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Analyse + Fiches Méthodes

- Fonctions (limites de fonctions, asymptotes, fonctions


convexes et concaves, études de fonctions etc.. )
- Dérivation
- Continuité
- Logarithme Népérien
- Exponentielle
- Suites
- Raisonnement par récurrence
- Fonctions trigonométriques
- Primitives
- Équations différentielles
Algèbre, Géométrie
+ Fiches Méthodes
et Probabilité
- Probabilités
- Loi Binomiale
- Représentations paramétriques et équations
cartésiennes
- Produits scalaires
- Orthogonalité et distances dans l’espace
(- Dénombrement et Combinatoires)
(- Loi des grands nombres)
Fonctions 1/3
1) Limites de fonctions
•Formes indéterminées: + x -
x ◦ ✗ ✗ 0/0 ✗ la

But : lever l’indétermination


• Théorème des gendarmes : ) ≤ flxl ≤ hlxl Soit c- Mon a- ±
gtx
-
-
a

x EI

Si limglxl
n a
= limhlxl =L
a
ALORS

limflxl
a
=L
>
-

✗ → →

• Propriétés : .
flxl ≥ gtx ) et

lim
→ +✗
gtx) = + x

ALOI

limflx )
→ + a
= + ne

-
flxl ≤ gtx ) et

lim
→ +✗
gtx) = - x

ALOI
x
limflx )
→ + x
= -
x

limlmx lim e- =
• Croissance comparée : .

✗ x nm
=
0 .

x xm
+ x

→ + >
-
+ x

.
limxme
"

= 0 .
limxmlmx = O
x -
s - x x →

En + x : • exp(x) croit plus vite que toute puissance de x


• Toute puissance de x croit plus vite que ln(x) |

En - x : • exp(x) décroît plus vite que toute puissance de x


• À l’infini, la limite d’un polynôme est celle du terme de plus haut degré
lim 1- 8 x2 7) lim (-8×2)
+ x -
= = - x

x → + x x -
> + a
Fonctions 2/3
2) Asymptotes
• Asymptote horizontale lim flxl = l La droite d’équation y =L est une
x → + x asymptote horizontale à Cf en + x

• Asymptote verticale lim fl x ) = + x

O- E IR on
x →
O
-

La droite d’équation X = Ou est une


him asymptote verticale à
x
fl )
x = -
x
Cf

on

3) Fonctions convexes et concaves


Soit f une fonction dérivable et définie sur un intervalle I

• Convexité = f est convexe sur I si sur I , sa courbe représentative est entièrement située
au dessus de chacune de ses tangentes.

• Concavité = f est concave sur I si sur I , sa courbe représentative est entièrement située
au dessous de chacune de ses tangentes.
n

'

> >

fonction convexe fonction concave


|

f convexe sur I —> f ’ croissante sur I —> f ’’(x) > 0 pour


tout x de I .

f concave sur I —> f ’ décroissante sur I —> f ’’(x) < 0 pour


tout x de I -

4) Points d’inflexion
Soit f une fonction dérivable sur un intervalle I

• Point d’inflexion = Point où la courbe traverse sa tangente en ce point.

Y
Au point d’inflexion , la fonction
passe de convexe à concave ou de
concave à convexe.
,
Fonctions 3/3
4) Fonctions paires et impaires

• Fonction paire : f est paire ssi pour tout x de D f(-x) = f(x)

:
Les fonctions pairs sont symétriques par rapport à l’axe des ordonnés

• Fonction impaire : f est impaire ssi pour tout x de D f(-x)=-f(x)


Les fonctions impaires sont symétriques par rapport à l’origine du repère.
Dérivation
h) f /a)
• Taux d’accroissement Tlh) =
f10 - + -

de f entre a et a+h : h

limtlh) est finie alors : limites)


- Si
h - > o
J' (a) =

h → o

lim f10 hl f / a)
/ a)
+
-

f
-
'

h -
> o h

• Équation de la tangente
f / a) ( x a) flot
'

y
= - +

de f en x=a :

Pour avoir les variations d’une fonction f on étudie le signe de la


dérivée f ’
f ’ positive sur I f croissante sur I
f ’ négative sur I f décroissante sur I
Dérivées des fonctions usuelles : Formule de dérivation :


u.coslxl-s-i.no/
:

Produit :
µ ✗ N n' N + N'

Dérobées des fonctions composées : u une fonction dérivable



' ' ' m - 1

( Mm
'

1 M
'
M mule
.

= -
.
n = . =

µ v2 -

2 À

U -1-0 le > 0
f : I -
> IR
:O IR
(go f) ( x) f / ) y SCI)
'

D' fflxl)

Formule générale : Sata


'
EI = - x cs
Continuité
Soit f une fonction définie sur un intervalle I.
Soit a un réel appartenant à I
lim floc ) f (a)
• f est continue en a si
=

✗ → a

• f est continue sur l’intervalle I si f est continue en tout point a de I

• Les fonctions polynômes , rationnelles (=quotient de 2 polynômes), racines


carré ,valeur absolue, cosinus et sinus sont continues sur leur domaine de
définition.

