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du champ E (O) :
 ' ( Ψ1 -- My√
 q 5p p −p q Youssef
3 --- Chakir A.

 Ex = 4p´ OP 3 cos 6 + 2 cos 6 − cos 2
 =
8p´0 OP 3
0
 Electromagnétisme :
q
'
5p p série
(
−p N°1-corrigé
5q
ʰʣ 

 Ey = sin + 2 sin − sin =
4p´0 OP 3 6 6 2 8p´0 OP 3

1 B.2 1. La réponse
Electromètre. est 1.
1 q1 q2 −−−→


La force s’exprime par f uA→P . Pour calculer la distance, on développe
=
4pe0 AP 2
2 2 2 −→ −→ 2 2 w 1 Q2
AP = AO + OP + 2AO.OP = 4b sin donc pour la norme f = .
2 4pe0 16b2 sin2 w
2
2. La réponse est 3.
A l’équilibre, la somme des forces est nulle soit en projetant sur la direction perpendiculaire à OP
mg sin we = f sin a. Or 2a + w = p. On en déduit en utilisant l’expression de f de la question
3 we 1 Q2
précédente sin = .
2 4pe0 32mgb2

3. La réponse est 2.
On projette la nullité de la somme des forces parallèlement à OP et on en déduit la tension
1 Q2
T = mg cos we + .
4pe0 16b2 sin we
2

4. La réponse est 4. )
we
On déduit de la relation précédente Q = 4pe0 32mgb2 sin3 = 4, 0.10−7 C.
2

5. La réponse est 1.
L’énergie potentielle est la somme de la contribution du poids et de la force coulombienne
1 Q2
Ep = − mgb cos w.
4pe0 8b sin w
2

6. La réponse est 1.
dEp w 1 Q2
Pour déterminer la position d’équilibre, on résout = 0 soit sin3 = . Pour sa
dw 2 4pe0 32mgb2
d2 Ep
stabilité, il faut étudier le signe de . Ici le calcul de la dérivée seconde de l’énergie potentielle
' dw2 (
2 2 w 1 2w
Q cos + sin
1 2 2 2
donne mgb cos w + > 0 donc l’équilibre est stable.
4pe0 3 w
16b sin
2

2 1468
Analogie électrostatique - gravitation.

Ψ1 -- My Youssef -- Série n° 1-corrigé page 1/7


f (x) =
5. Entre deux sphères. de
Cette dérivée
rayon r et rest
+ positive entreest
dr, la charge : D donc la fonction f est croissante de −∞ à
0 et
x (D − x)
dQD = Qint (r + dr) − Qint (r) = 4pr 2 r(r)Ψ1dr -- My Youssef --- Chakir A.
+∞ avec f (x) = 0 pour x = int .
soit : 2
B.3 1. On a invariance par1rotation dQint autour1 dedl’axe ! qOz! doncr " on utilise
! les r ""coordonnées cylindriques
et on a indépendance r =par rapport à u.= 1+ exp −
4pr#2 dr 4pr 2 dr$ 4p a a
2. Il n’y a pas de plan d’antisymétrie. q 1 Tout
1 ! planr "contenant ! l’axe
r " Oz est plan
q de symétrie.
! r " Par conséquent,
pour tout point de l’axe = Oz, le −champ1est + suivantexp l’axe−Oz. Sinon
= − en un exp
point− quelconque, le champ
est contenu dans le plan rOMz. a a a a 4pa2 r a
2

