‫رب و ا را ت‬ ‫ا‬ ‫ا‬

LABORATOIRE PUBLIC D'ESSAIS ET D'ÉTUDES

Société Anonyme au Capital de DH 123.851.200.00

Centre Technique Régional

Centre Expérimental des Sols de Casablanca (CTR-CASA)
44,KmRue
7, Route d’El Jadida – Casablanca
Med SMIHA Casablanca
Tél : (022) 48-87-87 / 48-87-49
Tel : 05
Fax22 3123-41-88
: (022) 23 15/ 23-19-95
Fax : 05 22 31 97 10

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L’ingénieur chargé de l’Etude

S. HIMMI

DOSSIER N° : 2016.260.01877.2014.0115/001
DOCUMENT : RAPPORT
CLIENT : A.N.P - CASA
DATE : 21 MARS 2016

Le Chef de la Division Etudes Le Directeur du CTR-CASA

B. AYOUB M.H. ELOTMANI

Siège social : 25, Rue d’Azilal – 20000 – Casablanca – BP : 13 389 13.389 ‫ب‬. ‫ء ص‬ ‫ ا ار ا‬20000 – ‫ ز از ل‬25 ‫ــــــ‬ ‫ا‬ ‫ا‬
Tel : 022.30.04.50/022.30.75.10 / 022.54.75.75 – Fax : 022.30.15.50 022.3015.50 ‫ – ا‬022.54.75.75 022.30.75.10 / 022.30.045.50 ‫ا‬
R.C. Casablanca : 32131 – CCP . 1360.99 – C.N.S.S. 1066308 1066308 ‫ج‬. ‫ض‬. ‫و‬. ‫ – ص‬1360.99 ‫ب‬. ‫ش‬. ‫ – ح‬32.131 ‫ء‬ ‫ا ري ا‬ ‫ا‬
N° d’identification Fiscale : 01000003 – Patente n° 32105251 32105251 ‫ــــــــــ ـــــــ ا ــــــــــــــــ رة‬ – 01000003 ‫ر ا ــــــــــــــــ‬
 Chantier : Bâtiment communautaire au Port de Casablanca Client : A.N.P : Agence nationale des ports
N° Dossier : 2016.260.01877.2014.0115/001

SOMMAIRE

PREAMBULE .................................................................................................................................. 3

I- APERCU TOPOGRAPHIQUE ET GEOLOGIQUE : ...................................................................... 3

I-1°) Situation & Topographie du Terrain ................................................................................. 3

I-2°) Géologie du Terrain.............................................................................................................. 4

II-TRAVAUX DE RECONNAISSANCE - ESSAIS IN-SITU ............................................................... 6

III- NIVEAU DE FONDATION – CONTRAINTE ADMISSIBLE ........................................................ 8

IV- RECOMMANDATIONS - STABILITE DES TERRASSEMENTS : ................................................. 9

V- SISMICITE DU SITE : ................................................................................................................ 11

ANNEXES
COUPES ET PHOTOS DES SONDAGES

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 Chantier : Bâtiment communautaire au Port de Casablanca Client : A.N.P : Agence nationale des ports
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ORRTT DDEE CCA
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ANNCCA
A

PREAMBULE
Conformément à la demande formulée par l’ANP_CASA (Bon de
commande interne du CSTC N°53323) qui s’articule sur une reconnaissance
géotechnique pour augmentation de la consistance du bâtiment communautaire,
soit une consistance finale (selon la note explicative de l’ANP du 09-07-2015)
constituée de trois éléments architecturaux :
- La tour de bureau en RDC+24 avec quatre sous-sols.
- Le bloc des services communs en RDC+7 avec quatre sous-sols.
- Le Hall d’accueil sur une hauteur libre de 13 m de hauteur.

Le site est localisé à côté de la porte N°1 à l’entrée du port de Casablanca.

L’objectif de l’étude est de définir les éléments suivants :
• La lithologie du terrain ;
• La définition du niveau d’assise du système de fondation ;
• La contrainte admissible du sol et l’estimation des tassements ;
• La classification du site suivant le code parasismique RPS2000 ;
• Le niveau de la nappe phréatique si elle existe ;
• La définition du mode de terrassements.

I- APERCU TOPOGRAPHIQUE ET GEOLOGIQUE :

I-1°) Situation & Topographie du Terrain
Le terrain en question se localise à l’entrée du port de Casablanca (Porte
N°1). Il se situe entre Boulevard AL MOHADES à l’Est, boulevard des F.A.R au
nord et le Port de Casablanca à l’Ouest (Voir localisation aérienne ci-dessous).

