur Napoléon manifestation. personnes rue rue àa le cultivateur lui-même, parviennent à La dette flottante de l'Espagne, qui était
Sur nombre, bien peu la rue de la Michodiére, et lui enlève les l'ouest l'habitation du grand ministre, et jus- se
les parties esc:np!icllcs de leur mÓ- au 1orjuillet de 1 /2.G()A.l/i1 écus, a eu
et r!mpéi'<.!tr!cc avec y on (ils, dans la nuit de verront le héros de lacefête, mais ils auront nos 13 et 15, ainsi qu'une partie des nos 10 qu'à la porte Sainte-Anne, qui s'élevait aà procurer de leur habi
:;-il
pen-
samedi A dimimchc. Tout eM. préparé peur la nage ou e lient n'ayant pas dant^ le mois de juillet une augmentation de
satisfaction de pouvoir dire plus lard: et 12. l'endroit où commence aujourd'hui la rueie la complète pour en opérer les achats. 3o.802,A!7 écus, et une diminution de
t'ckt. On annonce que l'escadre cuirassée De la rue de la Michodiére, le tracé se pro- Feydeau. somme
viendra mouiller devant la ville pendant le J'y étais. !ongc dans la de IIanovre, et fait dispa- Par arrêt du conseil du 18 oetobre
Arriver par des économies successives à se 32,227,805. En conséquence, an 1er août,
sont
péjour de Leurs Majestés à J;jalTitz.' On annonce officiellementVictor ] fugo, rue son 'e faire un capital suffisant et avec ce capital chiffre était de 17 /.238,7dA écus.
2). roi ordonna que la rue de Richelieu
Cette arrivée sera le signal de nouvelles Félix Pyat, Ledrll-Rollill, Louis Liane, raître
le n° 170/i, le u se meubler, s'habiller et pourvoir à l'achat
fêtés. On brûlera de ia }.<.m(!rf;'. on brûlera Jules Favre. FRIBOURG.
Après la rue de Hanovre, le tracé rencontre serait prolongée jusqu'au rempart. d'articles indispensables au bien-être de la On lit dans VlUdie :
la rue de Port-Mahon, qui livre à la voie Le cardinal de Richelieu n'est pas la seulee vie est problème cherchent inuti-
du charbon, ries rubans seront disinbués. partie du n° 11 et les nos 114 et 16. illustration que rappelle à notre souvenirr lement àun que Les nouvelles qui arrivent de province sont
En somn'tc, il y aura encore une note A résoudre les deux tiers de la popu- très-favorables à la. vente des biens ecclésiasti-
Lr] tracé pénètre ensuite dans la rue Louis- cette belle voie publique. Molière rendit lee lation. On peut économiser plusieurs fois ques. De nombreux acquéreurs sé présentent
.
paye.;; mais la France est assez riche pour
payer.,..<, les divertissements.
extrait : ET. JUNCA.
mess=""Pour
LETTRES D'AUTRICHE te-Grand,
33 et le n° 31.
et enlève une partie des nOS;!h,:;¿9,
Le prolongement de la rue de Réaumur dé- jourd'hui j
<
dernier soupir dans une chambre modeste duII 10 francs dans
deuxième etage de la maison qui porte au-- le plus souvent, 100 francs
le n° 3h.
une année,
donné pour acheter un objet de première
et
en
l'on
un
n'a
moment
pas, tout.
Le public montre également des dispositions
très-favorables aux nouvelles obligations quii
par-

