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INTRODUCTION GENERALE
En introduisant ce travail, notre intention est de faciliter la lecture et situer le lecteur.
Nous allons respectivement présenter la problématique qui a inspiré Le mémoire,
les hypothèses aux questions qui ont orienté notre réflexion, les objectifs poursuivis
par ce travail. Nous allons en outre préciser les orientations afin de faciliter la
lecture des chapitres de ce document.
PROBLEMATIQUE :
La préoccupation majeure dans ce travail peut être résumée par les questions
suivantes : Que ce qu'un Entrepreneuriat ? , Entreprise ? Quels sont les initiatives
auxquelles s'est donné à la population au Maroc, Quels sont les raisons qui
poussent les entrepreneurs à créer une entreprise, Quels Sont les Moyens
financements des activités entreprises au Maroc ? Que ce qu' programme
Moukawalati ? Pour Quels objectifs ? Sur quelle base juridique ? Quelles cibles ?Qui
s'en chargera de la concrétisation ? Comment ?Des questions auxquelles on
répondra tout au long du 1ére et 2éme chapitres de ce mémoire.
Telles sont les principales questions auxquelles cette recherche va apporter des
réponses mineur et Pour y arriver, il nous faut maintenant émettre les hypothèses
qui seront infirmées, confirmées ou nuancées selon les résultats de la recherche.
HYPOTHESES
L'hypothèse est une proposition anticipée de réponse, une idée pressentie, le point
de départ nécessaire de toute recherche mais qui attend la confirmation par la
vérification argumentative
- La culture et la tradition,
- La législation, et Le Financement
H2: La réalité entrepreneuriale au Maroc est tout autre que ce qui relève des
différentes considérations théoriques et elle est le plus basée non pas sur la
recherche d'un réel profit mais plutôt sur celle d'un revenu de subsistance pour la
collectivité.
OBJECTIF DE L'ETUDE
Pour répondre à celle-ci, nous nous proposons un travail articulé sur deux parties
devancés par la présente introduction
ü En dernier chapitre, sera consacré alors aux fruits du programme, à l'arrêt bilanet
aux ajustements qu'il convient de faire et aux Ecueils et les failles du programme
Moukawalati et le plan de relance mis en oeuvre
1ERE PARTIE :
L'ENTREPRENARIAT DE QUOI
PARLENT-NOUS ?
Le rôle de l'entreprenariat et de la culture entrepreneuriale dans le développement
économique et social est sous-estimé. Cependant, au fil des ans, il devient de plus
en plus évident que l'entrepreneuriat participe réellement au développement
économique
L'histoire montre que le progrès économique est surtout le fait des personnes
pragmatiques animées par l'esprit d'entreprise et d'innovation qui arrivant à tirer parti
des occasions qui se présentent et sont prêtes à prendre de risques. Elles sont
persuadées comme l'énonce la devise du centre de recherche en développement
Endogène : « on ne développe pas, on se développe ».
depuis les années 1980, en tout cas, eu égard à toute la littérature sur les
économies informelles dans le monde, l'entrepreneur est devenu un sujet digne
d'intérêt pour les économistes. Pour SCHUMPETER« l'entrepreneur devient un
joueur qui sait exploiter les possibilités que lui offre l'économie du marché ».
Donc un pauvre doit chercher des voies et moyens pour survivre et cela en faisant
de l'entreprenariat.
Cependant, le secteur public, après avoir assuré tant soit peu la croissance dans la
plupart des économies nationales au cours de la décennie 60, semble aujourd'hui,
avouer son échec. L'Etat a failli à sa mission...La très grande majorité de la
population vit dans la pauvreté. D'où l'économie privée devrait désormais prendre le
relais.6(*)
Plusieurs auteurs comme, GAUTHIER Bernard6(*), notent que« à la suite des échecs
des politiques de substitutions sur les marchés qui ont freiné le développement des
entreprises en Afrique et des déséquilibres des finances publiques, c'est sur
l'initiative privée et l'entrepreneurship7(*)individuel que reposent maintenant les
espoirs de croissance dans les régions en développement ».
