Vous êtes sur la page 1sur 12

L

Economie et Gestion

Questions de savoir-faire :

Question 1 :

1/ 1990 :

- Part « Produits agricoles » = 100 - Part « Produits énergétiques »

- Part « Produits manufacturés » = 100 – 14 – 74 => 12 %.

2000 :

- Part « Produits énergétiques » = Part 1990 – 𝟐 => 14 - 𝟐 => 13.5 %.


𝟏 𝟏

- Part « Produits manufacturés » = Part 1990 + 3 => 74 + 3 => 77 %.

- Part « Produits agricoles » = 100 – 13.5 – 77 => 9.5 %.

- Valeur Totale = × 100 => 𝟏𝟑.𝟓 × 100 => 6000 M$.


𝑽𝒂𝒍𝒆𝒖𝒓 « 𝐏𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭𝐬 é𝐧𝐞𝐫𝐠é𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 » 𝟖𝟏𝟎
𝐏𝐚𝐫𝐭 « 𝐏𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭𝐬 é𝐧𝐞𝐫𝐠é𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 »

- Valeur « Produits agricoles » = Valeur Totale × => 6000 × 𝟏𝟎𝟎 => 570 M$.
𝐏𝐚𝐫𝐭 « 𝐏𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬 » 𝟗.𝟓
𝟏𝟎𝟎

- Valeur « Produits manufacturés » = Valeur Totale ×


« 𝐏𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐦𝐚𝐧𝐮𝐟𝐚𝐜𝐭𝐮𝐫é𝐬 »
𝟏𝟎𝟎

= 6000 × 𝟏𝟎𝟎 => 4620 M$.(ou: 6000 – 570 – 810 => 4620 M$).
𝟕𝟕

2/

En 1990, les exportations mondiales des produits manufacturés représentent 74 %

des exportations mondiales des marchandises.

Mr. Aymen : 55550320


1
L
Economie et Gestion

3/ Au cours de la période 1990 – 2000 on a enregistré que :

- La part des produits agricoles dans les exportations mondiales des marchandises a connu

une baisse de de 2.5 points en passant de 12 % à 9.5 %.

- La part des produits énergétiques dans les exportations mondiales des marchandises a connu

une baisse de 0.5 point en passant de 14 % à 13.5 %.

- La part des produits manufacturés dans les exportations mondiales des marchandises a

augmenté de 3 points en passant de 74 % à 77 %.

On remarque que les exportations des produits manufacturés occupent la part la plus importante

dans les exportations mondiales des marchandises et que cette part a progressé entre 1990 et

2000.

Question 2 :

Calcul de la part des produits primaires dans les échanges mondiaux de marchandises en 2004

( en % ) :

Part des produits primaires dans les échanges mondiaux de marchandises :

× 100 => = (𝟐𝟎𝟔𝟒 + 𝟔𝟓𝟕𝟎) × 100 => 23.91 %.


𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐦𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝟐𝟎𝟔𝟒
𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐚𝐧𝐝𝐢𝐬𝐞𝐬

Calcul de la part des produits manufacturés dans les échanges mondiaux de marchandises

en 2004 (en % ) :

Part des produits manufacturés dans les échanges mondiaux de marchandises :

× 100 => = × 100 => 76.09 %.


𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐦𝐚𝐧𝐮𝐟𝐚𝐜𝐭𝐮𝐫é𝐬 𝟔 𝟓𝟕𝟎
𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐚𝐧𝐝𝐢𝐬𝐞𝐬 (𝟐𝟎𝟔𝟒 + 𝟔𝟓𝟕𝟎)

Mr. Aymen : 55550320


2
L
Economie et Gestion

Interprétation :

Cette structure du commerce mondial de marchandises se caractérise par la prédominance des

produits manufacturés qui représentent 76,09 % alors que les produits primaires ne représentent

que 23.91 %.

Cette structure se justifie :

- Par le fait que la demande internationale porte essentiellement sur les produits manufacturés

et beaucoup moins sur les produits primaires.

- Par le fait que les prix des produits manufacturés sont relativement élevés par rapport à ceux

des produits primaires (étant donné que les produits manufacturés sont à plus forte valeur

ajoutée et qu’ils incorporent un degré de technologie plus élevé).

- Par le dynamisme de certains pays émergents qui contribuent avec les pays industrialisés et

les firmes multinationales à produire et à exporter de plus en plus de produits manufacturés.