bouchera sur le boulevard des Capucines, Aux nos 60 et 62 est l'ancien hôtel Talàru. nécessité. vont être émises, et tout fait prévoir que la sous-
Vienne, 8 septembre. cription succès brillant.
M. Schmit de Tavera. l'attaché de l'am- ire-Français avec la rue qui partira de la place du Théâ- Une 1 de ces vicissitudes si communes pendant^ C est donc pour venir en aide à l'ouvrier aura un
aboutir en face du nouvel les révolutions avait forcé lé marquis de Ta-7 économe
bassade autrichienne au Mexique, dont je Opéra. Il estpour 1
Congrès ouvrier probable que la fusion de ces laru de louer son hôtel à un particulier, quil été fondé que
VOmnibus du Travailleur a
On lit dans l'Italie :
vous annonçais hier l'arrivée à Vienne, a im- deux grandes voix nécessitera la formation l'offrit
1
; il lui tient lieu, en quelque sorte,
DE L'ASSOCIATION INTERNATIONALEDES TRAVAILLEURS médiatement été mandé auprès de l'empe- d'une place indispensable
1 au comité révolutionnaire de la sec- d'une caisse d'épargne qui lui vend et lui li- Un certain^ nombre de conseils prov'nciau}
en cet endroit. tion.
t alors à la recherche d'un local pour en1 l'objet qui est d'une indispensable utilité, n ont qui pu se réunir a cause de l'épidémie choM..
reur François-Joseph, auquel il rendit comp- Tel est le tracé du prolongement de la faire maison de détention. Le vre rique règne dans certains chois-lieux.
Lausanne. te des derniers jours de Maximilien. M. de de Réaumur. rue 1 une marquis s tout en lui accordant les plus grandes faci-
de
< Talaru y fut enfermé un des premiers, et.k litéspour le payement, puisqu'il l'effectue
Tavera s'est ensuite rendu à Possenhofen, où Parmi les vingt-trois voies intéressées à payait dix-huit livres par jour la. location| ne Une dépêche télégraphique de Hanovre
Rapport sur la quatrième question. trouve actuellement blreJ\Jdnchessp So- cette création, cinq seulement rappellent des d'une chambre dans ]
que par à-comptes qui sont le produit de ses annonce que c'est M. de Vincke, le célèbre
se
phie. Il remis à cette dernière lettre < son propre hôtel, qu'il économies. orateur du vieux parti libéral en Prusse, et
Les efforts tentés par la classe ouvrière ou a une souvenus historiques : la rue Thévenot, la ne quitta que pour monter sur l'échafaud.. Nous point,
quatrième état n'auraient-ils pas pour effet du confesseur de jMaximiiien ; lettre qui a été cour des :\JiracJ(s, les
i
A l'angle de la rue de Richelieu et de celle> puisse ne pensons en effet, qu'on l'adversaire du cabinet prussien pendant plu-
rues de Cléry, Mont- trouver combinaison plus
de créer un cinquième état plus malheureux écrite au moment où l'infortuné souverain se martre et de Richelieu. IFeydeau, à côté de la porte de Richelieu, dans3 nelle une ration- sieurs années, qui va être placé à la tête des
préparait à la mort. *
et plus philanthropique à la fols. Ce qui l'administration civile du Hanovre.
encore ? 1 maison n° 80, demeurait le poëte Regnard.
la
Les efforts tentés sous fe nom de mouve- La nouvelle de la réunion prochaine d'un RUE THEVENOT. le prouve, c'est que depuis deux ans que fonc-
congrès L'auteur
J du Joueur nous fait ainsi connaître tionne VOmnibus du Travailleur il a pu
rïtent coopératifet préconisés dans la forme du clergé catholique en Autriche pa- Cette voie n'était encore, à la fin du qua- son habitation
!
On ne sait peut-être pas généralement/qu6
et sur les principes des caisses ctavances de raît se confirmer, et l'on assure même au- toiizième siècle, qu'une impasse située dans
s : réunir quarante mille souscripteurs qui ont la constitution de la nouvelle Confédération
M. Sdwlze-Delisztch,reconnaissant encore le jourd'hui tous les évêques et archevêques la des Petits-Carreaux Au bout de cette rue où grand cardinal, voulu profiter des avantages offerts par sa ,lu Nord de l'Allemagne renferme ceîte dis-
que ; on l'appelait cul Ce prêtre
rue { ce
vieux principe de la productivité du capital, de la monarchie prendront part à ce congrès, de sac des Corcliers. Elle 'fut convertie en Laissa conquérant, ce prélat amiral, combinaison de vente, qui ne laisse aucune iposition :
I pour naonumentune triste fontaine, prise à la plus rigoureuse critique.
n'.aurc.lfi{ d'autre effet que de créer une plus qui aura lieu à Vienne dans la seconde moitié une rue vers l'année 1676, et prit le nom de Qui Ç fait dire an passant que cet homme, en sa haine, La critique, effet, pourrait
«Toute la population maritime de la Con-
grande quantité d'expluij^urs et un accrois- de ce mois, sous la présidence du cardinal do Thévenot, en l'honneur d'André Thévenot, Qui JI) trône ébranlé soutint tout le fardeau, en ne s'atta- fdération,
,, compris les mécaniciens et les
misère chez le prolétaire. Rauscher. Ce congrès, s'il a lieu, peut ancien contrôleur chef des rentes, q t répandre le sang plus largement que l'eau,
Su quer à cet important établissement qu'autant )uVl'iers: y assujettie
sement. de ne en de l'hô- S'élève
p une maison modeste et retirée qu'on aurait lui reprocher ou de vendre (rfous les navires marchands est au service militaire.
Car, à l'aide de cette répartition propor- avoir qu'un but, à savoird'organiser une op- tel de ville. Dont
E le chagrin surtout ne connaît pas l'entrée. de tous les Etats.
tionnelle aux fonds engagés dans l'entre- position contre la révision du concordat Dans la maison portant le n° 12, en face ; trop cher ou de vendre des objets détériorés fédéraux constituent
et inférieurs à leur valeur réelle cotés un nilitaire. une marine marchanda
prise, tel qui travaille comme cent touche projetée. de la rue des Deux-Portes, a demeuré José- Mes ![ voi: ins ont appris l'histoire de ma vie,
r
ne sait pas encore au juste si et quand phine, avec sa tante, Mme du Renaudin, et
Dont mou valet, bavard, souvent les désennuie. prix supérieur. >>
«ocime un. et tel autre qui travaille et par M.On E n, vertu de cette disposition la Prussren
e as de guerre, posséderait une force m uti-
conséquent ne produit que comme Un tou- deHÜbner, dont les rapports avec le cardi- le marquis de Beauharnais, son beau-pare. Demande-leur !. oit loge, en ce marais,
Nous nous sommes assuré par nous-mê-
encore tel n'est le mode de procéder de
chera cent dans les bénéfices produits par la nal Antonelli sont décidément plus tendus, La future impératrice quitta cette habitation Un magistrat qu'on voit rarement au palais, me que pas n respectable.
collectivité, par la forme résultant du grou- retournera à son poste de Rome. Comme vers le mois d'août 1785. r revenant chez lui
Qui, lorsque chacun sommeille, cet établissement. D'abord ses opérations s'é- ne
r bruit de ses chevaux bien souvent les réveille; tendent sur toutes sortes d'articles, ce qui
Du
pement ; que, de plus, cette organisation,dite on s'y attendait, M. de Bfeust est arrivé hier Chez qui,] on voit entrer, pour orner ses celliers, lui Le prince de Hohenlohe a communiqué
démocratique, emploie le plus souvent des de Gastein, et aujourd'hui déjà il a eu une permet d'obtenir, au moyen de légers
COUR DES MIRACLES Force quartauts de vin et point de créanciers;
bénéfices chacun d'eux, aux Etats du Sud de l'Aller.nâgne lin projet.
auxiliaires, c'est-à-dire dessalariés, à cette longue conférence avec M. Ronher) qui sera Notre grand poète Victor Hugo a fait la Aucun Si tu veux, cher ami, leur parler de la'sorte, ' sur des résultats fi- d 'après lequel l'Union ne s© trouverait point.
jeudi audience particulière ne manquera de te montrer, porte, nançiers suffisamment rémunérateurs. Ain-
seufe différence que pour eux le patron est reçu en par l'em- description de cet ancien repaire. Voici un ma j
si ses comptoirs et ses magasins de vente SI ous l'influence de l'AutHche, mais sous celles
collectif au lieu d'être individuel. Il v g, pereur François-Joseph. M. Rouher restera extrait du rapport adressé au roi Louis XIV, Regnard avait acheté 1683 une charge renferment d e la Bavière, et qui, aurait pour but de pre-,
donc là évidemment tendance à la constitu- sans doute à Vienne jusqu'à la fin dé cett 3 le 27 avril 1667, par le^ lieutenant général de de trésorier de France vers j toute espèce de marchandises : p arer une entente plus intime avec la Co ulc-
tion d'un quatrième (.tai,d'une bourgeoisie de semaine, et retournera, dit-on, à Paris en police, La Reynie.Ce docume'nt t'aUconnaître au bureau des finan- meubles, j bijoux, habits, ornements de sa- d ération du Nord.
ces. Il avait aussi l'intendance des chasses de J
second degré venant srjoindre à la bourgeoi- passant par Berlin. d'une manière exacte l'association du ban- Dourdan. Regnard, dans sa maison de Pa- Ion ou d'église, draperie, étoffes ordinaires
sie de premier degré dans le désir de jouir de L'ambassadeur de Prusse près la cour de dits qui peuplaient cette ancienne cour des ris, citée ou
c étoffes de prix, literie, etc. ; en un mot, On lit dans la Nouvelle Presse libre t16
pour table et sa cave, comptait les objets de valeurs différentes qui en- V ienne
plus en plus aux dépens du producteur réel. Vienne, M. le baron de Werther, est parti Miracles : &a
parmi ses hôtes, outre l'é)Ite des littérateurs, trent tous
t
Le rapport s'est demandé quel serait le pour Paris. Pour être admis dans cette étrange t dans le commerce général et qui sont ;
Le prince de Hohenlohe doit également ciation, il fallait « asso- le prince de Conti et le grand Condé. d'une urgente nécessite. Ensuite, ces objets, ^line la apprenons ..Nû'is que le docteur Mühlfcld a 1er-
mo\v&n de conjurer ce danger. encore, Sire, sous LOUIS XllI, Au n° 112 était l'hôtel Lrcoulteux, où de... achetés c
rédaction du projet de loi sur le mariage
Suffirait-il que les associations coopérati- déjà se trouver dans notre cipittie. Son votre ^uguste progéniteur meurait 1793 Lavoisier. - aux fabriques en quantité consiàc-'- d''après les principes de l'indépendancedes con-
Cet hôtel fut
ves cessassent de prélever des bénéfices-(pré- voyage n'est pas sans rapport an
le pro- «
libation toujours onéreuse aJ-l prolétaire); chain voyage à Paris de Leurs Majestés au- partie d'une des cour'ë des Miracles existant Frascati. Cet établissement,sous
:
1° Etre présenté pxptroismembresfaisant transformé en jardin public,
en
le "nom de de
râblé
r et soldés en argent par la direction feissions. La délibération
c loni)îibus du Travailleur, sont ven 't s ~t sc)us peu dans le comité chargé des questions
de cette loi commencera
qu'elles fussent basées sur la justice, les prin- trichiennes. Quoi qu'en ait dit la F1'çmç(3) dans la ville de Paris ou ses Faux-Bourgs; temps le plus célèbre café de l'Europe, qui fut long- cédés à m-
avait des c un prix relativement inférieur à celui gieuses.
cipes de mutualité et de réciprocitédans tou- nous ne croyons pas que l'cmlwl'l:lil' Fran- d maisons de détail qui n'ont que la spé-
» 2" Avoir assassiné au moins une fois, ou été fondé sous le Directoire par le Napolitain
tes leurs relations sociales ou productrices î çois-Joseph et l'impératrice Elisabeth soient .prouver cinq vols difficiles, dangereux et Garcht Une magnifique cialité
c de vente de chacun d'eux, Les informations de l'Etendard lui per-
escompte, prêts, assurances, crédit, etc.,etc? à Paris avant le commencement de no- lucratifs ; terrasse avant vue Cela suffit pour expliquer le grand d'affirmer que la république domini-
vembre. sur le boulevard
.
s'étendait jusqu'à l'hôtel de bre clients nom- lettent
Nous ne le croyons pas. Certes, il serait à » 3° Faire serment qu'on n'appartientà au- Montmorency (aujourd'hui pas'sage des Pa- C^ée-ii
de que cet établissement a pu se C£ tine n'a pas cédé la baie de Samana aux
désirer qu'un tel résultat fût atteint au poi^t Le parti tchèque, qui ne néglige rien pour cune religion, qu'elles sont toutes également noramas). Quelque temps après, en nio.ins'de deux années. Et s'il fallait El tats-Unis.
de vue de la morale sociale, mais il faudrait préparer à M. de Beust toutes les difficultés indifférentes, un nommé ccaractériser manière de procéder par une Le même journal dêment également
ef q!l\m est prêt à se débarras- Perrin y transporta la banque qu'il avait éta- Q sa que-
qu'il fût accompagnéd'une transformation imaginables, vient de lanct.r une brochure ser avec la mêmy facilité de tous : catholi- blieruede Richelieu, "nQ 110. Ce Perrin formule aujourd'hui fort compréhensible, gouvernement danois ait vendu aux Etats-
f(
radieale dans les rouages sociaux : banque contre le chancelier d'Elai autrichien. Cette ques, protestants et juifs, que l'association retira fortune de seize
§e n nous dirions que l'Omnibus du Travailleur lis ses colonies des Antilles.
nationale gratuite ; réforme de la propriété en brochure, dont l'auteur serait le comte Czer- vous ordonne de tller¡ avec une millions, ce n'estn autre chose qu'une associ ation coopé- Et. Junca.
riin,.a été saisie. qui ne l'empêcha pas de mourir insolvable. rative
la. rendant collective ; services publics à prix y de vente formée par les acheteurs
Les ambassades d'Autriche à Madrid et à taire. » hO Déclarer si l'on est marié ou céliba- A Perrin succéda Bernard, qui céda la
de revient, etc., etc., sous peine d'arriver fa- place au marquis de Chalabre, mort, il y a eux-mêmes.
e, Reste le mocte de crédit, qui
talement à augmenter encore la dispropor- Lisbonne vont être provisoirement suppri- Dans le premier cas, s'engager à quitter sa une trentaine consiste à payer la prix de la vente au moyen LE MONDE DÉPARTEMENTAL
mées. Il n'y jusqu'à ordre d'années, dans la plus pro-
CI
de fractions plus
tion entre ceux quijouissent et ceux quisouf- fiupa nouvel dans femme, et au plus tôt, afin d'en prendre une fonde misère. Enfin Boursault, qu';l A ou moins minimes eil de
frent. ces villes que des chargés d'affaires autri- autre parmi ne faut' délais
d combinés pa'r l'acheteur .'lui-même* IsÈRE.- Grenoble — M. le mai^hal Ran-
Cependant il ne faudrait pas conclure de j chiens. - G. MAI.
les associées ; en changer de- pas confondre avec l'auteur du Mercure
mois en mois, pour éviter tout enchaînement. lant, y accrut son patrimoine déjà consfdé- C( est ga- ceci It) complément d'une combinaison don
do a prononcé, à l'occasion de la sesy'on du
ce qui précède que nous considérons le mou- le véritable argotler se devant uniquement a râblé; et la famille Bena^ety financière
fi, hardie et philanthropique à la fois, Conseil
Co général de l'Isère, un discours dont
yement coopératif comme nuisible ni même l'association. " commença une qui fait que cet éta,bl'ssement de vente de- un passage nous a paru particulièrement im-
" fortune qu'elle, arrondit à Baden-Baden v11 vient
comme inutile, il est toujours bon de voir les enfants nés ou à naître dans une Frascati_ n'était pas une maison de jeu un des_ plus ^utiles aux classes labo- portant.
travailleurs se grouper en vue de trouver une LES TRAVAUX DE LA VILLE DE PARIS des» 5° Lesdes po
Miracles peuvent être verte ou- ri
rieuses. Aussi nous ne craignons pas de le Faisant
1 allusion à des bruits qui ont cir-
cours ne re- au premier venu; on était d'une sé-
.
amélioration à'ieur sort, dussent-ils se trom- vendiquésparceux qui se croiraient leurs pè- vérité extrême pour la tenue et les manières. recommander, y rE car, sous tous les points de culé lors de sa retraite du ministère, 1'ho11o-,
per encore quelque temps. Ces enfants appartiennent en toute pro- Le jeu commençait à quatre heures et \ue,
Yt l'Omnibus du Travailleur est le véri- rable ral orateur a dit :
i'tes.
A ce point dé vue, ce mouvementest à se pro- tableta Crédit mobilier du neuule et des r.lîisi- On
la nos LE PROLONGEMENT DE RUE DE RÉAUMUR. priété à l'associationqui les élève, les instruit, longeait jusqu'à deux heures du matin. C'é- laborieuses, r ne peut attribuer qu'à l'ignorance des faits
yeux meilleure initiation à l'étude des LA
pour en disposer ensuite à son gré. tait la seule de ce genre ouverte aux femmes se
ses -
H. CASTILLON. certaines rumeurs qui se sont répandues dans le
^
1. -
-?iS questions sociales, sur lesquelles le

prçis arrêtée.
}n] doit de jour en jour avoir une idée
Cette voie, dont la seconde section doit
s'exécuter prochainement, deviendrabientôt être
M 6° Le
versé
butin
à la
provenant des opérations doit galantes.
caisse commune, et le samedi beauté et l'élégance étaient à la mode,
Plusieurs d'entre elles, dont la
rece-
s public.
avant
paralyse
entre autres celle que la guerre du Mexique^
épuisé nos arsenaux et nos rna:;;a"ins, avait;
action dela Franco au moment des;
une des principalesartères de Paris. Elle est de chaque sêmâhie l'aruent est partacé en- voient de l'administration des appointemfirH-' LE BULLETIN DU JOUR
j 1

