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ÉNERGIE ET DÉCOUVERTES QUANTIQUES

LA SCIENCE DE LA PENSÉE
Les preuves scientifiques démontrent la puissance de vos propres pensées, et vous pourrez
ensuite enrichir votre compréhension de cette information et mettre d'autres possibilités à
l'épreuve grâce à une gigantesque expérience de groupe internationale, sous la direction de
quelques-uns des scientifiques les plus respectés en matière de recherche sur la
conscience.

La science de l'intention repose sur une prem1sse pour le moins singulière : la pensée
exerce une influence sur la réalité physique. Une somme considérable de recherches sur la
nature de la conscience, menées au cours des trente dernières années par de prestigieuses
institutions scientifiques dans le monde, démontre que les pensées peuvent avoir un effet
sur toute chose, depuis les machines les plus simples jusqu'aux êtres vivants les plus
complexes. Ces données semblent indiquer que les pensées et les intentions formulées par
des humains sont une réalité physique «palpable» possédant le stupéfiant pouvoir de
changer le monde.

Chaque pensée est une énergie tangible ayant le pouvoir de transformer les choses. Non
seulement une pensée est-elle une chose réelle, mais elle peut même influencer les autres
choses.
Cette idée centrale, selon laquelle la conscience influence la matière, est au cœur même
d'une irréconciliable différence entre la vision du monde offerte par la physique classique. La
science s'intéressant aux choses du monde visible, et celle proposée par la physique
quantique, la science étudiant les plus minuscules éléments constitutifs de la matière. Cette
différence se rapporte à la nature même de la matière et aux moyens de l'influencer pour la
changer.
La physique classique tout entière, et en réalité l'ensemble de la science, tire son origine des
lois du mouvement et de la gravité développées par Isaac Newton dans son traité Principia
[Principes mathématiques de philosophie naturelle], publié en 1687. Les lois de Newton
décrivent un univers dans lequel tous les objets se meuvent au sein d'un espace-temps
tridimensionnel conformément à certaines lois immuables du mouvement.

Lynne McTaggart est une porte-parole mondialement reconnue dans le domaine de la


science de la spiritualité. Elle est aussi l'auteure primée de cinq livres, dont L'univers
informé, publié en quatorze langues, et qui a inspiré le film culte classique extrêmement
populaire What the BLEEP Do We Know ! ? (Que sait-on vraiment de la réalité ?). Elle est
également codirectrice de Conatus, un organisme qui publie certains des bulletins
d'information sur la santé et la spiritualité parmi les plus respectés du monde, dont
notamment What Doctors Don't Tell You et Living the Field.

Son livre L'univers informé, La découverte d'une force au centre de la cohérence universelle,
« Je considère que son livre est très important et qu'un grand nombre de gens devraient le
lire. Il excite l'imagination et permet d'entrevoir que nous verrons bientôt apparaître une
véritable révolution dans notre manière de comprendre l'univers - une révolution
probablement plus grande que celle qui a été à l'origine de l'ère atomique. » - Sir Arthur C.
Clarke

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« L’UNIVERS INFORMÉ EST LA FORCE ET L'AGENT QUI DETERMINE, BEAUCOUP PLUS
QUE LES GENES OU LES MICROBES, CE QUI FAIT QUE NOUS SOMMES MALADES OU
EN SANTÉ ; CETTE FORCE ET CET AGENT DOIVENT ÊTRE CAPTÉS SI NOUS VOULONS
TROUVER LA GUÉRISON. »

L'univers informé rend compte des découvertes de chercheurs émérites au sujet du point
zéro du champ magnétique - un océan de vibrations subatomiques de l'espace entre les
objets - qui relie tous les éléments de l'univers, un peu comme ce qu'on a surnommé la
Force dans le film Star Wars (La Guerre des étoiles). L'univers informé présente une
conception absolument nouvelle et radicale d'envisager notre monde et notre propre corps.

La pensée et le corps humains ne sont ni distincts ni séparés de l'environnement ; ils forment


un ensemble de pulsations dynamiques qui agissent les unes par rapport aux autres dans
l'énergie d'un océan sans bornes.

L'univers informé décrit de quelle façon les éléments de l'univers sont interconnectés et
comment les nouvelles théories scientifiques parviennent à nous rendre compréhensible ce
phénomène 'super naturel'.

