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Exercice 7 CCP MP [ 00956 ] [correction] a) Montrer que f admet une série de Fourier convergente sur R.
Soit la fonction f : R → R 2π périodique définie par Quel type de convergence est-ce ?
b) Expliciter les coefficients de Fourier de f .
∀x ∈ ]−π, π] , f (x) = ex c) Pour tout x ∈/ πZ, montrer l’égalité
a) Calculer les coefficients de Fourier exponentiels de f . 1 X
∞
2x
b) En déduire la valeur des sommes cotanx = +
x n=1 x − (nπ)2
2
+∞ +∞
X (−1)n X 1
2+1
et 2+1
n=0
n n=0
n
Exercice 11 [ 00958 ] [correction]
Soient α ∈ R? et f : R → R la fonction 2π périodique définie par
Exercice 8 [ 00957 ] [correction]
f (x) = ch(αx) sur ]−π, π]
Soient α ∈ R\Z et f : R → R la fonction 2π périodique définie par
a) Déterminer les coefficients de Fourier an et bn de f .
f (x) = cos(αx) sur ]−π, π]
b) En déduire les valeurs des sommes
a) Déterminer les coefficients de Fourier an et bn de f . +∞ +∞
b) En déduire les valeurs des sommes X (−1)n X 1
2 + α2
et 2 + α2
n=1
n n=1
n
+∞ +∞
X (−1)n−1 X 1
2 − α2
et 2 − α2
n=1
n n=1
n
Exercice 12 CCP MP [ 00959 ] [correction]
c) En déduire enfin la valeur de a) Domaine de définition de
+∞
X 1
2 +∞
n=1
n X 1
S(t) = ?
k 2 − t2
k=0
Exercice 9 CCP MP [ 03695 ] [correction] b) Calculer les coefficients de Fourier an et bn de f (x) = cos(αx) définie sur
Soit α un réel non entier et f la fonction 2π-périodique donnée par [−π, π] avec α ∈ R\Z.
c) Sur quel domaine f coïncide avec son développement en série de Fourier ?
∀t ∈ ]−π, π] , f (t) = cos(αt) d) En déduire une expression de S(t).
a) Montrer que f est égale à sa somme de Fourier en précisant le type de
convergence de celle-ci.
b) Calculer la somme de Fourier de f . Exercice 13 [ 00960 ] [correction]
Existe-t-il une suite (αn ) de réels telle que
+∞
Exercice 10 CCP MP [ 03598 ] [correction] ∀t ∈ [0, π] , sin t =
X
αn cos(nt) ?
Soient α ∈ R\Z et f : R → R la fonction 2π périodique définie par n=0
Exercice 14 [ 00961 ] [correction] √ a) Montrer que f est définie sur R et étudier sa parité.
La série de Fourier de la fonction f paire 2π-périodique qui vaut x pour b) Montrer que f est développable en série de Fourier.
x ∈ [0, π] converge-t-elle uniformément ? Que vaut sa somme ? c) Calculer, en utilisant un logiciel de calcul formel, l’intégrale
Z +∞
cos t
dt
Exercice 15 Mines-Ponts MP [ 02883 ] [correction] −∞ b2 + t2
Soit α un réel non entier.
a) En utilisant la fonction 2π-périodique coïncidant avec x 7→ cos(αx) sur [−π, π], d) En déduire les coefficients de Fourier de f .
calculer e) Exprimer f à l’aide des fonctions usuelles.
+∞
X (−1)n
1 + 2α2
n=1
α 2 − n2
Exercice 18 [ 03227 ] [correction]
b) En déduire
+∞ Soit f : R → C, 2π-périodique, impaire et vérifiant
X (−1)n
n2 π−x
n=1 0 < x < π ⇒ f (x) =
2
c) Ici 0 < α < 1. Montrer que
a) Calculer
+∞
tα−1
Z
π +∞
dt = X sin(nx)
0 1+t sin απ S(x) =
n=1
n
fh : R → C, x 7→ f (x + h) − f (x)
converge.
d) Que peut-on en conclure ?