Le Maroc ne constitue pas une exception de ces pays en matière de chômage des
jeunes. Les difficultés auxquelles il est confronté sont également le lot de nombreux
pays de niveau de développement équivalent, mais aussi de pays plus développés.
Cependant, la question de l'emploi prend dans notre pays une dimension toute
particulière, parce qu'elle revêt un caractère structurel et singulier au regard de ses
expressions qui peuvent remettre en cause le pacte social en vigueur.
CHAPITRE I : THEORISATION :
ENTREPRISE, ENTREPRENEUR ET
ENTREPRENARIAT
Introduction du Chapitre1 :
Ce chapitre présente un cadre théorique sur les concepts de base utiles pour la
compréhension des informations recueillies auprès les entrepreneurs Nous aurons à
définir les principaux concepts à savoir l'entreprise, l'entrepreneur et
l'entrepreneuriat8(*), l'esprit et la capacité entrepreneuriale. Aussi, nous allons
épingler les différentes caractéristiques de l'entrepreneuriat, en analyser les
différents types selon certains critères retenus, en donner les exigences, les moyens
de financement, les contraintes. Bien d'autres notions en rapport avec notre sujet de
recherche seront développées dans ce chapitre.
Les entreprises font l'objet d'études complexes. En effet, elles constituent une
catégorie hétérogène quant à la taille, à la nature de l'activité, à la forme juridique,
etc.
I.1 Définition
Il n'existe pas de définition précise de l'entreprise qui fasse aujourd'hui l'objet d'un
consensus entre les différentes disciplines qui s'y intéressent. Parler de l'entreprise
comme d'une réalité unique et homogène pourrait passer pour un abus de langage.
Et pour produire, l'entreprise doit utiliser des intrants provenant de la nature (terre),
le travail (le salaire) et le capital (le profit).
Pour l'encyclopédie libre11(*), au sens large, le terme entreprise s'utilise pour des
projets uniques mais d'apparence risquée ou difficile (par exemple, un grand voyage
ou une recherche scientifique), car il y a un effort entrepris dans l'activité.
Dans un sens économique, une entreprise est une structure économique et sociale
comprenant une ou plusieurs personnes et travaillant de manière organisée pour
fournir des biens ou des services à des clients dans un environnement concurrentiel
(le marché) ou non concurrentiel (le monopole).
Avec ces quelques définitions, il y a lieu de conclure que l'entreprise est le lieu de
fabrication des biens ou services répondant aux besoins de la population, un lieu
Elle produit des biens ou services, consomme des facteurs de production, distribue
les biens produits et fait des investissements en achetant des biens durables ou en
innovant.
I.2Catégories d'entreprises
Les sociétés d'économie mixte : ce sont des entreprises semi-publiques dont les
capitaux sont publics (l'Etat ou d'autres collectivités) et privés ;
Fondées sur des valeurs comme la solidarité, les rapports sociaux et humains et non
sur la recherche exclusive du profit, ces entreprises cherchent à apporter à leurs
membres un service au meilleur prix ; elles sont administrées par des mandataires,
nommés administrateurs ou gérants, élus par l'Assemblée Générale. Les associés
disposent du même pouvoir dans les assemblées générales (principe un homme =
une voix). Dans ce secteur de l'économie sociale, on classe également les
associations à but non lucratif15(*) (organisation non gouvernementales, mouvements
religieux).
Les finalités poursuivies dépendent d'une entreprise à une autre selon son statut
juridique, son caractère dimensionnel. Ainsi, une entreprise du secteur public n'a
pas les mêmes ambitions qu'une entreprise du secteur privé et moins encore une
entreprise du secteur de l'économie sociale.
L'entreprise du secteur privé vise la recherche du profit alors que les deux autres
visent l'intérêt collectif.
