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Santé publique

La santé publique, c’est prendre soin de toute la population et non d’une personne en particuliers, cela peut se faire
par la vaccination, la protection ect…
Objectifs :
 Connaitre la/les définitions de la santé
 Définir la santé publique et donner des exemples
 Identifier un ou plusieurs déterminants de la santé
 Critiquer/ analyser une action/ politique de la santé publique
I. Santé
a. Définition de la santé

La santé est un état de complet bien être, physique (organes …), mental (état psychologique date d’il y a
environ 50 ans) et social et ne consiste pas seulement en l’absence de maladie ou infirmité (OMS).

La santé est une ressource pour chaque jour de la vie et ce n’est pas la finalité de la vie. Maintenant on peut entendre
parler de capital santé. Comment rester en bonne santé et ne pas la dégrader et donc perdre des années de vie.

Petit Robert : « bon état physiologique, un fonctionnement régulier et harmonieux de l’organisme humain pendant une
période appréciable, un équilibre et une harmonie de la vie psychique »

Leriche (1936) : « La santé c’est la vie dans le silence des organes ». Tant qu’on n’a pas de signes cliniques la santé
est satisfaisante. Si les organes vont bien tout allait bien.

Philosophie :
D’un point de vue physiologique, la santé c’est avoir tel poids, telle mesure, telle capacité visuelle, auditive,
respiratoire…
C’est donc correspondre à des normes du fonctionnement physique et biologique. Pour autant, tout le monde n’est
pas pareil ce n’est pas pour autant que l’on est en mauvaise santé, on peut être au-dessus de la norme et en bonne
santé.
D’un point de vue psychologique, la santé c’est correspondre à la normalité avec ses caractéristiques (Steichen).

1) Selon M. Blum

La santé consiste 
- Premièrement en la capacité de l’organisme à maintenir un équilibre approprié à son âge et à ses besoins
sociaux, dans lequel il est raisonnable indemne de profonds inconforts, insatisfactions, maladies ou incapacités.
- Deuxièmement à se comporter d’une façon qui permette la survie de l’espèce aussi bien que l’accomplissement
personnel ou le contentement de l’individu »
 La santé est au sein de la société. On a la dimension de la santé collective.  Survie de l’espèce
1) Selon CANGUILHEM (philosophe français)

« La santé a remplacé le salut. » « La santé, c’est la marge de tolérance aux infidélités du milieu…, c’est le volant
régulateur des possibilités de réactions. » (Le normal et le pathologique, PUF, Paris, 1991)

 « Être en bonne santé, c’est pouvoir tomber malade et s’en relever, c’est un luxe biologique. »

1) Selon Dubos 

« La santé est un état physique et mental relativement exempt de gène et de souffrance, qui permet à l’individu de
fonctionner aussi efficacement et aussi longtemps que possible dans le lieu où le hasard ou le choix l’on placé » R.
Dubos, microbiologiste

 Selon le milieu la santé de base sera différente.

1) Selon Cotton 

« La vie peut être considérée comme un rythme continuel d’interactions, un état d’équilibre instable et le bien-être qui en est
l’interprétation n’est jamais qu’un état passager à reconquérir sans cesse… » Cotton (1982)

2) Selon Bastide (sociologue et anthropologue français)

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« L’homme sain est celui qui est capable de riposter à un monde complexe et mouvant, qui peux inventer à chaque instant
de nouvelles normes de conduites et qui s’ajuste moins au monde qu’il n’est capable de le modifier »

 Non perçu comme une adaptation passive mais comme un changement. La définition de la santé évolue en
fonction des progrès scientifique.