• La somme , le produit , le quotient et la composées de fonctions continues est


une fonction continue

• Si une fonction est dérivable alors elle est continue


-
t

Une fonction continue n’est pas forcément dérivable

TVI - Théorème des valeurs intermédiaires

Soit f une fonction définie et continue sur I


Soient (a,b) I
• Pour tout réel k compris entre f(a) et f(b) il existe au
moins un réel c compris entre a et b tel que f(c)=k
L’équation f(x)=k a au moins une solution c

• Si la fonction f est strictement monotone (=strictement


croissante ou décroissante) alors la solution est UNIQUE.
Logarithme Népérien
e ≈ 2,71

1 - - - -
-
-
-
- La fonction ln est :
y • définie sur ] oi + ✗ [
I

I
I
• Continue
• ! • Strictement croissante
1 e • La fonction réciproque
de exp , ie :
Asymptote →
(lm x) -1
-

Verticale x=0 • =

x
elmlx) = x


[ lmluixMI-u.nu/x
)

Propriétés : Par stricte croissance de la fonction ln :

• lm (1) = 0

lm / a) = lm / b) a =3


lm (e) = 1 .
lm / a) < lm / b) a <b


lm la b)
✗ = lm (a) + lmlb) .
lm / a) ≤ lm / b) a ≤ b


lm / £) = -
lm /a)

Limites
• lm (E) = ln /a) -
ln / b)

lim lmlx) = - x
+
✗ → 0
lm ( am ) mlm
'

. = (a)
• lim lm ( x ) = + x
x > + ✗
ln hot )
Elm / a)
-

• =

limxmlm ( x)

}
• = O
+
x → ◦ C. C

ln ( a b) lm (a) lm / b) lim lm ( x )
+ ≠ +
. = 0
& → + x
5m

On n’applique pas la fonction ln à un


nombre négatif !!!!!!
ln ( a)
L =
l a > 0

= ln ( ea) pour tout a


Exponentielle

( ex )
-
x

x •
= e

e =
exp ( x) e - - - - - -

i
'" '"

[ /
"
i •
en = nixe
;
1- !
I
,

i
1

Propriétés "

• Pour tout réel x e > 0


é=1
• La fonction est strictement
é ≈ 2,7181 croissante sur n
se
atb Lim e
eaxeb
. = +00
le = ✗ → +00

a "
1
e- = . Lim e =

¥ se → - 00

b "

ga ea
-

. Lim l
◦◦

}
=
= +

À se → + 00 am MEIN
Par Croissance
" limxmex.co comparée
em
m -

= ( ea) X → - 00
Suites Arithmétiques

- Formule par récurrence : Un + i = Um + R


↳ raison de la suite
. Formule explicite : Um =
llo + m ✗ R

Un =
Un + (m -
1) ✗ R si U1 est le premier terme
Um =
Up + (m p ) - ✗ R

> ° Croissante
' R = Un + ,
- Un

> < O Décroissante


m

Mo Um llotllm Il &
- + Un + . .
.

+ = (m 1)
+ =

2
k -

_ ◦

-111 h
• 1+2 + . . .
+ m =

min =

k -

- o

- Montrer qu’une suite est arithmétique

Pour démontrer qu’une suite est arithmétique, il faut


montrer que pour tout entier naturel n :
Mma -
Um = R

Avec r la raison qui est une constante indépendante de n


Suites géométriques

- Formule par récurrence Un -11 Mm


% raison de la suite
= ✗

. Formule explicite Um :
tloxqm
)
Un =
ftp.qlm-p

>
> 1 Croissante
Un -11
.
Q = >
0101<1 Décroissante
Um
ni l’un ni l’autre
-
Un
m

{0 ex : -

- C- 1)

m
"

- Mo + Ur+Uz+ . . -
+
Un = Moi ,
1- 9m = Mg
1-
q k -

- O
m
"

qm
qk
1-
'
1+9+97 . .
.
+
qm =

1-
=

q k=o

~ Montrer qu’une suite est géométrique :

Pour démontrer qu’une suite est géométrique , il faut


montrer que pour tout entier naturel n :
Un -11 -_
qxllm
Avec q la raison qui est une constante indépendante de n
Les suites - Limites et théorèmes
• Suite croissante : tn EIN ,
Un -11 > Un

• Suite décroissante : tn EIN ,


Un -11 ≤ Un

• Suite monotone : Suite croissante ou décroissante


C

• Suite majorée : Il existe un réel M tel que Un ≤ M Un -


M ≤ ◦

• Suite minorée : Il existe un réel m tel que Un ≥ m Un _


m ≥o

• Suite bornée : Suite majorée et minorée m ≤ Un ≤ M

• Suites arithmétiques et géométriques : voir fiches correspondantes

Limites de suites
• Suite convergente : suite avec une limite finie
• Suite divergente : suite avec une limite infinie ou qui n’a pas de limite

