Oral le Rouge et le Noir

Aujourd’hui je vais vous présenter le Rouge et le Noir de Stendhal.

Stendhal est un romancier réaliste du début du 19 e siècle. Il adore sa mère mais elle meurt tôt dans
son enfance. En revanche il déteste son père et il a un précepteur qu’il hait tout autant. Il connait un
gros chagrin d’amour vers ses 40 ans pour une certaine Mathilde.
Le Rouge et le Noir est un roman racontant l’histoire de Julien Sorrel un fils de charpentier. Il est
d’abord employé en tant que précepteur et connait une aventure amoureuse avec la femme de son
employeur. Et après être passé par le séminaire de Besançon, il devient secrétaire au près du
marquis de la Mole
1er argument
J’ai choisi ce livre car j’ai beaucoup apprécié le fais que la vie de l’auteur se reflète sur le livre.
En effet de nombreux parallèles sont a noté. Tout d’abord, le précepteur. Quand Julien arrive pour la
première fois dans la demeure des De Renal, Mme de Renal est surprise. Elle s’attendais à voir arriver
un précepteur vieux et mauvais mais elle se rends compte que c’est l’exact inverse. Julien ne
correspond absolument pas à cette description. Je pense que la description erronée de Mme de
Renal peut être associé à la description du précepteur dans l’enfance de l’auteur, tout comme Julien
aurait pu être le précepteur voulu par Stendhal à la place de celui qu’il a connu. Je peux lire
maintenant un extrait de ce moment (Optionnel) :
«  Elle s’était figurée comme un prêtre sale et mal vêtu, qui venait gronder et fouetter ses
enfants  »
Nous comprenons donc le désarroi de Mme de Renal qui ne s’attendais pas du tout à voir une
personne comme Julien
Comme autre parallèle, j’ai remarqué la possible ressemblance entre le père de Julien Sorrel
et de Stendhal. Effectivement dans le roman dès le début de l’histoire ce personnage nous est
présenté comme un être cruel, dénué d’amour et d’empathie pour son fils. On se rends compte de
cela dès les premières descriptions du père, d’où je pense la volonté de l’auteur de nous donner une
mauvaise image de ce personnage. Peut-être Stendhal a-t-il voulu représenter son père dans son
œuvre, père qu’il détestait de toute son âme. Également j’aimerais lire un extrait de cette scène.
Juste avant cette extrait, Julien est censé être à son poste de travail mais son père se rends compte
qu’il est en train de lire un livre :
«  Un coup violent fit voler dans le ruisseau le livre que tenait Julien  ; un second coup aussi
violent, donné sur la tête, en forme de calotte, lui fit perdre l’équilibre. Il allait tomber à douze ou
quinze pieds plus bas.  »
La cruauté du Père n’est que plus accentué, il n’hésite pas à le frapper et le mettre en danger de
mort.
2ème argument :
J’ai également choisi ce livre car j’ai adoré l’évolution du personnage de Julien Sorrel. Au début, c’est
une personne qui se surélève aux autres personnes qu’il côtoie, prêt à tout pour s’élever
socialement. Mais en réalité, on se rends compte qu’il reste quand même sensible aux sentiments
humains. Il pleure en effet de nombreuse fois et il est sensibles aux charmes féminins, il tombe
d’ailleurs deux fois amoureux voir même complétement dépendant à Mathilde dans la deuxième
partie. Il en vient tout de même à vouloir embrasser cette dernière une fois, quitte à mourir juste
après. Mais tout comme on observe l’évolution du personnage, j’ai observé l’évolution de mon avis à
son égard. Je le trouvais au début très hautain et il m’était très antipathique... Mais au fur et à
mesure de ma découverte de l’histoire, j’ai commencé à apprécier Julien Sorrel. Je commençais à
m’intéresser à son histoire, ses ambitions. J’avais pitié de lui quand il était seul au séminaire de
Besançon, rejeté par les autres élèves. J’étais triste pour lui quand les habitants était indigné de sa
présence dans la garde d’honneur du roi. J’ai vraiment apprécié être transporté dans cette histoire
mais malheureusement, et c’est la troisième raison de mon choix, j’ai été complétement bouleversé
par la fin.
3ème argument :
J’ai été un peu déçu de la fin car en effet je m’attendais à une fin plus joyeuse. Julien arrive enfin à
convaincre le Marquis de la Mole à l’autoriser à épouser sa fille. De plus ce dernier lui donne des
terres et le nomme même lieutenant dans l’armée, un des principaux rêves du personnage principal.
Il a tout pour mener une vie paisible avec la femme qu’il a tant désirer, mais il décide d’aller se
venger de Mme de Renal et tente de l’assassiner car elle l’avait diffamé. Il est donc emprisonné et se
rends compte qu’il aime enfaite celle qu’il a tenté de tuer plutôt que son actuelle femme. J’ai été
absolument frustré de ce retournement, je souhaitais à Julien de vivre normalement avec Mathilde
et de mener la vie qu’il a toujours rêver. Mais le fais qu’il renonce à cette vie par simple soucis d’égo,
juste pour satisfaire son besoin de vengeance m’a déçu. De plus, il se met à rejeter Mathilde pour qui
il a fait de nombreuse concession et pour qui il a éprouvé de grands sentiments, alors qu’elle porte
en plus son enfant. Il ne se cache d’autant plus même pas de son amour pour Mme de Renal ce qui
rends ce personnage horrible auprès de sa compagne. C’est cette fin des plus frustrante qui m’a en
partie fais choisir ce livre, rien ne va alors que quelques chapitres auparavant je pensais que tout
allait se terminer pour le mieux.