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Histoire
Introduction
Du 1er septembre 1939 au 2 septembre 1949, le monde est marqué par l’un
des plus grands conflits de l’humanité ; la seconde guerre mondiale. De par son
bilan, elle constitue un bouleversement dramatique dans le XX siècle
Développement
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Le bilan économique se matérialise par des pertes matérielles, des déséquilibres
financiers et économiques.
- Aspiration à bâtir un monde plus juste set meilleur sur les ruines de la guerre
d’où les tribunaux pour des criminels (Nuremberg et Tokyo : novembre 45 ;
mai 46 à novembre 48).
- Les expériences pratiquées par des Nazis des êtres humains jettent le trouble
dans les esprits et désarrois moral sur le respect des valeurs communes à
toute l’humanité.
- Des intellectuels comme Jean Paul SARTRE, Albert CAMUS ou des metteurs en
scène comme l’italien Roberto ROSSELINI en ont fait des sujets de travaux
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Conclusion sujet de type 1 en histoire
En définitif, la seconde guerre mondiale laisse derrière elle des bilans humain,
économique et moral déplorables, de manière générale. Tous les domaines de
l’humanité ont été impactes par cette guerre totale.
Apres 6 ans de conflit, les réalités politiques sont-elles restées les mêmes ?
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Histoire Sujet de type 2 : La période de glaciation des relations
Est/ouest.
Introduction
Développement
Consigne 1
Consigne 2
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Explication : Durant la première crise de Berlin entre 1948 et 1949, les
occidentaux contournent le blocus, c’est-à-dire la fermeture par Staline, des voies
d’accès terrestre à Berlin ouest, par un gigantesque pont aérien qui a permis de
ravitailler cette partie de la ville en produit de tout genre. Le 16 avril 1949, 12809
tonnes en 1398 vols la plus grande livraison de produits atteintes.
Consigne 3
Constat : Le document présent un soldat Onusien tirant sur une corde qui
renvoie au troisième parallèle, frontière entre les 2 Corées à la fin de la guerre.
Conclusion
La Grande Alliance rompt en 1947, c’est le début de graves tensions qui suivent cette
bipolarisation. La première crise de Berlin (48-49) et la guerre de Corée (50-53) ont
pour conséquences entre autre de nouvelles réalités territoriales.
Cette période de glaciation n’est-elle pas suivie d’une période d’apaisement des
relations Est/Ouest ?
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Histoire sujet de type 3 : l’URSS dans la Guerre Froide de 1947-1962
Introduction
Deux ans après la seconde guerre mondiale, les tensions réapparaissent rapidement.
Elles prennent la forme d’un affrontement entre deux blocs structurés chacun autour
d’une superpuissance : le bloc occidental attaché à la démocratie libérale et à
l’économie de marché avec les USA pour chef de fil. De l’autre côté le bloc
communiste dirigé par l’URSS.
Etudions là d’abord pendant le temps du gel des relations Est/Ouest, ensuite pendant
le dégel.
Développement
Pendant cette période de fortes tensions entre l’Est et l’Ouest, l’URSS reste le maître
de l’organisation du bloc de l’Est et participe de près ou de loin aux crises qui
apparaissent.
Si l’on peut remarquer une position passive, réservée ou mitigée dans la naissance
de l’Etat d’Israël en 1948 ou à la guerre de Corée entre 1950 et 1953, l’URSS
participe activement au ‘’coup de Prague’’ en Tchécoslovaquie en 1948, pour installer
un gouvernement communiste.
A Berlin, en juin 1948, Staline décide le blocus de Berlin ouest, par hostilité à la
tentative de reconstruction d’une Allemagne sous contrôle occidental et en violation
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des accords internationaux. L’URSS est donc ici au centre de la première grande crise
de la Guerre Froide.
Elle signe dans la même période des accords commerciaux sur les céréales et les
échanges de technologies avec l’Ouest.
Conclusion
Chef de fil du bloc de l’est pendant la guerre froide, il apparait naturel que l’on
retrouve l’URSS impliquée dans les principaux évènements du et du dégel des
relations entre l’Est et l’Ouest. Ses interventions obéissaient à la logique de chacun
des contextes.
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L’analyse de la participation de l’une des supers puissances étant faite, à quelle
hauteur interviennent les USA ?
INTRODUCTION
Les Etats-Unis constituent un géant économique. Plusieurs indicateurs la présente
encore comme la première puissance économique malgré la forte rivalité de la Chine. Ce
qualificatif repose sur l’ensemble de ses secteurs d’activité.