cle ce rapport, une discus- destinée à établir complications survenues 4 l'une de nos fron-
une communication pré- tre les argotiers, sauf une retenue suû- tières.
.Sion fe>' e sVr question de la propriété l'iense d'utilité publique entre le Marais et le venir pour consiuevityres,sans préjudice d'autres tributs
devenue y 0elte hypothèse est com- boulevard des Ca}.1llClll,eS) en pratiquant une Telle était cette étrange au^ besoins de l'association. que leur payaient les étrangers et certaines Ces allégations se sont évanouies quand Ii..
fcattaeparles telegue» »
corporation de ; célébrités politiques et financières de l'épo- tuation récHe. âe nos ressources en tout sÍ.
français, ; voientlù large trouée dfm's les quartiers si encombrés bandits, qui LE MONDE POLITIQUE été sou.mMQ au. contrôle dès commissions drJ. hud-a ue\ire
yne marche latale .-ers le communisme au- du Temple, Saint-Martin, Saint-Denis, des la ne disparut entièrement que le que'. Cette propriété a été démolie, et recon- get iies Chambres.
toritaire et absolu - ils promeut à l'assem- Petits-Carreaux,dll Sentier,jusqu'àlaplace de mai 1667. struite en 1837 LOUIS LAZARE. M. Rouher est de retour depuis hier à Pa-
*
Dans la cour des Miracles demeurait, en Elles reconnu en outre que les crédits ou-
[ri§. Il assiste aujourd'hui au conseil des mi- 1 verts ont
ag IIU»15tère* de la guerre avaientpeçu leur
 taulière application, et que s'il fallait entrer l'autorisation. Il n'a jamais en effet, ce mal- LE MONDE MUSICAL l'histoire de l'art contemporain, je demande bien de W ollaston, dont les descriptionsétaient pu- deur des labours, les surfaces travaillées, la
J!?iS ordre'dépenses, c'est-à-dire se heureux trombone, qui commence à m'api- fcu lecteur de lui présenter quelques ré- bliées depuis longtemps.
un au ireéventualités d une guerre il étau flexions. L'ouvrage dont, je vous parle aura donc rendu temps employé dans le labourage, y compris '
d.,tlls,DtÈer
aux toyer aujourd'hui qu'il est en disgrâce, il n'a Lettres d'un musicien en voyage. jamais ni parti pris ni Ce sont celles d'un homme qui n'a véritable service aux amis de la vérité vraie, et l'installation, le charbon brûlé, la forc-e des
^cessaire d'allouer de nouveaux crédit.Tel!c jamais effet donné de proscriptions médi- eu attache officielle ; un est à ce titre que je vous le signale.
5Signe des allocations extraordinaires qui ont cales, etenil est à qui, s 'il professe le culte ardent du beau, e L'auteur
attelages, le nombre des hommes faisant
législatif. peu près prouvé qu'il n'a pas est à Paris en ce moment même pour le fonctionner les machines, la nature du
été votées par le Corps demandé d'honoraires pour ses cures. La l'horreur
i de la médiocrité triomphante, se faire En
éditer.
attendant, voici deux piècesqui font partie du sol, etc.: en un mot, tous les faits qui per-
jusqu'à un certain point se preuve d'ailleurs qu'il n'a point exercé la mé- Eisenach, 30 août. défie
d des adorations convenues et du féti- Recueil,
On pourrait maréchal Randon a bien decine, c'est qu'il n'a guéri personne, et il et qui om été photographiées par moi sur mettent d'apprécier les prix de revient et la
m le Nous voici à Eisenach, un bourg de sept à chisme c: sous toute forme. les originaux. qualité du travail.
,
c'joH^ ioccasion et le lieu convenables à la est patent que les médecins guérissent tous huit mille âmes, en plein duché de Saxe- Jamais un compositeur français n'aurait Veuillez, etc. La ferme de Petit-Bourg est à 50 minutes
fect qu'il proposait;
« constaterons seule- mais nous leurs malades Weimar. Huit jours avant l'arrivée de la ca- eu idée de traiter le sujet proposé à Liszt. L. LANDA.
e Cette lettre est en eiTet accompagnée du de Paris. On y arrive par deux chemins de
1
Citerons fioation
Meiningen, tous hôtels étaient faut
5 raient bien de est
pas, et
les
nous
tousinterprétés
sontquemal

suivre
fonctionnaires
l'exemple de r
dont les

'ex-rninis- plus
Une autre
volontiers.
version
Pour
court
être
sur
trombone
la détention
et mira-
ravane
pleins,
duché
de
toutes
de Saxe
les

et
rues en
les
fête,
par le public fe- du thaumaturge dégommé ; je l'accueille tants en l'air. De tous les points du grand- IElégende allemande, et joindre à ces qualités tulé,
des duchés
tous
avoisinants
les habi-
on
Il
imprégné
ii
je
je ne
être

sais
de
possédé
l'atmosphère
de

quelle disposition au
l'esprit
de
allemand,
l'histoire,
mysticisme
être
de la fac-similé
desdeux
d'un écrit de quatre
Bases du traité provisoire, et revêtu labourage
signatures: Nicéphorc
pages,
Niepce
Ce traité a été enregistré à. Chalon- Jacob.
et
inti-
Da-
fer, celui de Lyon et celui el'Orléans.
La souscription pour le concours libre de
a lavapeur restera ouvertejusqu'au
18 au matin, a la Librairie agricole, Ë6,
V" toujours bonne a dire, et culier, Jacob n'en est pas moins homme, et est venu assister à la solennité nationale pour aborder joie pareil sujet. Le guerre. rue
la vérité : p avec un sur-Saône, le 3 1830. Il est dit
ir .'nne d'éclaircisse- il se serait laissé séduire, un soir qu'il ren- le 800e anniversaire de la fondation de la lE mars
ne saurait se plaindre lecteur peut en juger sur quelques mots. y que Nous adressons aujourd'hui un appel à
qu'un tardifs peut-être, trait à la demoiselle der- Wartbnrg. Elisabeth enfant conduite à la Wart- Joseph-Nicéphore Niepce, propriétaire, de-
lHents, qui bien peu caserne, par une est meurant Ù"Chalon, sur-Saône, et Louis-Jac- l'agriculture tous ceux, qui, las de promesses, veulent que
n'ont ont pas moins leur importance. rière la nuque de laquelle flottaient des sui- La Wartburg t c'est la grande fierté, le burg. b On lui fait fête. Elle devient l'épouse passe de la période des flatterios
vez-moi, trombone. grand honneur du pays. « Voilà la Wart- ddu landgrave, qui avait, paraît-il, plus de ques-Mandé Daguerre. artiste peintre, mem- officielles, qui donnent rien, à celle de l'i-
Il aurait oublié l'heure de l'appel d'où burg ! » disent les habitants aux étrangers, en dispositions d les plaisirs de la chasse et bre de la Légion d'honneur,administrateur nitiative privéene
HAUTE-MARNE. — Langres. — M. H. de : pour du Diorama de Paris, et y résidant, jettent qui saura prendre place, au
avait été nommé maire de quelques jours de salle de police. montrant le vieux châteaujuché sur la mon- d
de la guerre que pour les joies secrètes de nom ele son droit l'égalité, et nous les prions
Confévron, qui Qui donc oserait lui jeter méfait la tagne, geste simple qui sied aux ad- l'
l'aumône abondamment épandue.'Le land- les bases d'une société qu'ils se proposent de
a
venir
I ancres par
l'administration, n'avait pas pour ce avec ce d'établir. Voici comment les faits sont encore une fois à nous.
d'avoir première pierre ? mirations convaincues. Le combat des maî- grave surprend Elisabeth train de porter C'est toujours à l'ombre du drapeau de la,
oulu entrer en fonctions avant la confirma- reçu g en exposés :
^Lc tres chanteurs, sainte Elisabeth et les croisa- du
d pain aux malheureux. Il entre en une fu- liberté les nations prospèrent.
suffrages de ses concitoyens que
tion de sa Vination. Je demande bien pardon aux Carpento- des, Martin Luther et la Réforme, voilà toute rieuse r: colère. « Que faites-vous encore? Que « M. Niepce, désirant fixer par un moyen Jean Tapié.
l'administration, paraît-il, n'a- rains d'avoir annoncé la victoire de leur la Wartburg trois dates, trois
or- tivité humaine t L'art qui s'éveille et s'em- des faces de l'ac- -p portez-vous là, dans votre robe? Des pains, nouveau, sans avoir recours àun dessinateur, N. B. — Nous pensons être très-exacte-
Mais qui,> :
d vêtements, n'est-ce pas? — Ce sont des les vues qu'offre la nature, a fait des recher-
mêmes scrupules de conscience phéon, lorsque c'était leur fanfare, leur mu- informé en disant que la commission
vait pas les
Confévron, ne s'empressait pas de sique municipale, qui avait triomphé au Pré- pare, pour l'adoucir, du monde encore bar- rroses que j'ai cueillies, » dit Elisabeth toute ches à ce sujet. De nombreux essais cojïsta- ment impériale
que que M. de
électeurs, et la situation faite Catelan. bare, bardé de fer, ivre de force ! L'impé- titroublée et qui vient de mentir pour la pre- tant cette découverte en ont été le résultat. lamment de l'Exposition, se voyant si bril-
convoquer les tuosité religieuse se précipitantaux aventures mière fois. — Le maître la force de déployer Cette découverte consiste dans la reproduc- dépassée par l'initiative privée, a
maire devenait de jour en jour Mais si j'ai péché, les Carpentorains me n renoncé complètement à son concours de la-
au nouveau l'on fait sentir si rudement j'aurais lointaines, naïve, fanatique,
pres- droits de la pensée et de la raison s'affir- brutale 1 Les 1: la robe mystérieuse. 0 miracle ! ce sont des tion spontanée des images reçues dans la
bourage à la vapeur. Elle n'avait rien de
plus fausse. que qui tombent, et les époux reconnaissent chambre noire.
De plus, deux adjoints et la plupart #
des que envie de me venger. J'ai une vengeance r
roses mieux à faire. J. T.
froissés de voir l'ad- la main. Je n'aurais qu'à publier mant, par la bouche d'un docteur obscur, en l'intervention
1' de Dieu. Elisabeth est vrai- M. Daguerre, auquel il a fait part de sa —
conseillers municipaux, sous cer- faco de l'autorité et de la tradition souverai- »
découverteen ayant apprécié tout l'intérêt,
choisir dehors du conseil tains vers sur Carpentras composés par un ment
ri une sainte.

-
ministration en mu- et triomphant de l'autorité et de la tra- Le roi part pour la croisade. Dès qu'on d'autant mieux qu'elle est susceptible d'un Déclarationsde faillites du 8 aoat.
nicipal le premier administrateur de la ville, de ses enfants, et qu'on m'adresse avec prière nes, dition l apprend qu'il y est mort, Elisabeth, haïe grand perfectionnement, offre à M. Niepce BAILLASSE, marchand de vin, à Paris,
donnèrent leur démission. d'insérer. a rue Croix-
était donc menacée de Faut-il ?, Tout protestants qu'ils sont aujourd'hui, pour
p sa piété, est chassée de la Wartburg de s'adjoindre it lui pour parvenir à ce Nivert, Ill. Ouverture fixée provisoirement
La ville de Langres les habitants des duchés n'en ont pas moins par nuit d'orage. Elle après avoir perfectionnement, et de s'associer 24 juillet. M. Cousté, j.-c., et M. Itichard-Gri- au
de p une meurt pour re-
se trouver sans conseil municipal, et
M. N

Dussé-je effaroucher la modestie de mon conservé un pieuxdont souvenir pour cette Elisa- ddonné aux pauvres son dernier vêtement. tirer tous les avantages possibles de ce nou- son, s. p.
Confévron était sur le point de se^ trouver beth de Hongrie, M. de Montalembert Telleest la légende qui depuis longtemps veau genre d'industrie. »
CLÉMENT (Ernest), négociant-commissionnaire, à
chargé à lui seul de la responsabilité de l'ad- collaborateur, M, Johann Reuchsel, je ne si éloquemment écrit l'histoire. Ils combinenta attirait Liszt, avant qu'il songeât à fane Cet exposé est suivi de seize articles, dont
Paris, rue Baillif, 9. Ouverture fixée provisoirement
au 15 juillet. M. Cousté, j.-c., et M. Meillen-
ministration de la commune de Langres. Il puis m'empêcher de citer un extrait du jour- parfaitement leur foi protestante, un peu ri- a oratorio. Plus j'étudie cette nature en principaux but
était impossible de prévoir la. fin de ce re- nal de Boulogne, dans lequel il est fait de lui gide, un peu étroite pourtant, avec un res- un u com- les pour le dont nous nous court, s. p.

