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Classe : 1ereD2
EXPOSER D’HISTOIRE-GEOGRAPHIE
Membres du groupe :
-SOME S.Lea
-OUEDRAOGO Hassanatou
-OUEDRAOGO Yohann
-ZONGO Fréderic
INTRODUCTION
Source
À l`automne 1935, la doctrine était fixée (et elle le demeurera sous Khrouchtchev et ses successeurs)
en matière de soutien aux États semi-coloniaux en lutte contre les métropoles
impérialistes.Conformément au double code génétique de la Section française de la IIIe
Internationale, ce bornage tiendra compte de l`inscription du Parti dans le champ politique national,
alors marqué par la constitution d`une coalition électorale (le Front populaire) à vocation
gouvernementale dont le PCF est partie prenante et qui affiche sur ses drapeaux la défense de la
paix.Opérationnel sur le plan intérieur, celui-ci va de surcroît se révéler parfaitement apte à
appliquer à la coalition – largement virtuelle en 1935 – de ces « États fascistes » que sont l`Allemagne
et l`Italie.
La guerre civile espagnole, également appelée guerre d’Espagne, a commencé en 1936 avec
le coup d’État orchestré par le général Francisco Franco. Comme toujours dans ce genre de conflit, la
guerre civile en Espagne tire ses origines d’un profond malaise au sein de la société. Durant plusieurs
décennies, les conflits sociaux, économiques et politiques ont peu à peu sapé le pouvoir du
gouvernement. En 1931, la IIe République est proclamée, ce qui porte les républicains au pouvoir
après un épisode dictatorial. Ce changement ne résout pas tous les problèmes et les tensions vont
aller en s’amplifiant La guerre civile espagnole, souvent considérée comme le prologue de la seconde
guerre mondiale, a opposé, de juillet 1936 à avril 1939, le gouvernement républicain espagnol du
Frente Popular élu en 1936 à une insurrection militaire et nationaliste dirigée par Francisco Franco,
bénéficiant de l’aide déterminante d’Adolf Hitler et de Benito Mussolini. Malgré le soutien de l’URSS,
de la Grande-Bretagne, de la France et surtout des Brigades internationales (35 000 volontaires de 50
nations), la défaite des républicains a permis l’établissement de la dictature de Francisco Franco, qui
a duré jusqu’à sa mort en novembre 1975. Le conflit aura fait plus d’un million de victimes. En 1934,
la tension est à son comble avec le soulèvement des mineurs des Asturies, une province espagnole.
Ce mouvement est réprimé dans le sang par le gouvernement, et on dénombre plus de 1.000 tués.
Dès lors, les partisans de la droite et de la gauche se déchirent. Le Front populaire remporte les
élections de 1936, mais la situation est explosive. Le 17 juillet, le général Francisco Franco est à la
tête d’une insurrection militaire et tente de prendre le pouvoir. Le gouvernement républicain résiste,
mais la guerre est désormais totale entre nationalistes et républicains. Elle durera trois ans et fera
environ 400.000 morts, jusqu’à la victoire, en 1939, des nationalistes menés par Franco. La dictature
instaurée par Franco après la guerre civile en Espagne a duré 36 ans. Ce n’est qu’à la mort de celui-ci
que le pays a connu une transition démocratique.
La première guerre sino-japonaise ou sino-nipponne .La guerre sino-japonaise a lieu entre la Chine et
le Japon entre 1937 et 1945. Ces derniers installés surtout dans le nord et en Mandchourie
conduisent une guérilla contre l’envahisseur et organisent les territoires qu’ils contrôlent. EnCette
guerre sino-japonaise tuera plus de 3 millions de soldats et plus de 9 millions de civils chinois. Les
communistes soviétiques obligent les communistes chinois à se réconcilier avec le Guomind La
guerre sino-japonaise a lieu entre la Chine et le Japon entre 1937 et 1945. Elle aboutit à la conquête
de la Chine de l’Est par les Japonais, mais aussi à l’alliance provisoire des nationalistes et des
communistes chinois. Elle aboutit à la conquête de la Chine de l’Est par les Japonais, mais aussi à
l’alliance provisoire des nationalistes et des communistes chinois. Ne rencontrant que peu de
résistance, rapidement les Japonais s’emparent de Beijing et de Tien Sin (29 juillet), de Shanghai (9
novembre), de Nanjing (Nankin) (13 décembre), où siège le gouvernement chinois. Ne rencontrant
que peu de résistance, rapidement les Japonais s’emparent de Beijing et de Tien Sin (29 juillet), de
Shanghai (9 novembre), de Nanjing (Nankin) (13 décembre), où siège le gouvernement chinois.
