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C’était une soirée froide d’automne comme on en avait rarement vue.

La bise frigorifiait les pauvres


âmes d’un village côtier ou nombre de marin venait dépecée leur solde durement gagnée. Ainsi tout
personne d’un temps soit peu sensée chercherais un abris certe il ne s’agissait pas d’une question de
survie mais belle est bien de confort, le confort était une chose certes rare dans cette pauvre
bourgade mais que tout le monde partageais ainsi même régis le vétéran de la grande guerre n’était
pas laissée sur le seuil de la porte.
C’était une sorte de tradition local chaque fois que le froid pointais le bout de son nez on aidée les
gens du village qui en avais besoin, la veuve ce voyait apportée plusieurs pâtisserie par des môme
voisin les sans abris était logée et nourris tout l’hiver. On ne leur demandais que de donnée un coup
de main pour le ménage ou pour cherchée les différente racine dont la maisonnée avait besoin pour
ceci ou cela.
Même les animaux n’était pas en reste, en effet tous, du moins ceux qui ne sont pas agressif ou
nuisible était récupérer et abritez durant les période de grande froid et même si peux était
définitivement adoptées cela permettais a ces pauvres chat errant, chien abandonnée et autre
animaux exotique ramenée de par la mer de vivre une vie heureux, même si courte car si la faim
commençait a ce faire sentir les villageois oubliais vite leur tradition pour ce permettre un met a
base de perroquet de chat ou bien de tortue.
Mais un endroit en particulier échappais a cette trêve de la tradition, il s’agissait du marin hydratées
en effet comme son nom l’indique cette auberge était l’endroit de prédilection de tout les marin
d’eau douce, corsaire et autre pirate bien que la clientèle ne soit pas forcement dès plus engageant
au première abord.
Ils était tenue de respect pour le patron de l’établissement qui comme ça clientèle avais parcourue
les mer a la recherche d’un trésor qui si il avait été trouvée aurais de toute manière fini dilapidée
dans un établissement comme celui qu’il tient aujourd’hui. Et c’est pourquoi il avait décidée qu’il
fallait mieux être a la place de celui qui reçoit le trésor plutôt que celui qui le dépense bêtement.
Et c’est alors que ce brave homme terminait de comptée la caisse qu’il vit un homme rentrée, le
vent qui hurlait par la porte entre baillée rappelais a tous la violence et l’inssisivitée des vents qui
s’évisait dehors. L’homme tourna la tête de gauche a droite guettant un siège libre pour s’y installée
mais alors qu’il remarqua un table vide de tout occupant il tourna les talon en direction du comptoir
ou ce tenait l’aubergiste, et , le saluant d’une voix grave et rauque qui par ailleurs dévoilait un
accent des terre de l’est, il commanda un verre de vin et alors qu’il déposa son u sur le comptoir
miteux, l’aubergiste fît une remarque pour le moins incisive.
«  Hey ! Dîtes voir, le prix du verre a pas baissée sans que je ne m’en n’aperçoivent ? »
A cette question le client leva un sourcil avant de se contorsionnée pour pouvoir voir l’ardoise ou y
était affichée les prix, malgré la saleté qui la recouvrait le voyageur finit par remarquée quand effet
il avait spolié le commerçant et pas d’un peu, au moins 5 sous était manquant
« Peut être que le m’sieur il sais pas lire, il faut l’y aidée ?
Non ça ira je sais lire, et voyée vous je suit dans impossibilité de vous payer ma note.
Répond y t’il d’un ton neutre.
Z’avez bien d’la chance que ce soir y fasse froid sans quoi je vous aurais jetée dehors a
grand coup de pompe dans le fondement. Mais par contre il va falloir trouvée un
arrangement. »
c’est alors que le commerçant commença a ce penchée par dessus son comptoir et examinée
l’homme de plus près, et son œil d’ancien pirate remarqua rapidement le coutelas que portais le
voyageur, l’arme avais beau être rangée dans son fourreau il s’avait qu’elle était de grane valeur ce
qui « tait en dissonance complète avec les habits du mauvais payeur.
« À qui vous avez piquée ça ? Dit il curieux.
Elle m’appartient et de droit s’emportât l’arrivant
Très bien. Conclu l’aubergiste avant de rajoutée si vous me la donnée je vous offre les
repas et la chambre pendant la semaine entière. Et vue le nombre de client croyez moi ça en
vaut la peine.
Il en est hors de question ! S’offusqua son interlocuteur.
Et bien comment diable comptée vous remboursée l’argent que vous me devez ! »
le ton montait entre les deux homme mais alors que l’endettée eu une idée il proposa de racontée
une histoire qu’il connaissait, une histoire de son peuple qui tiendrait en allène l’auberge pour trois
jour minimum et assurais t’il que cela vaudrait bien plus que 5 sous minable mais quand preuve de
bonne fois il serait prêt a lui dévoilée.

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