• Formes indéterminées : -

✗ + x
i Ox ± x
; ;
±-

± -

• Limites d’une suite géométrique : •

q ≤ -1 Pas de limite

Un =
qn .
-1 ( q < 1-
limon
On
=

→ + ✗

01=1 limqn = 1
n → + x

q > 1 limon = + x
n → +a

1/2
Les suites - Limites et théorèmes
Soient Un Nn et Wn telles que
• Théorème des gendarmes : ,

Un ≤ Nn ≤ Un tm c- IN

-
Si lim Un =L et lim Un =L Alors Lim Nn =L
n → +x n → +x
m → -1A

• Théorème de comparaison : Soient Un d- Nn telles


que :

Un ≤ non

-
Si lim Un = + x alors lim Nn = + x

n → +x
n → +x

-
Si Lim Nn = -
x alors lim Un = -
x

n → + x n → +x

• Toute suite croissante et majorée est convergente.


• Toute suite décroissante et minorée est convergente.

2/2
Raisonnement par récurrence
Le but est de montrer qu’une proposition (Pn) est vrai pour tout
entier naturel n à partir d’un entier n ◦

Initialisation : -On vérifie que la proposition est vraie pour le rang


-

- « La proposition est vraie pour le rang n »

:
Hérédité : - « Supposons que pour un entier n fixé n n la poposition
(Pn) est vraie. Montrons qu’elle est vraie au rang n+1 »

Propostion’(Pn) : Hypothèse de récurrence (HR)


Proposition(P n+1) : Ce qu’on veut montrer grâce à
(HR) qu’on a supposé

Conclusion : - « Par récurrence la proposition (Pn) est vraie pour tout


entier naturel (n n ) »
/
Fonctions trigonométriques
• Les fonctions cosinus et sinus sont 2IT périodiques.
Cos x -

_
cosfx + 2kt) sinx = sein ( x -12kt) LEZ

x o
E E Es En *

-1
cosx 1- E- E °

1 V3
sinx 0 1 0
2 2

• Propriétés : -
1 ≤ casse ≤ 1 -
1 ≤ Sinn ≤ 1-

pour tout x "


Intégrer

2x sinon 1 <
Cos + =

nan
cosfx) = cosfx ) Dériver
V
sinc -

x ) = - Sin ( x )
cosclttx) = - Cola)
Sin ( tir ) = -
Sin ( x)
-
Cos > Cos

CDH - x) = - Cos / x )
Ain (T -
x) = Sin ( x )

-
Sin

fonction cosinus fonction sinus

X O T E
costo) = -

sinlx) -
Sin
-

(a) = Cosse + 0 -

/ x)
^ 1
Cos sin x
-

> -1 >
0 0

- La fonction cosinus est paire - La fonction sinus est impaire


cos(-x) = cos(x). sin(-x) = -sin(x)
Primitives
Soit f une fonction continue sur un intervalle I

• La primitive de f sur I est une fonction F telle que F ’ = f \

• f et g deux fonctions continues sur I qui ont pour primitives respective F et G .


- F + G est une primitive de f + g
- kF est une primitive de kf, k C- IR
• Les primitives d’une même fonction sont égales à une constante près.
Si F est une primitive de f sur I alors pour tout réel C , F + C l’est aussi
Car la dérivée d’une constante est 0.

fonction primitive fonction primitive


a ax
qu
"
N' e
-11
sen 1-
zen '

NEIN
*
n -11
n
u > o ln (u)
µ
1- 1
_

xz x ma'am
-1
µm
lmlx)
£
u une fonction
1 20E
rx

ex ex
Équations différentielles
• Une équation différentielle est une équation dont l’inconnue est une fonction.

1) Équation différentielle y ’= ay
• Le but est de trouver toutes les fonctions f dérivables telles que f ’(x) = a f(x)
×

• Les solutions de l’équation y’= ay , a E IR , sont les fonctions de la forme x ↳ Ce

avec C une constante réelle quelconque.


Zx
Résoudre On Les solutions sont ke
3g 2
-23
'

ex
-

y
a
y y
xts
: = : = .

k c- IR .

2) Équation différentielle y’ = ay+b

• La fonction ✗
¥ ,
Ou ≠ O
est la solution particulière constante de l’équation différentielle
"

(e
• Les solutions de l’équation y‘ = ay + b (a,b) E IR sont de la forme
I
x -

¥
Probabilité
Plan B) - Probabilité de B sachant A
• Probabilité conditionnelle : PA (B) =

IP (A) - A est de probabilité non nulle


.

• Arbre : ☐ Chemin A n B

n
#
¥15
.

