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EPIGRAPHE
« J’aime le Seigneur, car il attend ma voix suppliante, il a tendu vers moi
l’oreille, et toute ma vie je l’appellerai.».
Psaume 116 :1-2.
ii
DEDICACE
REMERCIEMENTS
Ce travail est le fruit de plusieurs personnes sans lesquelles il nous serait
impossible d’aboutir à sa fin.
Ainsi, nos remerciements s’adressent à Dieu le père qui continue à nous prêter le
souffle de vie et qui ne cesse de conduire nos pas à chaque étape de notre vie.
D’une manière particulière, l’expression de nos sentiments de gratitude s’adresse à
notre directeur assistant Maliyabwana Themomwinda Josué et à notre encadreur Ass.
Kaswera Kighoma isabelle qui ont accepté volontiers de diriger cetravail.
Nous adressons nos gratitudes à toutes les autorités académiques de l’ISTM-
Butembo pour leur esprit de sacrifice.
Nous tenons à remercier nos parents Mbusa Tawite et Katungu Mathe pour les
efforts consentis.
Qu’il nous soit permis de remercier le couple Katembo Sikwaya Méliokiore et
Masika Mbuyiro Furaha ainsi que le couple Jackson Mukunyu et Kavira Esperance pour
leurs efforts qu’ils n’ont cessés de consentir à notre faveur.
Que nos ami (e)s, nos camarades étudiant(es) et compagnons de lutte dans ce
monde de savoir, ainsi que quiconque qui a connu à la réalisation de cette œuvre, mais que
nous n’avons pas cité nommément, trouve ici l’expression de nos remerciements.
SIGLES ET ABREVIATIONS
EP : Ecole Primaire
EPST : Enseignement Primaire Secondaire et Technique
F : Féminin
IMC : Indice de Masse Corporelle
ISTM : Institut Supérieur Technique Médicale
M : Masculin
OMS : Organisation Mondiale de la Santé
v
Tableau 7. Répartition des écoliers selon personnes à qui se confier en cas de maladie
Tableau8. Répartition des écoliers selon les intervenants en cas de maladie à l’école
TABLE DE MATIERES
EPIGRAPHE....................................................................................................................................................i
DEDICACE.....................................................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS..............................................................................................................................iii
SIGLES ET ABREVIATIONS.........................................................................................................................iv
0. INTRODUCTION.......................................................................................................................................1
0.1. Problématique......................................................................................................................................1
CHAPITRE PREMIER...................................................................................................................................5
REVUE DE LA LITTÉRATURE....................................................................................................................5
1.2.3. Mesures générales à prendre pour éviter l'éclosion des maladies contagieuses.............................9
CHAPITRE DEUXIÈME.............................................................................................................................13
MÉTHODOLOGIE.......................................................................................................................................13
2.1.2. Historique....................................................................................................................................13
vii
2.3.1. Population....................................................................................................................................14
2.3.2. Échantillon..................................................................................................................................15
La technique utilisée pour la collecte de données a été l’administration du questionnaire face à face
couplée à une interview.............................................................................................................................15
CHAPITRE III..............................................................................................................................................17
RESULTATS.................................................................................................................................................17
CONCLUSION.............................................................................................................................................24
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES......................................................................................................25
ANNEXE.......................................................................................................................................................A
1
0. INTRODUCTION
0.1. Problématique
Les enfants sont reconnus comme d'importants transmetteurs de maladies
infectieuses saisonnières et pandémiques. Ils ont des systèmes immunitaires plus naïfs qui
augmentent la susceptibilité aux infections et sont généralement reconnus pour avoir des
niveaux d'hygiène des mains et respiratoires plus faibles. Au sein des écoles, ils connaissent
un grand nombre de contacts avec leurs pairs, et les infections peuvent se propager facilement
par transmission directe et indirecte. Contrairement aux établissements de soins de santé, les
écoles n'ont pas de pratiques standard de contrôle des infections et peuvent avoir des
programmes de nettoyage inadéquats ou manquer d'installations pour soutenir un lavage des
mains approprié. De plus, le contrôle des infections n'est pas un objectif clé pour les écoles ou
les enseignants et la mise en œuvre d'interventions d'hygiène peut être difficile. Ces facteurs
entraînent un risque accru d'épidémies en milieu scolaire (Donaldson A.et al, 2020).
