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Contrôle de la Signalisation

verticale et Horizontale

Présentée par Mme MEDDAD Dalila


LMTPB
LES TYPES DE DISPOSITIFS UTILISÉS
PAR LA SIGNALISATION

 la signalisation Horizontale (par marquage des


chaussées )

 La signalisation Verticale
Le marquage horizontal appelé aussi marquage routier est
constitué de lignes continues ou discontinues, ou de tout autre
symbole appliqué de façon uniforme sur la surface de la chaussée
afin d’en délimiter les différentes zones, voies ou de prévenir
l’usager des modifications ou des dangers pouvant survenir.

Il peut être permanent ou temporaire, Dans ce dernier cas, il doit


pouvoir éventuellement être enlevé à la fin de la période
d’utilisation sans laisser de traces sur la chaussée.
Le marquage routier a pour objectif d’assurer la sécurité
de l’automobiliste en lui fournissant des éléments de
guidage et des informations sur le comportement à
apporter à l’approche des points singuliers

cette signalisation, pour être assimilable et crédible, doit


être précise et homogène
 Les couleurs à utiliser; blancs pour les lignes en section
courante, par souci de visibilité, jaune pour les marquages
Spéciaux ou temporaires
 La modulation pour les lignes discontinues, d’autant plus dense
que le dépassement est conseillé
 La largeur des lignes, variable, par référence à une unité, selon
le type de route, pour répondre à des exigences de lisibilité
différentes
 Les modalité de marquage des points singuliers, en fonction
des distance de visibilité

 Le marquage et la signalisation doivent, en tout état


de cause être en parfaite Harmonie
Les matériaux de marquage
 les produits de marquages
 les microbilles de verre
 les produits antidérapants
 les mélanges de microbilles de verre et de produits
antidérapants
les produits de marquages
1. Les peintures (type A1 et type A2)
2. Les produits thermoplastiques
3. Les enduits à froid (type f1)
4. Les produits préformés collés (type g1)
5. Les marquages à reliefs

Le type 1 et 2 sont les plus utilisés en Algérie


Les peintures
 Les solvants et diluants
 Les matières pulvérulentes
 Les liants
Les billes de verres

 Billes de prémélange
 Billes de saupoudrage
 Produit antidérapant
Les billes de saupoudrage sont les plus utilisés
en Algérie
Produits homologués
Désignation de la
N° Fabricant Durée Références microbilles
peinture
1 SOLTAROUTE machine 12 SPOA 12 Mois MB 1 B2 T P12

2 SOLTAROUTE machine 18 SPOA 18 Mois MB 1 B2 T P12

3 SOLTAROUTE machine 24 SPOA 24 Mois MB 1 B2 T P12

4 SINOLACK Provence SIGNATURE 12 Mois SOVITEC MB1 B2 TP2

5 SINOFLEX Armor SIGNATURE 12 Mois SOVITEC MB1 A2 TS

SOVITEC MB1 B2 TP(12)


6 SIGNEROUTE COLORINK 12 Mois
Ø:125-360µm

MB.3.B2H125.630H
7 SIGNARYL BLANC ENAP 12 Mois
Potters Ballotini
Essais d’identification des peinture
 Extrait sec conventionnel selon la norme NFT 30-013

 Taux de cendre selon la norme NFT 30-012

 Temps de séchage selon la norme NFT 30-037

 Densité relative à 20°C selon la norme NFT 30-020

 Temps d’écoulement des peinture à 20°C selon la norme


NFR 30-014
Appareillage de contrôle en laboratoire
Caractéristique des peintures routière

Désignation Type A2

Teneur en TiO2  19 % *

Masse volumique  1,40 kg/dm3

Viscosité 70 à 90 K.U

Teneur en solvant  30%

Teneur en solvant(s) aromatiques (s)  3%

Extrait sec en masse  68%

Temps de séchage sur plaque de verre  10 minutes


Les billes de verre
 Les produits de marquage ne sont correctement visibles
hors des zones éclairées que grâce aux billes de verre,
qu’elles proviennent du saupoudrage au moment de
l’application ou du produit lui-même.