Chemin A n B
'

pH
n
-

P
☐ Chemin A n B
•La somme des probas d’une
même branche vaut 1 g.
• La probas d’un chemin est le
produit des probas inscrites sur le
chemin P(AM B) = P(A) x PA (B)
Àj -

Chemin A n B
-

• A B : évènement constitué de toutes les issues favorables à au moins un des

Un
événements A ou B

• A B : événements constitués des issues favorables à la fois à A et à B


• P(AUB) = P(A) + P(B) - P(A n B)

• Évènement contraire : P(A) = 1 - P(A)

• Probabilités totales : P(B) = P(A n B) + P(A n B)


= P(A) x PA (B) + P(A) x PA- (B)

• Événements indépendants : A et B sont indépendants si


P(A n B) = P(A) x P(B)
LoiBinomiale
Loi Binomiale
• Épreuve de Bernouilli = expérience aléatoire à 2 issues :
- « succès » notée S de probabilité p
- « échec » notée E de probabilité 1-p
• La variable aléatoire X (=1 en cas de succès et =0 en cas d’échec)
• Dans une épreuve de Bernouilli, X suit une loi de Bernouilli
Xi 0 1

PM ai ) l
p p
=
-

• Épreuves indépendantes = quand l’issue d’une épreuve ne dépend pas des épreuves
précédentes
• Schéma de Bernouilli = répétitions de n épreuves de Bernouilli identiques et
indépendantes
• Loi Binomiale = Dans un schéma de Bernouilli, X (qui compte le nombre de
succès) suit une loi binomiale de paramètres n et p, notée B(n;p) telle que :
l

(Û ) pk
m -

P (✗ = k) = ✗ × (r -

p)

• L’événement « obtenir au plus k succès » se note P(X < k)


« Obtenir au moins k succès » se note P(X > k) = 1 - P(X < k)

• P(X > k) = 1 - P (X < k-1)

X qui suit une loi B(n;p)

• L’espérance de X : E(X) = np

• La variance de X : V(X) = np (1-p)

•L’écart type de X : 6 (X) = VÎT


= np (1-p)
La loi des grands nombres
1) Inégalité de Bienaymé-Tchebychev
Soit X une variable aléatoire réelle d’espérance µ et de variance V.
Pour tout réel S O , on a :

D
-

µ ,
S
ga
-

2) L’inégalité de concentration

Soit n un entier naturel non nul.


Soit une loi de probabilité et (✗ Xz ✗ ) un échantillon de cette loi constitué de
ni ;
- - -
i n

variables aléatoires d’espérance µ et de variance V.


✗ ✗ 2 ✗
Mn =
1- + + + n

la variable aléatoire moyenne


. . .

Alors pour tout réel S O


, on a :

P Mn µ -

,
S ≤ ¥
3) La loi des grands nombres

Soit n un entier naturel non nul.


Soit une loi de probabilité et ( ✗ ✗ ✗ )
un échantillon de cette loi constitué de
ni zi . - -
i n

variables aléatoires d’espérance µ et de variance V.


✗2 ✗n
Mn =
1- + +

la variable aléatoire moyenne


+ -
- .

Alors pour tout réel s > 0 , on a :

lim P Mn ≥ S
Oµn
-

→ + x
Dénombrement et Combinatoire
• Le produit cartésien A x B avec A et B deux ensembles finis est :
A x B = { (a,b) / a C- A et b EB}

1) Cardinal d’un ensemble


• Le cardinal d’un ensemble fini est le nombre d’éléments que contient l’ensemble.
• Deux ensembles sont disjoints s’ils ont aucun élément en commun.

• An A An des ensembles finis deux à deux disjoints :


,
2 . . _

,
,

land ( Ar U Azu . - -
U An ) = Coud 1AM + fond 1AM + . _ .
+ fond ( An )

• Soit A un ensemble fini de cardinal n


land ( EP ) = n
P

2) Arrangements

n ! = 1×2 × 3 × . - -
x (n -
1) ✗ n « factorielle n »
• L’ arrangement d’un ensemble est une disposition ordonnée d’un certain nombre
d’éléments d’un ensemble.
Les éléments sont pris sans répétition et l’ordre des éléments compte.

• Le nombre d`arrangements de k éléments d’un ensemble à n élément vaut :

!
1)
n
n ✗ ( n il
-
✗ (n -
2) × - - -
×
( n -

p + =

( n -

p) !

3) Permutation
• La permutation d’un ensemble est une disposition ordonnée de tous les éléments
de cet ensemble.

• Si E est un ensemble à n éléments , le nombre de permutations de E vaut n!


4) Combinaisons
• E un ensemble à n éléments, La combinaison de k éléments de E représente toute
collection non ordonnée de k éléments distincts de E.

• Le nombre de combinaison de k éléments de E vaut :

!
à
n
=

k ! tn -
k) !