Question 3 :

Il faut calculer les parts de chaque type de produits dans les X° des marchandises :

Part = × 100
𝑿° " 𝑻𝒚𝒑𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒅𝒖𝒊𝒕 "
𝑿° 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒂𝒏𝒅𝒊𝒔𝒆𝒔

- Part « Produits agricoles » = 𝟖𝟔𝟒𝟑 × 100 => 9.05 %.


𝟕𝟖𝟑

- Part « Produits énergétiques et miniers » = 𝟖𝟔𝟒𝟑 × 100 => 14.82 %.


𝟏𝟐𝟖𝟏

- Part « Produits manufacturés » = 𝟖𝟔𝟒𝟑 × 100 => 76.11 %.


𝟔𝟓𝟕𝟗

Mr. Aymen : 55550320


3
L
Economie et Gestion

En 2004, on a enregistré que les X° mondiales des produits manufacturés dominent le commerce

mondial des marchandises par une part de 76.11 % (plus de 3/4) alors que les produits agricoles

ne représentent que 9.05 % des X° mondiales des marchandises et les produits énergétiques et

miniers ne représentent que 14.82 %.

Question 4 :

1. Calcul et interprétation des parts et du taux de croissance :

• Le total des exportations mondiales :

Exportations mondiales en 2003 = 1932.774 + 3386.043 + 2058.183

= 7377 milliards de dollars.

Exportations mondiales en 2010 = 4692.916 + 5628.529 + 4529.555

= 14851 milliards de dollars.

• La part des exportations d’une région dans le total des exportations mondiales :

- Part X° (Asie) = × 100 => × 100 => 31.6 %.


𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐗° (𝐀𝐬𝐢𝐞) 𝟒𝟔𝟗𝟐.𝟗𝟏𝟔
𝐗° 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥𝐞𝐬 𝟏𝟒𝟖𝟓𝟏

En 2010, les exportations de l’Asie ont représenté 31.6 % des exportations mondiales de

marchandises.

- Part X° (Europe) = × 100 => 45.9 %.


𝟑𝟑𝟖𝟔.𝟎𝟒𝟑
𝟕𝟑𝟕𝟕

En 2003, les exportations de l’Europe ont représenté 45.9 % des exportations mondiales de

marchandises.

- TCG X° (Europe) = × 100 => × 100 => 66.22 %.


𝑿° (𝟐𝟎𝟏𝟎) −𝑿° (𝟐𝟎𝟎𝟑) 𝟓𝟔𝟐𝟖.𝟓𝟐𝟗 − 𝟑𝟑𝟖𝟔.𝟎𝟒𝟑
𝐗° (𝟐𝟎𝟎𝟑) 𝟑𝟑𝟖𝟔.𝟎𝟒𝟑

Entre 2003 et 2010, les exportations de l’Europe ont augmenté à un rythme de 66.22 %.

Mr. Aymen : 55550320


4
L
Economie et Gestion

2/ Durant la période 2003-2010 on a enregistré que :

- La part des X° de l’Asie dans les X° mondiales a augmenté de 5.4 points en passant de 26.2 %

à 31.6 %.

- La part des X° de l’Europe dans les X° mondiales a baissé de 8 points en passant de 45.9 %

à 37.9 %.

Question 5 :

1/

2002 :

- X° « Services » = × 100 => × 100 => 1900 M$.


𝑿° 𝑺𝒆𝒓𝒗𝒊𝒄𝒆𝒔 (𝟐𝟎𝟏𝟐) 𝟔𝟔𝟓𝟎
𝑪𝑴 𝟑.𝟓

- X° « Mondiales » = 𝑷𝒂𝒓𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒔𝒆𝒓𝒗𝒊𝒄𝒆𝒔 (𝟏𝟎𝟎 − 𝑷𝒂𝒓𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒂𝒏𝒅𝒊𝒔𝒆𝒔) × 100


𝑿° 𝑺𝒆𝒓𝒗𝒊𝒄𝒆𝒔

= × 100 => 9500 M$.


𝟏𝟗𝟎𝟎
𝟏𝟎𝟎 − 𝟖𝟎

- X° « marchandises » = X° mondiales – X° des services = 9500 – 1900 => 7600 M$.

2012 :

- X° « Mondiales » = X° mondiales (2002) × (1 + ) = 9500 × (1 + ) => 27550 M$.


𝑻𝑪𝑮 𝟏𝟗𝟎
𝟏𝟎𝟎 𝟏𝟎𝟎

- X° « Marchandises » = X° mondiales - X° « Services » = 27550 – 6650 => 20900 M$.

2/

- TCG X° « Services » =[CM « Services » – 1] × 100 => [3.5 – 1] × 100 => 250 %.

Les exportations mondiales des services ont augmenté globalement de 250 % entre 2002 et

2012.

