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LE THÉATRRE DE LA BELLE ÉPOQUE (AVANT 1914)

Les genres qui se développent au début du siècle sont très différents. On trouve les comédies
héroïques, le théâtre de boulevard, le vaudeville et le théâtre de l’absurde.

 LA COMÉDIE HEROÏQUE : CYRANO DE BERGERAC


C’est l’unique pièce théâtrale avec des réminiscences traditionnels. Cyrano de bergerac était
un soldat de l’armée français. Il avait une nez grotesque qui faisait rire, mais les autres
n’étaient pas capables de se moquer de lui parce qu’il avait de l’honneur, ainsi qu’une haute
position dans l’armée. De plus, il aimait lire et écrire, donc il incarnait des valeurs nobles qui lui
interdissent de tomber dans le grotesque.

Cyrano est inspiré d’une personne réel du XVIIe siècle français, qui était aussi un militaire, mais
qui avait décidé de se retirer pour écrire des romans de voyages, entre autres. Donc, à partir
de cette personne réel on a créé le personnage fictif.

RESUMÉ :

Cyrano devient amoureux de sa cousine, Roxane, mais elle ne lui aime pas. Donc, comme il est
très honorable, il décide de l’aimer dans la solitude (amour courtois). Roxane est amoureuse
dans soldat ami de Cyrano. Alors, ce soldat essaie de la conquérir mais ce qu’elle aime sont les
lettres, donc Cyrano aide son ami pour la conquérir. Néanmoins, un jour, dans une guerre le
soldat meurt, et Roxane douloureuse décide de se retirer dans un couvant où elle passe le
reste de ses jours en recevant la visite de Cyrano de temps en temps.

Un jour, Cyrano est blessé dans une bataille, et comme il pense qu’il va mourir il visite Roxane,
sans lui dire rien. Donc, ils parlent pour la dernière fois, mais elle n’arrête pas de penser au
soldat (son époux), elle-même sort la lettre qu’il lui avait écrit. Mais, comme l’auteur avait était
Cyrano, il se souvient de tout ce qu’il avait écrit et il commence à dire les paroles. Mais, quand
Roxane se rend compte qu’il avait était lui qui avait écrit cette lettre, Cyrano meurt.

GENRE :

Alors, cette pièce montre une atmosphère épique et exalte l’héroïsme. Il est très pareil aux
comédies héroïques de Corneille. Le protagoniste se trouve toujours entre l’honneur et
l’amour, et il doit décider entre les deux, même si la plupart de fois c’est l’honneur qui gagne.
Néanmoins, cette œuvre fut aussi considérée comme une drame romantique. Ces drames
mélangent beaucoup des genres, et de registres (soutenu et plus familier). On ne respect non
plus les règles de l’unité de temps et lieu, on respecte seulement l’unité d’action. Cyrano
ressemble beaucoup à Quasimodo, car d’une part il a une déformation physique qu’inspire le
grotesque, mais d’autre part on trouve l’honneur de soldat, l’amour… Il y a toujours une
idéalisme dans cette pièce de théâtre. En plus, on remarque que Cyrano est capable de
triompher par sa force, mais il finit toujours par gagner par ses mots, à cause de cela on
découvre son génie qui lui permet de triompher par la parole et pas seulement par l’épée.

De plus, on trouve dans cette pièce une sorte de préciosité (qui voulait se mettre toujours à
l’écart de ce qui est vulgaire) : Triomphe des valeurs nobles et pures ; Conception de l'amour
pur ; Refus de la vulgarité.
 THÉATHRE DE BOULEVARD
Il s’agit d’un genre qui triomphe à la Belle époque. On l’appelle comme théâtre de boulevard
parce qu’ils étaient des pièces de théâtre représentés dans des salles qui se trouvaient dans les
grandes boulevards (quartier de Saint-Germain ; Saint Antoine).

Ce type de théâtre est une comédie, légères dans la plupart des cases, car à cette époque le
public voulait s’amuser, donc le théâtre s’adaptait aux loisirs caractéristiques de la Belle
époque. On représentait les mœurs bourgeoise et la vie quotidienne de la bourgeoise. Ce qui
faisait rire était les scènes de ménages, l’adultère. Il s’agit des satires et parodies de la
bourgeoisie. Les dramaturges principales de théâtre étaient : Maurice Donnay ; Alfred Capus ;
Henri Lavedan ; Abel Hermant.