Santé =

Frontière entre le normal et le pathologique  :


- variabilité avec l’âge
- variabilité avec la culture
- variabilité avec l’état de la science

Différentes et nombreuses définitions :


- OMS +++

a. Santé publique, OMS 1952

« La science et l’art de prévenir les maladies de prolonger la vie et d’améliorer la santé et la vitalité mentale et
physique des individus par le moyen d’une action collective concertée visant à :

- Assainir le milieu (traitement des eaux)


- Lutter contre les maladies qui présentent une importance sociale
- Enseigner les règles d’hygiène personnelle
- Organiser des services médicaux et infirmiers en vue du diagnostic précoce et du traitement préventif des
maladies
- Ainsi qu’à mettre en œuvre des mesures sociales propres à assurer à chaque membre de la collectivité un
niveau de vie compatible avec le maintien de la santé »

« L’objet final étant de permettre à chaque individu de jouir de son droit inné à la santé et à la longévité »

 Importance de stratégies larges, prenant en compte une combinaison de déterminants.

a. Évolution de la notion de santé


1) Santé positive 

Importance de la vitalité et de la qualité des défenses pour faire face aux défis journaliers, corporels, mentaux et
sociaux

Hypothèse d’un développement progressif de la maladie en étape, c’est informer les personnes sur les risques qu’ils
encourent en prenant tel ou tel décision.

Importance de stratégies larges, prenant en compte une combinaison de déterminants.

Empowerment : accroissement de l’efficacité individuelle et des appuis sociaux. C’est accompagner la


population, les médecins et améliorer l’état de santé.

2) Promotion de la santé (Conférence d’Ottawa (1986))

« La promotion de la santé est le processus qui confère aux populations les moyens d’assurer un plus grand contrôle
sur leur propre santé et d’améliorer celle-ci » Conférence d’Ottawa 1986

 Exemple : Débat démocratique sur la vaccination prévu en 2016, Canada : très en avance au niveau de la
santé publique. La tuberculose

a. Promotion de la santé 

3 piliers de la promotion de la santé :

 Une bonne gouvernance : renforcer la gouvernance et les politiques pour que les bons choix en matière de
santé soient accessibles et abordables pour tous et pour céder des systèmes durables permettant à toute la
société de collaborer
 Des villes plus saines : développer des villes plus vertes permettant aux populations de vivre de travailler et
de se divertir en bonne santé

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 Des connaissances sur la santé : améliorer les connaissances et les aptitudes sociales des gens afin de les
encourager à faire de meilleurs choix en matière de santé et à prendre de bonnes décisions pour eux même
et leur famille

Ex : politique du DRY JANUARY® dans le but de faire prendre conscience de la pression de l’alcool, se questionner
et remettre en question son comportement vis-à-vis de l’alcool. C’est donner les clés à chacun d’agir pour sa santé.

I. Mesurer et observer la santé

Pourquoi et comment mesurer l’état de santé ?

a. Pourquoi ?

- Les crises sanitaires passées : amiante (1970) favorise le cancer de la plèvre ; Hormone de croissance
(1980), sang contaminé transmission du VIH … (1983), encéphalopathie spongiforme bovine (1985-1991),
canicule (2003)
- La mondialisation : maladie d’importation, réémergence de maladie (BK), exemple actuel d’Ebola
- Les inégalités (hémisphère nord / hémisphère sud ou région centre/Ile de France)
- Évolution temporelle préoccupante : usager de plus en plus au fait des évolutions de la santé
(renseignement sur les sites de sociétés savantes -> il faut discuter avec les patients)

On a de plus en plus de thématique sociale préoccupante, c’est le but de la santé publique. Par exemple les
antibiotiques sont un problème de santé préoccupant aux vu des résistances aux antibiotiques. Le but est d’informer
et d’éduquer la population et les médecins pour sensibiliser et lutter contre cette sur- utilisation. C’est aussi ça la
promotion de la santé.

a. Indicateurs de santé

Instrument de mesure grâce auxquels des ensembles d’informations ou de données vont être agrégés, simplifiés ou
résumés.

1) Propriétés 

- Disponibilité
- Simplicité à l’usage
- Fiabilité (ou reproductibilité)
- Exactitude (notamment précision)

1) Fournit des éléments indispensables 

- A la connaissance de l’importance des problèmes de santé


- A la prise de décision sur les questions de santé
- A l’orientation de la recherche étiologique (hypothèse)

1) Indices/indicateurs

- Définir la population, période à étudier


- Choisir les indices visant à mesurer la fréquence de l’affection étudiée, morbidités
- Calcul de tous les indices de population soumis au risque, traitée ou décédée de la maladie

Ex  : de la tuberculose : les migrants rapportent ces maladies d’Afrique, les précaires sont confrontés à cette maladie

1) Différents types 

- Mortalité
- Morbidité en lien avec les maladies
- Facteurs de risques / facteurs protecteurs (alcool chez la femme enceinte, tabagisme)
- Handicap …

 Les indicateurs démographiques peuvent entrer en jeu.

