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1 Suites

numériques
1 1. u0 = 5 + 10 = 5
u1 = 5 + 11 = 5 + 1 = 6
v1 = 5 + 2v0 = 5 + 416 = 5 + 4 = 9
v2 = 5 + 2v1 = 5 + 19 = 5 + 3 = 8
2.

3.

2 On a w0 = –2 et wn + 1 = n + 2wn. En effet,
le rang du terme précédent wn + 1 est n et le
terme précédent wn + 1 est wn.
On a donc w1 = 0 + 2w0 = –4.
w2 = 1 + 2w1 = 1 – 8 = –7.
w3 = 2 + 2w2 = 2 – 14 = –12.

3 1. un = u0 + nr = 48 – 3n
u10 = 48 – 3 × 10 = 48 – 30 = 18
2. On cherche n tel que un , 0.
un , 0 ⇔ 48 – 3n , 0
⇔ 3n . 48
⇔ n . 48
3
⇔ n . 16
Le premier terme de la suite est négatif
lorsque n = 17. On a u17 , 0.

4 On a vn = v1qn – 1 = 7 × 2n – 1.
v8 = 7 × 27 = 896

5 1. On note vn le nombre d’habitants au


bout de n années. On a v0 = 8 500.
On a alors vn + 1 = 0,93vn pour tout n.
La suite (vn) est une suite géométrique de
premier terme 8 500 et de raison q = 0,93.
L’expression explicite de cette suite géomé-
trique est alors vn = 8 500 × 0,93n.
Au bout de 5 ans, le nombre d’habitants
de cette ville sera v5 = 8 500 × 0,935 ≈ 5 913
arrondi à la personne.
2. On cherche n tel que v n = 8 500 soit
2
vn < 4 250.
En utilisant un tableur ou une calculatrice, on
trouve qu’à partir de n = 10, vn , 4 250.
Donc au bout de 10 ans, le nombre d’ha-
bitants aura été divisé d’un peu plus de la
moitié.

6 S = 18 + 19 + … + 100
On calcule S = 1 + 2 + … + 100 – (1 + 2 + … + 17)
= 100 × 100 + 1 – 17 × 18
2 2
= 5 050 –153
= 4 897
2 10
( ) ( )
3
S’ = 1 + – + –
2
3
2
+…+ – ( )
3
2
S’ est la somme des 11 premières puissances
( )
de – 2 .
3
1 – , avec q = – 2 ,
11
On a donc S’ = q
1–q 3
11
( )
1– – 2
⎛ 11⎞
donc S’ =
1+ 2
3 3
= ⎜⎜1 – –
5 ⎜⎝ ( )
2
3 ⎟⎠
⎟⎟.
3
7 1. (un) est une suite arithmétique de raison
–5.
Elle est donc décroissante pour tout entier n.
2. On calcule u n + 1 – u n pour tout entier
naturel n :
un + 1 – un = 2n.
Or 2n > 0, donc un + 1 – un > 0 pour tout n, donc
la suite est croissante pour tout entier n.
3. (un) est une suite géométrique de raison
1 et de premier terme u = –2.
3 0

La suite de terme général (qn), avec q = 1 ,


3
est décroissante, car –1 , q , 1.
Comme u0 , 0, la suite (un) a le sens de varia-
tion contraire de la suite de terme général (qn).
La suite (un) est donc croissante.

8 La suite représentée par le schéma a


semble avoir pour limite le réel 2.
La suite représentée par le schéma b semble
avoir pour limite +`.
La suite représentée par le schéma c ne
semble pas avoir de limite.

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