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Tour de France 1949 : Après que les Italiens ont perdu du temps lors
des premières étapes, Coppi décide d'attaquer lors de Rouen-Saint-
Malo (5eétape). Alors qu'il est dans le groupe de tête, il chute avec le maillot
jaune Jacques Marinelli. Il doit attendre sept minutes pour voir arriver son
vélo de remplacement. Bien qu'attendu dans un premier temps par ses
équipiers, dont Bartali, Coppi perd encore du temps, « pédale presque à une
cadence de facteur » et arrive avec 18 min 40 de retard. Reprochant au
directeur d'équipe Binda de ne pas avoir été derrière lui pendant l'échappée,
il décide alors d'abandonner avant de se raviser. Trois jours plus tard, il
gagne le contre-la-montre entre Les Sables-d'Olonne et La Rochelle. Dans
les Pyrénées, les Italiens prévoient que Coppi et Bartali s'échappent
ensemble. Ils ne parviennent pas à mettre leur plan à exécution, mais Coppi
est troisième d'étape et remonte à la huitième place du classement général.
Lors de la première étape alpestre, entre Cannes et Briançon, Coppi et
Bartali parviennent cette fois à s'échapper ensemble. Ils collaborent en bonne
entente et Coppi laisse à Bartali la victoire d'étape, le jour de ses 35 ans.
Celui-ci est désormais maillot jaune, devant Coppi. Le lendemain, dans
l'ascension du col du Petit-Saint-Bernard, ils procèdent de la même manière.
Bartali subit cependant une crevaison. Coppi reçoit l'autorisation de ne pas
l'attendre. Il gagne à Aoste avec près de 5 minutes d'avance sur Bartali, 10
sur Jean Robic, et prend le maillot jaune. Lors du contre-la-montre entre
Colmar et Nancy, il écrase la concurrence. Il rejoint Jean Robic et Stan
Ockers, partis respectivement 8 et 12 minutes avant lui, et met hors-délai 20
coureurs, repêchés par la direction de course. Il gagne avec 7 minutes
d'avance sur Bartali, deuxième. Il devient le premier coureur à gagner la
même année Tour d'Italie et Tour de France. Depuis six coureurs ont
remporté le Tour de France et le Tour d'Italie la même année : Jacques
Anquetil en 1964, Eddy Merckx en 1970, 1972 et 1974,Bernard Hinault en
1982 et 1985, Stephen Roche en 1987, Miguel Indurain en 1992 et 1993,
et Marco Pantani en 1998.
7e, 17e et 20e étapes T3 Em10 ou 12 ?
Tour 1952 : Lors de la dixième étape, le Tour arrive pour la première fois
en haut de lamontée de L'Alpe d'Huez. Jean Robic attaque au début de
l'ascension, suivi par Géminiani, rapidement lâché, et Coppi. Celui-ci part
seul, gagne l'étape avec 1 minute 20 d'avance sur Robic et prend le maillot
jaune. Le lendemain, il s'échappe seul sur les pentes du Galibier et gagne
à Sestrières avec 7 minutes d'avance. Coppi s'impose à nouveau dans les
Pyrénées à Pau, après être passé en tête aux cols de l'Aubisque et du
Tourmalet, et au puy de Dôme. Il remporte ce Tour avec plus de 28 minutes
d'avance sur Stan Ockers et plus de 34 sur Bernardo Ruiz. Aucun coureur ne
s'est depuis imposé avec une telle avance. Comme lors de sa première
victoire, Coppi s'adjuge également le Grand Prix de la montagne54.
7e, 10e, 11e, 18e et 21e étapes T9 Em 19 ou 21
Giro 1953 : La18e étape donne lieu à une poursuite entre Koblet, passé
en tête au Passo Pordoi, et Coppi. Celui-ci dépasse le coureur suisse et est
en tête au col de la Sella, puis est à son tour rejoint par Koblet. Coppi
s'impose au sprint à Bolzano et Koblet garde la première place du
classement général. Le lendemain, Coppi attaque dans l'ascension du Stelvio
et gagne à Bormio. Koblet, qui n'a pas su le suivre, perd plus de 3 minutes et
lui cède le maillot rose, à la veille de l'arrivée à Milan. Fausto Coppi gagne là
son cinquième et dernier Tour d'Italie.