Par-dessus tout, L'univers informé est un livre générateur d'espoir et d'inspiration. Il permet
de recentrer la vision réductrice de l'homme d'aujourd'hui - marquée par l'isolement et la
séparation sur une perspective d'interconnexion, d'interrelation des êtres.
Il lève le voile sur plusieurs aspects apparemment mystérieux jusque là en nous fournissant
une explication fondée sur la science pure. Il nous propose une explication sans faille sur
des phénomènes dont nous avons peut-être pressenti la cause sans pouvoir les expliquer
exactement, phénomènes portant sur la nature du monde et de faits ou d'expériences qui
nous avaient paru inexpliqués ou extraordinaires. Ce livre nous amène à croire que notre
potentiel humain est sans limite dans son développement, contrairement à ce que la science
nous avait accoutumés à croire jusqu'ici. Ce livre développe en nous le sentiment que nous
pouvons agir directement sur nous-mêmes, par le pouvoir de notre amour et de celle de tous
les autres êtres humains, sur notre bien-être, sur notre santé et celle des gens que nous
aimons, sur tout notre entourage. L'univers 'informé est le livre de la science du miracle.

MATIÈRE ET CONSCIENCE
Les Sciences Noétiques, réunit des personnalités et experts venus de tous les horizons :
intelligence artificielle, neuroscience, anthropologie, analyse des données... Ces
compétences sont unies au service d'une même question : est-il possible d'établir l'existence
d'une conscience globale, à l'échelle de la Terre?

Le Global Consciousness Project est le non du projet de recherche d'une équipe de


l'Université de Princeton sur les effets de l'esprit humain sur la matière. Les résultats sont
stupéfiants et les conséquences passionnantes.

Dans les années 70, le professeur Robert Jahn de l'Université de Princeton (New Jersey,
Etats-Unis), tenta de savoir si l'esprit pouvait influer sur la boite noire d'un Générateur de
Nombres Aléatoires(GNA).

http://www.metapsychique.org/Comment-fonctionne-un-generateur.htm 1

Selon les résultats, la conscience humaine pouvait effectivement modifier le fonctionnement


de désintégration des particules de la boite noire.
En 1997, le Professeur Roger Nelson, utilisa un serveur internet pour analyser en temps
réel, et 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, les données issues de boites noires réparties dans
différents laboratoires à travers le monde. Quelques jours après, les graphes se mirent à
dévier nettement de leur trajectoire moyenne, pour revenir à la normale quelques heures
plus tard.

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Et toujours en 1997, les aiguilles s'affolèrent à l'occasion de l'enterrement de la Princesse
Diana, suivi en direct par un milliard de personnes, puis une semaine plus tard, à l'occasion
des cérémonies d'adieu dédiées à Mère Theresa. Et depuis, chaque année, divers
évènements planétaires affolent les aiguilles : les fêtes du nouvel an, des éclipses solaires
ou les tremblements de terre, des élections ou des finales de compétitions sportives
importantes, des attentats.

L’événement qui a permis d'attirer notre attention sur ce phénomène s'est produit au
alentour du 11 septembre 2001, à cette époque les USA possédaient 2 satellites
appelés GOES Geostationary Operational Environmental Satellite (GOES), qui signifie
Satellite Opérationnel Géostationnaire Environnemental. Le 1er positionné dans l'hémisphère
nord, le 2nd dans l'hémisphère sud. Ces satellites avaient pour missions de mesurer le champ
magnétique de la Terre, et de renvoyer le relevé toutes les 30 minutes, les résultats de ces
relevés révélaient des changements mineurs.

Hors le 11 septembre 2001, les scientifiques ont observés que les résultats des
relevés, indiquaient que quelque chose de relativement anormale se produisait
comparé à ce qu'ils avaient l'habitude de voir. Ils se sont alors interrogés sur ce qui
pouvait bien influencer à ce point le champ magnétique de toute la terre, et pourquoi
ils obtenaient ces pics anormaux sur leurs schémas satellitaires. le 1er pic était
apparu plus précisément, 15 min après l'explosion du 1er avion sur la 1er tour du
World Trade Center.

Les ordinateurs du GCP ont immédiatement retranscrit des nuages de points significatifs.
Une tendance aux pics marqués (notamment aux heures de crash des avions et
d'effondrement des tours) par de tels écarts statistiques qu'il y avait "une chance sur million
que cela soit du au hasard", comme l'a écrit le prof. Nelson dans des publications
scientifiques de l'été 2002. Ces résultats paraissaient confirmer les corrélations accumulées
durant les quatre années d'existence du projet. Et fin 2004, le compteur s'est affolé 24
heures avant le tsunami asiatique qui a coûté la vie à plus de 200 000 personnes.