En ce qui concerne les personnages :

Hommes : la plupart d’eux sont oisifs, car ils appartiennent à l’haute partie de la noblesse, au
monde de richesses. On voit représenté le monde frivole. Son seul occupation est de voyager
et de séduire des femmes (la femme doit se laisser séduire, la plupart de fois il s’agit des
femmes mariées, ou bien des jeunes filles). Ils sont représentés comme des joueurs de casino,
comme des gros banquiers.

Femmes : on trouve d’une part les « femmes entreteneurs » : des cocotes, des joueurs de
casino, des profiteurs de banquiers. D’autre part, on trouve les femmes qui effectuaient des
travaux à la mode : des floristes, des employées de poste, etc.

Les thèmes principales sont :

- L’argent et l’ascension social


- L’amour : est presque le thème principal. On voit des hommes amoureux qui ne
pensent qu’à lui. Ils sont égoïstes et cyniques car ils veulent conquérir n’importe quelle
femme. Mais, le coté plus noble on le trouve dans le femmes, qui se débattent entre
les tentations de l’amour et le sentiment de l’honneur. La femme est toujours la
coupable, tandis que l’homme peut avoir beaucoup d’aimants. Donc, l’inégalité de
sexes est très bien représentée dans ces pièces.

 VAUDEVILLE
Ils sont des pièces comiques qui héritent beaucoup de la farce. À l'origine c'était une comédie
entrecoupée de chansons et de ballets. Au XXe s. Il se débarrasse de ces chansons et se définit
comme une comédie sans prétentions psychologiques ni morales, il développe un comique de
situations et il est caractérisé par l'ingéniosité de l’intrigue : coups de théâtre imprévus et
l'abondance de quiproquos. Il a un grand sens du comique verbal et il montre un art de la
caricature. Comme dans le théâtre de boulevard, les dramaturges font la satire de la famille
bourgeoise et des mœurs bureaucratiques.

En ce qui concerne les représentants de ce type de théâtre, on remarque :

- Georges Feydeau : Il fait la satire de la famille bourgeoise et de la médiocrité


bourgeoise. Il recrée des personnages médiocres aux désirs élémentaires (plaisir
adultère, ambition, intérêt) qui se trouvent au centre d'un imbroglio qu'ils ont créé de
leurs propres mensonges. Le comique est très élaboré : quiproquos, comique des mots
et de situations. Ses œuvres les plus importantes sont : « Tailleur pour dames » ; « On
purge bébé ! » ; « Un fil à la patte » ; « La dame de chez Maxim » ; « La puce à
l'oreille ».

- Georges Courteline : Il fait la satire des : Petits fonctionnaires : incapables et


paresseux maniaques d'un règlement absurde. Soumis à un horaire, à la routine,
esclave d'un travail médiocre : « Monsieur Badin » ; Militaires : Le gendarme est sans
pitié ; La Justice : « Les balances » ; La femme : dans « Boubouroche ».

 UBU ROI
Alors, dans le domaine théâtral on trouve aussi un précurseur de l’avant-garde, qui annonce le
théâtre de l’absurde, il s’agit de Alfred Jarry avec son œuvre « Ubu roi ». Sans lui et son œuvre
on ne peut pas comprendre les avant-gardes suivantes comme le surréalisme.

Le personnage de Ubu fut inspiré par un professeur de physique : M. Herbert. Il était un


homme gros, ridicule et grotesque. Il était un homme médiocre et faible. Il fut un mouchard,
car il dénonça quelques communards de Limoges. Son dossier académique montrait de
nombreux changements de lycée inexplicables. Alors, les élèves se moquaient de lui et même
deux d’eux s’inspirent de lui pour créer le protagoniste (P.H) d’une farce qu’ils avaient écrite. Il
s’agissait d’une farce à marionnettes donc le titre était « Les Polonais ».

Alors, Jarry arrive au lycée à Reims, et il est très bien accueilli par le group de théâtre, donc il
va connaître cette pièce de théâtre qui lui a fasciné dès le premier moment. Donc, il demande
aux frères pour acquérir la farce comme sienne, et ils lui disent oui. Alors, Jarry se l’approprie
et à partir d’elle il crée « Ubu roi » à Paris tandis qu’il continue avec ses études.

