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les circonstances qui determinent la

solidarité

les circonstances qui déterminent la cause se varie alors on trouve la pauvreté :

La pauvreté : Selon l'usage le plus courant, la pauvreté caractérise la situation d'un individu


qui ne dispose pas des ressources réputées suffisantes pour vivre dignement dans une
société et son contexte.la pauvreté se divise en trois forme dont on trouve :

-la nutrition : Chaque jour sur Terre, 1 personne sur 7 se couche le ventre vide. La
proportion d’habitants du monde en développement qui ont souffert de la faim en 2005-
2007 s’est stabilisée à 16 %, en dépit d’une nette diminution de la pauvreté extrême
.

-santé : Plus du tiers de la population mondiale n'a toujours pas accès aux médicaments


essentiels. Les médicaments essentiels sont les médicaments qui répondent aux
besoins de santé prioritaires d’une population.

-logement : Les réfugiés ne bénéficient pas non plus d'un logement approprié, pourtant,
des années après la fin d’un conflit, on trouve encore d’importantes populations de
réfugiés dans les camps. Les emplois y sont limités, et les possibilités d’éducation tout
comme les services de santé y sont insuffisants. Il n’est donc pas surprenant que les
réfugiés deviennent souvent dépendants d’une aide de subsistance, vivent dans la
pauvreté et ne réalisent jamais leur potentiel.
Parmis les circonstances qui déterminent la solidarité on trouve les catastrophe naturels :

Dans un site généralement prédisposé, une catastrophe naturelle est l'effet


pernicieux d’un événement naturel plus ou moins violent, voire paroxystique,
du cours normal d’un phénomène géodynamique - séisme, éruption
volcanique, tsunami,mouvements de terrain, inondation, tempête, cyclone, orages...,
ignoré, mésestimé et/ou mal prévenu sur les aménagements, les ouvrages et les
personnes d’un établissement humain vulnérable, exposé à un risque « naturel
» identifié ou non.

En confondant les effets désastreux de certains de ces événements avec les


causes des catastrophes qui en résultent, on a longtemps considéré que les causes
étaient des punitions et que les effets étaient inéluctables, fatals, prescrits... La
science et la technique permettent maintenant de caractériser les événements, de
prévoir leurs effets, d’établir et distinguer les causes naturelles d'avec les causes
humaines des catastrophes pour améliorer la prévention et la gestion des secours.
Les accidents se classe aussi parmis les circonstances qui déterminent la solidarité :

Un accident, des causes


Les accidents et la gravité de leurs conséquences s’expliquent par une combinaison de
facteurs liés au conducteur, au véhicule, à la route, aux conditions de circulation, aux secours…

Les facteurs humains, en particulier, apparaissent dans plus de 90% des accidents corporels.

Certains facteurs sont relevés systématiquement par les forces de l’ordre après qu’un accident a
eu lieu : alcoolémie, choc contre un obstacle fixe, conditions météorologiques etc.

D’autres facteurs (et non des moindres) ne sont pas systématiquement recherchés cardifficiles à
déterminer avec précision : vitesse, fatigue, somnolence, distraction, téléphone au volant,
distances de sécurité…
Enfin, d'autres facteurs liés au comportement, à l'état du véhicule ou à celui des infrastructures,
entrent également en jeu.

Liste non exhaustive de facteurs relevés dans les accidents


(pour l'année 2012, sauf indication contraire ; ces mêmes données ne sont pas encore connues
pour 2013.)
Conduite sous influence de l’alcool L’alcoolémie positive d’un conducteur est
présente dans les accidents causant 30,9% des
tués sur la route.

Vitesse excessive Selon les estimations des forces de l’ordre, les


excès de vitesse sont la cause principale d’au
moins 25% des accidents mortels.

Distance de sécurité L’intervalle de sécurité entre deux véhicules doit


être au minimum de 2 secondes. Or, dans la
circulation, moins de 50% des véhicules
respectent cette règle. Les collisions par l’arrière
et en chaîne occasionnent 6,1% des tués de la
route et 16,4% des blessés.

