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LP 

: Management Bancaire et Financier


M 06 : Management Du Capital Humain
Résumé : Homo Deus

Encadrée par : M. Imane Charhaddine

Réalisé Par : Nouh Benhmed

Année universitaire : 2022 - 2023


Sommaire

I. Introduction
II. Auteur
III. Contenu de l’ouvrage
IV. Le point de vue de Yuval Noah Harari
V. Homo Deus Résumé
VI. Homo Deus Signification
VII. Les principales Préoccupations De L’humanité
VIII. Nos préoccupations de ces dernières années
IX. Ennemies De L’écosystème
X. Hier Et Aujourd’hui 
XI. L’illusion De La Vie Eternelle
XII. La Science Et L’âme humaine
XIII. Animaux Et Homo Sapiens
XIV. Histoire Et Mythologie
XV. Changer Les Perceptions
XVI. Le Schéma Universel
XVII. Etre humain
XVIII. Liberté Individuelle
XIX. L’utilité De La Religion
XX. Religion Et Technologies
XXI. Le Dataisme De Notre Avenir
I. Introduction :
Homo Deus : Une brève histoire de l'avenir est un livre de Yuval Noah Harari publié pour
la première fois en hébreu en 2015. Traduit en plusieurs langues, il est publié en
traduction anglaise en 2016 et en française aux éditions Albin Michel en septembre 2017.

Date de publication
originale : 2015

Auteur : Yuval Noah
Harari

Langue originale : Hébreu

Genre : Essai

Langue : Hébreu Anglais

Lieu de parution : Paris

II. Auteur :
Yuval Noah Harari, né le 24 février 1976 à Kiryat-Ata en Israël, est un historien et
professeur d'histoire à l'université hébraïque de Jérusalem, il est l'auteur du best-seller
international Sapiens : Une brève histoire de l'humanité et de sa suite Homo Deus :
Une brève histoire de l'avenir.

Date/Lieu de naissance : 24
février 1976 (Âge: 46 ans), Kiryat-
Ata, Israël

Enseignement : Jesus College


(1998–2002), PLUS

Époux : Itzik Yahav

Nominations : Goodreads Choice


Awards Best Graphic Novels &
Comics, Goodreads Choice Awards
Best Nonfiction

Nom dans la langue maternelle :


‫יובל נח הררי‬

III. Contenu de l’ouvrage :


Dans Homo Deus, Yuval Noah Harari se propose d'explorer
l'avenir de l'humanité et les prochaines étapes possibles en tant
qu'espèce. Il examine également nos liens avec l'évolution.

Pour ce faire, il examine nos trajectoires passées et actuelles et


en déduit la direction que nous pourrions prendre. Bien qu'il
propose plusieurs avenirs potentiels pour nous, il est clair que la
seule chose dont nous pouvons être sûrs est le changement et
beaucoup de changement.

IV. Le point de vue de Yuval Noah Harari

Avec Homo Deus, le Dr Harari suscite une réflexion profonde


sur notre histoire. Il éclaire également l'avenir de notre société.
Si vous avez lu Sapiens par Yuval Noah Harari vous savez que
l'écriture de l'auteur est centrée sur ses études des analyses et
des faits historiques.

Le Dr Yuval Noah Harari est professeur à l'Université


hébraïque de Jérusalem. Le professeur Harari est spécialisé
dans l'histoire militaire et médiévale. Il est également
philosophe et auteur de best-sellers.

V. Homo Deus Résumé

Dans le livre Homo Deus du Dr Harari, l'auteur examine les


approches passées et futures de l'évolution. Il explore ce qui se
passe lorsque la mythologie fusionne avec la technologie de
pointe. Il couvre également les menaces imminentes du
libéralisme.
Le docteur spécule également sur un plan cosmique plus vaste.
Dans ses spéculations, il donne un aperçu de l'avenir et de la
technologie. Dans le futur, la religion du Dadaïsme remplacera
les croyances traditionnelles en créant le Home Deus.
VI. Homo Deus Signification

"Homo" est le terme latin pour les humains, et "Deus" est le


terme latin pour Dieu. Homo Deus traite des capacités acquises
par les humains au cours de l'existence. Il englobe également
notre évolution en tant qu'espèce dominante.

