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Atelier

Laboratoire d’électromagnétisme
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Expérience B
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Force électrostatique et permittivité

Bastian Winzer / Julien Voeffray

03 avril 2019
Table des matières
1. Introduction ............................................................................................................................................. 2
2. Théorie..................................................................................................................................................... 2
3. Manipulations .......................................................................................................................................... 3
4. Résultats et analyse.................................................................................................................................. 6
Détermination de 𝜀0 .................................................................................................................................... 6
Détermination de 𝜀𝑟 plexiglas ..................................................................................................................... 9
5. Conclusion ............................................................................................................................................. 10
Références ................................................................................................................................................. 11

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1. Introduction
Ce rapport de physique traite de l’électromagnétisme, en particulier des forces électrostatiques et de la
permittivité diélectrique. L’électromagnétisme couvre différents domaines d’études, comme l’électricité
statique qui peut être générée simplement, par exemple, par des frottements entre différents matériaux. Dans
certains domaines industriels, celle-ci peut conduire à un mauvais fonctionnement d’appareils ou à la
destruction de composants. Dans un environnement comportant des risques d’explosions, l’électricité
statique doit être absolument évitée. Des matériaux antistatiques sont alors employés afin d’éviter des
problèmes. Dans les tubes cathodiques, des électrodes soumises à une différence de potentiel produisent un
champ électrique qui provoque l’accélération des électrons. Les électrons finissent leur déplacement dans un
revêtement électroluminescent et créent un point lumineux.
À travers ce laboratoire, nous avons mesuré la force exercée entre deux plaques métalliques formant
l’équivalent d’un condensateur plan, sur lequel nous avons appliqué une différence de potentiel. L’expérience
sera complétée par la mesure de la réponse d'un milieu donné à un champ électrique appliqué. Nous
déterminerons finalement la constante diélectrique du vide ε0 ainsi que la constante diélectrique relative du
plexiglas, εr.

2. Théorie
Pour une configuration assimilable à un condensateur plan, soit 2 plaques de surfaces S de charges opposées
portant une densité de charge superficielle σ et à une distance d l’une de l’autre, le champ créé à l’intérieur
de celui-ci peut être exprimé comme la somme des champs individuels :

𝜎
𝐸 = 𝐸+ + 𝐸− = (1)
𝜀0

Le champ étant uniforme et constant – c’est-à-dire que les effets de bords sont relativement faibles à la vue
de notre configuration - nous pouvons poser que le champ créé par la différence de potentiel U entre les deux
plaques est :

𝑈
𝐸 = (2)
𝑑

Ou alors, le champ créé par une seule de ces plaques :

𝑈
𝐸+ = (3)
2𝑑

Avec (1) et (2), nous pouvons affirmer que :

𝜀0 𝑈
𝜎 = (4)
𝑑

La charge d’un des plans étant 𝑄 = 𝜎 𝑆 et d’après (4), nous pouvons donc écrire :

𝜀0 𝑈
𝑄− = − 𝑆 (5)
𝑑

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Sachant qu’une charge introduite dans ce champ est soumise à une force proportionnelle à celui-ci, l’un des
plans subit donc une force attractive créée par le champ électrique du plan opposé. Cette force est définie
comme :

𝐹 = 𝑄− ∙ 𝐸+ (6)

De par (6) et connaissant (3) et (5), nous pouvons donc exprimer l’expression de la force exercée par un
plan sur l’autre :

𝜀0 𝑆 2
F = U (7)
2 𝑑2

Cette relation décrit la force exercée par deux plaques d’un condensateur dans le vide, dans le cas pratique
où cela serait dans l’air, la relation suivante s’applique :

𝜀0 𝑆 2 2
𝐹 = 𝑈 𝜖𝑟 (8)
2 𝑑2

Avec 𝜀𝑟 La permittivité relative de l’air. Cependant, lors des manipulations suivantes, ce dernier facteur
peut être négligé, car il vaut 1,0006 et une fois au carré ce terme est très proche de 1.

De plus, dans les cas où un diélectrique ne remplit pas l’entier de la hauteur d mais seulement une fraction
de celle-ci, δ, la force est donnée par :

𝜀0 𝑆 U2
F = 2
2 𝑑2 𝛿 1 (9)
(1 + 𝑑 (𝜀 − 1))
𝑟

3. Manipulations
La liste du matériel nécessaire pour réaliser ce laboratoire :
• une balance Mettler D440, avec plateau entouré d’un anneau de garde
• un plateau à positionner sur des cales isolantes,
• un jeu de cales d’épaisseur et d’un micromètre pour contrôle d’épaisseur,
• une alimentation continue Leybold0–5kV,
• un voltmètre et une sonde haute tension (diviseur par 1000).