Défaut de ceinture / casque 21% des tués dans les véhicules n’avaient pas
leur ceinture au moment de l’accident.
Le port systématique de la ceinture permet de
diviser par 2 le risque d'être tué en cas
d'accident.
D’autre part, 6% des usagers tués en deux-
roues motorisés n’avaient pas de casque.

Téléphone au volant Ce facteur n’est pas comptabilisé dans les


statistiques d’accidents.
Le taux d’infraction (usage d’un téléphone tenu
en main) est, en 2011, de 2% pour les
automobilistes, et encore plus fréquent dans les
véhicules utilitaires.
Téléphoner au volant multiplie par 4 le risque
d’avoir un accident corporel.

Présence d’un obstacle fixe (arbre, véhicule Facteur présent pour les accidents occasionnant
stationné, glissières, mur, poteau, panneau de 43% des tués. 
signalisation, bordure de trottoir, fossé etc.) Protéger les usagers des arbres et poteaux
situés à proximité immédiate de la chaussée
permettrait d’épargner de nombreuses victimes.

Fatigue et somnolence au volant La cause "malaise fatigue" apparaît dans 8%


des accidents mortels sur l'ensemble du réseau.
C’est même l’un des principaux facteurs
d’accidents sur les autoroutes.
Ce risque apparaît de jour comme de nuit.

Conduite sous influence du cannabis Les tests relatifs aux stupéfiants appliqués aux
victimes d'accidents sont en cours de
déploiement et de perfectionnement
Les contrôles réalisés en 2012 montrent que
14,5% des décès surviennent dans des
accidents impliquant un conducteur
consommateur de stupéfiant.
Conduire après avoir consommé du cannabis
multiplie par 2 le risque d’être responsable d’un
accident mortel. Le risque est multiplié par 14 en
cas de consommation conjointe de cannabis et
d’alcool.

Conduite sans permis / avec permis Facteur présent pour les accidents occasionnant


inadapté / sans assurance 4 % des tués (en 2011).

ATTENTION ! 

Organisation de la solidarité
Les actes de solidarité ne sont pas impulssive mais ils sont
organisé par des organisation de solidarité tels que :

La croix rouge : La Croix-Rouge française (CRF) est une des sociétés


nationales du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge.

Fondée en 1864, La Croix-Rouge française est une association loi de


1901, reconnue d'utilité publique depuis 1945. Son fonctionnement est défini dans
les statuts adoptés par l'assemblée générale.

Acteur dans le domaine de l'action humanitaire, la Croix-Rouge française a pour


objectif de venir en aide aux personnes en difficulté en France et à l’étranger.

L'association compte plus de 54 000 bénévoles et 18 000 salariés.

Son réseau est constitué par 950 unités locales, 100 délégations départementales et
678 établissements agissant dans le domaine sanitaire, médico-social et de la
formation, la Croix-Rouge française est présente sur l'ensemble du territoire français,
y compris dans les départements et territoires d'outre-mer.
Ses missions fondamentales dépendent de 5 domaines d’action : urgence
secourisme, action sociale, santé-autonomie, action internationale et formation.

Chaque année, la Croix-Rouge française vient en aide à 1 000 000 de personnes, en


secourt 200 000, en forme 1 000 000 aux premiers secours et prépare 17 000 élèves
aux métiers médico-sociaux.

La Croix-Rouge française est par ailleurs présente dans 35 pays pour y développer
des programmes spécifiques afin d'améliorer l'accès à l'eau, la sécurité alimentaire et
la santé des personnes vulnérables entre autres.

-Programme alimentaire mondial (pam)


Le Programme alimentaire mondial (PAM, en anglais WFP World Food Program)
est l'organisme d'aide alimentaire de l'ONU. La plus grande organisation humanitaire
du monde, le PAM fournit principalement de la nourriture aux personnes souffrant de
la faim, au prix de multiples acrobaties : achats des denrées au meilleur
prix, transport en zones reculées, course contre la météo. Les dons recueillis par le
PAM permettent de s'approvisionner dans le monde entier pour envoyer rapidement
sur place les rations essentielles à la survie des populations. En moyenne, chaque
année, le PAM nourrit 90 millions de personnes dans 80 pays, dont 58 millions
d'enfants.

Son siège se situe à Rome, en Italie.

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