Dans Homo Deus, le Dr Harari décrit nos capacités et nos


réalisations actuelles. Il spécule également sur sa vision de la
société du futur. Dans son texte, il aborde des questions
philosophiques comme l'individualisme, l'humanisme, le
transhumanisme et la mortalité.
VII. Les principales préoccupations de l'humanité
De tout temps, la société a eu trois préoccupations
majeures. Ces préoccupations sont :

- Épidémies
- La famine
- La guerre

Les humains ont continuellement prié leurs dieux à propos de


ces questions. Ils ont également créé des systèmes sociaux et des
outils pour faire face à ces problèmes. Néanmoins, les humains
continuent de périr à cause de ces mêmes problèmes.

De nombreux prophètes et intellectuels affirment que ces trois


problèmes font partie du plan de Dieu pour l'humanité. De plus,
ils affirment qu'ils ne disparaîtront pas.

Alors que la société entre dans le troisième millénaire, nous


sommes devenus plus aptes à contrôler ces périls. Nous ne les
avons pas éliminés, mais ils sont devenus plus faciles à gérer.
VIII. Nos préoccupations de ces dernières années :

La croissance économique, technologique et politique a fourni à


l'humanité un filet de sécurité tout au long du siècle dernier. Elle
nous a protégés de la pauvreté.

Dans certaines parties du monde, la famine existe encore.


Cependant, elle est rare.

Le plus souvent, la famine est due à de mauvaises politiques


plutôt qu'à des forces naturelles. En fait, la suralimentation est
un problème de société bien plus important que la famine. Les
chercheurs prévoient que plus de la moitié de la population
mondiale sera en surpoids d'ici 2030.

De plus, nous sommes devenus plus vulnérables aux maladies


infectieuses au cours du siècle dernier. Pourtant, les épidémies
ont considérablement diminué grâce à l'amélioration de la
médecine et de l'hygiène.
IX. Ennemis de l'écosystème :

Depuis les années 70, la société est de plus en plus consciente


des problèmes écologiques. Depuis lors, les populations
d'animaux sauvages ont diminué de 50%.

De nombreuses personnes pensent que les animaux domestiques


sont mieux lotis que ceux qui vivent à l'état sauvage. Pourtant,
ils subissent le même sort, qu'ils vivent dans un environnement
domestique ou naturel.

La société a pris le contrôle des animaux domestiques. Ce


faisant, elle a négligé leurs besoins fondamentaux et leurs
sentiments.

Les mammifères ne peuvent pas vivre uniquement de leur


subsistance. Ils ont également besoin d'un engagement
émotionnel.
X. Hier et aujourd'hui :

Les habitants de la Chine, de l'Égypte et de la Rome antiques


n'avaient qu'une connaissance de base des sujets scientifiques.
Ces sujets comprennent la chimie, la biologie, l'épidémiologie et
la zoologie. C'est pourquoi leur capacité à gérer les animaux et
les maladies était limitée.

Aujourd'hui, la science moderne a révélé ses secrets. Les


antibiotiques, la climatisation, les pesticides et les vaccins ont
modifié notre relation avec l'écosystème. Aujourd'hui, l'homme
peut remplir des cages avec du bétail pour produire de la viande
et du lait.

Récemment, cependant, les gens ont commencé à reconsidérer


notre relation avec les animaux. En conséquence, la façon dont
nous nous engageons avec les animaux a fait l'objet de critiques
considérables. Les critiques estiment que l'abattage d'animaux
équivaut à l'exploitation et à la mise à mort d'êtres humains par
des machines parce qu'ils ont moins de valeur.

À ce stade, la société a moins à craindre en matière de


catastrophes naturelles. Cependant, la société elle-même est une
menace tangible.

Au fil du temps, l'homme a modifié l'écosystème de manière


irréversible. Les dégâts laissés derrière eux sont pires que
l'impact qui a anéanti les dinosaures.