 Les billes de verres permettent le retour d’une partie de la


lumière provenant des feux de véhicules vers l’œil du
conducteur. Elles constituent, comme le dioxyde de
titane, un élément fondamental des produits de marquage,
La direction d’observation du conducteur étant proche de la direction
d’éclairage, la quantité de lumière rétroréfléchie dans cette direction par les
billes de verre présentes à la surface du produit de marquage est beaucoup
plus importante que celle provenant des surfaces voisines diffusantes. La
visibilité du marquage s’en trouve ainsi largement accrue.
Essai de contrôle des billes de verres

Selon la norme NA 5334

 Une détermination de la granularité,

 Une détermination du pourcentage des défauts.


Billes de verres défectueuses

Billes de verres conformes

Selon la norme NA 5334, le pourcentage des microbilles défectueuses doit être à 20%
Le rôle des billes de verres
 La rétroréflexion ne dépend pas que des
caractéristiques des billes, Le dosage et l’enfoncement
des billes dans le produit sont également très
importants, l’application est donc fondamentale.
 les billes sont tamisées pour ajuster leur granularité
avec celle exigée par la norme. Les traitements
d’hydrofugation et autres sont réalisés en fin de
fabrication
Les exigences de l’application
Le comportement dans le temps des produits de
marquage dépend pour une application donnée des
contraintes locales d’utilisations, à savoir:
 Largeur de la chaussée
 Revêtement routier
 Trafic; volume et composition
 Climat: (12°C<T<40°C , H<80%)
 Position de la marque
Vérification du matériel – planche d'essai
Avant le démarrage d'un chantier de marquage, on doit procéder
au réglage de la machine auquel le maître d'œuvre peut assister. Il
s'assurera en particulier sur une planche d'essai:

 de l'état du matériel et de son bon fonctionnement,


 de la conformité des produits
 de la régularité des dosages en produit et en microbilles pour
la vitesse de fonctionnement choisie,
 de la régularité longitudinale et transversale des dosages en
produits et en microbilles,
 des caractéristiques géométriques des bandes qui doivent
respecter les tolérances
 L’application des produits liquides est immédiatement suivie d’un
saupoudrage régulier (mécanique ou manuel) de microbilles de verre
mélangées ou non avec des produits antidérapants.

 Tous les matériaux sont appliqués de façon à obtenir un dosage


uniforme transversalement et longitudinalement.

 Certains marquages peuvent présenter une texture superficielle dans


le but d’éviter la formation d’un film d’eau qui réduirait le pouvoir
réflecteur du marquage. Cette visibilité du marquage, par temps de
pluie, peut également être obtenue par l’utilisation de microbilles de
verre de grand diamètre.
stockage
CONTROLE DE MISE EN ŒUVRE
La présence quotidienne de l’équipe permet de contrôler
toutes les phases de mise en œuvre :

 Etat du support
 Dosages en peinture et en microbille
 Qualité de mise en œuvre ;
ETAT DU SUPPORT
Il faut réaliser les applications sur surfaces sèches et propres,
la température du support étant comprise entre 10 et 40 °C,
ce qui limite les périodes d’application dans la plupart des
régions entre le mois de mars et le mois d’octobre,

Si l’état du support est poussiéreux il faut procéder au


soufflage,
Dosages en peinture et en microbille
 Une planche expérimentale est nécessaire pour
déterminer un dosage de qualité en bille de verre et
peinture,
 Elle permet aussi de s’assurer qu’avec le matériel et les
produits préparés, on peut appliquer convenablement
les quantités prévues conduisant aux qualités
souhaitées.
Calcul des dosages
 Dosage en peinture

 Peser le sachet en polyéthylène et envelopper la plaque métallique


 Mettre cette plaque sur la route
 Appliquer directement la peinture sur cette plaque
 Enlever le sachet plein de peinture et le peser, soit M1 sa masse
 Largeur de la bande = l
 Longueur de la bande= L
 Surface en m2 = l * L

 le dosage en peinture (g/m2)= M1 /( l * L)


