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mg
xeq = `0 +
k
λ k k`0
ẍ + ẋ + x = g +
m m m
On en déduit : s
k
ω0 =
m
ainsi que :
√
ω0 λ mk
= ⇐⇒ Q =
Q m λ
3. On reconnaît une équation différentielle du second ordre à coefficients constants,
de polynôme
caractéristique r + Q r + ω0 = 0 et donc de discriminant : ∆ = ω0 Q2 − 4 .
2 ω0 2 2 1
Les oscillations apparaissent si les solutions du polynôme caractéristique sont complexes conjuguées,
soit Q12 − 4 < 0. On en déduit :
1
Q>
2
5. Dynamique des corps ponctuels 5.1. Problèmes de khôlle
q
4. On note β = 4 − Q12 , les racines complexes conjuguées sont alors : r± = − 2Q
ω0
± jω0 β et la solution
homogène est donc :
ω0
sh = exp − t (A cos (ω0 βt) + B sin (ω0 βt))
2Q
La solution particulière est sp = `0 + mgk = xeq .
Les conditions initiales donnent alors : x(t = 0) = xeq = xeq + (A + 0) dont on déduit A = 0.
Ainsi que ẋ(t = 0)= v0 Résoudre
l’équation différentielle
pour x(t = 0) = xeq et ẋ(t = 0) = v0 .
Avec ẋ = − 2Q exp − 2Q t B sin (ω0 βt) + exp − 2Q t ω0 β cos (ω0 βt), il vient : v0 = ω0 βB dont on
ω0 ω0 ω0
tire :
v0
x(t) = xeq + sin (ω0 βt)
ω0 β
x
O
#” α
RN
#”
#” T
mg
#”
2. L’expression de la réaction du ressort est : T = −k(` − `0 )u#”s où u#”s = −u# ”x et ` = −x. On en déduit
#”
T = −k(x + `0 )u# ”x
3. La projection du poids sur l’axe Ox est −mg sin α et celle du PFD donne sur l’axe Ox : mẍ =
−mg sin α − k(x + `0 ) soit sous forme canonique
k k
ẍ + x = −g sin α − `0
m m
6. L’oiseau est libéré lorsque x(t) = −`0 , soit x(teject ) = xeq − a cos (ω0 teject ) = −`0 et en utilisant
mg
l’expression de xeq : −`0 = −`0 − k sin α − a cos(ω0 teject ) d’où
mg
cos(ω0 teject ) = − sin α
ak
7. La vitesse s’exprime selon : v(t) = ẋ(t) = aω0 sin(ω0 t) = aω0 1 − cos2 (ω0 t) d’où
p
s 2
mg
vinit = v(teject ) = aω0 1 − sin α
ak
2. Le référentiel est dit galiléen, le bilan des forces est réalisé, il ne reste qu’à choisir une base de
projection. La base cylindrique d’axe de rotation Oz (est la plus adaptée.
−m`θ̇2 = −T + mg cos θ
Le PFD en projection sur les vecteurs locaux s’écrit .
m`θ̈ = −mg sin θ
La seule équation que l’on peut résoudre (T est une inconnue) est celle en theta que l’on écrit sous
la forme
g
θ̈ = − sin θ
`
3. L’approximation des petits angles consiste à effectuer le développement limité à l’ordre 1 sin θ ' θ,
valable tant que |θ| ≤ 30°.
L’équation différentielle devient θ̈ + ω0 2 θ = 0 que l’on identifie à celle de l’oscillateur harmonique
et que l’on résout en écrivant(θ(t) = A cos (ω0 t) + B sin (ω0 t).