D’après les
6.3. Puisqu’il résultats
s’agit de la question
de l’atome d’hydrogène,précédente,
q = e.le champ est suivant l’axe Oz.
###
→r × 4pr 2 dr1 d’où P(r) =rdt
− r P −→! r "
D’autre part, dq(r) = −eP(r)
4. On pose le calcul de l’intégrale E (O) = dr = exp − projette
2 3 PO. On
. La probabilité
sur l’axedeOz trouver
en
2 4p´ 0 P∈V
a
PO a
utilisant lep(r)
l’électron que4pr
fait = dtP P(r).
= r 2 Elle est nulleLe
sin udrdudw. r = s’effectue
encalcul 0 et à l’infini et maximale
en intégrant r =
r entreen0 et R, a, "rayon"
u entre 0 etde
l’atome
p (pour l’atome d’hydrogène, →
− a = 52 pm).rR −→
et w entre 0 et 2p. On obtient E (O) = − uz .
2 4´0
B.3
5. On1.a Le les potentiel créé par une
mêmes symétries et lessphère
mêmes rayon r uniformément
de invariances que précédemmentchargée,; en lesun point de sarestent
conclusions surface
2
donc les mêmes.
est : V (r) =
rr La surface élémentaire
$ (Cf. cours). %
Il faut
étant donnée par rdrdu, 2l’intégration sur le disque
déplacer la charge dq = r4pr dr d’une région de Solutions
donne
potentiel nul à

− s 3´0 z →

E =− √ − 1 uz .
2´0 z 2 + R2 rr 2
une région de potentiel V (r), il faut donc fournir le travail dW = dqV (r) = r4pr 2 dr.
6. On a ici s = rdz. Par ailleurs, R dépend de z par la relation z + R(z) = R2 donc 2 3´20
1480
rdz ! z "
4pR2
2. En dEintégrant
= cette 1 . L’intégration
−expression entre r =sur0zetentre
r = 0 et
R et r donne
en le résultat.
utilisant la relation Q = r , on obtient :
2´0 R 3
3Q2 − → 1
7.ELes = quantités .E , q, r et sont les analogues respectivement de − →g , m, r et −G.
20p´0 R 4p´ 0


8. Le champ − →
g0 s’obtient par superposition de − →
g1 et g! défini 1 comme le champ créé par une demi-
© Dunod – La photocopie non autorisée est un délit

3. L’analogie
sphère. Onavec la l’analogie
utilise gravitationpour s’obtient g! =
écrire en pGR (r0 − r1 ) etpar
remplaçant Dg−G = −g et! .Q par M. On en déduit
4p´0
9. L’application numérique donne Dg # 4.10−4 m.s−2 . 3 GM 2
l’énergie gravitationnelle d’une sphère de rayon R et de masse M : E = − .
B.4 1. a) Tout plan contenant l’axe Oz est plan de symétrie de la 5 R de charges, donc le
distribution
3 Champ créé par une spire au voisinage de l'axe.

− →

champ E appartient à l’axe Oz.
B.4 1. Tout plan contenant − l’axe Oz est plan de symétrie de la distribution. Le champ E sur l’axe

Le champ
appartient plans, doncd àEleur
à cesélémentaire en M créé par laqui
intersection surface élémen-
est l’axe Oz lui-même. − → z

− s dSp −→ dE
taire dSP autour

− de P est d E = PM. On projette
2. a) Le champ E a les mêmes symétries 4p´ 0 PM
que la 3distribution de charges, or le plan de la spire M est plan de
ce champ sur la direction finale Oz : →
− →
− →

symétrie pour la distribution, donc plan de symétrie pour E . Ainsi E (−z) = − E (z).
s dSP cos a s zR dR du
dEz = =
4p´0 PM 2 4p´0 (R2 + z2 )3/2 a

− O
b) Le champ
et on intègre − élémentaire
sur d E créé par un élément de spire d! autour de P (figure S44.1) Pest
→le disque : dSP

− l d! #PM 2p . # r $ %
d E = zs R dR zs 1 1
Ez = 4pe0 PM du 3
= −√ Figure S45.7
4p´0 0 0 (R + z )
2 2 3/2 2´0 |z| r 2 + z2
b) Pour le calcul du potentiel, il vient : 1471
# 2p # r
s dSP 1 s R dR s √2
dV = ⇒ V = du √ = ( r + z2 − |z|)
4p´0 PM 4p´0 0 0 R 2 + z2 2´ 0

c) Dans les expression précédentes, il faut remplacer s par r dz.