Dosage en microbilles de verres
 Peser le sachet en polyéthylène et envelopper la plaque
métallique
 Mettre cette plaque sur la route
 Appliquer directement (la peinture + microbilles de
verres) sur cette plaque
 Enlever le sachet plein de (peinture + microbilles de
verres) et le peser, soit M2 sa masse
 Le poids en microbilles de verres M3 = M2 – M1
 Largeur de la bande = l
 Longueur de la bande= L
 le dosage en microbilles de verres (g/m2)= M3 /( l * L)
Planche expérimentale

La planche d’essai est réalisée le jour même de réception du matériel


et produits de marquage
Mesure de l’épaisseur humide de la
peinture in-situ

Mesure du temps d’écoulement

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Dimensions
 La largeur normalisée de la rives (l) = 18 cm
 La largeur normalisées de l’axe (l) = 15 cm
 La longueur normalisée de la plaque métallique
(L) = 67 cm
 Le contrôle de ces dosages se fait aisément par pesée après
séchage d’éprouvettes de dimensions suffisantes placées au
passage de la machine (ou utilise couramment des feuilles de
polyéthylène de 3/10 mm d’une longueur de 67 cm). En
rapportant les poids obtenus aux surfaces réalisées, on obtient
les quantités déposées en g/m2 de produit sec + billes +
agrégats. Pour avoir les dosages en produit sec seul, on réalise
des éprouvettes avec blocage des dispositifs de saupoudrage.

 En fonction des résultats obtenus, on peut être conduit à


modifier les réglages de la machine, par exemple la pression au
pistolet ou la vitesse d’application pour obtenir les dosages
prévus.
QUALITE DE MISE EN ŒUVRE
Le contrôle de la qualité de mise en œuvre englobe :

 Mesure de la viscosité des peintures in situ ;

 Vérification des largeurs de bandes ;

 Mesure des épaisseurs du film humide ;

 Mesure des coefficients de rétro réflexion de jour et de nuit au


Rétroréflectomètre ZEHNTNER.

 Rugosité (SRT)
Viscosité des peintures

Elle est déterminée par le temps d’écoulement, mesuré à l’aide


de la coupe consistométrique Ford cup#4.

Les résultats obtenus varient entre 80 à 110 s (70 à 90 Krebs)


Epaisseur du film humide
 Les épaisseurs du film humide sont mesurées au moyen de
la jauge ZEHNTNER.

 Celles-ci varient entre 600 et 800 µm


La rétroréflexion (NA 5348)
 le principe de rétroréflexion de la lumière est de
loin le plus important pour détecter adéquatement
les lignes de marquage et avoir une visibilité de
nuit adéquate. Pour obtenir cette rétroréflexion,
des microbilles de verre sphériques ayant un
diamètre se situant majoritairement entre 0,3 mm
et 0,6 mm sont ajoutées aux produits de marquage.
Sans l’ajout de ces microbilles, il serait plus difficile
pour un conducteur de percevoir adéquatement
les lignes de marquage lorsque l’éclairage diffus est
faible ou inexistant
 La visibilité du marquage des chaussées est un facteur
essentiel de sécurité en conduite nocturne, en particulier hors
des zones éclairées. Elle doit donc être la meilleure possible. Si
cet objectif est prioritaire pour le responsable de la
signalisation horizontale, la visibilité de nuit doit être
également durable et d’un coût acceptable.
 La visibilité de nuit varie avec l’enfoncement des microbilles
dans la peinture donc avec le dosage en peinture et son pouvoir
mouillant vis-à-vis des microbilles,
 Bien qu’en théorie les conditions qui permettent d’obtenir une
visibilité de nuit élevée soient connues, leur maîtrise n’est pas
moins délicate, surtout sur chantier où de nombreux paramètres
interviennent
 La visibilité de nuit est déterminée par la valeur de la
rétroréflexion RL et la visibilité de jour est déterminée
par la valeur du facteur de luminance Qd.
 Ces deux coefficients sont mesurés à l’aide du
Réflectomètre ZEHNTNER ZRM 6014.
 RL ≥ 150
 Qd ≥ 130
Rétroréflectométre
Avantage d’une bonne rétroreflexion
LA RUGOSITE