4e, 11e, 19e et 20e étapes G21 Em 21, 22 ou 24 ?
Giro 1954 : Il retrouve son lustre en gagnant la 20e étape, dans les
Dolomites. Il termine à la quatrième place du Giro et gagne le Grand Prix de
la montagne.
4e et 20e étapes du Tour d'Italie G23 Em22 ou 25
Fausto Coppi est réputé n'avoir jamais été rattrapé par ses poursuivants
lorsqu'il s'est échappé entre 1946 et 1954.
Km 138 : Gerlitzen (fin d’ascension non goudronnée sur 1.5 km) (13.7 km à 10.1%, alt.
1909m)
03:26 Ludwig van Beethoven - Piano Sonata No. 14 In C Sharp Minor Black teen Tila Flame takes fat white
Moonlight.
dick pornsharing.com
07:17 Wolfgang Amadeus Mozart - Clarinet Concerto In A major, K. 622 Adagio
Leilani Leeanne Kim Karter Laylani Star Kim
11:51 Claude Debussy - Clair De Lune
Kandy Diana Devoe Mahlia Toni Sweets Lia
16:45 Antonio Vivaldi - Violin Concerto In F Minor, Op. 8-4, 'The Four Seasons
' (L'Inverno)
Audree Erika Dena Janea Jolie Calli Marie Luv
Milla Morena
18:46 Frédéric Chopin - Etude no 3 in E major, Op 10 no 3, 'Tristesse'
39:06 Johann Sebastian Bach - Cantata -140, BWV 140, 'Wachet Auf, Ruft Uns
Die Stimme'
Albinoni
Concerto pour Hatbois opus 9 n°2
The original orchestral suite was written by Bach for his patron Prince Leopold of
Anhalt some time between the years 1717 and 1723. The title comes from violinist
August Wilhelmj's late 19th century arrangement of the piece for violin and piano.
By transposing the key of the piece from its original D major to C major and
transposing the melody down an octave, Wilhelm was able to play the piece on only
one string of his violin, the G string.
incroyable malédiction.
L’Espagnol de Mont-de-Marsan Luis Ocaña, (ici au départ de l’étape Divonne-les-Bains - Méribel les
Allues)remporte le Tour de France 1973. Dimanche, la 10e édition de la course cyclosportive qui porte le nom du champion
cycliste s’élancera du parc de Nahuques.© PHOTO
PHOTO ARCHIVES FILM TDF
P U
ici
L’Espagnol de Mont-de-Marsan n’a rien oublié de cette cruelle descente du col de Mente en 1971. Ce
té virage sec tapissé de caillasse, cette nuit précoce qui recouvre son corps meurtri. Le dimanche 8
juillet 1973, Luis Ocaña vient de prendre le pouvoir un peu plus tôt dans la matinée, très
Mais cet après-midi, ses jambes sont lourdes, durcies par le déluge qui essore le peloton éparpillés
dans les lacets de Méribel. Thévenet, Zoetemelk, Fuente, Van Impe l’épient, scrutent ses gestes, son
coup de pédale. Leur regard de fauve en dit long sur leurs envies de meurtre.
Trempé jusqu’aux os, le Castillan lâche un minimum de temps sur Bernard Thévenet, soulagé d’avoir
vaincu la colère des cieux. Demain, dans la grande étape alpestre, libéré de ses inhibitions, il s’est
Guerre de succession
Entre Méribel-les-Allues et Les Orres, les géants de la route s’apprêtent à vivre une journée
dantesque sur les flancs pelés du Galibier et de l’Izoard avant d’avaler, parfois de travers, la montée
Fuente, le cabri des Asturies, le proclame depuis plusieurs jours : « Rendez-vous au Galibier ». Le
grimpeur de la Kas se dresse sur ses pédales tel un coq sur ses ergots. Luis Ocaña, son pire
l’Izoard.
