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I. Généralités
A. Processus digestifs
• Fonction vitale (apporte les éléments nutritifs)
• Fonction énergivore (métabolisme post-prandial : muscle lisse digestif ; absorption digestive ; activités
enzymatiques = 10% du total journalier)
• Fonction chronophage (plusieurs heures de processus)
• Fonction complexe (nerveuse et hormonale)
Définition : digestion : transformations des aliments ingérés en nutriments assimilables par l’organisme ->
fragmentation, ingestion, absorption, défécation
Digestion : fragmentation
Fonction digestive : motilité (ingestion, propulsion, défécation), sécrétion, fragmentation, absorption
Le tube digestif :
• Extrait les matières premières de la nourriture essentielles à
l’organisme
• « Chaîne de démontage »
Scinde la nourriture ingérée en nutriments :
• Molécules simples absorbables (oses, acides gras, acides
aminés, …)
• Matériaux structuraux et sources d’énergie pour les cellules
Amylases = enzymes
lumière du tube digestif = espace à l’intérieur qui contient le contenu, c’est le milieu
La paroi du tube digestif comprend de nombreux réseaux neuronaux que l’on appelle plexus.
On a deux types de plexus nerveux (= système nerveux entérique) intrinsèques :
• Le plexus myentérique situé au niveau de la musculeuse
• Le plexus sous-muqueux situé au niveau de la sous-muqueuse
La musculeuse :
On a des changements qui suivent une sorte de gradient : tissu musculaire strié squelettique (peut être
commandé volontairement) + tissu musculaire lisse (ne peut pas être contrôlé volontairement → SNV)
C. Motilité digestive
Permet de réaliser différents mouvements :
• Progression du bol alimentaire ou du chyme
• Brassage des aliments dans l’estomac
• La vidange gastrique
• La segmentation dans l’intestin grêle
• La défécation
Ce sont des contractions musculaires générées par les cellules interstitielles de Cajal (CIC), au niveau
gastrique et intestinal, coordonnées et modulées par le système nerveux entérique (SNE) et par le système
nerveux autonome (SNA).
• Grâce aux CIC, les CML ont un PM instable (ondes lentes avec le REB imposé par les CIC)
• S’il y a des aliments dans le TD, sous l’effet de facteurs nerveux hormonaux (Ach, gastrine…), les
cellules vont se dépolarisées
o Atteinte de la valeur seuil (environ -40 mV) salves de PA contractions musculaires
• Plus les PA seront nombreux, plus la contraction sera importante
Les CIC ne génèrent pas elles même une contraction, elles génèrent une activité électrique qui est
communiquée aux CML, si on dépasse le seuil d’excitabilité on pourra avoir une contraction
Dans le SNC, tout le tissu nerveux est protégé par une structure osseuse.
• Le tube digestif a son propre système nerveux, c’est un système nerveux intrinsèque
(réflexes courts)
• Autant de neurones que la moelle épinière (100 millions)
• « Second cerveau »
• Neurones entériques sensitifs (stimuli chimiques, mécaniques …)
• Neurones entériques effecteurs (muscle lisse ou glandes)
• Il peut fonctionner de manière indépendante / autonome
• Il reçoit une innervation du système nerveux intrinsèque (parasympathique et
sympathique)
• Influence le comportement en envoyant des message à travers le nerf vague jusqu’au
cerveau
• Interagit avec le microbiote intestinal
➢ Régulation intrinsèque :
• Plexus myentérique qui régit les mouvements du tube digestif : segmentation + péristaltisme
• Plexus sous muqueux qui régit l’action des glandes sécrétrices et maintient le tonus de la paroi
intestinal pour qu’elle reste repliée (= tonus muqueuse)
→ Bien que ce SNE puisse assurer la motilité du TD à lui seul, le système digestif est également sous
l’influence du système nerveux extrinsèque, il repose sur des arcs réflexes longs (SNC et SNA) déclenché
par des stimuli internes ou externes
Il va pouvoir réguler le fonctionnement du TD. C’est le SNA composé du système nerveux sympathique
(inhibiteur) et du système nerveux parasympathique (activateur).