Comment se présente (se manifeste) cette puissance ? Quelles sont les limites ? Autre
proposition : comment analyser (étudier) cette puissance ?
Déterminons ses aspects avant de dégager ses problèmes.
DEVELOPPEMENT
Première partie : les aspects de la puissance économique des Etats-Unis.
Phrase chapeau : La puissance économique des Etats-Unis se caractérise par le dynamisme
dans les secteurs agricole, industriel, commercial et financier.
- Des productions variées parmi les plus importantes du monde 2% d’actifs, 2ème rang
mondial pour le blé 1èr pour le maïs et le soja. Le pays produit 12% de fourniture
mondiale de viande ;
- Des cultures diversifiées : des céréales du milieu tempéré aux agrumes et coton du
milieu tropical ;
- Une agriculture qui définit de grandes régions agricoles ;
- Une agriculture intégrée à l’industrie et à d’autres secteurs économiques, l’on parle de
l’agrobusiness (ceci peut aussi être un facteur).
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- Des secteurs performants : l’automobile (Général Motors, Ford, Chrysler), le pétrole
(Exxon Mobil, Texaco, Chevron, Amoco), informatique électronique (IBM APPLE,
Microsoft…), l’aéronautique (Lockheed, Boeing….).
- Des nouvelles régions industrielles dynamiques et tournées vers les industries de
pointe exemple : la Sun belt.
- Des partenaires diversifiés : les autres régions de la triade, les pays émergents et
plusieurs pays du sud autres que les pays émergents.
- 2ème exportateur mondial en 2020 derrière la Chine.
- Des grandes firmes transnationales au centre de ce commerce ;
- Le rôle toujours dominant du dollar dans le système monétaire international malgré la
concurrence de l’euro, du yen ou du yuan.
- Autre symbole de la puissance financière : les bourses de valeur : la NYSE (New York
Stock Exchange) à Wall Street ou Chicago Board, première bourse de valeur pour les
produits agricoles.
CONCLUSION
L’hégémonie américaine dans le monde dépend entre autres domaines de son
économie. Les secteurs d’activités sont parmi les plus performants du monde mais cela
n’exclut pas des problèmes endogènes et exogènes.
De ce fait, les réalités économiques mondiales actuelles lui laisseront-elles cette
place ?
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Géographie Sujet de type 2 : De la mesure aux contrastes de
développement
INTRODUCTION
Développement
Consigne 1
Explication : il s’agit d’un indicateur (agrégat) arrêté dans les années 1990
par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Il s’exprime sur
une échelle de 0 à 1, les pays développés ont donc des IDH avoisinant 0,90 [donner
un exemple]. C’est un indicateur multisectoriel, un indicateur qualitatif qui, en plus
des réalités socio-économiques, peut intégrer les aspects politiques et culturels d’une
région ou d’un pays.
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Critique : d’autres indicateurs de mesure.
- PNB=
- RNB=
Transition : les indicateurs de mesure permettent d’aboutir à une géographie
mondiale de développement précise.
CONSIGNE 2
CONSIGNE 3
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Explication : de forts contrastes de développement s’observent à l’intérieur
de l’Union Européenne, de sorte que l’on parle parfois d’une union à ‘’géométrie
variable’ ’. Au rayonnement des vieux pays capitalistes à économie de marché de
l’Europe Occidentale, s’oppose la difficile intégration et le retard des anciens pays
communistes de l’Europe Centrale et Orientale. D’autres contrastes sont visibles
entre les pays de vieille tradition industrielle comme l’Allemagne, la France, l’Italie et
quelques autres frôlant souvent la faillite financière, exemple Portugal ou Grèce.
- La triade=
- Les transitaires=
- Les périphéries de la triade et les ‘’dragons’’ d’Asie
INTRODUCTION
Situé de part et d’autre de l’équateur le Gabon a une superficie de 267.667km². Il
s’ouvre dans sa partie ouest sur 800km de côtes à l’Océan Atlantique. Pays à revenu
intermédiaire de tranche supérieure, son développement passe par la dynamisation de tous les
secteurs d’activités économiques, dont le tourisme.
Ainsi le pays peut-il se passer de ce secteur pour ses projets de développement ?
Autre proposition : Quelle place occupe le secteur touristique pour le développement du
pays ?
Expliquons d’abord le tourisme comme secteur incontournable avant d’expliquer la
possibilité d’explorer d’autres secteurs (avant de démontrer que d’autres secteurs sont tout
aussi importants).