Le Montois décide d’imposer son train. Fuente-Ocaña : devant la stèle de Fausto Coppi et Louison
Bobet, perdue dans l’immensité de la Casse déserte, le lundi 9 juillet 1973, le duel entre les deux
hommes atteint son paroxysme. Une guerre de succession que l’Espagne des temps modernes
Plus fort que Ruiz, Lorono, Bahamontés ou Jimenez. Luis Ocaña parle peu. Il s’en remet au verdict
de la pédale. Le Castillan et l’Asturien franchissent le sommet où une femme pleure. Ce n’est pas le
spectre de la dame blanche, mais Josiane, la jeune épouse du coureur de Mont-de-Marsan. Dans
Transcendé par son maillot jaune, Luis Ocaña se défait des serres de Fuente. Il file vers Les Orres,
jetant ses dernières forces dans son combat contre les forces de l’invisible.
Victoire totale
Comme à Orcières-Merlette, deux étés plus tôt, l’enfant de Priego réalise un authentique exploit
dont lui seul détient les clés. « Des écarts à la Coppi », s’exclame la presse unanime. Martinez et
51 ! Le Tour est dans la poche avant même de franchir les Pyrénées.
Motivé par son coup de génie prématuré entre Roubaix et Reims lors de la traversée du secteur
pavé de Vendignies, sur un terrain pourtant très peu propice à ses exploits, Luis Ocaña dépoussière
Ballon d’Alsace, Izoard, Mente, Soulor, autant de lieux, hier maudits, lui déroulent le tapis rouge.
Leurs sommets sont désormais ses éphémères palais. Sur la route entre Versailles et Paris, le
coureur montois se moque éperdument des coups de tonnerre et de la pluie. Le dernier soupir
d’une impuissante malédiction dans la côte de Senlis. La Cipale attend son sacre. C’est le Tour du
Parques ecológicos
Horário: 09h e 14h / Duração: 4h00 / Saídas de Terça a Domingo. Uma mostra da natureza amazônico sem sair de Belém. Visita ao
Museu Zôo-botânico Emílio Goeldi, um misto de Jardim Botânico e Zoológico; Jardim Botânico Bosque Rodrigues Alves e suas
árvores centenárias e o belíssimo Mangal das Garças. Todos os encantos da fauna e flora amazônica pertinho de você. Venha se
maravilhar com um dos mais importantes ecossistemas do nosso planeta.
Belém Cultural
Horário: 09h e 14h / Duração: 4h00 / Saídas de Terça a Domingo / Mínimo de 2 pessoas - Melhor oportunidade para conhecer a
cultura, a história e a arte de Belém. Passeio com visitas aos principais patrimônios histórico-culturais de Belém: o Teatro da Paz
(exceto aos domingos), maravilha arquitetônica da época áurea da borracha; o Forte do Presépio, local onde a cidade foi fundada;
o Museu do Encontro, com exposição de cerâmica indígena, antropologia e arqueologia; Museu de Arte Sacra, formado pela Igreja
de Santo Alexandre e o antigo Arcebispado, com um riquíssimo acervo de obras religiosas e Pólo Joalheiro (Fundação São José
Liberto).
Salinas
Horário: 07h / Duração: 12h / Saídas Diárias - O mar também faz parte da Amazônia. Você vai visitar uma cidade paraense
banhada pelo Atlântico, com praias que se perdem no horizonte. A água salgada, limpa e cristalina, é um convite aos prazeres do
verão sob o sol na linha do Equador.