1) Statistiques disponibles 

- CepiDC, Inserm : centralise et analyse les causes de décès


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- MDO : Maladie à Déclaration Obligatoire. Il y a 30 maladies (rougeole, tétanos). Dès qu’un médecin la
suspecte, il doit la signaler. Permet de détecter un retard de vaccination (Médecin de Tours qui a été radié en
2016)
- Registre des cancers, implantés dans un nombre restreint de départements. Objectif : identifier tous les cas
de cancers par localisation sur un territoire donné. Permet d’extrapoler à l’ensemble du territoire
- Registre maladie professionnelles (IARC de Lyon, CRAM…)
- Réseau sentinelle (inVS)

a. Épidémiologie

Épidémiologie descriptive  : Étude dans les populations humaines  : De la fréquence et de la répartition des
maladies et des états de santé
Épidémiologie analytique : Des facteurs déterminants cette fréquence et cette répartition
Épidémiologie évaluative : Des résultats des interventions entreprises pour lutter contre les maladies et les états de
santé

1) Mortalité en France

- Certificat de décès

- 603 000 décès en hausse en 2017.


o 9000 de plus qu’en 2016 soit +1,5% (grippe hiver 2016-2017)

- Taux brut de mortalité (9 mort pour 1000 personne)


o nb de décès/pop (près de 67millions)

- Taux de mortalité infantile (3,9 pour mille)


o Nombre de décès avant l’âge de 1 an/nombre de naissances vivantes

1) Source de données 

Différents sites sont présents pour informer, dédiés aux médecin pour déclarer des maladies comme les MDO, des
statistiques, les décès ect…

I. Mortalité 

Taux brut de mortalité  : rapport du nombre total de décès sur l’effectif de la population
Taux spécifique de mortalité (par âge, par cause)  : par cause  : rapport du nombre total de décès dus à une cause
donnée sur effectif de la population
Létalité  : rapport entre le nombre de décès dus à une maladie sur effectif des malades atteints de cette maladie

a. Les plus grandes causes de décès en 2008  

 Tumeur (30% homme ++)


 Cardio vasculaire (28%, femme ++),
 Causes externe (morts violentes 7%)
 Appareil respiratoire (6%)
 Appareil digestif (4%)
 La tendance est conservée de nos jours

Ces données de mortalités sont retrouvées en ligne. Les maladies cardiovasculaires sont passés du 1 er au deuxième
rang de la cause de mortalité en 2008 par rapport à 2000 en raison de l’amélioration des thérapeutiques.
La maladie d’Alzheimer augmente fortement. La population vieillit d’où le risque de cancer qui augmente.

a. Tendance conservée en 2013 

Différence hommes – femmes :

- Femmes : N°1 = maladies de l’appareil circulatoire

- Hommes : N°1 = tumeur

Espérance de vie : nombre moyen probable d’année à vivre


a. Espérance de vie à la naissance 

o Homme 79,5 ans

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o Femme 85,3 ans

 Ecart d’espérance de vie entre femme et homme continue de se réduire : de 7,8 ans en 1997, de 7,0 ans
en 2007 a 5,8 ans en 2017 (mais reste plus élevé en Europe)

a. Espérance de vie a 35 ans 

Chez l’homme cadre 44,5 ans, alors que chez les ouvrier : 38 ans
Naissances ?
Exemple de mesure de l’état de santé en France en 2009

II. Santé et inégalités

- Liés au sexe
- Selon les catégories sociaux-professionnelles
- Inégalités géographiques
- Plusieurs niveaux de différence en santé !