θ(t = 0) = 0
Les conditions initiales sont . On en déduit
`θ̇(t = 0) = v0
v0
θ(t) = sin (ω0 t)
`ω0
4. En notant θmax l’angle maximal, admissible pou l’approximation des petits angles, il faut donc que
∀t, θ(t) ≤ θmax or θ(t) ≤ `ω
v0
0
d’où
v0 ≤ `ω0 θmax
x
O
θ
` #”
T #”
v
#”
M #” f
V vent
m #”
g
#” #”
On ajoute, au bilan des forces, la nouvelle force f = −β( #” v − V vent ) et la position d’équilibre se
#” #” #”
traduit par 0 = m #” g + β V vent + T . (
0 = −T + mg cos θ − βVv sin θ
En projection sur les divers axes, il vient : . On déduit de la
0 = −mg sin θ + βVv cos θ
projection sur u#”θ la nouvelle position d’équilibre :
βVv
tan θ =
mg
(
−m`θ̇2 = −T + mg cos θ − βVv sin θ
6. Le PFD projeté donne : et la seconde équation écrite sous
m`θ̈ = −mg sin θ − β(`θ̇ − Vv ) cos θ
l’hypothèse des petits angles se simplifie à l’ordre 1 en : m`θ̈ = −mgθ − β(`θ̇ − Vv ) soit la forme
canonique
g β βVv
θ̈ + θ + θ̇ =
` m m`
βVv
7. La solution particulière est Sp = θeq = mg et pour connaître la forme de la solution homogène, il
β g
faut résoudre l’équation caractéristique +m r+: r2 l = 0.
β 2 g
Son discriminant est ∆ = m2 − 4 ` = −2Ω < 0.
2
√
−β± ∆
Les solutions de cette équation du second
ordre sont r± = m 2 .
On en déduit θ(t) = βV β
mg + exp − 2m t (A cos (Ωt) + B sin (Ωt)).
v
θ(t = 0) = 0 = βVmg + A
A = − βV
( ( v
v
mg
Les conditions initiales sont β . On en déduit β 2 Vv
`θ̇(t = 0) = v0 = − 2m A + BΩ v0
`Ω − 2m2 gΩ
=B
soit ! !
βVv β βVv v0 β 2 Vv
θ(t) = + exp − t − cos (Ωt) + − sin (Ωt)
mg 2m mg `Ω 2m2 gΩ
O O
k 0 , `00 `1
k, `0 `
k 0 , `00 `2
m m
la tension du ressort 1. On se place dans la base de projection cartésienne, avec l’axe Oz orienté
vers le bas. À l’équilibre on a donc `1 = `20 + mg
k0 puisque les ressorts sont sans masse. De même,
le système {masse m} est attaché au ressort 2 et subit les forces poids et tension du ressort 2, et à
l’équilibre `2 = `20 + mg
k0 .
On en déduit ` = `0 + mg mg mg
k = 2 + k0 + 2 + k0 et donc
`0 `0
1 2
= 0 ⇔ k 0 = 2k
k k
(m1 + m2 )g
∆`1eq = `1eq − `01 =
k1
De même, le système {masse m2 } est soumis à son poids et à la réaction du ressort 2, et dans la
même base de projection, à l’équilibre :
m2 g
∆`2eq =
k2
3. Commençons par établir un lien entre la coordonnée zi et l’écart ∆zi : z1 = `1eq + ∆z1 = `01 +
∆`1eq + ∆z1 et z2 = `1 + `2 = `01 + ∆`1eq + ∆z1 + `02 + ∆`2eq + ∆z2 .
Les PFD appliqués aux systèmes ponctuels { masse m1 } et {masse m2 } s’écrivent
( 2
m1 ddtz21 = m1 g − k1 (`1 − `01 ) + k2 (`2 − `02 )
2
m2 ddtz22 = m2 g − k2 (`2 − `02 )
2
4. On déduit que z2 = cste et ∆z2 = 0. La seule équation différentielle à résoudre est m1 d dt∆z 2
1
=
−(k1 + k2 )∆z1 . q
On reconnaît un oscillateur harmonique de pulsation ω0 = k1m+k 1
2
et on en déduit que la forme de
la solution est ∆z1 (t) = A cos (ω0 t) + B sin (ω0 t). Les conditions initiales données permettent alors
d’écrire le système
∆z1 (t = 0) = Zd = A
(
d∆z1 (t)
dt (t = 0) = (t = 0) = 0 = ω0 B
dz1
dt
et on en déduit
(m1 + m2 )g
z1 (t) = `01 + + Zd cos ω0 t
k1