A Ilha de Algodoal fica no estado do Pará, seu nome é Ilha de Maiandeua, mas
os de fora a conhecem por Ilha de Algodoal. Maiandeua tem origem no Tupi e
significa “Mãe da Terra”. A ilha é chamada de Algodoal em virtude da
abundância de uma planta nativa conhecida como algodão de seda, ainda
presente na região, cujas sementes, com filetes brancos, são dispersas pela planta e, ao
flutuarem ao vento, lembram o algodão. Quem primeiro a apelidou desta forma foram os
pescadores que lá chegaram na década de 1920.
Algodoal é, também, o nome da maior vila, das quatro que existem na ilha. As outras três
são Fortalezinha, Camboinha e Mocooca. A vila de Algodoal é a principal por ser a maior,
a que possui a melhor infra-estrutura para acomodação de turistas e, conseqüentemente,
a que recebe mais visitantes. Estas quatro vilas são separadas entre si por porções de
manguezais e seccionadas em alguns pontos por canais de maré.
Nós então aproveitamos o final de semana do feriado do dia dos Trabalhadores e fomos
eu, meu marido e minha cunhada para conhecer essa ilha.
Para chegar à ilha de Algodoal a forma mais rápida é indo até Marudá/PA; você parte de
Belém pela BR-316 e depois pega a PA-136 e em seguida a PA-318; existem ônibus,
microônibus e vans saindo de Belém/PA. O valor varia de R$ 14,00 a R$ 15,00. De ônibus
demora de 3 a 5 horas, dependendo do ônibus, pois há algumas linhas que passam por
vilas afastadas do interior. De microônibus e vans demora de 3 a 4 horas, e acaba sendo
mais confortável. Chegando em Marudá você deverá pegar o barco e atravessar até a
ilha, o valor da travessia é de R$ 5,00 por pessoa e demora de 30 a 40 minutos.
Outra forma de chegar até a ilha é indo até Maracanã; de Belém até Maracanã são cerca
de 3 horas de viagem, depois você deverá atravessar de barco até ilha, o que levará
cerca de 3 horas. Essa rota é muito demorada e cansativa.
Se você partir da rodoviária de Belém verifique os horários de ônibus para a sua volta.
Dica: como a BR-316 atravessa boa parte de Belém e de Ananindeua (uma cidade
próxima a Belém), você pode economizar tempo e pegar o ônibus, microônibus ou van na
BR-316 perto de Ananindeua, porém, corre o risco de não pegar mais lugar para sentar.
Nós fizemos assim, mas por milagre, conseguimos ainda 3 lugares.
De Belém até Marudá são aproximadamente 160 Km e de Belém até Maracanã são 170
Km.
Os horários dos barcos para travessia até a Ilha de Algodoal acompanham a chegada dos
ônibus.
A travessia de Marudá até a Ilha de Algodoal foi tranqüila, o barco quase não balançava,
porém a volta foi com aventura, pois o barco balançava tanto que eu pensei que fosse ser
arremessada pra água, tinha até uma senhora chorando com medo, coitada; outra moça
tratou logo de pegar um colete salva-vidas.
Você encontrará diversas pousadas em Algodoal; no primeiro dia, como tínhamos reserva,
ficamos na pousada Paraíso do Norte (toda de madeira), pagando uma diária de R$ 40,00
um quarto para 3 pessoas, sem ar condicionado e com direito a um mirrado café da
manhã. O ruim dessa pousada é que os quartos não tem banheiro, os banheiros são
coletivos, sem falar que as janelas não têm tela para evitar que os mosquitos entrem e os
quartos também não são forrados, o resultado é que é impossível dormir sem mosquiteiro
(proteção contra os mosquitos) pois há muitos mosquitos, e como estamos em plena
epidemia de dengue, é bom não facilitar. O quarto com ar condicionado era R$ 60,00 para
2 pessoas, nessa pousada.
Algodal já tem energia elétrica, mesmo assim, as ruas são mal iluminadas, e em algumas
partes chega a ficar muito escuro de noite, mesmo assim fomos andar pela vila para ver
se encontrávamos algo para comer, pois já chegamos no finzinho da tarde, quase noite.