Pour résumer :
Deux types d’innervation :
• SNA extrinsèque : arc réflexe long
• SN entérique, intrinsèque : arc réflexe court
3. Régulation hormonale
Il y a beaucoup d’acteurs hormonaux qui vont jouer sur la fonction digestive
Au niveau interstinal on
a surtout des processus
chimique !
E. Types de contractions
Segmentation : surtout au niveau de l’intestin grêle
• Apparaissent sur un segment de 2 à 3cm
• Disparaissent et réapparaissent sur le segment voisin
• Fonctions :
◦ Favorisent le brassage des aliments sans les propulser
◦ Mélangent (malaxent) la nourriture et les enzymes digestives
◦ Exposent les produits de la digestion à la surface absorbante
1. Processus mécaniques
La mastication :
Les dents permettent le broyage et la mastication des aliments. Elles sont très solides, un adulte à 32 dents.
• Denture = ensemble des dents
• Dentition = processus de fabrication et de mise en place de la dent sur la mâchoire
• Formule dentaire = nombre d’incisives, de canines, de prémolaires et de molaires
2. Processus chimiques
a. La sécrétion salivaire
b. La salive
• pH ~ 6,7
• Composition :
o Eau (97 à 99,5%)
o Minéraux (électrolytes) : Na+ ; K+ ; HCO3- ; HPO42-
o Substances organiques dont des enzymes, des protéines et des déchets :
Amylase salivaire (commence la digestion des sucres) → enzyme
Lipase linguale (commence la digestion des lipides) → enzyme
Lysozyme (lyse des parois bactériennes) → protéine
Mucines mucus → protéine
Urée → déchet
Ces processus mécaniques et chimiques buccaux permettent de : former une bouchée déglutissable : le bol
alimentaire (doit être déglutit)
• La langue pousse le bol alimentaire contre le voile du palais déclenchant le réflexe de la déglutition
• Progression du bol alimentaire dans l’œsophage grâce aux ondes péristaltiques
Le réflexe de la déglutition :
1 2 3
Lorsque le bol alimentaire va arriver au niveau de la partie inférieure de
l’œsophage, il va entraîner l’ouverture du sphincter œsophagien inférieur
Après le passage du bol alimentaire se sphincter va se refermer, c’est important
car c’est une barrière anti RGO
B. Pharynx et œsophage
Pharynx :
• Carrefour aéro-digestif
• Constitué :
◦ Épithélium résistant à la friction
◦ Muscles squelettiques constricteurs → propulsent le bol
Pharynx
alimentaire
Œsophage :
• Tube musculeux fermé par 2 sphincters :
◦ Sphincter supérieur de l’œsophage
◦ Sphincter inférieur de l’œsophage
• Constitué de 4 tuniques :
◦ Muqueuse
◦ Sous muqueuse
◦ Musculeuse
◦ Adventice
III. Processus digestifs stomacaux / gastriques
L’estomac :
• Réservoir temporaire / lieu de stockage
• Volume de ~ 50 mL (à vide) à 2/3 L (plein) → mobilité
• Digestion chimique et mécanique avec un brassage important
• Transformation du bol alimentaire en chyme (substance visqueuse
semblable à de la bouillie → ejecté vers l’intestin pour poursuivre la
digestion)
Anatomie macroscopique :
• Le fundus = grosse tubérosité + corps de l’estomac
• 2 sphincters :
o cardia
o pylorique
• La partie pylorique
o L’antre du pylore
o Le canal pylorique
o Le pylore
L’estomac à une forme en J avec une musculeuse très conséquente (avec 3 couches)
Anatomie microscopique :
• Muqueuse (doit résister aux conditions de pH et enzymatiques qui règnent dans la
lumière de l’estomac) :
o Revêtement épithélial (varie en fonction de la région gastrique) qui produit
un mucus qui permet la formation de :
La barrière muqueuse gastrique → cellules souches qui vont la
renouveler
o Parsemée d’invaginations : cryptes gastriques où on trouve des glandes gastriques
o Se prolongent jusqu’aux glandes gastriques qui sécrètent le suc gastrique
o Puissante musculeuse à 3 couches : + couche oblique
o Varie en fonction de la région gastrique :
Muqueuse cardiale : glandes mucosécrétantes (cellules à mucus mais ne sécrètent
pas le mucus gastrique)
Muqueuse fundique : cellules principales, pariétales et ECL
Muqueuse pylorique : cellules mucosécrétantes et cellules G qui vont produire la
gastrine
Les cellules épithéliales produisent un mucus alcalin qui va protéger la paroi gastrique.