Il existe des entités économiques qui ne visent pas à titre principal la réalisation d'un
profit. C'est le cas des entreprises du secteur public, et, dans le privé, de celles du
secteur de l'économie sociale (coopératives, associations à but non lucratif,...)
D'autres objectifs peuvent alors être énoncés, comme l'utilité sociale, ou plus
généralement, la pérennité et la survie de l'entreprise 20(*).
Une entreprise capitaliste dont les profits sont très faibles trop longtemps n'a pas de
justification économique : elle est en général fermée ou rachetée. Dans le cas
d'entreprise de l'économie sociale, elle perdura si elle apporte une utilité sociale à la
société et si elle trouve un bailleur apte à en financer les pertes éventuelles. Parmi
les différents buts possibles pour une entreprise la recherche du profit occupe une
place importante.
XVII Siècle : Personne Qui supporte les risques de profit ou de perte dans le contrat
à prix fixe avec les pouvoirs publics
1725 : Richard Cantillon - Distinction de la personne qui prend les risques et de celle
qui fournit les capitaux
1797 : Beaudeau - La personne qui supporte les risques, qui prévoit supervise,
organise et possède
1803 : Jean Baptiste Say - Les Profits de L'entrepreneur sont distincts des profits du
capital
1876 : Francis Walker - Distinction Entre Les Bailleurs de Fonds qui reçoivent un
intérêt et ceux dont le profit est dû à leurs compétences de gestionnaire.
II. 2 DEFINITION
La notion d'entrepreneur a connu jusqu'à ce jour une évolution notoire, on est parti
de la conception de simple individu au personnage au centre de l'activité
économique. La notion concerne tout d'abord l'exploitant agricole, ensuite tous ceux
ayant pour fonction de faire circuler les denrées de la campagne vers les villes et de
transformer ses richesses; sa mission
Louis Jacques FILION(1988) intègre toutes ces dimensions et nous offre cette
définition dans laquelle nous pouvons assez clairement reconnaître l'entrepreneur
que nous rencontrons tous les jours de notre vie: «Un entrepreneur est une
personne imaginative, caractérisée par une capacité à se fixer et à atteindre des
buts. Cette personne maintient un niveau élevé de sensibilité en vue de déceler des
occasions d'affaires. Aussi longtemps que il ou elle continue D'apprendre au sujet
d'occasions d'affaires et qu'il ou elle continue à prendre des décisions modérément
risquées qui visent à innover, il ou elle continue de jouer un rôle entrepreneurial».
III. 1 Définitions
Il a montré que toutes les créations d'entreprises ne conduisent pas à des situations
ou l'intensité du changement pour l'individu et l'importance de la création de valeur
se situent à un niveau élevé. Des entreprises peuvent être créées par imitation, par
reproduction ou encore par transfert d'une activité existante (reprise).
Il a été conceptualisé par l'école autrichienne qui s'est véritablement inscrite dans le
domaine de l'entrepreneuriat avec Scott Shane et S. Venkataraman. Ce courant de
pensée s'est intéressé à la notion d'opportunité comme une explication de
l'entrepreneuriat qui peut être défini comme une découverte et une exploitation des
opportunités d'affaires. Chez ces deux auteurs, le contexte permet d'associer
l'origine d'opportunité d'affaires, le processus de découverte, d'évaluation et
d'exploitation de ces opportunités et les personnes qui ont permis d'y avoir accès.
En anglais, «The scholarlyexamination of how, by whom and
withthateffectsopportunities to create future goods and services are discovered,
evaluated and exploited.Consequently, the process of discovery, evaluation and
exploitation of opportunites; and the set of individualswhodiscover, evaluate, and
exploit them». (Shane, Venkataraman, 2000, p. 218) 27(*).
Ce paradigme trouve ses origines dans l'oeuvre de Joseph Schumpeter et, plus
récemment, dans les écrits de Peter Drucker. La présentation d'une innovation par
l'innovateur culturel (l'entrepreneur) est considérée par Schumpeter comme le
processus clé dans la force économique de changement.