Enoncé fourni par le CENTRALE-SUPELEC (CC)-BY-NC-SA
sin t + |sin t|
f (t) =
2
a) Préciser le mode de convergence de la série de Fourier de f .
b) En déduire
+∞ +∞
X 1 X 1
2−1
et 2 − 1)2
n=1
4n n=1
(4n
Par hypothèse, il y a convergence uniforme de (Sp ) vers sa limite que nous avons +∞
1
P
notée S et donc il y a aussi convergence en moyenne quadratique d) n2 existe et
n=1
+∞ +∞ +∞
1
Z 2π X 1 X 1 1X 1
2
|Sp (t) − S(t)| dt → 0 = +
2π 0 n=1
n2 p=0
(2p + 1)2 4 p=1 p2
Or 2 π
Z
π π
π2 an = f (t) cos(nt) dt
Z
1 21 1 3
(f (t)) dt = t = π 0
2π −π π 3 0 3
donc ce qui donne
+∞
1 π 4 32.(−1)n+1
a2n = 0 et a2n+1 =
X
= π(2n + 1)3
(2k + 1)4 96
k=0
après quelques calculs pénibles, ou plus simplement après exploitation de la
+∞
d)
P 1
existe et relation
n2
n=1 bn (f 0 ) = −nan (f )
+∞ +∞ +∞
X 1 X 1 1X 1
= + voire de la relation
n2 (2k + 1)2 4 k2
n=1 k=0 k=1 an (f 00 ) = nbn (f 0 ) = −n2 an (f )
d’où et en considérant la pseudo dérivée d’ordre 2 de f .
+∞
X 1 π2 c) Puisque la fonction f est de classe C 1 , elle est égale à sa somme de Fourier et
=
n=1
n2 6 donc
+∞
De même on obtient 32 X (−1)n+1
∀x ∈ R, f (x) = cos((2n + 1)t)
+∞
X 1 π4 π n=0 (2n + 1)3
=
n=1
n4 90 En évaluant pour x = 0, on obtient
+∞
X (−1)n π3
Exercice 4 : [énoncé] 3
=
n=0
(2n + 1) 32
a) Sur [0, π/2], on a
f (x) = 4x2 − π 2
(−1)n+1 4 1
Z 2π
a2n (f ) = et a2n+1 (f ) = 0 cn = f (t)e−int dt
π(4n2 − 1) 2π 0
?
et bn (f ) = 0 pour n ∈ N . Après calcul, on obtient
b) La fonction f est de classe C 1 par morceaux, il y a donc convergence uniforme shπ (−1)n
de la série de Fourier vers f . En x = 0, on obtient : cn (f ) =
π 1 − in
+∞
2 X (−1)n+1 4 b) La fonction f est de classe C 1 par morceaux (mais pas continue) donc la série
f (0) = + de Fourier converge simplement vers la fonction f ? régularisée de f avec
π n=1 π(4n2 − 1)
x
? e si x ∈ ]−π, π[
donc f (x) =
+∞ ch(π) si x = π
X (−1)n+1 π−2
2−1
=
n=1
4n 4 Ainsi
+∞
shπ X (−1)n inx
∀x ∈ R, f ? (x) = e
π n=−∞ 1 − in
Exercice 6 : [énoncé]
a) f est C 1 par morceaux et régularisée donc la série de Fourier de f converge Pour x = 0, on obtient
+∞
simplement vers f en vertu du théorème de Dirichlet. π X (−1)n
=
La convergence ne peut être uniforme car si telle est le cas f serait continue en 0 shπ n=−∞ 1 − in
en tant que limite uniforme d’une suite de fonctions continues.