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Vue aérienne de situation du Projet

I-2°) Géologie du Terrain
La région de Casablanca fait partie de la grande unité géologique connue sous le
nom de la Meseta Côtière marocaine s'étendant entre l'Atlantique et l'ensemble
des massifs et plaines du Maroc Central. Elle est constituée d’un relief presque
parfaitement pénéplaine de plateaux schisteux et quartzitiques et d’un relief
dunaire consolidé (Figure). Ce système de cordons dunaires, aligné parallèlement
au rivage actuel, rompe la monotonie des zones tabulaires de la chaîne
hercynienne et confère au paysage un aspect largement ondulé. Ainsi, l’ensemble
de cette série de plateaux se trouve incliné en pente douce vers la mer.

Carte représentative des unités litho-structurales de la région de Casablanca et de ses environs (1/1000 000)

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Les levées litho stratigraphiques établis en différents points de cette région, ont
mis en évidence de nombreuses variétés lithologiques, essentiellement d’origine
sédimentaire (schistes, quartzites, grauywackes, limons, calcarénites, Marno-
calcaire…). La série stratigraphique régionale débute par des schistes et des
quartzites très épais d’âge Cambrien et Ordovicien passant à des psammites dans
leur partie supérieure. Ces terrains primaires sont recouverts par des formations
permo-triasiques, formées de conglomérats à la base, auxquels font suite des
argiles rouges. Ces dépôts sont surmontés de Marno-calcaires cénomaniens et
miocènes. A cette série succèdent des formations plio-quaternaires recouvrant la
totalité des plateaux renfermant des calcaires dunaires, des conglomérats
régressifs, des limons et des argiles sableux. Durant le Quaternaire, la Meseta
côtière a subi une succession d’épisodes marins (transgression et régression) qui
ont donné lieu à des limons rouges des épandages caillouteux et des éboulis de
pente. Le tableau ci-dessous synthétise l’ensemble des âges traversés et les
formations rencontrées (Voir Tableau).

Age Série
Plio-Quaternaire Lumachelles et conglomérats surmontés de
Tertiaire

calcaire dunaires et coiffés de limons

Miocène (mm) Marnes sableuses jaunes

Cénomanien (cm) Calcaires et marno-calcaires

Mésozoïqu

Permo-Trias (pt) Argiles rouges et vertes parfois gypsifères,

e

entrecoupées de coulées basaltiques

Quartzites et psammites intercalés avec les

Landell (Si2) schistes
Ordovicien
Primaire

Arenig (Si1) Schistes et psammites

Cambrien Cambrien sup. (Ks2) Quartzites

Acadien (Ks1) Schistes à paradoxides coiffés de grès

Psammétique

Tableau synthétique de la succession litho-stratigraphique de la région de Casablanca

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II-TRAVAUX DE RECONNAISSANCE - ESSAIS IN-SITU

II-1°) Moyens de reconnaissance :
La campagne de reconnaissance géotechnique établi par le maitre d’ouvrage
consiste en la réalisation de :
• Deux (2) sondages carottés de 30m de profondeur chacun, notés respectivement SP01 et SP02.
• Essais pressiomètriques.

Photo du sondage SP1 Photo du sondage SP2

Photos du site lors des travaux de sondage

On note que les sondages carottés ont été munis par des essais
pressiomètriques. Les coordonnées Lambert ainsi que le croquis d’implantation de
ces deux points de sondage sont données comme suit :

Sondage X Y

SP1 394 517 335 787

SP2 394 500 335 771

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II-2°) Résultats de la reconnaissance :

II-2-1°) Sondages carottés :
L’analyse des faciès traversés par les sondages carottés réalisés permet de décrire
la configuration géotechnique ci-après (Voir les coupes détaillées et les photos de
chaque sondage en Annexe) :
• Une couverture superficielle en Remblai, d’une puissance de 0.30m ;
• Sable fin allant jusqu’à 4.00m/TN en général;
• Horizon de Schiste quartzitique allant jusqu’à la fin des sondages (30m/TN).

