PREMIER JOYAU

DU DRAGON JAUNE

LES DOUZE VALEURS DU CŒUR »

(C.D.)

Le Maître Lakhsmi a dit que le cœur de l’homme, il faut le conquérir. Il y a beaucoup de

frères qui se sont adonnés à la tâche d’enrichir leur cœur, d’ennoblir leur cœur, de faire
d’eux-mêmes des hommes nobles, remplis d’Amour, remplis de Charité, remplis de
Compréhension ; c’est ainsi, mais il n’en est pas ainsi pour tous . La plupart d’ entre eux
commence à emmagasiner de l’information et c’est là le problème : cette information, il
faut la corriger, lui retirer ce qui, pour nous, est en surplus et y mettre ce qui nous
manque.

Il y a Douze aspects fondamentaux, qui ont à voir avec le Cœur. Rappelons-nous ceci :
l’Enseignement que le Maître Samael nous légua, il se mit à le remettre par étapes et il
se peut qu’on ne me comprenne pas, mais l’enseignement que le Maître va remettre au
Peuple Gnostique qui suivra, dans l’Ère d’ Acuarius, va être un enseignement d’une
transcendance incroyable ; maisil n’est pas question qu’un autre le remette; c’est le
Maître Samael qui le remet, qui nous l’inspire à nous, les Instructeurs.

Quand le Maître Samael était en train de ‘révéler la « PISTIS SOPHIA », il nous parlait
dans cette terminologie que nous trouvons dans les Évangiles Esséniens, dans la Bible
Hébraïque et dans la Super-Dynamique Mentale. C’est la forme qu’utilise le Maître, pour
donner un enseignement à une échelle ou à une autre ; ce sont des octaves que lui,
donne à l’enseignement lui-même.

Donc, les niveaux que nous avons dans le cœur sont au nombre de Douze. Si nous
parlons du point de vue médical, au niveau anatomique, le cœur a une systole et une
diastole, un Salon Blanc et un Salon Noir ; dans l’un, se trouve le sang qui a déjà été
nettoyé et qui va commencer à sortir et dans l’autre, se trouve le sang qui revient chargé
d’une quantité de monoxyde ; il semblerait que ceci n’ait rien à voir avec certains de nos
états .

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Une personne du dehors se lève , lasse et dit : « Aujourd’hui, j’en ai assez de tout» ; elle
va au coin de la rue, boit de l’eau de vie, un rhum et cela lui fait bouillir le sang et son
humeur passe –ou bien elle va là où on la traite bien et la vie continue; nous, les
Gnostiques, non. Alors, nous viennent des tristesses, nous viennent des moments
d’antagonismes pendant lesquels on ne veut rien du tout…

Que doit-on faire ? Aller faire des respirations, faire des Pranayamas, marcher sur la
terre pieds nus, sans chaussures et le cerveau s’éclaircit ; il y a une lucidité mentale. Ce
sang, qui est chargé d’une série de toxines de ce long et immense voyage qu’il fit depuis
le cœur, en passant par les veines, par les artères, jusqu’à revenir encore, apporte des
substances trop lourdes. En arrivant au Cœur, celles-ci produisent : nostalgies,
tristesses, déséquilibres nerveux, de la colère ; alors, il est nécessaire qu’on ait soin de
faire des exercices, de manière à ce que les poumons puissent avoir l’oxygénation
suffisante pour faire un meilleur travail avec le sang. Quand arrive peu d’oxygène au
cerveau, la personne est pesante, elle est lente, on dirait qu’elle ne peut pas penser ;
alors, elle a besoin de faire beaucoup de respiration.

La vie, il faut y faire attention ; on attribue tout à l’Ego et à juste titre. On a un ulcère et
on persiste à avoir de la colère ? Eh bien qu’on se guérisse de l’ulcère. Comment ? Déjà,
le premier pas de la guérison de l’ulcère est : aucune émotion ; une vie saine, de bonnes
respirations, de bonnes lectures, de bonnes conversations, une musique classique douce,
pour que l’estomac commence à collaborer dans la guérison de la maladie.