Cependant ses tentatives de pénétration dans la Chine intérieure se heurtent aux armées des
nationalistes chinois (le Guomindang) de Tchang Kaï-chek et aux armées communistes de Mao
Zedong, provisoirement réconciliés face à l’adversaire commun. Cependant ses tentatives de
pénétration dans la Chine intérieure se heurtent aux armées des nationalistes chinois (le
Guomindang) de Tchang Kaï-chek et aux armées communistes de Mao Zedong, provisoirement
réconciliés face à l’adversaire commun. En mars 1938, les Japonais installent un gouvernement
chinois à leur vente à Nanjing mais il ne contrôle qu’une petite partie de la Chine. En mars 1938, les
Japonais installent un gouvernement chinois à leur vente à Nanjing mais il ne contrôle qu’une petite
partie de la Chine. Le Guomindang se retire à Chongqing dans le Sichuan et continue la guerre grâce à
l’appui des Américains. Le Guomindang se retire à Chongqing dans le Sichuan et continue la guerre
grâce à l’appui des Américains. Ces derniers installés surtout dans le nord et en Mandchourie
conduisent une guérilla contre l’ sseur et organisent les territoires qu’ils contrôlent Cette guerre sino-
japonaise tuera plus de 3 millions de soldats et plus de 9 millions de civils chinois. Les Américains
aident le Guomindang à s’installer dans les territoires évacués par les Japonais et à s’emparer du
matériel. Les Américains aident le Guomindang à s’installer dans les territoires évacués par les
Japonais et à s’emparer du matériel. L’URSS instantané du gouvernement de Chiang Kaï-Shek, seul
reconnu internationalement, des territoires en Mandchourie. Les communistes soviétiques obligent
les communistes chinois à se réconcilier avec le Guomindang. Installer dans les territoires évacués
par les Japonais et à s’emparer du matériel. Les Américains aident le Guomindang à s’installer dans
les territoires évacués par les Japonais et à s’emparer du matériel. L’URSS instantané du
gouvernement de Chiang Kaï-Shek, seul reconnu internationalement, des territoires en Mandchourie.
Les communistes soviétiques obligent les communistes chinois à se réconcilier avec le Guomindang.
Installer dans les territoires évacués par les Japonais et à s’emparer du matériel. Les Américains
aident le Guomindang à s’installer dans les territoires évacués par les Japonais et à s’emparer du
matériel. L’URSS instantané du gouvernement de Chiang Kaï-Shek, seul reconnu internationalement,
des territoires en Mandchourie. Les communistes soviétiques obligent les communistes chinois à se
réconcilier avec le Guomindang.
