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INTRODUCTION
I. Présentation du carbone..................................................................................................................................................3
1) Définition....................................................................................................................................................................3
Le graphite......................................................................................................................................................................3
2) le secteur agricole.......................................................................................................................................................4
3) le secteur du transport.................................................................................................................................................4
1) Au niveau humain......................................................................................................................................................6
CONCLUSION
INTRODUCTION
CO2), les élevages agricoles et le traitement des déchets, les engrais agricoles,
1)PRÉSENTATION DU CARBONE
2) Définition
Corps simple métalloïde de symbole C, très répandu dans la nature soit à l'état
pur (diamant, graphite), soit, le plus souvent, combiné avec d'autres corps (gaz
carbonique de l'air, charbons, pétrole, etc.) :
2) le secteur agricole
L’agriculture est le deuxième poste d’émissions de GES de la France (19 % du
total national et 85 MtCO2 eq. émis en 2019). Les émissions de GES de
l’agriculture sont caractéristiques, car majoritairement composées d’autres
molécules que le CO2 et issues de processus biologiques. L’élevage
(fermentation entérique et gestion des déjections) est la source de 68 % des
émissions nationales de méthane (CH4) et la culture des sols (fertilisation
minérale et organiques) de 80 % des émissions nationales de protoxyde d’azote
(N2O). Le secteur de l’agriculture intègre également environ 11 Mt de CO2 eq.
liés à la consommation d’énergie par les engins agricoles et sylvicoles. Les
émissions de GES de l’agriculture ont diminué de 8 % entre 1990 et 2019. Les
GES associés à l’usage des sols ou leur changement d’usage ne sont intégrées au
secteur de l’agriculture mais à celui de de l’utilisation des terres, changement
d’affection des terres et foresterie.
3) le secteur du transport
Le transport est l’activité qui contribue le plus aux émissions de gaz à effet de
serre (GES) de la France. En 2019, il représente 31 % des émissions françaises
de GES. Depuis 1990, les GES des transports ont augmenté de 9 %. Elles sont
stables depuis 2008, l’amélioration de la performance environnementale des
véhicules ne compensant pas l’augmentation de la circulation. 97 % des
émissions de GES induites par les transports sont constituées de CO2 provenant
de la combustion de carburants. Les transports routiers contribuent à la quasi-
totalité (94 %) des émissions du secteur des transports. Les émissions liées à la
circulation routière incombent à hauteur de 54 % aux véhicules particuliers, de
24 % aux poids lourds et de 20 % aux véhicules utilitaires légers. Alors que les
émissions du transport ferroviaire sont négligeables, le transport aérien, intérieur
et international imputé à la France, représente 4,4 % du total des émissions
françaises de GES.
Les Asthme et autres maladies respiratoires. Les personnes ayant des problèmes
cardiaques sont plus vulnérables à la hausse des températures, en particulier
celles qui vivent déjà dans des régions chaudes, car leur système
cardiovasculaire doit fonctionner à un niveau de pression plus élevé afin de
garder la température du corps à un niveau normal. Les températures élevées
augmentent également la concentration d'ozone, ce qui peut endommager le
tissu pulmonaire et causer des complications chez les asthmatiques et les
personnes souffrant de maladies respiratoires. À des concentrations élevées, le
dioxyde de carbone peut déplacer l’oxygène de l’air, privant ainsi le corps
d’oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone
agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
Pour que ce changement puisse advenir, le secteur devra viser une productivité
durable qui intègre les retombées sociales et environnementales dans les
processus décisionnels, et donc élargir le champ de ses priorités stratégiques. À
cet égard, des indicateurs permettant de savoir si les gains de production sont
obtenus au prix de pollutions multiples (air, terres, eau, sols et pollution due à la
production de matériaux) et d’émissions de GES seraient utiles. Ces indicateurs
et d’autres visant à évaluer les divers effets de l’industrie lourde sur le bien-être
devront être utilisés de manière systématique.
2) Dans le secteur du transport
Bien que les voitures électriques aient leurs inconvénients, elles sont nettement
plus écologiques qu’une voiture classique fonctionnant à l’essence ou au diesel.
De nombreuses recherches ont également montré que les voitures électriques
sont plus efficaces et produisent donc moins d’émissions nocives, même en
tenant compte des émissions générées par les centrales électriques qui
produisent de l’électricité.
CONCLUSION