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Pour prévenir la pollution des nappes phréatiques, des barrières de confinement ont été développés.

Ces barrières qui peuvent être à faible perméabilité ou réactives à haute perméabilité. Mais, à
priorité il fallait caractériser la capacité de sorption du matériau utilisé comme barrière. Cette tâche
qui peut exercer en réalisant des dosages sur colonnes.

concernant les barrières réactives perméables (BPR), c’est une technologie efficace pour la
transformation et l'immobilisation des polluants. Elles utilisent des matériaux réactifs. Ces derniers
transforment ou adsorbent les polluants présents dans les eaux souterraines. Ainsi une évaluation de
ces matériaux est nécessaire pour savoir leur capacité à remédier le problème de pollution.

Les minéraux argileux sont un exemple de BPR, qui immobilisent et adsorbent efficacement les
composés organiques chargés positivement. Mais ce type de barrières ne sont pas réactives pour les
polluants organiques hydrophobes. C’est pour cela, il est nécessaire de modifier les barrières
argileuses naturelles par des additifs organiques afin de les rendre réactives pour de tels composés.

Les tensioactifs cationiques sont un exemple des additifs organiques qui peuvent être utilisés.

Dans ce travail les scientifiques ont étudié l'immobilisation de pesticides organiques dans un sol
limono-sableux intercalé de barrières réactives d'argiles et celle d'un sol argileux, tous les deux
modifiés avec du bromure d'octadécyltriméthylammonium (ODTMA).Le but est de comprendre
l'efficacité de ces barrières dans la rétention des pesticides d'hydrophobicité différentes. Les travaux
ont été menés sur des colonnes de sol avec différentes argiles (montmorillonite, kaolinite et
palygorskite) et différents pesticides (linuron, atrazine et métalaxyl).

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