Dans une interview de 2005 pour le Daily Mail le physicien Dick Bierman, de l'Université
d'Amsterdam disait "Très souvent, les phénomènes paranormaux s'évaporent si vous les
étudiez suffisamment longtemps. Mais ce n'est pas le cas du Global Consciousness Project
(GCP). L'effet est réel. Aujourd'hui 65 GNA sont actuellement répartis dans le monde pour
participer au programme. La probabilité d'obtenir de tels résultats par le hasard est de l'ordre
de 1 sur1 million, c'est-à-dire quasi-nulle.

La question actuelle est donc celle de l'interprétation des résultats. Pourrait-on "prédire
l'avenir" à partir de ce qui se passe dans la conscience globale ? Les débouchés
scientifiques sont également passionnants car ils permettraient de relier enfin l'inconciliable :
la physique classique (qui décrit le monde macroscopique) et la physique quantique (qui
concerne l'invisible et !'infiniment petit)

Nos repères habituels perdent toute signification dès qu'on franchit les limites du monde de
!'infiniment petit. La théorie quantique décrit un monde dans lequel la matière qui constitue
notre univers, et qui semble bien localisée dans l'espace, est en fait « étendue » quelque
part. Les particules ne sont pas décrites comme des points matériels bien tangibles, mais
comme une fonction d'onde, une sorte de « fantôme » de la particule. La zone de probabilité
« non nulle » dans laquelle on a des chances de trouver la particule serait délimitée par une
interruption de la fonction d'onde.

La physique quantique est avant tout une théorie probabiliste. Au niveau de !'infiniment petit,
nous ne pouvons déterminer les phénomènes, non pas en termes de précision mais de
probabilités. Pour le Global Consciousness Project, cet « espace probabiliste » de
!'infiniment petit est relié au monde macroscopique par l'esprit, ou la "noosphère". Celle ci est
définie comme l'espace ou le champ dans lequel s'agrège l'ensemble des pensées et des
émotions produites à chaque instant par l'humanité.
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Cette expérience pourrait remettre en cause les fondements même de la Science Le
résultats du GCP montrent que la conscience de l'observateur, le scientifique 'ou même
celle de l'animal objet des essais) peut avoir un impact sur les résultats de ses observations
et expérimentations. Il reste à définir la proportion de cette influence par la multiplication des
recherches. Ce qui ne semble pas mobiliser la communauté scientifique.

Dans les approches psychologiques classiques, on considère qu'il n'y a pas de lien entre la
personne étudiée et le phénomène recensé chez elle. On sépare bien l'objet observé des
choses qui entourent cet objet. On sépare le corps de la personne de sa conscience ou de
celle de l'observateur. La psychologie quantique soutient au contraire, qu'il existe réellement
un lien entre la conscience et la matière physique.

Pour l'être humain, le physique correspond à l'ensemble des réactions observables et


quantifiables de son organisme, avec son activité corporelle ou celle de ses neurones. Les
humains possèdent également une conscience, un esprit, une âme, même si ces attributs
restent à ce jour non observables et non mesurables. Le défi de la psychologie quantique est
de faire accepter l'idée, qu'il n'existe pas de séparation entre la structure atomique du corps
et l'esprit.

L'organisme vivant est constitué de tissus, de cellules et de molécules. Et ces dernières sont
comme des minis radios émettrices d'ondes sous forme de vibrations électromagnétiques
(Un phénomène bien utilisé en médecine avec les techniques modernes de diagnostic). Par
leurs vibrations, et en particulier dans un état particulier de cohérence que les physiciens
appellent « condensé Bose Einstein. », les molécules possèdent un rôle de liaison et de
conduction. Au niveau des cellules nerveuses, ce phénomène pourrait expliquer le lien entre
le cerveau et l'esprit et déterminer l'essence même de la conscience.

Le système de fonction d'ondes caractérise le phénomène quantique. Ce système d'ondes,


en interactions continues mais non localisé évoluerait pour créer au niveau du cerveau la
somme de tous les états possibles (L'état de superposition de la physique quantique) et
donner naissance à la conscience. Le choix de la conscience d'un état particulier, éliminerait
les autres état/ondes présentes. En portant son attention sur un état particulier, la
conscience fige cet état au détriment d'un potentiel d'états possibles. Quels seraient les
critères de la conscience pour choisir un état plutôt qu'un autre ? Probablement le « meilleur
état » parmi ceux perçus comme disponibles, ou le seul état susceptible de matérialiser des
événements dans le monde réel de l'humain pour le faire agir ou réagir. Il apparait donc
important d'enrichir sans arrêt nos états de conscience.