A. Processus mécaniques
Dès la première bouchée déglutie, l’estomac commence à se préparer à un remplissage et créer une zone de
stockage temporaire.
Péristaltisme gastrique :
On a une reprise progressive des ondes lentes après le remplissage qui s’intensifie dans le temps et
géographiquement
• Estomac proximal (fundus et 1/3 du corps) : peu de contraction → rôle réservoir
• Estomac distal (2/3 du corps et partie pylorique) : siège d’une activité péristaltique intense
permettant le brassage et la vidange gastrique
• Fréquence des ondes péristaltiques imposée par l’air pacemaker (→ cellules interstitielles peuvent
faire varier le potentiel de repos) qui impose un rythme ~3/min
• Force des contractions augmente avec :
o L’étirement de la paroi gastrique
o Sécrétion de gastrine (= acteur important pour la régulation de l’activité gastrique au niveau
hormonal)
Le brassage :
Les ondes provoquent des contractions musculaires lentes allant du
cardia au pylore.
Le péristaltisme démarre près du cardia :
• Débute avec une légère ondulation de la paroi gastrique
• Augmentation de la puissance de contraction à l’approche du
pylore
• Pétrissage vigoureux et mélange des aliments avec le suc
gastrique
• Mouvements de va et vient entre le pylore et le cardia (dont les
sphincters sont fermés : le contenu ne doit pas remonter !) qui se répètent de façon à créer des
courants internes :
o Mouvements de propulsion → suivent le péristaltisme
o Mouvements de rétro-pulsion → font remonter le contenu vers le cardia
• Brassage jusqu’à ce que le broyat réponde aux critères de pH et granulométrie de chyme gastrique
et pourra ainsi être éjecté
→ On continue à brasser tout le contenu ça permet de dégrader encore + le contenu de la
lumière gastrique
➢ La zone d’étranglement va devenir beaucoup plus « coriace »
La vidange gastrique :
• Par éjections successives du contenu de la lumière intestinale (on laisse passer ce qui est prêt) : à
chaque onde péristaltique → petite quantité (par giclées) de chyme évacuée dans le duodénum
• Reflux vers le corps
• Vidange biphasique : rapide pour les liquides (20min), plus lente pour les solides (plusieurs heures
→ 5 à 24h)
• Partie pylorique contient 30mL de chyme :
o Filtre dynamique qui permet le passage des liquides et des petites particules (<2mm) par le
pylore partiellement relâché
o On parle ici de moulin antral → petite région qui va servir à filtrer le contenu, ce qui est
vidangeable ver le duodénum et conserver ce qui doit être encore transformé
RECAP :
B. Processus chimiques
Le suc gastrique :
• Acidité sécrétée dans 2/3 proximaux : poche acide :
o Surnageant de liquide très acide : pH environ 1,7
o Non soumis à l’effet tampon des aliments
• Composition :
o Eau
o Électrolytes (H+ ; Cl- ; Na+ ; K+ ; HCO3- ; …)
o Substances organiques :
Mucus
Pepsine → permet de cliver les protéines
Lipase gastrique
Facteur intrinsèque
1. Cellules pariétales
Tant qu’on a une entrée d’ion Cl - on aura une sortie de bicarbonate de la cellule
pH gastrique ~ 2 :
• Destruction des microorganismes
• Activation du pepsinogène en pepsine (enzyme active à pH acide)
• Dénaturation des protéines
• Fragmentation des aliments (tissu musculaire et conjonctif)
Rappel : la membrane apicale est située côté lumière et la membrane basale est située du côté des vaisseaux
sanguins
Techniquement la seule fonction vitale de l’estomac c’est le produit de ce facteur intrinsèque (s’il ne le