Mr. Aymen : 55550320


5
L
Economie et Gestion

Questions de savoir :

1/ La nette montée des échanges internationaux de services s’explique principalement


par :

• Le développement du commerce mondial de marchandises qui entraine lui-même


l’essor des échanges de services commerciaux tels que transports, assurances,
services bancaires …

• L’apparition de nouveaux services (services informatiques, internet, vente à distance,


télex, services financiers, etc.) expliquée notamment par le progrès technique et
l’évolution de la demande orientée de plus en plus vers les services;

• La libéralisation des marchés qui facilite les échanges de services.

2/ Les deux formes d’échanges intra-branches sont les échanges de qualité et les
échanges de variétés. Malgré des points communs, ces deux types d’échanges ne
doivent pas être confondus :

- Les points communs portent sur :

• La nature des produits : Dans les deux cas, les échanges portent sur des produits
similaires appartenant à la même branche. Les produits échangés qui sont de la même
nature sont, toutefois, différenciés.

• Le niveau de développement des pays coéchangistes : Ces deux formes d’échanges


s’effectuent généralement entre des pays ayant un niveau de développement assez
proche.

- Distinction selon le type de différenciation :

Mr. Aymen : 55550320


6
L
Economie et Gestion

Les échanges de qualité répondent au critère de différenciation verticale portant sur


des produits comparables mais de qualité et de prix nettement différents.

C’est ainsi par exemple, qu’un pays exporte des produits de haut de gamme
s’adressant à des consommateurs à revenus élevés et importe les mêmes produits
mais de bas de gamme pour satisfaire les consommateurs à revenus plus modestes.

Cependant, les échanges de variétés répondent au critère de différenciation


horizontale portant sur des produits ayant une qualité et des prix assez proches et
s’adaptant aux besoins de distinction et de diversité de consommateurs à revenus
similaires (selon les goûts et les habitudes des consommateurs, leur âge, etc.)

3/Le développement du commerce intrabranche est lié essentiellement à

l’hétérogénéité des consommateurs et à la recherche d’économies d’échelle :

- D’un côté, les entreprises différencient leurs produits afin de mieux répondre

aux attentes d’une clientèle différenciée. D’une part, les produits sont différenciés

par leurs variétés afin de répondre à la diversité des goûts des consommateurs,

autrement dit, ce sont des produits similaires appartenant à la même gamme et

ayant des prix (ou des qualités) assez proches. L’échange de ces produits entre

pays est qualifié de commerce intrabranche de variétés. D’une autre part, les

produits sont différenciés par leurs qualités afin de répondre à la diversité des

consommateurs, autrement dit, ce sont des produits similaires ayant des qualités

et de prix différents. Il y a donc des produits de haut de gamme et d'autres de bas

de gamme. L’échange de ces produits entre pays est qualifié de commerce

intrabranche de qualité.

Mr. Aymen : 55550320


7
L
Economie et Gestion

- D’un autre côté, et face à l’hétérogénéité des consommateurs, les entreprises ont

intérêt à différencier leurs produits en adoptant une spécialisation fine qui

nécessite souvent des investissements coûteux. Dans un souci de rentabilité, elles

ont intérêt à accroître leurs parts de marché non seulement sur le plan national

mais également sur le plan international pour réaliser des économies d’échelle.

4/ La DIT traditionnelle a entraîné un échange inégal au profit des pays développés qui

dominent les échanges internationaux de biens et services. En effet :

- Les pays développés qui sont spécialisés dans la production et l’exportation des

produits manufacturés à forte valeur ajoutée détiennent une part importante dans le

commerce mondial puisque la demande de ces produits ne cesse d’augmenter.

- Les exportations élevées de produits manufacturés permettent aux pays développés

d’enregistrer un excédent commercial et de récupérer des recettes en devises

importantes assurant une large couverture des dépenses d’importations.

L’ancienne DIT, si elle était profitable pour les pays développés, elle a marginalisé

les PED.

- Les PED qui exportent essentiellement des produits primaires à faible valeur ajoutée

n’ont qu’une part très faible dans le commerce mondial.

- Les prix des biens exportés par les PED évoluent à un rythme moins élevé que celui des

prix des biens importés.

- Le faible niveau des exportations des PED résultant de la faible demande des produits

primaires sur le marché mondial, se traduit par un déficit commercial grave en raison d’un

apport limité en devises ne permettant pas de couvrir les dépenses élevées des

importations.