DEVELOPPEMENT
Première partie : le tourisme, un secteur incontournable.
Phrase chapeau : Les réalités de ce secteur et les axes stratégiques sur lesquels pourraient
s’appuyer les autorités pour le développement du tourisme, un élément incontournable pour le
développement futur du pays.
Les réalités du secteur :
Le tourisme a des atouts et des potentialités immenses ils sont naturels : de par sa
faune, sa flore, ses 800km de côtes et ses paysages majestueux, le Gabon peut devenir
une destination de grand choix pour les touristes, (ressortir quelques exemples). Il y a
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des atouts culturels : la cinquantenaire d’ethnies peut proposer autant de produits
culturels aux touristes : masques, danses, autres objets d’art. Des éléments historiques
peuvent également intéresser les touristes : le monument aux Français morts à la
guerre de Mimbeng, l’île Samory Touré de Ndjolé, l’hôpital Schweitzer de
Lambaréné, les missions Baraka et St. Michel de Libreville…
Les autorités du pays ont fait quelques investissement sur le secteur et l’état des lieux
donne : des visites de touristes vers les 13 parcs nationaux créés, des visites vers
l’hôpital de Lambaréné et d’autres sites. Des visites encouragées et facilitées par un
ministère mis en charge. L’écotourisme reste une branche en plein dynamisme. Il
bénéficie de la présence de l’apport des organisations non gouvernementales (ONG) et
suscite la mise en place de nouvelles politiques touristiques par l’Etat. Dans ce sens, le
secteur est confronté à quelques problèmes : insuffisance de personnel qualifié,
d’infrastructures d’accueil et de routes.
Des axes sur lesquels entend s’appuyer l’Etat pour les perspectives : six
axes (Sources : économie Gabon + mensuel de septembre 2021, P.22) :
Transition : Le tourisme est un secteur très important pour l’avenir du Gabon mais il
ne reste pas incontournable.
Le secteur primaire :
L’exploitation des richesses du sol et du sous-sol est importante pour les perspectives
de l’économie gabonaise : en plus de la production des mines de manganèse de
Moanda exploités par la compagnie minière de l’Ogooué filiale du groupe Français
Eramet ( 8 millions de tonnes en 2020) celle d’Okondja et du Ndjolé, l’exploitation
forestière, l’agriculture , la pêche peuvent être des activités économiques créatrices de
richesses et d’emplois, à travers des programmes et des projets définis par les
autorités : le programme graine ou le projet de construction d’une usine de
conservation du thon ou de transformation des produits de pêche en sont des
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exemples. L’exploitation en on et off-shore du pétrole bénéficie de nouveaux
gisements.
Le secteur secondaire
Il est tout aussi important : les autorités ont décidé de la transformation sur place du
bois, un début d’industrialisation de cette filière (230 millions de francs CFA de
chiffre d’affaire en 2019) la création de la Gabon Oil Company devrait entre suivie de
la formation des cadres supérieurs du pétrole et du gaz, une centrale à gaz est en cours
de réalisation depuis 2021 à Owendo. La transformation du minerai en silico-
manganèse et en ferromanganèse ou complexe métallurgique de Moanda confirme
également le relatif dynamisme de ce secteur dans la perspective du développement du
pays.
Le secteur tertiaire
En dehors du tourisme les autorités mettent l’accent sur d’autres activités liées à ce
secteur à travers programmes et projets. Ainsi quelques projets d’accompagnement des
réalisations faites dans les transports : la Transgabonaise, longue de 780km d’Est vers
l’Ouest pour désenclaver l’intérieur du pays, la digitalisation du service public, la
réalisation du centre de formation de NKOK ou la reformation de l’office
pharmaceutique gabonais sont autant de rubriques qui alimentent le secteur tertiaire,
pour le développement du pays.
CONCLUSION
En définitive, le tourisme reste un secteur clé de l’économie gabonaise. Il est
indispensable aussi bien dans la diversification de l’économie du pays que dans les
perspective de son développement. Toutefois il ne peut être incontournable dans la mesure ou
d’autres activités ou d’autres secteurs peuvent revêtir la même importance.
PLAN
INTRODUCTION
I. Un secteur incontournable.
1. Les réalités du secteur
2. Des axes pour les perspectives de l’économie du pays
II. Des secteurs autres (D’autres secteurs)
1. Le primaire
2. Le secondaire
3. Le tertiaire
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