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Afin de garantir les mesures, nous avons commencé par
régler le niveau de la balance et le niveau de l’anneau de
garde afin qu’il soit parallèle au plateau de la balance.
Cette opération est effectuée à l’aide d’une règle mesurant
la planéité de la surface en observant le trait de lumière
entre le plateau inférieur de la balance et la règle, l’espace
est ajusté à l’aide de trois vis modifiant l’inclinaison du
plateau de garde. Finalement nous avons taré la balance.

Figure 1. Balance Mettler avec ses différents plateaux et des cales


d’épaisseurs.

Les cales de différentes épaisseurs ont été mesurées au


micromètre afin de déterminer la valeur réelle vis-à-vis de la
valeur théorique affichée. Ces cales servent à modifier
l’espace entre les deux plaques métalliques et ainsi faire
varier l’amplitude de la force d’attraction entre celles-ci.
Elles sont disposées sur le plateau de garde selon la figure 1.

Figure 2. Cales d’épaisseurs 0.5 mm à 1.5 mm

L’alimentation continue permet de faire varier la tension dans


le condensateur plan et créer une différence de potentiel U.

Figure 4. Schéma du champ électrique E entre les plaques


métalliques créé par la différence de potentiel U.

Figure 3. Alimentation continue Leybold 0-5 KV

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Figure 5. Vue de l’ensemble de l’installation et schéma électrique associé

Branchements effectués : Borne positive de l’alimentation à la sonde haute tension, balance mise à la terre
de l’alimentation, plateau supérieur connecté à la borne positive, sonde haute tension reliée à la masse et
connectée au multimètre au moyen d’une prise double, enfin la borne négative de l’alimentation est reliée à
la terre.
Une fois le câblage terminé, nous introduisons des cales de différentes épaisseurs entre les plateaux. Nous
faisons varier la tension à travers le condensateur plan pour effectuer une dizaine de mesures comprises entre
0 et 1.4 kV. Cette tension maximum utilisée correspond à la valeur maximum avant la tension de claquage.
Le claquage se produit cependant à différents niveaux en fonction des cales d’épaisseur utilisées.
Nous avons reporté sur un graphique, propre à chaque épaisseur de cale, les valeurs de force en fonction de
la tension au carré et ainsi déterminé la pente à l’aide d’une droite de régression. La force entre les deux
plateaux est attractive, le plateau inférieur se soulève, la valeur indiquée par la balance est donc négative. La
différence de potentiel est mesurée à l’aide du multimètre.
L’opération est répétée six fois avec des cales de 0.5, 0.8, 1.2, 1.5, 2.0, 2.7 mm d’épaisseur. Les six pentes
obtenues sont jointes dans un nouveau graphique en fonction de 1/d2. Après une nouvelle droite de régression,
nous obtenons une valeur ε0.
La deuxième partie du laboratoire consiste à ajouter un disque diélectrique en plexiglas entre les plaques.
Son diamètre est équivalent au plateau inférieur car c’est la surface de mesure qui nous intéresse. Nous avons
utilisé deux épaisseurs, 1 et 2 millimètres. La distance d des plaques est fixée à l’aide des cales à 2.5 mm.
Deux graphiques seront réalisés selon la même méthode utilisée précédemment. Nous mesurons la force
d’attraction F en fonction de la tension U appliquée aux plateaux et en déduisons la pente F=f(U2) pour
obtenir une valeur εr.

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4. Résultats et analyse
Détermination de 𝜀0
Dans un premier temps, nous avons vérifié l’épaisseur h réelle des différentes cales. Les hréel correspondent
donc à une combinaison linéaire des différentes possibilités afin d’atteindre la hauteur désirée. Voici les
valeurs mesurées :
hthéorique /mm hréel /mm ±0.01
0.5 0.48
0.7 0.72
1.0 1.02
1.2 1.21
1.5 1.51
Figure 6. Valeurs réelles des cales utilisées

Nous avons ensuite relevé le couple force / tension pour plusieurs valeurs d de hauteur obtenue au moyen
des cales. Voici les valeurs obtenues :
hth = 0.5 mm hth = 1.0 mm hth = 1.5 mm
F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001 F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001 F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001
5.40 0.218 7.65 0.460 8.63 0.693
14.32 0.353 13.63 0.616 15.20 0.922
20.80 0.427 20.01 0.746 22.06 1.109
27.76 0.493 27.95 0.881 30.20 1.297
32.08 0.530 32.17 0.945 36.97 1.435
41.59 0.603 42.07 1.080 44.52 1.573
49.44 0.657 56.09 1.248 55.70 1.760
57.58 0.709 63.35 1.325 62.37 1.860
65.04 0.753 71.88 1.412 76.59 2.064
73.87 0.803 79.92 1.489 80.71 2.117
81.62 0.843 89.53 1.573 70.12 1.973