Si on comprenait ce que dit la Messe Gnostique : « Purifie mes Glandes internes où le

rythme de ma vie existe ». Ces glandes ne sont autres que tout notre système
endocrinien ; mais pour cela, il est besoin que nous dédiions à comprendre ce qui, dans
ce que nous mangeons, contient une partie de notre guérison. « Non seulement nous
devons manger pour vivre, mais manger pour nous guérir. »

 PREMIÈRE RÈGLE :

La première règle pour mettre le cœur dans le ton est : « De bonnes respirations ». Les
uns diront que les respirations ont à voir avec les poumons ; mais si les poumons ne font
pas un nettoyage du sang, le cœur est invalide. De bonnes respirations, ce que nous
appelons : « Prana ».

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Il y a de cela quelques jours,le Maître nous racontait, qu’un Maître se trouvait avec le
Manu, en train de repêcher le Peuple de l’Atlantide ; dans la chaîne lunaire , la clef qu’ils
durent incarner pour le « repêchage » de ce peuple, fut la SCIENCE PRANIQUE.

EXERCICE : on devra utiliser des vêtements légers. Si les circonstances le permettent,

faire un petit exercice de réchauffement du corps qui a pour finalité d’activer la
circulation. Ceci peut se faire avec des mouvements de bras, de jambes et de tronc. Pour
cet exercice, on doit choisir, dans la mesure du possible, un endroit à l’air libre  ; si ce
n’est pas possible,  l’important est de le faire.

Face à l’aurore, à 5h du matin, debout, pieds séparés l’un de l’autre, d’environ 25 cm, on
commencera par monter les bras à la hauteur de la tête, les mains se touchant entre
elles. Tandis qu’on monte les bras, on prendra le Prana par le nez, en les descendant, on
exhalera par la bouche.

Cet exercice doit se faire 30 fois. Les pieds devront être nus, recevant l’énergie vitale de
la terre. Il convient d’expliquer que dans cet exercice du Prana, le corps se charge de
l’énergie de la terre et de l’énergie qui vient de l’air.

S’il y a bonne concentration et harmonie, ce prana qui descend d’en haut, entre par le
nez, transformé en une lumière de couleur bleue ciel, inondant tout notre organisme et
transformé en une couleur jaune d’or ; il monte jusqu’aux genoux, nous donnant
harmonie, tranquillité, assurance.

Après avoir fait 30 fois cet exercice, nous devons nous asseoir dans une position
confortable, demandant, priant le Sacratissime Esprit-Saint, pour que ces vibrations
venues du haut se fusionnent avec celles qui sont montées de la terre, nous guérissent et
préparent notre corps pour la Magie pratique, tout en prononçant en même temps, le
Mantram « M . »

Il est bon d’expliquer que dans cet exercice pranique, les trois forces primaires s’unissent
pour créer : le bleu du Père, le jaune du Fils et le rouge de l’Esprit Saint. Cette création
se concentre dans nos organes vitaux : prostate et gonades chez l’homme, ovaires et
utérus chez la femme.

En Colombie existe un almanach qui s’appelle « almanach Bristol ». Là, on dit : « Étoile
vespérale, Jupiter de tel à tel mois ; étoile du matin, Vénus de tel à tel mois ». Il s’avère
que l’étoile qui sort le matin, que nous appelons l’Aurore, peut être Vénus, peut être
Jupiter, peut être Saturne, etc… C’est selon le tour qui lui revient, le soir ou le matin.l.

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Alors, cette étoile que nous appelons l’aurore est comme la venue de l’AVATAR qui arrive
pour préparer l’arrivée du Maitreya.

C’est l’Aurore qui vient préparer le lever du Soleil ; c’est l’Aurore qui vient stimuler tous
les atomes de vie qu’il y a dans les plantes, dans les animaux et dans les gens. Nous
devons nous lever pour recevoir l’harmonie de l’Aurore ; c’est l’Aurore, qui donne
l’harmonie le matin, qui stimule les petits oiseaux pour qu’ils chantent, les plantes pour
qu’elles reçoivent le matin avec joie. Quiconque se lève à cette heure, aura une vie
différente.

DEUXIÈME RÈGLE :

« Bonne Alimentation, bonne Mastication et bonne Salivation ».

Nombre de personnes disent : » j’ai une douleur au cœur » ; en fait il s’agit des
névralgies, dues à de bonnes surcharges de gaz et le foie étant affecté, il fait pression
sur le diaphragme et le premier qui va s’en sentir affecté est le cœur, avec une fièvre,
amenant des troubles, tels que : infarctus, un hémorragie cérébrale, embolie, etc.