Mr. Aymen : 55550320


8
L
Economie et Gestion

5/

Si les pays industrialisés continuent à dominer les échanges de biens manufacturés,


les NPI ont profité aussi de l’évolution de la structure des échanges internationaux de
marchandises. En effet :
- Les pays industrialisés sont les plus spécialisés dans la production et l’exportation
des produits manufacturés.
Ils continuent à être les principaux exportateurs de ces produits et à être les plus
compétitifs au niveau des prix et de la qualité. Ces pays connaissent une spécialisation
de plus en plus fine dans les produits manufacturés intensifs en capital et en
technologie comme les automobiles, les machines, les produits informatiques et de
télécommunications, etc.
- Les nouveaux pays industrialisés (NPI) sont devenus des fournisseurs non
négligeables de produits manufacturés. En effet, ils se sont spécialisés d’abord, dans
la production et l’exportation des biens intensifs en main d’œuvre (textile,
habillement, chaussures, etc.). Puis, ils ont pu produire des biens intensifs en facteur
capital et en technologie dont les compétitivité-prix et hors-prix s’affirment de plus en
plus.

Mr. Aymen : 55550320


9
L
Economie et Gestion

Sujet :
1/
Introduction :
Dans un contexte de mondialisation, on assiste à une ouverture de plus en plus grande
des pays et une intensification des échanges internationaux.
Les échanges mondiaux de biens et services qui désignent l’ensemble des opérations
d’importations et d’exportations des produits effectuées entre nations, ont non
seulement connu une croissance spectaculaire mais se sont profondément modifiés.
En effet, la division internationale du travail (DIT) correspond à une répartition des
activités au niveau mondial. Elle repose sur la spécialisation des pays participant à la
production et aux échanges mondiaux.
Comment a évolué la DIT et par quoi se manifestent les mutations dans le commerce
mondial de produits manufacturés qui marquent la nouvelle DIT ?
Nous décrivons l’évolution de la DIT dans une première partie, puis dans une seconde,
nous mettons en évidence les mutations dans les échanges internationaux de produits
manufacturés qui caractérisent la nouvelle DIT.

Mr. Aymen : 55550320


10
L
Economie et Gestion

Développement :
Partie 1 :
Il s’agit du passage de l’ancienne DIT à la nouvelle.
En effet ; les pays développés étaient spécialisés dans la production et dans l’exportation
de produits manufacturés aux pays en développement. Ces derniers, au contraire, étaient
spécialisés dans la production et l’exportation de produits primaires vers les pays
industrialisés.
A partir des années 70, une nouvelle spécialisation des économies s’est instaurée
notamment du fait de l’émergence de nouveaux pays industrialisés surtout asiatiques.
Ces nouveaux pays industrialisés (NPI) deviennent producteurs de produits manufacturés
de plus en plus sophistiqués et par conséquent, de sérieux concurrents aux anciens pays
industrialisés.
Ainsi, par exemple la Chine devient parmi les premiers exportateurs mondiaux.
Les anciens pays industrialisés se redéploient vers les activités à haute technologie.
Les autres pays en développement conservent leur spécialisation.

Partie 2 :
Les mutations dans les échanges mondiaux de produits manufacturés qui marquent la
nouvelle DIT se manifestent par ;
L’accentuation de la prépondérance des produits manufacturés dans
le commerce mondial de marchandises ; les produits manufacturés occupent
la part la plus importante dans le commerce mondial de marchandises du fait qu’ils
représentent près des 3/4 des exportations mondiales de marchandises en 1990 et en

Mr. Aymen : 55550320


11
L
Economie et Gestion

2016 . Cette part ne cesse d’augmenter en passant de 70,5 % en 1990 à 73 % en 2016


au détriment des produits primaires.
En outre, la progression des échanges de produits manufacturés de haute technologie
est plus rapide que celle des autres produits manufacturés.
Le développement des échanges intrabranches ; depuis les années 70 et dans le cadre
de la nouvelle DIT, on assiste à l’explosion des échanges intrabranches de produits
industriels. En effet, des spécialisations plus fines et le développement de la
concurrence entre les pays développés et les pays émergents, rendent indispensables
des échanges croisés de produits appartenant à la même branche; par exemple
exportations et importations de différents modèles d’automobiles. Ce commerce intra
industriel peut être vertical ou horizontal.

Conclusion :

L’évolution de la DIT s’est traduite par une nouvelle spécialisation qui est marquée par
l’essor du commerce mondial de produits manufacturés et par le développement des
échanges intrabranches.
D’autres mutations relatives à l’échange de services ont marqué la nouvelle DIT.

Mr. Aymen : 55550320


12

Vous aimerez peut-être aussi