Le protagoniste de Jarry même s’il est inspirée du professeur de physique, est maintenant
appelé comme le père Ubu, et il avait un aspect physique drôle et grotesque. De plus, Jarry
décide de l’appeler comme ça parce que « Ubu » ressemble au mot « obus », et donc son
aspect physique ressemblait beaucoup à ce type des armes de guerre explosif. Or, le nom se
ressemble aussi aux autres mots comme « hibou », « ovum », ou même « urubu ». Mais, il
n’avait pas seulement un gros corps, sa tête était assez petite donc cela montre que le
personnage incarne la bêtise, il se laisse guider par les instinct, le personnage ne pense qu’á la
nourriture. Or, il y a des autres désirs que lui dominent en montrant la partie la plus viscéral de
lui.

La pièce de théâtre fut représentée pour la première fois en décembre 1968 au théâtre Lugne
Poe qui était célèbre pour représenter des œuvres avant-gardistes qui escandalisaient.

INTRIGUE : Ubu roi veut devenir roi de Pologne. Mais, Pologne avait un roi despotique. Alors,
un jour Ubu décide d’usurper le trône. Il massacre les rois réels de Pologne, ainsi que ses
descendants. Cependant, un d’eux s’en fuit et un jour il retourne pour reconquérir le trône des
mains d’Ubu roi.

L’ancien roi était despotique, mais Ubu roi devient aussi tyran car il doit satisfaire ses désirs
coute que coute. Alors, on dit qu’il est un usurpateur qui règne en tyran. Ubu est toujours
appuyé par son épouse : Mère Ubu, qui est même plus intelligente que lui, et elle arrive même
à manipuler le manipulateur.
Rien du personnage de Ubu roi est humain, ni sont aspect physique, ni ses instincts.

PARODIE : Ubu roi n’arrête pas d’être un parodie. On dit qu’il parodie Macbeth, ainsi que
quelques drames romantiques qui se fait tangible à travers des quelques scènes macabres. De
plus, il parodie aussi les épopées en représentant des scènes de batailles, politiques… Mais,
toujours, ces scènes font rire, donc c’est pour cela qu’on parle des parodies du théâtre
précèdent.

On voit même une parodie de la tragédie de l’Antiquité classique « Œdipe roi ».

INNOVATIONS : La première innovation on la trouve dans la rupture de l’anthropomorphisme


qui avait caractérisé le théâtre français jusqu’à là. Le personnage n’a pas de fond
psychologique, il est comme une marionnette de carton. Mais, il incarne tous les défauts de
l’être humain, en contraposition avec son infatigables désirs représentés par son gros ventre et
son infinie nombril.

Le dramaturge ruine « l’illusion du réel », comme chez Proust et Gide. Pour nous comme
spectateurs il nous est impossible de nous représenter avec les personnages. De plus,
l’utilisation de masques renforce ce phénomène de distanciation du public et des personnages.

De plus, il y a aussi de subversion linguistique. Ubu roi ne parle pas comme les humaines, il y a
tout un dictionnaire nouveau, dans lequel on déforme la langue française, on crée tout un
vocabulaire « ubuesque ». Jarry fait des transgressions même des mots en ce qui concerne par
exemple quelques objets, les parties du corps, les jurons…

Au niveau scénique, l’espace scénique rompe aussi avec l’illusion de réalité sur la scène. Tandis
qu’au théâtre du XIXe on trouve des objets pour nous situer dans l’action, Jarry fait tout le
contraire. Le décor est presque vide et assez obscur. En outre, les acteurs ne portent plus les
costumes qui puissent les identifier avec un contexte ou une époque, les costumes sont
maintenant plains et sans couleur. On ne trouve non plus de tramp-d ’œil pour représenter la
réalité. Pour indiquer le passage d’un espace à un autre on utilise des pancartes portés par un
acteur, et que le spectateur soit capable de savoir où le scène se déroule. De plus, il y a des
personnages qui représentent des écus des héraldiques français.

Alors, tout cela donne une illusion du fictif, de quelque chose qui n’est pas du tout réel, qui
nous éloigne de la réalité et c’est juste cela ce qu’on cherche. On met en question le concept
de réalité comme vérité absolue (les peintures cubistes de Picasso, ainsi que tous les autres
œuvres avant-gardistes). Derrière l’irréel est finalement l’artiste qui s’exprime, qui exprime ses
idées, ses pensées, etc. À partir de maintenant le narrateur ne dissimule pas, ne se cache pas, il
montre qu’il est qui raconte l’histoire complètement irréel.

