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Le selfie , pourquoi un tel succès ?

Le mot « selfie » est apparu pour la première fois en 2002 sur un forum de discussion en

ligne australien. En 2013, c’est le nouveau mot de l’année dans la langue anglaise. C’est une

dérivation de self, nom commun signifiant « le moi ». Il est utilisé comme pronom personnel

réfléchi : yourself (toi-même), myself (soi-même).

Un selfie est un cliché photographique de sa propre personne pris avec un Smartphone

et publié sur les réseaux sociaux. L’explosion de l’utilisation des réseaux sociaux tels

qu’Instagram, Facebook, Snapchat … out le monde s’y met : Les hommes politiques, les

chanteurs, les adolescents.... La raison est simple, le selfie permet de se construire et de

montrer une image sympa.(…)

Le Monde. le 10-09-2016

Choléra : Découvrez la maladie, ses symptômes et conséquences

L’Algérie a confirmé ce jeudi 41 cas de choléra au niveau de 4 wilayas.


Une maladie moyenâgeuse qui refait surface dans le pays et que peu de gens
connaissent.
Le choléra est une maladie contagieuse et épidémique due à une
bactérienommée Vibrio cholerae. Cette infection touche plus particulièrement
l’intestin grêle. Le choléra est une maladie très contagieuse à transmission
fécale-orale.
Il est important à noter que cette maladie se transmet en général par une
eau contaminée par des selles humaines, mais elle peut être transmise par des
aliments contaminés tel que les fruits de mer ou les crustacés crus ou cuits de
façon insuffisante.
Les signes du choléra prennent généralement de moins d’un jour à cinq,
c’est ce que les médecins nomment période d’incubation de la bactérie. Les
principaux symptômes de cette maladie sont: une diarrhée aqueuse, abondante et
indolore, des vomissements de liquide clair; des nausées.
Le choléra dure habituellement de 3 à 6 jours, mais s’il n’est pas traité, il
peut mener à un état de choc dû à la déshydratation, à une insuffisance rénale,
au coma et à la mort.
Hidayette Bersali ; Le 25 Aout 2018, algerie-direct.net/santé
Face à la calvitie, la recherche fait un pas en avant

70% des hommes sont, à un moment où à un autre de


leur vie, confrontés à une "alopécie", communément
appelée "calvitie". Pour 20% des hommes, le
phénomène intervient même entre 20 et 30 ans.
Concrètement, on parle "d’alopécie" lorsque la
chute dépasse les 100 cheveux par jour, à tel point
que le crâne s’éclaircit sensiblement (et parfois même
totalement) au niveau du front, du sommet du crâne ou des tempes.

Le type le plus courant d’alopécie est appelé "androgénétique". La calvitie serait, avant
tout, liée à un excès d’hormone mâle, et dépendrait du (1)patrimoine génétique de chacun.

En clair, la majeure partie des calvities est héréditaire. Si le phénomène touche avant
tout les hommes, il n’épargne pas non plus les femmes.

L’autre type d’alopécie la plus courante est dite "diffuse" ou "aigue", et peut être due à
un excès de stress, à des carences alimentaires importantes (en fer, notamment), à des troubles
hormonaux ou du (2)métabolisme (la thyroïde, par exemple) mais aussi à certains traitements,
à l’instar de la chimiothérapie. Certaines maladies de peau ou des inflammations au niveau du
bulbe (liées à un excès de pellicules, par exemple) peuvent également expliquer la calvitie.

Depuis quelques années , en effet, les chercheurs travaillent à une méthode de culture
de "germes de (3)follicules pileux". En clair, il s’agit ni plus ni moins de cloner des cheveux.
Les chercheurs savent désormais isoler les cellules responsables de la formation des cheveux,
les extraire et les cultiver en laboratoire, pour ensuite les réimplanter dans (4)le cuir chevelu.
Ainsi, contrairement à (5)un implant traditionnel qui se contente de regarnir le crâne, il
s’agirait là d’un implant qui permettrait aussi de relancer la croissance des cheveux.

C’est au Japon que l’avancée a été réalisée. Alors que la plupart des expériences n’avait
permis jusque-ici que la culture d’une cinquantaine de germes de follicules pileux, des
chercheurs de l’université de Yokohama sont parvenus à en cultiver… 5.000 d’un coup !
"Cette méthode simple est très robuste et prometteuse. Nous espérons que cette technique
améliorera la thérapie régénérative des cheveux humains afin de traiter la perte des cheveux",
a commenté le professeur Junji Fukuda, qui dirigeait l’équipe, dans la revue scientifique
Biomaterials.
Les résultats ont été atteints in vitro à partir d'un mélange de cellules humaines et
épiderme de souris, d’où l’appel à la patience des scientifiques : les tests sur les humains ne
seront probablement pas réalisés avant cinq ans qui laissent espérer de nouveaux produits
d’ici 10 ans.

.Gaétan Supertino, http://www.europe1.fr. Le 08 février 2018

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