hth = 2.0 mm hth = 2.5 mm hth = 2.7 mm


F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001 F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001 F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001
8.63 0.912 8.92 1.133 9.32 1.250
12.36 1.092 15.98 1.519 17.16 1.694
18.93 1.349 23.14 1.829 24.71 2.033
26.18 1.589 29.71 2.072 32.56 2.331
31.38 1.737 40.01 2.403 39.62 2.572
38.25 1.919 49.03 2.660 47.86 2.824
46.39 2.112 58.84 2.915 54.72 3.021
55.60 2.314 69.04 3.157 63.55 3.255
64.82 2.496 78.65 3.365 72.18 3.467
74.63 2.678 88.06 3.563 79.34 3.635
84.24 2.846 95.42 3.709 87.28 3.812
Figure 7. Tableaux des différents relevés expérimentaux

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Ces résultats nous ont permis de tracer le graphique suivant :

Graphique 1. Mise en relations des valeurs relevées

Avec lequel nous avons pu déterminer les approximations linéaires suivantes :


hth a, pentes des régressions /N V -2
0.5 (1.148 ± 0.001) · 10-7
1.0 (3.613 ± 0.004) · 10-8
1.5 (1.802 ± 0.001) · 10-8
2.0 (1.041 ± 0.001) · 10-8
2.5 (6.939 ± 0.004) · 10-9
2.7 (6.012 ± 0.002) · 10-9

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Avec les pentes ainsi calculées, nous avons pu tracer le graphique suivant :

Graphique 2. Mise en relations des valeurs relevées

Afin que l’approximation linéaire soit au plus fidèle, il a été nécessaire d’estimer le jour. En effet, nous
pouvons constater sur le graphique 2 que la 1e régression (la droite inférieure) n’approxime pas parfaitement
les points considérés. Les points ne semblent pas suivre une loi linéaire. Cet écart est d’autant plus important
que h est faible (les étiquettes de données correspondent aux hth des cales). Ce jour correspond à l’espace
résiduelle lors que h = 0. Cet espace ne devrait théoriquement pas être existant, mais il est inévitable, car lié
à l’alignement initial du plateau de mesure avec l’anneau de garde. Afin de le déterminer, nous avons
considéré comme plus exacts les points à hth élevés. Ce jour a été estimé à 0.16 mm. Nous obtenons donc une
régression linéaire comme le prédit la théorie.

Au moyen de la relation (7), nous pouvons établir que :

2 𝐹 𝑑2
𝜖0 =
𝑆 𝑈2
𝐹 𝑑2
Si nous posons 𝑝 = 𝑈2
, la pente de l’approximation linéaire, alors :

2𝑝
𝜖0 =
𝑆1

Finalement, connaissant la surface 𝑆1 du disque qui vaut (0.01082 ± 0.00004) m2, nous obtenons :

𝜖0 = ( 8.6 ± 0.1 ) · 10−12 𝐹 𝑚−1

La valeur réelle est de 8.85 · 10-12 F m-1. Nous sommes relativement proches du résultat et celui-ci aurait pu
être plus précis à condition de reconsidérer les imprécisions expérimentales, notamment un meilleur
alignement du plateau de mesure avec l’anneau de garde.

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Détermination de 𝜀𝑟 plexiglas

Nous avons placé des disques en plexiglas de différentes épaisseurs, δ1 et ≈1


δ2, et ainsi relevé le couple F force / tension pour ces deux épaisseurs. Les
valeurs réelles d’épaisseurs ont été mesurées, ainsi d = (2.73±0.01)mm,
δ1 = (1.02±0.01)mm, δ2 = (1.96±0.01)mm
Figure 8. Schéma du diélectrique inséré entre
Voici les données obtenues : les deux plateaux chargés

δ1 ≈ 1.0 mm δ2 ≈ 2.0 mm
F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001 F /mN ± 0.01 U /kV ± 0.001
15.89 1.136 29.62 0.958
30.30 1.577 60.80 1.378
45.21 1.932 88.46 1.653
61.59 2.253 119.05 1.903
76.39 2.508 147.10 2.110
88.75 2.704 179.95 2.327
105.22 2.947 206.43 2.493
124.45 3.202 238.30 2.679
139.25 3.385 264.78 2.818
163.38 3.666 295.67 2.970
193.19 3.986 323.62 3.105
Figure 9. Tableaux des différents relevés expérimentaux

Graphique 3. Mise en relations des valeurs relevées

Avec lequel nous avons pu déterminer les approximations linéaires suivantes :

δ b, pentes des régressions /N V-2


1 (1.215 ± 0.001) · 10-8
2 (3.378 ± 0.009) · 10-8

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D’après (9), nous pouvons isoler 𝜖𝑟 ∶
1 1
𝜖𝑟 = =
𝑑 √𝜀0 𝑆2 𝑈2 𝑑 𝜀 𝑆
− 1) + 1 (√ 0 22 − 1) + 1
𝛿 ( 2 𝐹 𝑑2 𝛿 2𝑏𝑑
𝐹
Avec 𝑏 = 𝑈2
, la pente de la régression linéaire.