TROISIÈME RÈGLE :

« Ne pas permettre qu’il y ait des gaz » (flatulences, aérophagie).

La prolifération de gaz fait que le cerveau commence à avoir moins d’aire d’expansion de
travail, parce que les gaz se « calcifient ».

QUATRIÈME RÈGLE :

« Toutes les maladies du colon reversent des toxines, les emportant au cœur et au
cerveau » .On dit « Mais, voilà 40 ans que je travaille dans la Gnosis et je n’ai rien pu
faire »… et ce sont des gens qui ont dédié du temps à la Méditation, à la Vocalisation,
mais ils se sont très peu intéressés à leur organisme et voilà l’une des grandes clefs
du :«ne rien pouvoir faire » parce que, à partir du moment où le corps est malade, « la
tour va mal » et bien sûr, c’est le cœur qui supporte tout ce problème.

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CINQUIÈME RÈGLE :

«Les bruits ».

Il se trouve que la partie réceptrice du bruit est le cœur et non les oreilles. Quand on
écoute de la musique rock et qu’on entend : poum..poum…poum…, c’est dans le cœur
qu’on ’entend; ceci endurcit peu à peu les parois du cœur, endommageant l’élasticité que
doit avoir le cœur, parce que ces coups, c’est le système émotionnel qui est en train de
les recevoir et il les passe au cœur sans les digérer.

Les bruits sont une de ces choses qui sont en train de tuer l’humanité. Il est nécessaire
qu’en ce moment, nous comprenions tous la nécessité de nous tourner vers la
campagne ; vivre à la campagne, non ; mais qu’une fois par semaine, nous fassions une
sortie à la campagne, oui .

Il est important que nous ayons des endroits où nous puissions aller et nous plonger
dans des eaux cristallines, des eaux pures ; quand le corps entre dans un puits d’eaux
courantes (‘pas dans des piscines) ; cette pression que forme l’eau sur le corps est la
meilleure manière de détendre la musculature. On se plonge dans le puits et on en
ressort avec des envies de se reposer, des envies de sommeil réparateur, cela vous
donne de l’appétit, la circulation s’améliore, etc.  etc. Frères, c’est là l’une des choses
merveilleuses pour améliorer notre système cardiovasculaire.

SIXIÈME RÈGLE :

« Tous les médicaments élaborées à partir de produits synthétiques, tendent à échanger

le problème – c’est-à-dire qu’ ils échangent une douleur contre une autre ».

Nous sommes en train de parler pour un peuple Gnostique ; maintenant, nous ne

pouvons pas tomber dans le fanatisme. Le Maître Samael nous enseigna l’équilibre, mais
ceci ne va pas nous fournir de norme ; ce qui va nous le donner, c’est le sens commun.

On nous enlève un mal de dent et le lendemain, nous avons de l’acidité  ; le

surlendemain, c’est de la constipation ; on retire la constipation et le jour suivant, on se
réveille avec le colon enflammé, etc. On échange, on est seulement en train de changer
la face du problème.

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Nous sommes en train de parler du cœur et de comment préparer le cœur pour être des
étudiants Gnostiques. Il est nécessaire de savoir quels sont nos ennemis et de profiter
que nous ayons nos médecins– et en dehors de cela, nous avons recours à des systèmes
qui sont super-simples.

Ne pas se laisser constiper. Quelle est la mère de la constipation ? Manger du pain

élaboré avec de la farine raffinée, du riz blanc ou en faire une mauvaise combinaison.

Nous tous, les Gnostiques, nous devons avoir, en cette époque, un « sauna » à la
maison. Le sauna est une médecine sans rivale pour enlever la fièvre interne. On doit
faire des bains de siège d’eau froide au coucher. Dormir avec de l’argile autour de
l’estomac. Il faut revenir à la vie naturelle, sans tomber dans le fanatisme de devenir des
naturistes impénitents : cela, non ; par contre, vivre une vie naturelle qui nous permette
d’avoir de la santé, cela, oui.

L’élan que nous allons avoir pour entreprendre ce travail ardu, dur est fonction de notre
santé. Un malade d’ulcère, d’acidité, de constipation, que va-t-il faire pour affronter le
Moi de la Colère –s’il est en colère parce qu’il est malade-? Et s’il se met à dormir jusqu’à
huit ou neuf heures du matin et ne reçoit pas l’air du matin ?