La rugosité d’un revêtement est constituée par :


 la macro rugosité résultant des petites dénivellations de la
surface constituées par la juxtaposition de granulats de
forme et de grosseur irrégulières (bien que dans une
fourchette donnée).
 La microrugosité résultant de la texture de la roche dont
les granulats sont issus.
 A l’échelle de la route, la macro rugosité est
prépondérante, et sa diminution sensible ou sa disparition,
constituent par un temps de pluie pour l’usager un risque
permanent d’aquaplanage.
Mesure de l’adhérence au moyen du pendule SRT
(NA 5342)

 Cet essai est réalisé avec un pendule Skid Resistance


Tester (SRT). Les résultats de la mesure sont exprimés sur
une échelle arbitraire de 0 à 100. La valeur limite pour un
marquage suffisamment sûr est généralement fixée à 45 ou
50 SRT. Dans la pratique, la plupart des valeurs mesurées
se situent entre 20 (très lisse) et 70 SRT (très rugueux).
Rugosité
Le degré d'usure (NA 5335)
 C’est un essai in situ qui permet de déterminer l'état de
vieillissement du marquage au travers du taux de produit
restant au sol.
 Le degré d’usure est défini par comparaison à une série de
quatre photographies standard numérotées 2, 4, 6 et 8. Une
note de 0 à 10 peut être attribuée à un marquage, soit par
observation directe, soit par l’intermédiaire d’un document
photographique.
 Le degrés d’usure doit être > 6
Journal de chantier
Pendant la durée des travaux, l'entrepreneur tiendra à la
disposition du maître d'œuvre un journal de chantier où il
consigne notamment par journée effective de travail, les
indications suivantes :
 les indications climatiques journalières pendant l'application
(températures, précipitations, hygrométrie, vent),
 les quantités journalières des différents produits,
 les longueurs et surfaces journalières marquées avec indication
des routes,
 les contrôles de dosage effectués par l'entreprise,
 les autres réglages de matériel d'application,
 les incidents ou évènements particuliers.
SIGNALISATION VERTICALE
La signalisation verticale est l’ensemble des
signaux conventionnels implantés verticalement sur
le domaine routier et destinés à assurer la sécurité
des usagers de la route, soit en les informant des
dangers et des prescriptions relatifs à la circulation
ainsi que des éléments utiles à la prise de décisions,
Soit en leur indiquant les repères et équipements
utiles à leurs déplacements.
Les différents types de signalisation verticale

 La Signalisation Permanente de Police

 La Signalisation Directionnelle

 La Signalisation Temporaire (de police et de direction,


posée au sol ou sur supports fixes
 Les équipements de sécurité
 ,,,,,
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La Signalisation Permanente de Police


 de danger (type A)

 d’intersection et de priorité (type AB)

 de prescription (type B)
 d’indication (type C)

 de position des passages à niveaux (type G)


 additionnels (type M)
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La Signalisation Directionnelle
 La signalisation directionnelle regroupe l’ensemble des panneaux signalant
des lieux (agglomérations, communes, quartiers, ...) ou des services (parcs
de stationnement, hôtel de ville, hôpitaux, écoles,...). Plus précisément, elle
comprend :
 les indications à la conduite (panneau type C)
 les directions (panneau type D)
 les jalonnements piétonniers (panneau type Dp)
 Les indications cyclables (panneau type Dv)
 Les localisations (panneau type E)
 les débuts et fins d’agglomération (panneau type EB)
 les informations (panneau type H
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La Signalisation Temporaire
 Les typologies de panneaux de chantier :
 la signalisation de danger (panneau type AK)
 la signalisation de prescription (panneau type B)
 la signalisation d’indication (panneau type C)
 les panonceaux (type M et KM)
 la signalisation d’indication de chantier (type KC1, KD8, KD9, KD10,
KD21, KD22, KD42, KD43, KD62, KD69, KD73)
 le balisage (type K2, K5, K8, K16)
 la signalisation de déviation ou rétrécissement de voie (type K8)
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Forme des panneaux