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LA POÉSIE DE LA BELLE ÉPOQUE


La Belle époque fut la période de la chute du positivisme, on a de moins en moins confiance à
la raison. C’est l’époque où se publie la « théorie de la relativité » d’Einstein, ainsi que
« l’Interprétation des rêves » de Freud. Alors, tout le concept de réalité objective, logique et
raisonnable tombe. En ce qui concerne l’art, le fauvisme (chromatisme antinaturel qui nous
éloigne de la réalité ; exprimer de manière subjective les couleurs de la réalité à chaque
moment ; exprimer des sentiments, pas représenter la réalité objectivement ; rupture avec les
normes classiques), l’expressionisme (donne de l’importance à la subjectivité, aux sentiments
comme l’angoisse, la solitude, la souffrance, etc.) et le cubisme (peinture qui provienne du
cerveau de l’auteur, les images représentées n’existent dans la réalité, seulement dans l’esprit
de l’auteur ; un même objet est perçu des angles différentes, juxtaposés, à l’esthétique du
collage ; il n’y a pas de profondeur ni de perspective ; on rompe avec l’art figurative ; et ils sont
des œuvres complètement inventées) se sont développés comme les principales mouvements
picturaux. Le cubisme a vraiment influencé la poésie avant-gardistes, surtout celle
d’Apollinaire.

On verra les influences du cubisme dans la poésie avant-gardiste, surtout chez Apollinaire, en
ce qui concerne

- le refus de ce qui est figurative pour représenter la réalité.


- Après on trouve l’adoption du collage et les différents points de vue.
- En plus, on ne doit pas imiter ni reproduire l’art qu’existe déjà, les avant-gardistes
devaient faire des créations innovateurs. Finalement, on trouve l’importance de la
subversion du langage.
- Poètes : Apollinaire, Blaise Cendrars, Max Jacob Marinetti : le thème de la poésie
change complètement, il va être la modernité parce qu’est une époque moderne
- Poésie graphique que représente le mouvement de l’agitation pour exprimer de
sentiment que le poète a à cette époque (poésie plastique)
- Célébration des emblèmes du monde moderne.

FUTURISME
On remarque la figure de Marinetti comme fondateur du futurisme. Tandis que dans la poésie
du romantisme on devait exprimer les sentiments du poète, maintenant, la poésie va se
centrer dans les thèmes modernes. Elle devienne une célébration des emblèmes du monde
moderne. Ainsi, tout ce qui est moderne, comme les automobiles, l’aéroplane, peuvent
devenir l’objet des poèmes. Alors, c’est la poésie futuriste de Marinetti qui commence à faire
cela. Cette poésie qui est assez graphique et est le précurseur des calligrammes.

Caractéristiques qui s’expriment :

- Audace et révolution : éléments essentiels de la poésie : rupture avec le passé, avec la


tradition, avec tout ce qui incarne le passé. Rupture totale avec l'art du passé
(pasadisme).
- Culte de la modernité, de la vie contemporaine, basé sur ses deux thèmes dominants
culte de la modernité il met les deux éléments qui définissent la vie moderne :
- La machine
- Le mouvement deux thèmes artistiques qui vont le champ artistique

- L'adhésion au fascisme : vocation hermétique et culturelle qui comprend tous ces


aspects est le paradoxe. Cette évolution existe et est un parallélisme. Mouvement
idéologiquement lié au fascisme.
- Éloge de la guerre
- Misogynie
- Veut rompre avec l'héritage culturel et continue à s'exprimer de manière
traditionnelle.
- Célébration de la modernité des progrès de l'industrialisation, du développement
économique, des grandes innovations

Caractéristiques de la forme et de l'esthétique d'un texte futuriste


- Détruire la syntaxe en disposant les adjectifs au hasard : pas de syntaxe il faut disposer
les adjectifs
- Utilisez la préférence du verbe à l'infinitif pour l'infinitif
- Abolir l'adjectif suppression de l'adjectif
- Suppression des conjonctions
- Utiliser à la place des signes mathématiques (+ - x =) ; préférer cet usage aux
conjonctions.
- Abolir la ponctuation préconiser la suppression de la ponctuation
- Destruction de la littérature du "moi" (psychologie, lyrisme) expression lirique du moi.
Ne doit jamais exprimer dans un texte futuriste de mesage psychologique et lirique.