sion...
DESMIER, passementier, à Paris-Batignolles,
plexe, mélangée, plus je comprends qu'un occupons sont les suivants : rue
grettable conflit, lorsque M. de Confévron, le plus charmant éloge, à propos d'un con- pect profond
pour la jeune reine, pour son tel
p I i-ëzel 35. Ouverture fixée provisoirement
au
jours. t, sujet ait dû le passionner singulièrement. « Art. 3. Aussitôtaprès la signature du pré- 25 juilletl867. M. Cousté, j.-c., et M. Barbot, s. p.
comprenantque sa dignité souffrait de la si- cert où il fit sa partie il y a quelques histoire touchante, pour les miracles que la Il y a dans Liszt un côté essentiellement sent traité, M. Niepce devra confier à M. Da- LEJEUNE fils, doreur sur bois, à Paris, rue Saint-
.
tuation qui lui était faite, donna sa démis- « M. Johann Reuchsel n'est ni un faiseur légende lui attribue. C'est dans une église religieux et mystique. Ceux qui s'étonnent guei're, sous le sceau du secret, qui devra "6 Laurent, h. Ouverture fixée provisoirement au
de thèmes allemands ni un amoureux des protestante r juillet 1867. M. Consté, j.-c., et M. Gauche. s. p.
que ces miracles étaient célébrés qu'il soit fait prêtre le connaissent guè- être conservé à peine de tous dépens dom- marchand de vin en détail, ayant'demcure
Voici la lettre très-digne qu'il écrivit à ce sensibleries féminines. C'est un violoncelliste hier par Liszt, dont l'oratorio résume la vie q se ne SIMON,
,
r « J'aspire au temps où j'aurai achevé mon mages et intérêts, le principe lequel zi Paris, rue du Puits-Vendôme, 1, puis rue Bérau-
sujet à M. le sous-préfet de l'arrondissement ilpassionnésuitde pour la musique de Servais, dont entière de la sainte ; et le brave public qui re. sur re-
ger. 10, et actuellement sans domicile connu.
l suit de près la trace, tout en gardant sa oœuvre, me disait-il hier; je rhe réserverai pose sa découverte, et lui fournir les docu- M. Cousté, j.-c., et M. Gauche,
de Langres : remplissait l'église s'enthousiasmait de la aalors et je lirai mon bréviaire en attendant ments les plus exacts et les plus circonstan- s. p.
propre originalité. Son coup d'archet est net,
Monsieur le sous-préfet,
designer vigoureux, magistral. Il s'occupe avant tout meilleure foi du monde au récit de ces mer- Lla fin. » Et cette soif du repos, cette absorp- ciés sur la matière. »
Lorsque vous avez vculu me pour du chant. Son instrument fait dans veilleuses aventures. tion
t finale dans le bréviaire, est logiquement Nous tiendrons à la disposition du public
remplir les fonctions de maire de la ville de Lan- l'auditoire les sentiments et les passer émotions du Je viens de parler de la rigidité protes- la
1: conséquence de certaines préoccupations le fac-simile de ce traité, que chacun pourra LES TRIBUNAUX
j'avais demande à faire précéder ma nomi- tante. On me racontait hier un fait qui n'est plus ou moins effacées dans une vie de tra- Consulter dans les bureaux de la Liberté.
gres
nation par mon élection au conseil municipal; compositeur et de son digne interprète. Avec rien, mais qui montre l'esprit d'un pays. pvail et d'agitations, persistantes l'histoire de la photographie est moins
mais vous avez pensé qu'il était urgent, pour quel brio et quelle habileté M. Reuchsel a Tout le monde sait que Meyerbeer a toujours \actives toujours. au fond et Mais ignorée que notre correspondant ne le sup- LA GRÈVE DES OUVRIERS TAILLEURS
l'expédition des affaires, de ne point attendre les exécuté la fantaisie brillante sur le Désir de été l'ami de la a
délais que pouvait entraîner cette élection, et Schubert, écrite parle maître Servaisl Com- cour de Prusse; qu'il y vivait De plus, ces sujets où se meuvent les per- pose. Nous n'en voulons pour preuve que le Les ouvriers, tailleurs de Londres sont en-
vous m'avez présenté ^uchoix de l 'empereur, qui,
me il était souple, agile, délicat dans cette dans l'intimité, du souverain. Eh bien! il fal- sonnages
s qui planent sur les hauteurs et passage suivant de l'Exposition universelle, trés en composition avec leurs patrons après
3 août, m'a fait l'honneur de me autre fantaisie de Ghys, qui lui a valu, com- lut à Meyerbeer pour arriver à faire commandent aux hommes plaisent naturel- poëme didactique en quinze chants, par An- une grève de courte durée. Mais les ouvriers
par décret du Lan-
SEPT ANS c
la première, des applaudissements una- donner ses Huguenots à Berlin ! Et savez- lement
confier les fonctions de maire de la ville de 1 à Liszt, qui mêle à son respect pour toine-Gaspard Belin, de la Société philo- anglais, qui avaient abandonné leurs ateliers
me vous pourquoi cette proscription singulière? les grands de la terre certaines considérations technique, qui vient de paraître chez Gar- à peu près à la même époque, se montrent
gres. excité quelquessusceptibi- nimes. 1
nomination
Si M. Reuchsel m'en veut de cette cita- C'est que le roi répugnait à laisser chanter d'ordre religieux. Il aime à faire parler ces nier. On y verra les titres de Daguerre éta- plus exigeants et plus obstinés. De l'autre
Cette a c
lités, et plusieursconseillers municipaux, en don- son théâtre le choral de Luther.. }bouches augustes. Il croit à la supériorité de blis avec une précision que beaucoup d'ou- côté du détroit cette grève ne semble pas
nant leur démission, ont protesté contre la no- tion, tant pis pour lui, Il n'a qu'à ne pas surLa grande influence de l'auteur triompha certaines vrages en prose n'ont su atteindre : près de finir.
mination d'un maire qui, pris en dehors du con- chanter si souvent les louanges de ses con- à Berlin de c races ; il a la fibre aristocratique;

seil municipal, pouvait ctre impose à la ville.

