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L’autorisation à nouveau des farines animales dans le secteur de l’aquiculture cause le mécontent

de l’Europe.

En 1997, suite à l’infection massive des animaux ruminants, causée par l’utilisation des farines
animales, ce produit fut interdit dans l’élevage. Néanmoins la Commission Européenne vient de la
préconiser à nouveau. Quels arguments a-t-elle manifestés ? et l’Europe, comment a-t-elle réagit ?

De sa part, l’UE argumente que ces nouvelles farines sont propres pour la consommation
humaine ; qu’il est mieux de réutiliser les protéines, évitant ainsi l’érosion du sol et la
consommation des eaux ; et que de fois les farines de poisson raréfient. Toutefois, la ministre de
l’Ecologie soutient que la raison est parce que les farines animales coûtent moins cher que celles
de poisson.

L’Europe, de son côté craint que cette première recommandation dans le secteur de la pisciculture
ne donne lieu à l’utilisation de ces farines pour les porcs et les volailles, recours qui auparavant
aurait provoqué des maladies humaines lors de la consommation des viandes infectées. Prévoyant
le respect des droits des consommateurs à connaître l’origine de l’alimentation des produits
piscicoles, Delphine Batho, ministre de l’écologie, a demandé une label « libre des farines
animales ».

Heureusement, malgré les préconisations que les organismes européens puissent adopter,
quelques-uns se sont déjà prononcés contre et ont demandé des mesures qui pourront garantir le
choix de consommation.

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