APOLLINAIRE (1880-1918)
Apollinaire est une Polonaise exilée en France donc il s’agit de que sa famille (sa mère) incarne
une figure d’émigré. Apollinaire est un étranger, fugitif, sans racines

- Cosmopolitisme
- Revendique son status d’émigrant, apatride, bâtard, métèque
- La question de l’identité lyrique

René Dupuy est son amie fidèle de l’école religieuse, ici nous pouvons souligner qu’ici la
thématique principale est la religion avec un dépendance à le ferveur religieuse (fervor
religioso)

Ce caractère dépendant est reflété sur Le vengeur (espíritu independiente) c’est développé à la
fois avec le religieux et est le résultat d’un amour contradictoire. Finalement il reste à Paris
mais il n’a pas d’argent, donc il est un véritable métèque.

À París il va a travailler comme récepteur d’une dame qui s’appelle Mlle Gabrielle Milhau.
Comme il est un récepteur de sa famille, il va aller à Allemagne avec la famille. Milhau, donc ce
voyage inspire un type de poème qui s’appelle Rhénanes.

Dans cette époque-là, comme récepteur il va faire la connaissance d’une femme anglaise qui
s’appelle Annie qui es la gouvernant de la famille et il est tombe de amoureux dans cette
femme. Donc il décide de faire un voyage à Londres à demander la main de Annie.Mais quand
il arrive là, il va être refusé par la fille. Apollinaire va être très tourmenté après ça car c’est une
expérience tourmenteuse. Cet amour n’est pas réciproque. Il a besoin d’exprimer tous ses
émotions dans le poème La chanson du mal aimé.

Depuis de cette expérience tourmenteuse, Il commence à participer a tous les mouvements de


la avant-garde. Il élabore avec Picasso l’esthétique cubiste. Il va avoir d’autres amoures avec
Marie Laurencin (elle est un Paint de l’époque), donc il va vivre une vie bohémienne et très
proche de avant-gardes. Apollinaire comme un critique de l’art :

- Avant : articles sur Picasso, Braque, Douanier Rousseau


- Défense des cubistes : Méditations esthétiques. Les peintres cubistes (1913)

- Antitradition futuriste. Manifeste-synthèse (1913) : un geste ambigu de proximité avec


l'avant-garde italienne.

Apollinaire participe à la Première Guerre Mondial. Depuis il connait une femme Louise
Coligny. Cette femme va à inspirer le poème (poème à Lou) ou il écrit la figure de la femme
coquète et capricieux.

Finalement il fut blessé dans sa tête, et grâce à sa blesse, il va continuer a écrit le poème (Les
mamelles de Tirésias) caractérisé par une pièce traumatique que décrit un personnage qu’est
forcé à changer de sexe, ça veut dire qu’elle veut être un homme. Écrit dans l’époque, est le
premier manifeste féministe. Mais en même temps que se changé du sexe, son marie se
transforma en une femme à la fois, voilà Il y a un homme qu’est capable de procrée plusieurs
d’enfants.

 1917 : appel public du Surréalisme

- Programme du ballet Parade (Satie, Picasso, Cocteau)

- Les Mamelles de Tirésias (théâtre)

- L'esprit nouveau (conférence)

Comment Apollinaire et Picasso furent accusés du vol de La Joconde (mona lisa) Les
statuettes ibériques que Pierret avait vendues à Picasso par l'intermédiaire d'Apollinaire sont
les mêmes que celles qui ont été volées avec la Mona Lisa. La police est alertée mais Pierret
quitte Paris précipitamment avant qu'elle ne puisse s'inquiéter. Apollinaire se rend compte
qu'il a caché des pièces volées et informe Picasso de la situation. Après avoir hésité toute la
nuit sur le sort des deux statuettes en possession du peintre, ils décident de les ramener au
Journal de Paris. Les deux artistes ont été arrêtés. Complice de vol, emprisonné à la Santé (À la
Santé (poèmes d'Alcools))

C'est une époque qu'il va faire une conférence qui s'appelle l'esprit nouveau ici aussi il s'est
inspiré dans 1918 sur des calligrammes, à partir de 1918 il arrive la grippe espagnole, et il se
enfermé et terminé mort.

- La thématique de l’amour malheureuse


- L’inspiration de la culture Allemagne
- La thématique de l’étrangère
- La thématique d’un homme mec, de cosmopolitisme, de l’immigré, du
bâtard 
- Tout ce thème est une question d’identité de Apollinaire

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