produisait pas, en théorie on pourrait s’en passer pour digérer)
2. Cellules principales
Ulcères gastriques :
• Érosion de la paroi de l’estomac
• Douleur aigüe épigastrique et dorsale 1 à 3h après un repas et s’apaise avec la prise alimentaire
• 10% des cas liés à la prise prolongée d’AINS (médicaments)
• 90% des cas liés à l’Helicobacter pylori : bactérie résistance à l’acidité qui perfore le mucus
1. La phase céphalique
• Elle est déclenchée par la perception sensorielle (olfactive, visuelle) ou l’évocation mentale des
aliments
• Précède l’ingestion des aliments : anticipation (différent de rétroaction)
• Prépare l’estomac à l’arrivée des aliments : augmentation de l’activité gastrique pendant quelques
minutes → si on ingère rien cette sensation va s’arrêter
• Durée brève
• Phase réflexe
La vue, l’idée de nourriture, l’odorat et le goût envoient des messages afférents au cortex cérébrale
et entraine une augmentation de la sécrétion de l’estomac via une activation parasympathique
Dans le cas d’une dépression (inverse), on va avoir une inhibition de production de liquide gastrique
2. La phase gastrique
• Stimulation par la nourriture : déclenchée quand le bol alimentaire étire la paroi de l’estomac →
changement de condition chimique et mécanique
o Sécrétion maximale (2/3 du suc gastrique) durée : 2-3 h
• Rétroaction positive via le réflexe myentérique et vago-vagaux
• Augmente l’activité gastrique pendant 3 à 4h
• Régulation nerveuse système nerveux parasympathique (nerf vague) (réflexe long) et système
nerveux entérique (réflexe court)
o Étirement de la paroi gastrique +++
• Régulation hormonale gastrine, histamine
o Protéines +++, Caféine
N.B : l’étirement de la paroi gastrique va induire une réponse nerveuse alors que les protéines ainsi que la
caféine vont induire une réponse hormonale
On va avoir une activation du système nerveux sympathique dans le cas de problèmes émotionnels
ce qui va avoir pour effet de neutraliser l’effet du système nerveux parasympathique
On peut également avoir une diminution de la sécrétion de gastrine dans le cas ou notre pH
gastrique est trop bas (inférieur à 2)
3. La phase intestinale
Tous ces stimuli vont donc déclencher un réflexe entérogastrique ou une sécrétion d’hormones avec
dans le but d’inhiber la sécrétion et la motilité gastrique pour que cela se fasse lentement de façon à
ce que l’intestin puisse digérer et absorbé
→ A l’issue de la phase gastrique, le bol alimentaire est transformé en chyme gastrique (va être vidangé
dans le duodénum)
Schéma bilan :
IV. L’intestin grêle
Il relie l’estomac au côlon, c’est la partie la plus longue du tube digestif : 2-4m avec un tonus musculaire
(chez une personne vivante) et 6-7m sans tonus
C’est le principal organe de la digestion et de l’absorption :
• Finalisation de la dégradation des aliments
• Absorption de l’eau, des nutriments et des vitamines
Histologie :
• 4 tuniques avec une muqueuse et une sous muqueuse modifiée
• Au niveau des villosités → épithélium simple :
◦ Cellules absorbantes pourvues de microvillosités
◦ Cellules caliciformes sécrétrices de mucus
• Entre les villosités (invaginations) → cryptes qui conduisent aux glandes intestinales :
◦ Endocrinocytes gastro intestinaux (système APUD = système endocrinien diffus) :
entérogastrones (sécrétine, cholécystokinine)
◦ Cellules de Paneth : agent anti-microbiens
• Sous muqueuse :
◦ Follicules lymphoïdes (fonction immunitaire)