Remarquez que les petits vieux se levaient à cinq heures du matin, mais le soir à neuf
heures , ils étaient couchés ; nous nous levons à neuf heures du matin et nous nous
couchons à minuit –tant que le programme de télévision n’est pas terminé-. C’est-à-dire
que nous vivons une vie inversée et cela va à l’encontre de la discipline que nous devons
avoir, en tant que Gnostiques.

SEPTIÈME RÈGLE :

« Rappelez-vous que d’une bonne relaxation, nous tirons une bonne Méditation ».

L’observation : un simple cours de relations humaines vous enseigne à vous observer. On

voit un politicien insulté par quelqu’un : le politicien sourit, il semblerait que ce monsieur
n’a pas d’Ego : la plupart des politiciens s’observent. L’observation obéit très nettement à
la partie tridimensionnelle.
Si je suis ici en train de parler avec vous et que je ne m’observe pas, j’attrape la craie, je
l’effrite, je suis en train de faire une quantité de gestes de toutes sortesqui, bien entendu
vont vous faire voir que je suis endormi. On s’observe pour savoir quels gestes on est en

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train de faire. Si une personne nous dit : « Écoute, idiot » et que nous avons envers lui
un vilain geste, -nous ne sommes pas en train de nous auto-observer. -Nous avons
laissé entrevoir le déplaisir parce qu’on nous a dit :« idiot ».

L’Auto-Observation : Elle appartient à l’Astral, parce que dans l’ordre des véhicules c’est
celui qui lui succède; le Vital n’est rien de plus que la vie stabilisant un organisme.
L’Auto-Observation appartient à l’Astral, pour que nous sachions ce que nous sommes en
train de penser, ce que je suis en train de faire et comment je suis en train de procéder.
C’est pourquoi en ce qui concerne la conscience Objective, sa première assise en allant
de bas en thaut, dans l’ordre des mondes, se trouve dans l’Astral.

L’Inspiration : Elle appartient au Mental. Un mental inspiré est un mental créateur,

ouvert, dynamique, etc. Un poète, pour écrire ses poèmes, s’inspire ; le musicien, pour
entonner une bonne musique, s’inspire . C’est-à-dire que chacun s’inspire dans ce qu’il
fait , la finalité étant que sa présentation plaise.

La Dévotion :Elle appartient au Causal. Nous sommes en train de parler d’une dévotion

consciente. Nous avons une dévotion pour faire une prière, une dévotion pour méditer,
une dévotion pour nous auto-observer ; cette dévotion est quelque chose qui appartient
à l’Âme, qui appartient au Monde Causal.

La Contemplation : Elle appartient à la conscience divine, à sa partie bouddhique ; c’est

le monde Intuitionnel, c’est ce qu’il y a de plus beau à l’intérieur de la structure de cet
organisme dans ce monde septuple.

L’Adoration : Elle appartient au Monde de l’Intime, où on adore, où on rend à l’Intime ce

tribut si mérité.

C’est cet ordre-là qui devrait exister chez une personne qui est en train de vivre l’Art
Magistral de l’Éveil de la Conscience.

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Revenons-y : nous Observer ici sur la terre ; nous Auto-Observer pour pouvoir
transmettre la Conscience que nous faisons ici à la Conscience que nous faisons dans
L’ASTRAL.

Nous pouvons être conscients ici et être inconscients dans l’Astral ; nous pouvons être
conscients dans l’Astral et être inconscients ici ; il y a alors un manque de coordination
en ce qu’est l’Auto-observation et l’Observation. Ainsi, pour que nous puissions nous
Auto-observer dignement, nous devons nous inspirer à un moment donné, soit : on
s’Auto-observe et on sent comme une petite joie ; n’est-ce pas ? Parce qu’on rencontra
une Conscience qu’on n’exerçait pas à ce moment.