b) La fonction f est paire. On obtient an = 0 et par intégration par parties Or
bn = 1/n. +∞ +∞ +∞
(−1)n (−1)n
X X
n 1 1 X
La série de Fourier de f permet d’écrire = −1 + (−1) + = −1 + 2
n=−∞
1 − in n=0
1 − in 1 + in n=0
n2 + 1
+∞
X sin(nt)
f (t) = Par suite
n +∞
n=1 X (−1)n 1 π
= 1 +
b) Pour t = 1, on obtient n=0
n2 + 1 2 shπ
+∞
X sin n π−1 De même avec x = π, on obtient
=
n=1
n 2
+∞
X 1 1
c) Par la formule de Parseval = (1 + π coth π)
n=0
n2 +1 2
+∞ Z π
1X 1 1 2
= |f (t)| dt
2 n=1 n2 2π −π
Exercice 8 : [énoncé]
donc a) La fonction f est paire. On obtient bn = 0 pour n > 1 et
+∞
2 π (π − t)2 π2
Z
X 1 1 π
2
= dt = −(π − t)3 0 = 2α sin(απ)
n=1
n π 0 4 6π 6 an = (−1)n−1
π(n2 − α2 )
pour n ∈ N. La série de Fourier de f converge normalement vers f car celle-ci est b) La fonction f est paire. Après calculs
continue et C 1 par morceaux. Par suite
2α sin(απ)
+∞ an = (−1)n−1 et bn = 0
sin(απ) X 2α sin(απ) π(n2 − α2 )
f (x) = + (−1)n−1 cos(nx)
απ n=1
π(n2 − α2 ) et donc la série de Fourier de f est
b) Pour x = 0, on obtient +∞
sin(απ) X 2α sin(απ)
+ (−1)n−1 2 − α2 )
cos(nt)
+∞ απ n=1
π(n
(−1)n−1
X 1 απ
= −1
n=1
n2 − α 2 2α2 sin(απ)
Exercice 10 : [énoncé]
et pour x = π,
+∞ a) La fonction f est continue et de classe C 1 par morceaux sur R car elle l’est sur
X 1 1 − απ cot απ [−π, π]. On en déduit que la série de Fourier de f converge uniformément vers f .
2 − α2
=
n=1
n 2α2 b) Après calculs, pour n ∈ N,
+∞ 2α sin απ
1 an = (−1)n−1
P
c) Il y a convergence normale de n2 −α2 pour α ∈ [0, 1/2] donc quand et bn = 0
n=1 π(n2 − α2 )
b) Pour x = 0, on obtient Si n = 1,
a1 (f ) = 0
+∞
(−1)n
X 1 απ Si n 6= 1,
= − 1
n=1
n2 + α 2 2α2 sh(απ) π π
2(1 + (−1)n )
1 cos(n + 1)t 1 cos(n − 1)t
an (f ) = − − − =−
et pour x = π, π n+1 0 π n−1 0 π(n2 − 1)
+∞
X 1 απ coth(απ) − 1
=
n=1
n2 +α 2 2α2
Exercice 14 : [énoncé]
Le problème est qu’ici f n’est pas de classe C 1 par morceaux puisqu’elle n’admet
de dérivée à droite et à gauche en 0.
Exercice 12 : [énoncé] Pour n > 0, on a bn = 0 et
a) S(t) est définie sur R\Z.
2 π√
2α sin απ
Z π
b) an = (−1)n−1 π(n
Z
2 −α2 ) et bn = 0. 2 √ π 1 sin(nx)
an = x cos(nx) dx = x sin(nx) 0 − √ dx
c) Puisque f est continue et C 1 par morceaux, le théorème de convergence π 0 πn nπ 0 x
normale assure que la série de Fourier de f converge vers f sur R.
donc
d) Pour x = π, on obtient :
Z π Z nπ
1 sin(nx) 1 sin(u)
+∞
sin απ X 2α sin απ an = − √ dx = − 3/2 √ du
cos απ = − nπ 0 x n π 0 u
απ π(n2 − α2 )
n=1 Or l’intégrale Z +∞
sin u
donc √ du
+∞ 0 u
X 1 1 π cot απ
= − est convergente comme on peut le vérifier à l’aide d’une intégration par parties sur
n=1
n2 − α2 2α2 2α
[1, +∞[
puis Par conséquent, an = O 1/n3/2 donc la série de Fourier de f est normalement
1 π cot απ convergente.