Aux États – unis en 2008


Espérance de vie inférieur à la nôtre, entre 2008 et 2007, recul d’un mois de l’espérance de vie. Pourtant le taux de
mortalité infantile a diminué. Différentiel importante entre pop blanche et noire. Cependant en termes de dépense de
santé : France 3000euro/an par personnes. EU : entre 4500 et 5000 euros par an. Dans les ethnies afro-américaines,
plus de risques de décéder pour les enfants. La mortalité infantile : on a environ 6 décès pour milles naissant : 5 pour
mille chez les blancs contre 12 à 13 chez les ethnies.

a. Mortalité prématurée 

Décès survenus avant 65 ans :

- Tumeurs
- Morts violentes
- Maladies de l’appareil circulatoire

Mortalité évitable :

- Liée aux comportements à risque


- Actions à mener pour éviter DC !

Surmortalité masculine sauf pour la maladie d’Alzheimer 6X plus de risque de mourir d’un cancer chez l’Homme.

a. Inégalités internationales en santé

Une fillette née aujourd’hui au Japon :

- Espérance de vie d’environ 85 ans


- Vacciné, nourrie, scolarisée
- Si enceinte, bénéficiera de soins maternels de qualité
- Plus tard, maladies chroniques possibles mais :
o D’excellents services de traitements et de réadaptation
o Recevra des médicaments d’une valeur moyenne de US 550$ par an et bien plus si nécessaire

Une fillette née aujourd’hui en Sierra Leone :

- Espérance de vie qui ne dépassera pas 36 ans


- Peu de chances d’être vaccinée
- Risque fort d’un déficit pondéral pendant son enfance
- Mariage au cours de l’adolescence
- Naissance de six enfants ou + sans aide qualifiée
- Décès d’un ou plusieurs enfants peu après leur naissance et elle-même risquera fort de mourir en couche
- Si malade, médicament à hauteur de US 3$ par an
- Si elle atteint l’âge mur, maladie chroniques et sans un traitement convenable, décès prématuré

Il existe différents projets de lois afin d’améliorer le traitement des sujets et de réduire les inégalités : exemple de la loi
Obama, projet du tiers-payant généralisé en France.

I. Actions sur la mortalité prématurée  : action de santé publique

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Mortalité prématuré : décès survenu avant 65 ans (tumeur, mort violentes, maladie de l’appareil circulatoire)
Mortalité évitable : liée aux comportements à risques

Exemples : On essaye de mener des actions pour éviter les décès notamment les radars sur la route.

a. Tumeurs

- Prévention primaire / secondaire : tabac, alcool …

a. Morts violentes 

- Action sécurité routière (radars ?) de 10 000 à – de 4 000 morts par an sur la route
- Alcool au volant
- Prévention suicide

a. Appareil circulatoire 

- Habitudes alimentaires
- Développement des DAE (défibrillateurs automatisés externes)

I. Indicateurs de morbidité

a. Morbidité

Maladie /pathologie :

Morbidité ressentie : le malade se sent malade


Morbidité diagnostiquée (hypercholestérolémie) : maladie détectée par le médecin
Morbidité réelle : ni vue ni ressentie

La morbidité, le fait d’être malade c’est la superposition des 3.

Cette morbidité ressentie est variable en fonction de l’âge, du sexe : les femmes se sentent plus facilement en
moyenne /mauvaise santé, de même, une mauvaise santé perçue est plus fréquente quand on vieillit.

b. Indicateur

Prévalence : nombre de cas sur une période de temps à un moment donnée  importance quantitative de la maladie
Incidence : nombre de nouveaux cas sur une période de temps  dynamique de la malade
Létalité : nombre de décès parmi les malades  gravité de la maladie (indicateur de mortalité et morbidité)

La perception de la santé varie en fonction des sexes et des âges. Très bonne santé forte pour les jeunes et chez les
Hommes tandis que plus l’âge augmente plus la perception de santé est mauvaise. Selon l’âge et le sexe, elle est
perçue plus négativement par les femmes âgées. Les femmes seront peut-être donc plus facilement prises en
charges étant donné qu’elles font plus attention et se sentent moins bien.
Chez les femmes ont a plus de diagnostic de dénoncés et chez les Hommes en chronique on est en dessous, cela
entraine une différence de fréquentation des professionnelles de santé pour la prise en charge. Or les hommes sont
souvent les plus atteints et donc les moins pris en charge.