Aux États-Unis, plus de 2 enfants sur 5 âgés de 6 à 17 ans souffrent d'une
maladie chronique comme l'asthme, le diabète ou l'épilepsie. De plus, environ 1 enfant sur 5
âgé de 6 à 19 ans souffre d'obésité, et les disparités raciales et ethniques sont courantes : en
2017-2018, le taux était de 25,6% pour les enfants hispaniques, 24,2 % pour les enfants noirs,
16,1% pour les enfants blancs et 8,7% pour les enfants asiatiques (Centre national de
prévention et contrôle des maladies chroniques, (2016).
Une étude avait été menée en 2020 par Donaldson A et al, sur les «facteurs de
risque associés aux épidémies de maladies infectieuses saisonnières en milieu scolaire,
Angleterre, Royaume-Uni du premier septembre 2016 au 31 août 2018» avait signalé 2207
éclosions épidémiques dans les écoles. La gastro-entérite était la cause la plus fréquente des
éclosions signalée 47% suivie des éruptions cutanées (44%) et la grippe (6%). Les autres
causes d'épidémies représentaient moins de 1% chacune et comprenaient les infections des
voies respiratoires, la conjonctivite, l'hépatite, l'impétigo, les infestations et les vers. Les
éclosions variaient de 2 à 300 cas, avec une médiane de 10 cas par éclosion.
En dépit des progrès accomplis dans le domaine de la santé et de l’exceptionnel
développement social et économique observé depuis quelques dizaines d’années, les enfants
et les jeunes de la Région du Pacifique occidental sont exposés à une multitude de risques
qui menacent leur santé actuelle et future. En 2019, près de 280 000 personnes de 5 à 29 ans,
dont près de 53 000 enfants de 5 à 14 ans, sont décédées dans la Région du Pacifique
occidental, principalement de causes évitables telles que les traumatismes involontaires
(accidents de la route, chutes et noyades) et les traumatismes volontaires (suicide). Les
2
maladies non transmissibles restent la principale cause de décès chez les adultes. Elles
représentent 82% des décès prématurés dans la Région, et s’installent souvent pendant
l’enfance et l’adolescence (OMS, 2021).
La prévalence des facteurs de risque des maladies non transmissibles chez les
enfants et les adolescents augmente rapidement. Entre 1975 et 2016, le taux de surpoids et
d’obésité a été multiplié par 20 chez les enfants et les adolescents de la Région du Pacifique
occidental, ce qui tient en partie à de faibles niveaux d’activité physique : en 2016, 89 % des
filles et 83 % des garçons de 11 à 17 ans pratiquaient moins de 60 minutes d’activité physique
par jour. La prévalence actuelle de la forte consommation épisodiqued’alcool chez les
adolescents de 15 à 19 ans est de 13,6% dans la Région (OMS, 2021).
Près de 6 millions d’enfants de 13 à 15 ans consomment régulièrement des
produits du tabac. Ces facteurs de risque ont des effets délétères sur la santé des enfants et des
adolescents d’aujourd’hui, et laissent présager des problèmes plus graves encore notamment
un risque accru de maladie non transmissible lorsque cette génération atteindra l’âge adulte
(OMS, 2021).
Au-delà des facteurs de risque de maladies non transmissibles, le manque
d’infrastructures et de ressources dans les écoles dû aux inégalités économiques peut avoir des
effets préjudiciables directs sur la santé des enfants et des adolescents à court ou moyen
terme, puis sur leurs résultats scolaires et leurs perspectives d’avenir. Dans certaines parties de
la Région, les bâtiments scolaires anciens et mal entretenus peuvent présenter des risques
sanitaires, notamment la contamination de l’eau potable par le plomb due à des canalisations
vieillissantes. Les écoles des communautés défavorisées sont plus susceptibles d’être situées à
proximité d’autoroutes, d’usines, de centrales électriques ou d’autres sources de pollution
atmosphérique. Les services d’assainissement de base nécessaires pour protéger contre les
maladies diarrhéiques et autres maladies bactériennes peuvent faire défaut ou ne pas être
adaptés aux besoins des écoles situées dans des communautés pauvres (OMS, 2021).
En Tunisie, une étude menée par Thouraya N. et al(2010) s’était intéressée aux
consultations de personnes âgées de moins de 19 ans, qui représentaient 6 629 cas, soit 42,5%
du total des consultations tous âges et sexes confondus.Sur le plan clinique, la pathologie
respiratoire était nettement prédominante avec 62,5%, suivie des pathologies digestive et
cutanée dans respectivement 10,4 % et 9,1 % des cas. Les problèmes d’ordre psychologique et
social ne représentaient que 0,4 % des résultats des consultations.