Parler donc de la multiplicité des concepts, ces concepts qui par moment prêtent
quelque peu à confusion et créent plutôt une amalgame dans la façon de percevoir
la question entrepreneuriale; alors que ne constituant rien d'autre qu'un logique
séquencement voulant que chacun des intervenants dans le processus
entrepreneurial joue son rôle de sorte que la responsabilité de la vision et de la
méthode revienne au créateur, la fourniture des concepts à l'inventeur, la
responsabilité de la transformation du produit à l'innovateur, la gestion créatrice à
l'intrapreneur tandis que l'entrepreneur de son côté s'engage fermement à prendre
sur lui la responsabilité de tout cet ensemble. Ainsi « quand tous les partenaires
acceptent les rôles et les responsabilités qui leur sont attribués, il y a création,
invention, innovation, entrepreneuriat et intrapreneuriat » (Dina Lavoie)36(*).
Conclusion Du Chapitre
De tout ce parcours de littérature, il y a lieu de retenir qu'il n'existe pas de définition
précise et unanime de l'entreprise qui fasse aujourd'hui l'objet d'un consensus entre
les différentes disciplines qui s'y intéressent. Les entreprises constituent une
catégorie hétérogène quant à la taille, à la nature de l'activité, à la forme juridique,
etc. Trois grandes catégories d'entreprises sont distinguées selon qu'elles
appartiennent au secteur privé, au secteur public ou au secteur de l'économie
sociale. L'entreprise apparaît aussi comme une unité économique de production et
de répartition, une organisation sociale et un système politique ; qui sont les 3
dimensions de l'entreprise. Les objectifs, les finalités de l'entreprise dépendent de
son statut juridique et son caractère dimensionnel.
Une entreprise est initiée et dirigée par un entrepreneur. Celui-ci est un preneur de
risques, un innovateur, un développeur, un organisateur, un créateur, un inventeur,
un promoteur, un opportuniste.
On peut aussi retenir que l'entrepreneuriat fait l'objet ou peut correspondre à une ou
plusieurs terminologies selon la discipline du chercheur.
CHAPITRE II : L'ENTREPRENARIAT
ET LA CREATION D'ENTREPRISE
AU MAROC
Introduction Du Chapitre
Créer son entreprise et la développer n'est pas une affaire de chance. Réussir cette
phase de démarrage résulte d'une synergie d'éléments que le dirigeant doit savoir
maîtriser pour assurer la pérennité de son entité.
Les entreprises marocaines ne restent pas en marge de ces mutations, elles aussi
vivent de profonds soubresauts. Elles sont contraintes à adapter sans cesse leur
organisation aux changements, à se moderniser pour pouvoir survivre, se
développer et répondre aux nouvelles exigences du marché.
§ La convention d'Algésiras
§ Le protectorat
L'ouverture (forcée) des frontières aux capitaux et à marchandises européennes.
§ Résistances culturelles
Dans ce cadre, une dualité des styles managériaux pratiqués au Maroc est apparue
entre les grandes entreprises et les PME ce qui a nécessité l'intervention de
plusieurs acteurs notamment:
Comme partout, les entreprises nouvellement créées ont un très fort taux de
mortalité dans les 5 premières années. Et l'entreprise qui survivait en travaillant au
noir plonge quand elle doit faire face à la totalité de ses obligations. Ce fort taux de
mortalité est encore plus élevé pour les entreprises créées par les investisseurs
étrangers, qui se lancent avant d'avoir compris le fonctionnement au Maroc, et se
retirent, amers, un ou deux ans après.
Malgré cela, il n'est pas facile d'entreprendre au Maroc. Le crédit officiel est cher, et
les délais de paiement sont extrêmement longs. Comme partout dans le monde
l'administration paye mal, mais toutes les entreprises aussi.