HUITIÈME RÈGLE :

« Bonne musique »

Cette musique, vous n’allez pas l’écouter, sauf quand vous allez méditer ; par exemple :
Beethoven, Bach, Schubert, Liszt ; mais, comme cela fatigue d’écouter sans arrêt de la
musique classique, alors, qu’il est bon d’entendre un « bambuco » ou un « joropo », une
« samba », une musique folklorique ! Ceci n’est pas un péché ;on se sent plutôt stimulé,
on se sent joyeux quand on écoute de la musique folklorique, quand résonnent ces
guitares, ces harpes, cette flûte, cette musique folklorique de ces grandes cultures qui
ont existé ; ces choses réjouissent et nous stimulent.

Donc, il faut écouter de la bonne musique tous les jours pendant un moment, de la très
jolie musique classique ; ceci montrerait que nous sommes des hommes et des femmes
qui vivons joyeusement, contents, qui vibrons avec les notes qui soutiennent l’Univers en
équilibre ; ces choses sont vraiment très intéressantes et nous aident à enrichir les
valeurs du cœur.

NEUVIÈME RÈGLE :

« Bonne Prière et bonne Méditation ».

Avant de penser à apprendre à Méditer, nous devons apprendre à nous détendre, et

avant d’apprendre quoi que ce soit de plus, nous devons apprendre la Concentration.
Mais on ne va pas rentrer là dedans ; simplement, il y a une transition entre la Prière et
la Méditation : c’est-à-dire: je me détends, je fais ma prière, non en paroles, mais en
sentiments, à ma Divine Mère, à mon Père Interne, à mon Christ Interne, pour qu’ils me

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guident, pour qu’ils m’illuminent, pour qu’ils me protègent, pour qu’ils me concèdent la
Grâce d’atteindre l’Objectif et je vais me laisser emporter par cette somnolence qui
apparaît peu à peu. Mais je ne me mets pas à ronfler, je me laisse plutôt emporter par
la lassitude qui apparaît entre la Prière et la Méditation, et là se trouve le résultat  : la
Méditation : respecter les pas à suivre. Il ne s’agit pas d’arriver, s’asseoir et voilà, je
vais méditer.

Le Maître Samael le dit : « Asseyez-vous dans un fauteuil confortable, mettez le mental

en blanc et entrez en méditation ». Mais lui, il est le Maître de la synthèse et il donne
pour ainsi dire une explication en dix mots alors qu’il nous en faudrait mille pour
expliquer ;il faut donc comprendre que le Message Gnostique, il faut lui donner une
amplitude de compréhension pour la gent estudiantine.

Premièrement, c’est la Prière, après la Méditation, parce que, une fois qu’on est en train
de Méditer, on n’est plus en train de prier ; c’est la logique. Il faut Prier d’abord et
ensuite, Méditer !

RÈGLE DIX :

« Une œuvre de charité bien faite »

ceci est une des choses qui rachète les Valeurs du Cœur est la suivante :

Il est des attentions jolies, belles, que vous avez à mon égard, mais je vous demande
que vous les ayez envers quiconque. Il ne s’agit pas de dire : « C’est que je n’ai pas de
quoi donner » . Qu’il serait bon, au moment où vous vous apprêtez à manger deux
« empanadas », que vous en enveloppiez une et trouvant par là une mère qui a un petit
enfant et pas de quoi lui acheter une bonne« empanada » , vous vous approchiez d’elle
et la lui donniez.

Voyez, ce sont là des choses qui ennoblissent, qui attendrissent le cœur de la personne
et des choses si simples que quelques uns diront : « Voilà que maintenant, je dois
devenir un idiot, qui donne par là au tout venant. » ; Non monsieur, ce sont des
personnes qui n’ont pas ce qui, parfois, est en trop pour nous.

J’ai vu des personnes ramasser un petit reste sur la table et aller dehors pour le donner à
un petit vieux - qu’on ne laissait pas entrer dans le restaurant, parce que sinon, les gens
seraient partis.

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Frères, ce sont des choses qui sont propre à nous, les Chrétiens ; elles sont propre à
nous, les personnes qui considérons que cette Âme qui se débat dans ce corps physique,
est la même que celle qui est en nous.

J’écris, dans : « Lumière dans les Ténèbres » « Quelle différence y-a-t-il, entre la vie qui
existe chez le petit chien qui se jette sous les roues d’une voiture pour ramasser une
miette de pain, et la vie qui se développa dans la partie humaine de Jésus ? »…La Vie est
la même. Qu’on voie la vie d’un Roi et la vie d’un mendiant, : c’est pareil ; ne voyez-vous
pas que la vie est pareille ? Elle ne fait pas de distinctions ; les distinctions existent dans
la partie humaine et dans la partie spirituelle ; c’est là seulement qu’il y a une différence.