2. a) On décompose le cône en disque d’épaisseur dz (figure z
S45.8). S
La variable z des expressions précédentes est égale ici à O! S,
il faut donc la remplacer par h − z si l’on prend l’origine en
O. Si l’on note r le rayon de chaque disque, on peut écrire
tan a = r/(h − z). L’expression du champ créé par un disque a h
d’épaisseur dz est donc :
& ( dz O!
r dz
Ψ1 -- My Youssef -- Série n° 1-corrigé h−z h−z page 2/7
dEz = −'
2´0 |h − z| r 2 + (h − z)2
it
Ψ1 -- My Youssef --- Chakir A.
Chapitre 44 – Propriétés du champ électrostatique
P

R
a M
z
O


dE

Figure S44.1

On projette sur l’axe Oz et on intègre sur la spire :


!
l cos a l cos a l Rz
dEz = d! ⇒ Ez = d! =
4pe0 PM 2 4pe0 PM 2 spire 2e0 (R + z2 )3/2
2

c) Le graphe de la fonction E(z) est tracé sur la figure S44.2


E(z)

Figure S44.2

3. a) Le plan contenant le point M et l’axe Oz est plan de symétrie de la distribution de charges. Or ce




plan a pour vecteurs directeurs les vecteurs −→
ur et −
→uz donc le champ E en M qui appartient à ce
plan n’a pas de composante suivant − →uu .


b) La distribution de charges est invariante par rotation d’axe Oz donc E est indépendant de u.
c) Si l’on considère une surface fermée au voisinage de l’axe, elle ne contient pas de charges. Le
théorème de Gauss dit que le flux à travers cette surface est nul.


Le champ E est à circulation conservative.
d) D’après ce que l’on vient d’écrire le flux total wt à travers la surface cylindrique est nul puisqu’elle
ne contient pas de charges. Le flux se décompose en trois termes : le flux à travers la surface
latérale wL , celui à travers la base située en z noté w(z) et celui à travers la base située en z + dz
noté w(z + dz). On rappelle que les vecteurs surfaces élémentaires son orientés vers l’extérieur de
la surface. Comme les intégrales se font sur des petites surfaces, elles se ramènent au produit de la
composante du champ orthogonale à la surface par l’aire de celle-ci.
"" − → −→ "" − → ""
•w =L SL
E · dS =L SL
E · dS −
L

u =
r E dS = E (r, z)2pr dz.
SL r L r
"" →− −→ "" − → ""
• w(z) = Sz E · dSz = Sz E · (− dSz −

uz ) = − Sz Ez (z) · dSz = −pr 2 Ez (0, z).
"" → −
− → "" →

• w(z + dz) = S E · dSz+dz = S E · (dSz+dz −

uz ) = pr 2 Ez (0, z + dz).
z+dz z+dz
Finalement, on peut écrire le flux total :
0 = Er (r, z)2pr dz + pr 2 (Ez (0, z + dz) − Ez (0, z))
dEz
= Er (r, z)2pr dz + pr 2 (0, z)
dz
r dEz
⇒ Er (r, z) = − (0, z)
2 dz
L’expression de Er au voisinage de l’axe est donc :
lRr(2z2 − R2 )
Er (r, z) =
4e0 (R2 + z2 )5/2

1472

Ψ1 -- My Youssef -- Série n° 1-corrigé page 3/7


Solutions
Ψ1 -- My Youssef --- Chakir A.



e) La circulation de E le long de ce contour est nulle. Elle s’écrit : z
C = Ez (r, z) dz + Er (r, z + dz) dr − Ez (r + dr, z) dz − Er (r, z) dr = 0 N dr
z+dz P
On en déduit, après développement limité et simplification par
dr dz : z r
∂Ez ∂Er Q
(r, z) = (r, z) M
∂r ∂z

En utilisant l’expression de Er (r, z) établie précédemment, on obtient :


∂Ez r d2 Ez
(r, z) = − (0, z)
∂r 2 dz2
qui s’intègre (entre 0 et r) en :
r 2 d2 Ez
Ez (r, z) = E0 (0, z) − (0, z)
4 dz2

➤ Remarque : Le champ créé par la spire s’écrit donc :



− →
− →

Sur l’axe : E (M) = Ez (0, z) uz = f (z) uz .