Devant cette manifestation, j'ai refusé d'être
frères.. le Grand,
ces susceptibilités, que Frédéric il
l'ami de Voltaire, eût vraisembla-
i se complaît sur ces sommets d'où la foule De Niepce,
s'écarte.
s
en ce moment, la tache était remplie.
Par l'âge et le travail sa vigueur affaiblie
Vers la fin du mois dernier les maîtres
tailleurs ont intenté une poursuite à trois des
installé et j'en ai appelé suffrage de mes con- blement comprises; mais il n'en fut pas Il voit la beauté en païen, en Grec ; mais Voyait d'un corps usé briser les ressorts. principaux membres de l'Association des ou-
au M. Auber achève un nouvel opéra, qui de mêmepeu à Weimar. Pendantbien des années, il Ainsi quand géant
se
ouvert l'entrée,
citoyens. l'opéra de i en a le sens exquis, et il a jeté d'ailleurs Il quitt.) danscela gênenons Colt vriers. Ils leur reprochaient d'avoir, soit
Par des motifs que je ne puis apprécier, il ne vaudra certainement mieux que quand Liszt, alors maître de la chapelle sur cette beauté antique, impassible, je ne Mais déjà dans les champs de la perfection une vie ignorée.
rectement, soit par intermédiaire, employé
paraît pas convenir à l'administration de faire M. Garnier, , grand-ducale, faisait valoir au duc l'exemple s
sais quelles émanations de christianisme. Il Daguerre avait porté la jeune invention. l'intimidation, proféré des injures, et surtout
procéder en ce moment à des élections municipa- A ce propos, il a eu dernièrement un mot de Berlin g
les; de mon col é, je ne puis accepter les fonc- charmant. et insistait pour que l'on donnât est Î manifestementtiraillé en deux sens : cer- L'essence de lavande, élément moins Du procédé de Niepce il changea la pratique ; exercé une surveillance menaçante à l'égard
les Huguenots : « Je puis pourtant pas tains instincts de sa nature le poussent aux Lui fournit sa résine, apte à vite sécher, rustique (1), des ouvrier^quin'avaient pas jugé à propos
tions dont, le choix de l'empereur m'a honoré Mlle Mulheim, une musicienne d'un grand ne f
.qu'autantqu'il me serait démontr.é que jé réunis avenir, était allée présenter à l'appréciation consentir, disait le Luther prince, à ce que l'on tranquilles f harmonies de la-beauté païenne; Plus sensible aux rayons qui la viennent toucher. d'interrompre leur travail. On conçoit que ce
tes sympathies de mes concitoyens et que je puis de l'auteur de la Muette une scène lyrique chante le choral de sur un théâtre les 1 tressaillements de la vie moderne, de l'es- Le lavage fit place à la vapeur d'essence,
Qui, léser l'enduit, seule puissance.
procès, qui soulève directement toutes les
le même où il s'est réfugié » Ce sans par questions relatives à la liberté du travail, ait
les plus chaudes dans pays
compter surjeur concours. 1 prit moderne, sont en lui et le sollicitent Le faisait de tous points adhérer métal. sa
pour laquelle elle avait reçu j
au
Dans ces circonstances, et pour ne pas entra- félicitations du
maître. ne fut que beaucoup plus tard qu'on donna aux < grandes luttes, aux douloureuses inves- Grâce à ce changement d'un effet capital, vivement intéressé toutes les classes de la so-
plus longtemps la marche des affaires, je les Huguenots à Weimar. On en est là ciété anglaise.
ver
viens vous donner ma démission de maire de Dans le courant de la conversation, la Allemagne en tigations,
t aux doutes formidables. Je le di- IlLen'était plus besoin de nouvelle contrainte:
; et notez que je vous parle du sais l'autre jour, et je le répète encore : Listz Mais il fallait rayon dessinait par sa directe empreinte. Plusieurs audiences ont été consacrées aux
Lwgres en vous priant de vouloir bien la faire jeune maestra parla de l'œuvre à laquelle fils de Charles-Auguste, un des hommes in- «est encor sept heures de grand jour débats de cette auaire, et le juge président,
accepter M. Auber met la dernière main, et lui de- teliigents du ( un homme, malgré certaines faiblesses; il Pour qu'une image fit un passager séjour, M. le baron Bramwell (,,ti a fait un résumé
Je vous suis personnellementtrès reconnais- manda si la nouvelle en était exacte. pays. a; son style, sa marque, sa griffe. Voilà pour- Le hasard, ce patron des inventeurs en quête,
sant, monsieur le sous-préfet, de la bienveillance collaborateur Scri- Je n'ai pu, à mon grand regret, visiter quoi ses œuvres dureront, après avoir, étonné Devait d'un même bond porter Daguerre au faÎtpl fort brillant, qui semblait donner raison aux
— Oui, répondit le de
cetle fameuse Wartburg, tout encombrée des le
<
monde. Une simple cuiller, que le fait d'un oubli ouvriers Cependant le jury a considéré que
que vous m'avez témoignée dans cette circons- be, j'ai l'imprudence de travailler encore. la fête.
]
Avait laissée un jour sur un argent poli
le fait par ces derniers Tl"'exercer une -ur-
tance Comment 1 l'imprudence !
préparatifs de Les diverses qualités de sa musique écla- Se déroulant en plaque et couvert d'iodure,
Recevez, monsieur le sous-préfet, l'assurance —
Mais oui, je suis vieux je devrais J'aurais voulu voir la chambre où Luther tent \ dans cette Sainte Elisabeth ; qualités De lumière inondée, y grava sa figure. veillanco constante autour des ateliers oi, le
,de ma, considération très-distinguée. — trop ; demeura rendant une année, de 1521 à 15:2;;?; de travail n'était pas suspendu constituait une
céder la place aux jeunes ; à vous, entre au- j'aurais < douceur infinie dans le chœur des en- Daguerre jour découvre fait plus étonnant
HENRY DE CO;-¡FÉVP.ON.. aimé à me faire raconter sur place fants, un un molestation,
Lansrcs, SO août 1807. autres, mademoiselle. { dans les couplets d'Elisabeth, dans le C'est l'image produite, aux flots de la lumière. :
une gène de nature à faire im-
l'histoire de l'encrierjeté à la tête du diable, chœur des pauvres, dans la description du Sur la plaque d'argent où l'iode s'ingère, pression sur l'esprit de leurs camarades. Il a
Cfc tte manifestation prouve une nouvelle
G. Sauton. le
et à compter les tach(s d'encre sur mur. miracle des roses ; qualités de puissance et Qui, abord invisible doue déclaré Dnvitt. Lawrence et AdamsoIli,
d en son premier état,
Offre a l'œil tout à brillant résultat.
fois qyie l'administration s'engage dans une Ces joies innocentes m'ont été refusées. En de force dans le chant des Croisés, dans la Si la plaque au contact des vapeurs du mercure coupables du délit qui leur a été imputé,
coup un
fausse' voie lorsqu'elle. .veut imposer à une LA RUE. — La journée d'hier a été féconde revanche,j'ai pu voir tout à mon aise la salle description de la tempête, dans l'apothéose Fait sortir le dessin de mais en même temps il les a recommandés Ù.
sa prison onlcure; t'indulgence de la cour, se fondant sur te
Ville des a dministrateurs qui n'ont pas reçu en accidents de voiture. Vers neuf heures et du Combat des chanteurs et celle des Cheva- de la sainte. Un grand nombre de passages Mais la clarté du jour viendrait l'y replonger
leur mandat des électeurs, elle froisse le sen- demie du matin, rue Saint-Honoré, un liers. où le concert a eu lieu. de l'oratorio auraient soulevé des tempêtes Si Et
l'iodure encor pouvait s'y propager,
si son action n'était tôt détruite
qu'Us avaient cru agir légalement en Infsant
ce qu'ils avaient fait,
pas
timent public' et compromet inutilement la homme a été renversé par un coupé de re- La salle où les maîtres chanteurs s'étaient d'applaudissements dans l'assemblée si l'éti- Par le contact d'un sel de soude hyposulfite.
dignité des hofeimes qui veulent bien lui prê- mise. Relevé aussitôt par un sergent de ville, réunis est de dimension modeste. Cent per- quette n'eût condamné l'assistance au si- W. de Fonvielle. La sentence a été ajournéc,.
ter leur concouf5. il a été conduit chez un pharmacien, qui n'a sonnes y tiendraient difficilement.Elle est fort ]lence. A la fin, le grand-duc donné le si- Le verdict du jury a prjduîtune vive émo-
a tion parmi les ouvriers. Les délégués de l'As-
Espéreras que ia leçon de Langres sera reconnu aucune blessure mortelle. belle dans sa décoration sévère. On y voit un gnalât une ovationuniverselle, enthousiaste,
comprise ptfv qui de droit, et que la résistan- Quelques minutes après, rue de Rivoli, en tableau peint par MauriceSchwindt, et qui, n<t:- !a été faite à l'illustre maître. Le lendemain,
(
social ion ont décidé que la grève continue-
conseillers municipaux de cette face la rue de Marengo, IQ timon d'un omni- tu rellerneiit, représente le célèbre combat. dans l'église de la ville, l'oratorio, répété, a LE MONDE GASTRONOMIQUE rait, mais qu'une commission serait chargée
ce Ienfile des ,
de fixer un plan à suivre afin que désormais
ville aifra éclaire rrJ. préfet de la Haute- bus s'introduisaitbrusquement dans une au- Tannhauser et Wolfram d'Eischenbachsont produit plus d'effet encore.
,
Marne sur les sentiments de la population. tre voiture de remise et avec une telle vio- au milieu du groupe, en arrière duquel appa- Parmi les amis de Liszt, parmi ses élèves Café-Restaurantdu Grand-Opéra on put, rester dans les limites ele la loi, iello
,
[ence qu'il fut cassé par le milieu. Par un rait Elisabeth, dans toute la splendeur de sa empressés à lui serrer la main après cette qu'elle avait été appréciée par le juge Bram-
hasard providentiel, la personne qui occupait jeunesse et de sa beauté. Tout autour de ces double victoire, je citerai MM. Emile 0111- ( 10, BOULEVARDDES CAPUCINES,ET PLACE DE 2, L'OPERA well et appliquée par le jury.
VIENNE. — Le Courrier de la Vienne et
des Deux-Sèvres reproduit 'une lettre adres- cette voiture n'a pas eu de mal. Quant aux trois personnages sont assis, la harpe en vier, (
Raff (de Wiesbaden), Rainecke (de Leip-
,
voyageurs de l'omnibus (de la ligne de Bati- main, les chevaliers qui ont pris part, tour- le docteur Brendel, Réményi, Damrosch Menu du samedi 7 septembre 1867.
sée à un sous-préfet. Nous regrettons de ne au sig), AFFAIRE DU JOURNAL L'Ordre
et l'arron- gnolles au jardin des Plantes), ils ont dû des- noi. C'est une belle composition, un peu froi- <
Brcslau), Wilhem Langhans, Cornélius
pas connaître exactement nom le
et continuer leur route à pied.
(de Potage aux pâtes d'Italie. Le tribunal .d'Arras vient de se prononcer
dissement de ce fonctionnaire;néanmoins sa cendre de, un peu maniérée peut-être, et très-évi- de Bodenstedt).. unpoëte, un érudit, Paul de
lettre mérite une place d'honr^eur dans nos Dans l'après-midi, au bois de Vincennes, demment destinée à la reproduction, sous, {osti,Louis Dachauer (de New-York), et tant ] Esturgeon
Rognons de
sauce
veau
fines
sauce
herbes
tomates sur une question qui intéresse particulière-
ment la presse périodique. Aussi croyons-
colonnes : une voiture de maître a été renversée à un toute forme, de la gravure à la porcelaine. d'autres (pie je ne puis nommer. Canetons rôtis.
Monsieurle sous-préfet,
détour. Le propriétaire a eu la jambe frac- Par un caprice dont il faut lui ravoir gréj En somme, j'ai assisté ld à une des plus Aubergines au gratin. nous devoir reproduire in extenso son juge-
turée Schwindt a donné la figure de Liszt à son ]belles fêtes qu'il m'ait été donné de voir, et Glaces au café, garnies de fondus. ment, dont l'importance est manifeste
.sdivant l'usage antique et solennel et pour me
conformer à vos désirs, j'ai célébré la Saint-Na- Wolfram d'Eischenbacb. jj ; veux remercier encore une fois, au nom de Salade. —Dessert. En ce qui touche le premier chef de la. préven-
poléon avec une simplicité 'champêtre, qui n'ex- La nuit dernière, une-scène charivarique En considérant cette scène, ma pensée se l'art, les princes auxquels nous devons en tion :

clut fyas un certain éclat dt bombes, de soleils et ies mieux réussies a égayé le quartier de la reportait à nôtre Opéra français et au combat partie ces saines et glorieusesmanifestations. 6 francs par tête, vin non compris Considérant qu'il existe une Corrélation évi-
autres instruments patriotiques. C'était comme tdace de l'Europe. des chanteurs dans le Tannhaaser de Wag- dente entre les dispositions do l'art. 7 de la loi
A. de Gasperini. du 17 juin 1819 et celles de la charte de 181h et
un bouquet de fléurs ! Depuis longtemps les habitants de la ner. Comme voilà bien la différence du génie des constitutions qui l'out Suivie, et qu'elles ont
Mais, malgré l'assurance formelle de M. l'ad- maison n° 3 de la rue de Moscou ainsi que des peuples, de leurs habitudes, de leurs mi-
joint faisant fonctions de maire, je suis épaté de LE MONDE AGRICOLE ET COMMERCIAL eu pour but de garantir, par une sanction péna-
locataires des immeubles voisins étaient lieux i loi l'on est accoutumé à cette galante le, le secret des séances des Chambres déclarÓ,:,,,
n'avoir iu aucune mention de mes suaves efforts igacés ,es
incessants d'un piano qui histoire chevalerie Tannhauser est un LE MONDE THÉATRAL ET MUSICAL
.au journa! officiel du département, dont je suis commençait sons
par les de : Le Concours libre de labourage sions secrètes par ces constitutions; que les commis-
U'abonné son ramage dès six heures du personnage légendaire, dont les enfants sa- à la vapeur. ne sont pas virtuellement comprises dans
Votre Excellence doit cependant se souvenir matin pour le continuer j usqu'àminuit et au vent les aventures (comme chez nous celles On vient de mettre en veste chez tous les édi- oes expressions génériques de la loi de 1819: «les
mazurkas piano, Emile des chambres
'que, l'an dernier, en présence de mon feu d'arti- delà. Toutes sommations ayant été vaines, de Cendrillon); on trouve tout simple qu'au teurs de musique 3 pour par C'est le jeudi 19 septembre et le vendredi ssan e ; »