3
CHAPITRE I.
REVUE DE LA LITTÉRATURE
1.1. Définition de concepts clés
1. Caractéristique : Une caractéristique est une particularité ou une propriété distinctive
qui permet de distinguer ou d'identifier quelque chose ou quelqu'un. Elle peut être
physique, comportementale, qualitative ou quantitative. Les caractéristiques peuvent
être utilisées pour décrire ou classifier des objets, des personnes ou des phénomènes
(Paul Robert, 2020).
2. Prise en charge : La prise en charge est l'ensemble des actions réalisées par les
professionnels de santé pour répondre aux besoins et aux attentes des patients, en vue
de leur assurer une qualité de soins optimale. Elle peut concerner différents aspects de
la santé, tels que la prévention, le diagnostic, le traitement, la réadaptation, mais aussi
l'accompagnement psychologique et social. La prise en charge doit être personnalisée
en fonction des besoins de chaque patient et être coordonnée entre les différents
professionnels de santé impliqués dans le parcours de soins (HAS, 2010).
3. Écolier : Un écolier est un élève qui fréquente une école primaire (Paul Robert, 2021).
4. Malade : Un malade est une personne souffrant d'une maladie, d'une affection ou d'un
trouble de santé qui affecte son bien-être physique, mental ou social. Les maladies
peuvent être aiguës (de courte durée) ou chroniques (à long terme), et peuvent varier
en gravité et en symptômes. Les malades ont souvent besoin de soins médicaux pour
traiter leur condition et retrouver leur santé (Paul Robert, 2020).
5. Vallée : Une vallée est une dépression géographique entre deux montagnes ou
collines, souvent formée par l'érosion d'un cours d'eau. Elle peut être habitée ou
utilisée à des fins agricoles ou industrielles (Paul Robert, 2020).
l'autorité scolaire.
Ces deux catégories de maladies sont d'ailleurs tout à fait distinctes par leur
marche et leur évolution, et elles demandent des précautions différentes (Hippolyte Cocheris
M, 2000).
C. Maladies infectieuses
On donne ce nom, depuis les découvertes de Pasteur, à toutes les maladies
produites par la présence dans l'organisme d'un microbe, d'un germe pathogène. Elles attirent
rapidement l'attention du maître, car rarement elles surviennent par cas isolé ; habituellement
elles prennent le caractère épidémique.
L'épidémie est très difficile à enrayer, car ces maladies sont le plus souvent
contagieuses avant l'apparition des symptômes objectifs. Nous allons passer rapidement en
revue les maladies infectieuses les plus communes à l'école, en insistant sur les caractères
propres à chacune d'elles.
8
Rougeole. — Les écoles maternelles et les dernières classes des écoles primaires sont
celles qui sont ordinairement atteintes.
La diphtérie nasale avec écoulement de mucus par les narines est fréquente à
l'école. En temps d'épidémie, il faut toujours suspecter les enfants qui présentent ces
symptômes et exiger l'examen bactériologique du liquide pharyngé. La diphtérie est produite
par le bacille découvert par Klebs et cultivé par LÖffler. Après la diphtérie, on ne doit
admettre à nouveau l'enfant à l'école qu'avec un certificat attestant l'examen négatif de ses
sécrétions naso-pharyngiennes.
9
Les fosses doivent être étanches et le plus possible éloignées des puits.
ART. 3. — Pendant la durée des récréations et le soir après le départ des
élèves, les classes doivent être aérées par l’ouverture de toutes les fenêtres.
ART. 4. — Le nettoyage du sol ne doit pas être fait à sec par le balayage, mais
au moyen d'un linge ou d'une éponge mouillée promenée sur le sol.
ART. 5. — Hebdomadairement il est l'ait un lavage du sol à grande eau et
avec un liquide antiseptique. — Un lavage analogue des parois doit être fait
au moins deux fois par an, notamment aux vacances de Pâques et aux grandes
vacances.
ART. 6. — La propreté de l'enfant est surveillée à son arrivée. Chaque enfant
doit se laver les mains au lavabo avant la rentrée en classe après chaque
récréation.
- La désinfection complète du pupitre de l'élève malade ; la destruction par le feu des livres,
cahiers, etc., de l'élève malade, et des jouets ou objets qui auraient pu être contaminés dans les
écoles maternelles.