◦ Glandes duodénales (Brunner) : mucus
alcalin
• Vaisseaux capillaires et chylifères
B. Motricité
• Mélange du chyme avec les sécrétions présentes dans la lumière :
o La bile
o Le suc pancréatique
o Le suc intestinal
• Favorise le contact du chyme avec la muqueuse
• Assure la propulsion du contenu intestinal dans le sens aboral (à l’opposé de la bouche)
• Évacue mes résidus vers le gros intestin via la valvule iléo-caecale
• La période post-prandiale :
o Activité segmentaire mixage et contact au niveau de la muqueuse
o Activité péristaltique propulsion aborale
• La période inter-digestive :
o Complexe moteur migrant (interrompu par la prise d’aliments)
1. Période post-prandiale
a. Segmentation
Fonctions :
• Favorisent le brassage des aliments
• Mélangent le chyme et les enzymes digestives
• Favorisent le contact des produits de la digestion à la surface absorbante
b. Péristaltisme
• Contractions propulsives :
o Dues au muscle qui se contracte en amont et se
relâche en aval
b. Régulations
C. Processus chimiques
La digestion est assurée par le suc intestinal, le suc pancréatique et la bile :
Dans le duodénum, est déversé au niveau de l’ampoule de Vater
(hépatopancréatique)
• La bile (canal cholédoque)
• Le suc pancréatique (canal pancréatique)
1. Suc intestinal
Il lubrifie et protège la muqueuse et favorise les réactions d’hydrolyse des enzymes digestives.
2. Sécrétions pancréatiques
Sécrétion enzymatique :
• Précurseurs protéolytiques (inactifs)
o Trypsinogène
o Chymotrypsinogène
o Procarboxypeptidase
Activité dans le duodénum
• Amylase pancréatique (digère les sucres)
• Enzymes lipolytiques :
o La lipase pancréatique (activité nécessitant colipase)
o Cholestérol estérase
o Phospholipase A2
Sur ce schéma on voit l’activation au niveau intestinal avec la production de précurseurs inactifs
(trypsinogène).
Le trypsinogène est converti en trypsine (active) grâce à l’entérokinase (enzyme de la bordure en
brosse).
A retenir : En termes de sécrétion enzymatique les protéases sont sécrétées sous forme inactives et sont
activées au niveau de la lumière grâce à l’entérokinase et ensuite à la trypsine.
3. Fonction hépatique
Le foie permet la production de la bile → essentielle dans la digestion / absorption des lipides :
• Sécrétée par les hépatocytes
• Circule dans les canalicules biliaires en direction des conduits biliaires dans les espaces
interlobulaires
• Solution alcaline :
◦ Pigments biliaires : bilirubine (résidu du noyau hème : pigment jaune issu de la dégradation de
l’hémoglobine)
◦ Cholestérol
◦ Triglycérides
◦ Phospholipides (lécithine)
◦ Électrolytes Processus digestifs
◦ Sels biliaires
4. Fonction biliaire
La vésicule biliaire :
• Poche musculeuse verte (10cm)
• Stocke et concentre la bile (absorption d’eau et d’ions) la bile n’est pas
immédiatement nécessaire à la digestion
• Remplissage en période inter-digestive
• Vidange vésiculaire :
o Déclenchée par l’arrivée des aliments dans le duodénum, repas riche en
lipides (+++)
o Régulation hormonale (CCK) et nerveuse (nerf vague) contraction de la
vésicule et relâchement du sphincter d’Oddi
• Lithiase biliaire (calculs) fréquente
• Cholécystectomie fréquente
5. Rôle de la bile et cycle entérohépatique
Cycle entérohépatique :
• Cycle : 5 fois par repas sauf en présence de fibres solubles
• Empêche la réabsorption → production à partir du cholestérol
• Réduction du taux de cholestérol