fice, qui vous avait én.;\i jusqu'aux larmes, vous les victimes de cette harmonie à jet continu théâtre les maîtres chanteurs aient gardé la Pcssard. (OEuvre 15").
20 septembre qu'aura lieu définitivement Con sidérant que le secret des dcliberamM?< J."
Ces mazurkas, qui brillent par une grande et commissions n'a été expressément édicté par
'me tendîtes i:lma.in.etque je la pressai en criant: mûrirent un projet de vengeance. harpe que l'histoire célèbre, que la peinture nalité, obtiendront, nous en sommes sûrs, un origi- grand sans aucune remise, — car ce n'est pas ici cci
aucune des dispositions1e la loi,etquÓ, par suite,
"Ni\e M. le sous-préfet I vive M. le maire 1 vivent Hier, à minuit, au moment où l'instrument a respectée. Chez nous, Tannhauser, Wol- succès cet li i ver.' à la commission impériale de l'Expo-
îles ponmiers ! comme d ne pourrait se trouver dans la loi de 1810 une.
Agréez. monsieur le fous-préfet, VIGIIIM:IPE de supplice envoyait ses dernières bouffées fram, étaient des inconnus, et nous avons sition, le
— concours libre de labourage à la sanction pénale; que si le secret des délibérations»
Demain soir dimanche, concert extraordinaire
fie mes civilité- L'f, i'assurancc que. malgré mes mélodiques, un immense charivari, où les ri aux éclats de leur platonique tournoi, ri jardin de M. de Bcsselievre.
au vapeur. * des commissions peut paraître entrer dans l'es-
'déceptions <!'¡¡.)rcs, je vous suivrai toujours dan; cuivree dominaient, s'éleva de toutes les ha- plus fort, ri d'un inextinguible rire, quand SJli par MM. Lallietet Lacoste. Les expériences auront lieu à Petit-Bourg, prit, de la législation de 1852, cette analogie u..
:}('s sentiers .fleuris de l'enthousiasme adminis, bitations environnantes avec un ensemble nous avons aperçu l'inévitable harpe qu'ils A l'occasiondes vacances, il sera tiré un feu d'ar- sur la magnifique ferme de M. Decauviile peine;
suffirait pas pour justifier l'application cl'\mlJ'
tratif. qui révélait des idées arrêtées de la part des traînaient partout avec eux. Ont-ils ri, bon tifice pendant l'entr'acte, à 9 heures 1/2. aîné, lauréat de la prime d'honneur de Sei- qu'en matière criminelle tout est
A.de Fonvielle. exécutants. Ce fut une fête aux flambeau*-!-.. pieu, les Parisiens ! Je les vois encore. Ces ne-et-Oise en 1858. M. Decauville, l'un des deConsidérant droit étroit, et qu'il ne saurait appartenir :ut.
Les sergents de ville eux-mêmes se tor- h; rpes les divertissaient outre mesure. À la THÉÂTRE DE LA GAITÉ. — Peau d'Ane vient de re- premiers souscripteurs à la manifestation li- pouvoir judiciaire de combler les lacunes ou lcv'
daient de rire... seconde représentation, il fallut céder à cette trouver rienn'a son pyramidal
été
succès d'autrefois. 11 est vrai
é1?argné en luxe et en magnificence: bérale de
l'agriculture française, s'est em- imperfections qu'il croirait exister dans l'œu\T($
LE MONDE PARISIEN Eii .effet, île vre pouvaient rien contre des hil; rité tapageuse et laisser les harpes que
dans 1exécution, la mise en scène, les ballets, les décors
,' pressé, concurçmment avec beaucoup d'au- d'un législateur;
la (oulisse. On trouva aisément d'autres su- et les costumes sont splendides. tres cultivateurs des environs de Paris, dl) En ce eini touche le deuxième chef de pfj'/r;.;;-
gens qui agissaient dp cqnpeyt.
A dc-i,,x heures du matin la. justice des je.is,-6 gaie,ii.T-ï- L'aquarium est toujours une de ces merveilles mettre ses terres à la disposition de la com- tion :
£i;i l'OUi.' ynvl aujourd'hui à cinq heures voisins était satisfaite le piano avait cripi- Là salle des Chevaliers, où a eu lipa l'exé- qui fera courir tout Paris et ses nombreux visiteurs. mission. Considérant que l'article incrinuné contient
Ce concours créé, —- nous s&mîhes heureux uno discussion politique;
pour Biarritz. tulé. eut ion de l'oratorio, est un beau vaisseau Cadet. — Ce bel établissement, avec d'insister là-dessus, Considérant que la forme domine à cet article
pbkpg, magnifiquement décoré dans Casino, rue
un son pplendide orchestre, sous la direction d'Ar- par la seule initiative de implique une coupure faite dans une lettre plu.-
La mm-éclvil Kîeî, ministre de la guerre, A propos de piano, avez-vous remarqué style qui tient du mauresque et du byzantin. ban, fera sa réouverture 'diiiianclie proçhajn, 8 sep-„ notre agriculture, — empruntera un intérêt étendue et textuellement rûpt'cduitn; que l;i d«te^
'est parti avanL-tuer pour Toulouse. à dernière résolution prise par Paris ci. k-, mots pour extrait qui précédem.
une chose? C'est que Paris pullule de maî- Deslainvitations nombreuses avaient été faites, tembrs. nouveau une de
galle était comble jusque dans les re.,. ses membres organisatcurs. la signature montrent sunisammontque !t> signa-
tresses de piano. On en trouve depuis dix et Comme au fond de la question du labou- taire n'a pas entendup.u!ri:'.',c en faire sort rouvre )'r')j)i.'<".
le cachet coins. Les femmes étaient assises au centre,
l,'(\klt de la santft rie M. le acteur VÓron sous 0 la grande majorité des hommes tenaient LE MONDE SCIENTIFIQUE rage à la vapeur, il y en a une autre celle et in revendiquer !a ; uu'îl a seultnYjeutj'
Seulement, je> me demande où sont les se prétendu en assumer la rosi'.'oasabibteî pénaH*;
ne J;us-.<' plu"qU'UI; faible espoir; il a été élèves. debout devant les portes d'entrée.A l'une des des labours très-prufonds e}e cous-solage et la signature précédée des mots : f:i>uT nxti-ait.
adntinisti é hier. que
Mes renseignements statistiques me don- extrémités de la salle étaient établis l'orches- Invention de la photographie par Niepce de défôncemont, ia commission adresse un rie peut avi.ir portée cv!lçâ u'attestc:'
appel à tous les fabricants dont les instru-
nent une moyenne .du ,dcnx maîtresses pour tre et les choeurs, que Liszt conduisait lui- et non par Daguerre. que t'.u't.icio a été extrait, <.H;!;u ."^ffespondariïw
M. Del c-rue*. jiÏ -e de paix de Juille, vient d'ê- élève. Dans ces condition?, il estdifijcile piênie, debout sur une estrade peu élevée, ments ont pour but. les uns par le renverse- plus étendue c'L laisse l'a'yi-méme sans si-
tre nommé c'x;\'nl!er de la Légion une
d'hon- d'admettre On nous adresse la lettre suivante ments de la tranche, les autres par le simple gnature, (:UII il suit q:¡'jj¡<: signature dDL';/';'
que cette industrie puisse faire vi- dans legpn costume d? prêtre ef èn gants noirs,
'
:

neur, si grand nombre de personnes du sans bâton traditiOI nel du. chef d'orches<» Chalon, 22 août 18G7. ameublissement du sous-so';) cio porter la dans dr; telles (';;;j,;;¡i()!¡J e".::-.finie une violatio/tf
Ci' Tiia^islrnl a de nombreuses années de vre uii, Monsieur, couche arable à J,Le épaisseur de 35 centi- formelle de {'article o do >••. ï du io jmiiet
tre. A l'autre extrémité, une estrade avait
'servie, —e.l uro c.n'a.te, — celle, dont cer- Que conjure? été dressée. En avant étaient assis le grand- l'Héliographieà J'ai lu dans la Liberté (19 août) un article sur mètre;;, que si unebig.natureaussi équivoque ni aussi peu
tain <jk)urnàlii.tes, qui n\;nteIJdi.mt rien à. hi
p;V>sto, se sont agréablement moqués ces constitue parfois
C'est que ce tjt;'e dp maîtresse de piano duc, la grande-duchesse, les deux jeunes elle phrase terminant cof article 1Ü a cause une
de ces tï'avboûssements princesses leurs filles. Notre ministre à Wci-
l'E:rposition.
, L'on compte avoir déjà la charrue VaHe-.
sensible : (r L'invention do Daguerre com- raud, la charrue double BrabfTd, ele MM. d'eludef la disposition dl, cel n;':)c'c et (er.-ut re-
sérieuse
et
pouvait
snffts,lllr; elle
être; con^idérét! eo;::n.e vnlab'e
df.'\;"]J,::':.il tin moyeu facile

temps-cil un Je même rang que la Koneleur ,et Iscultz frbes, la charrue Cout- vivre le scandale 'les édilt-rs
sous lesquels s'abrite une certaine catégorie innr avait pris place sur Derrière Aussi je crois de mon devoir strict d indiquer a greade, lu charrue Twceddalc; la défonceuse En ce qui tc;-,;ohe ie troisième.- cl ici
4b travailleuses qui se plaisent à dissimuler famille du souverain. ces person- un esprit aussi judicieux que le vôtre et surtout charrue fou il-
prt?
la
Jacob est C11 prison;tout le monde l'af- ainsi ienr véritable profession. nages étaient gi^oxq és la cour tt certains i «ï— aussiréplique radicalement libéral, un livre qui \'ad¿montnr Dombasle de Nancy, avec
Bonnet d'A-
tion ;
,f':\l'rne. C'est, du j.'pst.e, le plus bel éloge de la ver- vites priv-Hcgiés. A six heures et demie le. -"1" Que Nicéphore et pièces en main
la
' photo-
leurs de Grignon, la charrue - Considérant que les
discussion;:
deux arômes mcriuimc*
poHnques; epiiis nu
Niepce seul invente grande charrue Howard, contiennent
il la nom- vignon. la
a des
On ajoute qu'il serait. appelé par le par- tu que de se mettra faux nez pour prati- concfirt commença ; à dix heures on quittait crr.phie. ou plutôt l'héliographie,comme et-j.
signature , et consument,
(yu<:t de Versailles à rendre compte des con' querJe vice. la salle.' lllodcslemelit; Ces instruments, attelée dê bumfs ou de sont suivis d'aucune contravention expresse v.o-
ÍïHtit lo/f,.«to sans chevaux, concernent entre eux, ÍJar conséquent, i:m
stations gratis qu'il aurait données soit d Ces maîtresses de piano-la ont une spécîur- I Je l1e puis évidemment, dans un journal ip*ceeours
\ ersailles. soit à Paris.
le n'ai point été tendre pour Jacob, et j'ai b..leterl'c et la Russie.
lité, Elles donnent généralementsur l'An- politique, donner à l'étude purement musi-
5"
^
Qu'il
Qup
obtenait
élu soleil;
delà
la traité p;;sfJ .yw
cale de cet oratorio une place bien vaste. ' Vd^émbre, 'constate eru à cette époque Dacuerre auxquelles
des épreuves en

mot de la chose, pinsquil

^
T(, .
10

bres
Le 19 auront lieu les opérations du jury, d't(>,:¡,,;.lü;1llt
pourront
souscripteurs,
assister
et le 20
tous les mem-
les mr.vinnes
Co,je;
article; a de la loi du
d
traventions de
que criminelle
'ini-t:'l1clioll
la presse;
16 juillet lîsjOj
le principe de 1 aruclcôUj.
s'applique Vjx con-
qu'en eJet, il. s'étend,
i' ce que je pensais de ses prétendus n'iirn,- Comme c'est avec 1 étranger domicilié mo-Toutefois et comme ii s'agit d'un homme s -ait lias le p1'c/iltrrtraite,
ges. Jene- crois pas toutefois qu'il soit p»*» mentanémentà Paris qu'elles font leurs frais, dont la réputation est universelle, êlont les lÙn est, pas question autalents et ou il nidusîrie. n apporte pour fonctionneront pour le public un général. suivant les expressions de la cour d-4 cassation
Le juvy r;1appliquera à constater la profon- dans l'arrêt du peinescrhmufcO«$tM 15 juillet ItfOO, 1/H1\r,3 les infrac-