Au voisinage de l’axe :

− r
• au premier ordre en r : E (M) = − f ! (z)−
→ →

ur + f (z) uz
2
! "

− r ! − r 2 !!
• au deuxième ordre en r : E (M) = − f (z) ur + f (z) − f (z) −
→ →
uz .
2 4



B.5 1. On
4 Doublet a invariance par
électrostatique touteélectrique
- Moment rotation autour de O donc le champ E ne dépend que de r en
p d'un dipôle.
coordonnées sphériques.


2. Tout plan passant par O et M est plan de symétrie donc le champ E est suivant −→ur .

− −−→ → −−→

3. D’après la relation E = −gradV , on tire dV = − E .dOM = Edr. Par intégration sur r, on en
kR2
déduit V = pour r > R (la constante d’intégration est nulle car le potentiel V est choisi
2´0 r
kR # r$
nul pour r infini) et V = 1− pour r < R (la constante d’intégration est déterminée par
´0 2
continuité du potentiel en r = R). On remarquera que E étant continu en r = R, le potentiel ne
présente pas de point auguleux en ce point-là.
unod – La photocopie non autorisée est un délit

4. V

kR
´0

kR
2´0

R r
Ψ1 -- My Youssef -- Série n° 1-corrigé page 4/7
k
Chapitre 46
Ψ1 -- My Youssef --- Chakir A.

A.1 1. On introduit une autre origine O! avec la relation de Chasles :


! −−→! −−!→ ! −−→! ! −−!→

−p = qi (OO + O Si ) = ( qi )OO + qi O Si
"
or qi = 0 donc la définition est indépendante de l’origine.
2. Dans le cas de deux charges :

− −−→ −−→ −−→
p = −qOS1 + qOS2 = qS1 S2
3. a) D’après l’hypothèse, l’hydrogène a perdu son électron donc il ne lui reste qu’un proton (charge
positive du dipôle). Quant au fluor il a 9 protons et 10 électrons, c’est la charge négative du dipôle.
b) La charge q du dipôle est la charge élémentaire e et le moment dipolaire, dirigé de F vers H, vaut
p = ed soit p = 1, 47.10−29 C.m ou 4,42 D.
c) La charge positive est à la position H et la charge négative en G. On prend F comme origine,
alors :
eHF − p
p = eHF − 10eGF ⇒ GF = = 5, 39.10−12 m
10e
4. a) On applique le théorème de superposition :
# $
q −1 1
V = +
4p´0 r1 r2
b) On effectue un développement limité au premier ordre :
%& '
−−→ −−→ −−→ a 2 ar 1 1& a '
S1 M = S1 O + OM ⇒ S1 M = + r 2 + 2 cos u ⇒ $ 1 − cos u
2 2 r1 r 2r
et :
%& '
−−→ −−→ −−→ a 2 ar 1 1& a '
S2 M = S2 O + OM ⇒ S2 M = + r 2 − 2 cos u ⇒ $ 1 + cos u
2 2 r2 r 2r
donc : →

qa cos u p ·−
→r
Vd (M) = =
4p´0 r 2 4p´0 r 3
5. a) On utilise les coordonnées sphériques :
−−→ 1 d(r −3 ) −
→ −3 −
→ −3−→ r
grad 3 = ur = 4 ur =
r dr r r 5

et
−−→ − −−→ dr → pr dcos u −
grad →p ·− →
r = grad (pr cos u) = p cos u − ur + uu = p cos u−
→ →
ur − p sin u−

uu
© Dunod – La photocopie non autorisée est un délit

dr r du
ce qui est égal à −

p.