XI. L'illusion de la vie éternelle :

En tant qu'Homo sapiens, il ne fait aucun doute que nous


sommes l'espèce la plus forte et la plus intelligente du monde.
Nous sommes supérieurs à toutes les espèces, et nos vies ont plus
de valeur que celles des animaux.

En tant qu'humains, nous avons aimé nous convaincre que nous


avions une étincelle unique. En d'autres termes, nous avons une
caractéristique supérieure justifiant un statut privilégié.
Traditionnellement, les monothéistes croient que seuls les
humains ont une âme éternelle. Nos âmes vont vers la
rédemption ou la damnation. Pendant ce temps, le corps se
décompose.

En même temps, les monothéistes ne croient pas que les animaux


aient une âme éternelle. Quand ils expirent, ils deviennent rien.

Le concept de l'âme perdure dans nos systèmes économiques,


juridiques et politiques. Pourtant, il n'y a aucune preuve
scientifique pour soutenir cette croyance.

XII. La science et l'âme humaine :

La science conteste la réalité de l'âme humaine. Tout d'abord, il


n'existe aucune preuve de l'existence des âmes. De plus, le
concept de l'âme contredit les principes de l'évolution.

Seul un petit pourcentage des Américains interrogés croit que


les humains ont évolué par sélection naturelle et sans
intervention divine. Aujourd'hui, les écoles enseignent à peine
l'évolution. Pourtant, les défenseurs de la religion préfèrent que
les écoles n'enseignent pas du tout le sujet.

L'évolution réfute le concept selon lequel l'âme est éternelle. Les


créationnistes croient également que l'âme est immuable.

Le changement constant est un élément clé de la théorie de


l'évolution. Par conséquent, l'évolution ne peut pas créer
d'entités éternelles.

XIII. Animaux et Homo Sapiens :

Les animaux vivent dans la dualité. Ils ont conscience de leurs


expériences et de leurs sentiments. Par exemple, ils éprouvent
des émotions comme la peur, le désir et la joie.

Cependant, les humains ont une triple réalité. Ils ont des désirs
et des sentiments et possèdent des choses matérielles. La vie d'un
humain est aussi faite de dieux, d'argent et d'autres éléments.

XIV. Histoire et mythologie :

Dans le passé, les agriculteurs nourrissaient des milliers de


villes et d'armées. Ils préservaient les mythes en transmettant les
histoires de bouche à oreille de génération en génération.
Souvent, les agriculteurs injectaient leurs propres idées dans les
histoires de leurs dieux.
Par exemple, les Égyptiens considéraient le pharaon comme
plus qu'une figure divine. Le pharaon était un véritable dieu.

Dans leur esprit, cependant, le véritable maître du Nil était un


pharaon imaginaire. Ce pharaon vivait dans les légendes
répandues entre les Égyptiens.
Avant l'apparition de l'écriture, les histoires des peuples étaient
aussi longues que la capacité de mémorisation de chacun.

Avec l'écriture, cependant, nous pouvons préserver des histoires


longues et complexes. Cette capacité a permis l'organisation de
communautés entières de manière algorithmique.

XV. Changer les perceptions :

Dans la société, les histoires sont le fondement de nos


croyances. Au fil du temps, les histoires de nations et de dieux
ont acquis une immense popularité. A tel point qu'elles ont
commencé à dominer la réalité objective.

Les humains ont concentré leurs efforts sur la glorification de


ces entités imaginaires en raison d'une foi aveugle. Certaines
personnes, cependant, pensent que la science forme un autre
type de mythe. Ils pensent que la foi des gens en la science est
comme l'ancienne croyance des sociétés en des dieux.

Pourtant, la science est plus qu'un pont entre les gens. Dans la
religion, les gens croient que Dieu aide ceux qui s'aident eux-
mêmes. En d'autres termes, Dieu n'existe pas, mais la foi pousse
les gens à accomplir des choses.