...
s'apProjsspntchaque jour, qui, de s:lIlquote-ra:est\Tai t que ses son A
(FélaL¡;l' (|u"i! l:ll;'!"; s-ous lu coup des pjuut dire de ces maîtresses de piano partisans et est vrai qu'on ajoute une nouvelle com.-maison tions atteintes de correctiou-
interdisant l'exu,,'iCf! (:c lae médecine à on
;
qu'eUes vivent de r/¡ôtd. quelque façon que l'on juge tcp oeuvres, de çiia libre nojrts; (1) Que le bitume clic Judéç. apUçâ qui n'en ont pas ét'i çx; c-ficnt ou un-
auxquels la Faculté n'en n. pas accorda prendra manifestement lar^e part dans V Que tuCme ce petit apport il , pas de lui, mais
Elie Frebault. une j
 Louis Veuil!o') que l'honorable M. Monnier occasion(avec la circonstance aggravante que Au miiicu du désordre que ce coup don expériences.los spécim"nc:: de pr"'nr'e r.Hhirn,
AVIS DIVERS I
:pÜci.tem.e,nt exceptées,soit par des; dispositions c'était au moment de let signature du (0,,-, d'Ent 'L!!n'r;!'r;i'i'r)'' d î'.m.
ne nous a nullement chargés de .publier l'ex-
lC': ««npou- Cl a ur M V? v (i \
particulières du Code pénal ou des lois po_siérieu-
civile at- pression de son dévouement. Son but, en trat, s'écria également,mais un peu trop fort due» et une proclamation m:;it):i.'.L- la, clé, ,:1 .•<'> en •'oii.f.uu a la J iégHin.n: i i:
tes, soit par le caracière de réparation
->