( ô ) -1 (1)

H.pt-np.tn?p)- fp.Tp)-lpIs)- fp
• (nn ) -1 = "
- -

• pour tout p tel que 0 < p < n :

:?)
Produits scalaires
1) Produit scalaire dans l’espace
Soient u et v deux vecteurs, on note le produit scalaire de u et v u . v
→ → → →

Si tu = Ô ou nô = 0
,
ii. À = O

• Expressions du produit scalaire :


-

x ×

1) avec coordonnées : Û ni Û À ✗ à ' '

yy -133
'
+
-

y ,
y .
=

3 y

ii. À là Il ANTI
>

2) avec le cosinus : ✗ coslùirô )


,
=

• Propriétés : Soient u , v et w trois vecteurs de l’espace


→ → →


ii. Û =
Mû / 12

• t.lv + Ù ) =Û nôtre . .

• ii. À =
iv. à

• ( ktu) .tv = À ( kiné)


.
= klu-i.FM ,
KEIR


ii. À = 0 à d- À sont orthogonaux .


• Norme : >
HÛ Il x2

à y = +
y 2+32
3

2) Vecteur normal à un plan


À
^

• Soit u un vecteur non nul. u est normal à un plan P s’il est orthogonal à deux
→ →

vecteurs non colinéaires de P.


/
à >

à >

• Deux plans P et P’sont orthogonaux si le vecteur normal de P est orthogonal au


vecteur normal de P’
Orthogonalité et distances dans l’espace
1) Orthogonalité entre droites et plans
• Soient d une droite de vecteur directeur u , et d ’ de vecteur directeur v.
d et d ’ orthogonales u.v = 0
→ →

- Si d et d’ ne sont pas coplanaires, elles ne sont pas sécantes.


- Si d et d’ sont coplanaires , alors elles sont perpendiculaires.

• Soient d une droite de vecteur directeur u et P un plan de vecteurs directeurs v et w.


→ → →

d et P sont orthogonaux pour tout point A et B de P


d
Û◦N=0 et vi. À = 0
^
> P
à

i. ôu

• Soit n un vecteur non nul. Soit P un plan de vecteurs directeurs v et w.


Le vecteur n est dit normal au plan P

À .nÎ=0 À .Û= 0

2) Projetés orthogonaux
i. M
• Le projeté orthogonal de M sur la droite d est le point H
:
à appartenant à d tel que (MH) d.
it • H est le point de d le plus proche de M.
'

• La longueur MH est appelée distance du point M à la droite d



M

• Le projeté orthogonal de M sur le plan P est le point H


Edit ; appartenant à P tel que (MH) P
2

• On a w.u = 0 et w.v =0
→ → → →


P le plan de vecteurs• On dit que le vecteur w est normal au plan P

directeurs u et v
→ →

• (HM) de vecteur
directeur w

📝
Représentations paramétriques et
équations cartésiennes \

1) Représentation paramétrique d’une droite


a

Soit une droite d de vecteur directeur u



b
C
MA
Soit A YA un point de d
JA

{

'

✗ = xn-i-o.li
On a M y C- d il existe un t en tel que y =
ya
+ bt
et
za
=

z
+

2) Représentation paramétrique d’un plan


d
Soit un plan P de vecteurs directeurs u Ob et v
→ →
e

XA
c
f
Soit A un point de P
YA
JA
Kath

{ yn-i-kb-tfz-zn.tk
x = a + te
x
'

On a M y EP il existe (t,k) c- IR tel que y


-

c +
tg
z

3) Équation cartésienne d’une droite

Soit d une droite de vecteur directeur u (-b ; a)


L’équation cartésienne de la droite d est de la forme : ax + by + c=0


✗ A

On retrouve c grâce aux coordonnées d’un point A MA de la droite


3A
On ( Qxn byn )
-

Si pour M H :) ax + by + c
aura -
.
+ . .
-

-
C


1=0

4) Équation cartésienne d’un plan M * d


Soit P un plan de vecteur normal n b
→ a

L’équation cartésienne du plan P est de la forme : ax + by + cz + d =0


C

On retrouve d grâce aux coordonnées d’un point A


H du plan.
XA

Si pour M(Î!) ax + by + cz + d =/
. ◦
Oilers MEIP

0
3A
Méthodes - Etudes de fonctions
Comment fait-on pour....
Méthode 1 : Montrer qu’une fonction f admet une asymptote verticale :
- Si limflx ) ± alors on dit que la droite d’équation x=a est une
-

_
-

asymptote verticale de Cf
x -
> a

- Si la fonction a des valeurs interdite, étudier la limite de la fonction en


ses valeurs interdites !
Méthode 2 : Montrer qu’une fonction f admet des asymptotes horizontales :
- Si
x
limflxl ±
= b c- IR alors on dit que la droite d’équation y=a est
>
-
x

une asymptote horizontale de Cf


- Si la limite de la fonction en ± x est finie , alors il y a une
asymptote horizontale
Méthode 3 : Montrer la continuité ou non-continuité d’une fonction en a E IR

- Calculer f(a)
- Calculer lim f(x)
x → a

Si f(a) = lim f(x) alors f est continue en a .

Sinon f n’est pas continue en a .