• panneaux de danger : triangulaires.
• panneaux relatifs aux intersections et notifiant les régimes
de priorité : triangulaires, carrés (panneaux placés sur
pointe) et octogonaux.
• panneaux de prescription : circulaires.
Contrôle des panneaux de signalisation
 Mesure de la Rétroréflexion NFP 98-528
 Contrôle de la qualité de la galvanisation du métal
 Aspect visuel
 Épaisseurs NF P 98-533
 Contrôle de la conformité de la Géométrie NFP 98-533
 Contrôle de la conformité des décors NFP98-532-6
 Contrôle des imperfections apparentes
 Planéité des subjectiles NFP 98-531
 Adhérence NF EN ISO 2904
 Nuance de l’acier EN 10020
 Mesure des caractéristiques colorimétrique NFP 98-522
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Mesure de la Rétroréflexion selon la norme NFP 98-528 :


« Signalisation routière verticale - Revêtements rétroréfléchissants -
Méthode d'essai pour la mesure du coefficient de rétroréflexion
avec un rétroréflectomètre portable »
 La rétroréflexion désigne la quantité de lumière renvoyée par un
marquage appliqué sur la chaussée ou par un panneau de signalisation.
Elle est caractérisée par le coefficient de luminance rétroréfléchie qui
s'exprime en millicandelas par mètre carré et par lux. Les panneaux et
panonceaux de signalisation doivent être visibles et garder le même
aspect de nuit comme de jour. La rétroréflexion porte sur toute la
surface des panneaux et panonceaux à l'exception des parties noires ou
grises.
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Mesure de la retroréflexion
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Les classes de rétroréflexion

Film rétroréfléchissant de classe 1 :


Niveau de visibilité le plus faible.
Valeur mini de rétroréflexion : 50 cd/lux/m² (pour un film blanc à l'état neuf).
Film rétroréfléchissant de classe 2 :
Niveau de visibilité intermédiaire.
Valeur mini de rétroréflexion : 180 cd/lux/m² (pour un film blanc à l'état neuf).
Film rétroréfléchissant de classe 3 :
Niveau de visibilité le plus élevé.
Valeur mini de rétroréflexion : 425 cd/lux/m² (pour un film blanc à l'état neuf).
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Épaisseurs
norme NF P 98-533

L’épaisseur de couche est mesurée sans destruction de la


plaque, La mesure est faite avec un micromètre assurant une
précision de mesure de 0.05mm.
L’épaisseur est prescrite sur le cahier des charges car elle
dépend de son utilisation,
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Mesure de l’épaisseur
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Conformité de la Géométrie NFP 98-533, NFP 98-541


« Signalisation routière verticale - Panneaux de signalisation -
Méthodes de mesure des dimensions ».

 Cette partie spécifie les dimensions principales des panneaux de


signalisation routière verticales.

 La conformité de la géométrie sera évaluée par type


d’équipement.

 Elle se mesure à l’aide de réglettes graduées , équerres ,……


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Dimensions des panneaux.

Triangle Disque Octogone Carré


Gamme (côté (diamètre) Largeur entre côté nominal
nominal) les côtés
opposés)
Exceptionnel / / / 1500
le

Supérieure / / / 1200
Très grande 1500 1250 1200 1050
Grande 1250 1050 1000 900
Normale 1000 850 800 700
Petite 700 650 600 500
Miniature 500 450 400 350
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Panneaux type AK

Gamme Côté du triangle Rayon (X) (Y) Listel

Grande 1250 62.5 75 150 25

Normale 1000 50 60 120 20


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Panneau de type B
Couronne Diagonale
Diamètre du
Gamme Autres B31, B33, B34, B2, B7, B6a, B6b ,
cercle BO
Panneaux B35 B16

Grande 1050 185 148 179 86

Normale 850 150 120 145 70


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Conformité des décors NFP98-532-0, NFP98-532-1, NFP98-


532-6 « Signalisation routière verticale - Catalogue des décors
des panneaux de signalisation et des panonceaux - Partie 3 :
dimensions des décors et représentation graphique des
panonceaux »

Selon la norme NFP 98-532 ainsi que l’arrêté


ministérielle de 1974 (en cours d’actualisation)
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 Elle fixe les appellations, les graphismes et les couleurs


des décors des panneaux de police,
 Elle précise les types d’alphabets et leurs modes
d’utilisation et les règles de composition,
 Elle fixe les graphismes et les couleurs, des symboles,