II-2-2°) Essais pressiomètriques de MENARD :

L’appareillage et le mode opératoire de cet essai sont définis dans la norme NF P 94-110.
• Principe :
L’essai pressiomètrique de Ménard est un essai de chargement rapide du sol en
place par expansion d’une cellule cylindrique. On dilate radialement une sonde
par injection d’un fluide suivant un programme de chargement prédéfini
(injection par pallier). On sollicite ainsi le sol qui travaille et se déforme comme à
proximité immédiate d’une fondation. Il peut s’appliquer dans tout type de sols
naturels, dans les remblais ou tous autres matériaux artificiels utilisés en
géotechnique. En revanche son utilisation dans les rochers s’accompagne d’une
grande incertitude sur les caractéristiques mesurées en raison de la déformabilité
limitée du terrain dans ce cas.
• Appareillage :
Le Pressiomètre Ménard utilisé lors des investigations est visible sur la
photographie suivante :

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L’appareil est composé d’une sonde cylindrique mise dans un avant trou de
même diamètre. Cette sonde, recouverte d’une membrane à lamelles métalliques,
est constituée de trois cellules juxtaposées et indépendantes: une cellule de mesure
centrale dilatable et deux cellules de garde assurant l’uniformité du champ de
contrainte (horizontal et non incliné) et facilitant le retour de l’eau dans le circuit
d’injection.
Ces dernières sont gonflées avec une pression inférieure d’un bar à la
pression de la cellule de mesure qui est mise en pression interne croissante par
injection d’eau suivant une progression par paliers.

La cellule centrale visible sur la photographie suivante correspond à une

gaine cylindrique en caoutchouc coupée à chaque extrémité et dont l’étanchéité est
rendue possible par des joints (plus la pression augmente et plus la cellule est
étanche: auto serrage).
Ainsi, et suite aux essais réalisés au niveau des sondages (36 essais au total),
les résultats obtenus pour chaque faciès en fonction de la profondeur sont
représentés comme suit (Voir détail en Annexe) :

Faciès E (MPa) Pl (MPa)

Sable 19 à 29.8 0.51 à 1.19
Schiste altéré à fracturé 222.56 à 486.06 8.16
II-2-3°) Equipement piézométrique :

Un niveau d’eau a été décelé par l’équipement piézométrique installé au

niveau du sondage SP01, vers une cote de -2.50m/TN, et ce, lors de cette mission
d’investigation qui s’est déroulée au mois de Mars 2016.

III- NIVEAU DE FONDATION – CONTRAINTE ADMISSIBLE

III-1°) Données générales sur le projet :
Le projet (selon la note explicative de l’ANP du 09-07-2015) constituée de trois
éléments architecturaux :

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- La tour de bureau en RDC+24 avec quatre sous-sols.

- Le bloc des services communs en RDC+7 avec quatre sous-sols.
- Le Hall d’accueil sur une hauteur libre de 13 m de hauteur.

III-2°) Contrainte admissible et estimation des tassements :

A travers les travaux de reconnaissance réalisés, nous rappelons ce qui suit :
• Le terrain en place présente une homogénéité géotechnique caractérisée par la
prédominance des schistes fracturés (sous une couverture sableuse meuble de 4.00m
d’épaisseur);
• Un niveau d’eau au niveau du sous-sol du projet est intercepté à environ -2,50m/TN
durant la période 03/2016.
A travers cette investigation géotechnique, le bon sol est formé
principalement par le substratum schisteux quartzitique rencontré à partir de
4.50m/TN. Vu ses performances mécaniques déduites des essais in-situ réalisées,
il constitue ainsi une bonne assise de fondation.
Nous estimons une contrainte admissible de 5.00 bars (500 KPa), comme
valeur pour laquelle les tassements totaux engendrés par les charges
prévisibles restent admissibles et instantanés.

IV- RECOMMANDATIONS - STABILITE DES TERRASSEMENTS :

Les travaux de terrassements prévus dans le cadre dudit projet (Particulièrement
pour la Tour de bureau : construction d’un bâtiment en RDC+24 avec quatre sous-sols),
prévoient des excavations allant jusqu’à une cote théorique de -12.00m/TN. Le niveau du
toit du substratum schisteux au droit du site se situe vers une cote moyenne de
-4.00m/TN.
Ainsi, et tenant compte de la configuration géotechnique, nous recommandons ce
qui suit :
• Le type de fondation retenu pour la fondation du bâtiment communautaire est le radier ancré
d’un minimum 1 à 2m dans le substratum schisteux. Toutefois, la profondeur d’ancrage dudit
bâtiment est conditionnée par le calcul de l’effet du vent, sur la Tour.
• Le taux de travail admissible dans les schistes peut atteindre 5 bars.
• Pour le calcul des sous pressions sous radier, le niveau d’eau sera pris égal à + 10 m, soit une
sous-pression sous le Radier de -10t/m2.
• Il est conseillé également de généraliser l’étanchéité à tous les sous-sols projetés.
En fonction des paramètres technico-économiques, on distingue deux variantes de
stabilisation des excavations:
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Variante N°1 :
Il sera procéder à la réalisation d’une paroi moulée qu’il faudra intégrer dans la
structure, et ancrer dans les schistes sur une profondeur de 2m à 3m.
Le schéma ci-après explicite cette configuration :