No dia seguinte amanheceu meio nublado, mas como não queríamos perder tempo fomos
assim mesmo até a praia da Princesa. Como a maré estava baixa fomos andando,
contemplando aquela imensidão de areia, água e céu que começava a ficar azul. Tiramos
várias fotos dos lugares por onde passávamos. Uma paisagem meio deserta e
paradisíaca. Linda.
A praia da Princesa é bonita e quase não tem ondas, é legal para crianças. Tiramos várias
fotos e aproveitamos bastante. Não há aquele alvoroço de pessoas se amontoando na
areia, é ideal para quem gosta de tranqüilidade. A água não é verde nem azul, é meio
cinza. Mas o visual é belíssimo. Não venta muito, pelo menos nos dias que fiquei lá não
ventou muito.
Por volta das 2h da tarde resolver voltar pousada e em seguida procurar uma pousada
melhor. Fomos andando e ao chegar na pousada, bebemos água, deixamos as coisas e
fomos atrás de um outra pousada. Andamos algumas ruelas até encontramos a pousada
Estrela Sol. Entramos e perguntamos o valor da diária, R$ 50,00 sem ar condicionado e
R$ 70,00 com ar condicionado, ambos para 3 pessoas, com direito ao café da manhã.
Penchichamos e conseguimos que a dona fizesse por R$ 60,00 a diária do quarto com ar
condicinado, frigobar e TV, e ainda com banheiro no quarto e café da manhã muito
gostoso, conforme confirmaríamos no outro dia. Fechamos negócio.
A pousada Estrela Sol é toda de alvenaria e ainda piscina para os hóspedes. Gostamos
muito, principalmente porque não havia tantos mosquitos como na outra pousada.
Recomendo. Lá nessa pousada é possível comprar um mapa da ilha por R$ 2,00, caso
você não conheça a ilha. Jantamos peixe por R$ 25,00 e fomos dormir, pois no dia
seguinte (domingo) queríamos ir até a praia de Fortalezinha.
No dia seguinte, tomamos um delicioso café da manhã com direito a cuscuz, tapioca, pão,
mamão, suco de bacuri (fruta da região), café-com-leite, ovos. Nos informamos com o
dono da pousada como faríamos para ir até Fortalezinha e ele nos disse que não seria
possível ir de carroça pois a ponte de acesso estava em péssimo estado, só era possível
ir andando, e a viagem precisava de guia (os nativos cobram R$ 20,00 p/ levar) e levaria
uma hora e meia para ir e uma hora e meia para voltar. Como já ia voltar nesse mesmo
dia, logo depois do almoço, não teríamos tempo e desistimos. Não foi dessa vez.
Decidimos procurar o Lago da Princesa, que segundo o mapa que compramos fica atrás
da praia da Princesa, fomo então andando novamente. Andamos tanto e não
encontramos o tal lago, estávamos cansados e acabamos ficando mesmo na praia da
Princesa. Ficamos por lá até 11h, depois voltamos para pousado, deixamos
encomendado o almoço, Mariscada (camarão, caranguejo e peixe) por R$ 30,00 e fomos
tomar banho.
A Ilha de Algodoal é muito bonita, com paisagens lindas; é um lugar para você esquecer a
correria do dia-a-dia. Acredito, no entanto, que falte mais conscientização por parte dos
próprios moradores, pois encontramos lixo jogado em alguns pontos da praia. Você
encontrará uma paisagem diferente na ilha, com carroças puxadas a cavalo passando a
toda hora por você; as ruas não são asfaltadas, são de areia mesmo e o povo nativo é
muito hospitaleiro.
Porém, entre a Ilha de Algodoal e a Ilha de Marajó, eu prefiro Marajó, mas isso é conversa
para outra hora.
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assimilée, quelle que soit sa forme juridique, de tout pays, dès lors que l’ouvrage sera traduit en
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global de la traduction. Le calcul de cette subvention sera plafonné à 25 € la page
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