S(t) = − 2
−
2α 2α Etant continue, la série de Fourier converge en moyenne quadratique vers f et
donc sa somme est égale à f .
Exercice 13 : [énoncé]
Soit f la fonction 2π périodique paire définie sur [0, π] par f (t) = sin t. f est Exercice 15 : [énoncé]
continue et C 1 par morceaux. Sa série de Fourier converge donc normalement vers a) La fonction 2π-périodique étudiée est continue et de classe C 1 par morceaux
f et cela permet d’écrire dont développable en série de Fourier.
1
+∞ 2α(−1)n sin(απ)
an = et bn = 0
X
∀t ∈ [0, π] , sin t = a0 (f ) + an (f ) cos(nt) π(α2 − n2 )
2 n=1
La valeur en 0 de ce développement permet d’établir :
d’où le résultat.
+∞
2
Z π
1
Z π X (−1)n απ
an (f ) = sin t cos(nt) dt = sin(n + 1)t − sin(n − 1)t dt 1 + 2α2 2 − n2
=
π π n=1
α sin(απ)
0 0
+∞
b) Par convergence normale, la fonction α 7→
P (−1)n
est continue sur [0, 1/2]. on obtient au terme des calculs
n2 −α2
n=1 2α sin απ
En passant à la limite quand α → 0, on obtient an = (−1)n−1
π(n2 − α2 )
+∞
(−1)n π2
X 1 απ pour n ∈ N.
= lim − 1 = −
n=1
n2 α→0 2α2 sin(απ) 12 b) La fonction f est continue et de classe C 1 par morceaux donc sa série de
Fourier converge uniformément vers elle-même. On peut alors écrire
c) +∞
+∞ 1 Z +∞ α−1 a0 X
tα−1 tα−1
Z Z
t ∀x ∈ R, f (x) = + an cos(nx)
dt = dt + dt 2
0 1+t 0 1 + t 1 1 +t n=1
1 +∞
Z 1X N Z 1 1 +∞
tα−1 ce qui donne
Z X Z X
dt = (−1)n tα−1+n dt = (−1)n tα−1+n dt+ (−1)n tα−1+n dt
0 1+t 0 n=0 n=0 0 0 n=N +1 +∞
sin απ X 2α sin απ
f (x) = + (−1)n−1 2 − α2 )
cos(nx)
Par le critère spécial des séries alternées, απ π(n
n=1
Z Z
1 X +∞ 1
1 Pour x = 0, on obtient
(−1)n tα−1+n dt 6 tα+N dt = →0
N + α+1
0 0 +∞
sin απ X (−1)n−1
n=N +1 sin απ
1= + 2α2
donc απ απ n=1 n2 − α2
1 +∞ Z 1 +∞
tα−1 (−1)n
Z X X
n α−1+n puis la relation voulue.
dt = (−1) t =
0 1+t n=0 0 n=0
n+α c) La fonction
Par u = 1/t, tα−1
f : t 7→
+∞ 1 +∞ 1+t
tα−1 u−α (−1)n−1
Z Z X
dt = du = est définie et continue par morceaux sur ]0, +∞[. On vérifie f (t) ∼ tα−1 et
1 1+t 0 u+1 n=1
n−α t→0
f (t) ∼ 1/t2−α ce qui assure l’intégrabilité de f .
par la même démarche qu’au dessus. t→+∞
Par suite Par sommation géométrique
Z +∞ α−1 +∞
t 1 X (−1)n π 1 +∞
1X
tα−1
Z Z
dt = + 2α =
0 1 + t α α 2 − n2 sin(απ) dt = (−1)n tn+α−1 dt
n=1 0 1+t 0 n=0
la convergence de la série étant acquise par le critère spécial des séries alternées. Posons
D’autre part 1 1
fn (x) = + 2
Z Z a2
+ (x − 2nπ) 2 a + (x + 2nπ)2
1 X +∞ P 0
1 fn est de classe C 1 ,
P
fn converge simplement et fn converge normalement sur
n n+α−1
(−1) t dt 6 tN +α dt =
N +1+α [−π, π] donc f est continue et C 1 par morceaux donc développable en série de
0 [0,1[
n=N +1
Fourier.