Variante N°2 :
Le principe de cette variante consiste en la réalisation d’une paroi moulée pour la
tranche sableuse (du terrain naturel T.N jusqu’à environ 4.50m/TN incluant le premier
sous-sol), et un cuvelage au niveau du reste (Deuxième, troisième et quatrième sous-sol)
en assurant (Voir schéma de principe ci-dessous) :
• L’ancrage de la structure dans les schistes sur une profondeur de 2m à 3m.
• Le système de cuvelage au niveau de la tranche schisteuse afin d’assurer
l’étanchéité des sous-sols.

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Néanmoins; la variante N°1 a l’avantage de pouvoir exécuter les terrassements et

les travaux des sous-sols à sec et d’éviter de multiplier les méthodes de stabilisation
des parois.

V- SISMICITE DU SITE :
Le territoire marocain est soumis à une activité sismique appréciable et ce à
cause de sa situation dans un domaine de collision continentale, due à
l’interaction entre les plaques tectoniques africaine et eurasienne.
V-1°) Zonage sismique (Accélération et vitesse maximales)
En référence aux cartes sismo-tectoniques établies à l’échelle du Maroc et
particulièrement la zone de Casablanca, et selon le Règlement de Construction
Parasismique (RPS 2011), qui s’applique aux constructions nouvelles et aux
bâtiments existants subissant des modifications. Pour l’évaluation de l’action du
tremblement de terre sur une structure, le RPS 2011 utilise l’approche des zones. Il
s’agit de diviser le Maroc en plusieurs zones de sismicité homogène et présentant
approximativement le même niveau d’aléa sismique pour une probabilité
d’apparition donnée (Voir Carte ci-dessous) :

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Zonage sismique en vitesse en 50 ans Zonage sismique en accélération en 50

Maroc 2011(vitesse en cm/s) ans Maroc 2011 (Accélération en % g)

Ainsi, on s’aperçoit que la région à laquelle appartient le secteur objet de l’étude

est soumise à l’activité sismique suivante :
• L’accélération à prendre en compte est de 0.1g
• La vitesse maximale à prendre en compte est de 10 cm/s.

V-2°) Coefficient d’influence du site :

L’intensité avec laquelle un séisme est ressenti dans un lieu donné est
fortement conditionnée par la nature des sols traversés par l’onde sismique et des
conditions géologiques et géotechniques locales. Ces conditions sont
prépondérantes puisque si le sol à une fréquence proche de celle du séisme, on est
en présence d’une amplification dynamique du sol. Une classification des sols en
fonction de leurs épaisseurs et de leurs caractéristiques mécaniques permet de
tenir compte de ces effets dommageables aux structures. Pour tenir compte de ces
effets sur le mouvement du sol, un classement des sites en cinq types est adopté
en fonction des caractéristiques mécaniques du sol en place et de son épaisseur,
comme présenté au tableau suivant (A chaque type de site correspond un
coefficient) :

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Ainsi, en se référant à la classification du RPS 2000 (Version 2011) et au

profil lithologique général du secteur soit :
- Couverture superficielle en sol meuble de 3.30m d’épaisseur environ.
- Horizon rocheux en Schiste constituant le substratum d’épaisseur > à 30m.
Enfin, et en supposant une assise du bâtiment en question sur le substratum
schisteux, nous déduisons que nous sommes dans une configuration sismique du
type :
• S1 ayant un coefficient d’influence égal à 1.
• L’accélération à prendre en compte est de 0.1g.
• La vitesse maximale à prendre en compte est de 10 cm/s.
Pour plus de détails qui seraient utile au dimensionnement, il y a lieu de se
référer au RPS 2000 version 2011 ou à tout autre document officiel à jour vis-à-vis
des règlements en vigueur.

Vous en souhaitant bonne réception et restant à disposition pour

tout complément d’informations
Fin de texte

ANNEXE
COUPES ET PHOTOS DES SONDAGES

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COUPES ET PHOTOS DES SONDAGES

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