Inversement, la science aide même ceux qui choisissent de ne


pas s'aider eux-mêmes. Elle peut guérir les maladies, que
quelqu'un y croie ou non.

XVI. Être humain :

La modernité confère des pouvoirs aux humains. Ils


peuvent rejeter les régimes communs sur laquelle la plupart des
gens comptent pour trouver un sens. Pourtant, il est impossible
de maintenir l'ordre sans sens.

Les systèmes artistiques, religieux et politiques modernes ont


tenté de trouver un sens plus profond à la vie. Pourtant, ils
s'éloignent des schémas cosmiques.
Il n'y a personne qui contraigne le pouvoir de l'humanité.
Pourtant, ils restent convaincus que leur vie a un sens profond.
Au cours des derniers siècles, l'humanisme a donné un sens à
des vies sans but. Il fait la guerre à l'humanité, celle-ci jouant le
rôle de Dieu. Pourtant, il ne soutient pas la perte de la foi en
Dieu mais plutôt le gain de la foi en l'humanité.

XVII. Liberté individuelle :

La science n'est pas une étude de la valeur. Elle ne peut pas


définir si le libéralisme a raison de donner de l'importance à la
liberté plutôt qu'à l'égalité. La science ne peut pas non plus
considérer l'individu plutôt que le collectif.
Contrairement au libéralisme, la religion fonctionne sur ce
qu'elle considère comme des faits et une pensée abstraite. Ces
croyances ne résistent pas à la science.

Les libéraux accordent une grande importance à la liberté


individuelle. Ils sont certains que les humains jouissent du libre
arbitre.
Le libéralisme encourage les gens à faire ce qui les fait se sentir
bien et à suivre leur passion.

Cependant, la science raconte une histoire différente.


Au lieu du libre arbitre, les chercheurs mettent en avant les
hormones, les gènes et les neurones qui suivent des lois
biologiques. De cette manière, la science entre en conflit avec le
libéralisme.
XVIII. L'utilité de la religion :

Les religions du futur ne viendront pas des grottes ou des écoles


religieuses comme dans le passé. Les prochaines religions, selon
le Dr Harari, viendront des laboratoires de recherche.

Bientôt, des religions scientifiques pourraient émerger et devenir


dominantes. Elles pourraient promettre la rédemption par la
biologie et la technologie.

Aujourd'hui, le christianisme et l'islam sont très populaires.


Cependant, la Silicon Valley suscite autant d'intérêt que ces
religions.

Aujourd'hui, les chercheurs promettent de répondre aux besoins


des gens grâce à leurs révélations. Les gens pourraient trouver
la paix, la vie éternelle et le bonheur grâce à la technologie, ce
que les gens recherchaient autrefois dans la religion.

XIX. Religion et technologie :


Contrairement à là le concept de minimalisme numérique le
dataïsme est une nouvelle école de pensée religieuse. C'est une
religion de données.
Cette croyance soutient que l'univers est constitué de flux de
données. La valeur de chaque événement ou entité varie en
fonction de ce qui contribue au traitement des données.

Le dataïsme est issu des travaux de Charles Darwin et d'Alan


Turing. Il soutient que les règles mathématiques s'appliquent
aux algorithmes biochimiques et électroniques. Par conséquent,
le dataïsme supprime toutes les barrières entre les animaux, les
personnes et les machines.

XX. Le dataisme et notre avenir :

Les scientifiques et les intellectuels estiment que le dataisme est


une vaste théorie qui couvre toutes les disciplines scientifiques.
Il donne aux chercheurs un langage unifié et élimine les clivages
académiques.

Il supprime également les frontières disciplinaires des


découvertes. En outre, le dataisme inverse la pyramide
d'apprentissage standard.

Ceux qui croient au Dataism affirment que la société ne peut


plus gérer son flux massif de données. Par conséquent, elle ne
peut plus en tirer des informations ou des connaissances.

La biologie et l'informatique servent de base au Dataisme.


Cependant, la biologie est la partie la plus importante de la
discipline. L'adoption du Dataism par la biologie peut conduire
à un changement radical de la nature de la vie.

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