− →
− −−→
b) Pour calculer E , on utilise E = − grad Vd :
# $

− 1 −−→ − →p ·− →
r 1 →
− →
− −−→ 1 1 −−→ − → →

E = grad = ( p · r ) grad 3 + 3 grad ( p · r )
4p´0 r3 4p´0 r r
En remplaçant par les expressions établies à la question précédente, on trouve le résultat demandé
avec kl = 3.
c) En coordonnées sphériques, on a − →r = r− ur et −
→ →p = p(cos u− →ur − sin u− →
uu ). L’expression du champ
devient :
1
E= (3pr 2 cos u−
→ur − pr 2 cos u−
→ur + r 2 sin u−

uu )
4p´0 r 5

soit :
p cos u p sin u
Er = ; Eu = ; Ew = 0
2p´0 r 3 4p´0 r 3

1485
Ψ1 -- My Youssef -- Série n° 1-corrigé page 5/7
Chapitre 46 – Dipôle électrostatique (MPSI, PCSI)
Ψ1 -- My Youssef --- Chakir A.

tan u
d) On peut écrire tan b = Eu /Er , ce qui donne tan b = .
2
p
e) Lorsque E est parallèle à Oy, on a u + b = donc :
2
!p " 1
tan b = tan −u =
2 tan u
d’où tan2 u = 2 et u = 54, 7◦ .
6. a) Une surface équipotentielle est une surface sur laquelle tous les points sont au même potentiel.
L’équipotentielle V0 est telle que :
p cos u 2 2 2 p
V0 = ⇒ r = r 0 cos u avec r0 =
4p´0 r 2 4p´0 V0


b) Une ligne de champ est une ligne en tout point tangente au champ électrique. Si on appelle d !


le vecteur déplacement élémentaire sur la ligne de champ, qui s’exprime par d ! = dr −

ur + r du−

uu ,
l’équation s’obtient par :

→ → −
− → dr r du dr 2 cos u du
E ∧d ! = 0 ⇒ = ⇒ =
Er Eu r sin u
On trouve après intégration : r = R sin2 u, où R est une constante caractéristique de chaque ligne.
c) Les équipotentielles et les lignes de champ sont tracées dans le cours.
7. a) Le couple exercé sur le dipôle par rapport à O est :
→ −−→
− →
− −−→ →
− −−→ − → →

G = OS1 ∧ (−q E e ) + OS2 ∧ (q E e ) = qS1 S2 ∧ E e = −

p ∧ Ee
Il est indépendant du point où il est calculé.


b) Si l’on note a l’angle entre − →
p et E e , l’énergie potentielle vaut U = −PEe cos a. Elle est donc
minimale lorsque a = 0, c’est la position d’équilibre stable avec le dipôle aligné sur le champ,
dans le même sens. Pour a = p, l’énergie est maximale, c’est la position d’équilibre instable avec


le dipôle anticolinéaire à E .

5 A.2 On
Câble a représenté
coaxial. la distribution sur la figure (S46.1).
M
En appliquant le théorème de superposition, le potentiel créé en M est :
# $
1 2q q q
V (M) = − − " r
4p´0 OM PM PM
u
En faisant l’hypothèse que a % r on va calculer le potentiel à grande P" O P
distance en effectuant un développement limité au deuxième ordre en
a/r car il est nul au premier ordre. On rappelle que Figure S46.1
# $
−1/2 x 3 2
(1 + x) & 1− + x
2 8
Il vient : %
−→ −→ −−→ √ a a2
PM = PO + OM ⇒ PM = a2 + r 2 − 2ar cos u = r 1 − 2 cos u + 2
r r
On obtient donc pour le développement limité :
# $
1 1 a a2 3 4a2 2
& 1 + cos u − 2 + cos u
PM r r 2r 8 r2
On procède de même pour P " M ce qui donne :
% # $
" a a2 1 1 a a2 3 4a2 2
P M = r 1 + 2 cos u + 2 ⇒ " & 1 − cos u − 2 + cos u
r r PM r r 2r 8 r2
Ψ1 -- My Youssef -- Série n° 1-corrigé page 6/7