Les différentes inscriptions seront obligatoirement


sérigraphies à l’aide d’encres compatibles avec les films
rétroréfléchissants.
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Planéité des subjectiles Y/C panonceaux NF P 98-533


« Signalisation routière verticale - Panneaux de signalisation -
Méthodes de mesure des dimensions. »

 Le principe de la détermination de la planéité est la


mesure de la flèche (concave ou convexe) pouvant
exister sur un panneau. L’essai est réalisé sur le
panneau non fixé sur son support et sur le panneau
fixé sur son support.
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Adhérence des revêtements sur subjectile

 Une adhérence défectueuse du film sur la couche de


galvanisation, soumise à une pression et l’humidité,
sans qu’il se produise une formation d’eau liquide par
saturation (point de rosée) provoque le décollement
du revêtement rétro réfléchissant.
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Cette caractéristique est définie par la méthode


quadrillage selon la norme NF EN ISO 2904 (indice de
classement NFT 30-038) : Filetages métriques
trapézoïdaux ISO - Dimensions de base L’essai consiste à
inciser la feuille de peinture jusqu’au subjectile au
moyen d’un instrument tranchant, en réalisant un
quadrillage, puis à examiner l’aspect de l’incision et le
comportement des carrés formés par le quadrillage, afin
de les exprimer par des valeurs caractéristiques.
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Nuance de l’acier EN 10020 « Définition et


classification des nuances d'acier»

Selon la norme européenne EN 10020, l'acier est un matériau


qui contient en poids plus de fer que n'importe quel autre
élément, ayant en général moins de 2 % de carbone et contenant
d'autres éléments.
Signalisation temporaire
Des travaux sont réalisés quotidiennement
 soit directement sur la voie
 soit en bordure de zone de circulation
Un chantier c’est une gène pour la
 circulation des usagers et un danger
 potentiel pour les personnes qui y travaillent.
types d’intervention :

 Le chantier fixe
 Le chantier mobile
 Le véhicule d’intervention (patrouilleur)
 L’agent
Signalisation temporaire
signalisation de danger signalisation de Signalisation d’indication La signalisation de position
constituée de panneaux prescription Constituée de panneaux
triangulaires (type AK) constituée de panneaux Rectangulaires (type KC)
circulaires (type B)

Signalisation de fin de prescription

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Exemple de Contrôle

 Balise d’Alignement
 Les dispositifs coniques
 Séparateur modulaire de voies
 Barrages K2
 Les flèches lumineuses de rabattement
 Remorques
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Contrôle de ces dispositifs

 Mesure de la Rétroréflexion

 Conformité de la Géométrie
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Balise d’Alignement
H1 H2 L1 L2 Retroreflexion
Désignation Angle
(mm) (mm) (mm) (mm)

Spécification
1000 200 250 250 45 Classe T2
(CPS)
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Les dispositifs coniques


H Hauteur de deux cônes Retroreflexion
Désignation
(mm) superposés Cd/Lux/m²

50
Spécification (CPS) < 1.2 H Classe T2
75
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Séparateur modulaire de voies

H1 Retroreflexion
Désignation
(mm) (cd.lx-1)

Spécification
>50 3
(CPS)
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Les flèches lumineuses de rabattement (FLR)


Désignations Spécifications
I 2200
h 3500≤h≤3600
H ≤4200
e ≥500
Nombre de Led flèche lumineuse
13
KR43

Nombre de Feux d’alerste KR2 02

Epaisseur des bandes rouge et


250
blanches
Diamètre Panneau B21 1250

Retrorèlexion des bandes Biaises Classe T2


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Les équipements de sécurité
 Sur abords avec obstacles dangereux
 En règle générale adaptée à la retenue
 d’un véhicule léger (inférieur à 1,5 T une vitesse de 80
km/h avec un angle d’environ 30°)
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En conclusion

La signalisation verticale connaît des modifications


réglementaires et des évolutions techniques qui
répondent aux besoins des différents gestionnaires et
assurent la sécurité de tous les usagers et la fluidité du
trafic

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