Nous obtenons finalement les valeurs de permittivité relative pour le plexiglas.


𝜖𝑟 , 𝛿1 = 3.659 ± 0.002
𝜖𝑟 , 𝛿2 = 4.63 ± 0.05

Vis-à-vis de la valeur réelle :


𝜖𝑟 = 3.2 − 3.4

Il est à remarquer que 𝜖𝑟 est adimensionnel car il s’agit en réalité d’une valeur relative à 𝜖0 .
Nous constatons que nous sommes relativement éloignés de la valeur théorique pour le matériau considéré.
Cela peut être dû à plusieurs facteurs : le matériau n’est pas du plexiglas pur, la distance d n’est pas
exactement celle considérée. Le jour pris en compte en première partie n’a cependant qu’un impact modéré
car il est faible vis-à-vis de la distance d.
L’ordre de grandeur des résultats est néanmoins correct. Il est intéressant de comparer les valeurs de la figure
7 pour la même valeur de d, soit hth=2.5mm, avec celles obtenues dans la figure 9. L’insertion d’un
diélectrique – ici le plexiglas – à l’intérieur du champ créé par les plaques augmente la force attractive entre
celles-ci. En effet, ce dernier étant un mauvais conducteur, mais tout de même sensible au champ E, il se
polarise et ceci augmente donc la force attractive. Cet effet est d’autant plus important avec l’insert de plus
grande épaisseur, δ2. Ceci est correctement prédit par les relations (8) et (9). On pourrait dire, d’une manière
imagée, que le diélectrique « conduit » le champ réduisant ainsi partiellement la distance d ressentie entre les
plaques.

5. Conclusion

La réalisation de ce laboratoire nous a permis d’obtenir des résultats probants. Le but était de pouvoir calculer
la constante diélectrique du vide ε0 ainsi que la constante diélectrique relative εr du plexiglas. Nous avons
constaté que dans notre cas nous arrivons à la calculer de manière précise. De plus avec les incertitudes de
nos mesures, nous arrivons à approcher la valeur théorique de ε0 et εr dans notre tranche d’incertitude. Les
valeurs obtenues ont toutes fois été influencées par le facteur du jour supplémentaire, corrigé manuellement
par estimation, car nous n’avions pas de jauge d’épaisseur à disposition au laboratoire. Des facteurs externes
comme les vibrations sur la balance ou un mauvais tarage auraient également pu influencer nos résultats.
Une approche minutieuse de la prise de mesure était donc de rigueur.
L’expérience nous a demandé de tenir compte et de faire attention aux différentes incertitudes de mesures,
aux éléments négligés, au matériel utilisé et à son positionnement qui peut influencer de manière significative
tous nos résultats. Ce laboratoire était très intéressant, car il nous a permis de mettre en application et de
comprendre un phénomène important mais imperceptible à l’œil nu.

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Annexe, calculs d’incertitudes
∂S 𝜋𝐷 pp. 8 / 10
∆𝑆 = | ∆S| = ∆D
∂D 2
∆𝑆1 = ∆𝑆2 = 4 · 10−5
2
Avec S une surface donnée par S = π (D2)

∂ϵ0 ∂ϵ0 2 2𝑎 p. 8
∆ϵ0 = | ∆a| + | ∆S| = | ∆a | + |− 2 ∆S| = 1 · 10−13
∂a ∂S S S

∂ϵr ∂ϵr ∂ϵr ∂ϵr p. 10


∆ϵr = | ∆δ| + | ∆d| + | ∆S| + | ∆b|
∂δ ∂d ∂S ∂b
ϵ S
(√ 0 2 − 1) d
| 2bd | | δ |
= 2 ∆δ + 2 ∆d
| ϵ S | | ϵ S |
(d (√ 0 2 − 1) + δ) (d (√ 0 2 − 1) + δ)
2bd 2bd

ε0 ϵ0 S
| d | | |
+ − 2 b d2 ∆S + 2d ∆b
| 2 | | 2 |
ε0 S ε S ϵ S d ϵ S
2√ (d (√ 0 2 − 1) + δ) 2b 2 δ√ 0 2 ( (√ 0 2 − 1) + 1)
2 b d2 2bd 2bd δ 2bd
∆ϵr , δ1 = 2 · 10−3
∆ϵr , δ2 = 5 · 10−2

Références
[1] Andreini, Stucki, et Zurita. 2019. « Protocoles de laboratoire TIN1, Électromagnétisme ».

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