A la lumière de cette théorie quantique, l'éveil et l'expansion de la conscience prend tout son
sens. Une conscience qui pourrait, comme un projecteur multidirectionnel, s'étendre à de
nombreux états, ceux reliés aux mémoires chargées d'informations déterminantes sur
la cause de nos souffrances, pour nous réconcilier avec nous même, et ceux dont nous
avons besoin pour construire un futur irrésistible. Et encore bien d'autres états !

En développant notre niveau de connaissance sur notre manière d'organiser


notre expérience subjective, avec notre neurologie, notre langage et notre physiologie,
nous développons notre conscience à nous même. L'expérience de la Présence accroit
notre conscience de ce qui est le plus invisible en nous, et d'une intelligence plus
profonde, universelle, qui se vit à travers nous.

Sources : les motsontunsens.com et Naturavox.fr

http://noosphere.princeton.edu

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LES CHAMPS MORPHIQUES
Ruppert Sheldrake ou la mémoire de l'univers Spécialiste de la biochimie et de la biologie
cellulaire, Ruppert Sheldrake soutient une thèse qui, à sa manière, rejoint tout à fait la
pensée de Jung. Pour Sheldrake, la mémoire est inhérente à la nature. Les systèmes
naturels, tels que des colonies de termites, des pigeons, des orchidées, des molécules
d'insuline héritent d'une mémoire collective renfermant tous les phénomènes concernant
leur espèce, aussi distants soient-ils dans l'espace et dans le temps : Au fil de sa
croissance, une hirondelle vole, se nourrit, lisse ses plumes, migre, se reproduit et nidifie
comme l'ont fait toutes les hirondelles avant elle.

Elle hérite de l'instinct de son espèce via d'invisibles influences agissant à distance; celles-ci
ont pour effet de rendre, en quelque sorte, le comportement d'hirondelles passées, présent
en elle.

Elle est formée par la mémoire collective de son espèce, qu'elle contribue à son tour à former
... Tous les humains puisent également dans une mémoire collective, qu'à leur tour, ils
contribuent à façonner.

Lorsqu'une activité nouvelle devient à la mode parmi les hommes, le surf, par exemple, son
apprentissage devrait être de plus en plus aisé au fil de temps, pour la simple raison qu'un
nombre toujours plus important d individus s'y adonnent..
Ainsi nos habitudes personnelles peuvent-elles dépendre d'influences cumulatives de notre
comportement passé, avec lesquelles nous entrons en " résonance ". Ainsi le passé peut
devenir présent de manière directe ! Il nous suffit de rentrer en résonance, de nous brancher
sur cette mémoire collective- l'inconscient collectif de Jung - pour que se mettent en marche
certains phénomènes irrationnels comme l'intuition.

Sheldrake avance l'hypothèse de la causalité formative. Celle-ci suggère que la nature des
choses dépend de champs, des champs morphiques.
Chaque type de système naturel possède son propre type de champ ; il y a un champ pour
l'insuline, un champ pour le hêtre, un champ pour l'hirondelle etc...
Les champs morphiques façonneraient les atomes, les molé cules, les cristaux, les
organelles, les cellules, les tissus, les organes, les organismes, les socié té s, les
é cosystèmes, le système plané taire, le système solaire, la galaxie etc.
Quand un système organisé particulier cesse d'exister - lorsqu'un atome est désintégré,
lorsqu'un flocon de neige fond, ou qu'un animal meurt - son champ organisateur disparaît du
lieu spécifique où existait le système.
Mais, dans un autre sens, les champs morphiques ne disparaissent pas : ce sont des
schèmes d'influence organisateurs potentiels, susceptibles de se manifester à nouveau, en
d'autres temps, en d'autres lieux, partout où et à chaque fois, que les conditions physiques
seront appropriées.

Quand c'est le cas, ils renferment une mémoire de leurs existences physiques antérieures.
Les travaux de Ruppert Sheldrake ouvrent, après ceux de Jung, la voie royale des
phénomènes intuitifs : ils éclairent le processus de transmission de l'information entre soi et
soi, entre soi et les autres hommes ou entre soi et la nature, sans limite d'espace ni de
temps. Par résonance morphique, chacun est capable de se mettre en harmonie avec l'objet
de connaissance, consciemment ou inconsciemment, et de communiquer avec le champ
d'informations correspondant.

Ainsi, le cerveau, trop petit pour contenir la mémoire, n'est pas un organe de
stockage mais un organe de liaison avec la banque de données du champ
morphogénétique dans laquelle se mêlent passé, présent et futur.

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