III.1- L’Anschluss
Le 12 mars 1938, les troupes allemandes pénètrent en Autriche afin de réaliser l’annexion du
territoire autrichien au sein d’une Grande Allemagne. Le chancelier autrichien est contraint à la
capitulation. Hitler est accueilli triomphalement à Vienne. Constituant l’une des priorités de sa
politique extérieure, l’Anschluss (annexion de l’Autriche par l’Allemagne) est réalisée par Hitler en
mars 1938. En 1919, l’effondrement de l’empire austro-hongrois donne naissance à une petite
république de caractère purement germanique, l’Autriche, qui dès sa fondation voit certains de ses
membres réclamer un rattachement (« Anschluss ») à la grande sœur allemande. Mais lors du traité
de Saint-Germain (10 septembre 1919), les Alliés interdisent expressément toute union entre
l’Allemagne et l’Autriche. Hitler, qui est né en Autriche et a vécu à Vienne dans sa jeunesse, ne s’est
jamais caché de sa volonté de réaliser l’Anschluss afin de rassembler toutes les personnes de « race
allemande » et de constituer une « Grande Allemagne ». Une première tentative échoue en 1934
(assassinat du chancelier Dollfuss et tentative de coup d’Etat par des partisans nazis à Vienne), du fait
notamment de l’opposition de Mussolini. Mais l’alliance passée entre les deux dictateurs en 1936
(axe Rome-Berlin) et la définition de deux aires d’influence distinctes (la Méditerranée pour
Mussolini, l’Europe centrale et de l’Est pour Hitler) laissent désormais au chancelier allemand le
champ libre pour la réalisation de son projet. Hitler convoque à Berchtesgaden, le 12 février 1938, le
chancelier autrichien Schussnig afin de le contraindre à prendre comme ministre de l’Intérieur le chef
du parti nazi autrichien, Seyss-Inquart. Schussnig tente toutefois de contrecarrer les projets hitlériens
en annonçant la tenue d’un plébiscite permettant à la population de se prononcer sur le maintien de
l’indépendance autrichienne (9 mars 1938). Mais le 11 mars, sous la double pression des formations
paramilitaires nazies et des troupes allemandes qui se massent à la frontière, Schussnig doit renoncer
à son projet de plébiscite. Puis il se soumet à un ultimatum de Hitler qui exige sa démission et son
remplacement par Seyss-Inquart. Schussnig s’adresse en vain à Paris, Londres et Rome pour
demander de l’aide.Pour légitimer leur action, les autorités allemandes fabriquent un télégramme
signé Seyss-Inquart et demandant « l’aide du Führer » : le 12 mars, les troupes allemandes
envahissent l’Autriche. L’Anschluss est proclamé et ratifié un mois plus tard à 97% par la population,
dans des conditions toutefois peu démocratiques (arrestation des principaux opposants politiques).
Mussolini a laissé les mains libres à son nouvel allié tandis que les démocraties se sont contentées de
protester, pour la forme. En annexant l’Autriche, Hitler réussit à séduire encore davantage le peuple
allemand par son audace tandis que les autres Etats d’Europe centrale, impressionnés par la
politique hitlérienne, cherchent à se rapprocher de l’Allemagne nazie au détriment d’une
hypothétique alliance avec des démocraties plus éloignées et se montrant peu empressées
d’intervenir contre Hitler. La victoire nazie est ainsi stratégique et mobilisatrice. Les nazis peuvent
également se saisir de plus d’un milliard d’or et de devises (la « place » de Vienne est alors un
régulateur de toute l’économie de l’Europe centrale).
Le 30 septembre 1938, par les accords de Munich, Français et Anglais livrent à Hitler la
Tchécoslovaquie.Après avoir annexé l`Autriche sans coup férir, Hitler réclame en septembre 1938
l`autodétermination pour les 3,2 millions d`Allemands qui peuplent la région des monts Sudètes, en
Tchécoslovaquie.Le Premier ministre britannique Neville Chamberlain multiplie les gestes
d`apaisement envers Hitler et lui rend visite le 15 septembre puis le 22, après avoir persuadé les
Tchécoslovaques de la nécessité de trouver un arrangement.Hitler choisit de surenchérir et exige une
cession des Sudètes dès le 1er octobre suivant, menaçant d`envahir le territoire à cette date… Chacun
craint le pire.Le 28 septembre, alors que la guerre est imminente, le Duce italien Mussolini propose
une conférence internationale de la dernière chance… en l`absence des principaux intéressés, les
Tchécoslovaques.Dès le lendemain 29 septembre, Hitler accueille Mussolini en gare de Munich.Au
bord de l`épuisement, Daladier et Chamberlain finissent par accepter un «compromis» présenté par
Mussolini par lequel le gouvernement de Prague est tenu d`évacuer les Sudètes dans les dix jours et
de démanteler ses forteresses de la frontière…Dès le lendemain, l`armée allemande pénètre en
Tchécoslovaquie et annexe les Sudètes.Les Slovaques obtiennent que ce qui reste du pays soit
transformé en un État fédéral avec d’une part la Bohême-Moravie, peuplée de Tchèques (capitale :
Prague), d’autre part la Slovaquie (capitale : Bratislava, autrefois Presbourg).Le même jour, Hitler
convoque à Berlin le président tchèque et le somme de «remettre en pleine confiance entre les
mains du Führer le destin du peuple et du pays tchèques» sous peine de réduire Prague en
cendres.L`opinion publique des pays démocratiques est à la fois troublée et soulagée par les accords
de Munich.En France, au lendemain des accords de Munich, tous les journaux titrent à la une : La
Paix !Notre peuple doit savoir que nous avons subi une défaite sans guerre, dont les conséquences
nous accompagneront longtemps sur notre chemin»(*).La postérité retiendra de lui cette formule,
dans une lettre postérieure : «Ils ont accepté le déshonneur pour avoir la paix. et la guerre».