Méthode 4 : Montrer la continuité d’une fonction sur un intervalle


- Les fonctions polynomiales , rationnelles (=quotient de 2 polynômes),
cosinus , sinus , racines carrées sont continues sur leur ensemble de définition.
- Les produits , sommes et composées de fonctions sont continues.
tout ceci « d’après des théorèmes du cours »
Méthode 5 : Montrer qu’une fonction f est dérivable (ou pas) en un réel a

- Calculer la limite du taux d’accroissement him ËË= l


h → ◦
h

- Si cette limite est finie (=est un réel) alors f est dérivable en a et


le
f. (a) =

- f ’(a) est le coefficient directeur de la tangente à en x =a

- Si cette limite est infinie alors f n’est pas dérivable en a


Méthode 6 : Montrer qu’une fonction f est dérivable sur un intervalle

- On utilise les théorèmes du cours


- Les fonctions usuelles ne sont pas toujours dérivables sur leurs
ensemble de définitions !
fl ) =P définie sur
IR +
ex : x

dérivable sur 1RE f. (a) =

{ma

Méthode 7 : Tracer le tableau de variation d’une fonction sur I

- Justifier la dérivabilité de la fonction f sur I


- Calculer la dérivée f ’(x)
- Etudier le signe de f ’ en fonction de la valeur de x
- En déduire les variations de f

Méthode 8 : Montrer que l’équation f(x) = k admet au moins une solution sur un
intervalle donné [a;b]

- Justifier la continuité de f sur [a;b]


- Monter sur k est compris entre f(a) et f(b)
- Dire que d’après le théorème des valeurs intermédiaires, l’équation
f(x)=k admet au moins une solution sur [a;b]
Méthode 9 : Montrer que l’équation f(x) = k admet une unique solution sur
un intervalle [a;b]

-Mêmes hypothèses que pour la méthode 8 avec comme condition


supplémentaire : f est strictement monotone (=strictement croissante ou
décroissante)
- Dire que d’après le théorème des valeurs intermédiaires, l’équation
f(x)=k admet une unique une solution sur [a;b]

Quand on demande de montrer qu’une équation admet « au moins » ou


« au plus » une solution on pense directement au TVI

Méthode 10 : Montrer qu’une fonction est convexe


But : Montrer que la dérivée première f ’ est croissante
- Calculer la dérivée première
- Dériver la dérivée première afin d’obtenir la dérivée seconde f "
- Déterminer le signe de la dérivée seconde f "
- En déduire les variations de la dérivée première f ’

Méthode 11 : Montrer qu’une fonction est concave

But : Montrer que la dérivée première f ’ est décroissante


- Calculer la dérivée première
- Dériver la dérivée première afin d’obtenir la dérivée seconde f "
- Déterminer le signe de la dérivée seconde f "
- En déduire les variations de la dérivée première f ’
Méthode 12 : Résoudre une équation de la forme ln If /xD =
a

- Cette équation équivaut à : exp ( ln If / xD =


exp ( a)

- Donner le domaine de définition de la fonction f telle que f(x)>0

- Les fonctions logarithmes et exponentielles sont deux fonctions


réciproques, on a donc :
exp ( ln 1×11 = X ,
O
"

- On a donc l’équation flxl = e

- Isoler. x
Méthodes - Géométrie dans l’espace
Comment fait-on pour ....
Méthode 1 : Trouver la représentation paramétrique d’un plan et savoir si un
point appartient à un plan
Soit P un plan passant par le point ATRAIYAIJA) et ayant pour vecteur directeur
à / a. et rôle :p :o)
p.se)
Sa représentation paramétrique est :
Pour savoir si un point B(x,y,z,) appartient
kn-txt-x-ty-yn-i-pt-ipit.lt/t7tlR2
✗ =

au plan P, on cherche à savoir s’il existe t et t'


tels que les coordonnés de B vérifient le

zn-i-rt-ir.tn/1i1i1)etnTY3i2i4
3- -

système d’équation ci-dessous ?

Exemple : Soit P le plan passant par le point A(1;0;2) et de vecteurs directeurs


) .

B(-2;-1;-3) appartient-il au plan P ?

On résout d’abord les deux premières des 3 équations. On trouve ainsi t et on


t'

remplace tett dans la dernière équation


'
:

{
t =-3 -3T t =3
'

-2=2+1-+31 t

{
2=1+1-+35 -3T 3E
{ { {
.
-
= -

-1=0+1-+21 -1=1-+2 t' 1=-3-3++21 t t' -2


- -

=L
'
.
.

- =

- 3=2 + t -1Gt

On vérifie -3=2+1-+4 t' =L -13+4×1-21=5 -8=-3 Donc BEP

Méthode 2 : Montrer que 3 points sont alignés


Pour savoir si 3 points A,B,C sont ✗
%
5
A
Alignés AÎ KÀÀ
alignés, il faut étudier la colinéarité des : =

→ →

vecteurs AB et AC >B
>

KÀB
C
A
non Alignés :
AÎ ≠

Exemple : Les points A(1;2;3) , B(4;5;6) et C(2;3;4) sont-ils alignés ?