ART. 11. — Il est adressé à la famille de chaque enfant atteint d'une affection contagieuse une
instruction sur les précautions à prendre contre les contagions possibles, et sur la nécessité de
11
ne renvoyer l'enfant qu'après qu'il aura été baigné ou lavé plusieurs fois au savon et que tous
ses habits auront subi soit la désinfection, soit un lavage complet à l'eau bouillante.
ART. 12. — Les enfants qui ont été malades ne pourront rentrer à l'école qu'avec un certificat
médical et après qu'il se sera écoulé, depuis le début de la maladie, une période de temps égale
à celle prescrite par les instructions de l'Académie de médecine.
ART. 13. — Dans le cas où le licenciement est reconnu nécessaire, il est envoyé à chaque
famille, au moment du licenciement, un exemplaire de l'instruction relative à la maladie
épidémique qui l'aura nécessité.
1.4. Résultats des études antérieures
12
CHAPITRE II.
MÉTHODOLOGIE
2.1.2. Historique
L'école a été initiée par KAHINDO NDEKESIRI Janvier en 1959 avant
l'indépendance. Elle a été connue officiellement par l'arrêté ministériel nº CABMINE PSP/65:
2/10914. Sa création dès le début a déjà abrité 5 sites dont le premier était à Kambali sous le
nom d'école Laïque officielle de 1959 à 1961et l'actuel estl'école primaire Kavaghendi jusqu'à
nos jours avec la délocalisation jusqu'à la vallée de Kavaghendi.
Selon l’attitude de l'investigateur : nous avons utilisé une étude d'observation passive qui
repose sur l'observation de phénomènes de santé et des facteurs qui les sous-tendent.
Selon la période d'étude: nous avons utilisé une étude transversale et prospective qui a
consisté à enquêter pendant une période aussi bien précise.
Selon le type de variables: nous avons opté pour une recherche à la fois qualitative et
quantitative comme nous avons eu à manipuler des données chiffrées pour comprendre les
caractéristiques et prise en charge des écoliers malades rencontrés dans les écoles de la vallée
de Kavaghendi.
2.3.2. Échantillon
En raison de la taille de notre échantillon inférieur à 10 000, nous avons recouru à
Pq P (1−P) P (100−P)
la formule de schwartz avec comme formule : n= t2 2 ou t
2
2 ou t2
d d d2
CHAPITRE III.
RESULTATS
Dans cette partie du travail, nous analysons et représentons nos résultats dans
différents tableaux.
Tableau 7. Répartition des écoliers selon personnes à qui se confier en cas de maladie
Personne à qui se confier FO %
Amis 221 57,6
Enseignant 34 8,9
Grand frère/sœur 129 33,5
Total 384 100
20
3.1.1.2.Intervention de l’école
Les résultats du tableau 8 reflètent que :
- 44 soit 11,4% étaient accompagnés à leur domicile,
- 31 soit 8,1% avaient reçu des calmants,
- 24 soit 6,2% étaient accompagnés à l’hôpital.
Tableau8. Répartition des écoliers selon les intervenants en cas de maladie à l’école
Intervention FA FO %
Accompagnement à domicile 384 44 11,4
Administrations des calmants 384 31 8,1
Accompagnement à l’hôpital 384 24 6,2
Expédition en domicile seul 384 121 31,5
Visite des camarades en cas d’hospitalisation 384 19 4,9
CONCLUSION
Nous voici au terme de notre étude intitulée « Caractéristique et prise en charge
des écoliers malades rencontrés dans les écoles de la vallée de Kavaghendi ».
Pour atteindre notre but, nous nous sommes assigné les objectifs suivants :
- Déterminer les caractéristiques des écoliers malades rencontrés dans les écoles de la vallée
de Kavaghendi.
- Décrire la prise en charge des écoliers rencontrés dans les écoles de la vallée de Kavaghendi.
En effet, cette étude est descriptive dans son approche prospective.
Notre échantillon a concerné 384 écoliers répartis au sein de deux écoles
primaires, notamment : Matengenezo (205) et Kavaghendi (179).