Quelle différence y-a-t il entre ce malheureux pauvre qui dort sous les ponts, couché
dans des papiers puants, immondes, qui jamais ne se baigne, qui n’a pas de père, qui n’a
pas de mère, qui n’a pas d’ami, qui n’est que l’objet de mépris de tous – et la vie de
« l’homme de bonne famille » qui passe son temps derrière un bureau ? C’est pareil,
n’est-ce pas ?

RÈGLE ONZE :

« Bonnes relations humaines ».

Nous tous avons des obligations et avons droit à une dignité Chrétienne, à ce que dans
nos foyers, règne la joie de la musique ; que dans nos foyers, il y ait des jardins, des
fleurs, qui montrent que nous rendons tribut, ce culte sacré,à la Nature.

Nous semons une plante, parce que nous voulons voir que dans nos foyers, se reflète l’
amour pour la Nature, qu’il y ait des tableaux, des peintures qui soient une allusion à la
sagesse ; , frères nous voulons que nos fils, que nos filles, apprennent à saluer et disent,
quand arrive une personne : « Bonsoir monsieur, comment allez-vous ? De quoi avez-
vous besoin ? En quoi puis-je vous être utile ? «  Ceci, parfois, nous le déprécions, parce
que nous n’en voyons pas la transcendance, nous croyons être au-delà des relations
humaines .
Quand une personne voit que nous prêtons de l’importance aux nécessités qui sont les
siennes, c’est une personne qui voit en nous un Guide, elle voit un Apôtre, elle voit un
ami, bien qu’elle ne nous ait jamais vu.

Il est nécessaire que nous cultivions dans notre richesse intérieure, les bonnes relations
humaines, que nous sachions donner une réponse à une personne.

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Il faut mener une vie droite. Il faut que cela se remarque, quand un Gnostique parle,
parce que c’est une personne qui fait ressortir, à l’intérieur de son vocabulaire, à
l’intérieur de son larynx créateur, la culture. La Gnosis n’est pas autre chose que la
« Culture des Dieux et pour lesDieux ».Comme nous aspirons à incarner notre Dieu, nous
devons apprendre à vivre la culture Gnostique.

RÈGLE DOUZE :

« que les Rituels, les chaînes et tout ce qui a saveur à Liturgie, nous apprenions à le
vivre ».

Vivre et sentir le Rituel. Ne pas arriver là, voir à l’Autel, un homme et dire «   Regardez
qui est là » ; non, monsieur, derrière cet homme, il y a une pierre qui s’appelle l’ara
( Autel) et celle-ci est le Christ ; de sorte que cet homme et cette femme, qui est l’Isis,
sont en train de recevoir de cette Pierre de l’Autel, une vibration supérieure, capable de
disséminer dans toute l’assemblée, dans toute la Salle, pour que tous nous ayons une
harmonie et sortions de là revêtus d’une force supérieure pour continuer à faire face à la
vie le reste de la semaine, jusqu’à ce que nous revenions à avoir un nouveau Rituel.

Il est nécessaire que ces petites normes de vie, nous les fassions chair et sang, que l’’on
fasse dans le Lumisiel des commentaires journaliers : « Voyons, Frères, nous allons faire
des exercices de respiration ». ; nous allons enseigner à nos enfants à respirer, nous
allons enseigner à nos épouses, à nos femmes, à respirer ; nous allons apprendre, nous,
à respirer, parce que la respiration est une Science.

Nous allons bien nous alimenter. Il y a une littérature extrêmement riche sur des aspects
de la cuisine : ceux, parmi les aliments, qu’on peut combiner et ceux qu’ on ne peut pas
combiner ; il y a des hommes et des femmes qui naquirent avec le « Don »de guérir : on
peut leur demander à eux une orientation, pour ne pas être en train de prendre à tout
moment des antiacides, des enzymes digestives, chimiques ; on boit tous les jours trois
verres de jus de papaye (lechosa) ; la Papaye, on l’emporte aux Etats-Unis et eux nous
la rendent sous forme de pastilles comme enzymes digestives.

Paz Inverencial,

V.M.LAKHSMI.

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