La seule initiative qui puisse actuellement afficher son bilan est celle de Maroc-
entreprendre37(*). Constituée d'un réseau d'hommes d'affaires, Maroc-entreprendre
a été créée en 2005 dans l'objectif d'aider à la création d'entreprises. Elle a
actuellement à son actif plus d'une vingtaine de projets et table sur une quarantaine
pour l'année 2006. Le réseau dispose en effet d'un financement d'un milliard de
dirhams mis en place par Attijariwafa Bank, ce qui explique que les projets qui
dépassent un certain seuil (plus de 300 000 dirhams), sont gérés directement par la
banque. La préparation des dossiers par Maroc-entreprendre est un gage de
réussite, puisque les projets validés par l'association ont une forte chance d'être
financés par la banque.
-Des structures publiques et privés, des experts sont mobilisés dans le cadre de la
démarche de développement de la culture entrepreneuriale mise en place par le
gouvernement marocain.
Maroc Entreprendre :
-met à disposition sur son site Internet un certain nombre d'études et de statistiques
destinées à faciliter l'investissement au Maroc : la revue trimestrielle du Ministère, le
site contient plusieurs dossiers tels que le "Guide des bonnes pratiques de
l'innovation" et le "Guide de l'investisseur industriel".
Fédérations Sectorielles :
R&D Maroc :
Ø Les Experts :
Ø L'expert-comptable :
Ø L'avocat :
Ø Autres Sources :
L'entrepreneuriat d'imitation :
-crée peu de valeur nouvelle, les marchés sont bien connus et sont caractérisés par
une grande concurrence ;
L'entrepreneuriat de valorisation :
le fait d'un entrepreneur ayant une idée nouvelle et innovante dans le domaine de la
recherche et développement.
L'entrepreneuriat d'aventure :
L'entrepreneuriat - relève :
- Une multitude de mesures ont été prise par l'Etat marocain dans le but
d'encourager l'entreprenariat :
ï Fond Hassan II
ï Le micro-crédit
Les PME, qui occupent de plus en plus une place prépondérante dans le tissu
économique national et international, présentent de précieuses caractéristiques
telles que souplesse, faculté d'adaptation, réactivité, esprit d'innovation, sens du
service et du contact humain... Autant d'atouts pour grandir. Au Maroc, la plus
grande part du défi à relever réside dans la promotion: développer les PME
existantes et inciter l'émergence de l'esprit d'entreprise. Cependant, créer son
entreprise, c'est comme bâtir un immeuble, il lui faut des fondations solides. Une
affaire complexe qui nécessite une préparation. C'est pourquoi il importe d'accorder
une attention particulière aux facteurs clés de succès de l'entrepreneur.
Pour faire réussir l'entreprenariat au Maroc il faut prendre d'une part des mesures
bien huilées telles que la création d'un fonds d'investissement pour la création
d'entreprise, comme au Canada, et garantir un réseau. D'autre part la nécessité de
l'intervention de l'État dans le processus de création d'entreprises, en amont et en
aval. Consacrer un pourcentage aux Small business permettrait à l'entreprise de
trouver des références et de franchir le cap de démarrage avec succès, et mettre en
place des outils d'aide pour encourager la politique de l'export et de
l'internationalisation.
Il faut qu'il y ait cohérence entre les stratégies mises en place par le gouvernement,
comme Emergence, et les opportunités de création d'entreprise. Le marché local
manque de visibilité. Il y a pas mal de structures, mais aucune convergence,
chacune agissant à part. Il faut qu'il y ait une synergie, cela rassurera l'entrepreneur.
«Entreprendre» se heurte à divers obstacles qui entravent son évolution :
S'introduire dans un marché n'est pas facile. Deux facteurs sont essentiels: le prix et
la qualité. Or, les nouveaux entrants ne sont pas toujours les bienvenus, les
concurrents déjà en place peuvent baisser leurs prix pendant un ou deux ans juste
pour les faire disparaître. Donc, il faut jouer sur la qualité des produits et sur celle
des services proposés pour faire sa prospection.