Après analyse des données, la conclusion suivante :
- La dysorthographie a été les troubles scolaires le plus observée34,1% (Tableau 4) ;
- Au tableau 5: 58% des écoliers avaient souffert d’une gastro-entérite;
- L’emission des selles liquides et le vomissement étaient les plus les signes majoritaire en
50%, cfr Tableau6;
- Selon le tableau7, lors d’un épisode maladie 57,6% des écoliers se confiaient à leur
camarades ;
- En 31,5% les écoliers malades étaient expédiés à leur domicile d’après le tableau8;
- Le soutien émotionnel auxécoliers malades (73,7%) tableau9;
- 97,1% des écoliers avaient bénéficié d’un congé de maladie (Tableau10).
De ce fait, nos suggestions et recommandations s’adressent :
Aux autorités de l’EPST de
- Mettre une réglementation sur le congé de maladie.
Aux écoliers
- Rendre disponible des Kits de diagnostic rapide et de médicament de première nécessité au
sein des écoliers.
Aux futurs chercheurs de, d’
- Etudier les aspects épidémiologiques des maladies chez les écoliers
24
BIBLIOGRAPHIE
1. American Academy of Pediatrics, (2019), Infectiousdiseases, Pediatrics in review, Vol
40, p. 289-298.
2. Bethony J et al, (2006), Soil–transmittedhelminth infections, Journal the Lancet, Vol
367, p. 1521-1532.
3. Christine Fawer Kaputo, 2018, accompagner une enfant endeuiller : quel rôle pour les
enseignants ? Revu jusqu’à la mort accompagner la vie, N°132, P.63-73.
4. Donaldson A et al, (2020), Facteurs de risque associés aux épidémies de maladies
infectieuses en milieu scolaire, Angleterre, Royaume Uni, Pub Med, Vol 148, p.287-
296.
5. Ferdinand Buisson, (2005), Maladies scolaires, Institut Français de l'Éducation en ligne
sur http ://www.inrp.fr consulté le 1 mai 2023.
6. Hippolyte Cocheris M, (2000), Maladies scolaires, Paris, Éd. Perséïdes, 193 p.
7. Hippolyte Cocheris M, (2000), Maladies scolaires, Paris, Éd. Perséïdes, 193 p.
8. Madame Salima Amrani ; difficulté d’apprentissage de lecture en langage française
chez les écoliers Algérien à 2013, université de Batna (Algérie), 24P.
9. OMS, (2021), Santé en milieu scolaire, Comité Régional, Genève, 5p.
10. Ould Ahmed S et al, (2012), Prévalence des parasitoses intestinales chez les écoliers
dans les Wilayas du Gorgol, Guidimagha et Brakna (Mauritanie), Revue Francophone
des Laboratoires, Vol 44, p.75-78.
11. Paul Robert, (2020), Dictionnaire le petit Robert, en ligne sur https://www.larousse.fr/
consulté le 9 mai 2023.
12. Thouraya N et al, (2010), la morbidité diagnostiquée chez les enfants en médecine
générale dans la région de Sousse, Santé Publique, Cairn.info, Vol 22, p.201-211.
A
ANNEXE
GUIDE DE COLLECTE DE DONNÉES
I. Caractéristiques des écoliers malades
Âge :...anSexe : M:....F:.... Rang dans la fratrie :.... Cadet:.... Aîné :....Classe :... École
fréquentée :.........................................Nombre d'épisodes des maladiesdu
trimestrepassé :........................... Maladiescontractées :....................................Troubles
connus : Dyscalculie :...... Dysorthographie:...... Dyslexie :......Autres à préciser :...... Maladies
chroniques connues:...... Épilepsie :..... Diabète :........
Type de maladies couramment contracté :............................................................. Symptômes
fréquents :Céphalées :..... Douleurs abdominales :...... Émission de selles liquides :......
Épistaxis :....... Vomissements :...... Fièvre :....... Vertige :..... Frissons:....Crampes :.....Autres à
préciser :.......................
II. Prise en charge des écoliers malades
Personneà qui se confier en cas de maladie : Instituteur(ICE):...Chef de classe:....Camarade
proche:....Moi-même :.....Autres à préciser :........…..................….....................
Intervention del'école : Accompagnement à domicile :....Administration des calmants :.....
Expédition en domicile seul :..... Accompagnement à l'hôpital :.... En cas d'hospitalisation :
Visite del'instituteur (ice):.... Camarade :.... Autres à préciser :..
Soutien émotionnel en cas de maladie : Reçu :....non reçu :.....S'il te réservé un soutien, qui le
fait ? Instituteur :..... Camarades :.... Moi-même :.... Autres à préciser :....
Après hospitalisation, congé de reconstitution : respecté :...non respecté :....