/ ) ÀBCËÎ ) AÎ / 1)
)
✗ B- xa
AI ya ya -
ÂB / § ;
AÂ =3 AÎ donc les
JB
-

3A
,
points A. B. C sont
alignés .
Méthode 3 : Montrer que 3 vecteurs sont coplanaires (=font partis du
même plan)
Trois vecteurs sont coplanaires ssi il existe (x,y)EN tels que Û=xw+yÛ
Exemple : Les vecteurs À / 1 -0,2 ) À / 4:27) d- w→( 6 :3 11 ) sont-ils coplanaires ?
, ,
;

On cherche à savoir s’il existe x et y tels que Û=xw+yw→

{
1=4×+69 On résout les 2 premières
( E)
0=3×+34
équations et on vérifie la 3
2=72+114
(E)
{1=4×+69
0=3×+34 { 1=-44+64
x
y
= -
{ 24=1y
✗ =
4=1
-12
-

✗ =

On vérifie la dernière équation 2=7


:

x+11y =
-27-+1-1=-42--2
On a donc
Û==û+-û .
Donc u

, v et w sont coplanaires.
→ →

Méthode 4 : Trouver l’intersection de 2 plans.


• Étape 1 : On vérifie que les deux plans sont bien sécants. Pour cela ,
on vérifie bien que les vecteurs normales ne sont pas colinéaires.(s’ils
sont colinéaires, les pans sont parallèles donc pas d’intersection).

•Étape 2 : On pose x=t et on trouve y et z en fonction de t. On aura


alors une représentation paramétrique de la droite d’intersection de ces
deux plans.
Exemple : Soit P un plan d’équation cartésienne 32e -14g -

53+1=0
et P le plan d’équation cartésienne
,

2g -133+2=0 x -

Soit (D) leur droite d’intersection. Sa représentation paramétrique est :


t t

{ 3×+44-53+1=0 {31-+49-53+1=0
x -

_
x -

t
24+33+2=0
x
24+33+2=0
-

x=t x=t

{ 24=-2-31-+5-23 2-
{ 24 Et { z E
-
= -

+ -

1- +
It -

Ez +
f- +33+2=0 Et +123+3-2=0
x=t

{
t

{
✗ =

2g -

Et +
E- z -

z 2g = t +
Ez -

E
=-3 St
2^-3=-2-3 _

Et z
-

t t

{
a- a-

) -92 Représentation paramétrique


y =

-43-1-+45-1 -
3- Jt
y
= -
7- t -

St
de la droite D
3=-3 -

z =-3 - 5E

Méthode 5 : Section d’un cube par un plan


Tracer la section du cube par le plan IJK
• Étape 1 : On cherche deux points de chaque face qui appartiennent
au plan (IJK). Pour cela on prolonge des droites du plan (IJK) et des
droites des faces du cube qui nous intéressent.

• Étape 2 : On utilise les propriétés sur le parallélisme pour trouver certains points.
• Étape 3 : On relie tous les points.

Méthode 6 : Trouver l’intersection de deux droites


Soient deux droites de représentations paramétriques :

{
xt Krs d' t'

{
✗ = XA + ✗ = +

ptit tir et ft
'

t' C- IR
y ya y Mrs
= + = + ,

ot + TE
za z zrs
=

z
= +

On résout le système :
t d' E
On trouve 1- d- t' grâce aux deux
XA + ✗ = XB +

ya pt
+ =
JB +
p
'
t
'
premières équations. On vérifie le
3A
ot + =

zrs
+ si t'
résultat grâce à la troisième équation.
Exemple : Soient (D) et (D ’) de représentations paramétriques :

{ {
✗ = 4E +2 ✗ = - 5
et
-

TEIR 4k -12 KEIR


y = -
7E -11 /
y =
,

-2T 3 -2k +13


z
=

z
=
-

Trouver les coordonnées du point A , point d’intersection de (D) et (D’).


Les coordonnées de A vérifient les deux systèmes :

{
k

{
41-+2 le k

{
= - - 5 = -
7- Gt = -7 -4T
-71-+1=4 fr+2 -71-+1=41-7-417+2 -7T -1=-28 -
16E
-21--3=-22+13 -2T +24=16 -21-+22=16

{
k= k

{
7- Gt k 7- lit

{
-
= -
7- Gt = -

27=(-16+7) t -
St = 27 t =-3
-21-+24=16 -2T -12k = 16 -21-+22=16

k=5
C- =-3
-2 ✗ C- 3) +2×5=16 ← ligne de vérification

Le troisième système est vrai. On remplace donc t dans le premier système :

✗ = 41-31+2 = -10

Y = -
7- C- 3) +1 = 22 d'où Al -10 ; 22 -

,
3)
) 3=3
3=-21-3 -

Méthode 7 : Intersection d’un plan et d’une droite


Soit P un plan d’équation cartésienne ax-iby.cz -101=0 et (D) une droite
d’équation paramétrique : LA ✗ t ✗ = +

y TEIR
=
ya +
pt ,

tt
z za
= +

Pour trouver l’intersection du plan avec la droite, il faut d’abord vérifier que le
plan et la droite sont sécants. Pour cela il faut que le produit scalaire ii. à
soit nul.
riab Vecteur normal à P. :