taché aux amendes en matière 5sccle ;
Par ces motifs :
Acquitte sur le premier chef de la prévention;
Déclare le prévenu coupable d avoir publié,
dans les numéros de son journal des 3 et 9 de ce
mois, des articles de discussion politique ne por-
tant aucune signature, et le condamne en 500 fr.
d'amende et aux dépens.
L'ACCIDENT DE SAINT-ALBAIN
On a encore présent à la mémoire le terri-
ble accident dont le chemin de fer Paris-Mé-
diterranéefut le théâtre à la hauteur de Saint-
Albain,près Maçon. Il avait été provoqué par
des travaux de réparation entrepris intem-
peativcment.
*
Nous avons rendu compte de ce triste
. évé-
, ,
nement,et nous avonsajouté: « Lajust'icepror
cède à une enquête qui établira la cause exac-
te de cet affreux malheur et la part de res-
ponsabilité qui incombe à chacun. »
Aujourd'hui la justice s'est prononcée.
Cinq prévenus : Varenne, brigadier poseur;
Billandon, piqueur ; Monin, ouvrier poseur
auxiliaire; Guichard, Meunier, gardes de
nuit., se sont présentés devant le tribunal de
Maçon. Ils étaient détendus par Me Siraudin,
Saclier, Pinier et Lutaux.
La compagnie du chemin ^ de fer, assignée
avait confié
comme civilement responsable,
fia défense à Me Maritain,
secrétaire de M9
Jules Favre.
Varenne a été condamné à un an (l'empri-
sonnement, Billandon à deux mois, Guichard
à un mois, Meunier à deux mois, Monin à
quinze jours.
La compagnie a été condamnée, comme
civile»ent !(>,.:r:on::ahle, aux frais envers le
Trésor.
IMPRUDENCE
11 ne faut jamais jouer avec le feu ; encore
moins faut-il jouer avec les armes à feu.
Nous allons en fournir une preuve à laquelle
l'ouverture de la chasse, époque si féconde
en accidents, ne donne que trop un cachet
d'actualité.
Le 2 juillet 1866 MM. Barbier et de Villers-
:Taudrey, le premier lieutenant au 16e régi-
ement d'artillcrie,-le second lieutenant au 166
chasseurs achevai, jouaient dans la cham-
bre de l'un d'eux, à Toulouse, où ils étaient
en garnison. M. Barbier lançait des boulet-
tes à son camarade avec une sarbacane, et
M. de Villers-Yaudreymenaçait son ami avec
un vieux pistolet qu'il possédait, qu'il avait
rapporté de sa dernière campagne d'Afrique,
et qu'il avait donné à réparer à l'armurier du
l'égilllent, auquel il avait recommandé de le
décharger et de le décrasser complètement.
Malheureusement, les instructions de M.
Villers-Vaudrey n'avaient été qu'imparfaite-
ment suivies. Tout à coup une détonation re-
tentit, et M. Barbier tomba mortellement
blessé.
Acquitté par le conseil de guerre, M. Vil-
ICI,;..,.'audrcJ' dut se présenter devant le tri-
bunal civil de Versailles pour répondre à
une demande en 20,000 fr. de dommages et
inlérôis intentée par 1:1 famille de sa victi-
me. Condamné à payer 10,000 fr., il crut dc-
voir in'f'rjouT a;!;'.-.'!, et h. cour de Paris a
réduit <; condamnation a 5,000 Ir.
f);.n<\ la perte d'un ami, 5.000 francs de
'!o;?;mn;.;eset intérêts,des (Vais considérables:
Voi'â ce que lui aura coûté son imprudence,
Victor
Rentes viagères. — La
Compagnie
d'Assurances générales sur la vie.87, rue de
Richelieu, à Paris, constitue des rentes via-
gères immédiates ou différées sur une ou plu-
sieurs têtes,payablespar annuité,par semes-
tre ou par trimestre, au choix du déposant.
Fondée en 1819,cette Compagnieest LA PLUS
ANCIENNE de toutes les sociétés
françaises de
opérations sont ga-
ce genre. Ses nombreuses
ranties par un capital de soixante millions de
francs, dont dix-sept millions en immeubles.
Elle a des représentantsdans tous les chefs-
lieux d'arrondissement, où le rentier peut
toucher ses arrérages sans certificat de vie,
sur la production de son contrat.
LA MOISSON
Il v a dans Paris des établissements qui
effectueront leur première recime le jour où
ils seront expropriés. C'est, du moins, l'opi-
nion de M. Roger de Beauvoir fils, qui raconte
dans la Vogue parisienne l'f'Mcdote sui-
vante, à travers laquelle on reconnaît facile-
ment les masques :
Un directeur de théâtre se réjouit de l'expro-
priation qui le frappe, calculant qu'il bénéficie
plus avec elle qu'avec les nombreurs fours qui
ont illustré son bail dramatique.
. la
Son auteur favori, fournisseur patenjé^ de
maison, lui porte ses doléances; cette expropria-
tionie mettant à pied, il conclut à un partage
amiable de l'indemnité adjugée.
Le directeur refuse net.
cela! crie l'auteur fu-
« — Ah ! c'est comme
rieux, eh bien 1 moi aussi, je vais demander à la
Ville une indemnité1 » L'Amérique n'a plus le privilége de four-
nir à elle seule des docteurs en jupons :
Dans le Figaro d'hier soir, M. Rochefort,
On écrit de Zurich à la Gazette de Saint-Pé-
à propos de la lettre de M. Monnier insérée tersbourg
à la Liberté, se livre à une étude des plus l'universitéque de mette ville le diplôme de docteur
réjouissantes sur les diverses acceptions du en médecine. Il y a cinq ans Mme Souslof a subi
mot dévouement : a11
second gymnase de Saint-Pétersbourg un exa-
Niez donc les progrès de la langue l ce même
mot avait autrefois un sens absolument contraire.
Pendant l'émigration, le marquis de Rivière
mangea cinquante mille livres de rentes au ser-
vice de la cause des Bourbons, sans avoir voulu
jamais accepter d'autre récompense qu'un petit
portrait du comte d'Ariois, depuis Charles X. Sur-
pris à Paris avec ce fatal portrait sur son cœur,
il fut englobé, sur cette preuve unique, dans la
conspiration de Georges Cadoudal et condamnéà
mort pour la cause à laquelle il devait déjà sa
ruine. Voilà du dévouement. Aujourd'hui, quand
un monsieur est dévoué, il se hâte d écrire à une
feuille du soir, en la priant de publier cette
grande nouvelle dans son plus prochain numéro.
J'attends le moment où nos grands dignitaires
mettront, moyennant trois francs la ligne, à la
quatrième page des journaux, à l'instar d'un
marchand de chocolatbien connu :
LE MEILLEUR DÉVOUEMENT EST LE DEVOUE'IEN,T
'PEHRON.
Il est vrai qu'après avoir crié au dévouement
tant qu'ils sont en place, ils crient à l'ingrati-
tude ctès qu'ils n'y sont plus. Car, entre autres
professionsnouvellement introduites en France,
nous avons ceile de disgracié. On apprend un
jour que Pcchinard est nommé sénateur et grand
officier de la Légion d'honneur, avec des émolu-
ments de trente mille livres; tout le monde se
dit
— Tien1; mais c'est une disgrâce!
Seulement, nous ferons remarquera, notre
Fournier. spirituel et narquois confrère (comme dit M. adroit qu'un certain fiancé qui, en pareille
POUR écrivant, était de protester contre une
certaine accusation blessante pour lui.
Quant à la place de sénateur, aux émolu-
ments de trente mille francs, nous n'avons
pas entendu dire qu'elle ait été offerte à l'ex-
précepteur du prince impérial.
Une mouche a piqué M. de Villemessant.
Ne prenez pas la chose au figuré ; il s'agit
d'une vraie mouche, en chair et en os, qui
s'est posée sur son puissant biceps l'autre
jour à la campagne et le lui a fait gonfler ou-
tre mesure.
Le Figaro profite de l'actualité pour trai-
ter la question des mouches. Experio crede
Roberto :
On se plaint vivement dans les campagnes que
les riverains des cours d'eau jettent dans le lit
des fleuves ou des rivières les immondices qui
proviennent de leurs maisons ou des cadavres
d'animaux.
C'est ainsi qu'on rencontre souventà la surface
de la Seine ou autres rivières les corps tout gon-
flés de chiens et.de chats, jetés à l'eau après avoir
été tués souvent à la suite de cas d'hydrophobie.
Ces corps, arrêtés par les herbes, séjournent
longtemps le long des berges, et, outre leur as-
pect désagréable, ils répandent aux environs des
odeurs empestées et dangereuses. Les mariniers
leur ont donné le nom de nwchaúés.
Les mouches qui viennent se déposer sur ces
cadavres emportent avec elles un virus pestilen-
tiel, et leur piqûre est fort à craindre. Nous ap-
pelons l'attention de l'administration sur cet état
de choses afin qu'elle fasse exécuter les règle-
ments qui ordonnent d'enterrer profondément les
cadavres des animaux et interdisent d-e les jeter
dans les rivières ainsi que les immondices.
Mino Souslof vient d'obtenir de
men des études de ce collège équivalant
lettres
aux di-
plômes réunis de bachelier ès et de ba-
chelier ès sciences, et depuis elle a suivi les cours
de l'Académie médico-chirurgicalejusqu'au mo-
ment où l'autorité a interdit aux femmes de sui-
rendue à
vre ces cours. Mrao Souslof s'est alors de finir ses
l'université de Zurich, où elle vient
études avec un grand succès.
Paris-Magazine,
M. Louis Ulbach, dans
réclame l'indulgence pour une histoire his-
torique qui vient d'arriver... aux .environs
de Paris...
Bast!... à la campagne...
Il s'agit d'une jeune fille du plus grand mon-
de qui va se marier, et qui épouse un jeune hom-
me charmant et millionnaire, pour avoir commis,
par inadvertance, une faute contre l'étiquette et
la bonne tenue que je ne saurais préciser. Sup-
posez un salon silencieux... un petit bruit trou-
blant l'écho; une jeune fille pâlissant d'avoir été
entendue dans son... exclamation; et un jeune
homme ému de cette émotion, troublé de cette
grâce ingénue et se précipitant aux genoux de la
le
demoisellepour larassurer, pourlui jurer secret,
pour lui demander sa main. Comment a-t-on su
l'histoire? Quel est l'indiscret? Ce n'est certes
pas la jeune fille : il y a des choses qu'il ne faut
pas répéter. Est-ce le jeune homme? Où la fa-
tuité va-t-elle se cacher?
Ce jeune homme romanesque a été plus
à l'oreille d? 1-lt future Dites que c'est moi! d'une conspiration roya!;stf. Sur ce, ,'tl membres ncce-'ai.'cs.
du conseil des Chfq-Cf'ms, 12 difconseil des An- Les instituteurs revinrent ovr-uUe «'ans les car-
On rit. La fiancée fut outrée; le mariage ciens, Carnot et U..rt!JéloŒJ4,etc sont. condam- ré3 ciela viticu!tnre. des p:pjpièt'es, des jardins
uit rompu. nés à la déportation; tous les individus
,
inscrits et des verà"ers. Là M. Charles Baîtet, délégué des
Comme dit M. Ulbach, ce fut le contraire sur la liste des émigrés non exposants, leur fit une conférence sur l'art d'éle.
rayes sont tenus de
de la pièce de Shakespeare : sortir de France, et les émigrés détenus sont dé- ver les arbres, comment on les multiplie, et par
Beaucoup de bruit pour rien portés. Voilà un spécimen de ce que peut la force quels moyens on excite leur production. Il fit res-
brutale au lieu et à la place du droit, dans les sortir l'importance de la culture des arbres frui-
mains dun .
gouvernement qui n'a pas pour lui la tiers au point de vue de la richesse agricole et de
Voilà un suicide dont le motif n'est pas sanction populaire. On sait si le Directoirerepré- l'alimentation publique, et insista pour que MM.
ordinaire... heureusement : sentait, un pouvoir national 1 H. CASTlLLON. les instituteurs démontrent les principes de l'hor-
ticulture dans les campagnes, afin de les dispo-
La Gazette du Midi du ~ septembre raconte ser à rechercher les perfectionnements de la cul-
que la veille un ouvrier s'est tiré un coup de pis- ture des champs.
tolet, puis est tombé dans la mer du haut d'un
roctier. Quand son corps a été retiré de l'eau on
LE BULLETIN MM. les instituteurs ont été vivementintéres-
sés par ces démonstrations et ces leçons prati-
a trouvé sur lui plusieurs papiers contenant ses DE L'EXPOSITION UNIVERSELLE ques.
dernières volontés et une étrange déclaration,
par laquelle il altribuait sa détermination de sui-
cide ont spectacle du Gymnase, auquel il avait Les tourniquets de l'Exposition universelle ont En attendant que les délégués des commissions
assisté la veille. constaté jeudi 37,527 entrées; — ceux du jardin ouvrières aient publié leurs rapports sur l'Expo.
On ne dit pas de qui était la pièce. réservé, 1,215. L'île de Billancourt a eu 1,523 sition universelle, M. Salomon Halphen vient de
publier un Examen détaillé des produits expo«
Quoi qu'il en soit, la famille ne pourrait- visiteurs. ses dans la classe 91, section de l'ameublement
Les
elle pas demander des,dommages et intérêts génieur,ascenseurs
mécaniques de M. Edoux, in-
et de la tabletterie. Après avoir passé en revue
ont élevé sur la plate-forme du palais
au directeur? 3,130 visiteurs. tous les objets exposés dans cette classe et en
avoir fait ressortir les qualités ou les défautsqui
Grâce au ciel, à Paris on est moins suscep- Le restaurant omnibus a servi 7.295 repas,
tible... sans cela il y a longtemps que la dont la moyenne a été de 1 fr. 55 centimes. les distinguent, au point de vue de l'art et de leur
ville serait dépeuplée. Parmi les consommateurs se trouvaient les emploi humanitaire, l'auteur de cet ouvrage con-
sourds-muets, au nombre de 260, accompagnés clut que la commission impériale n'avait pas at-
directeur. Ils y font deux repas. La veille, teint le but qu'elle se proposait : celui de grou-
Pourquoi s'étonner de ce que de faibles ':2.00leur de
per des produits propres à apporter àla situation
instituteurs des départements de l'Ouest, physique des classes laborieuses un soulagement,
femmes se mettent à exercer la médecine, amenés par M. DUGur5 de la Fauconnerie, y
quand on lit dans la France : une amélioration, un progrès. Ainsi, il constate
avaient pris également leurs repas. Dimanche à bon droit que la condition d'existence des em-
Les portefaix d'Anvers s'étant mis en grève prochain ce seront 3M) ouvriers et attachés au ployés a été moins prise en considération parles
ont été remplacés récemment par des femmes^ visiter bureau de bienfaisance de Versailles qui, venant organisateurs de cette classe que celle des ou-
qui, parait-il, font leur besogne très-convenable- l'Exposition universelle, ont traité pour
deux repas par jour, à prix réduits. vriers et des paysans. Quelle en est la cause? M.
ment. Les femmes viennent aussi de remplacer, Halphen la formule en ces termes : « C'est d'a-
et pour le même motif, les voiliers de ce port. n bord parce que l'ensemble des produits exposés
Elles s'acquittent merveilleusementde leur tâche. » répond mal au programme primitif, et qu'on a
Des portefaises !
Dans la dernière séance annuelle de la Société
des crèches, qui a eu lieu dans le grand amphi- » banni l'utile de toutes les spécialités pour ne
« laisser en vue que les folies luxueuses. » —
A la bonne heure t... voilà des dames qui théâtre des arts et métiers, il a été constate que
le registre de la crèche de l'Evl.)osition avait H. CASTILLON.
ne manquent pas de nerfs! recueilli des notes précieuses en vers, en prose,
Elie Frebault.
dans plusieurs langues, toutes approbatives. On
ne saurait trop reconnaître les soins donnés au L'ÉTRANGER A PARIS
petit enfant dont la mère est momentanément
séparée par le travail. Il existe à Paris dix-sept
LES ÉPHÉMÉRIDES DE LA LIBERTÉ crèches, dont une a réuni jusqu'à 7Ji enfants. Il
Poste internationale
en existe dans nos principa!es villes, et jusqu'à
Constantinople et en Chine. Emile Deschamps Le dimanche 8 septembre, mettre à la poste les
8 septembre 1797. — Merlin de Douai et Fran- disait à propos de la crèche turque : lettres à destination des pays suivants, pour les-
quels l'affranchissementest :
çois de Neufchâteau sont élus directeurs, à la
« ...Et Stamboul,laRome musulmane
place de Carnot et Barthélémy, compris sur la Vient d'adopterla crèche, en attendant la croix,s 4' Facultatif :
liste des déportés. Cette modificationdans le per- »
sonnel du Directoire est suivie de la déportation
Messine, les côtes de Syrie, Alexandrie, Suez,
Lundi, 2septembre, a commencé, à l'annexe a- J.0 c. par 10 gr.; Aden, Maurice : 80 c. par 10 gr.: la
de seize personnes des plus notables dans les
gricole de Billancourt, l'exposition des animaux
Réunion, 50 c. par 10 gr. (paquebots françaiseSaint-
fonctions publiques, au nombre desquelles se Vincent, Sainte-Hélène, 60 c'pa'r 10 gr.; Peniam^u-
trouvaient : les directeurs Carnot et Barthélémy, de l'espèce porcine. co, Bahia, Rio-Janeiro : 80 c. par 7 gr. 1/1. (paque-
Barhé-Marbois, Bourdon, Cette exposition est moins
t
brillante bots anglais).
les députés Pichegru et non que
les généraux Murinais et Ramel, celui-ci com- celles qui l'ont précédée. Les principales races 2" Obligatoire:
mandant de la garde du Corps législatif; Cochon, anglaises et françaises s'y trouvent représentées Montevideo, Buenos-Ayres, Paraguay, Uruguay,
ministre de la police, ainsi que plusieurs journa- par des types remarquables. A côté des porcs cap de Bonne-E'ïpérance, Port-Elisabeth, Port-Na-
tal. Ascension, 80 c. par 10 gr. (paquebots anglais.)
listes.Ils sortent du Temple pour être transportés Yorkshire, Berkshire, Middlessex, Nevv-Leicester, Limite d'heure : 5 h. du soir aux buîtes des quar-
de Paris à Rochefort dans des espèces de cages etc., figurent sans désavantage des animaux de.
tiers, 6 h. à l'Hôtel des postes, place de là Bourse,
de fer, disent les mémoires du temps. Ces me- nos races augeronne, craonnaise, normande, li- rue de'Cléry et rué Saint-Hùnorë.
sures sont prises à la suite de la fameuse jour- mousine, etc.
née du 18 fructidor, qui avait lieu quatre Pendant la seconde quinzaine de septembre les
eu
seront remplacés par une exposition de j
jours auparavant. Ce jour-là le canon avait été porcs Le propriétaire unique, gérant et rédacteur en chef*
tiré sur le pont. Neuf; des corps de troupes mulets, d'ânes et de races chevalines mulas&ré-
étaient entrés dans Paris, et l'enceinte olt sié- res. Ce concours aura une importance d'autant S. DE onlARDlN.
geaient. les deux conseils avait été cernée. plus marquée que les mules de France sont esti-
Aussitôt, au moyen de secrets émissaires, Car- mées dans le monde entier aussi bien pour leurs
not disparaît; Barthélemy, son collègue, est qualités que pour leur grande taille. Il répond à SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DE CRÉDIT INDUSTRIEL Eor
besoin réel ; car personne n'ignore que l'in-
gardé iL vue;-Ramel, commandant des grenadiers un
du Corps législatif, est arrêté par le général Au- dustrie mulassière est une des principales sour-
COMMERCIAL. — La Société reçoit productifs,
remboursables
les déposa..
de richesse de plusieurs de nos départements
de fonds à vue et
gereau, chargé dé l'expédition ; les membresde la ces du Sud-Ouest. d'intérêts à 1 1 /8 0/0 l'àn.- Elle délivre des!
commission des inspecteurs des conseils sont
conduits au Temple i les Anciens son convoqués
récépissés à 7 jours vue, ouvre dea
à l'Ecole de santé, et les Cinq-Çents à l'Odéon. Ils Mardi dernier l'Exposition de Billancourt a été comptes courants d'espèces à dès conditions,
lieux ordinâires leurs différentes, et reçoit dès titres en dépôt dont
veulent s'assembler aux de visitée par 800 instituteurs, venus de 20 départe-
séances, la force armée les en repousse. Pendant ments. Ils étaient guides par M. Gandon, chef de elle encaisse gratuitement les coupons.
Le sénateurprésident, M3 G. D'AUDIFFRET.
que les conseils sont en séance permanente, la bureau du ministère de l'instruction publique.
direction ordonne de mettre à mort quiconque M. Brouardcl, chef, de service: les a reçus et
se permettra de rappeler la royauté, la consti- conduits auprès des machines et du bétail placés
tution de 1793 ou la familled'Orléans. sous les hangars ; puis il leur a montré le champ EN1WUEMENTS, r11 umas ,pâte de A^a/e,S0,r.Richelie«|

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La Comtesse d'Escarha«nas
77-78-79 Ctamfort. — iÏuvres choisies
80-81 Briliat-Savarla. — Physiologie da goût.
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8S-85-S6-87 :!.,- Uoland. — Mémoires
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