→ m0 I 2 r2 −
B = sin a ln → uz
2a r1 Ψ1 -- My Youssef --- Chakir A.
La réponse (C) est juste.
B.6 1. La surface S s’appuyant sur le contour fermé orienté est elle-même orientée par rapport à


l’orientation du contour, selon la règle de la main droite. La circulation du champ B sur le contour


C est égal au flux du vecteur densité de courant j à travers la surface S multiplié par m0 .
2. a) Le plan contenant le point M et l’axe Oz est plan de symétrie de la distribution de courant donc


le champ B (M) est orthogonal à ce plan : il est orthoradial.


b) La distribution de courant est invariante par translation selon Oz et par rotation d’axe Oz donc B
ne dépend que de r.
c) Les lignes de champ sont donc des cercles d’axe Oz.
3. a) On calcule la circulation du champ le long d’un cercle d’axe Oz et de rayon r orienté dans le sens
positif par rapport à Oz, c’est-à-dire suivant −

uu . Avec ce qui précède, il vient :
"


B (M) · d!−→
uu = 2prB(r)
cercle

Si r > R3 , le courant enlacé par le contour est nul car égal à I − I. Le théorème d’Ampère donne
alors :
2prB(r) = m0 Ienlacé = 0 ⇒ B = 0
b) L’intérêt d’un câble coaxial par rapport à un câble normal est la nullité du champ à l’extérieur donc
pas de parasites induits sur le reste du circuit.
4. L’intensité est le flux du vecteur densité de courant à travers la section du conducteur. Pour r < R1 ,
on a en norme I = j1 pR12 et pour R2 < r < R3 , toujours en norme I = j2 p(R32 − R22 ) soit avec les
orientations :

− I − → →
− I →

j 1= 2 z
u et j 2 = − uz
pR1 p(R3 − R22 )
2

5. Comme précédemment, on prend comme contour des cercles de rayon r et d’axe Oz, orientés dans


le sens positif par rapport à Oz, c’est-à-dire suivant − →uu . La circulation de B sur ces contours est 2prB.

− →

On doit maintenant calculer le flux de j 1 et j 2 à travers la surface du contour :
m0 j1 r
• a) r > R1 , Ienlacé = j1 pr 2 soit B = .
2
2 m0 j1 R12
• b) R1 < r < R2 , Ienlacé = j1 pR1 soit B = .
2r
• b) R2 < r < R3 , Ienlacé = j1 pR12 − j2 p(r 2 − R22 ) soit B =
m0 j1 R12

m0 j2 (r 2 − R22 )
.
Solutions
2r 2r

1502
6. La vérification de la continuité est immédiate. B
7. La courbe B(r) est tracée sur la figure (S50.7).
r
R1 R2 R 3
Figure S50.7

Chapitre 51


− m0 I −

A.1 Le fil crée un champ magnétique B = uu en choisissant les I
2p
coordonnées cylindriques d’axe le fil. L’énergie potentielle d’un aimant,
−→
qu’on modélise par un dipôle magnétique de moment M, dans un

→− →
champ magnétique extérieur s’exprime par : Ep = −M. B . Cette éner- −

gie doit passer par un extremum pour que l’aimant soit en équilibre. B
Ψ1 -- My Youssef -- Série n° 1-corrigé page 7/7
Ce sera le cas lorsque le moment magnétique de l’aimant et le champ −
−→ −
−→

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