>
£
à Vecteur directeur de (D)
pg
:
Ensuite , on pose le système :
ax-iby-icz-id.co
{ x tt= MA +

Y =
YA + pt
rt
3 za
= +

-On remplace x , y , z par leur expression dans la première équation


- On trouve t
- On remplace t dans les 3 dernières équations pour trouver les
coordonnées du point d’intersection

Exemple : Trouver l’intersection du plan P d’équation ✗ +


y +23-5=0 et
2+3

:{
x = t
D t
y = 1 -

2 + 2E
z
=

Les coordonnées du point d’intersection Mlxiyiz ) vérifient :


(D)

{
→ "

÷ ?
= .

x = 2+3 t 121
(3)
P
À
2+2 t (a) .

z
= ,

(1) 2+31-+1 -
t +212+217-5=0
3T t -14T +2+1+4-5=0
-

6E +2=0

t -

_ ± Ainsi ,
on a ✗ = 1
3
y
=
-43 d' où
Mllilç § )
;

z =

-43
Méthode 8 : Trouver le vecteur normal et l’équation cartésienne d’un plan
Soit P un plan passant par le point Alala yaya ) et de vecteurs directeurs :
,

(f) d- ûË
>

à
J'

• Étape 1 : Déterminer le vecteur normal nî :c de P


Pour cela on résout le système :
À à
- -0
-

C’est un système d’équation à 3 inconnus avec 2


À À 0
équations. Il faut donc donner une valeur à une des
_
=

trois inconnue (ex : Poser c=1). Puis on trouve a et b

axi-by-cz-d-OAloi.li
• Étape 2 : L’équation cartésienne est de la forme :
On a trouvé a, b, c , il faut trouver d.
Pour cela on utilise le fait que les coordonnées du point A vérifient l’équation.

Exemple : Donner l’équation cartésienne du plan P passant par le point -

3)
et de vecteurs directeurs à -13 et nô ?
4 4

1) On pose nîa Résolvons :

À .u→=o
{
36+4<=0
{ 20--26+4<=0
a-

m-s.tv On 1- d'où
pose c-
_

,
:

0--36+4=0 4+36 t' 3b


{ 20--25+4=0 {
0
{
- = -
☐ = -
-

21-4+34 -26+4=0 - 8+46+4=0

4+36 -4+3=-1
{
a- = - " =

Gb = 4 b = 1

d' où m→ -1 On vient de trouver un vecteur normal au plan P


1

2) Trouver d :
On On remplace x , y et z par les coordonnées de A
a -
x
-14+3+01=0
0+2-3+01=0 d--1
L’équation cartésienne est : -
✗ +
y -13+1=0
Méthodes - Les Suites
Comment fait-on pour...?
Méthode 1 : Déterminer les variations d’une suite

1) Calculer le signe de Mmm Um -

) est une suite croissante si Nnn Un > 0


m -

décroissante si Unn Un 40 -

Un +1
2) Si Un > , Calculer
0 et voir si c’est supérieur ou inférieur à 1
'

µ m

Un
(Mm ) est une suite croissante si -11
1
Un
Un +1
décroissante si Un
1

3) Si Un fln) , remplacer les n par des x et calculer les variations de la


-

fonction f , la suite lui aura les mêmes variations.

Méthode 2 : Dire si une suite est convergente ou non


1) Si la suite est croissante et majorée alors elle converge
2) Si la suite est décroissante et minorée alors elle diverge.
Méthode 3 : Montrer qu’une suite est minorée ou majorée
1) Pour montrer qu’une suite est majorée il faut trouver un réel M tel que :
Un ≤ M
a) Montrer que Un M ≤ 0 -

b)Montrer par récurrence que Un ≤ M

Opter pour cette technique b quand


Un+1 est exprimé en fonction de Un

2) Pour montrer qu’une suite est minorée on utilise la même méthode.


But : Montrer qu’il existe un réel m tel que Un ≥ m
Méthode 4 : Suites arithmético-géométriques
{
Un + 1 = a Un b+
,
la b) EIR
,
?

Nn = Un + ✗ ,
✗ c- IR

But : Montrer que ( Nn) est une suite géométrique ie Nm Nn


q
, + 1- =

- On détermine la formule par récurrence de ( Nn) :

Nn -11 =
Un -11 + ✗

= a Un + b + ✗

= a /Un + a) On obtient ceci en factorisant


Nn +1 Ou Nn par a et en simplifiant.
=

(Nn) est une suite géométrique de raison a


- Premier terme de ( Nn) :

No = No + &

- Formule explicite de ( Nn) :

"

Nn = Noxa

- Formule explicite de ltln ) :

Un =
Nn -

Un
"
= Noxa -

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