Le 1er septembre 1939, les troupes allemandes envahissent la Pologne : infanterie et blindés
allemands progressent rapidement au sein du territoire polonais, tandis que l’aviation se livre au
bombardement des villes et des sites stratégiques.L’attaque de la Pologne par l’Allemagne en
septembre 1939, nouvelle provocation d’Hitler dans le cadre de sa politique de révision des traités et
d’expansion, marque les débuts de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Après l’Anschluss et le
démembrement de la Tchécoslovaquie, la Pologne constitue la cible suivante d’Hitler dans sa volonté
de réviser le traité de Versailles (supprimer le couloir de Dantzig et rattacher la Prusse orientale) et
de construire une « Grande Allemagne » (agrandie vers l’Est).Ayant renforcé son alliance militaire
avec Mussolini (pacte d’Acier du 22 mai 1939) et obtenu la garantie que Staline n’interviendrait pas
contre lui (pacte germano-soviétique du 23 août 1939), Hitler décide de lancer au petit matin du 1 er
septembre 1939 ses troupes aériennes et terrestres contre la Pologne : 48 divisions, dont six
blindées, appuyées par 1400 avions, envahissent le territoire polonais depuis des bases de départ
situées en Prusse Orientale, en Poméranie, en Silésie et en Slovaquie. C’est lors de cette attaque
contre la Pologne que les Allemands mettent en œuvre pour la première fois la stratégie de la
Blitzkrieg (« Guerre éclair »). Le plan d’invasion de la Pologne, dit « plan Blanc », prone une
destruction rapide par l’aviation allemande des voies de communication, des aérodromes, des usines
et des concentrations de troupes de l’adversaire. Les troupes terrestres n’ont plus ensuite qu’à
occuper un territoire abandonné par les troupes polonaises soumises à d’incessantes attaques
aériennes et obligées de battre en retraite. Les soldats polonais font pourtant preuve de bravoure
mais ne peuvent s’opposer à l’écrasante supériorité technique allemande (on vit même quelques
divisions de lanciers polonais charger à cheval de manière désespérée contre les blindés
allemands).L’avancée allemande est fulgurante : dès le 5 septembre, le gouvernement polonais
quitte Varsovie pour Lublin. Le 15 septembre, la capitale polonaise est investie. Ses derniers
défenseurs se rendent le 27 septembre. Contrairement à ce qu’espérait Hitler, l’attaque contre la
Pologne ne provoque pas une nouvelle reculade de l’Angleterre et de la France, comme cela avait été
le cas lors de la conférence de Munich (1938). Conformément aux promesses faites à leurs alliés
polonais, les gouvernements anglais et français déclarent la guerre à l’Allemagne le 3 septembre
1939. L’attaque allemande contre la Pologne marque ainsi le début de la Seconde Guerre mondiale.
Mais tandis que la Pologne s’effondre sous les coups de la Blitzkrieg, la France et l’Angleterre
s’enlisent dans la guerre.
Conclusion
Le triomphe des idéaux de la sécurité collective et de la SDN dans les années vingt est illustré par la
profonde amélioration des relations entre la France et l`Allemagne qui voit celle-ci faire son entrée à
la SDN et la signature des accords de Locarno.Mais ils ne sont pas pour autant totalement repliés sur
eux-mêmes comme le montre leur rôle dans le règlement de la question des réparations et leurs
investissements massifs en Allemagne.L`état soviétique obtient sa réintégration dans le jeu des
nations comme en témoigne les nombreux traités de voisinage et d`amitiés signés.La cause de la
seconde guerre mondiale est à chercher dans le diktat imposé par le traité de Versailles.