la majoration de la somme étant obtenue par majoration du reste d’une série c)
Z +∞
vérifiant le critère spécial des séries alternées. cos t πeb
dt =
On peut alors affirmer en passant à la limite quand N → +∞ 2
−∞ b + t
2 b
1 +∞ d) f est paire donc bn = 0 pour tout n ∈ N? .
tα−1 (−1)n
Z X
dt = Pour n ∈ N,
0 1+t n=0
n+α
Z Z π Z +∞
π X
1 1 cos(nt) 1 cos(nt) cos(nt)
Puisque par changement de variable an = f (t) cos(nt) = dt+ + 2
π 2π π −π a2 + t2 π −π n=1 a2 + (t − 2nπ)2 a + (t + 2nπ)2
Z +∞ α−1 Z 1 −α
t u Par convergence de la série des intégrales des valeurs absolues,
dt = du
1 1 + t u=1/t 0 u+1
+∞ Z π
1 X cos(nt)
on a aussi an = dt
+∞ +∞ π n=−∞ −π a + (t − 2nπ)2
2
tα−1 (−1)n
Z X
dt =
1 1+t n=0
n + (1 − α) En translatant les intégrales,
On en tire 1 +∞ cos(nt) n +∞ cos u
Z Z
+∞ +∞ +∞ an = dt = du
tα−1 1 X (−1)n X (−1)n−1
Z
dt = + + π −∞ a2 + t2 π −∞ b2 + u2
0 1+t α n=0 n + α n=1 n − α
avec b = an pour n 6= 0 et a0 = a1 .
et finalement e)
+∞ +∞
tα−1 (−1)n−1 +∞
Z
1 X π 1 1 X an 1
1
1 ea (cos t − 1)
dt = + 2α 2 − α2
= f (t) = + e cos(nt) = −1 + Re =
0 1+t α n=1
n sin(απ) 2a a n=1 a 1−ea+it a 1 − 2ea cos t + ea
(sauf erreur. . . )
Exercice 17 P : [énoncé]
1 1
P
a) Les séries a2 +(x−2nπ)2 et a2 +(x+2nπ)2 sont absolument convergentes
n>1 n>1 Exercice 18 : [énoncé]
donc f est définie sur R. a) La fonction f est de classe C 1 par morceaux et régularisée donc développable
en série de Fourier.
+∞
1 X 1 1 an = 0 et par intégration par parties bn = 1/n.
f (x) = 2 + + 2
a +x 2 2
a + (x − 2nπ)2 a + (x + 2nπ)2 Le développement en série de Fourier de f s’écrit
n=1
+∞
est paire.
X sin(nx)
f (x) = = S(x)
b) Par translation d’indice, on observe que f est 2π-périodique. n=1
n
b) Après calculs
2
a2n (f ) = − , a2n+1 (f ) = 0
π(4n2 − 1)
et
b1 (f ) = 1/2 et bn (f ) = 0 pour n > 1
La série de Fourier de f est donc
+∞
1 1 X 2
+ sin(t) + − 2 − 1)
cos(nt)
π 2 n=1
π(4n
En calculant en t = 0, on obtient
∞
X 1 1
2−1
=
n=1
4n 2
(ce qui aurai pu aussi s’obtenir par décomposition en éléments simples puis
télescopage).
Par la formule de Parseval
+∞
1 1 1 2 X 1
= 2
+ +
4 4π 8 π n=1 (4n − 1)2
2 2
et donc
+∞
X 1 π2 1
= −
n=1
(4n2 − 1) 2 16 2