Les hommes consultent moins que les femmes. Les hommes se sentent plus en bonne santé que les femmes. Les
jeunes se sentent plus en bonne santé que les séniors.

I. Prévention

- Vaccination
- Les programmes régionaux de santé
- Les programmes d’accès et de prévention aux soins
- Les accidents de la vie courante : programme de prévention chez les petits
- L’hygiène bucco-dentaire : programme M’ tes dents pour les petits

I. Les déterminants de la santé


A. Déterminants de la santé

Variable statistiquement liée à la survenue d’un accident, d’une maladie, d’un décès  :
 Facteur de risque ou maladie ?

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 Choisi ou subi ?
 Comportemental ou non comportemental ?

A. Facteurs influant sur l’état de santé 

Facteur endogène (biologique, génétique), indépendant de notre volonté « famille de cancer du sein »

Facteur environnementaux (Géographique, lieu de travail), le contexte dans lequel on vie. Pays chaud et humides
par exemple pour le paludisme. Lieu de travail : exposition à l’amiante  cancers de la plèvre

Facteur de mode de vie (comportement sociaux) alcoolisme/tabagisme.

Facteur lié au système de santé (soin/ Iatrogénie) avoir un bon système de santé influx sur l’état de santé des
individus et des populations. Iatrogénie : effet indésirable lié au système de santé, notamment inégalités aux USA.

Facteur psycho sociologique.

B. Risque et causalité

Facteurs de risques :
- Variable statistiquement liée à la survenue d’un accident, d’une maladie, d’un décès.
- Facteur de risque ou maladie ?
- Choisi ou subi ? (ex : fumer en intérieur)
- Comportemental ou non comportemental

 Ex une maladie multifactorielle


La maladie « multifactorielle » est due à un complexe de facteurs dont chaque élément représente une part de la
cause c’est-à-dire «un facteur de risque» (Rothman,1976)

Le facteur de risque est la part d’incertitude qu’on est prêt à donner à notre existence

I. Handicap

Maladies génétiques, accidents, maladies chroniques, vieillissement

Classification internationale du handicap :

- La déficience
- L’incapacité
- La dépendance ou désavantage social

I. Principaux enjeux de la santé

- Amélioration importante (mort subite du nourrisson diminuée, grâce à la position


d’endormissement des enfant)
- Les accidents de la vie courante, domestiques
- Maladie grave rare : pathologies mentales, cancer et asthme
Moins de 15 ans  - Pathologie infectieuse bénigne : des moyens considérables, peu graves mais
très fréquents.
- Vaccination, soins dentaires, lunette, petites chirurgies : prise en charge
courante
- Pb de comportement et de santé mentale
- Surpoids et obésité

- Traumatisme et mort violente (alcool)


- Cancer (précoce chez la femme)
- Maitrise de la fécondité et prévention des MST (préoccupations importantes)
- Souffrance mentale (mal appréciée), focus sur les suicides notamment chez les
jeunes
- Céphalée, migraine, mal de dos, troubles circulatoires des MI (recours aux
De 15 à 44 ans soins)
- Modes de vie et surcharge pondérale : activité physique, fruits et légumes …
- Bonne santé physique globale.

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- On a des moyens d’actions, sinon si on ne peut rien faire cela ne sert à rien
- 60% des cancers
de 45 à 74 ans - Maladie cardio vasculaire : des FDR (facteur de risques) aux accidents graves
- Pathologie mentales (sous estimées)
- Ménopause (trouble fonctionnels et ostéoporose)
- Pathologie pouvant devenir handicapantes mais soins efficaces.
- Les affections cardiovasculaires : fréquence et moyens important
- 1 cancer sur 4
Personnes âgées > 75 - Déficience mentale : 1 personne sur 5
ans - Arthroses et fracture liées aux chutes : activité chirurgicales importante
- Troubles sensoriels fréquents (prise en charge insuffisantes)

Bilan :

 Définition de la santé (OMS)

 Principaux indicateurs de santé : mortalité, morbidité (prévalence, incidence, létalité), facteur de risque et
handicap

 Et en connaitre les principaux résultats en France

 Principaux déterminants de la santé en France : facteurs endogènes, environnementaux, mode de vie, liés au
système de santé, psycho-sociologique

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